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2 remerciements L Observatoire du numérique tient à remercier, pour la qualité de l iconographie qui vient illustrer ce rapport : Philippe Hedde, directeur général de NextiraOne, Anne Le Port, directrice du développement et de la communication, et Benoît Moncorge, directeur Europe du marketing et de la communication ; Sarah Watson, designer chez Razor design. L Observatoire du numérique remercie enfin l ensemble de ses membres et collaborateurs, sans qui ce rapport n aurait pu voir le jour. Date de parution : mai 2013 Directeur de la publication : Jean Mounet Rédacteur en chef : François Magnien Rédaction : Raymond Heitzmann Édition : Gwenaëlle Solignac, Nicole Merle-Lamoot, Gilles Pannetier Maquette : Clément Buée 2

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4 Avant-propos 7 Origines - Le numérique : un enjeu économique et sociétal - L Observatoire du numérique : un partenariat public-privé 8 Missions L Observatoire du numérique : - Un rassembleur de données - Un espace de réflexion 9 Organisation - Le comité d orientation stratégique - Le comité exécutif - Le secrétariat général 10 Membres - Les membres du comité d orientation stratégique - Les membres du comité exécutif 10 4

5 Observer - Les champs du numérique - Les sources disponibles 12 Analyser Indicateurs emblématiques et complémentaires : la sélection des groupes de travail de l Observatoire 16 Réaliser Le site internet, la revue Synoptic, le rapport d activité et les chiffres clés 34 Participer - Conférences et colloques - Contribution de l Observatoire à la réflexion communautaire 38 Annexe 42 5

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7 Avant-propos Le rôle central joué par le numérique dans l économie, grâce à un secteur producteur dynamique et à sa diffusion dans tous les domaines de l économie, est désormais bien connu. Son impact social et sociétal est devenu majeur, en transformant le mode de vie des Français : communications, loisirs, achats, formation, culture, sécurité, etc. C est dans ce cadre qu il y a un peu plus d un an l Observatoire du numérique a été créé, afin de rassembler, sélectionner et diffuser les informations statistiques les plus fiables et les plus complètes possibles sur le développement de l économie numérique et l utilisation des TIC par les particuliers, les entreprises et les administrations. D entrée, une vaste concertation s est engagée au sein de l Observatoire avec les principaux acteurs concernés pour clarifier et définir le périmètre même de «l économie numérique». Elle a débouché sur la création de sept groupes de travail, constitués d experts venus d horizons variés, ayant pour mission d établir une liste d indicateurs permettant de caractériser le développement du numérique. Une synthèse des recommandations de ces groupes de travail a d ailleurs été transmise à la Commission européenne, qui souhaite recevoir des propositions des États membres pour améliorer la définition des indicateurs prioritaires à prendre en compte dans la mise au point des futurs questionnaires d enquêtes sur le numérique. Je salue la formidable motivation des femmes et des hommes qui ont permis, à travers ces groupes de travail, de porter cette première phase du développement de l Observatoire du numérique : tous ont bien compris l extrême diversité de l économie numérique et donc la nécessité d en avoir une mesure pertinente pour toutes ses composantes. L année 2013 sera consacrée à la mise en œuvre et à la publication, sur le site internet de l Observatoire, des indicateurs sélectionnés par les différents groupes de travail, notamment à partir des résultats des enquêtes communautaires sur les TIC, mais en mobilisant aussi toutes les sources considérées comme fiables : données de la statistique publique, des organisations professionnelles, études académiques, etc. Les travaux des groupes de travail se poursuivront afin de compléter certains domaines (commerce extérieur, activités en ligne ), analyser et comprendre les incohérences résiduelles entre différentes sources et, enfin, lancer de nouvelles réflexions. Néanmoins, une priorité s impose dès maintenant : l emploi, domaine essentiel et pourtant encore incomplètement documenté. L Observatoire du numérique s attachera enfin à développer tous les vecteurs de communication permettant de mieux faire connaître l économie numérique, contribuant ainsi à l appropriation efficace du numérique par tous les domaines de l économie et de la société. Jean Mounet Président exécutif de l Observatoire du numérique 7

