ATELIER REGIONAL SUR LA REDUCTION DU SOUFRE DANS LE CARBURANT. HÖTEL Belle Côte, Abidjan-Côte d Ivoire du 18 au 19 mai 2015
|
|
- Marie-Laure Marier
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 ATELIER REGIONAL SUR LA REDUCTION DU SOUFRE DANS LE CARBURANT HÖTEL Belle Côte, Abidjan-Côte d Ivoire du 18 au 19 mai 2015
2 INTRODUCTION L atelier régional sur la réduction du soufre dans le carburant, organisé par le Ministère de l Environnement, de la Salubrité Publique et du Développement durable(minesudd) de la Côte-d Ivoire, en Collaboration avec le Programme des Nations Unies pour l Environnement (), la Coalition pour le Climat et l Air Pur () et la, s est tenu à l HÖTEL Belle Côte d Abidjan du 18 au 19 mai L atelier a enregistré la participation d une cinquantaine de personne représentant le, la Coalition pour le Climat et l Air Pur, la, l Association Africaine des Raffineurs (ARA), le MINESUDD, le Ministère de l Industrie et des Mines, le Ministère de la Santé et de Lutte Contre le SIDA, la Société Ivoirienne de Raffinage (SIR) et les représentant des Etats suivants : Guinée Bissau, Ghana, Nigeria, Liberia, Burkina Faso, Sénégal, Guinée, Niger, Togo, Bénin, Mali, Sierra Léone et Sénégal. La liste complète des participants est jointe en annexe du présent rapport. 1. CEREMONIE D OUVERTURE Cette cérémonie d ouverture a enregistré quatre allocutions présentées ci-après Allocutions La cérémonie d ouverture était présidée par Madame KABA Nasséré, Directeur de Cabinet, représentant Monsieur le Ministre de l Environnement, de la Salubrité Urbaine et du Développement Durable (MINESUDD), le Docteur Rémi ALLAH-KOUADIO. La Représentante régionale du, Madame Angèle LUH, a été aussi conviée à cette cérémonie. La cérémonie a été marquée par les interventions de Dr ETIEN N Dah, Directeur de la Qualité de l Environnement et de la Prévention des Risques, chargé de la mise en œuvre de l Initiative Mondiale Pour Les Economies de Carburant et l utilisation de Véhicules Propres et Efficaces, de Madame Jane AKUMU du, Monsieur Bernard KOFFI, représentant de la et de Mme la représentante du MINESUDD. Dr ETIEN N Dah, Directeur de la Qualité de l Environnement et de la Prévention des Risques, a remercié les participants pour avoir répondu présent à l invitation du Ministre de l Environnement, de la Salubrité Publique et du Développement durable de la Côte-d Ivoire. Il a énoncé les objectifs de l atelier qui sont, d établir un plan opérationnel afin de contribuer à la réduction du soufre dans le carburant, et plus spécifiquement, i)nde réduire concentration du soufre à 50 ppm dans le carburant d ici 2016, en dotant les sociétés de raffinage 2
3 des pays de la de moyens techniques, financiers et humains appropriés, ii) d identifier les activités à mettre en œuvre par les pays pour obtenir un carburant propre à la pompe, et enfin, iii) d élaborer une stratégie de sensibilisation à l aide d outils de communication appropriés, en vue de l implication de toutes les parties prenantes dans le processus. Il a enfin énoncé l agenda de l atelier qui comporte deux phases, à savoir, une phase de présentation de communication et de débats et une phase de travaux en groupes. Madame Jane AKUMU, quant à elle, exprimé la gratitude du à l égard du MINESUDD pour l excellente collaboration qui lie les deux parties. Ensuite, elle a mis en évidence les facteurs de pollution de l air dans les villes africaines en mettant l accent sur l importation de véhicules d occasion, les risques sanitaires liées aux émissions de polluants dus aux véhicules, notamment les PM 2.5, avant de donner les avantages de la réduction du soufre dans le carburant. Par ailleurs, dans le cadre de l appui de son institution aux pays de la région, pour l amélioration de la qualité de l air, elle a noté que le conduit actuellement deux (02) programmes que sont le Partenariat pour les véhicules propres et la Coalition pour l air pur, assortis de deux (02) grandes stratégies portant sur la réduction du soufre dans le carburant produit par les pays membres et l importation de carburant à faibles teneur en soufre. En ce qui concerne les hydrocarbures commercialisés dans la région, elle a invité les Etats membres de la à se doter de normes qui mettent l accent sur la teneur en soufre au niveau national pour protéger la santé et l environnement. Elle a indiqué que, dans les Etats membres, la mise en place de ces normes doit se faire concomitamment avec la promotion de véhicules munis de nouvelles technologies et peu énergétivores. Monsieur Bernard KOFFI, représentant de la, a présenté une motion de remerciement à l attention du Ministère en charge de l Environnement de Côte d Ivoire et au pour leur attachement aux activités conduites par la Commission de la. Il a ensuite situé le contexte dans lequel la Commission de la s est penchée sur la question de la réduction du soufre dans le carburant. Il a exhorté les Etats de la à aller maintenant résolument vers la réduction du soufre dans le carburant. C est pourquoi, il a souhaité que le présent l atelier élabore une stratégie et un plan d action assorti d une feuille de route pour l atteinte des objectifs visés. Il a annoncé l idée d un projet régional avec l appui de GEF VI et souligné que ce projet contient deux volets, à savoir, i) l appui aux Etats membre de la, et, ii) l appui à la coordination. Il a, pour terminer son allocution, invité les Etats membres a adhéré au projet. 3
4 Le discours d ouverture de l atelier a été prononcé par Madame KABA, Directeur de Cabinet du Ministère de l Environnement, de la Salubrité Publique et du Développement durable de la Côte-d Ivoire. Cette dernière a, dans son allocution, remercié les participants pour avoir répondu présents à l atelier, et a attiré leur attention sur l impact du soufre dans le carburant sur la santé et l environnement. En outre, elle a émis le vœu de voir les Etats de la adoptés des normes pour les hydrocarbures qui pourraient porter sur des valeurs de soufre équivalentes à 50 ppm pour le gazole et de 150 ppm pour l essence. Elle a, par la suite, exhorté les participants, d une part, à mettre en place un programme opérationnel assorti d un chronogramme, et d autre part, à identifier les outils de communication pour le plaidoyer afin de réduire le soufre dans le carburant dans les pays de la. Elle a, pour terminer, souhaité des échanges enrichissants, avant de déclarer ouvert l atelier régional sur la réduction du soufre dans le carburant Mise en place du Bureau de l atelier Après la cérémonie d ouverture, un bureau devant conduire les travaux de l atelier à été mis en place. Ledit bureau est composé comme suit : Président : Monsieur Yao KOFFI Patrice, Conseiller Technique du Directeur Général Adjoint la Société Ivoirienne de Raffinage (SIR) ; Rapporteurs : o 1 er rapporteur : Monsieur Wabi MARCOS ; o 2 ème Rapporteur : Monsieur KOUAME K. Jean-Claude. 2. TRAVAUX EN PLENIERE Le président de l atelier a soumis à l appréciation des participants l ordre du jour qui a été adopté à l unanimité. A la suite de cette adoption, le Président de l atelier a souligné que deux communications suivies de débats seront présentées dans la matinée et trois autres dans l après-midi. Après cette présentation de l agenda de la première journée, Madame Jane AKUMU a été invitée à présenter sa communication intitulée : Tendance de la réduction du soufre dans le carburant au niveau international Dans sa présentation, une image mettant en évidence des véhicules en circulation émettant des fumées noires, a fait l objet de commentaire sur les conséquences liées à l utilisation d un carburant à forte teneur en soufre et à la mise en circulation des vieux véhicules énergétivores. Elle a attiré l attention sur le fait que cet état de chose est inquiétant pour la santé des populations et l environnement. Elle a aussi mis l accent sur le fait que l émission des petites particules dans l air est la cause de 7 millions de décès d après les études de l OMS. Elle a estimé que pour y remédier, il est nécessaire d adopter du carburant propre. Elle a cité les conséquences de ce type de pollution qui sont, 4
