le magazine de l accréditation n 52 gros plan 2 ème TRIMESTRE 2012 Contrôle Technique Véhicules Lourds (pages 4 et 5)
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- Bernard Roussy
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1 2 ème TRIMESTRE 2012 n 52 le magazine de l accréditation gros plan Vérification des installations électriques : un domaine toujours sous tension L électricité fait partie intégrante des domaines historiques traités par la section Inspection au Cofrac. Ce domaine a connu des évolutions importantes ces dernières années, évolutions sur lesquelles revient Compétences avec les principaux protagonistes concernés. inspection Contrôle Technique Véhicules Lourds (pages 4 et 5) laboratoires Mise à jour de la politique du Cofrac en matière de CIL (page 9) international Journée Internationale de l Accréditation (pages 10 et 11)
2 édito Le Cofrac «fait peau neuve» L Assemblée Générale du 28 juin prochain sera pour le Cofrac l occasion de célébrer son installation dans ses nouveaux locaux : Carré Daumesnil, 52 rue Jacques Hillairet à Paris (12ème), mais aussi de renouveler son Conseil d Administration. Le sujet des nouveaux locaux a déjà maintes fois été évoqué. J en dirai simplement qu ils correspondent à nos attentes : ils sont fonctionnels, d un bon «standing» mais sans ostentation et vont nous permettre de travailler plus efficacement. J ajoute que leur recherche, leur aménagement et le transfert de la structure permanente ont pu se dérouler de façon optimale grâce à la fois à l excellence de notre maître d oeuvre la société AOS Studley et à l énorme travail réalisé par les équipes du Cofrac (moyens généraux et direction informatique notamment). Tout a pu être réalisé sans que nos activités d accréditation en pâtissent. Un grand merci à tous! Pour ce qui concerne le renouvellement du Conseil d Administration, il s agit à la fois du terme du cycle habituel de 3 ans, mais aussi du terme du 3ème mandat de notre Président, M. François MAUDUIT. En vertu de nos statuts, celui-ci ne peut plus se représenter et le Conseil proposera aux suffrages de l Assemblée Générale le nom de son successeur pressenti. Je profite de l occasion pour souligner combien l action de M. MAUDUIT au cours de ses trois mandats aura été bénéfique pour le Cofrac qui a pu profiter à la fois de sa très grande expérience et de sa disponibilité. J en viens maintenant à la désignation des nouveaux administrateurs qui, une fois encore en application de nos statuts, seront soit élus, soit désignés, selon le collège auquel ils appartiennent. A ce sujet je veux souligner qu il est indispensable que les entités proposant une candidature pour un poste d administrateur soient membres actifs de l Association Cofrac. Cette adhésion est matérialisée par la signature du bulletin d adhésion dont le modèle figure dans la présente publication et par l acquittement d une cotisation annuelle dont le montant reste modique. J ajoute que, d une manière générale, si le nombre d adhérents du collège A (entités accréditées ou leurs groupements) peut être considéré comme satisfaisant, il n en est pas de même pour ce qui concerne le collège B (clients des entreprises accréditées). Une telle situation est préjudiciable à une représentation équilibrée de tous les intérêts concernés au sein de nos instances. J en appelle donc au bon sens, notamment des grandes fédérations industrielles, pour que ce déficit soit rapidement comblé. Il en va de la crédibilité du système français d accréditation qui, aujourd hui, est devenu un acteur incontournable de l Economie. Je ne doute pas que mon appel sera entendu! Daniel Pierre Directeur Général du Cofrac
3 sommaire édito Le Cofrac «fait peau neuve»...p 2 agenda Réunions Cofrac et Internationales...p 3 inspection Contrôle Technique Véhicules Lourds...p 4 et 5 gros plan Vérification des installations électriques...p 6 à 8 laboratoires Mise à jour de la politique du Cofrac en matière de CIL...p 9 international Journée internationale de l'accréditation...p 10 et 11 ressources Nouveaux arrivés au Cofrac...p 12 Nominations...p 12 agenda Réunions Cofrac 14 juin 2012 Comité de section Santé Humaine 15 juin 2012 Comité de section Laboratoires 19 juin 2012 Comité de section Certifications 22 juin 2012 Comité de section Inspection Réunions internationles 27 avril au 5 mai Mid -Term Meetings Francfort 1er Mai 2012 IAF TC Francfort 2 Mai 2012 ILAC ILAC ARC Francfort 3 Mai 2012 ILAC ILAC Inspection Committee Francfort W 28 juin 2012 Conseil d Administration et Assemblée Générale 2 ème TRIMESTRE N 52 Direction de la publication : Daniel Pierre Rédacteur en chef : Laurent Roullot Secrétaire de rédaction : Mireille Atamian Comité de rédaction : Bruno Gaudin, Hélène Mehay, Daniel Pierre, Laurent Roullot, Nathalie Savéant, Carole Toussaint, Fabienne Venant, Karine Vincent, Laurent Vinson. le magazine de l accréditation Abonnement : gratuit. Contact : 52 rue Jacques Hillairet Paris Tél. : Fax : Tirage : 5500 exemplaires, 4 numéros par an. Edité par Cofrac, 52 rue Jacques Hillairet Paris. Conception et réalisation : Everbrand, 183 avenue Clemenceau Nanterre. N ISSN : X Impression : BBI/Actuacolor Neuilly-sur-Marne Crédits photos : Cofrac / Fotolia / Gettyimage. FCBA.
