République Centrafricaine

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1 République Centrafricaine EVALUATION RRM RCA Site des déplacés du village de Gbabiro, Sous-Préfecture de Bossangoa, Préfecture de l Ouham. Enfants des ménages déplacés sur le site de Gbabiro Le 18 Février 2015 Rapport d évaluation ACTION CONTRE LA FAIM Quartier Sissongo, SICA 1 Bangui, RCA

2 RECOMMANDATIONS INTRODUCTION OBJECTIFS DE L EVALUATION DATES DE LA VISITE METHODOLOGIE COUVERTURE GEOGRAPHIQUE ET LOCALISATION DES ZONES D EVALUATION LIMITES DE L EVALUATION RESULTATS CONTEXTE LE CHOC ET SES CONSEQUENCES EN TERMES DE DEPLACEMENT DE POPULATION ABRIS ET BIENS NON-ALIMENTAIRES (NFI) EAU, ASSAINISSEMENT ET HYGIENE SANTE ET NUTRITION SECURITE ALIMENTAIRE EDUCATION PROTECTION ANNEXE 1. METHODOLOGIE D EVALUATION ANNEXE 2. DONNEES POINTS D EAU ANNEXE 3. DONNEES EDUCATION

3 RECOMMANDATIONS Abris/NFI Effectuer une distribution NFI pour les ménages déplacés de Gbabiro. Action planifiée : ACF RRM Sécurité Alimentaire Assistance alimentaire d urgence (ration de 15 jours) pour les populations du village de Gbabiro. Action planifiée : Aucune EAH Réhabiliter le seul forage (soufflage+ changement des pièces d usures) du village ; Aménagement de la source d eau ; Construction des blocs de latrines d urgence pour les déplacés de Gbabiro ; Activités de promotion d hygiène dans le village. Action planifiée : ACF - RRM Santé Mise en place d une clinique mobile dans le village de Gbabiro. Action planifiée : Aucune 1. INTRODUCTION 1.1. OBJECTIFS DE L EVALUATION Mener une évaluation multisectorielle rapide RRM sur le site des déplacés du village de Gbabiro, dans la commune de Ben-Zambé, Sous-Préfecture de Bossangoa, Préfecture de l Ouham DATES DE LA VISITE L évaluation s est déroulée le 18 Février METHODOLOGIE L évaluation RRM s est basée sur la méthodologie standard d évaluation RRM en RCA. Elle s est donc organisée autour de la collecte de données quantitatives et qualitatives, à travers des groupes de discussions, des entretiens avec des informateurs clés et une enquête auprès de 100 ménages déplacés du site. Les informations recueillies auprès des différentes sources ont ainsi pu être confirmées et validées par plusieurs acteurs communautaires de référence. Voir Annexe 1 pour plus d information sur la méthodologie. 3

4 1.4. COUVERTURE GEOGRAPHIQUE ET LOCALISATION DES ZONES D EVALUATION Cette évaluation RRM a couvert le village de Gbabiro situé, dans la préfecture de l Ouham, sous-préfecture de Bossangoa, commune de Ben-Zambé (Lat. 6, N Long. 17, E). Zone de l'évaluation RRM : Village de Gbabiro Fig. 1. Carte de la couverture géographique de l évaluation RRM 1.5. LIMITES DE L EVALUATION L évaluation RRM est basée sur des outils multisectoriels standards. Les résultats de cette évaluation sont utilisés pour identifier des besoins humanitaires d urgence immédiats. Il est suggéré d effectuer des enquêtes plus approfondies afin de disposer d informations 4