5 entre autres, les cancers des poumons, l asthme et les maladies respiratoires. Elle aussi souligné que quelques villes africaines ont les mêmes niveaux de PM 10 que la ville de Beijing en Chine. C est pourquoi, a-t-elle affirmé que la réduction du soufre nécessite l adoption de nouvelles technologies, ce qui est le cas des véhicules des années 2010 dotés de technologie propre. Toutefois, l utilisation de carburant de mauvaise qualité réduit la durée de vie de ces véhicules et contribue à la pollution atmosphérique. L accent a été mis sur les efforts fait en Europe relativement au programme 2000 à 2020 qui a permis de faire varier la norme de 0,0035% à 0,001%. C est pourquoi le a proposé la norme pour l Afrique à 50ppm. Le vœu a été émis d aller plus loin dans ce processus. De plus, l on retient que les pays de l Amérique Latine, les normes varient de 15 ppm à 50 ppm. Les différents progrès enregistrés en Afrique, et qui se résument à quelques pays tels que l Afrique du Sud et le Kenya ayant une norme égale à 500 ppm. L Afrique du Sud a adopté une norme de 10 ppm grâce à la pression des lobbies du secteur automobile. Il ressort de la présentation que pour le moment, aucun pays africain n a adopté une norme de 50 ppm. Elle a souligné que les normes en Afrique, d une manière générale, varient de 2000 à 5000 ppm. L attention des participants a été attirée sur le fait qu il n y a pas eu de progrès à ce niveau en Afrique de l Ouest. Toutefois, le Nigéria est en train de prendre des dispositions pour revoir ces normes. En Afrique de l Ouest, le Nigéria, la Côte d Ivoire et le Sénégal sont les pôles importants pour aller vers les carburants propres. De plus, huit (08) des 54 pays africains fournissent les efforts pour l avènement du carburant propre. Elle a encouragé les autres pays à emboîté le pas. Elle a salué les progrès réalisé par la plupart des pays africains dans l élimination du plomb dans l essence et émis le vœu que les pays africains se dotent des textes fixant les normes d émission. Les avantages liés à l adoption du carburant propre, au regard du coût d investissement et des bénéfices pour la santé ont été aussi présenté. Pour terminer sa présentation, elle a invité la à harmoniser les normes en matière d hydrocarbures et souligné que l utilisation de carburant propre doit être combinée avec des véhicules dotés de nouvelles technologies. A la suite de cette présentation, plusieurs questions d éclaircissement ont été posées. Il s agit des questions relatives aux éléments ci-dessous : La stratégie à adopter pour lutter contre ce type de pollution ; Les statistiques émanant des différents pays sur les avantages du coût et efficacité ; Les chiffres concernant les profits et les coûts ; La problématique des carburants de mauvaise qualité importés des pays européens. 5
6 A toutes ces questions, la communicatrice a donné les réponses suivantes : La nécessité de se doter de normes claires dans le domaine des hydrocarbures est la solution pour empêcher les négociants européens de venir déverser en Afrique du carburant de mauvaise qualité ; elle a souligné que sur le marché, des carburants ayant un taux de soufre de 10% sont parfois disponibles. Elle pour ce faire, encouragé les pays à mettre en place les normes pour renforcer ces initiatives ; L accent a été mis sur les activités de sensibilisation réalisées en présence des décideurs africains dont plusieurs Ministres. Elle a affirmé que ces décideurs ont donné leur accord pour cette initiative et qu il est temps de mettre sur le marché des carburants n ayant pas d incidences négatives sur la santé. Elle a encore une fois attiré l attention des participants sur le taux de décès dû au taux élevé du soufre dans le carburant ; La capacité locale à surveiller l importation des carburants. La deuxième communication de la matinée a traité de l Evolution de la qualité du carburant au niveau de la Région : Cas de la Côte d Ivoire Monsieur Patrice Yao KOFFI de la Société Ivoirienne de Raffinage présentant l évolution de la qualité du carburant ivoirien a relevé que les spécifications des produits pétroliers en Côte d Ivoire étaient définies par le décret N du 22 mars Ainsi, les spécifications en vigueur en Côte d Ivoire ont des teneurs en soufre pour le gasoil moteur et l essence sans plomb respectivement de ppm (AFRI-2) et de 150 ppm (AFRI-3). Il a aussi mis l accent sur les impacts négatifs du benzène dans le carburant sur la santé. Il a affirmé que le taux actuellement est de 5 ppm et souhaité que cette norme évolue à 1 ppm pour l année Afin de parvenir à des carburants propres aux spécifications AFRI-4 et AFRI-5 qui permettraient de réduire le soufre dans le gasoil à 50 ppm, d abaisser la densité du gasoil et de réduire le benzène contenus dans l essence, la SIR envisage la mise en œuvre d unité d hydrodésulfuration pour réduire la teneur en soufre et d une unité d extraction de benzène. L atteinte de ces objectifs est assujettie à un investissement de 250 milliards de Francs CFA.pour la production de carburants propres respectant les spécifications AFRI-4 et AFRI- 5. Il a affirmé que pour réunir ses moyens, deux types de stratégies ont été mis en place. Il s agit de : l investissement Santé Publique (ISP) à raison de 20 F/l de carburant ; La constitution d une cagnotte sur le poste ISP à raison de 33F/L sur 5ans (durée du projet). Il a été enfin affirmé que ce fond pourra être utilisé au fur et à mesure de l évolution du projet. 6
7 Les questions soulevées après cette communication ont porté sur les points suivants : Quel acteur assure le financement du coût Post Investissement Santé Publique? Est-il possible que les pays africains évoluent au même rythme? ; L importance de l étude de faisabilité afin de mieux cerner le coût des investissements a été aussi évoqué ; La question des efforts déployés depuis 2009 par les acteurs a été soulevée. A toutes ces questions de compréhension, le communicateur a apporté les réponses suivantes : La question relative au coût d investissement sera élucidée avec le gouvernement ivoirien ; Pour ce qui est du chronogramme de mis en œuvre et les efforts déployés depuis 2009, l Association des Raffineurs Africains n a pas évolué sur le sujet ; Pour le financement, ce sont les raffineries qui «déboursent» les moyens nécessaires à la modernisation de leur unité de production. Toutefois, pour ce qui est de l Afrique, la plupart des raffineries sont subventionnées ; L évolution en matière d adoption des normes pour les carburants propres n est pas uniforme. On note en Afrique du Sud la pression des fabricants et en Afrique de l Est, la pression des miniers. Toute chose qui favorise l adoption de nouvelles normes dans ces régions ; L étude de faisabilité a été réalisée. C est ce qui a permis de faire ressortir le coût d investissement, mais l'on pourrait faire mieux. Le communicateur à aussi noté que les discussions avec le Gouvernement n ont pas été approfondies. L Afrique de l Ouest est en retard dans la mise en œuvre de sa stratégie. Il est donc nécessaire de prendre les dispositions pour rattraper le retard. La troisième communication s est aussi penchée sur l Evolution de la qualité du carburant au niveau de la Région : Cas du Bénin. Cette communication a été présentée par Monsieur Wabi MARCOS. Il a présenté l évolution de l importation des véhicules et l amélioration de la qualité des carburants. Au cours de cette présentation, l accent a été mis sur les points suivants : Les textes existants dans les domaines ; Les progrès réalisés et les difficultés ; L accent a été beaucoup mis sur l importance de la sensibilisation. Il a été fait mention du progrès réalisé dans le cadre de l élimination du plomb dans l essence. La nécessité de coordonner les efforts a été aussi mise en exergue. En 7
8 ce qui est de la réduction du soufre dans le diesel, le Bénin se trouve à l étape de la Norme AFRI II. La nécessité d informer le Gouvernement béninois des évolutions en cours sur le sujet s impose. Il s avère donc nécessaire de mettre la pression sur les différents acteurs afin de faire évoluer la situation. Plusieurs questions d éclaircissement ont été posées à la fin de la présentation. Il s agit des points suivants : L explication relative à la mise en place des nouvelles technologies dans les véhicules ; L utilisation des méthodes vertes pour enrayer la pollution atmosphérique ; L adoption des normes AFRI 4 ou 5 ; La structure s occupant du renforcement des capacités des mécaniciens ; La sensibilisation des décideurs ; La sensibilisation des garagistes. A toutes ces questions, le communicateur a apporté des réponses y afférentes. La quatrième Communication a été présentée par le Nigéria autour du thème de l Evolution de la qualité du carburant au niveau de la Région : Cas du Nigéria. Le communicateur dans sa présentation a mis l accent sur les points suivants : L existence de deux types de pollution atmosphérique : particules venant du Sahara et la pollution provenant de l utilisation des hydrocarbures ; Les facteurs qui sont à la base de ce fléau : o La non application des textes ; o Les groupes électrogènes utilisés pour suppléer à l insuffisance de l électricité ; o La pollution provenant des industries. Il a mis un accent sur les efforts qui sont en train d être déployés par le Nigéria pour lutter contre ce fléau. Il s agit de : la surveillance de la qualité de l air (1988, 1990 et 1994) ; des efforts pour aboutir à un taux de 1000 ppm de soufre dans le diesel ; la dotation de l Agence Nigériane de Protection de l Environnement de 05 stations de surveillance continue de la qualité de l air ; la mise en place de la commission de mise en œuvre de la stratégie de surveillance continue de la qualité de l air ; Il a, pour terminer, mis l accent sur les points suivants : l importance de la coopération internationale ; L introduction d un trafic intelligent. 8
