La fiscalité scolaire. Texte basé sur la présentation faite par le MELS aux directions de ressources financières en février 2007

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "La fiscalité scolaire. Texte basé sur la présentation faite par le MELS aux directions de ressources financières en février 2007"

Transcription

1 La fiscalité scolaire Texte basé sur la présentation faite par le MELS aux directions de ressources financières en février

2 Plan de la présentation 1. Modalités jusqu en Contexte 3. Le projet de loi n o 43 modifiant la Loi sur l instruction publique et la Loi sur la fiscalité municipale 4. Les étapes conduisant à l établissement du compte de taxe scolaire

3 Plan de la présentation 5. Compte de taxe scolaire Quelques questions 3

4 1. MODALITÉS JUSQU EN

5 1. Modalités jusqu en 2006 Les modalités actuelles de la fiscalité scolaire ont été mises en place en Jusqu à l adoption du projet de loi n o 43, la Loi sur l instruction publique (LIP) précisait : - la détermination du produit maximal de la taxe scolaire; - le taux d imposition maximal de la taxe scolaire; - le calcul d une subvention de péréquation, le cas échéant. 5

6 1. Modalités jusqu en 2006 Le produit maximal de la taxe scolaire représente : - les ressources que la commission scolaire peut percevoir auprès des contribuables fonciers; - ces ressources sont ajustées annuellement par un règlement du gouvernement. 6

7 1. Modalités jusqu en 2006 Le taux maximal d imposition de la taxe scolaire est limité à 0,35 $ du 100 $ d évaluation. Jusqu à l adoption du projet de loi n o 43, il était établi : (1) Produit maximal de la taxe scolaire = montant de base ( $) + montant par élève (711,17 $) x nombre d élèves admissible en vertu du règlement. 7

8 1. Modalités jusqu en 2006 (2) Calcul du taux théorique de taxe = produit maximal de la taxe divisé par l évaluation imposable uniformisée. La taxe scolaire est plafonnée à 0,35$. (3) Évaluation imposable x taux de taxe = revenu de taxe à percevoir. (4) Produit maximal de la taxe scolaire moins la taxe perçue = la subvention de péréquation. 8

9 1. Modalités jusqu en 2006 Ainsi, si l évaluation foncière augmentait : - lorsque le taux de taxe était inférieur à 0,35$ du 100$ d évaluation, le taux de taxe de la commission scolaire baissait; - lorsque le taux de taxe était de 0,35$ du 100$ d évaluation, le fardeau fiscal des contribuables augmentait et la subvention de péréquation était réduite en proportion. 9

10 1. Modalités jusqu en 2006 De 1990 à 2001, la hausse moyenne de l évaluation foncière uniformisée a été légèrement supérieure à l évolution du coût de la vie (IPC). Stagnation des valeurs foncières pendant la majeure partie de cette période = peu de grogne. 10

11 2. CONTEXTE 11

12 2. Contexte À compter de 2002, le Québec a connu une explosion des valeurs foncières qui a eu un effet important sur les rôles d évaluation foncière de plusieurs municipalités, par exemple : 2004 : Montréal, Laval, Québec et Sherbrooke, 2005 : Lévis, certaines municipalités de la Montérégie et au nord de Laval (ex.: Blainville), 2006 : Outaouais, Longueuil et diverses municipalités de l Estrie, 2007 : Seconde hausse pour les territoires touchés en

13 2. Contexte Pendant l année scolaire , plusieurs contribuables ont manifesté leur mécontentement contre la hausse des comptes de taxe scolaire. Cela s est accentué en et en

14 2. Contexte Mise en place de la Table Québec-commissions scolaires : - annoncée par le premier ministre du Québec, M. Jean Charest en mai Mandat prioritaire : «trouver une solution au choc foncier subi par les contribuables lors de l entrée en vigueur d un nouveau rôle d évaluation foncière». 14

15 2. Contexte La Table Québec-commissions scolaires : le ministre de l Éducation, du Loisir et du Sport, du sous-ministre et du directeur de cabinet, le président de la FCSQ et la directrice générale, le président de l ACSAQ et le directeur général. Un comité sur la fiscalité scolaire a été mis en place pour faire des recommandations à la Table pour

16 2. Contexte Ce comité a tenu plusieurs rencontres à l été Choix d un moyen à court terme : - L étalement de la variation des valeurs foncières pour réduire la hausse annuelle du compte de taxe scolaire. - Le dépôt des rôles à l automne 2006 a confirmé la tendance à de fortes croissances des valeurs foncières pour les nouveaux rôles de

17 2. Contexte Le projet de loi n o 43, présenté le 25 octobre 2006, proposait donc l étalement des valeurs pour les nouveaux rôles entrant en vigueur au 1 er janvier Ce projet de loi contenait également : - l étalement des valeurs, à compter de l an 2, pour les nouveaux rôles de 2006; - le paiement en deux versements du compte de taxe scolaire lorsque ce dernier est égal ou supérieur à 300 $. 17

18 2. Contexte Les modifications législatives proposées n ont pas été perçues comme une solution au régime actuel mais comme un report sur trois ans d une hausse du fardeau fiscal. Ce que la population et les municipalités ont réclamé : - une baisse du taux de la taxe scolaire pour diminuer l impact des hausses des valeurs foncières. 18

19 2. Contexte À la demande du ministre, le MELS a effectué de nouvelles analyses. - Objectif : - Limiter la hausse de la taxe scolaire dans les secteurs où il y avait des hausses de valeurs foncières. - Sauf que : - la subvention de péréquation est calculée par c. s.; - le taux d imposition est unique par c. s.; - les variations des valeurs foncières sont parfois très différentes par municipalité à l intérieur d une même c. s. 19

20 2. Contexte L amendement au projet de loi n o 43, déposé à la fin de novembre 2006, a donc proposé : - le maintien des mesures du premier projet : - l étalement à partir de 2006 (l an 2); - les deux versements. - le gel de la subvention de péréquation permettant de limiter la hausse du compte de taxe scolaire moyen à la hausse des dépenses des c. s. 20

21 3. LE PROJET DE LOI N O 43 : Loi modifiant la Loi sur l instruction publique et la Loi sur la fiscalité municipale 21

22 3. Le projet de loi n o 43 Faits saillants : Le projet de loi n o 43 (2006, chapitre 54) entre en vigueur en Statu quo quant à la définition du produit maximal de la taxe scolaire. Maintien du plafond du taux de la taxe scolaire à 0,35 $ du 100 $ d évaluation. 22

23 3. Le projet de loi n o 43 Faits saillants (suite) : Base d imposition de la taxe scolaire = l évaluation uniformisée des immeubles. Sauf que : Lorsqu il y a une variation de la valeur uniformisée à la suite de l entrée en vigueur d un nouveau rôle, la base d imposition est une valeur ajustée obtenue après étalement de cette variation. Les règles d étalement sont celles prévues à la Loi sur la fiscalité municipale (LFM). 23

24 3. Le projet de loi n o 43 Faits saillants (suite) : Une disposition transitoire prévoit que l étalement s applique là : - où de nouveaux rôles s appliquent en 2006; et - que la valeur ajustée correspond à celle calculée pour la deuxième année du rôle. 24

25 3. Le projet de loi n o 43 Faits saillants (suite) : Un nouvel article (475.2 de la LIP ) prévoit : - Que la subvention de péréquation ne peut être réduite à la suite de la hausse des valeurs foncières découlant de l entrée en vigueur d un nouveau rôle d évaluation d une municipalité; - Que la taxe scolaire imposée sur les immeubles imposables de cette municipalité est réduite d un montant = - à la subvention de péréquation qui aurait dû être appliquée moins la subvention de péréquation retenue; - aux conditions et selon les modalités prévues aux règles budgétaires. 25

26 3. Le projet de loi n o 43 Faits saillants (suite) : Une disposition transitoire prévoit l application de l article 475.2, là où il y a eu de nouveaux rôles en Le compte de taxe scolaire pourra être dorénavant payé en deux versements lorsque celui-ci est égal ou supérieur à 300 $. 26

