LES INVESTISSEMENTS ÉTRANGERS EN LORRAINE DEPUIS LA LIBÉRATION et leurs conséquences sur le développement économique

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1 DEPUIS LA LIBÉRATION et leurs conséquences sur le développement économique par M. René BOUR, membre titulaire L'annonce, quelques jours avant Noël dernier, du choix de la Lorraine mosellane avec le site de Hambach près de Sarreguemines, par le constructeur allemand Mercedes associé à l'horloger suisse inventeur de la montre Swatch, pour y monter une voiture micro-compacte urbaine baptisée Swatchmobile, a été célébrée par les différents médias comme un événement exceptionnel. Cette implantation, qui représente un investissement de 2,6 milliards de francs et va créer emplois directs, avait été sollicité par 75 sites européens! C'est dire combien âpre fut la compétition qui déboucha sur ce qui a été considéré comme une grande victoire remportée par la Lorraine. Aprement recherchés, ces investissements étrangers ne sont toutefois pas récents en Lorraine. Le développement, à partir de la fin du siècle dernier, des industries de base, avaient attiré les premiers d'entre eux : allemands et belges dans la sidérurgie, belges encore, avec Solvay, dans la chimie. Entre les deux guerres mondiales, c'est dans le domaine inattendu de la chaussure que Bata s'implante en 1931 à Moussey dans la zone des étangs. Mais le mouvement devait se développer après la Deuxième Guerre mondiale. Amorcé fortuitement dans la décennie des années 1950, il devait s'accélérer dans les années 1970 et être relancé dans les années Un concours de circonstances particulières est à l'origine, à la fin des années 1950, de l'implantation en Moselle d'une première série d'entreprises étrangères, d'origine sarroise, à savoir, le retour de la Sarre à la République fédérale allemande. Durant la période allant de la fin de la Deuxième Guerre mondiale au 30 juin 1959, date de sa réintégration économique à cette Allemagne, la Sarre avait vécu sous le régime de l'union douanière avec la France. Ses échanges commerciaux avec la Moselle, comme d'ailleurs avec l'ensemble de la France, stimulés par l'absence de frontière, s'étaient particulièrement développés. Ainsi, en 177

2 1955, année du référendum qui devait décider du nouveau statut de la Sarre, la Moselle y avait écoulé pour plus de 5 milliards de francs de cette époque en produits et marchandises représentant plus de 40 % de l'ensemble des ventes françaises à ce land. Le retour de la Sarre à la R.F.A. allait entraîner la fin de ce régime particulier des échanges commerciaux et amener les industriels sarrois à revoir l'organisation et l'écoulement de leur production. Bon nombre d'entreprises sarroises, notamment de la transformation des métaux, avaient développé leur production en fonction de leur libre accès au marché français. Aussi, afin de conserver ce débouché, beaucoup d'entre elles décident de s'installer en Moselle durant la période transitoire - allant de la date du référendum à celle du retour à l'allemagne - soit par le biais d'une filiale, soit par le transfert d'une partie de leur usine et le plus souvent à proximité immédiate de la frontière afin de ne pas être trop éloignée de l'usine-mère. Cette industrialisation de la zone frontalière mosellane rencontre d'ailleurs l'adhésion des milieux des charbonnages. L'abondance et le bon marché du pétrole à la fin de la décennie des années 1950 entraînent une incertitude sur la poursuite de l'expansion des Houillères du Bassin de Lorraine et surtout sur leur possibilité de maintenir le plein emploi dans la zone de drainage de leur main-d'œuvre. D'où l'intérêt d'entamer une diversification industrielle que l'implantation d'entreprises sarroises peut largement amorcer. Celles-ci sont particulièrement attirées par les sites de Creutzwald, de Forbach, de Saint- Avold, de Bouzonville et surtout de Sarreguemines situées à proximité de la frontière. Ainsi, plusieurs entreprises sarroises donnent dès 1957 leur accord à la municipalité de Sarreguemines pour s'implanter dans cette localité à la condition d'y trouver des terrains équipés. Les travaux nécessaires sont terminés au début de Les 36 hectares de la première tranche de cette zone industrielle sont occupés par 17 entreprises, la plupart d'origine sarroise et qui créent un total de emplois. Parmi les plus importantes Koch, constructions métalliques (135 emplois), M.EL, matériel de fond et d'industrie (130), les Constructions Métalliques Leffer (100), Ferto- France, machines à bois (60), Hazemag, constructions métalliques (55). La firme allemande de pneumatiques Continental vient s'implanter à son tour pour y créer 500 emplois, progressivement portés à un millier A Bouzonville, les trois entreprises sarroises de la transformation des métaux, Gerlach et Secossar sont rejointes en 1967 par la filiale allemande Girling du groupe anglais Lucas qui se spécialise dans la fabrication de freins. Dès 1968, ces quatre entreprises totalisent environ emplois. En 1970, les Constructions Métalliques de Bouzonville, spécialisées au début de leur activité dans la fabrication, bien particulière pour la région, de panneaux de cales de navire, fusionneront avec une autre société pour devenir l'entreprise Sécométal dont la production sera plus variée (charpente métallique, pont roulant, etc.). 178

