SAVOIR-FAIRE APPLICABLES AUX DONNEES STATISTIQUES / CORRIGE APPLICATIONS
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- Antoine Baril
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1 SAVOIR FAIRE EXIGIBLES Lire et comprendre les taux de variation Calculer un taux de variation sur plusieurs années à partir des taux de variation annuels Calculer un indice d'évolution Lire des indices d'évolution. SAVOIR-FAIRE APPLICABLES AUX DONNEES STATISTIQUES / CORRIGE APPLICATIONS Formule pour calculer un taux de croissance à partir de 2 grandeurs G 1 et G 0 T = (G 1 -G 0 ) X100 Donnez 3 synonymes de taux de variation Evolution en pourcentage, Taux de croissance, Variation relative Donnez la formule pour calculer un taux de croissance global (T) à partir de taux de croissance successifs t 1, t 2, t 3 T = [(1+ t 1, /100) X (1+ t 2, /100) X (1+ t 3, /100) -1] X100 Pour transformer un taux de croissance annuel en taux de croissance global sur n année On utilise la formule [(1+tcam/100) n 1] X100 Formule de calcul d un indice de croissance à partir de 2 grandeurs G 1 et G 0 : I 0 =100 I 1/0= G 1 /G 0 X100 Répartition régionale des entrées d'investissements directs à l'étranger, (moyenne annuelle) en milliards de dollars (moyenne annuelle en %) 2000 en milliards de dollars Pays développés 137,1 68,5 1000,5 78,7 729,8 Europe occidentale 79,8 39,9 633,2 49,8 793,5 Japon 1,0 0,5 8,2 0,6 820,0 États-Unis 1+2,5 21,2 281,1 22,1 661,4 Pays en développement 59,6 29,8 240,2 18,9 403,0 Afrique 4,0 2,0 8,2 0,6 205,0 Amérique Latine et Caraïbes 17,5 8,7 86,2 6,8 492,6 Asie et Pacifique 37,9 18,8 143,8 11,3 381, en % Indice en 2000 (base 100 moyenne annuelle ) dont Asie du Sud, de l'est et du Sud-Est 35,1 17,5 137,3 10,8 391,2 Total monde 200,1 100,0 1270,8 100,0 635,1 D'après CNUCED, Rapport sur l'investissement dans le monde, NB. Le total des % n'égale pas 100 % car ne figurent pas les pays d'europe centrale et orientale. Sujet Caractérisez l évolution des destinations des IDE Selon la CNUCED, en 2000, Les investissements directs à l étranger autrement dit les capitaux consacrés au développement de filiales hors des frontières.ont augmenté de 535,1 % dans le monde par rapport à la période ce qui démontre une transnationalisation très nette des économies. Toutefois cette croissance est plus ou moins rapide selon les zones régionales. Les pays développés accueillaient, en 2000, 78,7 % des IDE contre 68,5 % pour la période soit une augmentation de 10,2 points de leur part et une multiplication par 7,29 de leur montant.les pays en développement regroupant à la fois les PMA et les pays émergents ne représente que 18,9 % des destinations des IDE pour une augmentation de 303 % du montant. - 1
2 Lire des tableaux de déciles Inégalités de revenu déclaré par unité de consommation (en euros constants) Moyenne Dl D5 (médiane) D D9/Dl 8,2 6,8 5,8 5,6 5,1 5,3 INSEE Sujet : faut-il réduire les inégalités en France aujourd hui? Les revenus déclarés ou revenus fiscaux Comprennent les revenus d'activité salariée ou non salariée, les indemnités de chômage, de maladie, des pensions d'invalidité ou de retraite ainsi qu'une partie des revenus du patrimoine. Il s'agit du revenu avant déductions et abattements accordés par la législation fiscale. Ces revenus sont nets de cotisations sociales et de la contribution sociale généralisée (CSG). Ils sont calculés en euros constants autrement dit en éliminant les conséquences de l inflation. Le calcul est le suivant Indice en constant = Indice en courant / Indice des prix. Et par unité de consommation. Pour comparer les niveaux de vie de ménages de taille ou de composition différente, on utilise L'échelle (dite de l'ocde) qui retient la pondération suivante :- 1 UC pour le premier adulte du ménage ;- 0,5 UC pour les autres personnes de 14 ans ou plus ; - 0,3 UC pour les enfants de moins de 14 ans. les déciles sont les valeurs qui partagent cette distribution en dix parties égales. Ainsi, pour une distribution de revenus - le premier décile (noté généralement D1) est le revenu au-dessous duquel se situent les 10 % les plus pauvres le neuvième décile (noté généralement D9) est le revenu au dessus duquel se trouvent les 10 % les plus riches le rapport inter décile D9/D1 ainsi en 1997 le revenu fiscal minimal des 10% les mieux payés est 5,3 fois plus élevé que le revenu maximal des 10% les plus mal payés 2
