Bordeaux le 16 avril Faire avancer la santé numérique. Philippe CHANDERNAGOR - ARS Aquitaine
|
|
- Marie-Françoise Aubé
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Faire rimer ambulatoire et territoire, comment faire? Du projet Territoire de Santé Numérique (TSN) aquitain et de ses articulations avec la future loi de santé et le plan triennal Philippe CHANDERNAGOR - ARS Aquitaine Faire avancer la santé numérique Bordeaux le 16 avril 2015
2 Les attendus du projet TSN L appel à projet TSN déterminait des conditions précises : La prise en charge des pathologies chroniques; Sur un territoire «représentatif» et «mesurable» (sorte de «modèle réduit» ou de maquette du système de soins). Dont le(s) établissement(s) de santé sont doté(s) de systèmes d information performants Dans ces conditions l enjeu est de faire «varier» (sur un temps très court) : Les pratiques de santé et de soins (pratiques d hospitalisation, pratiques organisationnelles, pratiques de coordination et de parcours, implication du patient ) Les fonctionnalités et les usages du numérique; (Les modalités de financement). PRESPS : Programme de recherche sur la performance des systèmes de soins
3 Les 4 hypothèses du projet TSN aquitain Hypothèse 1 : Les prises en charge doivent être modulées selon 4 niveaux de risque et de vulnérabilité que traverse inéluctablement toute personne atteinte de pathologie(s) chronique(s); Hypothèse 2 : Le domicile (et le premier recours) doi(ven)t être le centre de gravité du dispositif de prise en charge des personnes porteuses de pathologie(s) chronique(s); Hypothèse 3 : L organisation mise en place doit générer confiance et sécurité sans aucune rupture de charge; Hypothèse 4 : Les fonctionnalités et les usages du système d information doivent «supporter» le patient dans tout le déroulé de son parcours de soins.
4 Hypothèse 1 : Les prises en charge doivent être modulée selon 4 niveaux de risque et de vulnérabilité que traverse inéluctablement toute personne atteinte de pathologie(s) chronique(s) Santé Une Maladie Naissance HIER Finitude «Santé» des «Maladies» Naissance Finitude AUJOURD HUI Représentation à l échelle individuelle : un constat objectif
5 Hypothèse 1 : Les prises en charge doivent être modulée selon des niveaux de risque et de vulnérabilité des personnes oune pathologie chronique impose une nouvelle réalité : le «C EST POUR LA VIE». Elle modifie la subjectivité de la maladie. ole projet de vie de chacun est fortement teinté par l APPRÉHENSION DU RISQUE Phases (je veux savoir Perception ce que j encoure ) «Réaction qui» débouche de plus en plus sur une 0. volonté de MAITRISE je des fais attention rien ne va arriver risques et ce, tout du long : je ménage mon capital santé JE METS EN PERSPECTIVE 1. on ne veut pas trop y penser on gère, on maitrise, on cherche à banaliser 2. tout peut arriver on veut être sécurisé 3. «tout arrive» on veut être aidé Représentation à l échelle individuelle : une lecture «subjective» de la réalité du risque et une modification des comportements
6 Hypothèse 1 : Les prises en charge doivent être modulée selon des niveaux de risque et de vulnérabilité des personnes Traduction au niveau d une population : La pyramide de Kayser Très haut risque 5% Vulnérabilité maximale Haut risque 15%
7 Mise en perspective des facteurs de protection en regard de la vulnérabilité
8 Hypothèse 1 : Les prises en charge doivent être modulée selon des niveaux de risque et de vulnérabilité des personnes PPS Niveau 3 Gestionnaire de cas Niveau 2 Procédure de protection PPS Niveau 1 Ajustement mutuel Patient co-traitant
9 Hypothèse 2 : Le domicile (et le premier recours) doit être le centre de gravité du dispositif de prise en charge des personnes porteuses de pathologie(s) chronique(s) Phases Perception «Réaction» Le rapport à l hospitalisation 0. Rien ne va arriver je fais attention personne n est à l abri aucun 1. on ne veut pas trop y penser on gère on maitrise on cherche à banaliser 2. tout peut arriver on veut être sécurisé 3. «tout arrive» on veut être aidé on a pas que ça à faire «plage d agenda» «on ne va pas passer sa vie à l hôpital» (un séjour long pouvait se comprendre s il pouvait être résolutif) On recherche des procédures «allégées» rester chez soi le plus longtemps possible parce qu on n y reviendra pas Une forte attente individuelle hôpital VILLE
10 Hypothèse 2 : Le domicile (et le premier recours) doit être le centre de gravité du dispositif de prise en charge des personnes porteuses de pathologie(s) chronique(s) Proportion Projection des plus de des 75 ans hospitalisations des plus de 75 ans sur le taux d hospitalisation actuel % Population générale Part des plus de 75ans dans la population % Progression des hospitalisations des plus de 75 ans sur le taux d hospitalisation actuel (500/1000 habitants) % % % % % Sources : PMSI, DREES, INSEE (Scénario central : fécondité à 1,8 enfant par femme, mortalité tendancielle, solde migratoire à ) Une ardente obligation collective hôpital VILLE