5 plus précises sur des secteurs particuliers tels que la santé, la mortalité, et l état psychologique de ces populations. 2. RESULTATS 2.1. CONTEXTE Le village Gbabiro se situe dans la commune de Ben-Zambé, sous - préfecture de Bossangoa dans la préfecture de l Ouham. Il est à 50 km de la ville de Bossangoa en allant sur l axe Bossangoa-Batangafo. Sa population est estimée à 500 personnes, soit environ 100 ménages. La présence des groupes armés non identifiés dans les localités environnantes semblent avoir déstabilisé la zone. Selon des informateurs clés, le conflit aurait fait une dizaine de morts aux mois de janvier et février 2015, provoqué des pillages, des destructions massives ainsi que des mouvements de populations importants. Le village ne dispose d aucune structure sanitaire. En cas de maladie, les ménages se rendent au centre de santé de la ville de Bossangoa à plus de 50 km pour recevoir des soins. La seule pompe du village de type India mark II est non fonctionnelle, toute la population s approvisionne auprès de sources d eau non aménagées dont les conditions hygiéniques sont alarmantes. L accès à l assainissement est déplorable dans la zone. Aucun ménage n a accès à des latrines hygiéniques, 48 % des ménages utilisent des latrines non-hygiéniques 1 et 52% pratiquent la défécation à l air libre. Aucun poste avancé de la MINUSCA, la SANGARIS ou de la gendarmerie ni de groupe d auto-défense n est présent sur la zone LE CHOC ET SES CONSEQUENCES EN TERMES DE DEPLACEMENT DE POPULATION Les ménages déplacés au village de Gbabiro viennent de 04 villages ayant subis les chocs suivants : Le 08 janvier 2015, le village Ngbada est attaqué par un groupe armé. Le bilan fait état de 03 morts, ¾ des maisons brulées, les populations ayant fui le village (558 personnes / 112 ménages) ont reporté le pillage et la destruction systématique de biens. Le 22 Janvier 2015, le village Bezanga se fait attaquer à son tour suite au passage d un groupe armé dans le village, 04 personnes sont tuées, la majorité des maisons du village sont brulées et toute la population (372 personnes / 74 ménages) a trouvé refuge dans le village de Gbabiro. Le 10 Février 2015 : Ce même groupe armé entre dans le village Bomanda, tuant 02 personnes et pille les biens de la population. Une partie de la population se trouve dans la brousse et les autres ont trouvé refuge sur le site de Gbabiro. Le 12 Février 2015 : un groupe armé venu de Bomanda attaque le village Ouham-Fafa, 01 personne a été tuée, les maisons sont incendiées. Une partie de la population (500 personnes / 100 ménages) est à Gbabiro et les autres sont encore dans la brousse, cherchant la possibilité de rejoindre le camp de Gbabiro. 1 Latrines non hygiéniques : présence de mauvaises odeurs, de mouches/cafards, matière fécale au sol 5

6 Zone de chocs Gbabiro de 3,5m 2 par personne). Fig. 2. Carte de mouvement des populations 6

7 2.3. ABRIS ET BIENS NON-ALIMENTAIRES (NFI) ABRIS Sur le site de Gbabiro, 72% de ménages vivent dans le camp et 26% des ménages déclarent vivre sans abris. Ils affirment passer la nuit dehors à même le sol. Globalement, l espace pour chacun y est suffisant (5,1 m 2 par personne), au-dessus des standards Sphère. BIEN NON-ALIMENTAIRES (NFI) L étude de la vulnérabilité des déplacés au site de Gbabiro se base notamment sur l évaluation de la disponibilité de certains biens-non alimentaires via l utilisation du score NFI comme indicateur. La situation en termes de NFI est très préoccupante pour la population déplacée de Gbabiro avec un score NFI de 4,6 ce qui est très au-dessus du seuil d urgence (3,5). Le score de chaque article NFI est au-dessus du seuil d urgence, en particulier pour les couvertures, moustiquaires, seaux et bidons, qui ont un score supérieur à 4,5 (le score le plus inquiétant étant 5). En effet, ces biens auraient été perdus lors des incendies de maisons subis pendant les différents chocs qu ont connus les déplacés dans leurs villages d origine. Actuellement, les ménages déplacés n ont pas la possibilité d acheter les articles perdus, la priorité de leurs dépenses étant tournées vers l achat de biens de consommation alimentaire. Graph 1. Score NFI de la population Gbaguiro Habit enfant - complet 4,4 Couverture et Drap 4,7 Moustiquaire 4,9 Couchage (natte, matelat) 4,3 Seau 4,8 Casserole 4,3 Bidon Score Total 4,6 4,6 3,8 4,0 4,2 4,4 4,6 4,8 5,0 Score (5=plus inquietant) 2.4. EAU, ASSAINISSEMENT ET HYGIENE La situation en termes d EAH (Eau, Assainissement et Hygiène) sur le site est très préoccupante et mérite une attention particulière. En effet, l accès à l eau sur le site se fait à travers 02 sources d eau non aménagées et 01 puits ouvert. Le niveau entretien de 7