3 Lecture de représentations graphiques Sujet : La pauvreté conduit-elle à l exclusion sociale? Selon l Insee, «le seuil de pauvreté est défini comme le niveau de revenu, par unité de consommation (UC), inférieur de moitié à la valeur médiane du revenu avant impôt. Les ménages dont le niveau de vie (revenu par UC) est inférieur à ce montant sont considérés comme pauvres». Ce revenu médian est de 910 euros par unité de consommation en 2010 Il existe incontestablement une corrélation entre le phénomène de la pauvreté et celui de la forme familiale. Par exemple, le document 5 indique que 17 % des enfants pauvres vivent dans un ménage composé d une personne seule sans emploi (alors que 4 % de l ensemble des enfants vivent dans un ménage de ce type en France) Note : Ce document concerne la France. Source : Insee Première n 896, avril
4 Lecture des tableaux à double entrée Table de mobilité, destinées en 1994 (%) CSP des hommes de 42 à 54 ans ayant un emploi en 1994 CSP des pères TOTAL 1. Agriculteurs exploitants 2. Artisans, commerçants, chefs d entreprise 3. Cadres et professions intellectuelles supérieures 4. Professions intermédiaires Structure sociale des pères 20,2 9,9 8,1 14,7 7,6 39, ,0 0,9 25,4 23,0 19,6 8,4 22, ,9 1,0 9,4 56,8 21,7 5,0 6, ,3 0,4 10,2 34,0 32,1 8,3 14, ,5 5. Employés 0,4 8,5 21,1 28,0 13,9 28, ,2 6. Ouvriers 0,7 10,8 10,0 21,8 11,0 45, ,2 La diagonale de la table de destinée mesure le degré de rigidité ou de viscosité de la structure sociale. Les trajectoires de mobilité sont généralement courtes ou horizontales Les marges des tables permettent de repérer l importance de la mobilité structurelle : cette dernière explique une partie de la mobilité sociale en France La mobilité structurelle résulte des modifications dans la structure des emplois d'une génération à l autre. (Tertiarisation, salarisation, augmentation des qualifications demandée par l appareil productif, progrès technique, gains de productivité, évolution de la demande et des modes de vie.) Lecture des chiffre entourés : Selon L INSEE, en 1994 sur 100 fils d agriculteurs exploitant 39,7 sont devenus ouvriers. Sur 100 enfants de professions intermédiaires 34 sont devenus CPIS Sur 100 fils interrogés lors de l enquête emplois 18, 4 étaient CPIS ENSEMBLE = structure sociale des personnes interrogées en ,2 12,0 18,4 22,0 9,8 33, Source : INSEE, Enquête emploi
5 Lecture et interprétation des taux de croissance annuels moyens Sujet : Quels sont les facteurs de la croissance? Le PIB a augmenté de 4% par an en moyenne au Japon entre 1973 et La croissance du capital autrement dit l investissement explique environ la moitié de la croissance française (1.1 point sur 2.4). La population active a diminué sur la période de 0, 4 % par an en raison essentiellement de l augmentation de la durée de la scolarisation et d une baisse de l âge de la retraite. Le progrès technique variable exogène résidu" ou "productivité globale des facteurs", c est à dire à la part de la croissance observée qui reste inexpliquée. l ordre de 50%.dans l analyse de Carré, Dubois et Malinvaud, lecture de courbe de Lorentz Sujet : décrire les inégalités Lecture : point 90/60. Les 10 % les plus riches se partageaient (100-60) = 40 % du patrimoine La bissectrice ou droite d équi- répartition décrit une distribution égalitaire L ampleur de son écart avec la courbe de distribution effective mesure l importance des inégalités On constate que les inégalités de patrimoine sont plus fortes que les inégalités de revenus. Le coefficient de Gini varie de 0 à 1.il est calculé à partir de la courbe de Lorentz plus on se rapproche de 1 plus la répartition est inégalitaire 5