11 Hypothèse 3 : L organisation mise en place doit générer confiance et sécurité sans aucune rupture La «Migration» du système de confiance actuel TEMPOREL FORME / ORGANISATION Système de confiance orienté hôpital / lit «clinique» Rythmicité «rondes» : tour, visite, contre visite Il y a toujours quelqu un «permanence des soins» Compétences / professionnel Hiérarchie du «supposé savoir» Dossier(s) médical qui alimente la recherche Supposé tout voir «d un coup d œil : la pancarte «en observation» Système de confiance territorialisé «numérique» Organisation d un présentiel au domicile PPS Gestionnaire de cas Big data Conseil téléphonique Télémédecine «capteur» «toutes choses égales par ailleurs» fermé Qualifier pour agir (cadre d action) Expropriation du social (ce n est pas médical) Colloque singulier Multidimensionnel Score de vulnérabilité ESPACE Centré sur le lit hospitalier Centré sur le domicile Plateau technique «immédiateté géographique» Valence PLS PT : Immédiateté organisationnelle Pas seulement un Système déporté «avancé» Système d info territorial gestion du temps et de l espace - anticipation
12 Hypothèse 4 : Les informations doivent «supporter» le patient dans le déroulé de son parcours de soins Le système d information ne peut plus se contenter de tracer et de stocker ce qui à été fait ou éventuellement proposer ce qui pourrait être fait Le système d information doit s orienter vers un système de gestion de la production de soins orienté sur «ce qui doit être fait», le suivi de l exécution et l anticipation des aléas À partir d un score de vulnérabilité Sur la base d un présentiel organisé et détecteur de risque En fonction des informations «captées», interprétées et validées
13 Dimensions niveau de «fragilité» Pathologie 1 Pathologie 2 Pathologie 3 Autonom ie Pas de pathologie Pathologie sans symptome limitation modeste activité physique réduction marquée activité physique Pas de pathologie Pathologie sans symptome limitation modeste activité physique réduction marquée activité physique Pas de pathologie Pathologie sans symptome limitation modeste activité physique réduction marquée activité physique Dimensions Socioéconomique /habitat/isole ment Dimension psychique Dimension culturelle/fonct ions supérieures/c ompréhension Dimension entourage (Aide, appui, accom pagnem e nt, ) GIR 6 OK OK Normale Accompagné GIR 5 GIR 4 GIR 3 Modeste Des difficultés transitoires En difficulté dépendance psychique Instable Crises de temps en temps Correcte Difficultés surmontables sans aide Grandes difficultés avec aide mal accompagné Episodique régulier Episodique irrégulier 4 symptômes présents même au repos symptômes présents même au repos symptômes présents même au repos GIR 1-2 Précarité Imprévisible / refus de soin 0 compréhension Seul(e)
14 Signes diagnostic traitement Action multidimensionnelle Un système qui bégaie La bascule projet de vie projet de santé Le niveau de risque doit être déterminant de l action on ne guérit plus du moins souvent du fait de la nouvelle épidémiologie Temporalité Du RÉSOLUTIF Acte Séjour / CIM 10
15 2. «Pratiques du domicile» pour les acteurs du premier recours : projet de programme fonctionnel pour les services aux professionnels Mobilisation et organisation pratique des premiers et seconds recours (prises de rendez-vous ; gestion des agendas ;...) en expertise et/ou en compétence : Professionnels de santé, intervenants sociaux, avis spécialisé (téléconsultation, télé-expertise...) et/ou programmation d investigations spécialisées, (hospitalisations programmées ) Accès rapide des informations opérationnelles actualisées sur le cours d une prise en charge d un patient (données médicales et sociales du patient prise en charge...), Activation des services aux patient en particulier ceux favorisant l implication du patient et ceux permettant à celui-ci de gérer de façon optimale sa prise en charge, Mise à disposition d outils et/ou de procédés favorisant les ajustements mutuels entre les différents intervenants d une prise en charge (accès au répertoire opérationnel des ressources du territoire, outils nomades...) Organisation de la mise en œuvre pratique, du suivi et de la gestion des événements non souhaités (ENS = complications, alertes, rupture de charge, ) dans une prise en charge : assistance à la création, mise en œuvre, suivi et adaptation du plan personnalisé de soins notification des alertes mobilisation de gestionnaire de cas Accès rapide (et permanent) en ligne ou via un accueil téléphonique de tous les services
16 2. «Pratiques du domicile» pour les acteurs du premier recours : projet de programme fonctionnel pour les services aux patients et aux aidants Accès à des outils ou procédés ou informations favorisant son implication : Informations générales personnalisée sur la pathologie en cause, programme d éducation thérapeutique spécialisée, informations de prévention, e-coaching, serious-game,.formations aux points de vigilance et signes d alerte, à l autoévaluation, Mise à disposition des informations permettant au patient d autogérer sa prise en charge de façon optimale : accès au répertoire opérationnel des ressources du territoire (annuaire de services de proximité sanitaire et sociaux), agenda, prises de rendez-vous, rappel des prochains rendez-vous par sms, accès aux informations de télésurveillance, auto mesures, dernières prescription (rappels de prise médicamenteuse), assistance aux démarches administratives, choix et gestion de professionnels préférés/favoris (médecin traitant, etc.) Accès à l historique de santé («le dossier») : accès DMP, accès carnet de vaccination, mise à disposition des informations «vives» (accès résultats de laboratoires, dernières prescriptions, ) Accès rapide (et permanent) en ligne ou via un accueil téléphonique ou via une version simplifiée d'accès aux principaux services sur tablette (orientée personnes âgées ou béotiens informatiques)
