LIQUIDATION D ETABLISSEMENTS PUBLICS DE L ETAT ET LIQUIDATIONS DIVERSES

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "LIQUIDATION D ETABLISSEMENTS PUBLICS DE L ETAT ET LIQUIDATIONS DIVERSES"

Transcription

1 DE L ETAT ET LIQUIDATIONS DIVERSES 1 ANALYSES DE L EXECUTION DU BUDGET DE L ETAT PAR MISSIONS ET PROGRAMMES EXERCICE 2011 COMPTE DE COMMERCE LIQUIDATION D ETABLISSEMENTS PUBLICS DE L ETAT ET LIQUIDATIONS DIVERSES MAI 2012

2

3 DE L ETAT ET LIQUIDATIONS DIVERSES 3 Compte de commerce «Liquidation d établissements publics de l Etat et liquidations diverses» Programme 905 Liquidation d établissements publics de l Etat et liquidations diverses

4

5 DE L ETAT ET LIQUIDATIONS DIVERSES 5 Sommaire Synthèse de l exécution budgétaire INTRODUCTION...9 I - UN COMPTE TRES PEU ACTIF, RETRACANT DES OPERATIONS HETEROGENES...10 A - Une activité théorique surtout relative à la mise en jeu de la responsabilité des comptables...10 B - Le caractère résiduel des autres opérations...11 II - NI DEPENSES NI RECETTES ENREGISTREES EN A - Un compte inactif en 2010 et B - Des prévisions de dépense peu réalistes en LFI C - Une amélioration de la qualité des prévisions de dépenses dans la LFI III - UN COMPTE DE COMMERCE A SUPPRIMER...15 A - Un dispositif contraire à la LOLF...15 B - Des opérations susceptibles d être retracées sur le budget général sans difficulté particulière...15 C - Les modalités de l apurement du compte...16 IV - LES RECOMMANDATIONS DE LA COUR...16 A - Des recommandations antérieures partiellement suivies d effet...16 B - Un récapitulatif des recommandations...17

6

7 DE L ETAT ET LIQUIDATIONS DIVERSES 7 Synthèse (En M ) LFI Dépenses : 1,12 ; Recettes : 0,04 ; Solde : - 1,09 Exécution Dépenses : 0 ; Recettes : 0 ; Solde : 0 Découvert autorisé en LFI : Un compte de commerce retraçant des opérations très hétérogènes Le compte de commerce Liquidation d établissements publics de l Etat et liquidations diverses retrace les opérations de recettes et de dépenses auxquelles donne lieu la liquidation d activités très hétérogènes (liquidation d établissements publics et, surtout, liquidation des opérations liées à la responsabilité particulière des comptables supérieurs du Trésor mise en jeu dans le cadre de leur ancienne activité de collecte de l épargne). Son périmètre n a pas été modifié en Un compte inactif en 2010 et 2011 Pas plus qu en 2010, le compte n a donné lieu à des dépenses ou à des recettes en Les prévisions de dépenses ont continué à se situer à des niveaux peu cohérents avec les décaissements, très faibles, qui sont susceptibles de se produire. 3 - Appréciation d ensemble : un dispositif irrégulier au regard de la LOLF et qui ne se justifie par aucune raison pratique L existence de ce compte apparaît contraire aux dispositions de l article 22 de la LOLF qui définit les comptes de commerce comme retraçant «des opérations de caractère industriel et commercial effectuées à titre accessoire par des services de l Etat non dotés de la personnalité morale». Or, le compte «Liquidation» ne répond pas à cette définition. Il ne se livre à aucune activité commerciale au sens d une vente d un bien ou d un service. Indépendamment de ce sujet de régularité, le vecteur budgétaire de droit commun (inscription des crédits dans des missions du budget général et comptabilisation des ressources du compte en recettes non fiscales) se révèlerait plus souple d emploi et ne présenterait pas de difficulté technique. Cette appréciation d ensemble a logiquement pour corollaire la suppression du compte «Liquidation».

8 8 COUR DES COMPTES 4 - Des recommandations antérieures partiellement appliquées La Cour avait énoncé deux recommandations en 2010 lors de la dernière NEB rédigée sur le compte de commerce. L une portait sur le versement d une partie du solde du compte au budget général ; l autre sur la nécessité d établir les prévisions de dépenses à un niveau cohérent avec la réalité des décaissements prévisibles. Seule cette dernière recommandation a été suivie d effet. La Cour formule à l occasion de l exercice 2011 deux recommandations. PRINCIPALES RECOMMANDATIONS Recommandation n 1 : Supprimer le compte de commerce «Liquidation d établissements publics de l Etat et liquidations diverses». Recommandation n 2 : Accélérer l'apurement définitif des opérations de liquidation liées à la responsabilité particulière des comptables supérieurs du trésor mise en jeu dans leur activité de collecte de l'épargne, et utiliser à cette fin le vecteur du budget général.

9 DE L ETAT ET LIQUIDATIONS DIVERSES 9 INTRODUCTION Le compte de commerce Liquidation d établissements publics de l Etat et liquidations diverses est géré par le ministère du budget, des comptes publics et de la réforme de l Etat. Il résulte de la sédimentation de plusieurs textes et retrace les opérations de recettes et de dépenses auxquelles donnent lieu : la liquidation de certains établissements publics de l Etat et des «organismes para-administratifs ou professionnels» dissous (lois n du 7 octobre 1946 et n du 27 mai 1950, article 65 de la loi de finances pour 1965) ; la liquidation résultant d activités exercées par des services de l Etat (article 65 de la loi de finances pour 1972) ; la liquidation des opérations liées à la responsabilité particulière des comptables supérieurs du Trésor mise en jeu dans le cadre de leur activité de collecte de l épargne (loi de finances rectificative pour 2002). Les sommes budgétaires concernées sont des plus modestes : La LFI 2011 prévoyait en recettes et en dépenses. Pas plus qu en 2010, l exécution 2011 n a donné lieu à des mouvements en dépenses ou en recettes. Cette inactivité persistante du compte pose la question du maintien d un tel compte, d autant que ses opérations ne sont pas assimilables à des activités évoluant dans un cadre marchand et ne répondent donc pas à la définition d un compte de commerce. La présente analyse propose donc de supprimer ce compte.

10 10 COUR DES COMPTES I - UN COMPTE TRES PEU ACTIF, RETRACANT DES OPERATIONS HETEROGENES A - Une activité théorique surtout relative à la mise en jeu de la responsabilité des comptables 1 - Le transfert à l Etat, en 2002, des opérations de liquidation liées à la responsabilité des comptables au titre de leur activité de collecte de l épargne L essentiel des opérations prévues sur le compte concerne la «gestion et la liquidation des opérations liées à la mise en jeu de la responsabilité des comptables dans le cadre de leur activité de collecte de l épargne» (ligne 15). Les dépenses prévues sur cette ligne s élèvent depuis 2006 à 1,1 M tous les ans, mais n ont jamais donné lieu à des décaissements supérieures à 0,24 M. Par une survivance issue d un arrêté du 7 novembre 1814, les Trésoriers Payeurs généraux (TPG) étaient habilités à exercer une activité de collecte et de gestion de l épargne auprès des particuliers, à titre privé et sous leur propre responsabilité. Celle-ci était couverte par la souscription d une assurance spécifique et par l existence d un fonds de garantie que gérait l association de garantie des comptables supérieurs du Trésors (ACGST) pour assurer la couverture supplémentaire des risques. Un arrêté du 2 février 2001 relatif à l activité de service de dépôt de fonds particuliers exercé par les TPG a mis fin, le 31 décembre 2001, à cette activité qui entrait dans le champ concurrentiel et qui avait donc vocation à être exercée par les établissements financiers. Cette décision a eu pour effet, dans le cadre de l article premier de la LFR n du 30 décembre 2002, de transférer à l Etat la gestion et la liquidation des opérations liées à la mise en jeu de la responsabilité particulière des comptables supérieurs du Trésor dans le cadre de leur activité de collecte et de gestion de l épargne des particuliers. 2 - Le compte «Liquidation», vecteur budgétaire de ce transfert La traduction budgétaire en a été la création d une ligne sur le compte de commerce Liquidation qui a été abondée en 2002 de 12 M correspondant aux montants dont disposait le fonds de garantie.