4 inspection Contrôle Technique des Véhicules Lourds* : 6 ans d accréditation Il y a 6 ans, les deux premiers organismes de contrôle véhicules lourds étaient accrédités par le Cofrac. Ce domaine a déjà vécu un cycle complet d accréditation et ses premiers renouvellements en 2010, comme l explique à «Compétences» Franck Sudan, responsable d accréditation en charge de cette activité à la section Inspection. Franck Sudan L activité de contrôle technique des véhicules lourds est régie par l arrêté du 27 juillet 2004 modifié et ses annexes. Sont concernés les véhicules de plus de 3,5 t de PTAC (Poids Total Autorisé en Charge) et leurs remorques, ceux affectés au Transport en Commun de Personnes (TCP) et ceux affectés au Transport de Marchandises Dangereuses (TMD). Dans ce cadre, les premières évaluations d organismes ont été réalisées en décembre 2005, les premiers organismes ont été accrédités en mars 2006 et les premiers renouvellements d accréditation des organismes ont eu lieu en mars Il y a à ce jour 430 installations de contrôle et 730 contrôleurs, répartis dans tous les départements français (outre-mer inclus). Ces 430 installations de contrôle sont partagées entre plus d une centaine de sociétés différentes, allant de l entreprise unipersonnelle exerçant ses activités sur une seule implantation, aux réseaux de contrôle technique (au sens du Code de la Route) qui exercent leur activité dans plus de 100 implantations mobilisant presque 300 contrôleurs. A ce jour, 110 organismes sont accrédités par la section Inspection et quelques autres ont entamé la démarche (a minima, une convention d accréditation a été signée avec le Cofrac). Tous ces acteurs (installations de contrôle, contrôleurs et réseaux) doivent être titulaires d un agrément préfectoral (ministériel pour les réseaux). Rappelons que la règlementation impose que l accréditation pour ce domaine d activité soit obtenue dans un délai d un an à compter de l obtention par l organisme de son agrément préfectoral (ministériel pour les réseaux). Il est à noter que 29% des organismes accrédités ne sont pas des organismes dits de «tierce partie». Ils ont également des activités ou de carrosserie ou de distribution/réparation de véhicules lourds ou de transport. Le processus d accréditation des organismes de contrôle technique des véhicules lourds est précisé dans le document Cofrac INS REF 09 intitulé «Programme d accréditation pour le contrôle technique des véhicules lourds», applicable depuis septembre * par Véhicules Lourds en France, il faut entendre véhicule d un PTAC (poids total autorisé en charge) supérieur à 3,5 tonnes, ce qui comprend notamment les cars et les bus. A contrario, les véhicules d un PTAC de moins de 3,5 tonnes sont considérés comme Véhicules Légers. 4
5 le magazine de l accréditation Ce programme d accréditation apporte certaines précisions quant au processus d évaluation (par exemple deux observations de contrôles techniques réalisés sur chaque implantation évaluée, modalités d échantillonnage des implantations évaluées, coordination avec les Pouvoirs Publics, portée définie, etc.). La version 2005 reprenait dans son intégralité le «Guide EA-5/02 d application de la norme EN sur l inspection récurrente des véhicules à moteur». La dernière évolution de ce document date du 1er août Il a été complètement refondu afin de prendre en considération le déclassement par EA (European co-operation for Accreditation) en document consultatif du document «Guide EA-5/02 d application de la norme EN sur l inspection récurrente des véhicules à moteur», et d adapter le processus d accréditation en prenant en compte le bénéfice du retour d expérience acquis depuis l ouverture à l accréditation de ce domaine. Les principales modifications sont les suivantes : prise en compte des : - Instructions techniques du ministère chargé des transports, - Recommandations techniques poids-lourds, précisions sur: - le type d indépendance de l organisme selon qu il possède des véhicules soumis à l inspection accréditée ou met à disposition des moyens de contrôle, - le processus de supervision des contrôleurs (vis-à-vis des catégories de qualification et des audits de surveillance réalisés dans le cadre réglementaire), - le processus d audit interne (vis-à-vis des audits réalisés dans le cadre réglementaire notamment), - les exigences en termes de suivi des équipements de contrôle, le fait que toute demande d extension est traitée comme une extension majeure ou une demande initiale (y compris les extensions à de nouvelles installations de contrôle), l explication du mode de délivrance par le Cofrac du récépissé pour le dépôt de la demande d agrément préfectoral par l organisme, le rappel de la nécessité de réaliser dans chaque installation de