Données sectorielles semences et plants 2011 Evolution
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- Marianne Lachapelle
- il y a 7 ans
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1 ENQ.1305 Données sectorielles semences et plants 2011 Evolution Le GNIS a réalisé en 2011 une enquête auprès des entreprises du secteur semences. L objectif de cette enquête est de décrire la situation actuelle de la filière française des semences et plants pour ce qui concerne les activités de sélection, de production et de commercialisation, de manière globale, et par grands groupes d espèces 1. Une précédente enquête sur le même thème, réalisée en 2006 (exercice comptable de la campagne ou de l année civile 2005), permet d avoir un point de référence pour mettre en évidence les principales évolutions. Le questionnaire a été envoyé à 216 entreprises ou groupes, ce qui représente un échantillon exhaustif des entreprises ayant une activité de sélection et (ou) de production sur le territoire national à l exception du secteur des plants de pommes de terre réponses ont pu être reçues. Les principales non réponses concernent à une exception près des entreprises pour lesquelles l activité semences est marginale. Les données des non répondants et les producteurs-vendeurs de plants de pommes de terre ont été estimées en utilisant différentes sources (enquête précédente, publications légales auprès des greffes des tribunaux, articles de presse et sites Internet des entreprises, connaissances «terrain» des agents du Gnis ). L évaluation de l activité du secteur des plants potagers (Ail, asperge, échalote, fraisier) n a pu être faite, faute d un nombre de réponses suffisant. Les données des entreprises ayant répondu ont été intégrées dans la rubrique «Autres et non ventilés». Les données de 261 entreprises ont été exploitées pour présenter les résultats ci-après. Ces données portent sur les exercices comptables de la campagne ou de l année civile Afin d éviter les doubles comptes, les entreprises ayant une activité de négoce pur ont été exclues du champ de l enquête. 2 Pour le secteur de plants de pommes de terre, les collecteurs ont tous été interrogés. Les agriculteurs «producteursvendeurs» exercent une activité qui va de la multiplication du plant jusqu'à la commercialisation du produit fini et sont par conséquent de part les fonctions qu ils exercent assimilables à des entreprises productrices telles que l on en rencontre pour les autres espèces. Cependant, seuls les producteurs cultivant 10 ha ou plus ont été retenus, soit 77 entités. 02/02/2012 1/8 ENQ. 1305
2 1. Données générales 1.1. Le chiffre d affaires Le chiffre d'affaires témoigne du volume d'affaires généré par l'activité courante de l entreprise et permet ainsi d'en apprécier la dimension. Cependant, pour mesurer l'activité du secteur semences, et effectuer des comparaisons, le chiffre d'affaires total obtenu en sommant les chiffres d affaires des entreprises n est pas un indicateur significatif car il inclut des achats pour la revente et des sous-traitances. Ces données de chiffre d affaires n ont été utilisées que pour élément de mesure de la concentration du secteur (cf 1.3). Le chiffre d affaires du secteur au stade gros est évalué chaque année par le GNIS en additionnant la valeur des ventes en France et des exportations (source douanes). La valeur des ventes en France est évaluée espèce par espèce en multipliant la quantité de semences vendues sur le marché intérieur par la valeur moyenne de la semence. Le chiffre d affaires ainsi calculé à progressé de 23 % en valeur courante en 5 ans passant de 2 Mrd pour la campagne à 2,4 Mrd pour (Tab1). Les plus fortes progressions sont observées dans les secteurs oléagineux (+ 58 %), céréales à paille (26 %), pomme de terre (25 %) et potagères (24 %). Le chiffre d affaires du secteur fourragères et gazons est resté stable en euros courants et à donc diminué en euros constants. Tab 1 - Secteur semences - Chiffre d'affaires (en m courants) Chiffre Chiffre Groupes d'espèces affaire affaire Variation % Céréales à paille & protéagineux % Maïs et sorgho % Fourragères et gazons % Betteraves % Pommes de terre % Oléagineux et fibres % Potagères et florales % Ensemble % Mis à part le secteur des céréales à paille, pour lequel l augmentation est due à un effet prix 3, la progression des autres secteurs est principalement la conséquence de la progression des exportations (tab2). Tab 2 - Secteur semences - Ventes France et export (en m courants) Vente Vente Exports France France Variation Groupes d'espèces % Exports Variation % Céréales à paille & protéagineux % % Maïs et sorgho % % Fourragères et gazons % % Betteraves % % Pommes de terre % % Oléagineux et fibres % % Potagères et florales % % Ensemble % % 3 Sur la période, le volume commercialisé en semences de céréales à paille est passé de tonnes à tonnes. 02/02/2012 2/8 ENQ. 1305