11 DE L ETAT ET LIQUIDATIONS DIVERSES 11 En recettes de ce compte sont donc portées les sommes provenant de la liquidation de l activité d épargne des trésoriers-payeurs généraux : versements des compagnies d assurance ; versements des comptables supérieurs ; recettes diverses et accidentelles ; remboursements sur sinistres par les anciens titulaires du compte. Les dépenses correspondent : aux remboursements de dépôts de garantie constitués par les comptables supérieurs du Trésor à leur entrée en fonction ; à des remboursements aux compagnies d assurance en cas de trop-perçu ou à des comptables ayant comblé le sinistre sur leurs deniers personnels ; à des dépenses diverses ou accidentelles ainsi qu à des remboursements de sinistres. Le décret n du 30 décembre 2002, pris pour l application de l article premier de la LFR pour 2002 susmentionnée, a créé une commission qui comprend des représentants de la direction générale des finances publiques (DGFIP), de la direction du budget et de la direction du Trésor, ainsi qu un trésorier-payeur général. Elle est chargée de formuler des propositions au ministre en charge de l économie sur le remboursement des dépôts de garantie constitués par les TPG lors de leur entrée en fonction, et sur les conditions de prise en charge des sinistres par le compte de liquidation. B - Le caractère résiduel des autres opérations Il s agit des lignes suivantes : Liquidations d établissements publics : aucune dépense n a eu lieu sur cette ligne depuis 2006 ; des recettes ont été enregistrées pour la dernière fois en 2009 pour moins d un million d euros. Elles étaient relatives à la liquidation du Fonds national inter-consulaire de compensation (FNIC), destiné à développer l apprentissage. Une recette correspondant au recouvrement d un loyer dans le cadre de la liquidation du Réseau du Chemin de fer de la Méditerranée au Niger avait été imputée sur le compte en 2006, pour une somme de 72 ;

12 12 COUR DES COMPTES Liquidation d organismes para-administratifs ou professionnels : aucune recette ni dépense n a été constatée depuis 2006 ; Liquidation de l ORTF : aucune recette n a jamais été constatée depuis 2006 ; les dépenses correspondent à des règlements à l IRCANTEC, à quelques paiements à l URSSAF et à des dépenses liées à la reconstitution de carrière d anciens journalistes (cotisations ARRCO et AGIRC). Elles se sont élevées depuis 2006 à Autres liquidations : aucune recette n a été constatée depuis Les dépenses se sont élevées à moins de 400 depuis cette date. II - NI DEPENSES NI RECETTES ENREGISTREES EN 2011 A - Un compte inactif en 2010 et 2011 Comme l indique le tableau ci-dessous, ni recettes ni dépenses n ont été exécutées en 2010 et en 2011 :

13 DE L ETAT ET LIQUIDATIONS DIVERSES 13

14 14 COUR DES COMPTES B - Des prévisions de dépense peu réalistes en LFI Des prévisions de recettes non justifiées dans les PAP Les recettes n apparaissent en principe que lors des opérations de fin de liquidation et sont en général peu prévisibles. Jusqu en 2009, la LFI présentait d ailleurs systématiquement des prévisions de recettes nulles. Depuis 2010, le compte de commerce affiche des montants de recettes qui s établissent à environ Aucune précision n est toutefois apportée dans le projet annuel de performances (PAP), toujours remarquablement allusif, sur la manière dont cette prévision est construite. 2 - Des prévisions de dépenses surestimées en 2011 Le compte Liquidation présente des crédits évaluatifs qui, depuis la première année de mise en œuvre de la LOLF en 2006, s élèvent à 1,1 M dans chaque LFI (du moins avant 2012). Les écarts à l exécution sont considérables depuis lors : l exécution la moins éloignée de la prévision, celle de 2008, était en retrait de 0,9 M par rapport à la prévision (écart correspondant à près de 80% des crédits de la LFI). Les principales dépenses susceptibles de se produire concernent deux types de situation : le remboursement des dépôts de garantie constitués par les TPG lors de leur entrée en fonction ; la survenance de sinistres associés à la gestion des comptables. Dans le premier cas, les sommes en jeu sont très faibles : le montant des dépôts de garantie en attente de remboursement s élevait par exemple au 31 décembre 2009 à moins de Dans le second, la probabilité que survienne un sinistre de grande ampleur est réduite d autant plus que la loi du 17 juin 2008 a réduit le délai de droit commun en matière de prescription de 30 à 5 ans et aligné certains délais spécifiques sur ce dernier. Cette disposition s applique également à la responsabilité des TPG exerçant des activités de collecte de fonds. C - Une amélioration de la qualité des prévisions de dépenses dans la LFI 2012 La Cour avait en conséquence recommandé à la DGFIP en 2009 et 2010 que le montant des prévisions de dépenses du compte soient revues

15 DE L ETAT ET LIQUIDATIONS DIVERSES 15 pour tenir compte de cette situation. Cette recommandation avait été sans effet immédiat. En revanche, la LFI 2012 enregistre un changement notable puisque les prévisions de dépenses associées à la mise en jeu de la responsabilité des comptables ont été substantiellement réduites, passant de dans les LFI 2010 et 2011 à, désormais, euros. III - UN COMPTE DE COMMERCE A SUPPRIMER Plus fondamentalement, l existence même du compte Liquidation s avère problématique : il ne répond notamment pas à la définition d un compte de commerce telle qu elle est posée dans la LOLF. A - Un dispositif contraire à la LOLF L article 22 de la LOLF définit les comptes de commerce comme retraçant «des opérations de caractère industriel et commercial effectuées à titre accessoire par des services de l Etat non dotés de la personnalité morale». Le compte de commerce Liquidation ne répond pas à cette définition. Il n existe en effet pas, retracée sur ce compte, d activité commerciale au sens d une vente d un bien ou d un service selon un certain prix. La différence est frappante avec les autres comptes de commerce dont les flux en recettes et en dépenses correspondent à une véritable logique économique : opérations commerciales des domaines, gestion de la dette et de la trésorerie financière de l Etat, gestion des actifs carbone de l Etat, exploitation industrielle des ateliers aéronautiques de l Etat, etc. L atonie répétée du compte «Liquidation», en 2010 et en 2011, traduit bien cet état de fait. Il apparaît en réalité que le présent compte résulte d une juxtaposition de dispositifs nés pour la plupart sous l empire de l ordonnance de 1959, bien plus favorable au développement des comptes de commerce que la LOLF qui en a durci les critères. B - Des opérations susceptibles d être retracées sur le budget général sans difficulté particulière Indépendamment de sa compatibilité avec l article 22 de la LOLF, le compte Liquidation n apparaît pas comme un vecteur budgétaire pertinent. Aucune spécificité ne s attache à ses opérations justifiant qu il