Télé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale :
Télé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale : Docteur DARY Patrick, Cardiologue, Praticien Hospitalier Centre Hospitalier de St YRIEIX - Haute Vienne 87500 Situé
Plus en détail«Améliorer les parcours de santé des personnes âgées en risque de perte d autonomie»
DOSSIER PAERPA «Améliorer les parcours de santé des personnes âgées en risque de perte d autonomie» 1 _ SOMMAIRE Quelques données chiffrées 3 Les initiatives déjà engagées pour améliorer les parcours de
Plus en détailDr Agnès Caillette-Beaudoin, Medecin-directeur, Calydial (Lyon)
Dr Agnès Caillette-Beaudoin, Medecin-directeur, Calydial (Lyon) Intervention personnalisée à tous les stades de la Maladie Rénale Chronique Prévention de la progression de la maladie rénale Consultation
Plus en détailSYSTEMES D INFORMATION EN SANTE Journée régionale du 12 janvier 2012 - Blois
SYSTEMES D INFORMATION EN SANTE Journée régionale du 12 janvier 2012 - Blois La télémédecine au service des soins de 1 er recours et de l aménagement du territoire dominique.depinoy@acsantis.com Pourquoi
Plus en détailProjet de santé. Nom du site : N Finess : (Sera prochainement attribué par les services de l ARS) Statut juridique : Raison Sociale :
Projet de santé Nom du site : N Finess : (Sera prochainement attribué par les services de l ARS) Statut juridique : Raison Sociale : Adresse du siège social : Téléphone : Mail : Version : Etablie en date
Plus en détailAPPEL À PROJET TSN - SYNTHESE RÉPONSE ARS AQUITAINE
1 Les Landes, et a fortiori le Nord et l Est de ce département, concentrent une majorité des défis de santé publique auxquels certains territoires nationaux sont aussi confrontés : qu il s agisse du vieillissement
Plus en détailMaître de cérémonie Christian Fillatreau, Président du Cluster TIC Aquitaine
Challenge start-up Maître de cérémonie Christian Fillatreau, Président du Cluster TIC Aquitaine Sanilea Régulation des transports et des soins Performance, simplicité, connectivité, intuitivité, mobilité
Plus en détailRéférentiel Officine
Référentiel Officine Inscrire la formation dans la réalité et les besoins de la pharmacie d officine de demain - Ce référentiel décrit dans le cadre des missions et des activités du pharmacien d officine
Plus en détailARRÊTÉ du. relatif au cahier des charges de santé de la maison de santé mentionné à l article L. 6323-3 du code de la santé publique.
RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Ministère du travail, de l emploi NOR : ARRÊTÉ du relatif au cahier des charges de santé de la maison de santé mentionné à l article L. 6323-3 du code de la santé publique. Le ministre
Plus en détailDiplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences
Annexe II Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet,
Plus en détailInsuffisance cardiaque et télémédecine: Exemple du Projet E care : prise en charge à domicile des insuffisants cardiaques en stade III
Insuffisance cardiaque et télémédecine: Exemple du Projet E care : prise en charge à domicile des insuffisants cardiaques en stade III de la NYHA Emmanuel ANDRES et Samy TALHA Service de Médecine Interne,
Plus en détailMaisons de Santé Pluridisciplinaires. Conditions d éligibilité à des soutiens financiers
Maisons de Santé Pluridisciplinaires Conditions d éligibilité à des soutiens financiers Les maisons de santé pluridisciplinaires (MSP) visent à offrir à la population, sur un même lieu, un ensemble de
Plus en détailPlace des mutuelles dans le système de santé français Poids des services de soins et d accompagnement mutualistes
Place des mutuelles dans le système de santé français Poids des services de soins et d accompagnement mutualistes Nathalie CHATILLON FNMF Direction des Affaires Publiques Département International Sommaire
Plus en détailPRADO, le programme de retour à domicile. Insuffisance cardiaque
PRADO, le programme de retour à domicile Insuffisance cardiaque Acteurs locaux CPAM/ELSM de Couverture Enjeux et objectifs du programme Répondre à une volonté croissante des patients Adapter et renforcer
Plus en détailMettre en place de plateformes inter-opérables mutualisées d informations et de services.
7 points pour garantir un bel avenir de la e-santé en France... by Morgan - Dimanche, janvier 30, 2011 http://www.jaibobola.fr/2011/01/avenir-de-la-e-sante-en-france.html La Recherche et le développement
Plus en détailJournées de formation DMP
Journées de formation DMP Le DMP dans l écosystème Chantal Coru, Bureau Etudes, ASIP Santé Mardi 26 juin 2012 Processus de coordination au centre des prises en charge Quelques exemples Maisons de santé
Plus en détailL ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES
L ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES CONTEXTE 1. Pourquoi avoir élaboré un guide sur l éducation thérapeutique du En réponse à la demande croissante des professionnels de santé
Plus en détailREFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL
1 REFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL DEFINITION DE LA PROFESSION ET DU CONTEXTE DE L INTERVENTION L assistant de service social exerce de façon qualifiée, dans le cadre d un mandat
Plus en détailsoins va changer et quelle est la place des TIC?