9 Certaines questions ont été posées au communicateur. Il s agit, entre autres, de : La norme de 0,133% pour le soufre dans le diesel présentée par le communicateur ; Les efforts pour ce qui est du contrôle des émissions par les véhicules. Le communicateur a donné des explications claires à toutes les questions. La cinquième communication est intitulée Normes d émission de véhicules, cas du Ghana. Cette présentation a été faite par Monsieur APPOH Emmanuel de l Agence de Protection de l environnement du Ghana. Le conférencier a passé en revue les principales sources de pollution de l air au Ghana. A cet effet, il a précisé que le secteur du transport impacte fortement la qualité de l air dans les grandes agglomérations, du fait du nombre important de véhicules automobiles d occasion. (plus de 85% des importations en 2009). Les fortes pollutions dans les grandes villes ont alors suscité la mise en place d actions de suivi de la qualité de l air, par la mise à disposition de seize (16) capteurs dans les villes d Accra et de Tema. Les données recueillies, notamment pour le soufre, sont fortement supérieures aux normes OMS (50 µg/l) et aux normes nationales éditées par l EPA (70 µg/l). Pour lutter contre cette pollution, de nombreuses actions ont été entreprises. Ce sont, notamment, l adoption de spécifications nationales de carburant, la restriction de l âge de véhicules importés, l intégration des préoccupations environnementales au stade de conception des projets et la mise en œuvre du système de transport en commun dont l exemple le plus poignant est celui du transport rapide par bus (BRT). Dans le cas de l implémentation du BRT, l état Ghanéen a bénéficié de l appui financier de la Banque Mondiale, de l Agence Française de Développement (AFD) et du Fonds pour l'environnement Mondial (FEM) pour la réalisation de cette initiative. Le conférencier a donné les perspectives portant, entre autres, sur la réduction du taux de soufre dans le carburant produit par la raffinerie de Tema et l imposition de spécifications plus strictes aux carburants importés. Il a terminé sa présentation en mettant l accent sur les véhicules propres et les impacts sur la santé. A la fin de cette présentation, quelques questions d éclaircissement ont été posées, notamment la norme par rapport aux particules qui sont 70 µg/m 3 alors cette norme est fixé à 50µg/m 3. Des explications ont été apportées par le Conférencier pour justifier cette différence. 9
10 Les activités du premier jour ont pris fin après cette présentation. Le second jour, les séminaristes se sont scindés en deux groupes de travail. Les groupes ont été tous soumis à un même sujet de réflexion qui est la Stratégie de réduction du soufre dans le carburant en Afrique de l Ouest. La Commission I a regroupé les pays possédant une raffinerie. Les thermes de référence pour ce groupe sont les suivants : Situation actuelle du raffinage dans les pays d Afrique de l ouest ; Réglementations nationales et normes sur les niveaux de soufre dans le carburant ; Financement nécessaire pour arriver à un carburant propre ; Stratégie de communication ; Développement de partenariats pour le plaidoyer. La Commission II a regroupé les pays importateurs de pétrole. Les thermes de référence pour ce groupe sont les suivants : Situation de l importation du gasoil et de l essence et demande régionale de carburants propres ; Accords régionaux pour l amélioration de la qualité du carburant ; Coûts et bénéfices des carburants à faible teneur en soufre (investissements nécessaires, coûts par litre pour l essence et le gasoil). Les deux commissions ont présenté en plénière les résultats de leurs travaux. Ces deux présentations ont été suivies de débats après lesquels les différents rapports ont été adoptés. Ces deux rapports sont annexés au présent rapport général. A la suite de ces travaux, les recommandations de l atelier ont été adoptées et ont porté, pour l essentiel, sur les éléments ci-dessous : 1. Affirmation d une volonté politique au niveau des Etats de la possédant des raffineries pour la réalisation des investissements de réduction du soufre dans le carburant ; 2. Harmonisation des normes et spécifications des produits pétroliers ainsi que des règlementations relatives à la qualité de l air dans l espace et les faire adopter par les chefs d Etat ; 3. Mise en place d un organisme régional de normalisation et de contrôle de la qualité des produits pétroliers à l instar des pays de l Afrique de l Est et de la zone de l Afrique du Sud ; 4. Généralisationdes actions de surveillance continue de la qualité de l air et de contrôle des émissions des véhicules en circulation ; 5. Mise en place d un comité de suivi des recommandations de cet atelier. Fait à Abidjan le 08 juin
11 ANNEXE 1 : TRAVAUX DE LA COMMISSION 1 (PAYS POSSEDANT DES RAFFINERIES) Président : YAO K. Patrice Secrétaire 1 : ABOYA Narcisse Secrétaire 2 : SECK Louis Points de réflexion Situation actuelle du raffinage dans les pays de la Réglementations et normes du soufre dans le carburant Financement des investissements pour fabriquer du carburant propre Elaboration une stratégie de communication pour sensibiliser à la réalisation des unités pour la fabrication de carburant propre Développement de partenariat pour le plaidoyer auprès des autorités Comité de suivi et chronogramme I -SITUATION ACTUELLE DU RAFFINAGE DANS LES PAYS DE LA Situation du Nigeria : - 4 Raffineries ne fonctionnant pas à pleine capacité. - La production de l ensemble des raffineries ne couvre pas la demande nationale. - Pour combler le déficit, le pays importe des produits finis pour satisfaire le besoin national (70% environ). - Projet de construction d une raffinerie privée (DANGOTE) opérationnelle en Projection possible de la privatisation des 4 raffineries étatiques. Ghana : - Le Ghana dispose d une raffinerie qui ne couvre pas les besoins actuels. Près de 85% de la demande est importée. Niger : - Depuis 2011, le pays dispose d une raffinerie (SORAZ) dont la production permet de couvrir le marché national. Une partie de la production est exportée vers le Burkina-Faso et le Mali. 11
12 Sénégal : - Le Sénégal possède une seule raffinerie dont la matière première provient du Nigéria et de l Angola. - La capacité de production n arrive pas à satisfaire la consommation nationale et les besoins de la partie occidentale du Mali. Le pays a recours à des importations pour combler le déficit. - Un projet d augmentation des capacités et de mise en place de technologie de désulfuration est envisagé. - Du pétrole brut a été découvert au large du Sénégal. Ce qui pourrait entrainer la construction d une nouvelle raffinerie qui pourrait produire du carburant moins soufré. Côte d Ivoire : - La raffinerie a été construite en L extension 1983 a porté la capacité à environ 4 millions de tonnes de pétrole brut par an. - Le pétrole Brut est importé du Nigeria. - 40% du pétrole raffiné est consommé en Côte d Ivoire et 60% exporté vers le Burkina, le Mali et d autres pays de la côte ouest africaine par des traders. II -REGLEMENTAITONS ET NORMES DU SOUFRE DANS LE CARBURANT Côte d Ivoire - Les spécifications : évolution des spécifications en 2013 : baisse de 5000 ppm de soufre à 3500 ppm pour le gasoil ; 150 ppm de soufre pour l essence. Pas de plan actuel de modification des spécifications. L objectif est de se conformer aux spécifications de l ARA (AFR4 EN 2020). - Réglementation : le Ministère du Pétrole et de l Energie et la SIR définissent les modifications des spécifications et les soumettent aux autres ministères concernés (Environnement, Transport, Santé, Economie). Un décret est pris pour officialiser ces modifications. 12
13 Ghana : - Spécifications actuelles: 1000 ppm de soufre pour l essence, 3000 pour le diesel. - Projet de modification à coordonner en fonction des futures spécifications du Nigéria (importations groupées) - Réglementation : Autorité nationale de normalisation du pétrole avec le ministère de l environnement. Nigeria : - Spécifications actuelles : 1000 ppm de soufre pour l essence, 3000 pour le diesel - Réglementation : La direction du pétrole fait la surveillance pour que la qualité du pétrole respecte les normes officielles. Niger - Pas d informations disponibles (à rechercher). III -FINANCEMENT DES PROJETS Côte d Ivoire - Projet de construction d une unité de désulfuration du gazole de 200 tonnes/heure afin de produire du gasoil à 50 ppm de soufre dans le gasoil. - Investissement de 500 millions de dollars (250 milliards de FCFA). - Difficultés à trouver des financements Ghana - Pas de projet pour améliorer la teneur en soufre dans le diesel. - Le Ghana importe du brut léger peu soufré. Mais cela ne permet pas d atteindre les spécifications AFRI 4 (50ppm dans le gasoil). - Avec la découverte du pétrole brut au large du Ghana, le pays entrevoit la construction d une nouvelle raffinerie. 13
14 Niger : - SORAZ Société de Raffinage de Zinder : Pas de projet Nigeria : - Pas de projet immédiat dans le sens de la réduction du soufre. - La nouvelle raffinerie DANGOTE tiendra compte des nouvelles spécifications. Sénégal - Avec la découverte du brut, le pays entrevoit la construction d une nouvelle raffinerie IV - BATIR UNE STRATEGIE DE COMMUNICATION POUR SENSIBILISATION A LA REALISATION DES UNITES POUR LA FABRICATION DE CARBURANT PROPRE Deux axes de communication Au niveau des États: - Rendre compte des travaux de l atelier aux ministères de tutelle (chaque participant) ; - Faire le point sur les projets d investissement pour la réduction du soufre dans chaque raffinerie ; - Organiser un séminaire de sensibilisation avec les parties prenantes (Ministères de la Santé, de l Energie, de l Environnement et du Transport) sur l impact sanitaire et environnemental du soufre dans le carburant ; - Mettre en place un comité Interministériel pour rédiger un document technique présentant les coûts-bénéfices de la réduction du soufre dans le carburant ; - Organiser une rencontre au niveau des pays possédant des raffineries pour harmoniser les documents techniques, en collaboration avec la ) ; 14