27 3. Le projet de loi n o 43 Faits saillants (suite) : La limite de 300$ est la même que celle prévue dans un règlement de la LFM. Les c. s. devront adopter une résolution si elles désirent que leurs contribuables aient droit aux deux versements prévus par la Loi, même s ils sont en retard pour le premier paiement: le premier versement se fait au 31 e jour; le second au 121 e jour. Le MELS a prévu une compensation pour la perte d intérêts liée au fait que 50 % des revenus seront perçus trois mois plus tard. 27

28 4. LES ÉTAPES CONDUISANT À L ÉTABLISSEMENT DU COMPTE DE TAXE SCOLAIRE

29 4. Les étapes conduisant à l établissement du compte de taxe scolaire Calcul du produit maximal de la taxe scolaire (PMT) 4.2 Établissement de la valeur foncière uniformisée en tenant compte de l étalement des rôles 4.3 Calcul du taux de la taxe scolaire 4.4 Financement du produit maximal de la taxe PMT 4.5 Montant appliqué à la réduction de la taxe scolaire imposée, calculé par municipalité 29

30 4.1 Calcul du produit maximal de la taxe scolaire Le calcul du PMT demeure le résultat de l application de la formule prévue à la LIP (art. 308) : - montant de base + (montant par élève x nombre d élèves pondérés). - Le règlement annuel sur le PMT précise l indexation des montants par élève et la pondération du nombre d élèves admissibles par c. s. 30

31 4.1 Calcul du produit maximal de la taxe scolaire Le MELS produira les résultats provisoires du calcul : - lors de la consultation sur le projet de règles budgétaires et les résultats définitifs dès l adoption du règlement. 31

32 4.2 Établissement de la valeur foncière uniformisée étalée La valeur foncière uniformisée étalée de la c. s. = - la somme des valeurs ajustées par territoire de municipalités pour les rôles suivants : - Rôle 2005 : Aucun étalement - Rôle 2006 : Valeur /3 (Valeur Valeur ) - Rôle 2007 : Valeur /3 (Valeur Valeur ) Note : L étalement est en fonction de la durée des rôles. 32

33 4.2 Établissement de la valeur foncière uniformisée étalée L application de l étalement des valeurs entraînera des modifications aux façons de faire dans l administration des modalités de la taxe scolaire = impact pour le personnel. Des rencontres de formation sont prévues par la GRICS concernant les modalités d application de l étalement et les divers ajustements à considérer en

34 4.3 Calcul du taux de la taxe scolaire Calcul du taux théorique de la taxe = Produit maximal de la taxe (PMT) divisé par l évaluation imposable uniformisée * La taxe scolaire est plafonnée à 0,35$ du 100$ d évaluation. 34

35 4.4 Financement du produit maximal de la taxe scolaire Évaluation imposable x taux de taxe = revenu de la taxe scolaire à percevoir 35

36 4.4 Financement du produit maximal de la taxe scolaire Subvention de péréquation*= PMT revenus de la taxe * selon l article 475 ou de la LIP. Gel de la subvention de péréquation dans certains milieux qui devra être remise aux contribuables concernés par un montant de réduction de la taxe (article 475.2). 36

37 4.5 Montant appliqué en réduction de la taxe Lignes directrices : - Le taux d imposition demeure unique par c. s. - La variation du PMT est assumée en tout ou en partie par le contribuable. - Le montant de la réduction de la taxe est exprimé en pourcentage, calculé par municipalité et accordé à tous les contribuables : - en proportion de la valeur des immeubles; - applicable à tous les immeubles, peu importe la variation des valeurs; - applicable à toutes facturations complémentaires au cours de l année scolaire visée. 37

38 4.5 Montant appliqué en réduction de la taxe La réduction de la taxe s applique aux contribuables des commissions scolaires ayant reçu une subvention de péréquation en , soit sur les territoires où il y a eu une hausse des valeurs. Cette réduction est applicable pour les contribuables des municipalités dont les rôles sont entrés en vigueur en 2006 et

39 4.5 Montant appliqué en réduction de la taxe Le calcul de la réduction de la taxe se fait en trois étapes : Étape 1 : Déterminer le pourcentage maximal d augmentation de la taxe scolaire, par municipalité, nécessaire pour couvrir la variation du PMT. Étape 2 : Déterminer le montant de la réduction de la taxe scolaire par municipalité visée par un nouveau rôle en 2006 ou en Étape 3 : Déterminer la réduction de la taxe scolaire du contribuable. 39

40 4.5 Montant appliqué en réduction de la taxe Étape 1 : Pourcentage maximal d augmentation de la taxe (PMAT) Variation du PMT en pourcentage : - Calculée par rapport à l année précédente, soit par rapport à Sur une base transitoire, pour les rôles 2006, calculée par rapport à , soit par rapport à

41 4.5 Montant appliqué en réduction de la taxe Étape 1 : Pourcentage maximal d augmentation de la taxe (PMAT) (suite) Proportion du PMT assumée par la taxe scolaire (Prop_T) pour l année précédente : - Prop_T = taxe scolaire prévue au budget / PMT Attention : Effet transitoire - Rôles 2005 et 2007: taxe prévue au Budget Rôle 2006 : taxe prévue au Budget

42 4.5 Montant appliqué en réduction de la taxe Étape 2 : Réduction de la taxe scolaire par municipalité Taxe scolaire maximale imposable (TSMI) : - montant maximal de taxe à percevoir sur le territoire d une municipalité; - correspond à la taxe de l année précédente (au budget) majorée du pourcentage maximal d augmentation de la taxe (PMAT); - pour les rôles 2006, correspond à la taxe au budget majorée du pourcentage maximal d augmentation sur deux ans. 42

43 4.5 Montant appliqué en réduction de la taxe Étape 2 : Réduction de la taxe scolaire par municipalité (suite) Montant de réduction de la taxe ($) : - écart entre la taxe scolaire facturée en vertu du taux de taxe de la c. s. et la TSMI. Réduction de la taxe (%) : - % = réduction ($) produit de la taxe; - le pourcentage calculé par la c. s. francophone, s il y a lieu, est applicable par la c. s. anglophone. 43

44 4.5 Montant appliqué en réduction de la taxe Étape 3 : Compte de taxe du contribuable - La taxe correspond à : valeur de l immeuble X taux de la taxe de la c. s. - La réduction de la taxe correspond à : taxe X pourcentage de réduction accordée sur le territoire visé. - Compte de taxe = taxe - réduction facturée accordée 44

45 5. COMPTE DE TAXE SCOLAIRE

46 5. Compte de taxe scolaire Le compte de taxe scolaire est modifié : - recto verso; - partie détachable. - Le compte de taxe indique : - - la valeur ajustée; - le montant de la taxe annuelle; - le montant de réduction; - le compte net; - les dates d échéance. 46

47 5. Compte de taxe scolaire Le montant de réduction de la taxe varie pour chaque contribuable : - selon la valeur de son immeuble; - selon sa municipalité. - Il n y a pas de réduction pour les rôles de

48 5. Compte de taxe scolaire Le calcul de la taxation scolaire s est complexifié. - Des explications devront être fournies aux contribuables : - avec l envoi du compte; - au téléphone; - au comptoir. - Les réponses vont varier d un contribuable à l autre et d une municipalité à l autre selon l année du rôle d évaluation. 48

49 5. Compte de taxe scolaire Le système de traitement informatisé a été modifié. - Des formations sont offertes pour le personnel de la taxe. 49

50 6. QUELQUES QUESTIONS 50

51 1. DÉFINITIONS Étalement Valeur au rôle Valeur uniformisée Valeur ajustée Montant de réduction sur le compte de taxe scolaire 51

52 Question concernant l évaluation 2. J ai reçu mon compte de taxe municipale et l évaluation de ma maison est plus élevée que sur mon compte de taxe scolaire. Pourquoi? 52

53 Questions concernant les 2 versements 3. Pourquoi mon voisin peut-il payer en 2 versements et pas moi? 4. Pourquoi les 2 versements de mon compte de taxe ne sont-ils pas égaux? 5. Pourquoi est-ce que je dois payer si rapidement mon compte de taxe? 53