8 L impact du numérique sur la croissance et la productivité de l économie nationale, sur la compétitivité des entreprises, sur l innovation et sur l emploi, son rôle dans la diffusion des échanges et des savoirs rendent nécessaire le suivi de son évolution. La part du numérique dans le développement économique de la France et dans la création d emplois est difficile à quantifier. En effet, l information statistique disponible doit être rassemblée pour répondre aux besoins évaluatifs des décideurs publics et privés : il existe des sources multiples, disparates, parfois incomplètes. Les pouvoirs publics ont souhaité qu un organisme réunissant des professionnels des secteurs public et privé de la filière des STIC propose de véritables outils d aide à la décision. Cet organisme devra rassembler et qualifier l information, proposer des données accompagnées d analyses conjoncturelles et évaluatives fiables, favorisant qui plus est les comparaisons internationales. Le ministère du Redressement productif et le ministère des PME, de l innovation et de l économie numérique entendent inscrire le développement du numérique dans la stratégie globale du redressement industriel et productif. La direction générale de la compétitivité, de l industrie et des services (Dgcis) assurera le copilotage de l Observatoire. 8

9 L Observatoire doit trier, rassembler, enrichir et diffuser auprès des acteurs publics et privés l information statistique disponible. Il s agit ainsi de réunir de manière exhaustive les indicateurs les plus pertinents, et ce quelle que soit leur provenance, c est-àdire issus de la statistique publique, mais aussi d organismes publics ou de sociétés d études, ainsi que du monde professionnel. Il s agit également, dans une perspective didactique, d expliciter les sources et les champs des chiffres qui paraissent, de lever les incohérences ou contradictions apparentes, en un mot de clarifier les données véhiculées. L Observatoire est également amené à orchestrer la mise en œuvre d études prospectives ou sectorielles dans le domaine du numérique, après en avoir identifié les problématiques à forts enjeux. L Observatoire a enfin pour fonction de fournir périodiquement un diagnostic économique, social et sociétal de l évolution de l économie numérique et de son impact sur la croissance et la productivité. 9

10 L arrêté du 23 novembre 2011 a créé l Observatoire du numérique, qui est composé de trois instances : coprésidé par : - le président du conseil national pour le numérique (CNN) ; - le vice-président du comité stratégique de filière compétent pour les services et technologies de l information et de la communication (CSF STIC). présidé par Jean Mounet, vice-président de Sopra Group. assumé par la direction générale de la compétitivité, de l industrie et des services (Dgcis). Les membres de l Observatoire sont issus des secteurs public et privé (professionnels de la filière des STIC). Membres participant au comité d orientation stratégique (COS) Organisations professionnelles - La Chambre professionnelle des sociétés de conseil et de services informatiques (SSII) et des éditeurs de logiciels et des sociétés de conseil en technologies (Syntec numérique) ; - La Fédération française des télécommunications et des communications électroniques (FFT) ; - La Fédération du e-commerce et de la vente à distance (Fevad) ; - La Fédération des industries électriques, électroniques et de communication (Fieec) ; - L Association pour le commerce et les services en ligne (Acsel) ; - L Association française des éditeurs de logiciels (Afdel) ; - Le Mouvement des entreprises de France (Medef) ; - La Confédération générale du patronat des petites et moyennes entreprises (CGPME) ; - Le Groupement des fédérations industrielles (GFI) ; - L Assemblée des chambres françaises de commerce et d industrie (ACFCI) ; - Le Club informatique des grandes entreprises françaises (Cigref). Organisations syndicales - La Confédération française démocratique du travail (CFDT) ; - La Confédération française de l encadrement-confédération générale des cadres (CFE-CGC) ; - La Confédération française des travailleurs chrétiens (CFTC) ; - La Confédération générale du travail (CGT) ; - La Confédération générale du travail-force ouvrière (FO). 10