15 - Soumettre le document technique au Conseil des Ministres de chaque pays pour décision sur l évolution des spécifications et le mode de financement des projets. Au niveau régional - La doit mener des actions en vue d harmoniser les spécifications des produits pétroliers dans l espace régional. - A cet effet, la devra coopérer avec des organismes spécifiques comme l ARA, le et d autres organismes internationaux afin d adresser cette problématique. - Organisation sous l égide de la d une rencontre régionale à l effet de produire un document technique de stratégie commune. - Création d un organisme sous régional de gestion des modifications des spécifications à l image de l Afrique de l Est et de l Afrique du Sud. VI -COMITE DE SUIVI ET CHRONOGRAMME Un comité de suivi des actions issues de l atelier devra être mis en place. Un chronogramme sera élaboré en vue d une mise en œuvre efficace des actions. 15
16 VII- RECOMMANDATIONS DE L ATELIER A l issue de la séance plénière, pour la présentation des conclusions des deux commissions, les recommandations suivantes ont été formulées et présentées au Représentant du Ministre de l Environnement et de la Salubrité Publique. 1. Affirmation d une volonté politique au niveau des Etats de la possédant des raffineries pour la réalisation des investissements de réduction du soufre dans le carburant ; 2. Harmonisation des normes et spécifications des produits pétroliers ainsi que des règlementations relatives à la qualité de l air dans l espace pour les faire adopter par les chefs d Etat ; 3. Mise en place d un organisme régional de normalisation et de contrôle de la qualité des produits pétroliers à l instar des pays de l Afrique de l Est et de la zone de l Afrique du Sud ; 4. Généralisation des actions de surveillance continue de la qualité de l air et de contrôle des émissions des véhicules en circulation ; 5. Mise en place d un comité de suivi des recommandations de cet atelier. Abidjan, le 02 juin
17 ANNEXE 2 : TRAVAUX DE LA COMMISSION 2 (ETAT DE LA IMPORTATEURS DE PETROLE / STATE OF ECOWAS OIL IMPORTERS) President: SOME ANSELM / Burkina Faso Rapporteurs: GABA AKOUAVI MANA / Togo ASSEMIAN KAREN/ Cote d Ivoire Membres: MARCOS WABI /Benin ANKU ESTHER / Ghana APPOH EMMANUEL/ Ghana YAPO OSSEY BERNARD/Cote d Ivoire KOUASSI ABIE JEAN BAPTISTE/ Cote d Ivoire BLAMA NATHANAEL/ Liberia OUSMAN SOWE/ Gambie DIOP RAMATOULAYE/ Senegal LOUKOU JULES/ Cote d Ivoire THEMES DE DISCUSSION Situation de l importation du gasoil et de l essence et demande regionale de carburants propres /Location of the import of diesel and gasoline and regional demand for cleaner fuels; Accord régionaux pour l amélioration de la qualité du carburant/ Regional Agreement for the improvement of fuel quality. Couts et benefice des carburants à faible teneur en soufre( investissements nécessaires, couts par litre pour l essence et le gasoil) / Costs and benefits of low-sulfur fuels ( necessaryinvestments, costs per liter for petrol and diesel) 17
18 RESULTATS 1) Situation de l importation du gasoil et de l essence et demande regionale de carburants propres /Location of the import of diesel and gasoline and regionaldemand for cleaner fuels. En Afrique la norme à respecter est de 50 ppm, seuls 08 pays ont fourni de réels efforts Aucun pays de la n a pu fournir d effort pour atteindre le carburant propre ; En recommandation : - Avoir une capacité de contrôle et avoir une règlementation contraignante ; - Garantir la protection du carburant en sécurisant son transport ; - Lutter contre l importation clandestine frauduleuse du carburant ; - Editer et veiller à l application des règlements intégrant le carburant proprequi garantissent la qualité du carburant d ici 2020 pendant l importation ; - Développer un plan d investissement pour renforcer les moyens d importations afin de satisfaire la norme du carburant propre. 2) Accords régionaux pour l amélioration de la qualité du carburant/ Regional Agreement for the improvement of fuel quality. Que la arrive à adopter le carburant propre. En recommandation : - Faire respecter les règlements contre la fourniture, la vente et l utilisation de carburant ne répondant pas aux normes du carburant propre ; - Réduire les taxes à l exportation ; - Faciliter l harmonisation sous régionale des normes de qualité du carburant et les règlementations relatives à la qualité de l air ; - Demander à la d accompagner les pays membres dans la mise en œuvre d un programme de surveillance continu de la qualité de l air; - Harmoniser la réglementation des pays de la sur les normes d importation et de commercialisation des hydrocarbures ainsi que celle relative au suivi des véhicules en circulation au niveau de la ; 18
19 3) Coûts et bénéfices des carburants à faible teneur en soufre ( investissements nécessaires, coûts par litre pour l essence et le gasoil) / Costs and benefits of low-sulfur fuels ( necessary investments, costs per liter for petrol and diesel) - Faire des études sur la santé de la population par rapport à la qualité en ressortant l impact financier et les bénéfices pour la santé ; - Evaluer l impact des émissions sur la santé au niveau national ; - Faire une étude sur l analyse cout bénéfices du projet réduction du soufre dans le carburant et les effets ou les impacts sur la santé de la population et sur l environnement; - Evaluer l impact de la réduction du soufre dans le carburant sur la longévité des véhicules, sur les bâtiments et les monuments, sur les sols, sur la production végétale et animale ; - Renforcer les capacités de tous les acteurs concernés dans l importation de carburants propres ; - Sensibiliser les acteurs concernés dans l importation de carburants propres. - Mettre en place un comité de suivi 19
20 MATRICE SYNTHETIQUE DES ACTIVITES DE LA COMMISSION 2 COMPOSANTES ACTIVITES RESPONSABLES ACTEURS OU PARTENAIRES 1) Situation de 1.1. Avoir une l importation du capacité de gasoil et de l essence contrôle et avoir et demande régionale une de carburants propres règlementation /Location of the contraignante import of diesel and 1.2. Garantir la gasoline and protection du regionaldemand for carburant en cleaner fuels. sécurisant son 2) Accords régionaux pour l amélioration de la ualité du carburant/ transport 1.3. Lutter contre l importation clandestine frauduleuse du carburant 1.4. Editer et veiller à l application des règlements intégrant le carburant propre qui garantissent la qualité du carburant d ici 2020 pendant l importation 1.5. Développer un plan d investissement pour renforcer les moyens d importations afin de satisfaire les normes du carburant propre Harmoniser les normes d importation pour le carburant TACHES 20
21 Regional Agreement for the improvement of fuel quality. au plan sous régional ; 2.2. Faire respecter les règlements contre la fourniture, la vente et l utilisation de carburant ne répondant pas aux normes du carburant propre ; 2.3. Réduire les taxes à l exportation ; 2.4. Faciliter l harmonisation sous régionale des normes de qualité du carburant et les règlementations relatives à la qualité de l air ; 2.5. Demander à la d accompagner les pays membres dans la mise en œuvre d un programme de surveillance continu de la qualité de l air; 2.6. Harmoniser la réglementation de la sur les normes d importation et de commercialisation des hydrocarbures 21
22 3) Couts et bénéfices des carburants à faible teneur en soufre (investissements nécessaires, couts par litre pour l essence et le gasoil) / Costs and benefits of low-sulfur fuels ( necessaryinvestments, costs per liter for petrol and diesel) ainsi que celle relative au suivi des véhicules en circulation au niveau de la ; 3.1. Faire des études sur la santé de la population par rapport à la qualité en ressortant l impact financier et les bénéfices pour la santé ; 3.2. Evaluer l impact des émissions sur la santé au niveau national ; 3.3. Faire une étude sur l analyse cout bénéfices du projet réduction du soufre dans le carburant et les effets ou les impacts sur la santé de la population et sur l environnement; 3.4. Evaluer l impact de la réduction du soufre dans le carburant sur la longévité des véhicules, sur les bâtiments et les monuments, sur les sols, sur la production 22
23 végétale et animale ; 3.5. Renforcer les capacités de tous les acteurs concernés dans l importation de carburants propres ; 3.6. Sensibiliser les acteurs concernés dans l importation de carburants propres. 23
ATELIER REGIONAL SUR LA REDUCTION DU SOUFRE DANS LE CARBURANT --------------------------- Du 18 au 19 mai 2015 à l Hôtel Belle Côte, Abidjan
ATELIER REGIONAL SUR LA REDUCTION DU SOUFRE DANS LE CARBURANT --------------------------- Du 18 au 19 mai 2015 à l Hôtel Belle Côte, Abidjan ------------------------------ LISTE DES PARTICIPANTS ------------------------------
Plus en détailMINISTERE DES MINES ET DE L ENERGIE LES CARBURANTS (AUTOMOBILES) EN CÔTE D IVOIRE
MINISTERE DES MINES ET DE L ENERGIE LES CARBURANTS (AUTOMOBILES) EN CÔTE D IVOIRE Présenté par GNAMBA A. Claude Sous-directeur de l Approvisionnement et du Raffinage Direction Générale des Hydrocarbures
Plus en détailOffice National des Produits Pétroliers ******** NOT AN OFFICIAL UNCTAD RECORD APPROVISIONNEMENT ET DISTRIBUTION DES PRODUITS PETROLIERS AU MALI
Email : onapmali@afribone.net.ml Site Web : www.onapmali.co napmali.com Ministère de l Economie, de l Industrie et du Commerce ******** Office National des Produits Pétroliers ******** NOT AN OFFICIAL
Plus en détailSELECTION D UN CONSULTANT CHARGE DE LA MISE EN PLACE DES REFERENTIELS DE CONTROLE INTERNE ET DE LA MISE A JOUR DES MANUELS DE PROCEDURES DU GIM-UEMOA
TERMES DE REFERENCE SELECTION D UN CONSULTANT CHARGE DE LA MISE EN PLACE DES REFERENTIELS DE CONTROLE INTERNE ET DE LA MISE A JOUR DES MANUELS DE PROCEDURES DU GIM-UEMOA TDR : REFERENTIELS ET PROCEDURES
Plus en détailC est quoi le District Health Information Software 2?
