Helen Palmer. Préface de D r David N. Daniels L ENNÉAGRAMME

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1 Helen Palmer Préface de D r David N. Daniels L ENNÉAGRAMME

2 L ENNÉAGRAMME est une forme de psychologie spirituelle fondée sur neuf types de personnalités. Grâce à sa précision remarquable, il vous permet de découvrir votre caractère en profondeur et expose clairement votre façon d aborder la vie en couple ainsi que vos relations professionnelles, familiales et amicales. En prenant conscience des caractéristiques de votre personnalité, vous serez en mesure de transformer vos faiblesses et vos angoisses en forces constructives et en empathie envers les autres. Outil puissant de connaissance de soi, cette technique vous aidera aussi à mieux saisir les interactions possibles entre les différents types de personnalités, que ce soit dans l intimité ou au travail, et à vivre ainsi d une manière plus harmonieuse. Formatrice reconnue dans le monde entier, Helen Palmer est l auteur de plusieurs ouvrages en psychologie. L Ennéagramme et L Ennéagramme au travail et en amour, ses deux œuvres phares, ont été traduit s en 28 langues. ISBN

3 Table des matières Pré face par D r David N. Daniels I IN TRO DUC TION Les types de per son na lité Résumé des neuf types Les pas sions et la dyna mi que des neuf types II LES TYPES DE PER SON NA LITÉ DANS LA VIE AFFEC TIVE ET PRO FESSION NELLE Les Un Le Per fec tion niste Les Deux L Altruiste Les Trois Le Bat tant Les Qua tre Le Tra gico-roman ti que Les Cinq L Obs er va teur Les Six Le Loya liste scep ti que Les Sept L Épi cu rien Les Huit Le Chef Les Neuf Le Média teur III LE GUIDE DES RELA TIONS Les Per fec tion nis tes (Un) jume lés aux Un Deux Trois Qua tre Cinq Six Sep t

4 Huit Neuf Les Altruis tes (Deux) jume lés aux Deux Trois Qua tre Cinq Six Sep t Huit Neuf Les Bat tants (Trois) jume lés aux Trois Qua tre Cinq Six Sep t Huit Neuf Les Tra gico-roman ti ques (Quatre) jume lés aux Qua tre Cinq Six Sep t Huit Neuf Les Obs er va teurs (Cinq) jume lés aux Cinq Six Sep t Huit Neuf Les Loya lis tes scep ti ques (Six) jume lés aux Six Sept Huit Neuf

5 Les Épi cu riens (Sept) jume lés aux Sep t Huit Neuf Les Chefs (Huit) jume lés aux Huit Neuf Les Média teurs (Neuf) jume lés aux Neuf IV CON CLU SION Notes

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7 Pré face La con tri bu tion d Helen Pal mer à l Ennéa gramme néces site des com men tai res par ti cu liers. Elle a beau coup apporté à l étude des types de per son na lité. Si elle a enri chi le sys tème grâce à ses connais - san ces sur la direc tion de l atten tion et de l intui tion, elle a, à mon avis, apporté bien davan tage encore. La pre mière fois que j ai assisté à un cours sur l Ennéa gramme, il était ensei gné selon la méthode de la tra di tion orale, qu Helen transmet et per fec tionne depuis plus de vingt ans. Le sou ve nir de ce premier cours est pour tou jours vif à mon esprit. C est pour quoi je pré sente avec un réel plai sir et une entière con fiance ce livre sur les types de per son na lité de l Ennéa gramme et leurs inter ac tions. Pour les néo phy tes, sou li gnons qu Helen est une pion nière de ce qui, de nos jours, com mence à être connu sous le nom de : «tra dition orale de l Ennéa gramme». Cette appro che, fon dée sur le tra vail de Clau dio Naranjo, repose sur les témoi gna ges personnels de représen tants de cha que type. Il ne s agit donc pas de trans met tre un savoir de géné ra tion en géné ra tion, même si c est la signi fi ca tion pre mière de cette expres sion. En fait, ce sont les repré sen tants d un même type qui révè lent leur pro pre his toire, dans le cadre d un panel. Cela per met d enten dre direc te ment les obs er va tions per son nelles, les pré oc cu pa tions quo ti dien nes et de per ce voir direc te ment les for ces ainsi que les fai bles ses de cha que type. La tra di tion orale est, à mon avis, le meilleur moyen d ensei gner cette matière. Elle a tous les avan tages : elle rend le sys tème vivant, elle per met aux audi teurs d iden ti fier plus faci le ment le type auquel ils appar tien nent, de mieux appré cier les dif fé ren ces et de mieux se com pren dre. La tra di tion orale est une méthode remar qua ble pour trans mettre de puis san tes infor ma tions psy cho lo gi ques, même à des noninitiés. Elle four nit éga le ment un cadre idéal aux expli ca tions d Helen sur la façon qu a cha que type d orien ter son atten tion. Ces