54 Questions concernant le montant de réduction de la taxe 6. Comment faites-vous pour arriver à ce montant? 7. Pourquoi est-ce que je n ai pas le même montant de réduction que mon beaufrère? 8. J ai deux propriétés dans deux municipalités, pourquoi est-ce que le montant de réduction n est pas le même? 54

55 Questions concernant le montant de réduction de la taxe (suite) 9. Est-ce que j aurai toujours la même réduction? 10. Quel est le vrai taux de taxe de la commission scolaire? Mon voisin n a pas le même que le mien! 11. Est-ce que le calcul de la taxe sera toujours fait comme cela? 55

56 Questions concernant les changements à la taxe 12. J ai une nouvelle propriété, comment est-ce que le calcul sera fait? 13. Est-ce que vous allez faire un rattrapage la dernière année de mon rôle? 56

57 Contribuables dont le rôle d évaluation est Pourquoi est-ce que je n ai pas de réduction sur mon compte? 57

58 Contribuables dont le rôle d évaluation est Pourquoi est-ce que je n ai pas de réduction sur mon compte de l an dernier? 16. Pourquoi est-ce que je n ai pas la valeur ajustée pour 2007 et 2008? 17. Pourquoi est-ce que mon compte de taxe augmente de plus de 4 %? 18. Pourquoi est-ce que la commission scolaire ne 58 nous compense pas pour l an dernier?

59 Contribuables dont le rôle d évaluation est Comment calculez-vous la valeur ajustée 2007? 20. J ai acheté une maison neuve et ma valeur n est pas étalée, pourquoi? 22. Qu est-ce qui va arriver sur mon prochain rôle? Est-ce que le gouvernement va toujours me compenser? 59

60 FIN 60

Comment on le demande

Comment on le demande LE CRÉDIT POUR LA SOLIDARITÉ C est pour tout le monde! Un outil du Collectif pour un Québec sans pauvreté Mai 2011 Le crédit pour la solidarité a été annoncé par le ministre des Finances en mars 2010.

Plus en détail

intégrer les dates des séances du comité exécutif pour l année scolaire 2012-2013.

intégrer les dates des séances du comité exécutif pour l année scolaire 2012-2013. Points saillants Séance ordinaire Conseil des commissaires 2012-06-27 RÉSOLUTION RELATIVE AUX ENTENTES ENTRE COMMISSIONS SCOLAIRES Le conseil a annulé la résolution n o avec une autre commission scolaire.

Plus en détail

Communiqué fiscal SECTION 1 IMPÔTS SUR LE REVENU

Communiqué fiscal SECTION 1 IMPÔTS SUR LE REVENU Communiqué fiscal SECTION 1 IMPÔTS SUR LE REVENU Deux des mesures fiscales annoncées le 2 décembre 2014 1. Bonification de 800 000 $ à 1 million de dollars de l exonération des gains en capital sur les

Plus en détail

MISE À JOUR ÉCONOMIQUE ET FINANCIÈRE DE L AUTOMNE 2014 QUÉBEC

MISE À JOUR ÉCONOMIQUE ET FINANCIÈRE DE L AUTOMNE 2014 QUÉBEC MISE À JOUR ÉCONOMIQUE ET FINANCIÈRE DE L AUTOMNE 2014 QUÉBEC Le 2 décembre 2014 TABLE DES MATIÈRES Introduction Mesures de relance économique Mesures visant l atteinte et le maintien de l équilibre budgétaire

Plus en détail

Projet de loi n o 100 (2010, chapitre 20)

Projet de loi n o 100 (2010, chapitre 20) PREMIÈRE SESSION TRENTE-NEUVIÈME LÉGISLATURE Projet de loi n o 100 (2010, chapitre 20) Loi mettant en œuvre certaines dispositions du discours sur le budget du 30 mars 2010 et visant le retour à l équilibre

Plus en détail

HISTORIQUE DE LA POSITION FNEEQ SUR LES ÉTABLISSEMENTS PRIVÉS

HISTORIQUE DE LA POSITION FNEEQ SUR LES ÉTABLISSEMENTS PRIVÉS HISTORIQUE DE LA POSITION FNEEQ SUR LES ÉTABLISSEMENTS PRIVÉS TABLE DES MATIÈRES PORTRAIT DU REGROUPEMENT DES ÉTABLISSEMENTS PRIVÉS... 3 Situation de l emploi dans le regroupement privé... 3 La position

Plus en détail

Demande de licence. de bingo en salle seul. Guide. Formulaire de demande de licence. Annexe A Déclaration annuelle de l organisme

Demande de licence. de bingo en salle seul. Guide. Formulaire de demande de licence. Annexe A Déclaration annuelle de l organisme Demande de licence de bingo en salle seul Guide Formulaire de demande de licence Annexe A Déclaration annuelle de l organisme Annexe A.1 Déclaration annuelle des personnes liées à l organisme Annexe B

Plus en détail

Suppression de la taxe professionnelle et création de la Contribution Economique Territoriale (CET)

Suppression de la taxe professionnelle et création de la Contribution Economique Territoriale (CET) Suppression de la taxe professionnelle et création de la Contribution Economique Territoriale (CET) (Articles 2, 47, 77, 78 et 99 de la loi de finance pour 2010) Actuellement, la taxe professionnelle (TP)

Plus en détail

LACOURTE NOTE FISCALE OCTOBRE 2012

LACOURTE NOTE FISCALE OCTOBRE 2012 Le projet de Loi de finances pour 2013 présenté en Conseil des Ministres vendredi 28 septembre 2012 constitue la première pierre de l architecture de la politique fiscale du Gouvernement. Il vient bouleverser

Plus en détail

AUDIT FINANCIER ET FISCAL DE LA COMMUNE COMMUNE DE SAINT-JULIEN EN GENEVOIS

AUDIT FINANCIER ET FISCAL DE LA COMMUNE COMMUNE DE SAINT-JULIEN EN GENEVOIS AUDIT FINANCIER ET FISCAL DE LA COMMUNE COMMUNE DE SAINT-JULIEN EN GENEVOIS Le 4 février 2015 Jean-Pierre COBLENTZ Adel KARMOUS STRATORIAL FINANCES www.stratorial-finances.fr Tour GAMMA A 193 rue de Bercy

Plus en détail

Présentation au conseil municipal 16 décembre 2014. Débat. d Orientation. Budgétaire 2015

Présentation au conseil municipal 16 décembre 2014. Débat. d Orientation. Budgétaire 2015 Présentation au conseil municipal 16 décembre 2014 Débat d Orientation Budgétaire 2015 Le budget 2015 sera le premier de ce nouveau mandat 2014-2020 Il est construit sur le Plan de mandat financier en

Plus en détail

Rapport sur le budget du Québec

Rapport sur le budget du Québec le 21 avril 2005 Rapport sur le budget du Québec Faits saillants Introduction Taux d imposition d une société est augmenté Instauration d un taux d imposition pour la petite entreprise Les taux de la taxe

Plus en détail

BULLETIN QUESTIONS-RÉPONSES PROGRAMME D ÉQUITÉ SALARIALE

BULLETIN QUESTIONS-RÉPONSES PROGRAMME D ÉQUITÉ SALARIALE BULLETIN QUESTIONS-RÉPONSES PROGRAMME D ÉQUITÉ SALARIALE La Ville de Montréal et le Syndicat des fonctionnaires municipaux de Montréal (SCFP) LE 9 FÉVRIER 2011 Dans le cadre du deuxième affichage faisant

Plus en détail

LE RENOUVEAU PÉDAGOGIQUE

LE RENOUVEAU PÉDAGOGIQUE LE RENOUVEAU PÉDAGOGIQUE Ce qui définit «le changement» préscolaire primaire secondaire Gouvernement du Québec Ministère de l Éducation, du Loisir et du Sport, 2005-05-00511 ISBN 2-550-45274-7 (version