Pourquoi l organisation des soins va changer et quelle est la place des TIC? Docteur Pierre Simon Président de l Association Nationale de Télémédecine (ANTEL) Luxembourg 15 avril 2010 UN RAPPORT «La place
Plus en détailUn coût, des coûts, quels coûts?
Un coût, des coûts, quels coûts? Robert LAUNOIS (1-2) Journal d Economie Médicale 1999, T. 17, n 1, 77-82 (1) REES France - 28, rue d Assas - 75 006 Paris Email : reesfrance@wanadoo.fr - Site Internet
Plus en détailFINANCEMENT DE L OFFRE DE SOINS EN AFRIQUE. Prof DIE-KAKOU
1 FINANCEMENT DE L OFFRE DE SOINS EN AFRIQUE Prof DIE-KAKOU 2 PLAN INTRODUCTION I- SITUATION II- FINANCEMENT IV- COUVERTURE MALADIE V- DEFIS CMU CONCLUSION 3 INTRODUCTION Services de santé offerts avec
Plus en détailPlateforme Lorraine de services mutualisés pour l échange et le partage de données médicales 16/02/2009
Plateforme Lorraine de services mutualisés pour l échange et le partage de données médicales 16/02/2009 1 Le GCS Télésanté Lorraine La télésanté en lorraine Groupement de Coopération Sanitaire créé en
Plus en détailContrat d Etude Prospective «Industries de santé»
Contrat d Etude Prospective «Industries de santé» Faire ensemble le choix d une politique volontariste des pouvoirs publics et d une implication responsable des industriels du médicament BPI 37, rue du
Plus en détailCertification des coordinations hospitalières de prélèvement d organes et de tissus
Certification des coordinations hospitalières de prélèvement d organes et de tissus Dispositif de certification Depuis 2005, l Agence de la biomédecine a initié la procédure de certification des coordinations
Plus en détailTRAVAUX DU GROUPE GUINEE/CONAKRY ET BISSAO
TRAVAUX DU GROUPE GUINEE/CONAKRY ET BISSAO PLAN DE PRESENTATION BREVE PRESENTATION DES DEUX PAYS - GUINEE/CONAKRY GUINEE BISSAO Population = 7 156 406hbts dont 51% de femmes et 46% de jeunes, - 1 200 000
Plus en détailNouveaux rôles infirmiers : une nécessité pour la santé publique et la sécurité des soins, un avenir pour la profession
Position adoptée par Conseil national de l Ordre des infirmiers le 14 septembre 2010 Nouveaux rôles infirmiers : une nécessité pour la santé publique et la sécurité des soins, un avenir pour la profession
Plus en détailSOMMAIRE I. INTRODUCTION 4 II. SOURCES D INFORMATION 5
SOMMAIRE I. INTRODUCTION 4 II. SOURCES D INFORMATION 5 2.1. ETUDES REALISEES PAR LES SERVICES DES CAISSES D ASSURANCE MALADIE 5 2.2. ANALYSE DE LA LITTERATURE 5 2.3. ANALYSE DES VENTES 6 2.4. COMPARAISONS
Plus en détailProyecto Telemedicina
Seminario Internacional Desarrollo de Servicios Sociales para Personas Mayores 3-4 octubre 2013 Proyecto Telemedicina Dr Jean-Philippe Flouzat Médico geriatra, Consejero Médico Social de la Agencia Regional
Plus en détailDécret n 2010-1229 du 19 octobre
Télémédecine et diabète : le plan d éducation personnalisé électronique para médical (epep) Lydie Canipel Colloque TIC Santé 2011, 8 et 9 février 2011, Paris Décret n 2010-1229 du 19 octobre 2010 relatif
Plus en détailMINISTÈRE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTÉ. Organisation
MINISTÈRE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTÉ _ Direction générale de l offre de soins _ Sous-direction du pilotage de la performance des acteurs de l offre de soins _ Bureau des coopérations et contractualisations
Plus en détaile-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé
e-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé Professeur Michèle Kessler CHU de Nancy et réseau Néphrolor L une des applications de la télémédecine est la télésurveillance à domicile,
Plus en détailLes grandes études de télémédecine en France
Les grandes études de télémédecine en France Optimisation de la Surveillance ambulatoire des Insuffisants CArdiaques par Télécardiologie De Midi-Pyrénées au Sud de la France M Galinier, A Pathak Pôle Cardio-Vasculaire
Plus en détailEquipe mobile SMES CH Sainte-Anne (Paris)
Equipe mobile SMES CH Sainte-Anne (Paris) 1. Contexte local Géographie La psychiatrie adulte de l hôpital Sainte-Anne est orientée vers 7 secteurs psychiatriques adultes, que ce soit pour les hospitalisations,
Plus en détailLES PROFESSIONNELS DE LA SANTE
AD'PROSANTE : DES FORMATIONS POUR LES PROFESSIONNELS DE LA SANTE AD'PROSANTE - GROUPE SOFT FORMATION 84, Boulevard de la Corderie 13007 Marseille Tél : 04.91.15.71.03 Fax : 04.91.81.52.62 1 NOTRE OFFRE
Plus en détailL hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines
L hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines Hôpital de jour (HDJ) Permet des soins ou examens nécessitant plateau