8 don nées sur le rôle de l atten tion et l impor tance des con sé quences de l orien ta tion de son atten tion sont déjà recon nues comme un des élé ments de base du sys tème. C est cette décou verte d Helen sur l orga ni sa tion de notre atten tion, qui m a d abord poussé à m intéres ser à l Ennéa gramme. C est ce que l on pour rait appe ler le niveau molé cu laire de fonc tion ne ment de la per son na lité, puis que l attention déter mine quel les cho ses nous allons per ce voir et quel les informa tions nous allons lais ser de côté, lors que nous recueillons et tri ons les don nées per çues par nos sens. Une fois inté grée, cette compré hen sion fon da men tale per met à cha cun de réali ser qu il n est ni par fait ni impar fait, mais sim ple ment «incom plet». Au-delà de ses apports au chapitre de la tra di tion orale et des dif fé rents modes d atten tion, Helen a éga le ment mis en évi dence le lien direct exis tant entre dépas ser sa per son na lité et retrouver la pléni tude de l essence ori gi nelle. Dans cette opti que, la per son na lité peut deve nir une alliée plu tôt qu une enne mie, une source d éner gie pour le déve lop pe ment per son nel, une indi ca tion pré cieuse quant à la qua lité fon da men tale liée à notre type de per son na lité. Dans ce livre, Helen mon tre de plus com ment l éner gie de cha que per son nalité se mani feste dans trois direc tions du com por te ment (soustypes) : rela tion de per sonne à per sonne, com por te ment social et ins tinct de con ser va tion. J ai eu la chance d ensei gner aux côtés d Helen le cur sus de forma tion de for ma teurs depuis Nous avons tra vaillé à déve lopper ce lien qui unit la per son na lité à l essence, tant en tra vaillant sur nous-mêmes qu avec nos étu diants. Au fond, cha que être humain tend à vivre du mieux pos sible en fonc tion de sa per son na lité et de son «essence de base». Or, de même que la per son na lité peut permet tre de remon ter à la nature ori gi nelle de l être, l éner gie de cette essence peut mon trer la voie du déve lop pe ment per son nel menant à une vie épa nouie. C est un hon neur pour moi de faire par tie de ceux qui déve lop pent cette appro che de l Ennéa gramme. D R DAVID N. DANIELS, pro fes seur à la faculté de méde cine de l Uni ver sité de Stan ford, dépar te ment des scien ces humai nes et de la psy chia trie 12 L Ennéagramme au travail et en amour

9 I INTRODUCTION

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11 1 Les types de per son na lité Quand on demanda à Freud ce qui était essen tiel à l être humain pour bien vivre, il aurait répondu «aimer et tra vailler». Les objec tifs de sa «thé ra pie par la parole» étaient donc l épa nouis se ment dans la vie affec tive et pro fes sion nelle 1. Quel ques géné ra tions plus tard, les visions de Freud quant au bien-être de l huma nité sont tou jours vala bles. Nous con sa crons, en effet, la majo rité de notre temps et de nos éner gies à nos rela tions affec ti ves et à nos car riè res. Depuis Freud, néan moins, les cho ses ont évo lué en ce qui con cerne l obs erva tion des dif fé ren ces entre les êtres humains et dans ce qui peut les aider à mieux aimer et à mieux tra vailler. L Ennéa gramme au travail et en amour décrit neuf façons dif fé rentes de vivre ses rela tions sur le plan privé ou pro fes sion nel. Cha que point de vue est basé sur des pré oc cu pa tions intellectuelles et émotion nel les. Les neuf types con cor dent avec un large éven tail de réflexions psy cho lo gi ques con tem po rai nes ; ils se réfè rent à des per sonnes équi li brées et non aux individus ayant des ten dan ces patho lo gi ques. Aucun type n est supé rieur à un autre et cha cun peut être bien vécu, mais cha cun réagit de façon radi ca le ment dif fé rente. Les neuf per son na li tés font par tie d un modèle de déve lop pement per son nel ancien appelé Ennéa gramme. En grec, ennea signi fie «neuf» et gramma, «figure ou des sin». En 1988, j ai publié L Ennéagramme, pour mieux se con naî tre et com pren dre les autres. Ce livre est basé sur les des crip tions de repré sen tants des neuf types expo sées dans un cadre d ouver ture spi ri tuelle. L Ennéa gramme au travail et en amour com plète ce pre mier livre. Il décrit la façon dont les neuf types interagis sent dans l inti mité et dans le milieu pro fes sion nel. Il y a