Plus en détail

Le 15 décembre 2014 ADOPTION DE LA LOI FAVORISANT LA SANTÉ FINANCIÈRE ET LA SUIVEZ RETRAITESAI SUR. Numéro 14-22

Le 15 décembre 2014 ADOPTION DE LA LOI FAVORISANT LA SANTÉ FINANCIÈRE ET LA SUIVEZ RETRAITESAI SUR. Numéro 14-22 SOMMAIRE Restructuration obligatoire pour tous les régimes Processus de restructuration Autres dispositions Tableau des principaux amendements depuis le 12 juin 2014 ADOPTION DE LA LOI FAVORISANT LA SANTÉ

Plus en détail

BILAN ROUTIER 2014. Société de l assurance automobile du Québec

BILAN ROUTIER 2014. Société de l assurance automobile du Québec BILAN ROUTIER 2014 Société de l assurance automobile du Québec SAAQ BILAN ROUTIER 2014 1 SOMMAIRE IL Y A EU 336 DÉCÈS SUR LES ROUTES EN 2014, SOIT 55 DE MOINS QU EN 2013, CE QUI REPRÉSENTE UNE DIMINUTION

Plus en détail

ENTENTE À INTERVENIR. entre d une part : LE GOUVERNEMENT DU QUÉBEC. et d autre part :

ENTENTE À INTERVENIR. entre d une part : LE GOUVERNEMENT DU QUÉBEC. et d autre part : ENTENTE À INTERVENIR entre d une part : LE GOUVERNEMENT DU QUÉBEC et d autre part : LE SECRÉTARIAT INTERSYNDICAL DES SERVICES PUBLICS (SISP) LA CONFÉDÉRATION DES SYNDICATS NATIONAUX (CSN) LA FÉDÉRATION

Plus en détail

SOCIÉTÉ DE L ASSURANCE AUTOMOBILE DU QUÉBEC BILAN ROUTIER

SOCIÉTÉ DE L ASSURANCE AUTOMOBILE DU QUÉBEC BILAN ROUTIER SOCIÉTÉ DE L ASSURANCE AUTOMOBILE DU QUÉBEC BILAN ROUTIER 2013 SOMMAIRE Depuis 1978,... le nombre de décès a chuté de 77,4 %. Il y a eu 399 décès sur les routes en 2013, soit 22 de moins qu en 2012, ce

Plus en détail

Vos dépôts sont protégés, c est garanti! Au Québec, l Autorité des marchés financiers protège vos dépôts jusqu à 100 000 $

Vos dépôts sont protégés, c est garanti! Au Québec, l Autorité des marchés financiers protège vos dépôts jusqu à 100 000 $ Vos dépôts sont protégés, c est garanti! Au Québec, l Autorité des marchés financiers protège vos dépôts jusqu à La garantie de base sur vos dépôts Quels dépôts sont garantis par l assurance-dépôts? L

Plus en détail

Projet de loi n o 94. Présentation. Présenté par Madame Kathleen Weil Ministre de la Justice

Projet de loi n o 94. Présentation. Présenté par Madame Kathleen Weil Ministre de la Justice PREMIÈRE SESSION TRENTE-NEUVIÈME LÉGISLATURE Projet de loi n o 94 Loi établissant les balises encadrant les demandes d accommodement dans l Administration gouvernementale et dans certains établissements

Plus en détail

RÈGLEMENT RELATIF AUX DROITS D ADMISSION, AUX DROITS D INSCRIPTION ET AUX DROITS AFFÉRENTS (R

RÈGLEMENT RELATIF AUX DROITS D ADMISSION, AUX DROITS D INSCRIPTION ET AUX DROITS AFFÉRENTS (R RECUEIL DES RÈGLES DE GESTION RÈGLEMENT RELATIF AUX DROITS D ADMISSION, AUX DROITS D INSCRIPTION ET AUX DROITS AFFÉRENTS (R 16) RECUEIL DES RÈGLES DE GESTION RÈGLEMENT RELATIF AUX DROITS D ADMISSION, AUX

Plus en détail

AVERTISSEMENT CONCERNANT LA NORME 20 EN MATIÈRE D ÉVALUATION MUNICIPALE

AVERTISSEMENT CONCERNANT LA NORME 20 EN MATIÈRE D ÉVALUATION MUNICIPALE AVERTISSEMENT CONCERNANT LA NORME 20 EN MATIÈRE D ÉVALUATION MUNICIPALE Le 31 janvier 2013, le conseil d administration de l Ordre a adopté la norme 20.1 afin de refléter les travaux du ministère des Affaires

Plus en détail

LE COMPTE EPARGNE TEMPS

LE COMPTE EPARGNE TEMPS STATUT LE COMPTE EPARGNE TEMPS Références : Décret 2004-878 du 26 août 2004, modifié par le décret 2010-531 du 20 mai 2010 ; Circulaire ministérielle N10-007135-D du 31 mai 2010 (annexe 1). Les règles

Plus en détail

ANALYSE DU PROJET DE LOI NO 42

ANALYSE DU PROJET DE LOI NO 42 ANALYSE DU PROJET DE LOI NO 42 Loi regroupant la Commission de l équité salariale, la Commission des normes du travail et la Commission de la santé et de la sécurité du travail et instituant le Tribunal

Plus en détail

GESTION DU DOSSIER SCOLAIRE DE L ÉLÈVE. Adoption le Amendement le Mise en vigueur le 6 mai 2004 Résolution #

GESTION DU DOSSIER SCOLAIRE DE L ÉLÈVE. Adoption le Amendement le Mise en vigueur le 6 mai 2004 Résolution # PROCÉDURE GESTION DU DOSSIER SCOLAIRE DE L ÉLÈVE # 40-02 Adoption le Amendement le Mise en vigueur le 6 mai 2004 Résolution # Autorisation Susan Tremblay Directrice générale Page 1 de 10 1. Préambule Le

Plus en détail

RAPPORT D OBSERVATIONS DEFINITIVES SUR LES COMPTES ET LA GESTION DE LA COMMUNE DE TARBES

RAPPORT D OBSERVATIONS DEFINITIVES SUR LES COMPTES ET LA GESTION DE LA COMMUNE DE TARBES CHAMBRE REGIONALE DES COMPTES DE MIDI-PYRENEES --- N/Réf. : GO10 329 01 RAPPORT D OBSERVATIONS DEFINITIVES SUR LES COMPTES ET LA GESTION DE LA COMMUNE DE TARBES Exercices 2003 à 2009 22 5.3 Les renégociations

Plus en détail

Présentation du programme de Bourses d études INLB pour les personnes vivant avec une déficience visuelle

Présentation du programme de Bourses d études INLB pour les personnes vivant avec une déficience visuelle 1 Présentation du programme de Bourses d études INLB pour les personnes vivant avec une déficience visuelle En collaboration avec Les Sœurs de Saint-Joseph de Saint-Hyacinthe Le programme de bourses INLB

Plus en détail

FISCALITE DES PARTICULIERS ET DU PATRIMOINE

FISCALITE DES PARTICULIERS ET DU PATRIMOINE FISCALITE DES PARTICULIERS ET DU PATRIMOINE BAREME TRAITEMENTS ET SALAIRES PEA Fin du gel du barème : Revalorisation de 0,8% de l ensemble des tranches applicables aux revenus de 2013. Plafonnement du

Plus en détail

Automne 2014 LE POINT SUR LA SITUATION ÉCONOMIQUE ET FINANCIÈRE DU QUÉBEC

Automne 2014 LE POINT SUR LA SITUATION ÉCONOMIQUE ET FINANCIÈRE DU QUÉBEC Automne 2014 LE POINT SUR LA SITUATION ÉCONOMIQUE ET FINANCIÈRE DU QUÉBEC Automne 2014 Le point sur la situation économique et financière du québec NOTE La forme masculine utilisée dans le texte désigne

Plus en détail

Genres d assurances :

Genres d assurances : Genres d assurances : Assurance-vie Assurance invalidité Assurance médicaments - maladie Assurance frais de bureau Assurance responsabilité professionnelle Assurance-vie Garantie la couverture des besoins

