Docteur Christophe Hommel, Centre de vaccinations internationales et Centre antirabique, Service des Maladies Infectieuses, HUS
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- Renée Clément
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1 CALENDRIER VACCINAL Docteur Christophe Hommel, Centre de vaccinations internationales et Centre antirabique, Service des Maladies Infectieuses, HUS I. LE CALENDRIER VACCINAL 2014 A l exception de l assainissement de l eau, aucune action humaine n a eu une action comparable à celle de la vaccination dans la lutte contre les maladies infectieuses et la réduction des taux de mortalité. Le calendrier des vaccinations définit les vaccinations recommandées en fonction de l âge et de la situation individuelle. En 2013, des simplifications importantes ont été introduites. L ESSENTIEL CHEZ LE NOURRISSON Un schéma simplifié 2+1 (M2-M4-M11) remplace le précédent schéma 3+1 (M2-M3-M4-M16) L injection du vaccin pentavalent (DTCaPolioHib) à l âge de 3 mois est supprimée. Le rappel du vaccin pneumococcique conjugué est avancé à l âge de 11 mois et co-administré avec le précédent. La 1 ère dose de ROR est effectuée à l âge de 12 mois, pour des raisons de meilleur immunogénicité, pour tous les nourrissons (en dehors de situation épidémique, quel que soit le mode de garde, la seconde entre 16 et 18 mois. CHEZ L ENFANT ET L ADOLESCENT Un rappel coqueluche est recommandé à l âge de 6 ans (DTCaP). Le rappel de 11 à 13 ans (dtcap) est effectué avec un vaccin contenant des concentrations réduites en anatoxine diphtérique et antigènes coquelucheux. La vaccination contre HPV est effectuée entre 11 et 14 ans (avec un rattrapage jusqu à 19 ans inclus). Le rappel dtp à l âge de ans est supprimé. CHEZ L ADULTE Les rappels dtp sont effectués à âge fixe à partir de 25 ans (45 ans, 65 ans, 75 ans, 85 ans, 95 ans, etc.). A 25 ans, le vaccin est associé à la valence coqueluche en concentration réduite. CHEZ LES PERSONNES IMMUNODÉPRIMÉES ET ASPLÉNIQUES Des vaccinations spécifiques sont recommandées chez ces patients à risque d infections sévères.
2 Valence vaccinale : D : Diphtérie dose entière d anatoxine d : diphtérie dose réduite d anatoxine T : Tétanos P : Poliomyélite Ca : Coqueluche acellulaire dose entière d antigènes coquelucheux ca : coqueluche acellulaire dose réduite d antigènes coquelucheux Hib : Haemophilus influenzae de type b HB : Virus de l Hépatite B Pn13 : Pneumocoque conjugué 13 valences ROR : Rougeole, Oreillons Rubéole Méningo C : Méningocoque C HPV : Papillomavirus humains 1 Vaccination du nourrisson Remarque : Pour les prématurés et les nourrissons à risque élevé de contracter une infection invasive à pneumocoque, le schéma vaccinal comprend 3 doses à l âge de 2, 3 et 4 mois puis un rappel à l âge de 11 mois. L enfant de plus de deux ans à risque élevé de contracter une infection invasive à pneumocoque, recevra une injection complémentaire avec le vaccin polyosidique 23- valent. Tous les enfants doivent recevoir les deux doses de vaccins ROR avant l âge de 18 mois et a fortiori avant 2 ans. 2 Vaccination de l enfant et de l adolescent
3 Remarque : Le vaccin Revaxis n est plus indiqué à l âge de 6 ans. Les enfants ayant reçu le vaccin dtp (Revaxis) ou un vaccin dtcap (Repevax ou Boostrixtetra) à 6 ans, doivent être vaccinés à l âge de ans avec le vaccin DTCaP [TETRAVAC ACELLULAIRE ou INFANRIX TETRA ]. Les vaccins HPV ne sont pas interchangeables. A partir de 25 ans, toutes les jeunes femmes vaccinées ou non vaccinées doivent continuer de bénéficier du dépistage selon les recommandations en vigueur. Tableau récapitulatif des vaccinations chez le nourrisson, l enfant et l adolescent 3 Vaccination de l adulte Remarque : Ne parler que d âge de vaccination et non plus d intervalle de temps chez l adulte. Tous les professionnels [personnels soignants dans leur ensemble et notamment ceux en EHPAD, en maternité, service de néonatalogie et de pédiatrie ; les étudiants des filières médicales et paramédicales ; les professionnels chargés de la petite enfance ; les assistants maternels, les personnes effectuant régulièrement du baby-sitting] recevront systématiquement la valence coquelucheuse aux âges de 25, 45, 65 ans avec le vaccin dtcap. Tableau récapitulatif des vaccinations de l adulte 4 Rattrapages vaccinaux du calendrier vaccinal a) Rattrapage vaccinal chez les enfants et les adolescents Si la couverture vaccinale est globalement satisfaisante dans la petite enfance, elle se dégrade ensuite à l adolescence (et à l âge adulte). Les causes sont multiples : absence de consultation systématique programmée et suivie chez les médecins, négligence vis-à-vis de leur santé, refus des injections, polémiques vaccinales, moins bonne adhésion aux nouvelles recommandations. Les données recueillies grâce à l enquête «Vaccinoscopie 2011» montrent, qu à 15 ans, aucun des objectifs de couverture vaccinale fixés par loi de santé publique de 2004 n est atteint, et ce quel que soit le vaccin. Le risque d exposition aux maladies infectieuses à prévention vaccinale, est élevé pour les adolescents en raison de leur mode de vie. Trois-quarts des adolescents ne sont pas à jour des recommandations vaccinales.