12 fort peu de répé ti tions d un livre à l autre. J ai essayé d ajou ter le plus pos sible de nou veaux élé ments sur cha que type et j ai mis au point un guide sur les inter ac tions. La meilleure façon de recon naî tre votre type con siste à écou ter des gens qui par ta gent votre point de vue. Quand ceux qui con naissent leur type témoi gnent de leur façon d aimer et de tra vailler, vous savez si vous leur ressem blez ou non. Pen dant des années, j ai enseigné l Ennéa gramme en met tant en valeur des grou pes de con fé renciers repré sen tant cha cun des types. Écou ter les autres se décrire est de loin la meilleure façon de se com pren dre soi-même. C est bien plus ins truc tif que le dis cours d un pro fes seur ou qu un livre. Ceux qui témoi gnent s expri ment en tant que spé cia lis tes vivants. Ils nous font péné trer dans leur vie en nous révé lant leurs idées et points de vue per son nels. L authen ti cité de leur témoi gnage est le meilleur garant de mémo ri sa tion pour l audi teur. Le rôle de l ensei gnant est de veiller au res pect de l audi toire envers ceux qui s expri ment, de faire évo luer les sujets de con ver sa tion afin de sou ligner les pro pos inhé rents au type, et de démon trer les bases du compor te ment du type. Écou ter des témoi gna ges en direct est par ti cu liè re ment efficace quand il s agit de per sonnes ayant tra vaillé sur elles-mêmes qui racon tent le che mine ment qu elles ont fait. Un pré jugé cou rant existe sur les des crip tions de soi. Beau coup esti ment que cet exercice est «réservé» aux gens en dif fi culté plu tôt qu un moyen de déve lop pe ment per son nel. Ce parti pris est fondé sur notre système de croyan ces. Si la clé d une vie meilleure est «de savoir bien aimer et bien tra vailler 2», pour quoi cer tains qui ont tout réussi, qui ont une vie affec tive et pro fes sion nelle satis fai sante, seraientils enclins à évo luer, à se trans for mer radi ca le ment? Ils don nent eux-mêmes la réponse : ils recher chent bien plus qu une car rière enri chis sante, qu une vie sexuelle agréable et qu une famille heureuse. Ils ont tou tes les rai sons d être entiè re ment satis faits, mais ils ne le sont pas. Ils sont atti rés par l Ennéa gramme et racon tent leur his toire en pré sence d un audi toire parce que l Ennéa gramme est l un des rares sys tè mes qui lient le type de per son na lité avec la vie spi ri tuelle, avec les hauts niveaux de cons cience de cha cun des types. Ce lien expli que l immense inté rêt sus cité ces der niè res années par l étude de l Ennéa gramme. 16 L Ennéagramme au travail et en amour

13 La soupe de la soupe de la soupe Je me suis rendu compte de l impact de l Ennéa gramme quand des peti tes annon ces comme la troisième ci-dessous ont com mencé à voir le jour. On peut dif fi ci le ment ima gi ner un meilleur argu ment en faveur du côté pra ti que du sys tème. East Bay Express, peti tes annon ces, rubri que «cœ ur», juin 1992 : Âme sœur/ami intime : Végé ta rien, ath lé ti que, roman ti que, affec tueux, opti miste, ori gi nal (26 ans, 1,70 m) cher che par - tenaire dura ble (26-30 ans, grand, sédui sant) ayant mêmes qua lités. Dro gués, fumeurs, buveurs, ama teurs T.V. s abste nir. Écrire en joi gnant photo Afro-amé ri caine, 36 ans, for mes géné reu ses, loyale, cher che h. esprit vif et bon sens, pour con ver sa tion, bonne com pa gnie et plai sir Ennéa gramme BASE SIX, h. 44 ans, cher che f. quarantaine Ennéa gramme type neuf pour pro jets à long terme, aimant l éso té risme, la nature J ai été hor ri fiée par cette dernière annonce. Com ment l Ennéagramme, avec sa capa cité d ouver ture à l autre, pou vait-il être ainsi tri via lisé? Où était pas sée sa voca tion essen tiel le ment spi ri tuelle? Pour quoi ne trouve-t-on pas de peti tes annon ces tel les que «Ennéagramme Six, cou ra geux et fidèle, cher che Ennéa gramme Neuf pour déve lop per affec tion et faire le bien»? Où est l annonce qui se lirait «H. Six cher che tout par te naire accep ta ble ayant comme but libé ration spi ri tuelle»? Une his toire sou fie illus tre bien la situa tion. Elle a trait à la dilution des ensei gne ments oraux, à l ori gine enri chis sants. La voie orale est un moyen clas si que de trans met tre con fi den tiel le ment de généra tion en géné ra tion des ensei gne ments puis sants. Ceux-ci sont invisi bles pour le grand public mais, de temps à autre, devien nent acces si bles pour cer tains. Quel ques-uns seu le ment parmi eux les assi mi lent. Ces rares pri vi lé giés tra dui sent le mes sage, remon tent à la source de l ensei gne ment et con tri buent à lui ren dre vie. Un parent ori gi naire d un loin tain village vint un jour ren dre visite à un mol lah, lui appor tant un canard en guise de cadeau. Les types de per son na lité 17