Plus en détail

Prospective financière Saint-Etienne Métropole 2011 2014. Dossier de presse Conseil de Communauté Jeudi 24 juin 2010

Prospective financière Saint-Etienne Métropole 2011 2014. Dossier de presse Conseil de Communauté Jeudi 24 juin 2010 Prospective financière Saint-Etienne Métropole 2011 2014 Dossier de presse Conseil de Communauté Jeudi 24 juin 2010 COMPTE ADMINISTRATIF 2009 Des résultas de gestion satisfaisants mais une marge de manœuvre

Plus en détail

LA DETTE PUBLIQUE DU QUÉBEC ET LE FARDEAU FISCAL DES PARTICULIERS

LA DETTE PUBLIQUE DU QUÉBEC ET LE FARDEAU FISCAL DES PARTICULIERS LA DETTE PUBLIQUE DU QUÉBEC ET LE FARDEAU FISCAL DES PARTICULIERS FÉVRIER 2002 DOSSIER 02-02 La dette publique du Québec et le fardeau fiscal des particuliers Le premier ministre du Québec se plaisait

Plus en détail

LES SERVICES BANCAIRES EN LIGNE : LA MOBILITÉ GAGNE DU TERRAIN VOLUME 4 NUMÉRO 9 AVEC LA COLLABORATION DE

LES SERVICES BANCAIRES EN LIGNE : LA MOBILITÉ GAGNE DU TERRAIN VOLUME 4 NUMÉRO 9 AVEC LA COLLABORATION DE LES SERVICES BANCAIRES EN LIGNE : LA MOBILITÉ GAGNE DU TERRAIN VOLUME 4 NUMÉRO 9 AVEC LA COLLABORATION DE 2 2014, CEFRIO NETendances LES SERVICES BANCAIRES EN LIGNE : LA MOBILITÉ GAGNE DU TERRAIN TABLE

Plus en détail

Mise à jour Licence de gestionnaire de salle

Mise à jour Licence de gestionnaire de salle Mise à jour Licence de gestionnaire de salle Veuillez indiquer votre numéro de dossier attribué par la Régie 13- Veuillez remplir le tableau suivant et le retourner avec le formulaire dûment rempli et

Plus en détail

Le compte épargne temps

Le compte épargne temps 2010 N 10-06- 05 Mi à jour le 15 juin 2010 L e D o i e r d e l a D o c 1. Définition Sommaire 2. Modification iue du décret n 2010-531 3. Principe du compte épargne temp Bénéficiaire potentiel Alimentation

Plus en détail

Pierre Marchand Consultant

Pierre Marchand Consultant Pierre Marchand Consultant 1 Avant-propos Mot de bienvenue Présentation du formateur Logistique Mise en garde Modifications par rapport à 2012-2013 Les exemples présentés proviennent des paramètres de

Plus en détail

RÉSUMÉ POINT SUR LA SITUATION ÉCONOMIQUE ET FINANCIÈRE DU QUÉBEC. Par : Service de fiscalité

RÉSUMÉ POINT SUR LA SITUATION ÉCONOMIQUE ET FINANCIÈRE DU QUÉBEC. Par : Service de fiscalité RÉSUMÉ POINT SUR LA SITUATION ÉCONOMIQUE ET FINANCIÈRE DU QUÉBEC Par : Service de fiscalité PRÉSENTATION Veuillez prendre note qu'il ne s'agit pas d'un résumé exhaustif de toutes les mesures contenues

Plus en détail

BUDGET DE LA MUTUALITE DES EMPLOYEURS POUR 2015

BUDGET DE LA MUTUALITE DES EMPLOYEURS POUR 2015 BUDGET DE LA MUTUALITE DES EMPLOYEURS POUR 2015 1 Résultat Budget Prévisionnel Budget Budget Article Compte 2013 2014 2014 2015 2016 Nombre - indice 761,00 780,01 775,17 789,70 804,47 DEPENSES BUDGET DES

Plus en détail

PROGRAMME DE BOURSES FONDATION J. ARMAND BOMBARDIER

PROGRAMME DE BOURSES FONDATION J. ARMAND BOMBARDIER PROGRAMME DE BOURSES FONDATION J. ARMAND BOMBARDIER DESCRIPTION GÉNÉRALE DU PROGRAMME Ce programme s adresse aux étudiants qui poursuivent, à temps plein, un programme d études reconnu au Canada et conduisant

Plus en détail

VILLE DE BAYONNE RESTAURATION DES IMMEUBLES EN CENTRE ANCIEN Secteur Sauvegardé, Zone patrimoniale de St Esprit

VILLE DE BAYONNE RESTAURATION DES IMMEUBLES EN CENTRE ANCIEN Secteur Sauvegardé, Zone patrimoniale de St Esprit VILLE DE BAYONNE RESTAURATION DES IMMEUBLES EN CENTRE ANCIEN Secteur Sauvegardé, Zone patrimoniale de St Esprit REGLEMENT D ATTRIBUTION DE SUBVENTIONS COMMUNALES Afin de préserver et mettre en valeur le

Plus en détail

RÈGLEMENT INSTITUANT UN PROGRAMME DE CRÉDIT DE TAXES FAVORISANT LA CONSTRUCTION D IMMEUBLES LOCATIFS DE 50 LOGEMENTS ET PLUS

RÈGLEMENT INSTITUANT UN PROGRAMME DE CRÉDIT DE TAXES FAVORISANT LA CONSTRUCTION D IMMEUBLES LOCATIFS DE 50 LOGEMENTS ET PLUS CANADA PROVINCE DE QUÉBEC VILLE DE SEPT-ÎLES RÈGLEMENT N 2013-280 RÈGLEMENT INSTITUANT UN PROGRAMME DE CRÉDIT DE TAXES FAVORISANT LA CONSTRUCTION D IMMEUBLES LOCATIFS DE 50 LOGEMENTS ET PLUS ATTENDU QUE

Plus en détail

COMMISSION DE L ÉQUITÉ SALARIALE

COMMISSION DE L ÉQUITÉ SALARIALE COMMISSION DE L ÉQUITÉ SALARIALE Dossier n o : 36455 FRA Québec, le : 17 février 2015 Membre : Sophie Raymond, commissaire Commission de l équité salariale et 9061 1674 Québec inc. (connue sous le nom

Plus en détail

POLITIQUE GÉNÉRALE D INVESTISSEMENT Ordre des conseillers en ressources humaines agréés

POLITIQUE GÉNÉRALE D INVESTISSEMENT Ordre des conseillers en ressources humaines agréés POLITIQUE GÉNÉRALE D INVESTISSEMENT Ordre des conseillers en ressources humaines agréés Présentée par Krzysztof Kuzniar Directeur, finances et administration Le lundi 29 mars 2010 Table des matières 1.

Plus en détail

Pour l exclusion des offices d habitation des décrets sur le personnel d entretien des édifices publics

Pour l exclusion des offices d habitation des décrets sur le personnel d entretien des édifices publics Pour l exclusion des offices d habitation des décrets sur le personnel d entretien des édifices publics Mémoire présenté au ministère du Travail dans le cadre de la consultation de la Loi sur les décrets

Plus en détail

Manuel des directives - Indemnisation des dommages corporels 1. CHAMP D'APPLICATION

Manuel des directives - Indemnisation des dommages corporels 1. CHAMP D'APPLICATION 1. CHAMP D'APPLICATION Cette directive traite du paiement d intérêts par la Société de l assurance automobile du Québec (la Société). 2. CADRE LÉGAL ET RÉGLEMENTAIRE Cette directive découle de la Loi sur

Plus en détail

Projet de loi n o 4. Présentation. Présenté par M. Laurent Lessard Ministre des Affaires municipales, des Régions et de l Occupation du territoire

Projet de loi n o 4. Présentation. Présenté par M. Laurent Lessard Ministre des Affaires municipales, des Régions et de l Occupation du territoire DEUXIÈME SESSION TRENTE-NEUVIÈME LéGISLATURE Projet de loi n o 4 Loi permettant aux municipalités d octroyer un crédit de taxes à certains propriétaires d immeubles résidentiels touchés par une hausse