4 b) Rattrapage vaccinal chez les adultes Âges recommandés 25 ans 35 ans 45 ans 65 ans 75 ans 85 ans Coqueluche acellulaire Rattrapage de vaccin dtpca jusqu à 39 ans révolu pour les non vaccinés à 25 ans, sauf si la personne a reçu (dans le cadre de la stratégie du cocooning) une dose de vaccin coquelucheux depuis moins de 10 ans Stratégie du cocooning ROR Atteindre 2 doses au total chez les personnes nées depuis 1980 Rubéole 1 dose ROR chez les femmes non vaccinées 5 Stratégie du cocooning La coqueluche est une infection respiratoire bactérienne due à Bordetella pertussis et Bordetella parapertussis, peu ou pas fébrile de l arbre respiratoire inférieur, d évolution longue et très contagieuse et dont la gravité repose sur ses complications pulmonaires et neurologiques, surtout chez les nourrissons. Une nouvelle épidémiologie de la coqueluche est apparue en France depuis les années 1990, où la maladie affecte très peu l enfant mais touche, d une part, les nourrissons non protégés par la vaccination et, d autre part, l adolescent ou l adulte qui les contamine. La vaccination contre la coqueluche est donc recommandée dans le cadre de la stratégie dite du cocooning :
5 chez les adultes ayant un projet parental ; au cours de la grossesse pour : * les enfants de la fratrie et le conjoint, * les personnes susceptibles d être en contact étroit et durable avec le futur nourrisson au cours de ses 6 premiers mois. Ceci peut concerner les grands-parents, les baby-sitters... ; en post-partum immédiat pour : * la mère, qu il conviendrait idéalement de vacciner avant la sortie de la maternité, même si elle allaite, * les personnes susceptibles d être en contact étroit et durable avec le futur nourrisson au cours de ses 6 premiers mois si la mise à jour de la vaccination n a pas été faite antérieurement II. PASSAGE DE L ANCIEN AU NOUVEAU CALENDRIER VACCINAL 1 Chez les enfants Toute nouvelle primovaccination suit le nouveau calendrier vaccinal. Pour toute personne ayant déjà reçu un ou des vaccins avant la mise en place de ce nouveau calendrier vaccinal, le principe général est de se recaler le plus rapidement sur le nouveau calendrier.
6 Remarque : Les enfants ayant reçu le vaccin dtp [REVAXIS ] ou dtcap [REPEVAX ou BOOSTRIXTETRA ] à 6 ans, doivent être vaccinés à l âge de ans avec le vaccin DTCaP [TETRAVAC ACELLULAIRE ou INFANRIX TETRA ]. 2 Chez les adultes : ne parler que d âge de vaccination et non d intervalle de temps de vaccination! Ex : patient de 24 ans, vacciné à 18 ans, son échéance N = 25 ans, son échéance N+1 = 45 ans Ex : patient de 26 ans, vacciné à 18 ans : rappel immédiat, son échéance N = 45 ans Ex : patient de 26 ans, vacciné à 21 ans : son échéance N = 45 ans, son échéance N+1 = 65 ans Ex : patient de 66 ans, vacciné à 40 ans : rappel immédiat, son échéance N = 75 ans
7 III. VACCINATIONS ET SCHÉMA VACCINAUX PARTICULIERS 1 Tuberculose et vaccin BCG Pour les enfants exposés à un risque élevé de tuberculose, la vaccination par le BCG est recommandée dès la naissance. Les nourrissons âgés de moins de 3 mois sont vaccinés par le BCG sans test tuberculinique préalable. Chez les enfants à risque non vaccinés, la vaccination peut être réalisée jusqu à l âge de 15 ans. L intradermoréaction (IDR) à la tuberculine préalable à la vaccination doit être réalisée à partir de l âge de 3 mois pour éviter de vacciner un enfant qui aurait été contaminé. La vaccination ne s applique qu aux personnes ayant une intradermoréaction à la tuberculine négative. Seule la forme intradermique du BCG est disponible en France. Les contre-indications médicales temporaires à la
8 vaccination BCG sont constituées par les dermatoses étendues en évolution et les contre-indications définitives par les déficits immunitaires congénitaux ou acquis, notamment dus au VIH. 2 Rappel vaccinal antitétanique en cas de plaie Le HCSP considère dans son avis du 24 mai 2013 que dans le cadre de la prise en charge des plaies, l administration immédiate d une dose d anatoxine tétanique est recommandée lorsque la personne n est pas à jour de ses vaccinations selon le calendrier vaccinal en cours. Si en outre, la plaie est majeure ou susceptible d avoir été contaminée par des germes d origine tellurique, l administration d une dose d immunoglobulines tétaniques complètera cette prévention. Outre la prévention immédiate du tétanos, l administration d anatoxine tétanique doit s inscrire dans une optique de mise à jour du statut vaccinal de la personne concernée. Ainsi, l utilisation d un vaccin trivalent (dtp) voire tétravalent (dtcap) devrait être préférée au vaccin tétanique monovalent. La personne vaccinée devra être informée de la nécessité éventuelle de compléter la mise à jour de ses vaccinations et de la date de son prochain rappel, en application des recommandations du calendrier vaccinal en vigueur. * Personnes âgées de moins de 65 ans ayant reçu une dose de vaccin contenant une valence tétanique depuis moins de vingt ans. Personnes âgées de 65 ans et plus ayant reçu une dose de vaccin contenant une valence tétanique depuis moins de dix ans. ** Plaie majeure : plaie étendue, pénétrante, avec corps étranger ou traitée tardivement.