16 16 COUR DES COMPTES soit fait exception au principe général de non affectation des recettes. On pourrait fort bien concevoir que ses dépenses soient portées sur le programme 114-Appels en garantie de l Etat (mission Engagements financiers de l Etat) ou sur le programme 156-Gestion fiscale et financière de l Etat et du secteur public local (mission Gestion des finances publiques et des ressources humaines) pour ce qui concerne les opérations associées à la mise en jeu de la responsabilité des comptables ; et sur le programme 195-Régime sociaux et de retraite (mission Régimes sociaux et de retraite) pour les dépenses liées à l ORTF. Quant à ses recettes, elles entrent par nature dans la catégorie des recettes non fiscales et n ont pas besoin d être affectées à des dépenses spécifiques au motif qu elles formeraient un ensemble solidaire avec celles-ci, nécessitant d être identifié budgétairement dans un compte spécial. C - Les modalités de l apurement du compte La suppression du compte impliquerait que son solde cumulé (qui s élève à 17,5 M ) soit viré au budget général. Pour ce faire, une loi de finances rectificative pourrait créer une ligne «versement au budget général» sur ce compte (comme il en existe pour d autres comptes de commerce : Couverture des risques financiers de l Etat, Cantine et travail des détenus dans le cadre pénitentiaire, etc.). Le solde serait de ce fait ramené à zéro, et cette opération aurait comme contrepartie l inscription au budget général de 17,5 M en recettes non fiscales. L opération serait neutre sur le solde de l Etat 2. Une disposition dans la même loi de finances pourrait ensuite permettre de clôturer définitivement ce compte. IV - LES RECOMMANDATIONS DE LA COUR A - Des recommandations antérieures partiellement suivies d effet La Cour avait énoncé deux recommandations en 2010 lors de la dernière NEB rédigée sur le compte de commerce. L une portait sur le versement d une partie du solde du compte au budget général ; l autre sur 2 Le solde des comptes spéciaux serait dégradé de 17,5 M, celui du budget général amélioré de + 17,5 M. Il s agirait donc d un simple jeu d écriture et les soldes successifs du compte de commerce, déjà pris en compte lors de chaque exercice budgétaire dans le solde de l Etat, ne seraient pas comptés deux fois.

17 DE L ETAT ET LIQUIDATIONS DIVERSES 17 la nécessité d établir les prévisions de dépenses à un niveau cohérent avec la réalité des décaissements prévisibles. Seule cette dernière recommandation a été suivie d effet. B - Un récapitulatif des recommandations La Cour formule les deux recommandations suivantes : Recommandation n 1 : Supprimer le compte de commerce «Liquidation d établissements publics de l Etat et liquidations diverses». Recommandation n 2 : Accélérer l'apurement définitif des opérations de liquidation liées à la responsabilité particulière des comptables supérieurs du trésor mise en jeu dans leur activité de collecte de l'épargne, et utiliser à cette fin le vecteur du budget général.

18

19 DE L ETAT ET LIQUIDATIONS DIVERSES 19

Chapitre 6 : Consolidation par paliers et consolidation directe

Chapitre 6 : Consolidation par paliers et consolidation directe Chapitre 6 : Consolidation par paliers et consolidation directe I Principe général II- Consolidation par paliers III - Consolidation directe Cas de synthèse 1 Case de synthèse 2 I. Principe général Les

Plus en détail

Compte d opérations monétaires. Pertes et bénéfices de change

Compte d opérations monétaires. Pertes et bénéfices de change Compte d opérations monétaires Pertes et bénéfices de change Note d analyse de l exécution budgétaire 2014 2 COUR DES COMPTES Pertes et bénéfices de change LFI Exécution 1 Ecart Recettes 25 M 19,3 M -5,7

Plus en détail

COMPTES D OPÉRATIONS MONÉTAIRES

COMPTES D OPÉRATIONS MONÉTAIRES R É P U B L I Q U E F R A N Ç A I S E COMPTES SPÉCIAUX RAPPORTS ANNUELS DE PERFORMANCES ANNEXE AU PROJET DE LOI DE RÈGLEMENT DES COMPTES ET RAPPORT DE GESTION POUR 2007 COMPTES D OPÉRATIONS MONÉTAIRES

Plus en détail

CAUTIONNEMENT ET ASSURANCE LA RESPONSABILITÉ PERSONNELLE & PÉCUNIAIREP DES AGENTS COMPTABLES

CAUTIONNEMENT ET ASSURANCE LA RESPONSABILITÉ PERSONNELLE & PÉCUNIAIREP DES AGENTS COMPTABLES CAUTIONNEMENT ET ASSURANCE LA RESPONSABILITÉ PERSONNELLE & PÉCUNIAIREP DES AGENTS COMPTABLES DE L ÉDUCATION L NATIONALE LE CAUTIONNEMENT LE CAUTIONNEMENT DES AGENTS DES COMPTABLES AGENTS COMPTABLES DES

Plus en détail

Chapitre 3 : Les étapes de la consolidation

Chapitre 3 : Les étapes de la consolidation Chapitre 3 : Les étapes de la consolidation I - Les étapes du processus de consolidation II - La détermination du pourcentage d'intérêts (PDI) III - Organisation et techniques comptables de la consolidation

Plus en détail

Les modalités de comptabilisation et de transfert des droits au titre du CET enfin précisées!

Les modalités de comptabilisation et de transfert des droits au titre du CET enfin précisées! FICHE DE SYNTHESE 12 mai 2014 Manon QUILLEVERE Consultante Centre de droit JuriSanté - CNEH Les modalités de comptabilisation et de transfert des droits au titre du CET enfin précisées! Arrêté du 17 avril

Plus en détail

PLR 2014 - EXTRAIT DU RAP DE LA MISSION : ENGAGEMENTS FINANCIERS DE L'ÉTAT

PLR 2014 - EXTRAIT DU RAP DE LA MISSION : ENGAGEMENTS FINANCIERS DE L'ÉTAT PLR 2014 - EXTRAIT DU RAP DE LA MISSION : ENGAGEMENTS FINANCIERS DE L'ÉTAT Version du 27/05/2015 à 17:07:54 PROGRAMME 338 : AUGMENTATION DE CAPITAL DE LA BANQUE EUROPÉENNE D'INVESTISSEMENT MINISTRE CONCERNÉ

Plus en détail

Mission Provisions Note d analyse de l exécution budgétaire 2014

Mission Provisions Note d analyse de l exécution budgétaire 2014 Mission Provisions Note d analyse de l exécution budgétaire 2014 Provisions - Dotation pour dépenses accidentelles destinée à faire face à des calamités et pour dépenses imprévisibles - Dotation pour mesures

Plus en détail

RAPPORT FINANCIER DE L EXERCICE 2014 1. LES CREDITS VOTES EN 2014

RAPPORT FINANCIER DE L EXERCICE 2014 1. LES CREDITS VOTES EN 2014 RAPPORT FINANCIER DE L EXERCICE 2014 1. LES CREDITS VOTES EN 2014 L équilibre général du budget primitif 2014 s est établi à 3 822,6 M, dont 2 790,9 M au titre de la section de fonctionnement et 1 031,7

Plus en détail

Section 1. Modalités d ouverture et d alimentation du compte épargnetemps

Section 1. Modalités d ouverture et d alimentation du compte épargnetemps section temps de travail LES CONGES ET TITRE I : LES TITULAIRES DEUXIEME PARTIE : LES CONGES ET CHAPITRE 2 : LE COMPTE EPARGNE-TEMPS (CET) Dernière mise à jour : Avril 2012 TEXTES APPLICABLES - Décret

Plus en détail

LES MODIFICATIONS DE L INSTRUCTION M 14 ET M 4

LES MODIFICATIONS DE L INSTRUCTION M 14 ET M 4 Décembre 2003 Département Finances Développement Économique LES MODIFICATIONS DE L INSTRUCTION M 14 ET M 4 APPLICABLES A COMPTER DU 1 ER JANVIER 2004 Le Comité de Finances Locales, lors de sa séance du

Plus en détail

Mesdames et messieurs les préfets de région (pour exécution),

Mesdames et messieurs les préfets de région (pour exécution), Ministère de l écologie, du développement durable, des transports et du logement Ministère du budget, des comptes publics et de la réforme de l Etat Ministère de l intérieur, de l outre-mer, des collectivités

Plus en détail

Partage des capitaux propres de F1 à la consolidation de N. Éléments Total Part du groupe 60 % Capitaux propres de F1 hors résultat N 1100 660 440

Partage des capitaux propres de F1 à la consolidation de N. Éléments Total Part du groupe 60 % Capitaux propres de F1 hors résultat N 1100 660 440 Partage des capitaux propres de F1 à la consolidation de N Éléments Total Part du groupe 60 % Capital 500 Réserves 600 Intérêts minoritaires 40 % Capitaux propres de F1 hors résultat N 1100 660 440 Élimination

Plus en détail

Comptes consolidés de l Etat : étapes préalables

Comptes consolidés de l Etat : étapes préalables Comptes consolidés de l Etat : étapes préalables Séminaire relatif à la pertinence des IPSAS et normes comptables européennes Cour des comptes 25 mars 2013 Comptes consolidés de l Etat : étapes préalables

Plus en détail

Vous voudrez bien indiquer au greffe de la juridiction la date de cette réunion.