contrôle deux observations d inspection pour un véhicule lourd en visite technique périodique avec des contrôleurs différents, l établissement de règles adaptées pour le dimensionnement des évaluations des organismes comprenant quatre implantations et plus (ajout de temps d évaluation additionnel défini selon le type d évaluation et la taille de l organisme), la transmission des plannings d évaluation et de la copie des courriers de notification de décision au ministère chargé des transports, la mise à jour de la portée d accréditation, avec la précision que celle-ci ne peut se limiter à une catégorie de véhicules du fait de son alignement avec la portée de l agrément délivré. Franck Sudan Responsable d accréditation, section Inspection Points de repère en bref et en chiffres Mars 2006 : premières accréditations 110 organismes accrédités à fin mai installations de contrôles 730 contrôleurs Une activité exercée par des entreprises allant de l EURL aux grands réseaux. 5
6 gros plan Vérification des installations électriques : un domaine toujours sous tension L électricité fait partie intégrante des domaines historiques traités par la section Inspection au Cofrac. Ce domaine a connu des évolutions importantes ces dernières années, évolutions sur lesquelles revient Compétences avec les principaux protagonistes concernés : Carole Toussaint, Directrice de la section Inspection ; Philippe Cassan, Chargé de mission Développement ; Frédéric Bourgeois et Loïc Le Saux, tous deux Responsables d accréditation au sein de la section Inspection en charge de la gestion de ces domaines. Carole Toussaint Loïc Le Saux «Historiquement, l électricité constitue une activité fondatrice pour l accréditation rappelle Carole Toussaint puisqu elle est à l origine de la création de la section Inspection en 1995 en vue de délivrer des accréditations à des organismes d inspection en charge de la vérification de machines dangereuses et d installations électriques au titre de la protection des travailleurs». Il s agit donc d un des tout premiers domaines dans lesquels l accréditation a été délivrée sur la base de textes réglementaires. L accréditation constituait alors un pré-requis pour l obtention d un agrément pour vérifier les installations électriques neuves ou sur mise en demeure de l Inspection du Travail. «La section a vécu avec cet historique jusqu à fin juillet 2010 poursuit Carole Toussaint, une cinquantaine d organismes d inspection étant alors accrédités dans ce domaine. Puis, le décret de 1988 sur lequel reposait largement cette règlementation a été remplacé par une série de 3 décrets à l été 2010, modifiant le Code «Ce domaine fait l objet de nombreuses demandes d organismes de tailles diverses» du Travail et précisant que l agrément disparaissait au profit de la seule accréditation. Dans le même temps, il était établi que les vérifications périodiques des installations électriques seraient elles aussi réalisées par un organisme accrédité si l employeur ne choisit pas de faire réaliser en interne ces contrôles périodiques». Cette transition entre l ancienne et la nouvelle réglementation s inscrit dans le cadre d une révision globale des textes relatifs à de la protection des travailleurs. C est sur cette base que le ministère du Travail a contacté le Cofrac et souhaité développer une accréditation renforcée. Les arrêtés pris en ce sens fin 2011 précisent en effet des exigences classiques propres à l accréditation et y ajoutent une référence propre au domaine technique «avec notamment une procédure particulière consistant en un examen d adéquation technique des rapports de vérification» indique Carole Toussaint. C est sur la base de ce cahier des charges que la section Inspection a travaillé pour rédiger le 6
7 le magazine de l accréditation Philippe Cassan programme d accréditation INS REF 26, travail sur lequel revient Philippe Cassan. «Les travaux de rédaction d un programme d accréditation avaient débuté en 2007 avec la Direction Générale du Travail (DGT) pour les domaines Electricité/Machines dangereuses. C est sur la base de cet existant qu a œuvré un groupe de travail composé de représentants d organismes d inspection (un pour les organismes d inspection de moins de 100 inspecteurs, un pour les organismes d inspection de plus de 100 inspecteurs), de représentants des Pouvoirs Publics et de représentants d organisations syndicales de travailleurs CFDT, CGT et FO). Deux réunions ont permis de finaliser le document qui a été présenté au Comité de la section Inspection de juin 2011 mais n a pu y être validé pour cause de manque de visibilité sur la date de sortie des textes réglementaires attendus». De fait, le décret rendait le dispositif applicable au 1er juillet 2011 mais les arrêtés d application