11 Organismes publics - Le directeur général de la compétitivité, de l industrie et des services ou son représentant (Dgcis) ; - Le vice-président du Conseil général de l industrie, de l énergie et des technologies ou son représentant (CGIET) ; - Le directeur général du Trésor ou son représentant (DG Trésor) ; - Le délégué général à l emploi et à la formation professionnelle ou son représentant (DGEFP) ; - Le directeur de l animation de la recherche, des études et des statistiques ou son représentant (Dares) ; - Le directeur général de l Institut national de la statistique et des études économiques ou son représentant (Insee) ; - Le président de l Autorité de régulation des communications électroniques et des postes ou son représentant (Arcep) ; - Le président du Conseil supérieur de l audiovisuel ou son représentant (CSA) ; - Le directeur général de la Caisse des dépôts et consignations ou son représentant ; - L administrateur général de l Institut télécom ou son représentant. Pôles de compétitivité - Un représentant du pôle de compétitivité Systematic ; - Un représentant du pôle de compétitivité Images et réseaux ; - Un représentant du pôle de compétitivité Minalogic ; - Un représentant du pôle de compétitivité Cap Digital ; - Un représentant du pôle de compétitivité Solutions communicantes sécurisées. Personnalités qualifiées - M. Yves Gassot, désigné en tant que personnalité qualifiée ; - M. Michel Didier, désigné en tant que personnalité qualifiée ; - M. Jean-François Perret, désigné en tant que personnalité qualifiée. Membres participant au comité exécutif (COMEX) Organisations professionnelles - La Fédération des industries électriques, électroniques et de communication (Fieec) ; - La Chambre professionnelle des sociétés de conseil et de services informatiques (SSII) et des éditeurs de logiciels et des sociétés de conseil en technologies (Syntec numérique) ; - La Fédération française des télécommunications et des communications électroniques (FFT) ; - La Fédération du e-commerce et de la vente à distance (Fevad) ; - L Association française des éditeurs de logiciels (Afdel). Organismes publics - Le directeur général de la compétitivité, de l industrie et des services ou son représentant ; - Le vice-président du Conseil général de l industrie, de l énergie et des technologies ou son représentant ; - Le directeur général de l Institut national de la statistique et des études économiques ou son représentant ; - Le directeur général de la Caisse des dépôts et consignations ou son représentant ; - L administrateur général de l Institut télécom ou son représentant. 11

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13 L e fort impact de l économie numérique sur la croissance et la productivité de l économie nationale rend le suivi de son développement indispensable. La mission de l Observatoire est donc de rassembler les données statistiques permettant d analyser les évolutions du numérique en cours, du côté de l offre et de la demande. La mission consiste également à étalonner la progression du numérique en France par rapport à celle des autres pays de l Union européenne. Les données à rassembler couvrent plusieurs champs. Tout d abord, il s agit de caractériser l offre des STIC en France en observant l évolution du secteur producteur des STIC et des infrastructures ainsi que l impact des nouvelles activités en ligne. Par ailleurs, il s agit d observer la diffusion de l usage des outils des STIC par les particuliers, les administrations et les entreprises. La recherche des données s effectue essentiellement en direction des sources statistiques publiques, qu elles soient internationales (UIT, OCDE et Eurostat) ou nationales (Insee, Arcep, CSA, etc.). Le cas échéant, d autres sources peuvent être utilisées, provenant, par exemple, des organisations professionnelles, pour compléter les données publiques. 13

14 Observer Les champs L économie numérique est une expression qui couvre des réalités très différentes. Cette dénomination a d ailleurs évolué au cours des années : technologies de l information et de la communication, nouvelles technologies, NTIC, nouvelle économie, économie de l internet L économie numérique, au sens le plus étroit, est assimilée aux secteurs producteurs des STIC. Selon l OCDE, le secteur des STIC regroupe les entreprises qui produisent des biens et services supportant le processus de numérisation de l économie (informatique, télécommunications et électronique). Toutefois, l économie numérique ne se limite pas à un secteur d activité en particulier. On devrait plutôt parler de «numérique dans l économie» pour qualifier l activité de l ensemble des secteurs qui s appuient sur les TIC, producteurs et utilisateurs. De plus, le commerce électronique et les services en ligne sont perçus comme des acteurs centraux de l économie numérique. Pour prendre en compte cette réalité multiple, il convient de distinguer quatre catégories d acteurs : - Les secteurs producteurs des STIC au sens de l OCDE (informatique, télécommunications et électronique). - La nouvelle économie, dont l activité est consécutive à l émergence des STIC (services en ligne, e-commerce, médias et contenus en ligne ). - Les secteurs économiques utilisateurs des STIC, dont l activité préexistait à leur émergence. - Le grand public, qui utilise les STIC dans des activités quotidiennes. SECTEURS PRODUCTEURS DES STIC Opérateurs de télécoms, équipementiers télécoms, équipements informatiques, électronique grand public, composants/systèmes électroniques, éditeurs de logiciels, logiciels de jeux, services informatiques. LA NOUVELLE ÉCONOMIE Commerces et services en ligne, Internet (BtoC...), médias et contenus en ligne. SECTEURS ÉCONOMIQUES UTILISATEURS Banque, assurance, automobile, aéronautique, distribution, administration... PARTICULIERS ET MÉNAGES Loisirs-culture, e-santé, e-éducation, e-commerce, e-banking, réseaux sociaux, lien entre les hommes. 14