Plus en détailContact chargées de mission FEHAP Centre : Magali BASTELICA, magali.bastelica@fehap.fr, 06 45 55 50 12 Nathalie PERPINIAL,
Contact chargées de mission FEHAP Centre : Magali BASTELICA, magali.bastelica@fehap.fr, 06 45 55 50 12 Nathalie PERPINIAL, nathalie.perpinial@fehap.fr, 06 74 72 73 78 SOMMAIRE Pourquoi la FEHAP intervientelle
Plus en détailBien vieillir à domicile : accompagner les seniors
Bien vieillir à domicile : accompagner les seniors Source de croissance de d opportunités, le vieillissement de la population française constitue cependant un défi pour notre pays. Afin d élaborer des
Plus en détailMODULE 2 : VEILLE & ANALYSE DE DONNÉES
MODULE 2 : VEILLE & ANALYSE DE DONNÉES MODULE 2 : VEILLE & ANALYSE DES DONNEES MODULE 2 : VEILLE & ANALYSE DE DONNÉES LA THÉMATIQUE LES TERMES EN COHABITATION LES TROIS APPROCHES EN RELATION LA MÉTHODE
Plus en détailAnnexe 2 Les expressions du HCAAM sur la coordination des interventions des professionnels autour du patient
Annexe 2 Les expressions du HCAAM sur la coordination des interventions des professionnels autour du patient Dans son avis de 2012 «L assurance maladie : les options du HCAAM» qui synthétise l ensemble
Plus en détailLa prise en charge d un trouble dépressif récurrent ou persistant
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge d un trouble dépressif récurrent ou persistant Vivre avec un trouble dépressif Septembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin
Plus en détailExposé n 5: Bases IMS, Thalès Quel apport pour la sécurité d emploi des médicaments?
5 avril 2011 «Pharmaco-épidémiologie» Exposé n 5: Bases IMS, Thalès Quel apport pour la sécurité d emploi des médicaments? Dr Philippe Tcheng Vice-Président Affaires Publiques et Gouvernementales France
Plus en détailUne protection d assurance de premier choix et de qualité suisse. Notre offre pour les expatriés
Une protection d assurance de premier choix et de qualité suisse Notre offre pour les expatriés Bienvenue chez le leader de l assurance-maladie en Suisse. Vous pouvez compter sur notre longue expérience
Plus en détailAide au codage des emplois (professions et secteurs d activité) lors d enquête en face à face : l outil CAPS
Aide au codage des emplois (professions et secteurs d activité) lors d enquête en face à face : l outil CAPS Garras L.(1), Prevot C. (3), Lemonnier J.(3), Palmer G.(3), El Yamani M.(1), Pilorget C.(1,2)
Plus en détailDISTRIBUTION DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR VOIE ORALE PAR L INFIRMIERE : RISQUE DE NON PRISE DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR LE PATIENT
INSTITUT DE FORMATION DES CADRES DE SANTE ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS ACTIVITE PROFESSIONNELLE N 8 : LE CADRE GERE LES RISQUES CONCERNANT LES PRESTATIONS, LES CONDITIONS DE TRAVAIL DES PERSONNELS,
Plus en détailet ATIH Diapositive n 1 Direction générale de l offre de soins - DGOS
et ATIH Diapositive n 1 Quel financement pour les SSR? Un modèle innovant Hélène de Faverges mission SSR - DGOS Dr Joëlle Dubois - ATIH FHF Rhône-Alpes Conférence SSR : vers une organisation coordonnée
Plus en détailGHUPC Projet de transformation du site Hôtel Dieu. Pr S CHAUSSADE, Dr I. FERRAND
GHUPC Projet de transformation du site Hôtel Dieu Pr S CHAUSSADE, Dr I. FERRAND PREAMBULE - Déçisions du directoire de l APHP : 1) le site de l HTD ne serait pas fermé 2) le site de l HTD ne serait pas
Plus en détailDossier de Presse Mars 2010
Dossier de Presse Mars 2010 www.cegedim-logiciels.com Contacts Presse CEGEDIM LOGICIELS MEDICAUX Christine COURTELARRE Marketing et Communication Tél. : 01 49 09 28 67 christine.courtelarre@cegedim.fr
Plus en détail«Politique des ARS pour les seniors»
«Politique des ARS pour les seniors» Claude EVIN, Directeur Général de l Agence Régionale de Santé d Ile-de-France XX/XX/XX L ARS, acteur majeur de la politique de santé et d accompagnement au service
Plus en détailPréambule, définitions, limites du sujet :
Télémédecine : Quel cadre, quels niveaux de preuves, quelles modalités de déploiement. XXIX èmes Rencontres Nationales de Pharmacologie et Recherche Clinique, Innovation et Evaluation des Technologies
Plus en détailTERRITOIRES ET SANTE
TERRITOIRES ET SANTE UNE REPONSE A L EVOLUTION DE LA DEMOGRAPHIE DES PROFESSIONNELS DE SANTE ET A L AMELIORATION DE L AMENAGEMENT DU TERRITOIRE : LES MAISONS DE SANTE PLURIDISCIPLINAIRES GUIDE DE MISE
Plus en détail"Formation et évaluation de la compétence du pharmacien clinicien expérience suisse"