14 Nas ru din, enchanté, fit cuire le vola tile et par ta gea son repas avec son visi teur. Peu après, des pay sans se mirent à défi ler chez le mol lah, cha cun se pré sen tant comme l ami de l ami de «l homme qui a apporté le canard». Mais aucun pré sent ne fut plus offert. Au bout d un cer tain temps, le mol lah fut exas péré. Un jour appa rut encore un étran ger. «Je suis l ami de l ami de l ami de votre parent qui vous a apporté un canard», dit-il, et il s assit, comme tous les autres, espé rant être con vié à un repas. Nas ru din lui ten dit un bol d eau chaude. Qu est-ce que ceci? C est la soupe de la soupe de la soupe du canard que m a offert votre parent 3. Trop diluée, la matière s allège, per dant de sa force ori gi nelle. Et, de façon inévi ta ble, tel le ment peu d inté res sés peu vent en être touchés que l ensei gne ment perd de sa popu la rité et fina le ment, est rejeté comme quel que chose d inutile. Il devient impé né tra ble, par fois pen dant plu sieurs géné ra tions, non que l on puisse dou ter de sa justesse, mais parce que le moment ne s y prête pas. Comme les semen ces en som meil durant les pério des de sécheresse ou de grands froids, les ensei gne ments éter nels som brent dans l oubli pen dant long temps et sont rani més lors que le cli mat social y est favo ra ble. Si l on suit Freud, la con jonc ture per met nom bre d ensei gnements qui tou chent notre apti tude à aimer et à tra vailler en har monie les uns avec les autres. Cer tains de ces ensei gne ments décri vent les réa lités col lec ti ves que par ta gent tous les êtres humains, mais l Ennéa gramme est l un des très rares ensei gne ments qui relient le domaine uni que et intime de la per son na lité aux aspects par ti cu liers de la cons cience uni ver selle 4. L Ennéa gramme a le pou voir de faire la liai son entre le type de per son na lité et les aspects supé rieurs de l essence de l être. Cette dernière est cons ti tuée d élé ments per ma nents, con trai re ment à l être humain, cons ti tué d élé ments «acci den tels». La prise de cons cience de cette nature a éga le ment été qua li fiée de con nais sance supé rieure ou de quête spi ri tuelle. Les aspects supé rieurs du type sont en fait des qua lités spi ri tuel les. Elles sont du domaine du divin et ne doi vent pas être con fon dues avec les talents, les pen chants créa tifs ou les qua lités 18 L Ennéagramme au travail et en amour