Introduction Actions entreprises C est quoi le Health Information Software 2? Avantages Inconvénients Conclusion Le système d information sanitaire est l un des piliers du Système de Santé Il contribue
Plus en détailPour une coopération parlementaire régionale accrue avec les organes de traités relatifs aux droits de l homme
Pour une coopération parlementaire régionale accrue avec les organes de traités relatifs aux droits de l homme Séminaire régional à l intention des parlementaires et fonctionnaires de parlements des pays
Plus en détailETUDE SUR LA FISCALITÉ SUPPORTÉE PAR
BANQUE CENTRALE DES ETATS DE L AFRIQUE DE L OUEST (BCEAO) Avenue Abdoulaye FADIGA BP 3108 Dakar - Sénégal ETUDE SUR LA FISCALITÉ SUPPORTÉE PAR LES SYSTÈMES FINANCIERS DÉCENTRALISÉS DE L UEMOA RAPPORT DE
Plus en détailTermes de référence pour le recrutement d un consultant en communication
Termes de référence pour le recrutement d un consultant en communication A. Contexte La Conférence des Ministres de l Éducation des États et gouvernements de la Francophonie (CONFEMEN) est une organisation
Plus en détailTERMES DE REFERENCE POUR LE RENFORCEMENT DU DEPARTEMENT CHARGE DES AFFAIRES JURIDIQUES
TERMES DE REFERENCE POUR LE RENFORCEMENT DU DEPARTEMENT CHARGE DES AFFAIRES JURIDIQUES Avril 2014 TDR pour le renforcement du Service Juridique de la BIDC Page - 1 - I. CONTEXTE ET JUSTIFICATION La BIDC,
Plus en détailla solution AAFEX aux problèmes de financement des entreprises exportatrices du secteur agricole et agroalimentaire
la solution AAFEX aux problèmes de financement des entreprises exportatrices du secteur agricole et agroalimentaire HISTORIQUE Le Centre pour le Développement des Exportations Africaines CEDEXA S.A. CEDEXA
Plus en détailBOAD en Bref. Edition 2014 BANQUE OUEST AFRICAINE DE DÉVELOPPEMENT
BOAD en Bref Edition 2014 BANQUE OUEST AFRICAINE DE DÉVELOPPEMENT LA BANQUE OUEST AFRICAINE DE DEVELOPPEMENT EN BREF 1. CRÉATION ET OBJET La Banque Ouest Africaine de Développement (BOAD) est l institution
Plus en détailPopulation : 20.3 millions Taux de croissance PIB: 9,4% (2013)
Disclaimer : Cette fiche pays ne constitue qu un outil de base destiné à présenter aux lecteurs une synthèse globale des régimes juridiques et fiscaux des entreprises d investissement à capital fixe. Elle
Plus en détailConnaissances et compétences requises : coordonnées géographiques, réflexion critique, recherche de documentation, rédaction, support cartographique.
Activité : «Mais où est donc..?» Afrique Géographie : problématique de la faim. Age : 10-13 ans Outil pédagogique développé par l équipe jeunesse du PAM. Résumé Connaissances et compétences requises :
Plus en détailTHESAURUS ENTREPRISES PUBLIQUES
THESAURUS ENTREPRISES PUBLIQUES I. SECTEURS D ACTIVITES - Aéronautique - Agriculture - Assurances - Banques (épargne, office des chèques postaux) - Bâtiment et génie civil - Communications - Postes - Télécommunications
Plus en détailProfils-pays de la fiscalité des produits du tabac dans la CEDEAO : SYNTHÈSE RÉGIONALE. Abidjan, Côte d Ivoire, 12 Février 2014
Profils-pays de la fiscalité des produits du tabac dans la CEDEAO : SYNTHÈSE RÉGIONALE Abidjan, Côte d Ivoire, 12 Février 2014 Objectifs et Enjeux Objectifs Décrire et analyser les fondements, la pratique
Plus en détailConférence des États parties à la Convention des Nations Unies contre la corruption
Nations Unies CAC/COSP/IRG/2015/2 Conférence des États parties à la Convention des Nations Unies contre la corruption Distr. générale 24 mars 2015 Français Original: anglais Groupe d examen de l application
Plus en détailSélection d un Consultant chargé d accompagner le GIM-UEMOA dans le processus de mise en place d un Plan de Continuité de l Activité (PCA)
TERMES DE REFERENCE Sélection d un Consultant chargé d accompagner le GIM-UEMOA dans le processus de mise en place d un Plan de Continuité de l Activité (PCA) TDR_Plan de Continuité de l Activité (PCA)
Plus en détailCURRICULUM VITAE. 26 mai 1963 à Diourbel (Sénégal) Directeur Général de GMC www.gmcconseils.com
CURRICULUM VITAE NOM GAYE PRENOM Magaye NE LE 26 mai 1963 à Diourbel (Sénégal) NATIONALITE Sénégalaise SITUATION DE FAMILLE Marié ADRESSE Cices foire n 232 Dakar Sénégal TELEPHONE Bureau 221 77 245 07
Plus en détailQu est-ce que la Zone franc?
Paris, vendredi 3 octobre 2014 Après le dernier G20 Finances (à Cairns les 20 et 21 septembre) et en amont des assemblées annuelles de la Banque Mondiale et du FMI (à Washington du 9 au 11 octobre), Michel
Plus en détailconforme à l original
REPUBLIQUE DE CÔTE D IVOIRE Union - Discipline - Travail Copie certifiée -------------- conforme à l original DECISION N 020/2012/ANRMP/CRS DU 30 AOÛT 2012 SUR LE RECOURS DE LA SOCIETE MEDICAL PROGRESS
Plus en détailRENFORCEMENT DES CAPACITES DES INSPECTEURS DE TRAVAIL DANS LA PROTECTION DES TRAVAILLEURS MIGRANTS EN MAURITANIE, MALI ET SÉNÉGAL
RENFORCEMENT DES CAPACITES DES INSPECTEURS DE TRAVAIL DANS LA PROTECTION DES TRAVAILLEURS MIGRANTS EN MAURITANIE, MALI ET SÉNÉGAL Project type: Secondary project type: Geographical coverage: Executing
Plus en détailexigences des standards ISO 9001: 2008 OHSAS 18001:2007 et sa mise en place dans une entreprise de la catégorie des petites et moyennes entreprises.