"Formation et évaluation de la compétence du pharmacien clinicien expérience suisse" Journées Franco-Suisses de Pharmacie Hospitalière 23 avril 2015, Mâcon Dr Vera Jordan-von Gunten Pharmacien d hôpital,
Plus en détailLa preuve par. Principaux enseignements du bilan des PRT et. du recensement des projets télémédecine 2013
La preuve par Principaux enseignements du bilan des PRT et du recensement des projets télémédecine 2013 Le recensement Télémédecine 2013 01 Synthèse du recensement Télémédecine 2013 02 Répartition et maturité
Plus en détailIntervenant : Séverin Poutrel, BURGEAP
Capacités d accueil, aménagements commerciaux, mutabilité foncière : des outils concrets pour construire un SCOT intégrant les vulnérabilités énergétiques et climatique Intervenant : Séverin Poutrel, BURGEAP
Plus en détailNouveau plan greffe : Axes stratégiques pour l avenir
Extrait Communiqué de presse Saint-Denis, le 12 avril 2012 Nouveau plan greffe : Axes stratégiques pour l avenir La dynamique du plan greffe 2000-2003 a généré un essor sans précédent de près de 50 % de
Plus en détailMaison ou un Pôle de santé
Les 4 points clés pour créer une Maison ou un Pôle de santé pluri-professionnel De nouveaux modes d exercice coordonné et regroupé : L exercice médical dans les villes et dans les campagnes est aujourd
Plus en détailLe point de vue d une administration hospitalière Inka Moritz, Secrétaire générale
Spécialistes en santé publique? Le point de vue d une administration hospitalière Inka Moritz, Secrétaire générale Le CHUV est l employeur de 10 000 personnes Budget 1,4 milliard de frs 2 1 des 5 Hôpitaux
Plus en détailTarifs de l hôpital universitaire pédiatrique de Bâle (UKBB)
Tarifs de l hôpital universitaire pédiatrique de Bâle (UKBB) valable à partir du 1 er janvier 2014 1 Introduction... 2 2 Traitements ambulatoires... 3 2.1 Interventions chirurgicales... 3 2.2 Diagnostics
Plus en détailCadre de référence. Implantation de l Accueil Clinique au CIUSSS du Centre Est-de-l Île-de-Montréal
Cadre de référence Implantation de l Accueil Clinique au CIUSSS du Centre Est-de-l Île-de-Montréal Révisé en février 2015 1 TABLE DES MATIÈRES Abréviations utilisées. 3 Mise en contexte. 4 Buts et objectifs.
Plus en détailLe case management de transition (CMT) Une illustration de pratique avancée en soins infirmiers
XIIe Congrès Européen Lausanne, le 22 novembre 2013 Le case management de transition (CMT) Une illustration de pratique avancée en soins infirmiers Cécile Morgan & Patricia Jaunin, Infirmières spécialisées
Plus en détailManagement des risques
ASSURANCES ET MANAGEMENT DES RISQUES Management des risques acteurs de la santé, du social et du médico-social «Enfin un assureur qui m accompagne dans la gestion des risques» Édito La mission de Sham
Plus en détailET DE LA STRATEGIE. Note de Synthèse. Domaine : Financement Version : 1 Mise à jour : 04/03/2012
DIRECTION DES AFFAIRES INSTITUTIONNELLES ET DE LA STRATEGIE Note de Synthèse CAMPAGNE TARIFAIRE 2012 : ENVELOPPE MIGAC Domaine : Financement Version : 1 Mise à jour : 04/03/2012 Diffusion: Vos contacts
Plus en détailAllocution d ouverture de Jean DEBEAUPUIS, Directeur Général de l Offre de soins
Allocution d ouverture de Jean DEBEAUPUIS, Directeur Général de l Offre de soins Université d été de la performance en santé - 29 août 2014- Lille Monsieur le président, Monsieur le directeur général,
Plus en détailItem 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve
Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Différentes
Plus en détailFiche descriptive de l indicateur : Tenue du dossier anesthésique (DAN)
Définition Score individuel Score global Echantillon Critère d inclusion Fiche descriptive de l indicateur : Tenue du dossier anesthésique (DAN) Cet indicateur évalue la tenue du dossier anesthésique.
Plus en détailPRADO, le programme de retour à domicile
, le programme de retour à domicile Enjeux et objectifs du programme Répondre à une volonté croissante des patients Adapter et renforcer le suivi post hospitalisation Optimiser le retour à domicile et
Plus en détailFORMATION CONTINUE RECHERCHE APPLIQUÉE OUTILS PÉDAGOGIQUES. Promouvoir les soins pharmaceutiques
FORMATION CONTINUE RECHERCHE APPLIQUÉE OUTILS PÉDAGOGIQUES Promouvoir les soins pharmaceutiques PRÉSENTATION DE LA FORMATION Contexte Le métier du pharmacien est en pleine évolution. Un concept qui va
Plus en détailSUPPLEMENT AU DIPLÔME
SUPPLEMENT AU DIPLÔME Le présent supplément au diplôme (annexe descriptive) suit le modèle élaboré par la Commission européenne, le Conseil de l'europe et l'unesco/cepes. Le supplément vise à fournir des
Plus en détailQuelle place pour e-toile au cabinet du médecin?