15 Les sources Disposer de statistiques fiables et comparables sur les technologies de l information et de la communication (TIC) est une préoccupation qui a conduit plusieurs organismes internationaux à développer des travaux sur ce thème à la fin des années C est sur la base de ces travaux que les services statistiques nationaux produisent des indicateurs et des analyses fiables et acceptées sur les TIC. Observer Les services statistiques de l ONU, de l Union internationale des télécommunications (UIT), de l OCDE et d Eurostat (Union européenne) ont travaillé de concert pour améliorer les nomenclatures d activités et de produits, pour établir des définitions (périmètre du secteur producteur des TIC, contenu du commerce électronique) et une liste d indicateurs fondamentaux relatifs aux TIC, sur la base de normes internationales. Les travaux de l UIT ont porté surtout sur les infrastructures et les équipements en TIC (réseaux téléphoniques fixe et mobile, accès à l internet, connexion à haut débit). Les travaux de l OCDE, quant à eux, ont permis de définir «le secteur producteur des TIC», le «contenu du commerce électronique» et d établir des modèles d enquêtes concernant l équipement et l usage des TIC par les ménages et les entreprises. Eurostat s est appuyé sur les travaux de l OCDE pour mettre en place, à partir de 2006, un dispositif d enquêtes et de suivi des progrès des TIC dans les pays membres (Digital Agenda Scoreboard). La Commission européenne a rendu obligatoire la réalisation chaque année d enquêtes communautaires sur les TIC et le commerce électronique auprès des ménages et des entreprises. Ainsi, l Insee réalise, en début d année, deux enquêtes communautaires (ménages et entreprises), qui s appuient sur la méthodologie et les modèles de questionnaires établis par Eurostat, pour assurer la comparabilité des indicateurs entre pays. Enfin, l Insee fournit également des statistiques structurelles d entreprises (Esane) dont sont extraites les données sectorielles du secteur producteur des TIC (CA, VA, effectif, etc.). Par ailleurs, l Arcep, autorité de régulation du marché des télécommunications, fournit des statistiques sur les opérateurs, sur les infrastructures mises en place ainsi que sur les taux d abonnement aux services mobiles, aux connexions à l internet à haut débit, etc. 15

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17 S ept grandes thématiques ont été identifiées : la macroéconomie, le secteur producteur des TIC, les infrastructures, l emploi et la formation, les usages grand public, les activités en ligne, les usages des entreprises et l administration numérique. Autant de groupes de travail (GT) ont été mis en place afin de sélectionner les indicateurs statistiques les plus pertinents pour caractériser ces thématiques. Les groupes de travail sont composés de membres de l Observatoire du numérique. L objectif des groupes n était pas de multiplier le nombre d indicateurs mais de valider la fiabilité, l intérêt et la cohérence des indicateurs existants, voire d étudier la création d indicateurs nouveaux. Afin de pouvoir établir des comparaisons internationales, les groupes de travail devaient s appuyer sur les travaux statistiques des instances internationales (UIT, OCDE et Eurostat) qui portent sur les nomenclatures, les définitions de concepts et le périmètre du secteur des TIC. 17