Vous voudrez bien indiquer au greffe de la juridiction la date de cette réunion. Le Président REF. : N 1027 Poitiers, le 29 décembre 2006 Rod2-1 RECOMMANDE AVEC A.R. Monsieur le Maire, Le rapport d observations définitives sur la gestion de la commune de Saint-Sauveur-d Aunis, arrêté

Plus en détail

L IMPACT DE LA MUTUALISATION SUR LES RESSOURCES HUMAINES

L IMPACT DE LA MUTUALISATION SUR LES RESSOURCES HUMAINES ANNEXES L ISTE DES ANNEXES ANNEXE I : ANNEXE II : ANNEXE III : ANNEXE IV : ÉVOLUTION DES DEPENSES DES COMMUNES ET DES EPCI DE 2006 A 2013 OUTILS JURIDIQUES DE MUTUALISATION A DISPOSITION DES ACTEURS LOCAUX

Plus en détail

COMITÉ DE LA RÉGLEMENTATION COMPTABLE RÈGLEMENT N 2007-07 DU 14 DÉCEMBRE 2007

COMITÉ DE LA RÉGLEMENTATION COMPTABLE RÈGLEMENT N 2007-07 DU 14 DÉCEMBRE 2007 COMITÉ DE LA RÉGLEMENTATION COMPTABLE RÈGLEMENT N 2007-07 DU 14 DÉCEMBRE 2007 relatif au traitement comptable des opérations en devises des entreprises régies par le code des assurances, des mutuelles

Plus en détail

GUIDE PRATIQUE. Du provisionnement des emprunts à risques

GUIDE PRATIQUE. Du provisionnement des emprunts à risques Ministère de l Égalité des territoires et du Logement Ministère de l Économie et des Finances GUIDE PRATIQUE Du provisionnement des emprunts à risques Application aux Offices Publics de l Habitat à comptabilité

Plus en détail

PRETS A DES ETATS ETRANGERS

PRETS A DES ETATS ETRANGERS ANALYSE DE L EXECUTION DU BUDGET DE L ETAT PAR MISSION ET PROGRAMME EXERCICE 2012 COMPTE DE CONCOURS FINANCIERS PRETS A DES ETATS ETRANGERS MAI 2013 Compte de concours financiers Prêts à des Etats étrangers

Plus en détail

Régimes complémentaires de retraite et prévoyance

Régimes complémentaires de retraite et prévoyance Régimes complémentaires de retraite et prévoyance Textes de référence : Article L242-1 et L 871-1 du code de la Sécurité sociale. Article D242-1, R 871-1 et R 871-2 du code de la Sécurité sociale. Loi

Plus en détail

Du budget à la comptabilité

Du budget à la comptabilité Du budget à la comptabilité 1 Plan de la présentation I-L élaboration du budget II-L exécution du budget III-La reddition des comptes 2 LE BUDGET -I- L ELABORATION DU BUDGET 3 QU EST-CE QUE LE BUDGET?

Plus en détail

Note sur la simplification de l instruction budgétaire et comptable M14

Note sur la simplification de l instruction budgétaire et comptable M14 Note sur la simplification de l instruction budgétaire et comptable M14 L instruction budgétaire et comptable M14 est appliquée aux collectivités locales depuis 1997 soit bientôt près de dix ans. Elle

Plus en détail

Les nouvelles obligations en matière de transparence financière des Comités d Entreprise Loi du 5 mars 2014 :

Les nouvelles obligations en matière de transparence financière des Comités d Entreprise Loi du 5 mars 2014 : Les nouvelles obligations en matière de transparence financière des Comités d Entreprise Loi du 5 mars 2014 : Situation antérieure et obligations prochaines www.semaphores.fr Situation antérieure à la

Plus en détail

Code du Travail, Art. L6222-23 à L6222-33

Code du Travail, Art. L6222-23 à L6222-33 F I C H E P R A T I Q U E N 2 R E M U N E R A T I O N E T A I D E S L I E E S A U C O N T R A T D A P P R E N T I S S A G E L apprenti est titulaire d un contrat de travail de type particulier : il est

Plus en détail

PERTES ET BENEFICES DE CHANGE

PERTES ET BENEFICES DE CHANGE ANALYSE DE L EXECUTION DU BUDGET DE L ETAT PAR MISSION ET PROGRAMME EXERCICE 2012 COMPTE D OPERATIONS MONETAIRES PERTES ET BENEFICES DE CHANGE MAI 2013 Compte d opérations monétaires Pertes et bénéfices

Plus en détail

LA SPECIALITE DES CREDITS. I - La spécialité des crédits dans les budgets des collectivités territoriales

LA SPECIALITE DES CREDITS. I - La spécialité des crédits dans les budgets des collectivités territoriales LA SPECIALITE DES CREDITS Grand principe de droit budgétaire il est appliqué dans les budgets locaux comme dans le budget de l Etat. I - La spécialité des crédits dans les budgets des collectivités territoriales

Plus en détail

GUIDE DIDACTIQUE DU PLAN COMPTABLE DE L ETAT CEMAC TOME 2 RELATIF AUX FONCTIONNEMENT DES COMPTES DIVISIONNAIRES

GUIDE DIDACTIQUE DU PLAN COMPTABLE DE L ETAT CEMAC TOME 2 RELATIF AUX FONCTIONNEMENT DES COMPTES DIVISIONNAIRES COMMUNAUTE ECONOMIQUE ET MONETAIRE DE L AFRIQUE CENTRALE GUIDE DIDACTIQUE DU PLAN COMPTABLE DE L ETAT CEMAC TOME 2 RELATIF AUX DES COMPTES DIVISIONNAIRES Directive n 03/11-UEAC-195-CM-22 relative au plan

Plus en détail

PROJET DE LOI DE FINANCES POUR 2006 GUIDE DE LECTURE DES NOUVEAUX DOCUMENTS BUDGÉTAIRES PAR MISSION DU BUDGET DE L ÉTAT

PROJET DE LOI DE FINANCES POUR 2006 GUIDE DE LECTURE DES NOUVEAUX DOCUMENTS BUDGÉTAIRES PAR MISSION DU BUDGET DE L ÉTAT PROJET DE LOI DE FINANCES POUR 2006 GUIDE DE LECTURE DES NOUVEAUX DOCUMENTS BUDGÉTAIRES PAR MISSION DU BUDGET DE L ÉTAT LES NOUVEAUX BLEUS BUDGÉTAIRES ET LES PROJETS ANNUELS DE PERFORMANCES Les documents

Plus en détail

LE CONTROLE DES COMPTES. Maîtrise du fonctionnement des comptes de tiers et des comptes de trésorerie. Modalités : TABLE DES MATIERES

LE CONTROLE DES COMPTES. Maîtrise du fonctionnement des comptes de tiers et des comptes de trésorerie. Modalités : TABLE DES MATIERES LE CONTROLE DES COMPTES Objectif(s) : o o o Lettrage, Apurement des comptes d'attente, Contrôle du compte banque. Pré-requis : o Maîtrise du fonctionnement des comptes de tiers et des comptes de trésorerie.