15 psy cho lo gi ques. Les qua lités spi ri tuel les ne doi vent pas non plus être con fon dues avec la finesse d es prit et la géné ro sité émo tion nelle témoi gnées par les per sonnes psy cho lo gi que ment mûres. Ces capa ci tés supé rieu res se mani fes tent lors que la prise de cons cience dépasse les limi tes de la pen sée et du sen ti ment. Elles ne peu vent être com pri ses par l ana lyse, car elles ne sont pas du même ordre de com pré hen sion que les carac té ris ti ques psy cho lo gi ques. Il existe une ten dance natu relle à con fon dre les mani fes ta tions de la nature humaine avec cel les d un fonc tion ne ment psy cho lo gi que adé quat, car pour décrire cette nature, nous devons nous réfé rer à ses nom breu ses acti vi tés à l aide d un voca bu laire dési gnant des phé nomè nes ordi nai res. L Abhid hamma, le recueil clas si que des tex tes de psy cho lo gie bouddhi que, est un autre sys tème ancien qui relie la per son na lité à la vie spi ri tuelle. Les carac té ris ti ques attri buées aux trois types boud dhi ques cor res pon dent exac te ment à cel les des types du tri an gle cen tral de l Ennéa gramme. Le type cupide, comme le type Trois de l Ennéagramme, est motivé par le gain : plus d argent, plus de renom mée, plus de plai sir, et ainsi de suite. Le type har gneux, comme notre type Six, con si dère la vie comme un com bat. Le type chi mé ri que, comme notre type Neuf, essaie de fonc tion ner sans vrai ment se con cen trer sur ce qu il fait. Dans le sys tème boud dhi que, on contrebalance ces trois tendan ces carac té riel les défa vo ra bles en cul ti vant leurs oppo sés qui sont le déta che ment, la com pas sion et l atten tion 5. Le «voile de l illu sion» La psy cho lo gie sacrée con si dère la per son na lité comme un «faux soi». Le «vrai soi» est de nature spi ri tuelle et a été éclipsé dans l enfance, lors que l atten tion de l indi vidu s est tour née vers les besoins de sur vie. Avec le temps, nous nous som mes tel le ment assi mi lés aux carac té ris ti ques de notre type et nous nous som mes si for tement fiés à nos per cep tions con di tion nées que nous avons oublié notre vraie nature et som mes «deve nus» cette per son na lité, ce faux soi 6. L Ennéa gramme est une forme de psy cho lo gie d ori gine spi rituelle fon dée sur neuf types de per son na lité qui, dans l opti que du vrai soi, ou soi spi ri tuel, sont neuf illu sions sur la vie. Ces illu sions sont les points de départ natu rels vers une crois sance psy cho lo gique et spi ri tuelle. Les types de per son na lité 19

16 Pour celui qui obs erve ce qui l entoure à tra vers des len tilles colorées, tout lui sem blera de la même cou leur qu elles et les cho ses lui paraî tront plus peti tes ou plus gran des selon la forme de ces lentilles. De la même façon, les pas sions et les affec ta tions de l âme feront paraî tre tou tes cho ses selon ces pas sions qui la gou ver nent. JUAN DE BORYA, Las Empresas Mora les, L Ennéagramme au travail et en amour

17 2 Résumé des neuf types LA RELA TION de cou ple illus tre bien les dif fé ren ces qui nous séparent. Cha cun de nous peut dire vrai, alors que cha cun a une ver sion dif fé rente des faits. Nous con si dé rons notre cou ple, notre tra vail, nos enfants sous des angles tota le ment dif fé rents, sou vent sans y voir de parti pris sys té ma ti que. L Ennéa gramme, avec sa remar quable pré ci sion, nous per met de décou vrir notre carac tère en pro fondeur et de cla ri fier nos rela tions avec nos col lè gues, notre famille et nos amis. Cette com pré hen sion de notre per son na lité se mue en com pas sion lors que nous com pa rons nos pré ju gés avec ceux des autres. Le fait de voir avec les yeux des autres et de res sen tir le poids de leur vie émo tion nelle éveille néces sai re ment la com pas sion car, lors que l on adopte la vision d autrui, son point de vue nous paraît juste. NEUF POINTS DE VUE Le Chef 8 Le Médiateur 9 1 Le Perfectionniste L Épicurien 7 2 L Altruiste Le Loyaliste sceptique 6 3 Le Battant L Observateur 5 4 Le Tragico-romantique

18 Un Le Per fec tion niste Cher che à méri ter l amour en étant par fait. Se fait du souci pour la réus site de ce qu il entre prend. Veut attein dre les nor mes les plus éle vées. Se fixe une ligne de con duite morale pour diri ger sa vie. «Il fau drait», «je dois», «je devrais» gou ver nent ses pen sées. Il fau drait que mes rela tions avec autrui soient irré pro cha bles. Je me dois d avoir des états de ser vice impec ca bles. Au mieux, l enga ge ment d être bon sert de guide pour l auto per fec tion ne ment. Quand ils ont à se défen dre, les types Un se sen tent mora le ment supé rieurs en trou vant des défauts aux autres. ORIEN TA TIONS Recher che la per fec tion. Évite les erreurs et les méfaits. Con scien cieux. Carac tère de haute mora lité. Doit pen ser juste. Il fau drait, je dois, je devrais. Il fait ce qu il doit. Inté rieu re ment, il a une forte auto cri ti que, une voix inté rieure qui juge. S impose un sur croît de tra vail pour ten ter de blo quer des sen timents inac cep ta bles à ses yeux. Des besoins insa tis faits le met tent de mau vaise humeur. Le refus de se lais ser aller pro vo que chez lui du res sen ti ment. N est pas con s cient de sa forte colère inté rio ri sée (sou vent per cep ti ble par les autres). Peut avoir peur de pren dre une déci sion de crainte de se trom per. Cette orien ta tion de l atten tion assure une vie de droi ture empreinte de mora lité. Elle peut aussi mener à : une pen sée à sens uni que : le bien ou le mal, noir ou blanc. Pas de gris. un pou voir cri ti que sans pareil. Un sens intui tif de la per fection pos sible en tou tes cho ses. Deux L Altruiste Con quiert l affec tion en étant ser via ble. Orga nise la vie d autrui. Aide ses inti mes et s efforce de leur plaire. L émi nence grise au travail. Dif fé rents aspects de son moi se mani fes tent en fonc tion des besoins d autrui. Un moi pour l équipe, un moi pour le patron, de nom breux moi dif fé rents dans le privé. Au mieux, l Altruiste est secou ra ble et géné reux. En tant que geste défen sif, ce qu il offre est censé lui rap por ter quel que chose. 22 L Ennéagramme au travail et en amour