3 En quelques années ce ne sont pas moins de 200 entreprises sarroises allant de quelques salariés de l'entreprise semi-artisanale à celle occupant plusieurs centaines de salariés, qui s'installent en Moselle. La nature de leur production est très diversifiée : de la culture de plantes en pots à la fabrication de matériels de mines, en passant par celle de câbles métalliques et de meubles, mais la transformation des métaux domine. Cette implantation soudaine et massive à une période où règne toujours le plein emploi n'est pas sans inquiéter le patronat mosellan. Lors de la séance du 27 septembre 1956 de la Chambre de Commerce et d'industrie de la Moselle, Hubert Rousseau, président en exercice de l'union Patronale Interprofessionnelle de la Moselle (UPIM), partant du constat qu'à cette date la transformation des métaux occupe environ salariés en Sarre contre à peine en Moselle, regrette que la création, souhaitée, de nouvelles entreprises soit le fait d'investisseurs étrangers, surtout sarrois. Il déplore "le peu d'empressement des industriels de la région parisienne ou d'autres régions de France à venir s'installer en Moselle ". Appréhendant la concurrence de ces entreprises sarroises, dont il convient "de décourager les tentatives d'implantation dans les zones où la langue allemande est couramment pratiquée" il condamne les agissements de certaines municipalités se livrant "à un curieux racolage d'industriels sarrois". De même, il demande au président de la Chambre de Commerce d'intervenir auprès des banques du département afin quelles agissent pour le moins avec "une certaine modération" dans leurs offres de crédit aux industriels étrangers, et particulièrement sarrois désireux de s'installer en Moselle. On est loin du contenu des discours qui seront tenus dans les années 1980 où l'on multipliera les prévenances et les avantages aux investisseurs étrangers pour les convaincre de venir s'implanter en Lorraine! Cette inquiétude trouve en grande partie son explication dans le fait qu'à l'époque le principal frein à la création d'une entreprise en Moselle est l'extrême difficulté à trouver une main-d'œuvre qualifiée. Or l'implantation massive des industries étrangères, surtout sarroises, dans un laps de temps relativement court, accentue cette rareté et pèse sur les coûts de cette main-d'œuvre. La tension sur le marché du travail persiste. Elle entraîne le recours massif à la main-d'œuvre étrangère : en 1963, avec étrangers officiellement dénombrés, la Moselle atteint le maximum de sa population étrangère pour la période de l'après-libération. A lui seul, ce département compte 60 % des étrangers résidant alors en Lorraine et ils représentent 17 % de la population active mosellane. 179