Plus en détail

La saisie des rubriques sera effectuée dans l application FARANDOLE avec les autres éléments du PAP. Autorisations d engagement

La saisie des rubriques sera effectuée dans l application FARANDOLE avec les autres éléments du PAP. Autorisations d engagement ANNEXE 2 EXPLICITATION DES RUBRIQUES La saisie des rubriques sera effectuée dans l application FARANDOLE avec les autres éléments du PAP. 1. Récapitulation des crédits destinés aux opérateurs de l État

Plus en détail

INSTRUCTION. N 02-101-B1-P2-A3 du 23 décembre 2002 NOR : BUD R 02 00101 J. Texte publié au Bulletin Officiel de la Comptabilité Publique

INSTRUCTION. N 02-101-B1-P2-A3 du 23 décembre 2002 NOR : BUD R 02 00101 J. Texte publié au Bulletin Officiel de la Comptabilité Publique INSTRUCTION N 02-101-B1-P2-A3 du 23 décembre 2002 NOR : BUD R 02 00101 J Texte publié au Bulletin Officiel de la Comptabilité Publique ORGANISMES HABILITÉS À OFFRIR LEUR GARANTIE AUPRÈS DES COMPTABLES

Plus en détail

Objet : Mise en œuvre du compte épargne temps au ministère de l agriculture, de l alimentation, de la pêche et des affaires rurales

Objet : Mise en œuvre du compte épargne temps au ministère de l agriculture, de l alimentation, de la pêche et des affaires rurales MINISTERE DE L AGRICULTURE, DE L ALIMENTATION, DE LA PECHE ET DES AFFAIRES RURALES Direction générale de l administration Sous-direction du développement professionnel et des relations sociales Bureau

Plus en détail

Caisse Nationale de l'assurance Maladie des Travailleurs Salariés Sécurité Sociale

Caisse Nationale de l'assurance Maladie des Travailleurs Salariés Sécurité Sociale Caisse Nationale de l'assurance Maladie des Travailleurs Salariés Sécurité Sociale Circulaire CNAMTS Date : 29/01/99 Origine : AC Mmes et MM. les Directeurs Mmes et MM. les Agents Comptables. des Caisses

Plus en détail

Annexe à l arrêté portant visa du Règlement du Conseil du Marché Financier relatif à la tenue et à l administration des comptes en valeurs mobilières

Annexe à l arrêté portant visa du Règlement du Conseil du Marché Financier relatif à la tenue et à l administration des comptes en valeurs mobilières Annexe à l arrêté portant visa du Règlement du Conseil du Marché Financier relatif à la tenue et à l administration des comptes en valeurs mobilières Le collège du Conseil du Marché Financier, Vu la loi

Plus en détail

REGLEMENT DU COMPTE EPARGNE-TEMPS

REGLEMENT DU COMPTE EPARGNE-TEMPS Comité Technique Paritaire Réunion du 28 septembre 2010 Annexe 1 REGLEMENT DU COMPTE EPARGNE-TEMPS Règles d ouverture, de fonctionnement, de gestion et de fermeture du Compte Epargne-Temps (art 10 du décret

Plus en détail

I-1 : Principes clés de la consolidation des comptes I-2 : Périmètre et méthodes de consolidation

I-1 : Principes clés de la consolidation des comptes I-2 : Périmètre et méthodes de consolidation I-1 : Principes clés de la consolidation des comptes I-2 : Périmètre et méthodes de consolidation I-3 : pourcentage de contrôle et pourcentage d intérêt II-1 : les missions de l auditeur des comptes consolidés

Plus en détail

Université d Oran / Faculté des Sciences Commerciales Spécialité : 4 eme. Fiche N 2 : Banque et Monnaie

Université d Oran / Faculté des Sciences Commerciales Spécialité : 4 eme. Fiche N 2 : Banque et Monnaie Université d Oran / Faculté des Sciences Commerciales Spécialité : 4 eme Finance / Module : Les Techniques Bancaires Fiche N 2 : Banque et Monnaie I)- Principes Généraux : 1)- Définition du Terme Monnaie

Plus en détail

«AMICALE DES CADRES DE LA POLICE NATIONALE ET DE LA SECURITE INTERIEURE» «ACPNSI»

«AMICALE DES CADRES DE LA POLICE NATIONALE ET DE LA SECURITE INTERIEURE» «ACPNSI» «AMICALE DES CADRES DE LA POLICE NATIONALE ET DE LA SECURITE INTERIEURE» «ACPNSI» Mutuelle régie par les dispositions du Livre III du Code de la mutualité et immatriculée au registre national des mutuelles

Plus en détail

UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE

UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE ------------------- Le Conseil des Ministres PLAN COMPTABLE DES COLLECTIVITES TERRITORIALES T - UEMOA - I - PRESENTATION DU PLAN COMPTABLE I.1 - Les classes

Plus en détail

Section 1 La Spécialité. Section 4 L unité. Section 2 L Annualité. Section 5 L Universalité. Section 3 Le caractère limitatif des crédits

Section 1 La Spécialité. Section 4 L unité. Section 2 L Annualité. Section 5 L Universalité. Section 3 Le caractère limitatif des crédits Section 1 La Spécialité Section 4 L unité Section 2 L Annualité Section 5 L Universalité Section 3 Le caractère limitatif des crédits Section 6 La Sincérité Raymond FERRETTI 2 Raymond FERRETTI 3 art. 7.I

Plus en détail

COMPTE EPARGNE-TEMPS. En application du décret n 2002-634 du 29 avril 2002 portant création du CET dans la fonction publique de l Etat 1/11

COMPTE EPARGNE-TEMPS. En application du décret n 2002-634 du 29 avril 2002 portant création du CET dans la fonction publique de l Etat 1/11 COMPTE EPARGNE-TEMPS En application du décret n 2002-634 du 29 avril 2002 portant création du CET dans la fonction publique de l Etat 1/11 PRESENTATION GENERALE DU DISPOSITIF SOMMAIRE I. CADRE GENERAL

Plus en détail

Chapitre IV. La certification des comptes

Chapitre IV. La certification des comptes Chapitre IV La certification des comptes Aux termes de la Constitution, «les comptes des administrations publiques sont réguliers, sincères et donnent une image fidèle de leur gestion, de leur patrimoine

Plus en détail

AUDIT FINANCIER ET FISCAL DE LA COMMUNE COMMUNE DE SAINT-JULIEN EN GENEVOIS

AUDIT FINANCIER ET FISCAL DE LA COMMUNE COMMUNE DE SAINT-JULIEN EN GENEVOIS AUDIT FINANCIER ET FISCAL DE LA COMMUNE COMMUNE DE SAINT-JULIEN EN GENEVOIS Le 4 février 2015 Jean-Pierre COBLENTZ Adel KARMOUS STRATORIAL FINANCES www.stratorial-finances.fr Tour GAMMA A 193 rue de Bercy

Plus en détail

18 Cession d un bien Nomenclatures M14 / M52 et M71

18 Cession d un bien Nomenclatures M14 / M52 et M71 18 Cession d un bien Nomenclatures M14 / M52 et M71 Quels textes de référence? Instruction M14 : Tome 1 Chapitre 2 fonctionnement des comptes Tome 2 - Titre 3 chapitre 3 Paragraphe 1.3 Tome 1 annexe 26

Plus en détail

La rémunération de l apprenti :