8 ces points d eau n est pas bon ce qui constitue une menace permanente de contamination de ces eaux de consommation. Concernant l assainissement, aucun ménage n a accès à des latrines hygiéniques. Le taux de diarrhée chez les enfants de moins de 5 ans au cours des 2 dernières semaines n est pas très inquiétant. Il est de 25% contre 21,8% dans l Ouham en , taux bien en dessous du seuil d urgence (45%). Cependant ce pourcentage pourrait augmenter avec la durée des déplacés sur le site. EAU L accès à l eau potable des populations déplacées reste problématique. Toute la population s approvisionne auprès de 02 sources d eau non aménagées et 01 puits traditionnel ouvert hors du village à plus d un kilomètre. Le seul forage équipé d une Pompe Manuelle Hydraulique India Mark II est installé à 500 m du site mais non fonctionnel par manque d artisan réparateur et du fait de l indisponibilité des pièces de rechanges. Les 02 sources d eau visitées par l équipe d évaluation ne sont pas bien entretenues, du fait notamment de la présence de boue, touffes d herbe, etc. Aucun ménage n a un accès aisé en distance (<500 m) ou en temps (<15min) à une ressource d eau protégée. Toutes la population parcourt plus d un kilomètre pour aller chercher de l eau soit à la source aménagée soit à celles non aménagées. ASSAINISSEMENT La situation en termes d assainissement pour les déplacés n est pas satisfaisante. En effet, aucune latrine amélioré et hygiénique n existe sur le site et dans le village d accueil de Gbabiro. 48% des ménages déplacés ont accès à des latrines non-hygiéniques et les 52% restant pratiquent la défécation à l air libre dans la brousse. Le problème semble être structurel car, en dans l Ouham 68,1 % des ménages pratiquaient la défécation à l air libre. HYGIENE Seulement 9% des ménages déplacés du site déclarent se laver les mains avec du savon ou de la cendre, mais aucun d eux n en disposait dans son ménage pour le lavage des mains au moment de l évaluation. L indisponibilité de l eau de qualité à proximité impacte négativement sur l hygiène corporelle et l hygiène vestimentaire des populations de Gbabiro. Néanmoins, malgré ces conditions d hygiènes difficiles, le pourcentage d enfants de moins de 05 ans atteints de diarrhée n est pas inquiétant, 25 % des enfants de moins de 5 ans ont eu la diarrhée au cours des 15 derniers jours, bien en dessous du seuil d urgence de 45% mais au-dessus des 21,8%, relevé dans la Préfecture de l Ouham en 2010 (MICS 2010) SANTE ET NUTRITION La situation sanitaire des personnes déplacées du site Gbabiro semble être sous-contrôle. En effet, la population déplacée du site est couverte par une clinique mobile organisée par MSF à Ben-Zambé (à 8 km du village de Gbabiro) tous les mercredis en quinzaine. La prise en charge sanitaire est gratuite. L équipe d évaluation n a pas eu accès aux données sanitaires lors de leur passage sur zone. MORTALITE Aucun enfant de moins de 5 ans n a trouvé la mort sur le site. Les 10 cas de mort dont 1 enfant de 2 mois sont hors du site au moment du choc. Ces cas de morts enregistrés concernent des adultes (décès à l arme blanche et par balles). 2 MICS