Plus en détail

Étude comparative sur les salaires et les échelles salariales des professeurs d université. Version finale. Présentée au

Étude comparative sur les salaires et les échelles salariales des professeurs d université. Version finale. Présentée au Étude comparative sur les salaires et les échelles salariales des professeurs d université Version finale Présentée au Syndicat général des professeurs et professeures de l Université de Montréal (SGPUM)

Plus en détail

DOCUMENT D INFORMATION. Septembre 2014 LA FISCALITÉ DES PARTICULIERS AU QUÉBEC

DOCUMENT D INFORMATION. Septembre 2014 LA FISCALITÉ DES PARTICULIERS AU QUÉBEC DOCUMENT D INFORMATION Septembre 2014 LA FISCALITÉ DES PARTICULIERS AU QUÉBEC document d information Septembre 2014 La fiscalité des particuliers au Québec NOTE La forme masculine utilisée dans le texte

Plus en détail

MESURES FISCALES ANNONCÉES À L OCCASION DU POINT SUR LA SITUATION ÉCONOMIQUE ET FINANCIÈRE DU QUÉBEC

MESURES FISCALES ANNONCÉES À L OCCASION DU POINT SUR LA SITUATION ÉCONOMIQUE ET FINANCIÈRE DU QUÉBEC MESURES FISCALES ANNONCÉES À L OCCASION DU POINT SUR LA SITUATION ÉCONOMIQUE ET FINANCIÈRE DU QUÉBEC Le présent bulletin d information vise à rendre publiques les mesures fiscales annoncées par le ministre

Plus en détail

Population de la «Ville de Trois-Rivières» (Code géographique : 37067)

Population de la «Ville de Trois-Rivières» (Code géographique : 37067) Population de la «Ville de Trois-Rivières» (Code géographique : 37067) En 2015 Décret 1060-2014 concernant la population des municipalités pris le 3 décembre 2014 par le gouvernement du Québec. Publié

Plus en détail

CHARGES SOCIALES DES TRAVAILLEURS INDÉPENDANTS

CHARGES SOCIALES DES TRAVAILLEURS INDÉPENDANTS CHARGES SOCIALES DES TRAVAILLEURS INDÉPENDANTS Paiement des cotisations : précisions sur les nouvelles modalités de calcul et d appel de cotisations des indépendants Circulaire RSI n 2007-91 du 20 juillet

Plus en détail

Commune de Bourcefranc-le- Chapus: Audit financier. Conseil Municipal du 22 juillet 2014

Commune de Bourcefranc-le- Chapus: Audit financier. Conseil Municipal du 22 juillet 2014 Commune de Bourcefranc-le- Chapus: Audit financier Conseil Municipal du 22 juillet 2014 Eléments de cadrage de la situation financière de la Commune de Bourcefranc-le- Chapus Les soldes intermédiaires

Plus en détail

Le bail commercial : les aspects importants à vérifier

Le bail commercial : les aspects importants à vérifier Le bail commercial : les aspects importants à vérifier Le choix d un local commercial est une étape cruciale dans le développement d une entreprise. L endroit choisi peut sembler prometteur mais il faut

Plus en détail

LE DEBAT D'ORIENTATION BUDGETAIRE 2011

LE DEBAT D'ORIENTATION BUDGETAIRE 2011 LE DEBAT D'ORIENTATION BUDGETAIRE 2011 LA LOI DE FINANCES POUR 2011 LA LOI DE FINANCES POUR 2011 En milliards d'euros 2010 2011 Dépenses du budget général dont charges de la dette dont pensions dont dépenses

Plus en détail

Mémoire. Syndicat canadien de la fonction publique (SCFP-FTQ) concernant le projet de règlement. portant sur le financement des régimes de retraite

Mémoire. Syndicat canadien de la fonction publique (SCFP-FTQ) concernant le projet de règlement. portant sur le financement des régimes de retraite Mémoire Du Syndicat canadien de la fonction publique (SCFP-FTQ) concernant le projet de règlement portant sur le financement des régimes de retraite des secteurs municipal et universitaire présenté à M.

Plus en détail

RÉSULTATS DU SONDAGE BESOINS DE FORMATION : ASSURANCE DES ENTREPRISES

RÉSULTATS DU SONDAGE BESOINS DE FORMATION : ASSURANCE DES ENTREPRISES RÉSULTATS DU SONDAGE BESOINS DE FORMATION : ASSURANCE DES ENTREPRISES TABLE DES MATIÈRES PRÉSENTATION... 3 PROFIL DES RÉPONDANTS... 4 PROVENANCE DES FORMATIONS... 5 SATISFACTION À L ÉGARD DE LA FORMATION...

Plus en détail

Évaluation des terrains contaminés et des milieux humides par Me Luc Villiard

Évaluation des terrains contaminés et des milieux humides par Me Luc Villiard PRÉSENTÉ AU CONGRÈS DE L ASSOCIATION DES ÉVALUATEURS MUNICIPAUX DU QUÉBEC, LE 28 MAI 2011 Évaluation des terrains contaminés et des milieux humides par Me Luc Villiard Terrains contaminés 2 Terrains contaminés

Plus en détail

Régime de retraite pour les employés de la Ville de Mascouche

Régime de retraite pour les employés de la Ville de Mascouche Rapport de la situation financière Présenté au conseil municipal le 19 janvier 2015 Numéro d enregistrement auprès de l Agence du revenu du Canada 0395541 Numéro d enregistrement auprès de la Régie des

Plus en détail

Atelier C1 27 novembre 2014 15 h 15 à 16 h 30 Optimiser le financement de la formation professionnelle

Atelier C1 27 novembre 2014 15 h 15 à 16 h 30 Optimiser le financement de la formation professionnelle Atelier C1 27 novembre 2014 15 h 15 à 16 h 30 Optimiser le financement de la formation professionnelle Pierre Marchand, MBA Consultant 1 Avant-propos Mot de bienvenue Présentation du formateur Logistique

Plus en détail

INSCRIPTION DES ÉLÈVES POUR L ANNÉE SCOLAIRE 2014-2015

INSCRIPTION DES ÉLÈVES POUR L ANNÉE SCOLAIRE 2014-2015 INSCRIPTION DES ÉLÈVES POUR L ANNÉE SCOLAIRE 2014-2015 RÈGLES GÉNÉRALES L inscription annuelle est obligatoire pour tous les élèves qui fréquenteront une école de la Commission scolaire de la Région-de-Sherbrooke.

Plus en détail

ET SI LA PARTICIPATION FAISAIT LA DIFFÉRENCE

ET SI LA PARTICIPATION FAISAIT LA DIFFÉRENCE ET SI LA PARTICIPATION FAISAIT LA DIFFÉRENCE LES ACTIVITÉS PARASCOLAIRES DES ÉLÈVES DU SECONDAIRE ET LA RÉUSSITE ÉDUCATIVE RAPPORT D ENQUÊTE Coordination de la recherche Diane Charest, Chef du Service

Plus en détail

SECRÉTARIAT D ETAT CHARGE DU BUDGET. publique. Le Ministre de l Intérieur,

SECRÉTARIAT D ETAT CHARGE DU BUDGET. publique. Le Ministre de l Intérieur, MINISTÈRE DE L ÉCONOMIE, DES FINANCES ET DE L INDUSTRIE SECRÉTARIAT D ETAT CHARGE DU BUDGET MINISTÈRE DE L INTÉRIEUR Direction du Trésor Direction de la Comptabilité publique Direction générale des collectivités

Plus en détail

Parlons assurance. Taux de prime

Parlons assurance. Taux de prime Parlons assurance Taux de prime 2011 La Commission de la santé et de la sécurité du travail (CSST) fournit un service d assurance essentiel aux entreprises établies au Québec. Cette assurance obligatoire