ASSOCIATION DES MÉDECINS DU CANTON DE GENÈVE Quelle place pour e-toile au cabinet du médecin? Dr Pierre-Alain Schneider, président AMG Cabinet médical diverses formes cabinet individuel cabinet de groupe
Plus en détailCentre Régional de soins Psychiatriques «Les Marronniers» MSP
Centre Régional de soins Psychiatriques «Les Marronniers» EDS CHS MSP MSP «La Traversée» Anémones 1 - Anémones 2-45 lits 30 lits Chênes - 45 lits Dont - Circuits de soins internés 25 lits - Circuit de
Plus en détailProgramme Hôpital numérique
Programme Hôpital numérique Boite à outils pour l atteinte des pré-requis Fiches pratiques Octobre 2012 Direction générale de l offre de soins Sommaire 1. LE PROGRAMME HOPITAL NUMERIQUE... 3 2. LE SOCLE
Plus en détailDéfinition de l Infectiologie
Définition de l Infectiologie Discipline médicale clinique Spécialisée. Prise en charge des Maladies Infectieuses et Tropicales. Actuelles, émergentes ou ré-émergentes. Référents dans le cadre d un maillage
Plus en détailLa gestion des risques en hygiène hospitalière
La gestion des risques en hygiène hospitalière Rappels des fondamentaux Dr J-L. Quenon Comité de Coordination de l Évaluation Clinique et de la Qualité en Aquitaine Séminaire de la SF2H, 19 novembre 2013,
Plus en détailComment la proposer et la réaliser?
RECOMMANDATIONS Éducation thérapeutique du patient Comment la proposer et la réaliser? Juin 2007 OBJECTIF Ces recommandations visent à aider les professionnels de santé dans la mise en œuvre d un programme
Plus en détailCAHIER DES CHARGES INFIRMIER-ÈRE DIPLÔMÉ-E
Madame/Monsieur 1. DÉFINITION DE LA FONCTION Au service du projet institutionnel, la titulaire du poste : Exerce dans un cadre législatif et un contexte sanitaire connus (loi sur l exercice professionnel,
Plus en détailRésultats des Comptes de la Santé 2012 en RD Congo
REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO MINISTERE DE LA SANTE PUBLIQUE Secrétariat Général PROGRAMME NATIONAL DES COMPTES NATIONAUX DE LA SANTE «PNCNS» Résultats des Comptes de la Santé 2012 en RD Congo Pr ELOKO
Plus en détailMédecin Responsable volet hospitalier - Koulikouro - MALI
Médecin Responsable volet hospitalier - Koulikouro - MALI L ASSOCIATION ALIMA The Alliance for International Medical Action (ALIMA) est une organisation médicale internationale, fondée en 2009. ALIMA a
Plus en détailSTACCINI Pascal UFR Médecine Nice Université Nice-Sophia Antipolis
3.2 : S initier à l organisation, la mise en œuvre et l utilisation d un système d information Chapitre 3 : Systèmes d information Systèmes d information hospitaliers (S.I.H.) STACCINI Pascal UFR Médecine
Plus en détailPrise en charge de l embolie pulmonaire
Prise en charge de l embolie pulmonaire Dr Serge Motte Liège 06.12.14 - Laack TA et Goyal DG, Emerg Med Clin N Am 2004; 961-983 2 PLAN Diagnostic Prise en charge: Phase aiguë: analyse de gravité Choix
Plus en détailLes chiffres de la santé LES DÉPENSES D ASSURANCE SANTÉ
Les chiffres de la santé LES DÉPENSES D ASSURANCE SANTÉ Édition 2011 Environnement de la protection sociale Le déficit du régime général En milliards d euros 2009 2010 Prévisions 2011-0,7-0,7 0-1,8-2,7-2,6-7,2-6,1-8,9-10,6-9,9-11,6-20,3-23,9-18,6
Plus en détailNouvelles Technologies d investigation de surveillance du patient dont Télétransmission
Plateforme Médicalisée 24/7 de Services Santé et Télémédecine M.D Jean-Michel Souclier H2AD propose des solutions entièrement sécurisées permettant le maintien et le retour àdomiciledes personnes fragiles:
Plus en détailprise en charge paramédicale dans une unité de soins
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : prise en
Plus en détailCréation de procédures inter-services pour la gestion des essais de phase I à l Institut Gustave Roussy
Création de procédures inter-services pour la gestion des essais de phase I à l Institut Gustave Roussy A.A. MOUSSA D. SCHWOB Institut de cancérologie Gustave-Roussy 94805 Villejuif cedex - FRANCE Plan
Plus en détailadmission aux urgences
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : admission
Plus en détailADDITIF AU RAPPORT DE CERTIFICATION V2010 CLINIQUE CHIRURGICALE DU LIBOURNAIS
ADDITIF AU RAPPORT DE CERTIFICATION V2010 CLINIQUE CHIRURGICALE DU LIBOURNAIS 119 rue de la marne - 33500 - Libourne NOVEMBRE 2014 SOMMAIRE PREAMBULE 1. Présentation du document 2. Les niveaux de certification
Plus en détailCapteurs pour la santé et l autonomie. Nouvelles approches technologiques. pour le suivi sur les lieux de vie
Capteurs pour la santé et l autonomie Nouvelles approches technologiques pour le suivi sur les lieux de vie Santé : nécessité de nouvelles approches Le nouveau contexte créé par les technologies de l information
Plus en détailQuel avenir pour les équipes mobiles de soins palliatifs?