4 "S'il est possible de trouver à l'étranger une main-d'œuvre banale pour les postes subalternes, en revanche, le manque d'ouvriers qualifiés, impossible à conjurer dans les délais indispensables à toute formation, est devenu un frein à l'expansion pour plus d'une entreprise" reconnaît en juillet 1969 le commissaire à la conversion industrielle Jean Quesnel qui occupe alors ce poste depuis sa création en octobre A cette date, et pour l'ensemble de la Lorraine, le nombre des offres d'emploi non satisfaites dépasse encore celui des demandes non satisfaites. Ainsi, en juin 1969, on enregistre offres d'emploi non satisfaites pour demandes avec un déséquilibre entre les catégories des travailleurs manuels, qui enregistrent quatre fois plus de postes à pourvoir que de demandes, et celle des employés de bureau où les demandes d'emploi sont supérieures aux offres. Ce déséquilibre va persister jusqu'au début de la crise économique mondiale consécutive au premier choc pétrolier de l'automne 1973 : pour le premier semestre 1974, les métiers de la transformation des métaux compteront encore offres d'emploi non satisfaites pour 795 demandes non satisfaites. Durant cette période de plein emploi, mise à part la parenthèse des implantations industrielles sarroises, le mouvement des implantations industrielles étrangères en Lorraine connaît une légère pause. Puis, il va reprendre en s'amplifiant stimulé par la construction européenne et la libéralisation des échanges au point qu'en 1994, selon les statistiques de l'insee régionale, on ne compte pas moins de 316 entreprises industrielles étrangères regroupant plus de emplois industriels, soit, en gros, un salarié industriel sur quatre. Huit années auparavant, selon là même source, on ne dénombrait que 204 entreprises industrielles étrangères totalisant salariés ; ainsi dans ces huit dernières années, la proportion des salariés appartenant à une firme étrangère dans l'ensemble des effectifs industriels lorrains est passée de 18,6 % en 1986 à 26,4 %. Cette progression s'est faite régulièrement. Si on se réfère à l'association pour l'expansion industrielle de la Lorraine, emplois industriels avaient déjà été créés, entre 1969 et 1975, par des entreprises étrangères dont par des Allemands, par des Américains, par des Anglais, par des Canadiens, par des Suisses, par des Italiens. Les dérèglements entraînés par les deux chocs pétroliers de la décennie 1980 ne sont pas étrangers à un ralentissement momentané de ces investissements : en 1976, cette association ne négocie la création que de 635 emplois émanant d'entreprises étrangères contre l'année précédente. Ces investissements reprennent dans les années 1980 avec notamment l'arrivée de grands groupes internationaux tels les groupes américains Kimberley (produits cellulosiques) à Toul, où l'investissement dépasse le milliard de francs, et Allied Signal (fibres artifi- 180

5 cielles) à Longwy ; le canadien Northern Telecom (téléphonie) à Verdun et le norvégien Norsk Skog Industries (pâte à papier) effectuant à Golbey, avec 2,8 milliards de francs, l'investissement le plus important jamais réalisé dans les Vosges. Une autre vague, plus récente, élargit à l'asie du sud-est l'origine de ces investisseurs étrangers. Elle est d'abord alimentée par les Japonais : Clarion (auto-radios) en est le précurseur à Custines. Elle est surtout dirigée sur le v Pôle Européen de Développement (RE.D.) de Longwy qui offre de gros avantages : les japonais Yuko (visserie), Panasonic, JVC (électronique) s'y installent. Mais les japonais s'établissent aussi dans les Vosges : Minolta (composants de photocopieurs) à Eloyes, Toshiba (lampes halogènes) à Raon l'etape et sont présents sur le technopôle de Nancy-Brabois avec la firme Keio (recherche électronique). Puis viennent les Sud-Coréens : Haïta (auto-radios) et surtout Daewoo qui construit deux usines (fours à micro-ondes d'une part ; tubes de téléviseurs d'autre part) sur le RE.D. et une troisième (téléviseurs) en dehors de cette zone, à Fameck, et implante un centre de recherche sur le site du technopôle de Metz Tout récemment, c'est un groupe de Hong-Kong, qui, par l'intermédiaire d'une filiale, reprend l'usine Thomson de Maxéville, alors qu'un groupe de Singapour envisage de construire à Bar-le-Duc, désormais doté d'importants laboratoires spécialisés dans l'agro-alimentaire, une usine de préparation de plats cuisinés asiatiques destinés au marché européen. Pour cette période de 1980 à 1990, la Lorraine, selon la Datar, est ainsi, mise à part l'ile-de-france, la première région française pour le nombre des emplois industriels créés par les implantations étrangères, soit pour les seules entreprises allemandes (5 672), américaines (3 820), anglaises (1 646) et japonaises (1 210). 13,4 % des investissements étrangers effectués en France durant cette période ont été dirigés sur la Lorraine, soit environ 26 % des investissements allemands, 13,5 % des investissements anglais, 9,2 % des investissements américains et 7,3 % des investissements japonais. Pour les deux années suivantes, la Lorraine conserve cette première place pour le nombre des emplois industriels négociés avec des entreprises étrangères (3 100 en 1991 et un peu plus de en 1992, dont les 900 négociés avec le Sud-Coréen Daewoo) et retrouve cette première place en 1994 avec emplois négociés après un fléchissement en 1993 (2 200 emplois). Parmi les entreprises les plus anciennement implantées, beaucoup réalisent des extensions qui illustrent leur dynamisme. Ainsi, en 1991, les trois plus grands projets d'extension, devant se traduire chacun par la création de plus de 330 emplois, concernent le groupe allemand Viessmann (chaudières) à Faulquemont, le groupe américain TRW (pièces d'automobiles) à Ramonchamp et le groupe Philips, devenu actionnaire principal de Grundig (téléviseurs) à Creutzwald. 181