19 ORIEN TA TIONS Il faut méri ter l appro ba tion. S adapte afin de plaire à l autre. Évite de ressentir ses besoins. Fier d être utile. Se veut un pivot de la vie des autres. Se rend indis pen sa ble. Sen ti ment d avoir de nom breux moi dif fé rents pour répon dre aux besoins des autres. La con fu sion s ins talle entre les dif fé rents moi : «Lequel est le vrai moi?» Dif fi culté à recon naî tre ses pro pres besoins. Les besoins seront satis faits en aidant autrui. Désire être libre. Se sent limité par l aide à don ner aux autres. La mani fes ta tion du moi change en fonc tion des besoins d autrui. Ces ten dan ces peu vent mener à : des rela tions émo tion nel les ouver tes à autrui ; une adap ta tion aux désirs des autres en tant que moyen d obte nir ou de con ser ver leur affec tion. Trois Le Bat tant L amour doit être gagné par ses exploits et son image. Occupe des pos tes de com mande et est tou jours en vue au tra vail. Sen si ble au sta tut. Veut être le pre mier en tout, veut mener et être vu. Il émane de lui une image de gagneur. Le tra vail est le cen tre de ses pré oc cupa tions ; ses sen ti ments sont mis en veilleuse pen dant l accom plisse ment de ses tâches. Au mieux, cette ten dance de bat tant pro duit des lea ders effi ca ces. Comme moyen de défense, l image est adaptée de manière à pro mou voir le suc cès per son nel. ORIEN TA TIONS Exploits, pro duc ti vité et per for mance. Les objec tifs, les tâches et les résul tats. Com pé ti tion et effi ca cité. Évite les échecs. Vie émo tion nelle limi tée. Le cœur est à l ouvrage. Pen sée con ver gente. Un esprit à plu sieurs voies diri gées vers un seul but. «Je suis ce que je fais.» Il y a con fu sion entre le moi réel et le moi de celui qui tra vaille ou joue un rôle. Résumé des neuf types 23

20 Apprend à «jouer» des sen ti ments. Prend l appa rence du rôle et mémo rise son texte. Camé léon. Change de rôle et d image. Cette façon de se com por ter peut assu rer le suc cès. Elle peut aussi mener à : l aveu gle ment. On com mence à croire à son image publi que. Qua tre Le Tra gico-roman ti que Se lan guit d un amour à dis tance, est déçu quand cet amour est à por tée de main. «Nous entre te nions de bon nes rela tions, main tenant ça ne va plus. Nous nous enten dions bien. Que s est-il passé?» Cher che toute sa vie un amour dura ble ; atti rance, haine, situa tions dra ma ti ques, cha grin. Style de vie élé gant, pré sen ta tion impec cable, car rière dis tinc tive, idées créa ti ves en affai res. Au mieux, la recher che pas sion née entraîne des sen ti ments pro fonds. Leurs humeurs théâ tra les ren dent les types Qua tre trop affec tés pour la vie de tous les jours. ORIEN TA TIONS Désire ce qui est non dis po ni ble, hors d atteinte, dif fi cile à obtenir. Refus de l ordi naire. Les humeurs, les maniè res, le luxe et le bon goût témoi gnent d un man que d estime de soi. Pen chant pour la mélan co lie. Le goût de l envie. Dédai gne la vie ordi naire, «la pla ti tude des sen ti ments ordi nai res». Rehausse la vie de tous les jours par des per tes, des fan tai sies, des rela tions artis ti ques, des actes spec ta cu lai res. Les Qua tre sont champ ions de l acte théâ tral. Entre tient des rela tions cycli ques. Veut le meilleur de ce qui man que et le rejette quand il est à nou veau dis po ni ble. Cette orien ta tion alter na tive ren force : les sen ti ments d aban don et de perte, mais se prête aussi à : la sen si bi lité et à la pro fon deur émo tion nel les. Une apti tude à aider autrui en période de peine et de crise. Cinq L Obs er va teur Indif fé rent aux dé mons tra tions affec ti ves et aux émo tions pro - fondes. A besoin de soli tude pour savoir ce qu il res sent. Se tient 24 L Ennéagramme au travail et en amour