La rémunération de l apprenti : F I C H E P R A T I Q U E N 2 R E M U N E R A T I O N E T A I D E S L I E E S A U C O N T R A T D A P P R E N T I S S A G E L apprenti est titulaire d un contrat de travail de type particulier : il est

Plus en détail

LES REGIES D AVANCES ET DE RECETTES

LES REGIES D AVANCES ET DE RECETTES LES REGIES D AVANCES ET DE RECETTES 1 LES AVANCES POUR MENUES DEPENSES 2 COMPTE 548 : AVANCES POUR MENUES DEPENSES fonctionne comme un compte de régie avances qui ne peuvent excéder 300 Euro fixées par

Plus en détail

Chap. 9 : L affectation du résultat

Chap. 9 : L affectation du résultat 1 / 9 Chap. 9 : L affectation du résultat L affectation du résultat de l exercice N est une opération de l exercice suivant N+1. Les bénéfices peuvent être maintenus dans l entreprise (mis en réserves)

Plus en détail

FICHE TECHNIQUE N 12 INSTRUMENTS FINANCIERS A TERME ET EMPRUNTS EN MONNAIES ETRANGERES

FICHE TECHNIQUE N 12 INSTRUMENTS FINANCIERS A TERME ET EMPRUNTS EN MONNAIES ETRANGERES FICHE TECHNIQUE N 12 INSTRUMENTS FINANCIERS A TERME ET EMPRUNTS EN MONNAIES ETRANGERES V2.0 Page 1 sur 117 DESTINATAIRES Nom Direction M. Litvan FCE 6 ème Sous-direction M. Soulié FCE 7 ème Sous-direction

Plus en détail

Page. LES FONDAMENTAUX Les savoirs généraux de l assurance 2

Page. LES FONDAMENTAUX Les savoirs généraux de l assurance 2 2014-2015 LES FONDAMENTAUX Les savoirs généraux de l assurance 2 ASSURANCES DE PERSONNES Les bases de l assurance collective et de la loi Madelin 3 Les régimes obligatoires de protection sociale 4 Santé

Plus en détail

Manuel d utilisation. éstréso Syndicat S C P V C. Saisir les écritures. Version 5.1.14

Manuel d utilisation. éstréso Syndicat S C P V C. Saisir les écritures. Version 5.1.14 éstréso Syndicat Manuel d utilisation Version 5.1.14 S C P V C Saisir les écritures Version 5.1.14 1 Préambule Dans Tréso Syndicat il existe quatre possibilités pour saisir des écritures. - L écriture

Plus en détail

NORME IAS 07 LE TABLEAU DES FLUX DE TRÉSORERIE

NORME IAS 07 LE TABLEAU DES FLUX DE TRÉSORERIE NORME IAS 07 LE TABLEAU DES FLUX DE TRÉSORERIE UNIVERSITE NANCY2 Marc GAIGA - 2009 Table des matières NORME IAS 12 : IMPÔTS SUR LE RÉSULTAT...3 1.1. LA PRÉSENTATION SUCCINCTE DE LA NORME...3 1.1.1. L esprit

Plus en détail

LE COMPTE EPARGNE TEMPS

LE COMPTE EPARGNE TEMPS STATUT LE COMPTE EPARGNE TEMPS Références : Décret 2004-878 du 26 août 2004, modifié par le décret 2010-531 du 20 mai 2010 ; Circulaire ministérielle N10-007135-D du 31 mai 2010 (annexe 1). Les règles

Plus en détail

L AMORTISSEMENT III NOUVEAUTE AVEC L INSTRUCTION CODIFICATRICE M9.6

L AMORTISSEMENT III NOUVEAUTE AVEC L INSTRUCTION CODIFICATRICE M9.6 L AMORTISSEMENT I DEFINITION L amortissement est la constatation comptable de l amoindrissement de la valeur d un élément d actif sur sa durée probable de vie. Les immobilisations demeurent les éléments

Plus en détail

NOTE D INFORMATION. L Assemblée Nationale a adopté en décembre 2013 la loi de finances pour 2014 et la loi de finances rectificative pour 2013.

NOTE D INFORMATION. L Assemblée Nationale a adopté en décembre 2013 la loi de finances pour 2014 et la loi de finances rectificative pour 2013. 36 rue de Monceau 75008 Paris 62 rue de la République 69002 Lyon www.seine-saone.fr NOTE D INFORMATION Date : 20 janvier 2014 Objet : Loi de finances pour 2014 Loi de finances rectificative pour 2013 Madame,

Plus en détail

GROUPE. Comptes consolidés. Au 31décembre 2013

GROUPE. Comptes consolidés. Au 31décembre 2013 GROUPE Comptes consolidés Au 31décembre 2013 1 SOMMAIRE SOMMAIRE... 2 BILAN CONSOLIDE... 3 COMPTE DE RESULTAT... 4 TABLEAU DES FLUX DE TRESORERIE... 5 PRINCIPES ET METHODES... 6 PRINCIPES ET METHODES DE

Plus en détail

Convention entre l Etat et l UESL relative à la Garantie des Risques Locatifs

Convention entre l Etat et l UESL relative à la Garantie des Risques Locatifs Convention entre l Etat et l UESL relative à la Garantie des Risques Locatifs Entre l Etat, représenté par le ministre de l emploi, de la cohésion sociale et du logement, le ministre de l économie, des

Plus en détail

Comptabilité de l état

Comptabilité de l état Instruction codificatrice N 05052PR du 14 décembre 2005 NOR : BUD R 05 00052 J Texte publié au Bulletin Officiel de la Comptabilité Publique Comptabilité de l état Analyse Livre 7 Trésorerie Date d application

Plus en détail

Guide synthétique de la comptabilité des dépenses engagées

Guide synthétique de la comptabilité des dépenses engagées Guide synthétique de la comptabilité des dépenses engagées La tenue de la comptabilité d engagement ou comptabilité administrative est de la responsabilité de l exécutif de la collectivité. Le CGCT prévoit

Plus en détail

Indicateur n 13 : Evolution des effectifs et des dépenses de personnel des établissements de santé

Indicateur n 13 : Evolution des effectifs et des dépenses de personnel des établissements de santé Programme «Maladie» 47 Indicateur n 13 : Evolution des effectifs et des dépenses de personnel des établissements de santé Sous-indicateur n 13-1 : Évolution des effectifs (en équivalent temps plein) de

Plus en détail

Guide comptable. Les inscriptions comptables

Guide comptable. Les inscriptions comptables Guide comptable Les inscriptions comptables les ressources d emprunt Les emprunts sont exclusivement destinés à financer des investissements, qu'il s'agisse d'un équipement spécifique ou d'un ensemble

Plus en détail

MODIFICATIONS DU COMPTE EPARGNE TEMPS

MODIFICATIONS DU COMPTE EPARGNE TEMPS CONSEIL GENERAL DE TARN-ET-GARONNE EXTRAIT DU REGISTRE DES DELIBERATIONS DE L ASSEMBLEE 5 ème RÉUNION DE 2010 Séance du 18 novembre 2010 CG 10/5 è me /I-11 PERSONNEL DEPARTEMENTAL MODIFICATIONS DU COMPTE

Plus en détail

Norme internationale d information financière 9 Instruments financiers

Norme internationale d information financière 9 Instruments financiers Norme internationale d information financière 9 Instruments financiers IFRS 9 Chapitre 1 : Objectif 1.1 L objectif de la présente norme est d établir des principes d information financière en matière d

Plus en détail

Association diocésaine de Blois 2, rue Porte Clos-Haut 41000 BLOIS

Association diocésaine de Blois 2, rue Porte Clos-Haut 41000 BLOIS Association diocésaine de Blois 2, rue Porte Clos-Haut 41000 BLOIS 1 INTRODUCTION Rappel sur l organisation temporelle du diocèse de Blois. L évêque est le seul administrateur du diocèse. L évêque prend