9 MORBIDITE En l absence de poste de santé et du fait que l équipe n a pas eu accès aux données de la clinique mobile MSF à Ben-Zambé durant le temps imparti pour l évaluation, le nombre de nouveaux cas de maladie pour 1000 personnes par mois n est pas disponible. Cependant, les enquêtes ménage ont relevés les taux de 25 % de diarrhée, 48 % de paludisme et 58 % d infections respiratoires chez les enfants de moins de 5 ans ces 15 derniers jours avant l évaluation. Le taux de paludisme est au-dessus des 42,2 % observé dans l Ouham en NUTRITION L équipe d évaluation n a pas eu accès aux données nutritionnelles de MSF pour le village de Gbabiro. Néanmoins au moment de l évaluation, le statut nutritionnel des 51 enfants de 0 à 59 mois appartenant aux 100 ménages enquêtés a été évalué à travers la prise du Périmètre Brachial (PB) et des œdèmes. 1 enfant a été dépistés MAS et 1 enfant MAM SECURITE ALIMENTAIRE Pour les populations de Gbabiro, les différents chocs connus ont eu potentiellement un impact important sur leur situation en termes de sécurité alimentaire. Ces populations déclarent avoir perdu leurs semences et outils agraires. De plus, une partie des récoltes ont été incendiées dans leurs maisons. En ce qui concerne l élevage, les troupeaux ont été pillés pendant les différents chocs. Le score de consommation alimentaire est de 20, ce qui le classe dans le groupe faible. 96 % des ménages interrogés déclarent n avoir de réserves alimentaires que pour une semaine et moins. L accès aux protéines d origine animale est indisponible sur le marché selon les sources d information. On y retrouve également le manioc, l arachide, le riz mais les déplacés éprouvent des énormes difficultés pour s en procurer. PERSPECTIVES AGRICOLES ET COMMERCIALES La prochaine saison de semis risque d être difficile, les surfaces cultivées pourront être plus réduites et destinées uniquement pour la consommation et non comme sources de revenus. En effet, les populations déplacées ayant perdu leurs outils agricoles, ne seront plus à mesure d emblaver de grandes étendues. Pendant les différents chocs, les stocks de semences ont également été perdus dans les maisons et greniers qui ont été incendiées. Les populations fréquentent de moins en moins leurs champs, elles craignent les multiples incidents sécuritaires causés par le groupe armé présent sur la zone. La dégradation des axes routiers menant sur Ben-Zambé, ainsi que les conditions sécuritaires fragiles sur ses axes n attirent plus les commerçants qui achetaient les productions locales. Il est actuellement observé une difficulté à vendre et une réduction des prix de produits agricoles (le prix du manioc a diminué d environ 50%). Cette situation représente un manque à gagner pour les populations locales. Selon les résultats de l enquête ménages, seulement 2 % des ménages interrogés déclarent avoir accès à une terre cultivable. 42 % des ménages travaillent comme journalier pour subvenir à leurs besoins. CONSOMMATION ALIMENTAIRE La consommation alimentaire est mesurée via le score de consommation alimentaire, qui est un score composite basé sur la diversité du régime alimentaire et la fréquence de consommation d'aliments. Comme présenté dans le tableau 1 ci-dessous les indicateurs de sécurité alimentaire de la population à Gbabiro sont inquiétants. 73% d entre eux ont un score de consommation alimentaire considéré comme pauvre (contre 7,8% dans la 3 MICS