18 Groupe de travail 1 analyser Responsables : Jean-François Perret (Pierre Audoin Conseil) et Olivier Gainon (Fieec). Membres : Didier Pouilloux (Idate) ; Michael Mathieu (GfK) ; Didier Coulon (Décision Études Conseil) ; Régis Paumier (Sycabel) ; Isabelle Boistard (Fieec) ; Benoît Lavigne (Ignes) ; Grégoire Fauquier (Dgcis) ; Raymond Heitzmann (Dgcis). L objectif du groupe de travail n 1 est de définir les caractéristiques économiques du secteur producteur des TIC en France, à partir des données les plus récentes et permettant d établir des comparaisons internationales. Compte tenu de la complexité et du dynamisme évolutif de ce secteur, ainsi que de son périmètre variable, l exercice se révèle difficile. De même, les données «publiques» disponibles ne semblent pas toujours s accorder avec les données professionnelles. Un travail de mise en cohérence a donc été nécessaire. Ce groupe s est réuni quatre fois pour examiner dans une première phase le périmètre précis du secteur producteur, les sources disponibles, la liste des indicateurs et les recommandations utiles pour l approfondissement des analyses. Le groupe a souhaité retenir la définition de l OCDE du secteur producteur des TIC* comme base des travaux, tout en la complétant par des éléments qui semblent absents (fibres optiques, etc.). Il a recensé les données disponibles publiques (Insee, Esane 2010) et privées en les comparant, puis il a sélectionné les indicateurs de base disponibles et les plus pertinents. D autres indicateurs dits stratégiques ont été également choisis pour évaluer la compétitivité des entreprises du secteur TIC en France, notamment l activité d innovation des entreprises et le dynamisme du tissu d entreprises (création et croissance). Par ailleurs, à partir de l étude de prospective de la Dgcis «Technologies clés 2015», un tableau a été établi, synthétisant les points forts et les points faibles des entreprises françaises dans les domaines des TIC du futur. Dans ses conclusions, exposées devant le comité exécutif de l Observatoire du numérique, le groupe a formulé plusieurs propositions : - l organisation de réunions avec l Insee, voire l Arcep, au cours du dernier trimestre 2012, afin de comprendre et de clarifier les raisons des écarts de chiffrage, quelquefois non négligeables, entre les sources publiques et privées ; - l intérêt de mener dans une deuxième phase des études complémentaires pour affiner les indicateurs stratégiques et développer les indicateurs analytiques plus précis sur les sous-secteurs d excellence/d avenir ; - l intérêt de mesurer à terme certains domaines d application des TIC, comme celui de l électronique et du logiciel embarqué, qui ne font pas partie du cœur du secteur des TIC tel que défini à l heure actuelle par l OCDE. 18

19 Indicateurs emblématiques Nombre d entreprises 1 Chiffre d affaires 1 Valeur ajoutée 1 analyser Effectifs (à équivalent temps plein) 1 Investissements 1 Commerce extérieur (produits) 2 Indicateurs complémentaires Activité d innovation 1 Dépenses intérieures de R&D des entreprises du secteur TIC 3 Dépôts de brevets 4 Parts de marché mondial pour les principaux secteurs TIC 5 Création d entreprises 1 Capital-risque 6 Classement mondial des groupes français par grand secteur des TIC 7 Points forts et points faibles du secteur des TIC (technologies clés 2015) 8 Franchissement de seuil de taille par les entreprises Nota bene : les indicateurs cités concernent le secteur producteur du numérique dans son ensemble, mais il est prévu de segmenter ces indicateurs par grands segments du secteur des TIC (informatique, électronique et télécommunications). Sources : 1. Eurostat - périodicité annuelle ; 2. Douanes - périodicité semestrielle ; 3. Ministère de la Recherche - enquête annuelle ; 4. OCDE - périodicité annuelle ; 5. CEPII - périodicité annuelle ; 6. AFIC - périodicité semestrielle ; 7. Fortune - périodicité annuelle ; 8. Dgcis - périodicité quinquennale. En grisé : indicateur non encore disponible. * Selon une convention internationale fixée par l OCDE, on qualifie de secteurs des technologies de l information et de la communication (TIC) les secteurs suivants : - secteurs producteurs de TIC (fabrication d ordinateurs et de matériel informatique, de TV, radios, téléphones...) ; - secteurs distributeurs de TIC ( commerce de gros de matériel informatique...) ; - secteurs des services de TIC (télécommunications, services informatiques, services audiovisuels...). 19