Plus en détail

LE COMPTE EPARGNE-TEMPS

LE COMPTE EPARGNE-TEMPS CENTRE DE GESTION DE LA FONCTION PUBLIQUE TERRITORIALE 6 bis rue Olivier de Clisson CS 82161 56005 VANNES CEDEX Tél. : 02.97.68.16.00 Fax : 02.97.68.16.01 Site Internet : www.cdg56.fr Circulaire n 13-23

Plus en détail

Direction du budget I Recueil des règles de comptabilité budgétaire de l Etat I J.O. du 25 juillet 2014

Direction du budget I Recueil des règles de comptabilité budgétaire de l Etat I J.O. du 25 juillet 2014 de l Etat 2 INTRODUCTION L article 54 du décret n 2012-1246 du 7 novembre 2012 relatif à la gestion budgétaire et comptable publique (GBCP) prévoit que les règles des composantes de la comptabilité publique

Plus en détail

Conseil de Surveillance du 23 février 2012

Conseil de Surveillance du 23 février 2012 AIDES AUX MENAGES EN DIFFICULTE ARTICLE R. 313-19-3 V DU CCH ---- En application de l article R. 313-12 du code de la construction et de l habitation, l UESL peut déterminer par recommandation les modalités

Plus en détail

Intervenant. Patrick MORGENSTERN. Expert-comptable, Chargé d enseignement fiscal à l Université de Bourgogne

Intervenant. Patrick MORGENSTERN. Expert-comptable, Chargé d enseignement fiscal à l Université de Bourgogne Les impôts différés Intervenant Patrick MORGENSTERN Expert-comptable, Chargé d enseignement fiscal à l Université de Bourgogne Sommaire Présentation synthétique du mécanisme des impôts différés Impôts

Plus en détail

CLASSE 5 COMPTES FINANCIERS 1.1. COMPTE 50 VALEURS MOBILIERES DE PLACEMENT

CLASSE 5 COMPTES FINANCIERS 1.1. COMPTE 50 VALEURS MOBILIERES DE PLACEMENT 5 CLASSE 5 COMPTES FINANCIERS Les comptes financiers enregistrent les mouvements de valeurs en espèces, chèques, ainsi que les opérations faites avec le Trésor, les banques et les établissements financiers.

Plus en détail

TD n 1 : la Balance des Paiements

TD n 1 : la Balance des Paiements TD n 1 : la Balance des Paiements 1 - Principes d enregistrement L objet de la Balance des Paiements est de comptabiliser les différentes transactions entre résidents et non-résidents au cours d une année.

Plus en détail

QUELLE DOIT ÊTRE L AMPLEUR DE LA CONSOLIDATION BUDGÉTAIRE POUR RAMENER LA DETTE À UN NIVEAU PRUDENT?

QUELLE DOIT ÊTRE L AMPLEUR DE LA CONSOLIDATION BUDGÉTAIRE POUR RAMENER LA DETTE À UN NIVEAU PRUDENT? Pour citer ce document, merci d utiliser la référence suivante : OCDE (2012), «Quelle doit être l ampleur de la consolidation budgétaire pour ramener la dette à un niveau prudent?», Note de politique économique

Plus en détail

Règlement financier et de Gestion de la F.F.S.B.

Règlement financier et de Gestion de la F.F.S.B. Règlement financier et de Gestion de la F.F.S.B. du 26/02/2005 modifié les 15/03/2008, 21/04/2012 et 22/02/2014 I.REGLEMENT FINANCIER PREAMBULE La Fédération Française du Sport Boules, bénéficiant d une

Plus en détail

Alerte. «Les Organisations Syndicales doivent établir des comptes annuels pour 2009 ainsi que des comptes consolidés»

Alerte. «Les Organisations Syndicales doivent établir des comptes annuels pour 2009 ainsi que des comptes consolidés» Alerte «Les Organisations Syndicales doivent établir des comptes annuels pour 2009 ainsi que des comptes consolidés» La loi du 20 août 2008 portant rénovation de la démocratie sociale et réforme du temps

Plus en détail

Circulaire ministérielle n 10-007135 D du 31 mai 2010 relative à la réforme du compte épargne temps dans la fonction publique territoriale.

Circulaire ministérielle n 10-007135 D du 31 mai 2010 relative à la réforme du compte épargne temps dans la fonction publique territoriale. COMPTE EPARGNE TEMPS Note d'information N 2010-15 du 6 septembre 2010 COMPTE EPARGNE TEMPS REFERENCE : Décret n 2010-531 du 20 mai 2010 modifiant certaines dispositions relatives au compte épargne temps

Plus en détail

Compte Epargne Temps (CET), les textes sont publiés au Journal officiel, l administration doit nous fournir le mode d emploi!

Compte Epargne Temps (CET), les textes sont publiés au Journal officiel, l administration doit nous fournir le mode d emploi! T@mT@m/CFTC.FAE ------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- Fédération CFTC des Fonctionnaires et agents

Plus en détail

DOCUMENTS ADMINISTRATIFS

DOCUMENTS ADMINISTRATIFS Année 2012. N o 14 ISSN 0242-6773 Mercredi 26 décembre 2012 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE ÉDITION DES DOCUMENTS ADMINISTRATIFS DIRECTION DE L INFORMATION LÉGALE ET ADMINISTRATIVE 26, rue

Plus en détail

ANNEXE A LA LOI DE FINANCES

ANNEXE A LA LOI DE FINANCES REPUBLIQUE GABONAISE ANNEXE A LA LOI DE FINANCES MISSION POUVOIRS PUBLICS ANNEXE AU PROJET DE LOI DE FINANCES POUR 2012014 [Tapez une citation prise dans le document ou la TABLE DES MATIERES I. MISSION

Plus en détail

SITUATION FINANCIERE DE LA COMMUNE DE MONT DE LANS. Réunion Publique du 6 Aout 2015

SITUATION FINANCIERE DE LA COMMUNE DE MONT DE LANS. Réunion Publique du 6 Aout 2015 SITUATION FINANCIERE DE LA COMMUNE DE MONT DE LANS Réunion Publique du 6 Aout 2015 LE BUDGET PRIMITIF COMMUNAL 2015 BUDGET GLOBAL (13,53 M ) INVESTISSEMENT 2,87M FONCTIONNEMENT 10,66M Dépenses (2,87 M

Plus en détail

Compte général de l État pour 2008

Compte général de l État pour 2008 Compte général de l État pour 2008 166e Cahier de la Cour des comptes Complément 3 Compte de la Trésorerie Compte des variations du patrimoine Compte synthétique des opérations de l État COMPTE GÉNÉRAL

Plus en détail

LICENCE SNCF OPEN DATA

LICENCE SNCF OPEN DATA LICENCE SNCF OPEN DATA PREAMBULE Dans l intérêt de ses utilisateurs, la SNCF a décidé de s engager dans une démarche de partage de certaines informations liées à son activité, permettant ainsi aux personnes

Plus en détail

relatif aux opérations d assurance réalisées dans le cadre d un «patrimoine d affectation»

relatif aux opérations d assurance réalisées dans le cadre d un «patrimoine d affectation» COMITE DE LA REGLEMENTATION COMPTABLE Règlement n 2004-11 du 23 novembre 2004 relatif aux opérations d assurance réalisées dans le cadre d un «patrimoine d affectation» Le Comité de la réglementation comptable,

Plus en détail

FINANCEMENT DU DEFICIT BUDGETAIRE AU MAROC

FINANCEMENT DU DEFICIT BUDGETAIRE AU MAROC FINANCEMENT DU DEFICIT BUDGETAIRE AU MAROC Rabat, 19 octobre 21 M. Ahmed HAJOUB Adjoint au Directeur du Trésor et des Finances Extérieures chargé du pôle macroéconomie I- Consolidation budgétaire: expérience