Quel avenir pour les équipes mobiles de soins palliatifs? Aude Le Divenah Praticien hospitalier, chargée de mission, Direction de l hospitalisation et de l organisation des soins Les soins palliatifs se
Plus en détailLa prise en charge. de votre affection de longue durée
La prise en charge de votre affection de longue durée Comment fonctionne la prise en charge à 100 %? Quels sont les avantages pour vous? À quoi vous engagez-vous? Comment êtes-vous remboursé? Votre médecin
Plus en détailRéseau de Santé du Pays des Vals de Saintonge Pôle de santé du Canton d Aulnay de Saintonge MSP Aulnay et Néré PROJET D AULNAY PSP
Réseau de Santé du Pays des Vals de Saintonge PROJET D AULNAY MSP PSP Réseau de santé de proximité Historique Objectifs Particularités Avenir Réseau de Santé du Pays des Vals de Saintonge MAISON DE SANTE
Plus en détailVincent Péters. Président du GT TICS du SNITEM. Directeur Affaires Réglementaires de BIOTRONIK France
Vincent Péters Directeur Affaires Réglementaires de BIOTRONIK France Président du GT TICS du SNITEM 5 juillet 2013 Colloque industries du numérique et Santé+ Autonomie Contexte Plus de 60 ans Cardiologues
Plus en détailL hôpital dans la société. L expérience du CHU de Paris, l AP HP. Pierre Lombrail, Jean-Yves Fagon
L hôpital dans la société. L expérience du CHU de Paris, l AP HP. Pierre Lombrail, Jean-Yves Fagon Colloque Santé et Société Quels déterminants de santé et quel système de soins pour la santé de toute
Plus en détailConseil. en Organisation et Gestion de Bloc Opératoire. www.adessa-software.com. tel : +32 (0)10 841 921 fax : +32 (0)10 227 657
Conseil en Organisation et Gestion de Bloc Opératoire tel : +32 (0)10 841 921 fax : +32 (0)10 227 657 www.adessa-software.com Avant-Propos De part sa nature complexe et évolutive, le bloc opératoire est
Plus en détailCERTIFICATIONS EN SANTE
CERTIFICATIONS EN SANTE INSTITUT CLAUDIUS REGAUD Délégation Qualité David VERGER 20-24, rue du Pont Saint-Pierre 31052 TOULOUSE cedex 05-61-42-46-22 Verger.david@claudiusregaud.fr CLAUDIUS REGAUD, PÈRE
Plus en détailFormation sur la sécurisation du circuit du médicament
Formation sur la sécurisation du circuit du médicament Virginie Roué, Ingénieur Qualité-Risques Réseau AQuaREL Santé Dr Brigitte Paulmier, Pharmacien coordonnateur de la gestion des risques CH Saumur CONTEXTE
Plus en détailPandémie grippale et réorganisation des soins primaires. Le travail de la Maison Médicale de Garde d Ambérieu
Pandémie grippale et réorganisation des soins primaires Le travail de la Maison Médicale de Garde d Ambérieu Introduction Réorganisation profonde nécessaire de l offre de soins Organisation hospitalière
Plus en détail9.11 Les jeux de hasard et d argent
9.11 Les jeux de hasard et d argent Maud Pousset, Marie-Line Tovar 288 Les jeux de hasard et d argent (JHA) constituent une activité ancienne et répandue, mais longtemps interdite. Leur offre s est étoffée,
Plus en détailles télésoins à domicile
Hiver 2013 Innovation en matière de prestation des soins de santé : les télésoins à domicile Innovation en matière de prestation des soins de santé : les télésoins à domicile Au Canada comme ailleurs dans
Plus en détailGlobule & projet PAACO
24 janvier 2014 - Arcachon 9ème Journées nationales des services pour les adultes handicapés Globule & projet PAACO Un outil de communication pour la coordination Antoine Comiti - société Ki-Lab Globule
Plus en détailRéunion régionale. avec les établissements de santé. 4 Avril 2013
Réunion régionale avec les établissements de santé 4 Avril 2013 1 Ordre du jour Introduction par Michel LAFORCADE, Directeur Général de l ARS Aquitaine 1 ) Optimiser les parcours de santé: place des établissements
Plus en détailLe niveau 3 - alerte canicule correspond à une vigilance météorologique orange pour le paramètre canicule.
ANNEXE FICHE 10 : NIVEAU 3 - ALERTE CANICULE Le niveau 3 - alerte canicule correspond à une vigilance météorologique orange pour le paramètre canicule. I. MESURES PRISES AU NIVEAU 3 - ALERTE CANICULE 1.
Plus en détailCoordination Ville Hôpital
Coordination Ville Hôpital Lien entre pharmaciens et utilisation d une banque de données Bassin sanitaire alésien 2 juin 2015 Jean-Pierre CORNUT, Pharmacien d officine, URPS Pharmaciens LR Vincent BOUIX,
Plus en détail