3 Toutes espèces confondues, la valeur des exports est passée 646 m à 923 m soit une progression de 43 %, tandis que la valeur des ventes sur le marché intérieur passait de 1,3 Mrd à 1,5 Mrd soit une progression de 13 %. Les plus fortes augmentations à l export s observent pour les oléagineux avec % et les potagères + 45 %. Pour les oléagineux, le gain est la conjonction du développement de productions de colza en sous-traitance pour le marché Allemand et de tournesol pour les pays de la mer noire. France - Production de semences pour l'export 400 Indice bases 100 en Colza Maïs Tournesol Potagères fines Année 1.2. Les entreprises Les données élémentaires par entreprise ont été, si nécessaire, agrégées par groupe d appartenance. L ensemble des résultats ci-après est relatif aux résultats agrégés (Tab3). 66 groupes d entreprises ou entreprises indépendantes exercent une activité de sélection contre 64 en Une enquête plus ancienne datant de 2001 évaluait le nombre à 66. Cette apparente stabilité masque en fait des évolutions divergentes avec, d un côté, les semences de grande culture, secteur pour lequel une importante concentration a eu lieu au cours de la période , et de l autre, le secteur des potagères où le nombre d entreprises a augmenté. Tab 3 - Les entreprises Nombre de Céréales - groupes ou protéagineux entreprises 2011 Maïs Fourragères Betteraves Pommes de terre Oléagineux et fibres Potagères Divers Total Sélection Production Ensemble Si l on ne tient pas compte de la notion d appartenance à un groupe, le nombre d entreprises de sélection est de /02/2012 3/8 ENQ. 1305
4 253 groupes ou entreprises exercent une activité de production contre 261 en Cette diminution est liée à la poursuite de la concentration du secteur coopératif et à la disparition de petites unités de production Concentration du secteur Le secteur semences est encore relativement peu concentré puisque les onze premières entreprises (classe de CA de plus de 50 m ) réalisent 58 % du chiffre d affaire du secteur. En 2006, cette classe avec 10 entreprises représentait 51 % du chiffre d affaires. Les entreprises de taille moyenne (15-50 m de CA) sont au nombre de 28 et représentent 26 % du CA contre respectivement 21 et 26 % en Les très petites entreprises, réalisant moins de 15 m de chiffre d affaires, sont au nombre de 222 et contribuent pour 16 % au chiffre d affaires total. Leur nombre et poids économique a diminué puisqu elles étaient 240 en 2006 et réalisaient 23 % du chiffre d affaires du secteur L emploi Les effectifs ont progressé de 10 % passant d un peu plus de 8500 équivalents temps plein à un peu moins de 9400 (Tab 5) L emploi par fonction Tab 4 - Concentration du secteur Classe de CA (m ) Nombre % Nombre % + de % 11 58% % 14 16% % 14 10% % 11 5% % 24 6% % 52 5% - de % 135 1% Ensemble % % Les effectifs recherche sont quasiment stables par contre ils progressent pour toutes les autres activités (production, marketing développement, commercial, administration). Tab 5 - Effectifs par fonction Recherche % Production % Marketing/développement % Commercial % Administration % Total % 5 Pour avoir une évaluation de l emploi total généré par l activité semences de l amont à l aval, il faudrait y ajouter la part du personnel des entreprises de l agrofourniture qui se consacrent à l activité de distribution, soit essentiellement des commerciaux et du personnel administratif. 02/02/2012 4/8 ENQ. 1305
5 L emploi par catégories Le nombre de personnels employés ou ouvriers reste quasiment stable avec 3730 personnes. Les effectifs saisonniers progressent fortement passant de 1530 à 1834 (+ 20 %). Au total ces deux catégories représentent 60 % des effectifs (52 % dans le secteur agroalimentaire) L emploi par groupe d espèces Tab 6 - Effectifs par CSP Cadres supérieurs % Cadres moyen % Employés/ouvriers % Saisonniers % Total % Fort logiquement, l emploi a diminué dans les secteurs des céréales, secteurs pour lesquels les volumes produits et commercialisés ont diminué. A l inverse, l emploi a progressé sur les secteurs en croissance sur les marchés exports (Maïs, oléagineux, potagères). Tab 7 - Effectifs par groupes d'espèces Céréales et protéagineux % Maïs % Fourragères et gazons % Betteraves % Pommes de terre % Oléagineux et fibres % Potagères % Divers % Total % Chiffre d affaires par salarié Le chiffre d affaires moyen par salarié est de , avec aux extrêmes, les betteraves ( ) et les potagères ( ). Il était de pour la précédente enquête. Tab 8 - Chiffre d'affaire par salarié Céréales et protéagineux Maïs Fourragères et gazons Betteraves Pdt Oléagineux et fibres Potagères Divers et non ventilés Total CA per capita (1000 ) /02/2012 5/8 ENQ. 1305