20 Groupe de travail 2 analyser Responsable : Yves Le Mouel (FFT). Membres : Jean-Philippe Vanot ; Hervé Lasalle (Orange) ; Benoît Lavigne (Ignes) ; Olivier Gainon (Fieec) ; Gael Serandour (CDC) ; Stéphane Elkon (Gitep TICS) ; Sophie Palus (Arcep) Jean-Marie Danjou (FFT) ; Mejdi Mrad (FFT) ; Marc Laget (Datar) ; Christian Lebouart (Alcatel-Lucent CFDT) ; Didier Pouillot (Idate) ; Grégoire Fauquier (Dgcis) ; Raymond Heitzmann (Dgcis). Le groupe de travail s est limité a priori à cerner les indicateurs relatifs aux infrastructures et aux équipements, en se gardant de ne pas glisser vers ceux traitant de l usage (cf. groupes de travail n 4 et 5, p. 26 et 28). Le groupe a centré son travail sur la collecte des indicateurs représentatifs dans les domaines : - des infrastructures télécoms fixe et mobile, y compris les investissements et les prix ; - des infrastructures internet ; - des data centers ; - des infrastructures de la télévision numérique. : Le groupe a recensé les indicateurs existants, leurs sources, leur périodicité et leur comparabilité internationale. Il a également auditionné des acteurs extérieurs (Datar et Avicca) sur leurs projets en cours d étude, en particulier pour représenter le niveau de couverture et de déploiement du THD (très haut débit) en France, ainsi que le suivi consolidé des réseaux d initiative publique (RIP). Les sources jouissant d une large notoriété ont été privilégiées (fournies par l Arcep, les administrations, les institutions internationales : UIT, OCDE, Eurostat) ainsi que celles permettant d établir des comparaisons internationales. Enfin, le travail du groupe a mis en lumière certaines lacunes (data centers) et certains travaux qui doivent être encore poursuivis à la rentrée (télévision numérique, part des investissements publics). Concernant les data centers, il s agit d un domaine difficile à appréhender, car il ne semble pas y avoir de source synthétique permettant la collecte de données sur les centres de calculs, les centres d infogérance, les nœuds internet et les data centers. Après le rassemblement des données disponibles, le groupe de travail a sélectionné les indicateurs lui paraissant les plus emblématiques des infrastructures du numérique. Le groupe s est également interrogé sur les modalités de collecte régulière des données. Le dispositif de collecte devra reposer sur un système contributif facile à gérer et relativement automatisé pour alimenter le secrétariat général de l Observatoire du numérique. 20

21 Indicateurs emblématiques Investissements en infrastructures de télécommunications Opérateurs (Arcep) 1 Collectivités locales (Datar) analyser Lignes haut débit 2 Lignes très haut débit 2 FTTH (Fibre optique jusqu au domicile) 2 Terminaison câble 2 Cartes SIM des réseaux mobiles 2 2G, 3G et future 4G 2 Couverture de la population en 2G, 3G et future 4G Couverture TNT 4 Data centers en France Indicateurs complémentaires Volume de trafic de données (réseau fixe) 1 Cartes SIM data only (semestrielle) 1 Cartes SIM M2M (machine to machine) 1 Trafic de données (réseau mobile) Serveurs en France 2 Serveurs sécurisés (SSL) 2 Noms de domaine en France 2 Nombre de.fr.3 Abonnements IP TV (Télévision diffusée sur Internet) 1 Capacité de stockage en France Sources : 1. Arcep - périodicité semestrielle ; 2. OCDE - périodicité annuelle ; 3. Afnic - périodicité annuelle ; 4. TDF / CSA - périodicité annuelle. En grisé : indicateurs non encore disponibles. 21