Plus en détail

CONVENTION DE COMPTE DE DEPOT EN DEVISES

CONVENTION DE COMPTE DE DEPOT EN DEVISES La convention de compte de dépôt en devise, ci-après dénommée la «Convention», se compose des présentes Conditions Générales, des Conditions Particulières et des Conditions tarifaires applicables à la

Plus en détail

SECRÉTARIAT D ETAT CHARGE DU BUDGET. publique. Le Ministre de l Intérieur,

SECRÉTARIAT D ETAT CHARGE DU BUDGET. publique. Le Ministre de l Intérieur, MINISTÈRE DE L ÉCONOMIE, DES FINANCES ET DE L INDUSTRIE SECRÉTARIAT D ETAT CHARGE DU BUDGET MINISTÈRE DE L INTÉRIEUR Direction du Trésor Direction de la Comptabilité publique Direction générale des collectivités

Plus en détail

ACCORD SUR LE COMPTE EPARGNE TEMPS

ACCORD SUR LE COMPTE EPARGNE TEMPS ACCORD SUR LE COMPTE EPARGNE TEMPS ARTICLE 1 - OBJET Le Compte Epargne Temps permet au salarié, à son initiative, d accumuler des droits à congés rémunérés ou de bénéficier d une rémunération, immédiate

Plus en détail

GUIDE D ASSISTANCE CONSEIL AUX COMMUNES

GUIDE D ASSISTANCE CONSEIL AUX COMMUNES REPUBLIQUE DU BENIN MINISTERE DE LA DECENTRALISATION, DE LA GOUVERNANCE LOCALE, DE L ADMINISTRATION ET DE L AMENAGEMENT DU TERRITOIRE GUIDE D ASSISTANCE CONSEIL AUX COMMUNES Elaboré par la Direction Générale

Plus en détail

COMPTES DE GROUPE Consolidation et présentation de participations

COMPTES DE GROUPE Consolidation et présentation de participations La nouvelle Swiss GAAP RPC 30 regroupe toutes les règles applicables aux comptes. Ce qui implique que toutes les autres Swiss GAAP RPC font référence aux comptes individuels. Quelles sont les questions

Plus en détail

asah alpha consulting Prog o ram a m m e e de d e fo f r o mat a i t on o n 2 01 0 5

asah alpha consulting Prog o ram a m m e e de d e fo f r o mat a i t on o n 2 01 0 5 AUDIT 1 1.1 Evaluation et appréciation du contrôle Auditeurs internes, contrôleurs de gestion Responsables administratifs et financiers ; Durée : 03 jours Maitriser la démarche d évaluation interne Mettre

Plus en détail

Le budget 2013. Présentation par M. Pascal BOLO, Adjoint aux Finances. Conseil Municipal du

Le budget 2013. Présentation par M. Pascal BOLO, Adjoint aux Finances. Conseil Municipal du Le budget 2013 Présentation par M. Pascal BOLO, Adjoint aux Finances Conseil Municipal du 8 février 2013 Les documents budgétaires : Le budget selon la nomenclature M14; Les documents annexes; Le budget

Plus en détail

GROUPE NSE INDUSTRIES. Comptes intermédiaires consolidés Période du 1 er janvier au 30 juin 2014

GROUPE NSE INDUSTRIES. Comptes intermédiaires consolidés Période du 1 er janvier au 30 juin 2014 GROUPE NSE INDUSTRIES Comptes intermédiaires consolidés Période du 1 er janvier au 30 juin 2014 BILAN (en milliers d euros) ACTIF Note 30/06/14 30/06/13 Ecarts d'acquisition 1 3 872 3 972 Immobilisations

Plus en détail

Document N 10 Document de travail, n engage pas le Conseil Le PERCO en 2014

Document N 10 Document de travail, n engage pas le Conseil Le PERCO en 2014 CONSEIL D ORIENTATION DES RETRAITES Séance plénière du 08 juillet 2015 à 9 h 30 «Le patrimoine des retraités et l épargne retraite» Document N 10 Document de travail, n engage pas le Conseil Le PERCO en

Plus en détail

1 - LE COMPTE EPARGNE-TEMPS... 2

1 - LE COMPTE EPARGNE-TEMPS... 2 Fiche d information Page 1 sur 12 OBJET Le présent document a pour objet de vous présenter les grands principes du compte épargne-temps (CET) mis en place au sein de notre ministère depuis 2003. Il aborde

Plus en détail

ANALYSE FINANCIèRE. RéTROSPECTIVE DU BUDGET PRINCIPAL DE L Agglomération CôTE BASQUE ADOUR 2003-2012

ANALYSE FINANCIèRE. RéTROSPECTIVE DU BUDGET PRINCIPAL DE L Agglomération CôTE BASQUE ADOUR 2003-2012 ANALYSE FINANCIèRE RéTROSPECTIVE DU BUDGET PRINCIPAL DE L Agglomération CôTE BASQUE ADOUR 2003-2012 RESSOURCES CONSULTANTS FINANCES SOCIÉTÉ D ETUDE, RECHERCHE ET PROSPECTIVE EN FINANCES LOCALES S.A. au

Plus en détail

MINISTERE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTE

MINISTERE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTE MINISTERE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTE Direction générale de l offre de soins Sous-direction des ressources humaines du système de santé Bureau des ressources humaines hospitalières (RH4) Personne

Plus en détail

LICENCE SNCF OPEN DATA

LICENCE SNCF OPEN DATA LICENCE SNCF OPEN DATA Préambule Dans l intérêt de ses utilisateurs, SNCF a décidé de s engager dans une démarche «OPEN DATA», de partage de certaines informations liées à son activité, par la mise à disposition

Plus en détail

LA COMPTABILITE MATIERE

LA COMPTABILITE MATIERE INFORMATIONS CONSEIL ET ASSISTANCE AUX E.P.L.E. DE LA GUADELOUPE LA COMPTABILITE MATIERE S O M M A I R E 1 - Rappel des dispositions réglementaires page 2 2 - Modalités de mise en œuvre de la comptabilité

Plus en détail

Entre : - Le Professionnel (raison sociale) [ ] numéro SIREN adresse du siège social numéro d habilitation numéro d agrément

Entre : - Le Professionnel (raison sociale) [ ] numéro SIREN adresse du siège social numéro d habilitation numéro d agrément MINISTERE DE L'INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L'ÉCONOMIE ET DES FINANCES CONVENTION D AGRÉMENT EN VUE DE LA PERCEPTION DES TAXES ET DE LA REDEVANCE DUES SUR LES CERTIFICATS D IMMATRICULATION DES VÉHICULES À MOTEUR

Plus en détail

LE COMPTE EPARGNE-TEMPS

LE COMPTE EPARGNE-TEMPS Circulaire n 25/2010 Cl. C 4212 Colmar, le 03 août 2010 CENTRE de GESTION du HAUT-RHIN FONCTION PUBLIQUE TERRITORIALE 22, rue Wilson - 68027 COLMAR CEDEX 03 89 20 36 00-03 89 20 36 29 - cdg68@calixo.net

Plus en détail

Rapport financier - Exercice 2013

Rapport financier - Exercice 2013 Rapport financier - Exercice 2013 Sommaire Le budget réalisé en 2013 // Résultat de l'exercice 2013 page 4 // Origine des recettes page 4 // Destination des dépenses page 4 Les grands équilibres financiers

Plus en détail

Les rachats de contrats d assurance-vie après 60 ans en 2012 FFSA

Les rachats de contrats d assurance-vie après 60 ans en 2012 FFSA CONSEIL D ORIENTATION DES RETRAITES Séance plénière du 17 décembre 2013 à 14h30 «Etat des lieux sur l épargne en prévision de la retraite» Document N 8 Document de travail, n engage pas le Conseil Les

Plus en détail