R E S U M E de la Thése de doctorat Perfectionnement du systemé de management intégré qualité-responsabilité sociale-santé et sécurité occupationnelle élaborée par Monsieur le thésard Denuntzio C. Romeo,
Plus en détailALLOCUTION DE LA 2 ème PROMOTION MBA-IP / SENEGAL «SOUMAÏLA CISSE, PRESIDENT DE LA COMMISSION DE L UNION ECONOMIQUE MONETAIRE OUEST AFRICAINE» A L
ALLOCUTION DE LA 2 ème PROMOTION MBA-IP / SENEGAL «SOUMAÏLA CISSE, PRESIDENT DE LA COMMISSION DE L UNION ECONOMIQUE MONETAIRE OUEST AFRICAINE» A L OCCASION DE LA CEREMONIE DE REMISE DE DIPLÔMES Dakar,
Plus en détailLes économies de l Afrique de l Ouest : un portrait statistique
Les économies de l Afrique de l Ouest : un portrait statistique Ce bref portrait statistique porte sur l Afrique de l Ouest, région qui regroupe ici les quinze pays membres de la CEDEAO (Communauté Economique
Plus en détailL éditorial. Le secrétariat de CGLU Afrique lance ce premier numéro «L Etat des
L éditorial Jean-Pierre ELONG-MBASSI Le secrétariat de CGLU Afrique lance ce premier numéro «L Etat des Finances Locales en Afrique» afin de comparer, pour la première fois, les principaux chiffres et
Plus en détailHarmonisation fiscale dans les pays de la Zone Franc
Commission juridique et fiscale Harmonisation fiscale dans les pays de la Zone Franc Réunion du 3 février 2010 au Cabinet CMS Bureau Francis Lefebvre CEMAC = 40,11 millions habitants UEMOA = 92,087 millions
Plus en détailFRAMEWORK CONVENTION ON CLIMATE CHANGE - Secretariat CONVENTION - CADRE SUR LES CHANGEMENTS CLIMATIQUES - Secrétariat
UNITED NATIONS NATIONS UNIES FRAMEWORK CONVENTION ON CLIMATE CHANGE - Secretariat CONVENTION - CADRE SUR LES CHANGEMENTS CLIMATIQUES - Secrétariat Atelier de formation à la mise en oeuvre des programmes
Plus en détailCOMPAGNIE DES EXPERTS MARITIMES
COMPAGNIE DES EXPERTS MARITIMES QUI SOMMES NOUS? CÔTE D IVOIRE GHANA TOGO BURKINA FASO Une équipe d experts qualifiés et expérimentés Un réseau de sociétés présent dans les principaux ports de l Afrique
Plus en détailLes Rencontres de Performances
Les Rencontres de Performances Maturité des Entreprises africaines en matière de Gouvernance des Systèmes d Information GOUVERNANCE SI 06 février 2009 EDITO Doléle SYLLA Information Analyst Banque Mondiale
Plus en détailDU CONSEIL DE MEDIATION ET DE SECURITE DE LA CEDEAO
COMMUNIQUE DE PRESSE PRESS RELEASE "Ebola constitue une menace pour toutes les entreprises: il nous faut donc soutenir la lutte contre le virus Ebola" N 241/2014 Abuja, le 12 Decembre 2014 OUVERTURE A
Plus en détailTermes de référence pour le recrutement d un comptable, d un assistant administratif et un chauffeur
AFRISTAT PROGRAMME DE COMPARAISON INTERNATIONALE-AFRIQUE Termes de référence pour le recrutement d un comptable, d un assistant administratif et un chauffeur Contexte Au cours de l année 2004, AFRISTAT
Plus en détailOffre et demande potentielle ECOWAS STDF 13/ OIE/ FAO/ CIRAD
Offre et demande potentielle ECOWAS STDF 13/ OIE/ FAO/ CIRAD Plan 1. Offre et demande potentielle dans la zone ECOWAS 2. Offre potentielle au Mali 3. Marché au nord du Mali (Gao Algérie) 4. Estimation
Plus en détailDocteur Bendeddouche Badis Ministère de l Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique Directeur EP SNV
Docteur Bendeddouche Badis Ministère de l Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique Directeur EP SNV 1 CONTEXTE EN ALGERIE Recrudescence des TIA HACCP obligatoire depuis 2010 Mise à niveau
Plus en détailGESTION DES TITRES PUBLICS EN ZONE UEMOA
GESTION DES TITRES PUBLICS EN ZONE UEMOA Présenté par Mame Marie Sow SAKHO SEMINAIRE CONSUMAF 4,5 et 6 décembre 2006 1 SOMMAIRE CONTEXTE MARCHE DES TITRES PUBLICS : OBJECTIFS VISES LES DIFFERENTS TITRES
Plus en détailL Assurance agricole au Sénégal
COLLOQUE FARM - Pluriagri : Assurer la production agricole Comment faire des systèmes assurantiels des outils de développement? 1 Paris, le 18 décembre 2012 Thème L Assurance agricole au Sénégal Un système
Plus en détailFAITS SAILLANTS : 1. CONDITIONS CLIMATIQUES ET ENVIRONNEMENTALES EN AFRIQUE
African Centre of Meteorological Application for Development Centre Africain pour les Applications de la Météorologie au Développement N 5, Mai 2015 FAITS SAILLANTS : Les zones favorables à une vigilance
Plus en détailRôle des Associations et Organismes Internationaux en matière de Sécurité et Santé au Travail
19 ÈME Journée Africaine de la Prévention des Risques Professionnels (JAPRP) 13 ÈME Journée Mondiale de la Sécurité et de la Santé au Travail (JMSST) ABIDJAN, République de COTE D IVOIRE- Salle de CONFÉRENCE
Plus en détailFiscalité des médicaments, consommables et équipements médicaux dans les pays membres de l UEMOA
Fiscalité des médicaments, consommables et équipements médicaux dans les pays membres de l UEMOA Dr Amadou Moctar MBAYE & Gérard FOULON Direction santé - Département du Développement Social 2ème Colloque
Plus en détailUNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE UEMOA OUEST AFRICAINE ----------- CONFERENCE DES CHEFS D ETAT ET DE GOUVERNEMENT
UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE UEMOA OUEST AFRICAINE ----------- CONFERENCE DES CHEFS D ETAT ET DE GOUVERNEMENT TRAITE PORTANT CREATION DU PARLEMENT DE L UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE PREAMBULE
Plus en détailOrganisation africaine de la Propriété Intellectuelle ***************
Organisation africaine de la Propriété Intellectuelle *************** 2 TABLE DES MATIERES INTRODUCTION... 3 I PRESENTATION DE L OAPI... 4 II TERRITOIRE OAPI... 4 III - GENERALITES... 5 IV - DE LA CONSTITUTION
Plus en détailTERMES DE REFERENCE SELECTION D UNE SOCIETE DE MAINTENANCE ELECTRIQUE & PRESTATAIRE DE MOYENS TECHNIQUES
TERMES DE REFERENCE SELECTION D UNE SOCIETE DE MAINTENANCE ELECTRIQUE & PRESTATAIRE DE MOYENS TECHNIQUES Avril 2015 «GIM-UEMOA» GIE au capital de 9 528 790 000 F CFA RCCM : SN-DKR-2004-B-8649 NINEA : 24209832
Plus en détailComité des produits Discours du Directeur général. 29 mai 2012 1 DISCOURS D OUVERTURE DU DIRECTEUR GÉNÉRAL AU COMITÉ DES PRODUITS.
Comité des produits Discours du Directeur général. 29 mai 2012 1 DISCOURS D OUVERTURE DU DIRECTEUR GÉNÉRAL AU COMITÉ DES PRODUITS 28 mai 2012 Madame la Représentante permanente adjointe de Sri Lanka, Présidente
Plus en détailRAPPORT D ACTIVITES DE MISE EN ŒUVRE DU DEVIS-PROGRAMME N 1 (DP1) ( Période du 1 er Octobre 2003 au 31 Décembre 2005)
Comité Inter- Etats de Lutte Contre la Sécheresse au Sahel (CILSS) Programme Régional de Promotion des Energies Domestiques et Alternatives au Sahel (PREDAS) EQUIPE TECHNIQUE NATIONALE (ETN) DU PREDAS
Plus en détailLe cadre juridique et fiscal des relations d affaires franco-africaines: un atout pour les entrepreneurs?
Le cadre juridique et fiscal des relations d affaires franco-africaines: un atout pour les entrepreneurs? Me Pierre MARLY Avocat CMS Bureau Francis Lefebvre E-mail : pierre.marly@cms-bfl.com 1 - Le cadre
Plus en détailVéhicules Propres pour l amélioration de la qualité de l air Les Stratégies de progrès
Véhicules Propres pour l amélioration de la qualité de l air Les Stratégies de progrès Andre Douaud Ancien Directeur Technique Constructeurs Français Automobiles CCFA À Rabat, Avril 21 Moteurs et Carburants
Plus en détailBANK OF AFRICA-NIGER ASSEMBLEE GENERALE MIXTE DES ACTIONNAIRES DU 16 AVRIL 2013
BANK OF AFRICA-NIGER. BANK OF AFRICA-NIGER ASSEMBLEE GENERALE MIXTE DES ACTIONNAIRES DU 16 AVRIL 2013 Le Conseil d Administration prie les actionnaires de la BANK OF AFRICA NIGER (BOA-NIGER) de bien vouloir
Plus en détailBULLETIN OFFICIEL DES IMPÔTS
BULLETIN OFFICIEL DES IMPÔTS DIRECTION GÉNÉRALE DES IMPÔTS 5 B-17-01 N 191 du 26 OCTOBRE 2001 5 F.P. / 69 INSTRUCTION DU 17 OCTOBRE 2001 IMPOT SUR LE REVENU. CREDIT D IMPOT POUR L ACQUISITION OU LA LOCATION
Plus en détailBILANS ET COMPTES DE RESULTATS DES BANQUES ET ETABLISSEMENTS FINANCIERS
BILANS ET COMPTES DE RESULTATS DES BANQUES ET ETABLISSEMENTS FINANCIERS UMOA 2004 Siège - Avenue Abdoulaye FADIGA BP : 3108 - DAKAR (Sénégal) Tél. : +221 839 05 00 Télécopie : +221 823 93 35 Télex : BCEAO
Plus en détailSélection d un Qualified Security Assessor (QSA), chargé d évaluer la conformité du GIM-UEMOA. à la norme PCI-DSS, level 1
POUR L EVALUATION DE LA CONFORMITE DU GIM-UEMOA A LA NORME PCI-DSS, LEVEL 1 TERMES DE REFERENCE Sélection d un Qualified Security Assessor (QSA), chargé d évaluer la conformité du GIM-UEMOA à la norme
Plus en détailLa version 3.0 de Corman S
La version 3.0 de Corman S 0. Généralités Versions précédentes : Version 1.0, développée sur plate-forme MS-DOS, et exploitée de 1996 à 1999 sur un réseau local Novell NetWare Version 2.0, développée sur
Plus en détailLa situation générale des opérations de transport sur les corridors de la Communauté Economique Des Etats de l Afrique de l Ouest (CEDEAO).
La situation générale des opérations de transport sur les corridors de la Communauté Economique Des Etats de l Afrique de l Ouest (CEDEAO). La CEDEAO La CEDEAO est un sous groupement qui avait en son sein
Plus en détailEnjeux et Perspectives de la composante «Environnement Santé» du Plan d Action de l Initiative Environnement du NEPAD
PRÉSENTATION POWER POINT Enjeux et Perspectives de la composante «Environnement Santé» du Plan d Action de l Initiative Environnement du NEPAD Cheikh FOFANA, Assistant au Secrétaire Exécutif, Secrétariat
Plus en détailINVESTIR AU TCHAD. Le Tchad est un pays d agriculture et d élevage, un pays dont le peuple est laborieux, un pays dont le sous sol est promoteur.