10 préfecture de l Ouham en ). Tandis que 22% se situent dans le groupe de consommation limite et seulement le 5 % dans le groupe acceptable. Tableau 1. Répartition des ménages déplacés en fonction de leur groupe de consommation alimentaire en % Groupe de Consommation Alimentaire Villages de Gbabiro Pauvre (0-24,5) 73 % Consommation limite (24,5 38,5) 22 % Consommation acceptable (>38,5) 5 % La différence entre le nombre moyen de repas pris par jour avant et après la crise est pour les adultes est de 1,5 et pour les enfants 1,6. Chez les adultes, 81 % des ménages ne prennent qu un repas par jour contre 17 % qui prennent 2 repas et seulement 2 % qui consomment 3 repas et plus par jour. Chez les enfants, 83 % ne prennent qu un repas par jour contre 15 % qui prennent 2 repas et seulement 2 % qui consomment 3 repas et plus par jour. ACCES AUX MOYENS DE SUBSISTANCE L analyse des sources de nourriture montre que les ménages déplacés au site s approvisionnent principalement sur le marché local (48% des sources citées), 2% de la nourriture viennent des propres productions (champs de case), 8% de la chasse, cueillette et pêche, 15% paiement en nature, et 7% des dons offerts par les membres des familles d accueil. En effet, il n y a aucun marché dans le village, le marché le plus proche se situant à Ben-Zambé (à 8km) et a lieu tous les lundis. Le paiement en nature représente la main d œuvre qu offrent certains déplacés en échange d une prestation de service tel que les travaux champêtres pour de la nourriture. 96 % des ménages déclarent avoir des réserves alimentaires pour couvrir leurs besoins d une semaine et moins et 4 % d entredeux peuvent subvenir à leurs besoins pendant deux semaines EDUCATION Il n existe pas d école dans le village de Gbabiro. Par contre au village voisin de Botaré, à 3km en allant vers Bossangoa, il existe une école dont le tiers des salles de classe (soit 1 sur 3) ont les murs détruits et un toit en paille. Elle n est pas occupée par un groupe armé. Voir Annexe 3 pour plus de détails sur les structures scolaires PROTECTION Aucun cas de violence sexuelle n a été rapporté à l équipe d évaluation. Les populations déplacées ne subissent aucune menace pour leur survie et sont libres de tout mouvement dans le village de Gbabiro et à l extérieur. 10

11 ANNEXE 1. MÉTHODOLOGIE D ÉVALUATION L évaluation multisectorielle RRM est basée sur une étude des vulnérabilités des populations touchées par un choc. Différents modules permettent de collectées les données nécessaires la compréhension des dynamiques locales, à l identification des populations en situation de vulnérabilité aigüe et à la préparation à des réponses d urgence. Données de base : Des groupes de discussion et des entretiens individuels sont effectués avec les autorités administratives, sanitaires, éducatives et autre informateurs préférentiels. L équipe effectue un débriefing pour confirmer certaines assertions et approfondir l analyse globale du contexte de la zone. Structure de santé : Des données sont recueillies pour chaque aire de santé qui dessert la zone enquêtée à partir de la formation sanitaire de référence. Malheureusement aucune donnée n est disponible pendant le passage de l équipe d évaluation. Ecole : les écoles de la zone évaluées sont visitées et des entretiens individuels ont lieu avec des informateurs clés pour recueillir des données sur le nombre d enfants inscrits et sur les conditions d enseignements. EAH : Tous les points d eau de la zone évaluée sont répertoriés ainsi que les caractéristiques techniques de chacun. Enquête ménage : 100 questionnaires sont administrés auprès des ménages déplacés pour collecter des données quantitatives sur des indicateurs EAH, Abri et NFI et Sécurité alimentaire et moyens d existence (marge d erreur 6,92% ; Niveau de confiance 95% ; distribution des réponses 50%). La sélection des ménages est effectuée de manière aléatoire autant que possible en utilisant la méthode EPI modifiée. 11

12 ANNEXE 2. DONNÉES POINTS D EAU Tableau. Données EAH Localisation du forage Etat du point d eau Type de point d eau Estimation débit (L/min) Coordonnées GPS Lat. Long. Gbabiro Non Fonctionnel PMH India Mark II NA N E Gbabiro Fonctionnel Source non aménagée ND N E Gbabiro Fonctionnel Source non aménagée ND N E Gbabiro Fonctionnel Puis traditionnel ND ND ND ANNEXE 3. DONNÉES EDUCATION Localisation de la structure Botaré à 3 Km de Gbabiro Nom de la structure Tableau. Données Education Type de structure Nombre de salle de classe Nombre de salle de classe endommagée Ecole mixte de Botaré Public 3 Maison en paille (hangar) Structure occupée par des hommes en armes Non 12

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