Plus en détail

SCARM Direction de l approvisionnement Ville de Montréal Mars 2013

SCARM Direction de l approvisionnement Ville de Montréal Mars 2013 SCARM Direction de l approvisionnement Ville de Montréal Mars 2013 Table des matières Politique d approvisionnement... 5 Politique de gestion contractuelle... 6 Des biens et des services... 7 Fichier

Plus en détail

Instruments financiers et comptabilité de couverture : de nouveaux principes français en préparation

Instruments financiers et comptabilité de couverture : de nouveaux principes français en préparation Instruments financiers et comptabilité de couverture : de nouveaux principes français en préparation Conférence IMA du 05 avril 2012 Isabelle SAPET, Associée Programme 1. Introduction 2. Classification

Plus en détail

Calcul du versement périodique 2015 GUIDE. www.csst.qc.ca

Calcul du versement périodique 2015 GUIDE. www.csst.qc.ca Calcul du versement périodique 2015 GUIDE www.csst.qc.ca Ce guide a pour but de faciliter la compréhension des modalités relatives au calcul du versement périodique. Il n a aucune valeur juridique et ne

Plus en détail

RECERTIFICATION OBLIGATOIRE

RECERTIFICATION OBLIGATOIRE 2011-2013 RECERTIFICATION OBLIGATOIRE APPLICATION DES PESTICIDES CATÉGORIES CD ET CD4 En horticulture ornementale Programme de préparation aux examens OBLIGATOIRES pour les membres de l ASGQ Selon information

Plus en détail

Un premier projet en Amérique Latine pour Éducation internationale

Un premier projet en Amérique Latine pour Éducation internationale Bulletin d information février 2009 LE SAVOIR N A PAS DE FRONTIÈRES Un premier projet en Amérique Latine pour Éducation internationale Éducation internationale, en association avec son partenaire, le Collège

Plus en détail

Fonctionnement et procédure Prêt REER-RAP La Capitale

Fonctionnement et procédure Prêt REER-RAP La Capitale Fonctionnement et procédure Prêt REER-RAP La Capitale Formulaires à remplir (fichiers PDF) Contrat de prêt REER-RAP T128 Demande d adhésion-instruction RER (pour RAP) T015 Régime d accession à la propriété

Plus en détail

Parlons assurance. Taux de prime

Parlons assurance. Taux de prime Parlons assurance Taux de prime 2010 La Commission de la santé et de la sécurité du travail (CSST) fournit un service d assurance essentiel aux entreprises établies au Québec. Cette assurance obligatoire

Plus en détail

Western Climate Initiative, inc. Budget révisé pour l année civile 2015 et dépenses prévues en 2016 6 mai 2015

Western Climate Initiative, inc. Budget révisé pour l année civile 2015 et dépenses prévues en 2016 6 mai 2015 Western Climate Initiative, inc. Budget révisé pour l année civile 2015 et dépenses prévues en 2016 6 mai 2015 Table des matières Introduction... 1 Services de plafonnement et d échange... 2 Système de

Plus en détail

Accord N 36 Le Compte Epargne Temps au GIE AtlantiCA En date du 25 septembre 2008

Accord N 36 Le Compte Epargne Temps au GIE AtlantiCA En date du 25 septembre 2008 Accord N 36 Le Compte Epargne Temps au GIE AtlantiCA En date du 25 septembre 2008 Les organisations syndicales signataires : CFDT, SNECA-CGC, SUD AtlantiCA TABLE DES MATIERES L ACCORD INDEX TABLE DES MATIERES

Plus en détail

RÉGIME DE RETRAITE DES EMPLOYÉS DE LA VILLE DE LAVAL

RÉGIME DE RETRAITE DES EMPLOYÉS DE LA VILLE DE LAVAL Séance publique RÉGIME DE RETRAITE DES EMPLOYÉS DE LA VILLE DE LAVAL Loi 3 - Loi favorisant la santé financière et la pérennité des régimes de retraite à prestations déterminées du secteur municipal 19

Plus en détail

C O U R S U P É R I E U R E (Chambre commerciale)

C O U R S U P É R I E U R E (Chambre commerciale) C A N A D A PROVINCE DE QUÉBEC DISTRICT DE MONTRÉAL C O U R S U P É R I E U R E (Chambre commerciale) N o : 500-11-026909-057 DANS L AFFAIRE DE LA LIQUIDATION DES BIENS DE : FONDS NORBOURG PLACEMENTS ÉQUILIBRÉS,

Plus en détail

(LIPP-V), 22 2000 18 2004 (D

(LIPP-V), 22 2000 18 2004 (D objet 4 Loi modifiant la loi du 22 septembre 2000 sur l imposition des personnes physiques Détermination du revenu net Calcul de l impôt et rabais d impôt Compensation des effets de la progression à froid

Plus en détail

Concerne : réforme et précision sur le système de pensions complémentaires.

Concerne : réforme et précision sur le système de pensions complémentaires. Chers clients, Concerne : réforme et précision sur le système de pensions complémentaires. Lors de l'élaboration du budget 2012, le gouvernement a pris différentes mesures qui ont un impact important sur

Plus en détail

Chapitre 3 Le modèle genevois d organisation du travail de maturité

Chapitre 3 Le modèle genevois d organisation du travail de maturité République et Canton de Genève Département de l'instruction publique Enseignement secondaire II postobligatoire TRAVAIL DE MATURITÉ : BASES RÉGLEMENTAIRES ET DÉROULEMENT DU TRAVAIL Résumé du rapport On

Plus en détail

Réponse concernant le financement de l assurance-emploi et les récentes mesures connexes. Ottawa, Canada 9 octobre 2014 www.pbo-dpb.gc.

Réponse concernant le financement de l assurance-emploi et les récentes mesures connexes. Ottawa, Canada 9 octobre 2014 www.pbo-dpb.gc. Réponse concernant le financement de l assurance-emploi et les récentes mesures connexes Ottawa, Canada 9 octobre 2014 www.pbo-dpb.gc.ca Le Directeur parlementaire du budget a pour mandat de présenter

Plus en détail

En premier lieu, trois mesures, importantes et symboliques, ont tendance à grignoter le pouvoir fiscal des élus locaux :

En premier lieu, trois mesures, importantes et symboliques, ont tendance à grignoter le pouvoir fiscal des élus locaux : février 2006 Département Finances Mission Intercommunalité et Territoires AR/MC/CG/NL/AH/MR LES DISPOSITIONS AYANT DES CONSEQUENCES SUR LES COMMUNES, LES EPCI ET LEURS CONTRIBUABLES, ISSUES DE : - LA LOI

Plus en détail

Monsieur le Président, Mesdames et Messieurs les Conseillers/ères,

Monsieur le Président, Mesdames et Messieurs les Conseillers/ères, Préavis No 12/2011 Demande de crédit pour la construction d un parking souterrain de 96 places et démolition des bâtiments ECA Nos 2774 et 2779 au lieu dit «Le Parc» avec aménagement d un terrain de sports

Plus en détail

Assemblée générale du 5 décembre 2013. Le RRUQ. Définition et fonctionnement SPP UQAC

Assemblée générale du 5 décembre 2013. Le RRUQ. Définition et fonctionnement SPP UQAC Assemblée générale du 5 décembre 2013 Le RRUQ Définition et fonctionnement 1 Le RRUQ Le RRUQ est le régime de retraite de l Université du Québec. Tous les professionnels, employés de soutien et professeurs

Plus en détail

PLAN D ACTION DE SANTÉ DENTAIRE PUBLIQUE 2005 2015. Bilan régional des activités 2012 2013

PLAN D ACTION DE SANTÉ DENTAIRE PUBLIQUE 2005 2015. Bilan régional des activités 2012 2013 PLAN D ACTION DE SANTÉ DENTAIRE PUBLIQUE 2005 2015 Bilan régional des activités 2012 2013 PLAN D ACTION DE SANTÉ DENTAIRE PUBLIQUE 2005 2015 Bilan régional des activités 2012 2013 est une production