INVESTIR AU TCHAD POURQUOI INVESTIR AU TCHAD Des Potentialités Economiques Enormes Un Environnement Politique et Economique Favorable Une Activité Economique Réglementée Un Cadre Indicatif Favorable. DES
Plus en détailPrésenté par OUEDRAOGO Adolphe Chef de Brigade de la CIMA. DAKAR, les 3-4 et 5 novembre 2009
EXPERIENCE SENEGALAISE DE LA MICROASSURANCE: DEFIS ET OPPORTUNITES Présenté par OUEDRAOGO Adolphe Chef de Brigade de la CIMA DAKAR, les 3-4 et 5 novembre 2009 2 INTRODUCTION Le thème sera abordé en cinq
Plus en détailSIGNATURE DE CONVENTION AVEC LA CHAMBRE DE COMMERCE. Madame le Directeur général de la Chambre de Commerce et d Industrie de Côte
SIGNATURE DE CONVENTION AVEC LA CHAMBRE DE COMMERCE ALLOCUTION DU DG DE LA POSTE DE COTE D IVOIRE Monsieur le 1 er Vice-Président, représentant Monsieur le Président de la Chambre de Commerce et d Industrie
Plus en détailTABLE RONDE DES MINISTRES AFRICAINS CHARGÉS DES TIC EN PRÉLUDE À LA 42 ÈME RÉUNION DE L ICANN. Hôtel Méridien Dakar, SENEGAL.
COMMISSION DE L UNION AFRICAINE REPUBLIQUE DU SENEGAL ---------------- MINISTERE DE LA COMMUNICATION, DES TELECOMMUNICATIONS ET DES TECHNOLOGIES DE L INFORMATION ET DE LA COMMUNICATION TABLE RONDE DES
Plus en détailREGLEMENT ET CRITERES DU CONCOURS DE PROJETS 4.2 PROGRAMME DE PETITES INITIATIVES (PPI)
REGLEMENT ET CRITERES DU CONCOURS DE PROJETS 4.2 PROGRAMME DE PETITES INITIATIVES (PPI) 1. PRESENTATION DU PROGRAMME Le Fonds Français pour l Environnement Mondial (FFEM) lance une quatrième phase du Programme
Plus en détailContribution à l introduction :
Atelier «Bridge Initiative international» L espace des politiques agricoles entre les logiques de la mondialisation et les objectifs de développement Dakar, les 9 et 10 Juin 2005 Contribution à l introduction
Plus en détailPOOL ÉNERGÉTIQUE. L OUEST : Planification et perspectives pour les énergies renouvelables
POOL ÉNERGÉTIQUE D AFRIQUE DE L OUEST : Planification et perspectives pour les énergies renouvelables Copyright IRENA 2013 Sauf indication contraire, le contenu du présent document peut être utilisé, partagé
Plus en détailConférence régionale du Forum d Action pour la gouvernance Locale en Afrique Francophone
Conférence régionale du Forum d Action pour la gouvernance Locale en Afrique Francophone Hôtel Teranga, Saly, Sénégal, du 18-19 Octobre 2011 Note de cadrage Contexte et justification L importance que revêt
Plus en détailBanque Africaine de Développement
The Next 50 Years: The Africa We Want Banque Africaine de Développement Programme Provisoire Côte d Ivoire, Abidjan, 25 29 mai 2015 Samedi 23 et dimanche 24 mai 2015, de 9 h à 17 h : Enregistrement des
Plus en détailLe FMI et son rôle en Afrique
Le FMI et son rôle en Afrique M a r k P l a n t, V a l e r i a F i c h e r a, N o r b e r t F u n k e D a k a r, l e 3 n o v e m b r e 2 0 1 0 Sommaire Comment fonctionne le FMI? Comment l Afrique a-t-elle
Plus en détailLES PREOCCUPATIONS DES ACTEURS DU MARCHE DE L ASSURANCE AU BENIN. Présenté par : le DGAE
LES PREOCCUPATIONS DES ACTEURS DU MARCHE DE L ASSURANCE AU BENIN Présenté par : le DGAE PLAN Introduction 1. Les problèmes posés 2. Actions engagées dans le cadre du règlement des doléances 3. Approches
Plus en détailMINISTERE DES POSTES, DES TELECOMMUNICATIONS ET DES NOUVELLES TECHNOLOGIES ET DE LA COMMUNICATION
MINISTERE DES POSTES, DES TELECOMMUNICATIONS ET DES NOUVELLES TECHNOLOGIES ET DE LA COMMUNICATION Central African Backbone Communication Infrastructure and Technology CAB CIT Congo Projet N IDA 49740 CG
Plus en détailSTATUTS DE L ASSOCIATION DES BANQUES CENTRALES AFRICAINES ------------------------------------
STATUTS DE L ASSOCIATION DES BANQUES CENTRALES AFRICAINES ------------------------------------ (version amendée à Kampala, en Ouganda, le 19 août 2003) 2 Les signataires des présents Statuts, Reconnaissant
Plus en détailDECISION N 2013-062 PORTANT AUTORISATION DE L'EMISSION DE L'EMPRUNT OBLIGATAIRE PAR PLACEMENT PRIVE "PETRO IVOIRE 7% 2013-2020"
Union Monétaire Ouest Africaine CL Conseil Régional de l'epargne Publique et des Marchés Financiers DECISION N 2013-062 PORTANT AUTORISATION DE L'EMISSION DE L'EMPRUNT OBLIGATAIRE PAR PLACEMENT PRIVE "PETRO
Plus en détailDISCLAIMER: As Member States provide national legislations, hyperlinks and explanatory notes (if any), UNESCO does not guarantee their accuracy, nor
2 STATUTS DE LA FONDATION DU PATRIMOINE TITRE II ORGANISATION ET FONCTIONNEMENT DE LA FONDATION Article 6- Organes Les organes de la Fondation sont : - le Conseil de Fondation ; - l Administration général.
Plus en détailNOTE DE PRESENTATION DU PROGRAMME STATISTIQUE DE L UEMOA
UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE La Commission Département des Politiques Economiques NOTE DE PRESENTATION DU PROGRAMME STATISTIQUE DE L UEMOA Février 2005 I INTRODUCTION Le Traité instituant
Plus en détailModes de règlement pour l International : Canada, Europe, Afrique
Modes de règlement pour l International : Canada, Europe, Afrique Notre association est implantée dans tous les pays de langue française. Tous les pays où nous sommes présents n ayant pas l Euro, voici
Plus en détailRÉSULTATS DE LA 1ÈRE SÉRIE D ENQUÊTES AFROBAROMÈTRE AU TOGO 3e Dissemination 26 Juin 2013
RÉSULTATS DE LA 1ÈRE SÉRIE D ENQUÊTES AFROBAROMÈTRE AU TOGO 3e Dissemination 26 Juin 2013 [Include National Partner logo] www.afrobarometer.org www.crop-africa.org 1 [Include National Partner logo] Afrobaromètre:
Plus en détailORDRE NATIONAL DES PHARMACIENS DE COTE D IVOIRE JOURNEES DE L ORDRE EDITION 2015. Termes de Référence
. ORDRE NATIONAL DES PHARMACIENS DE COTE D IVOIRE JOURNEES DE L ORDRE EDITION 2015 Termes de Référence I. CONTEXTE ET JUSTIFICATION L Ordre National des Pharmaciens (ONP) de Côte d Ivoire a été créé par
Plus en détailDiscours d ouverture de Sem Alassane Ouattara
Discours d ouverture de Sem Alassane Ouattara Monsieur Daniel Kablan Duncan, Premier Ministre de la République de Côte d Ivoire, Madame Hélène Conway, Ministre des Français de l Etranger de la République
Plus en détailde plus de moitié, particulièrement dans les pays où la mortalité infantile est élevée 39.
postes de haut-fonctionnaires sont détenus par des femmes 38. Mais dans l ensemble, les avancées enregistrées par les pays africains dans leur progression vers la réalisation d une meilleure parité entre
Plus en détailPrésenté par Jean Claude Ngbwa, Secrétaire Général de la CIMA. DAKAR, les 3-4 et 5 novembre 2009
PERSPECTIVES DES MARCHES D ASSURANCES AFRICAINS Présenté par Jean Claude Ngbwa, Secrétaire Général de la CIMA DAKAR, les 3-4 et 5 novembre 2009 2 INTRODUCTION Le thème qui nous a été confié porte sur les
Plus en détailTechnical Assistance for Sustainable National Greenhouse Gas Inventory Management Systems in West Africa (West Africa GHG Project)
Technical Assistance for Sustainable National Greenhouse Gas Inventory Management Systems in West Africa (West Africa GHG Project) Dr. Sabin Guendehou, Regional Project Coordinator Cluster Francophone
Plus en détailEn collaboration avec LA GESTION DES RISQUES AU SEIN DU SECTEUR PUBLIC LOCAL EN 2013
En collaboration avec LA GESTION DES RISQUES AU SEIN DU SECTEUR PUBLIC LOCAL EN 2013 MARS 2013 INTRODUCTION, METHODOLOGIE Primo France, association dédiée à la gouvernance et à la gestion du risque public,
Plus en détailExposition de la Population aux Polluants atmosphériques en Europe Projet PEOPLE à Bruxelles
Exposition de la Population aux Polluants atmosphériques en Europe Projet PEOPLE à Bruxelles Description du projet Parmi les activités liées à la santé qui sont menées à l Unité d Emissions et de Santé
Plus en détailTERMES DE REFERENCE POUR LE RECRUTEMENT D UN CONSULTANT / INFORMATICIEN EN CONCEPTION DE BASE DE DONNEES.