6 Ce redoublement d'intérêt des investisseurs étrangers pour la Lorraine s'explique dans la plus grande partie des cas par la situation géographique de la région. Pour les entreprises étrangères installées chez elle, la Lorraine sert de rampe de lancement à leurs productions pour une pénétration des marchés rhénans et autres européens, sans pour autant négliger le marché français. "Forbach a été choisie comme tête de pont vers le marché du nord de la France, mais aussi de VEurope", explique le céramiste italien Fin Riwal qui s'établit dans cette localité en "Notre usine fournira en premier lieu les journaux du Grand Est de la France. L'Allemagne constitue sa seconde cible. Enfin elle vise une bonne répartition européenne pour le reste de sa production " commente le directeur commercial de Norske Skog Industrier lors de la mise en service à la fin de 1991 de l'usine que cette entreprise norvégienne a implantée au sein du département le plus boisé de France. D'autres facteurs interviennent : la qualité et la densité des voies de communication, certes améliorables mais dans l'ensemble estimées satisfaisantes ; la culture industrielle de la région qui a formé une main-d'œuvre sérieuse et appréciée ; le potentiel de formation et de recherche ; l'offre désormais plus variée de zones et de terrains industriels ; le cadre de vie - le directeur de Minolta s'est déclaré d'emblée séduit par le site vosgien retenu - sans oublier les aides financières. Sur les entreprises en provenance de 16 pays représentés en 1994 en Lorraine, la moitié sont allemandes et concentrent un peu plus du tiers des emplois de création étrangère. Cette prédominance est l'illustration d'une logique centrée sur les effets de proximité comme le confirme l'extrême concentration des investissements allemands dans l'est mosellan (75 %). Cet effet de proximité n'est toutefois pas exclusif des grandes stratégies élaborées au niveau mondial sinon européen, ce qui est notamment la caractéristique des investissements américains, très nombreux dans les Vosges et venant en second lieu avec 12 % des entreprises et 20 % des emplois. Ces capitaux étrangers sont particulièrement importants dans le secteur de la transformation des métaux et de la mécanique où ils représentent emplois soit 28 % du total répartis dans une soixantaine d'entreprises. Si on y ajoute la vingtaine d'entreprises de l'automobile dans lesquelles ils sont présents et leurs salariés, cet ensemble équivaut à 40 % des emplois créés par les firmes étrangères. Celles-ci ont également pénétré le secteur de la chimie et des activités annexes (caoutchouc, plasturgie hors automobile), soit une trentaine d'entreprises pour emplois. Ces capitaux étrangers ne sont pas négligeables dans la chaussure où ils représentent près de 40 % des investissements et, avec 1 500, la moitié des emplois de ce secteur. Plus récents, les capitaux sudasiatiques engagés ou en cours d'engagement à cette date, principalement dans l'électronique, représentent environ emplois soit 7,5 % du total 182