Plus en détail

POLITIQUE RELATIVE AUX CRITÈRES RÉGISSANT L ADMISSION ET L INSCRIPTION DES ÉLÈVES PRÉSCOLAIRE, PRIMAIRE ET SECONDAIRE

POLITIQUE RELATIVE AUX CRITÈRES RÉGISSANT L ADMISSION ET L INSCRIPTION DES ÉLÈVES PRÉSCOLAIRE, PRIMAIRE ET SECONDAIRE POLITIQUE POLITIQUE RELATIVE AUX CRITÈRES RÉGISSANT L ADMISSION ET L INSCRIPTION DES ÉLÈVES PRÉSCOLAIRE, PRIMAIRE ET SECONDAIRE Responsabilité Direction générale adjointe aux affaires administratives Direction

Plus en détail

Foire aux questions. 1. Comment savoir quels ajustements s appliquent aux trois fonctions suivantes :

Foire aux questions. 1. Comment savoir quels ajustements s appliquent aux trois fonctions suivantes : Foire aux questions Mise à jour le 5 janvier 2011 Liste des questions 1. Comment savoir quels ajustements s appliquent aux trois fonctions suivantes : Technicien / Technicienne en coordination du travail

Plus en détail

Débat d orientations budgétaires 2014. Conseil municipal du 4 novembre 2013

Débat d orientations budgétaires 2014. Conseil municipal du 4 novembre 2013 Débat d orientations budgétaires 2014 Conseil municipal du 4 novembre 2013 1 1. Un contexte économique toujours aussi tendu 2 Les éléments de contexte 2014 : année électorale Des inconnues avec les réformes

Plus en détail

6.0 Dépenses de santé et situation budgétaire des gouvernements provinciaux et territoriaux

6.0 Dépenses de santé et situation budgétaire des gouvernements provinciaux et territoriaux 6.0 Dépenses de santé et situation budgétaire des gouvernements provinciaux et territoriaux En 2013, on prévoit que les dépenses de santé des gouvernements provinciaux et territoriaux atteindront 138,3

Plus en détail

Ce projet de loi fixe un plafond pour le budget de la Défense et un plancher pour le budget de l Aide internationale.

Ce projet de loi fixe un plafond pour le budget de la Défense et un plancher pour le budget de l Aide internationale. NOTES EXPLICATIVES Ce projet de loi crée les Forces d autodéfense du Québec. Il vise à modifier la politique québécoise de défense nationale dans le sens d une renonciation au droit de belligérance, sauf

Plus en détail

«Mécanismes» et contraintes budgétaires

«Mécanismes» et contraintes budgétaires Ville de Viry-Châtillon / Bilan 2008 2013 et prospective financière 2014-2020 Intervention du 25 septembre 2014 87 rue St-Lazare I 75009 Paris Tél. 01 55 34 40 00 I Fax 01 40 41 00 95 Mail : fcl@fcl.fr

Plus en détail

ASSEMBLÉE NATIONALE 3 novembre 2014 AMENDEMENT

ASSEMBLÉE NATIONALE 3 novembre 2014 AMENDEMENT ASSEMBLÉE NATIONALE 3 novembre 2014 PLF POUR 2015 - (N 2234) Commission Gouvernement Adopté AMENDEMENT présenté par le Gouvernement ---------- ARTICLE ADDITIONNEL N o II-464 (2ème Rect) APRÈS L'ARTICLE

Plus en détail

Inscriptions au trimestre d automne 2012 : quelques observations

Inscriptions au trimestre d automne 2012 : quelques observations Inscriptions au trimestre d automne 2012 : quelques observations Légère hausse des inscriptions Au trimestre d automne 2012, 294 911 étudiantes et étudiants se sont inscrits dans les universités québécoises,

Plus en détail

TransÉnergie Gestion de projet durant la construction et contrôle de la qualité

TransÉnergie Gestion de projet durant la construction et contrôle de la qualité Évolution du budget de réalisation du projet de la 11 e Chute Description du poste budgétaire Coût de construction (incluant ingénierie pour construction) Budget étude d'impact Budget révisé août 2014

Plus en détail

Statistiques des bibliothèques publiques du Québec : reflet actualisé d un réseau en constante évolution

Statistiques des bibliothèques publiques du Québec : reflet actualisé d un réseau en constante évolution Statistiques des bibliothèques publiques du Québec : reflet actualisé d un réseau en constante évolution Prendre la mesure de sa bibliothèque 9 mars 2012 Benoit Allaire, Observatoire de la culture et des

Plus en détail

RIGUEUR RESPONSABILITÉ DANS LA GESTION DES DÉPENSES

RIGUEUR RESPONSABILITÉ DANS LA GESTION DES DÉPENSES RIGUEUR ET RESPONSABILITÉ DANS LA GESTION DES DÉPENSES RIGUEUR ET RESPONSABILITÉ DANS LA GESTION DES DÉPENSES «... des choix plus rigoureux et responsables s imposent.» Rigueur et responsabilité dans

Plus en détail

CIRCULAIRE CDG90. Loi n 84-53 du 26 janvier 1984 modifiée portant di spositions statutaires relatives à la fonction publique territoriale ;

CIRCULAIRE CDG90. Loi n 84-53 du 26 janvier 1984 modifiée portant di spositions statutaires relatives à la fonction publique territoriale ; 13/1013/10 CIRCULAIRE CDG90 15/10 LE COMPTE EPARGNE-TEMPS Loi n 84-53 du 26 janvier 1984 modifiée portant di spositions statutaires relatives à la fonction publique territoriale ; Décret n 2004-878 relatif

Plus en détail

PASSEPORT INNOVATION Guide de présentation des demandes Janvier 2015

PASSEPORT INNOVATION Guide de présentation des demandes Janvier 2015 PASSEPORT Guide de présentation des demandes Janvier 2015 Le présent document a été produit par le ministère de l Économie, de l Innovation et des Exportations Coordination et rédaction Direction du soutien

Plus en détail

COLLOQUE ANNUEL DU CONSEIL DES SYNDICS DE FAILLITE

COLLOQUE ANNUEL DU CONSEIL DES SYNDICS DE FAILLITE COLLOQUE ANNUEL DU CONSEIL DES SYNDICS DE FAILLITE M. Marcel Turgeon Directeur de la Direction principale des services administratifs et techniques M e Nancy Morency Directrice adjointe de la Direction

Plus en détail

Marché : N DAF/AUDIT COMPT FINANCIER/18-08

Marché : N DAF/AUDIT COMPT FINANCIER/18-08 ROYAUME DU MAROC AGENCE POUR LA PROMOTION ET LE DEVELOPPEMENT ECONOMIQUE ET SOCIAL DES PREFECTURES ET POVINCES DU NORD DU ROYAUME... Marché : N DAF/AUDIT COMPT FINANCIER/18-08 OBJET : L AUDIT COMPTABLE

Plus en détail

BOURSES SCOLAIRES ET PRISE EN CHARGE

BOURSES SCOLAIRES ET PRISE EN CHARGE MARS 2010 BOURSES SCOLAIRES ET PRISE EN CHARGE Aout 2012 Une information de notre partenaire Texte phare de la session parlementaire extraordinaire convoquée en juin dernier par le nouveau président de

Plus en détail

Compte d opérations monétaires. Pertes et bénéfices de change

Compte d opérations monétaires. Pertes et bénéfices de change Compte d opérations monétaires Pertes et bénéfices de change Note d analyse de l exécution budgétaire 2014 2 COUR DES COMPTES Pertes et bénéfices de change LFI Exécution 1 Ecart Recettes 25 M 19,3 M -5,7

Plus en détail

RÉSUMÉ DES MESURES FISCALES DU BUDGET DU QUÉBEC DU 26 MARS 2015

RÉSUMÉ DES MESURES FISCALES DU BUDGET DU QUÉBEC DU 26 MARS 2015 LE RÉSEAU DES SERVICES DE COMPTABILITÉ ET DE FISCALITÉ DE L'UPA RÉSUMÉ DES MESURES FISCALES DU BUDGET DU QUÉBEC DU 26 MARS 2015 AVIS Prenez note que les mesures fiscales du budget du Québec ne sont pas

Plus en détail