6 2. La recherche 2.1. Le budget Le budget recherche a augmenté de 25 % en 5 ans passant de 189 m à 236 m. Pour les entreprises exerçant une activité recherche, le ratio Budget recherche/chiffre d affaires est en moyenne de 13 %. Ce ratio était identique il y a 5 ans. Du point de vue de l effort de recherche le secteur se situe entre la pharmacie (14 %) et l électronique (9 %). Le budget recherche a très fortement augmenté en potagères (+ 68 %) et en oléagineux (+ 41 %). Il est par contre en diminution pour les fourragères (-14 %), les betteraves (- 11 %) et le maïs (- 6%). Ces évolutions doivent s analyser avec prudence du fait du poids pris par la rubrique divers (9,4 M ). Au sein du budget recherche, 31 m sont consacrés aux biotechnologies contre 20 m pour la période précédente 6. Ces dépenses en forte croissance concernent de plus en plus le marquage moléculaire au détriment de la transgénèse L emploi Un quart de l emploi du secteur semences concerne la recherche avec 2281 équivalents temps plein. Les effectifs ont fortement augmenté pour les oléagineux (+ 42 %), les potagères (+ 35 %), les pommes de terre (+ 46 %) et les betteraves (+15 %). Ils sont par contre en en nette diminution en maïs (- 18 %) et en céréales (-13 %). Tab 9 - Budget recherche (1000 ) Céréales et protéagineux % Maïs % Fourragères et gazons % Betteraves % Pommes de terre % Oléagineux et fibres % Potagères % Divers % Total % Tab 9 bis - effectifs recherche Céréales et protéagineux % Maïs % Fourragères et gazons % Betteraves % Pommes de terre % Oléagineux et fibres % Potagères % Divers / non ventilés % Total % Les effectifs les plus nombreux se trouvent dans les secteurs potagères avec 730 personnes, maïs avec 528 personnes et céréales-protéagineux avec 399 personnes. 6 L activité dans le domaine des biotechnologies de la recherche publique, des partenariats public-privé et privé-privé sont hors du champ de l enquête. 02/02/2012 6/8 ENQ. 1305
7 Les effectifs de personnel de laboratoire d analyses et de laboratoire de biotechnologie ont fortement progressé avec respectivement 395 personnes (248 en 2006) et 183 personnes (156 en 2006). L activité de sélection reste cependant toujours exigeante en effectifs terrain avec 1703 personnes soit 75 % des effectifs. Effectifs recherche Terrain 1703 Laboratoire 395 Biotechnologies 183 Total Les investissements Les investissements réalisés sur la période étaient de 111 m et devraient, selon les prévisions des entreprises, atteindre 155 m pour la période La production 3.1. L emploi Trois secteurs concentrent la majorité des effectifs de production : le maïs (1451 personnes), les potagères (1017 personnes) et les céréales (716 personnes). Les effectifs ont fortement augmenté pour les oléagineux (67 %), les potagères (38 %) et le maïs (27 %). Ils diminuent pour les céréales à paille de 15 % ce qui s explique par une diminution des surfaces en production de semences. Par contre, les diminutions de 17 % pour les pommes de terre et de 34 % pour les betteraves sont surprenantes car les programmes de production pour ces espèces sont relativement stables Les investissements Tab 10 - Effectifs production Céréales et protéagineux % Maïs % Fourragères et gazons % Betteraves % Pommes de terre % Oléagineux et fibres % Potagères % Divers / non ventilés % Total % Les investissements du secteur se sont élevés à un total de 217 m pour et devraient progresser pour atteindre 238 m pour Conclusion Le chiffre d affaires du secteur semences a progressé de 23 % en 5 ans passant de 2 Mrd à 2,4 Mrd. Cette croissance est due à la progression des exportations avec + 43 % en valeur alors que les ventes sur le marché intérieur ne progressaient que de 13 %. Le nombre d intervenants pour l activité de sélection est quasiment stable avec 66 groupes et entreprises indépendantes. Le nombre d entreprises de production a par contre 7 La valeur des investissements production est sous-évaluée, car faute de données de référence, les investissements des producteurs vendeurs qui n ont pas répondu à l enquête, n ont pas été estimés. 02/02/2012 7/8 ENQ. 1305
8 légèrement diminué passant de 261 à 253. Le secteur reste comparativement à d autres encore peu concentré, les entreprise réalisant plus de 50 m de chiffre d affaires totalisent 58 % du chiffre d affaires total. L activité semences emploie un peu moins de 9400 personnes. L effectif a progressé de 10 % et 36 % de cette progression concerne des emplois de saisonniers pour l activité de production. Les effectifs recherche représentent un peu moins de 2300 personnes. Ils ont peu varié alors que le budget recherche progressait de 25 % passant de 189 m à 236 m. Ce sont principalement les coûts non salariaux liés à l utilisation d outils d aide à la sélection de plus en plus sophistiqués qui ont progressé. Ainsi 31 m ont été dépensés en 2010 pour l utilisation des outils liés aux biotechnologies contre 20 m 5 ans plus tôt. Les opérateurs semblent confiants sur les possibilités de croissance puisqu ils prévoient des budgets d investissement en croissance de 40 % en sélection et de 10 % en production sur la prochaine période quinquennale. 02/02/2012 8/8 ENQ. 1305
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