TERMES DE REFERENCE POUR LE RECRUTEMENT D UN CONSULTANT / INFORMATICIEN EN CONCEPTION DE BASE DE DONNEES. Recruté par la Banque de Développement Autrichienne (OeEB) mai 2014 CONTEXTE / JUSTIFICATION La
Plus en détailArchiviste - Documentaliste / Gestionnaire de l information / Consultant en archives et documentation
Sylvestre Kouassi KOUAKOU Né le 31 décembre 1984 à Abidjan Ivoirien Marié / 01 enfant 16 BP 153 Abidjan 16 +225 08 67 47 33 kouakousylvestre@yahoo.fr Blog professionnel : ivorybibliodoc.wordpress.com Master
Plus en détailPROCEDURE D AGREMENT EN QUALITE DE BANQUE ET ETABLISSEMENT FINANCIER
PROCEDURE D AGREMENT EN QUALITE DE BANQUE ET ETABLISSEMENT FINANCIER PREFACE Dans le cadre de la mise en œuvre et du renforcement de la politique d'intégration sous-regionale, le Conseil des Ministres
Plus en détailReMeD Réseau Médicaments et Développement EVOLUTION DE L INSPECTION PHARMACEUTIQUE
ReMeD Réseau Médicaments et Développement Table ronde du 9 novembre 2004 Faculté de Pharmacie Paris V Communication Dr Nicole Ridolphi pharmacien inspecteur général honoraire EVOLUTION DE L INSPECTION
Plus en détailUNION MONETAIRE OUEST AFRICAINE COMMISSION BANCAIRE
MALI NIGER SENEGAL BURKINA GUINEE-BISSAU BENIN COTED IVOIRE TOGO UNION MONETAIRE OUEST AFRICAINE COMMISSION BANCAIRE RAPPORT ANNUEL 2012 UNION MONETAIRE OUEST AFRICAINE COMMISSION BANCAIRE RAPPORT ANNUEL
Plus en détailSEMINAIRE INTERNATIONAL «Risques de crédit bancaire en Afrique» Ouagadougou du 23 au 26 octobre 2012 Hôtel Laïco Ouaga 2000
Contexte et justification du séminaire L actualité financière et bancaire de ces dernières années nous a instruit largement sur les conséquences que peut avoir une mauvaise notation financière sur la capacité
Plus en détailAVIS DE RECRUTEMENT UN(E) ASSISTANT(E) TRESORIER(E) GROUPEMENT INTERBANCAIRE MONETIQUE DE TERMES DE REFERENCE
Lot P 10, Ouest Foire, Route de l Aéroport - BP : 8853 Dakar Yoff Tél : (221) 33 869 95 95 Fax : (221) 33 820 54 65 Email: gim-uemoa@gim-uemoa.org - Site Web: www.gim-uemoa.org AVIS DE RECRUTEMENT UN(E)
Plus en détailAccréditation Certification Normalisation-Métrologie Promotion de la qualité
pour une meilleure intégration au commerce international pour une meilleure intégration au commerce international initiative pour le renforcement des capacités commerciales Programme qualité UEMOA Accréditation
Plus en détailLAURENT FABIUS, MINISTRE DES AFFAIRES ETRANGERES
LAURENT FABIUS, MINISTRE DES AFFAIRES ETRANGERES Tout à l heure, le Président de la République m a demandé, avec le Premier ministre, de vous apporter un certain nombre d éléments sur le contexte dans
Plus en détailLettre d invitation. Toute offre parvenue au-delà des date et heure limites ci-dessus indiquées ne sera pas acceptée.
Lettre d invitation MINISTERE DE LA PROSPECTIVE, DU DEVELOPPEMENT ET DE L EVALUATION DE L ACTION PUBLIQUE Le Directeur de Cabinet A Madame / Monsieur le Directeur COTONOU Objet : Invitation à soumissionner
Plus en détailWAAPP INFO Côte d Ivoire
WAAPP INFO Côte d Ivoire Bulletin d informations du PPAAO / WAAP Côte d Ivoire - Numéro 9 - Janvier 2014 Le Monitoring Tour présente l expérience du CNS-Plantain aux pays du PPAAO/WAAPP Le CNS-Plantain
Plus en détailAUDIENCE PUBLIQUE DU 30 OCTOBRE 2014
KF/KV REPUBLIQUE DECÔTE D IVOIRE --------------------- COUR D APPEL D ABIDJAN -------------------- TRIBUNAL DE COMMERCE D ABIDJAN -------------------- RG N 1508/2014 JUGEMENT CONTRADICTOIRE du 30/10/2014
Plus en détailInstitut National de la Statistique - Annuaire Statistique du Cameroun 2010. Chapitre 26 : LE CAMEROUN DANS LA ZONE CEMAC
Institut National de la Statistique - Annuaire Statistique du Cameroun 2010 Chapitre 26 : LE CAMEROUN DANS LA ZONE CEMAC 1. Présentation... 328 2. Méthodologie... 328 3. Définitions... 328 4. Sources de
Plus en détailRépublique Algérienne Démocratique et Populaire. Ministère de l énergie et des Mines. Résultat du Secteur de l Energie et des Mines pour l'année 2005
République Algérienne Démocratique et Populaire Ministère de l énergie et des Mines Direction des systèmes d information, des analyses économiques et de la documentation Résultat du Secteur de l Energie
Plus en détailL'Union économique et monétaire ouest africaine (UEMOA) et le Gouvernement des États-Unis d'amérique, ci-après dénommés les "Parties",
ACCORD CONCLU ENTRE LE GOUVERNEMENT DES ÉTATS-UNIS D'AMÉRIQUE ET L'UNION ÉCONOMIQUE ET MONÉTAIRE OUEST AFRICAINE RELATIF AU DÉVELOPPEMENT DES RELATIONS DE COMMERCE ET D'INVESTISSEMENT L'Union économique
Plus en détailAtelier sur le Financement de la Filière Coton en Côte d'ivoire: Création d'un Fonds de Garantie
Atelier sur le Financement de la Filière Coton en Côte d'ivoire: Création d'un Fonds de Garantie René AZOKLY/ Président du Fonds International de Garantie Les Fonds de Garantie en Afrique de l'ouest: Particularités,
Plus en détailSud Expert Plantes Comité de Pilotage
Sud Expert Plantes Comité de Pilotage Mardi 8 Juin 2010, 9 :30-17 :30 Ministère des Affaires Etrangères et Européennes 27 rue de la Convention, salle 131, entrée par le 48 rue de Javel ; 75 015 Paris cedex
Plus en détailMINISTERE DE L INDUSTRIE ET DES MINES ACTIONS EN MILIEU DE TRAVAIL DES STRUCUTURES DE CONTROLES
MINISTERE DE L INDUSTRIE ET DES MINES ACTIONS EN MILIEU DE TRAVAIL DES STRUCUTURES DE CONTROLES I- INTRODUCTION I-1 CADRE JURIDIQUE, RATTACHEMENT HIERARCHIQUE ET ORGANISATION I-2 ATTRIBUTIONS I-3 MISSIONS
Plus en détailCALENDRIER DES CONFÉRENCES RÉGIONALES
CALENDRIER DES CONFÉRENCES RÉGIONALES Calendrier diffusé le 07 avril 2014. Annule et remplace le précédent La PRÉVENTION et le DÉPISTAGE, SONT UN ENSEIGNEMENT. PRÉVENIR : c est enseigner au grand public
Plus en détailAttijariwafa bank Présentation. Conseil d administration. Chiffres-clés Consolidés / IFRS. Réseau et effectifs Décembre 2014
Février 2015 Attijariwafa bank Présentation Attijariwafa bank est le premier groupe bancaire et financier du Maghreb et de l UEMOA (Union Économique et Monétaire Ouest Africaine) et acteur de référence
Plus en détailViroflay Gare Chaville-Vélizy é Vélizy-Villacoublay Vélizy 2
Lundi au vendredi Gare Chaville-Vélizy é Résidence les Bois Sud 5.45 6.15 6.45 7.00 7.15 7. 7.45 8.00 8.15 8. 8.45 9.00 9.15 9. 9.45 10.15 10.45 11.15 11.45 12.15 12.45 13.15 13.45 14.15 14.45 15.15 15.45
Plus en détailLe point sur la couverture du risque maladie au Niger
REPUBLIQUE DU NIGER MINISTERE DE LA SANTE PUBLIQUE ET DE LA LUTTE CONTRE LES ENDEMIES Le point sur la couverture du risque maladie au Niger I PLACE ACTUELLE DE L ASSURANCE MALADIE 1. Recensement des dispositions
Plus en détail