21 à l écart en public, se sen tant plus à même de faire remon ter ses émo tions lorsqu il est seul. Les Cinq appré cient un envi ron nement de tra vail protégé ; ils crai gnent les inter rup tions et leurs con tacts avec l exté rieur sont limi tés. Ils appré cient que leurs acti vi tés soient pré vues. Au mieux, leur atti tude déta chée leur donne d excel len tes capa ci tés d ana lyse et de syn thèse. En tant que stra té gie psy cho lo gi que, le déta che ment réduit les con tacts au mini mum. ORIEN TA TIONS Recher che la soli tude et évite de s enga ger. Accu mule des con nais san ces et des élé ments essen tiels de sur vie. Les vides de l exis tence le rebu tent. Se con tente du mini mum pour main te nir son indé pen dance. Atta che de l impor tance au con trôle des émo tions. Pré fère les évé ne ments struc tu rés, pré vus et minu tés. Com par ti mente. Les élé ments de son exis tence sont soi gneu sement sépa rés les uns des autres. Cré neaux déter mi nés à l avance pour les évé ne ments char gés d émo tion. A d énor mes facul tés d appren tis sage. Uti lise un mode de fonction ne ment ana ly ti que et des infor ma tions spé cia li sées. Veut déte nir les clés du fonc tion ne ment du monde. Veut pou voir com pren dre le fonc tion ne ment de tout et de tous. Con fond le non-atta che ment spi ri tuel avec le besoin de se déta cher des dou leurs émo tion nel les. Con si dère la vie sous l angle d un obs er va teur exté rieur. Cette façon de se com por ter peut con duire à : se sen tir étran ger aux évé ne ments de sa pro pre exis tence ; une aptitude à adop ter un point de vue déta ché et non affecté par la peur ou le désir. Six Le Loya liste scep ti que Doute de l amour et d un ave nir serein. A peur de faire con fiance et d être ensuite trahi. «Tiens-tu tou jours à moi?» «Es-tu cer tain de ce que tu avan ces?» «Ai-je des rai sons de dou ter?» Loyal en amour. Les Loya lis tes cher chent à être ras su rés par leurs pro ches. Ils ne font pas con fiance à la hié rar chie ; au tra vail, ils remettent en question sou vent les moti va tions d un pro jet. Leur esprit inqui si teur, s il est Résumé des neuf types 25

22 uti lisé à bon escient, con tri bue à cla ri fier, à pré voir et à résou dre. Le doute inté rieur, quand il est sys té ma ti que, nuit à la pro gres sion. ORIEN TA TIONS A ten dance à remet tre à plus tard, à cause du doute. La réflexion rem place l acte. Évite l action. L angoisse est pro por tion nelle au suc cès. La réus site expose à des for ces hos ti les. Tend à oublier les réus si tes et les satis fac tions. Rap ports inten ses avec la hié rar chie. Se sou met ou se rebelle con tre l auto rité. Se méfie des inten tions cachées, sur tout de cel les de ses supérieurs. S iden ti fie faci le ment à la cause des oppri més. Mène l oppo si tion. A peur d admet tre sa pro pre colère. Redoute éga le ment la colère des autres. Scep ti cisme et doute. L «esprit dubi ta tif» du boud dhisme. Un «Oui, mais» ou «Cela pour rait ne pas mar cher» trotte tou jours dans sa tête. Scrute son envi ron ne ment à la recher che d indi ces con fir mant l exis tence d une menace. Cette façon de réagir lui con fir mera que : le monde est mena çant, mais l entraî nera aussi à : décou vrir les motifs et les inten tions cachées qui influen cent les rela tions humai nes. Sept L Épi cu rien Estime avoir droit à l amour et à la con si dé ra tion. Est tou jours convaincu de la réussite de ses pro jets. L amour et le tra vail repré sen tent des aven tures. Il cher che à mener une vie fabu leuse. L exci ta tion du pre mier con tact est ce qu il y a de meilleur dans l amour. Avoir une idée brillante est ce qui rend un tra vail inté res sant : asso cier des idées, pla ni fier et trou ver des solu tions ori gi na les. Con vaincu que l ave nir est pro met teur, sou haite une car rière pas sion nante. Au mieux, son atti tude opti miste trans met son enthou siasme aux autres. En tant que tac ti que, la recher che du plai sir est un moyen d échap per à l ennui et à la bana lité. 26 L Ennéagramme au travail et en amour