9 3 Prévention des infections invasives à Pneumocoques Streptococcus pneumoniae est une cause majeure de morbidité et de mortalité chez les adultes, notamment en raison d infections invasives (septicémies, méningites, ) et de pneumonies. Le risque est particulièrement élevé chez les personnes immunodéprimées, chez les personnes âgées et les malades atteints de pathologies qui favorisent la survenue ou aggravent le pronostic de ces infections. Liste des personnes éligibles *Avis du HCSP du 25 avril 2013 relatif aux recommandations de la vaccination pour les adultes et les enfants âgés de plus de 2 ans à risque d infection invasive à pneumocoque. Rapport 2012 du HCSP : vaccinations des personnes immunodéprimées ou aspléniques.
10 4 Schéma vaccinal accéléré contre l hépatite B Le calendrier vaccinal en vigueur recommande, dans certains cas particuliers nécessitant l acquisition rapide d une immunité contre le virus de l hépatite B, un schéma vaccinal accéléré à la place du schéma habituel. Le HCSP recommande dans son avis du 20 février 2014 l abandon chez les adultes du schéma accéléré antérieur (M0, M1, M2 et rappel à M12). 5 Rattrapage Rougeole-oreillons-rubéole Plus de cas de rougeole ont été déclarés en France lors de l épidémie entre 2008 et Au total, plus de pneumopathies graves et 30 complications neurologiques à type d encéphalite ou myélite ont été déclarées et dix décès sont à déplorer par pneumopathie, myocardite ou encéphalite. Même si une décroissance importante de l épidémie a été observée depuis 2012, le virus continue à circuler. Parmi les cas, 84 % n avaient jamais été vaccinés contre la rougeole, 12% n avaient eu qu une dose de vaccin trivalent. L éradication de la maladie n est possible que si la couverture vaccinale atteint plus de 95% pour la première dose et plus de 80% pour la 2e dose avant l âge de 2 ans.
11 *Avis du HCSP du 11 février 2011 : actualisation des recommandations vaccinales contre la rougeole pour les adultes : IV. RÈGLES DE BASE DU RATTRAPAGE VACCINAL *Calendrier vaccinal 2013 et 2014 *Données Infovac : L ensemble des règles de rattrapages vaccinaux sont résumés dans le tableau ci-dessous.
12 V. RECOMMANDATIONS VACCINALES SPÉCIFIQUES CHEZ LES PERSONNES IMMUNODÉPRIMÉES ET/OU ASPLÉNIQUE La vaccination en cas d immunodépression présente certaines particularités qui justifient des recommandations spécifiques : contre-indication de principe des vaccins vivants chez l immunodéprimé en raison d un risque possible de survenue de maladie vaccinale utilisation de schémas vaccinaux particuliers en raison de la diminution de l immunogénicité des vaccins en cas de déficit immunitaire ; justification de vaccinations spécifiques pour les immunodéprimés et aspléniques car risque élevé de certaines infections. La vaccination de l entourage de ces patients, y compris du personnel soignant, est aussi importante car elle contribue à la protection de ces personnes. Les recommandations vaccinales spécifiques sont résumées dans le tableau ci-joint. VI. SOURCES D INFORMATION Calendrier vaccinal 2014 : Mesvaccins.net : Infovac France : Haut Conseil de la santé publique (HCSP). Avis relatif à la simplification du calendrier vaccinal du 21 décembre 2012 : 21 p. Documents pdf Calendrier vaccinal 2014 Règles du rattrapage vaccinal Recommandations spécifiques chez les personnes immunodéprimées et/ou apsléniques Calendrier enfant 2014 Calendrier adulte 2014 Calendrier de rattrapage et de transition 2014
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