7 des emplois dûs aux entreprises étrangères. Enfin, l'industrie de papiercarton s'ouvre à son tour à l'investissement étranger. Ces entreprises concourent largement à l'ouverture de la Lorraine sur l'économie mondiale. Bon nombre d'entre elles sont de véritables entreprises autonomes dotées d'une politique de recherche et de développement. Beaucoup sont innovantes : sur la soixantaine de projets soutenus en 1992 par la délégation régionale de l'anvar, une dizaine émanaient d'entreprises lorraines à participation étrangère, telle Grundfos, implantée à Longeville-lès-Saint- Avold, entreprise à capitaux danois qui pratique une politique d'innovation soutenue dans le domaine des pompes d'alimentation en eau. Par leur extension, beaucoup d'entreprises créent davantage d'emplois qu'elles n'en avaient annoncé lors de leur démarrage. Les échecs sont rares. Une mauvaise appréciation du marché, une surcapacité dans les moyens de production sont à l'origine du dépôt de bilan, en 1982, de la firme allemande Bauknecht (fabrication de réfrigérateurs et de congélateurs) implantée à Saint-Avold en 1976 et qui compte jusqu'à un millier de salariés. Les locaux seront repris à la fin des années 1980 par la firme suédoise Perstop spécialisée dans le travail du plastique. Victime de difficultés financières et de restructurations à répétition de sa maison mère, la firme italienne Montefibre-France, implantée à Saint-Nabor en 1966 et qui avait atteint, elle aussi, le millier de salariés, est mise en liquidation en Si elle est enviable sur le plan de l'activité, de la création d'emplois et du renforcement de la vocation internationale de la Lorraine, l'implantation d'entreprises étrangères n'en soumet pas moins la région aux aléas des stratégies industrielles et financières de groupes étrangers et aux choix de délocalisation et de restructuration pouvant en résulter. Le précédent de l'unité Grundig à Creutzwald en apporte l'illustration. Confronté à une nécessité de restructuration imposée par de mauvais résultats financiers, Philips envisage au début de 1993 la fermeture de cette usine mosellane alors en cours d'extension malgré ses bons résultats et qui emploie 900 salariés et le transfert de sa production dans une autre usine du groupe en Autriche. Elle est finalement rachetée par le groupe britannique Gooding qui impose une diminution de près des deux tiers des effectifs. Dans son rapport sur la conjoncture en Lorraine en 1992, la Chambre régionale de commerce et d'industrie de Lorraine insiste sur cette nouvelle évolution : "Dans un contexte de ralentissement de la conjoncture et sous la pression de la concurrence exacerbée entre pays pour rendre leur territoire attractif, certaines entreprises à capitaux étrangers, implantées dans la région, révisent leur stratégie d'investissement à la baisse. Elles limitent également leurs moyens de production en Europe à un nombre plus restreint de sites pour bénéficier d'économies d'échelle et réduire des coûts d'investissements plus lourds induits par des technologies sophistiquées". 183

8 Ainsi, longtemps refermée sur elle-même du fait de son rôle de marche frontalière, la Lorraine s'est ouverte progressivement au grand large depuis une cinquantaine d'années. Les firmes étrangères, qui ont renforcé leur présence durant ces dernières années, y réalisent 38 % de leurs ventes à l'exportation contre 26 % pour les groupes français. C'est une confirmation des objectifs visés par de nombreux industriels étrangers : l'extension de leurs marchés à l'europe tout entière. Désormais favorisée par sa situation géographique au centre de l'europe, la Lorraine est devenue très attractive pour les investisseurs étrangers dont les implantations chez elle sont une des caractéristiques de son économie contemporaine. 184

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