22 Groupe de travail 3 analyser Responsables : Guy Mamou-Mani (Syntec numérique) et Jacques Fauritte (CFDT). Membres : Stéphane Elkon (Gitep) ; Aurélie Leleu (Syntec numérique) ; Frédéric Lau (Cigref) ; Régis Granarolo (Munci) ; Mejdi Mrad (FFT) ; Christian Colmant (Pasc@line) ; Marie Ekeland (Elaia) ; Stéphane Ciriani (Coe-Rexecode) ; Jean-Louis Zanda (Pôle Emploi) ; Catherine Souquet (Insee) ; Sabine Bessière (Dares) ; Sophie Palus (Arcep) ; Thierry Leplat (Dgcis) ; Christian Calzada (Dgcis). Le groupe de travail n 3 a pour objectif de disposer à terme de chiffres détaillés et non contestés en matière d emploi, de formation et d attractivité des métiers, et de responsabilité sociétale de l entreprise (RSE). Les indicateurs doivent permettre de caractériser les évolutions en cours, d effectuer des comparaisons internationales et d appréhender le futur de la filière en matière d emploi. Plusieurs réunions ont été organisées pour avancer dans la réflexion sur la notion de «numéricien» et pour affiner la méthodologie opérationnelle de la construction des indicateurs. Un sous-groupe s est consacré à la sélection d indicateurs RSE. Le champ d analyse fixé par le groupe s est appuyé sur une matrice (secteurs économiques/métiers). Les entreprises concernées relèvent non seulement du secteur producteur défini par l OCDE (codes NAF) mais aussi de la nouvelle économie. Quant aux métiers pour lesquels un suivi sera réalisé, ils relèvent de la notion de «numéricien» qui sera définie comme «métier dont l objet est la production ou la formation à l usage du numérique». Sous ce chapeau figureraient notamment les métiers d ingénieur développement, de consultant, de webmestre, d ingénieur réseau, ainsi que les métiers d opérateurs télécoms, d équipementiers et de métiers du contenu, etc. Il conviendra d obtenir un accord des différents organismes sur les définitions. Deux axes de recherche ont été retenus : examiner les données consolidées mais «statiques» provenant de l Insee, de la Dares et des Pôles Emploi d une part et, d autre part, recenser les données plus dynamiques provenant des études des branches professionnelles (référentiels de métiers). à partir des éléments rassemblés, il est prévu de construire un référentiel des métiers à partir des référentiels existants (publics et privés) et des secteurs économiques concernés. La mise en cohérence des données (matrice et référentiels) ainsi que la construction des indicateurs impliquent des travaux complémentaires qui se dérouleront en Les modalités et les moyens nécessaires à leur réalisation seront examinés en début d année par le 22

23 Ingénieur développement Oui Oui Oui Non analyser PERSONNES PHYSIQUES/Métiers Consultant Webmestre Ingénieur réseau Métiers opérateurs télécoms Métiers équipementiers Métiers du contenu Autres métiers numériciens Oui Non Non Non Oui Oui Oui Non Oui Oui Oui Non Oui Oui Oui Non Oui Oui Oui Non Oui Oui Non Non Oui Non Non Non Métiers supports (RH, etc.) Oui/Non Non Non Non comité exécutif de l Observatoire. Enfin, un sous-groupe s est attaché à établir une liste d indicateurs de responsabilité sociale de l entreprise (RSE) dans la filière des STIC, qui distingue quatre thématiques : - protection de l environnement ; - aspects sociaux et sociétaux ; - gouvernance ; - gestion de la chaîne logistique. Le sous-groupe a proposé que ces indicateurs soient renseignés progressivement, en 2013, sur la base de sondages auprès d une population représentative d entreprises de la filière du numérique ou à partir d analyses d agences de notation (Vigéo, EcoVadis ). 23

24 Indicateurs emploi* analyser Emplois cœur d activité 1 Secteur producteur de STIC Secteur de la nouvelle économie Secteur des usagers des STIC et du numérique Emplois externalisés Salaires médians Salaires d embauche Besoins de recrutement Candidatures par offre d emploi Offres d emploi non satisfaites et raisons Indicateurs formation** Salariés sortis de formation initiale recrutés dans la filière STIC Stagiaires accueillis dans la filière STIC Formation continue Effort de formation des entreprises en % de la masse salariale Taux d accès à la formation (nombre de stagiaires/nombre de salariés de la catégorie spécifiée) * Segmentation des indicateurs emploi : par type d entreprises, sexe, tranche d âge, type de contrats (CDI, CDD, temps plein, temps partiel), localisation des emplois, diversité, métiers ou regroupement de métiers. ** Segmentation pour la formation initiale : par type de formations et diplômes, types d écoles et filières universitaires. Segmentation pour la formation continue : par type de formations (parcours professionnel ou adaptation au poste de travail), sexe, tranche d âge, diversité, métiers ou regroupement de métiers. Source : 1. Eurostat - périodicité annuelle. En grisé : indicateurs non encore disponibles. 24

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