23 ORIEN TA TIONS Recher che cons tam ment la sti mu la tion. A tou jours des cho ses nou vel les et inté res san tes à faire. Veut demeu rer dans les hauteurs intel lec tuel les. Évite l ennui et le quo ti dien. A tou jours plu sieurs choix à sa dis po si tion. Évite de s enga ger dans une seule voie. A peur des limi tes. Sub sti tue aux sen ti ments pro fonds ou péni bles des solutions plaisan tes. Se réfu gie dans les plai sirs de l esprit en dis cu tant, en pla ni fiant, en intel lec tua li sant. Son charme est sa pre mière ligne de défense. Craint ceux qui s adon nent trop faci le ment à des rap ports ami caux. Évite les con flits en lou voyant. Acquiesce aux dires d autrui pour se tirer d affaire. Son atten tion relie entre elles et sys té ma tise les infor ma tions, ce qui per met des choix et offre des échap pa toi res au moment de s enga ger. Cette façon de faire peut mener à : échap per à un enga ge ment dif fi cile ou limi ta tif, ou : déve lop per une apti tude à éta blir des rela tions, à faire des paral lè les et des ajus te ments inha bi tuels ; cul ti ver un don pour les syn thè ses non linéai res. Huit Le Chef Exprime son amour sous forme de pro tec tion et d auto rité. La raison du plus fort est la meilleure. Force les con tacts. La colère ne lui fait pas peur. Prend la défense de ses sem bla bles. Au tra vail, il est le défen seur du groupe. Atti rés par les situa tions d auto rité et de con trôle, les Huit éta blis sent les règles dans leur vie amou reuse et pro fes sion nelle. Au mieux, cette atti tude de prise en charge pro duit des diri geants uti li sant leurs pou voirs à bon escient. Par ailleurs, ils con si dè rent qu une bonne atta que est la meilleure des défen ses. ORIEN TA TIONS Con trôle ce qui lui appar tient ainsi que son milieu per son nel. Est con cerné par la jus tice et le pou voir. Évite les témoi gna ges de fai blesse. Atti tu des exces si ves. En fait trop, trop sou vent et man que de discré tion. Résumé des neuf types 27

24 Doit se fixer des limi tes pour maî tri ser ses impul sions. A du mal à recon naî tre les besoins des siens et à per ce voir des émo tions sub ti les. A des pro blè mes avec les limi tes : doit appren dre la dif fé rence entre la légi time défense et l agres sion. Tend à igno rer les points de vue dif fé rents, ne s atta chant qu à «sa vérité». Con fond la vérité objec tive avec une opi nion sub jective ser vant ses inté rêts. Adopte un style de «tout ou rien» qui le pousse à ne con si dérer que les situa tions extrê mes. Les gens lui parais sent jus tes ou injus tes, bat tants ou per dants, sans nuance. Ce genre d atti tude peut mener à : nier incons ciemment ses fai bles ses per son nel les ou à : met tre au ser vice d autrui ses meilleu res res sour ces. Neuf Le Média teur S iden ti fie à ceux qu il aime, sans res tric tion. Il adopte leurs points de vue. S obs tine plu tôt que de se met tre en colère. S abstient de pren dre posi tion. «Je ne dis pas non, mais je ne suis pas sûr d être d accord avec vous.» Les Neuf peu vent approu ver les dif fé rents points de vue dans une même dis cus sion, même si le leur est con tra rié. «Oui» signi fie «Oui, votre opi nion me fait réflé chir». «Peut-être» pour rait signi fier «Non». Au mieux, l habi tude de s iden ti fier aux autres peut lui faire appor ter une aide véri ta ble. En tant que mesure de pro tec tion, le fait d approu ver plu sieurs points de vue dif fé rents lui évite d en adop ter un en par ti cu lier. ORIEN TA TIONS Les besoins secon dai res se sub sti tuent aux prio ri tés. Se con forte dans des plai sirs non essen tiels. Évite les con flits. Ses déci sions per son nel les sont ambi va len tes. «Suis-je ou non d accord?» Con si dère tous les aspects d un pro blème. Ses décisions sont faci les à pren dre quand elles n ont pas une impli ca tion per son nelle directe comme, par exem ple, des opi nions poli ti ques. Remet à plus tard tout chan ge ment en pré sen tant des solu tions con nues. Agit par habi tude. Suit un rituel. Il y a tout le temps voulu. Cela peut atten dre à demain. 28 L Ennéagramme au travail et en amour

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