6 calcul et lecture des variations absolues et relatives Ouvriers Variation nombre d'ouvriers (V 2004 V1983 / V1983 ] X100 population active' (V 2004 V1983 / V1983 ] X100 part des ouvriers dans la population active (en %) ( a/a) X calcul et lecture des taux de variation ou de croissance Données macroéconomiques de quelques pays de la zone euro en 1999 et 2005 Croissance du PIB (en %) Inflation (en %) Chômage (en %) Solde des administrations publiques (en % du PIB) Dette publique (en % du PIB) Italie 1,7 0,2 1,7 2,1 11,5 7,7-1,8-4,3 115,5 108,8 Belgique 3,1 1,4 1,1 2,6 8,6 8,4-0,4 0,0 113,5 94,3 France 3,2 1,6 0,6 1,9 10,8 10,0-1,7-3,2 58,0 66,9 Allemagne 1,9 1,1 0,6 2,0 7,5 9,3-1,5-3,9 60,3 67,7 Pays-Bas 4,0 0,7 2,0 1,5 3,5 6,2 0,6-1,6 60,5 Irlande 10,7 5,1 2,5 2,3 5,6 4,3 2,4-0,9 48,1 29,9 NB :1999 est la date d'instauration de la monnaie unique. - Perspectives économiques de l'ocde n 78, décembre Sujet : décrire la conjoncture Française en 2005, La richesse française mesurée à partir de la somme des valeurs ajoutées a augmenté de 1,6 % entre 2004 et 2005, l augmentation des prix mesuré par l indice des prix cet indice mesure l'évolution du niveau moyen des prix des biens et services consommés par les ménages, pondérés par leur part dans la consommation moyenne des ménages. Une inflation de 1, 9 % correspond à un indice de 101,9 ce qui diminue le pouvoir d achat de la monnaie de 1, 9 % Le pourcentage de chômeurs dans la population active était de 10 % Le déficit public annuel représentait 3,2 % du PIB (déficit de l Etat central, des collectivités locales et de la sécurité sociale) (alors que les critères de Maastricht fixait déficit public 3% du PIB, en 2010 = 7,7% La dette publique (stock de dettes qui résulte des emprunts de l Etat au sens large pour financer année après année leur déficit.alors que (critères de Maastricht fixait Dette publique à 60% PIB,) en 2010 elle représente 81,5 % du PIB et son évolution depuis 1999 : Notez ralentissement de la croissance, l accélération de l inflation, ldu déficit et de la dette publique.. 6
7 calcul et lecture des évolutions en volume et des évolutions en valeur Calcul et lecture du coût marginal, de la productivité marginale, de la propension marginale. calcul : si le PIB a augmenté de 5 % en valeur et les prix de 2 %, l'augmentation (en %) du PIB en volume se calculera (par les indices) ( 105 /102..) x 100. = 102,9 soit un taux de croissance de 2,9 % traduction : le PIB en volume, c'est-à-dire déflaté de la hausse générale des prix, a augmenté de... calcul: (propension marginale à consommer) si la consommation augmente de 120 à 164, soit quand le revenu augmente de 80, la propension marginale à consommer sera.de ( / 80 ). X100 soit 55. Notion keynésienne calcul du coût marginal = CTn CTn- 1 / Qn Qn-1 notion néoclassique c est la dérivée du coût total productivité marginale : La productivité marginale du travail mesure le supplément de production obtenu avec une unité supplémentaire de travail : Taux de variation de la production / taux de variation du travail Lecture et interprétation de la droite des moindres carrés L OCDE établit un indicateur appelé LPE qui va de 0 (aucune protection) à 6 (protection très élevée). Cet indicateur prend en compte les règles pour un licenciement; les règles sur les contrats temporaires (renouvellement, motifs de recours, etc.) ; enfin, les règles pour un licenciement collectif. L analyse du trend permet de constater une corrélation positive entre une faible rigueur de la législation de la protection pour l emploi (L.P.E) et une part des chômeurs de plus d un an dans le faible Par exemple en Irlande la LPE est de 1 et les chômeurs de longue durée ne représente que 10 % du total des chômeurs A contrario en France lza protection de l emploi est importante mais sur 100 chômeurs 54 le sont depuis plus d un an Toutefois cette corrélation n est pas toujours effective. le Danemark avec sa politique de flexi-sécurité présente un degré de protection élevé et connait la même part de chômeurs de plus d un an que la Grèce. 7
8 Passer d un indicateur à l autre T= taux de variation I = indice K = coefficient multiplicateur 8
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