tardaient à paraître. Ils sont finalement parus à la toute fin de l année 2011, certains même à la fin du premier trimestre «C est donc lors de sa réunion de décembre 2011, reprend Philippe Cassan, que le Comité de Section a validé le document, validation qui s est également accompagnée de mises à jour et de création d autres documents (afin d assurer la traçabilité de la phase d examen d adéquation technique notamment) ou encore de l adaptation de l outil informatique». Sans oublier la formation des évaluateurs techniques à l attention desquels une première réunion d harmonisation a eu lieu en février dernier. Cela étant, Carole Toussaint relève que «du fait de la parution tardive des textes, le Comité de Section a souhaité que soit instauré un délai de transition de 3 mois pour l entrée en vigueur des nouvelles dispositions. Ainsi, un organisme évalué entre le 1er février et le 30 avril 2012 n a pu se voir signifier un écart s il avait défini un plan d action pour prendre en compte les exigences du document INS REF 26, ce qui a bien évidemment été expliqué lors de la réunion d harmonisation des évaluateurs techniques précitée». Selon Frédéric Bourgeois, il y a aujourd hui près de 90 organismes d inspection accrédités dans ce nouveau cadre (accréditation seule) et «une vingtaine de dossiers en cours d instruction». «Nous avons également de nombreuses demandes de renseignements en provenance de l Inspection du Travail». Ce qui est confirmé par Loïc Le Saux qui note que «l Inspection du Travail commence à investiguer et à nous faire ses premiers retours de terrain. Nous sommes sollicités pour savoir si tel ou tel organisme est bien accrédité». 7
8 gros plan Frédéric Bourgeois Quant à la typologie des organismes dont les demandes d accréditation sont en cours d instruction, Frédéric Bourgeois mentionne principalement deux catégories : Les sociétés de maintenance qui souhaitent visiblement continuer leur activité de vérification périodique d installations électriques et d appareils de levage. Un grand nombre de petits organismes constitués le plus souvent en sociétés unipersonnelles qui se décident à l occasion de cette opportunité offerte par le nouveau cadre règlementaire. C est le cas notamment d anciens responsables de bureaux de contrôles décidés à se mettre à leur compte, en particulier d ailleurs dans certaines régions (Rhône-Alpes notamment). Concernant l examen d adéquation technique, ajouté au nouveau dispositif désormais en place, ce dernier a lieu systématiquement sur des rapports d inspection émis à l issue des vérifications initiales ou sur demande expresse de l Inspection du Travail. En moyenne estime Frédéric Bourgeois, «l examen d adéquation technique est réalisé au cours d une évaluation sur deux dans le cycle d accréditation d un organisme d inspection». Cet examen consiste en un examen approfondi de 2 rapports d inspection correspondant à certaines typologies d installations illustrant l ensemble des compétences nécessaires pour mener à bien ce type de missions. Autre nouveauté révélée par la mise en place de ce nouveau dispositif : les rapports d inspection des organismes doivent maintenant être émis obligatoirement sous logo Cofrac/Inspection (logotype décliné) ou accompagnés d une référence textuelle à leur accréditation (c est l arrêté du 26/12/2011 relatif aux vérifications ou processus de vérification des installations électriques ainsi qu au contenu des rapports correspondants qui impose cette disposition) et non plus au choix de l organisme comme auparavant. Outre les impacts documentaires déjà évoqués (mise à jours des annexes 2, demandes d extension à formuler par les organismes, programmation des évaluations ), Loïc Le Saux pointe un effet induit de cette nouvelle donne, à savoir la hausse mécanique du «nombre de plaintes arrivant au Cofrac du fait de la disparition de l agrément au profit de la seule accréditation». Mais il s agit là d une tendance (évolution réglementaire aboutissant à la disparition d un agrément au profit d une accréditation directe) connue et qui devrait se répéter dans d autres domaines que celui de la vérification des installations électriques» conclut-il. Laurent Roullot d après les propos recueillis auprès de Frédéric Bourgeois (Responsable d accréditation, section Inspection), Philippe Cassan (Chargé de mission Développement, section Inspection), Loïc Le Saux (Responsable d accréditation, section Inspection), et Carole Toussaint (Directrice de la section Inspection) 8
9 le magazine de l accréditation Mise à jour de la politique du Cofrac en matière de CIL* laboratoires Comme nous l avions évoqué dans le dernier numéro de "Compétences", la mise à jour de la politique du Cofrac en matière de comparaisons interlaboratoires a été approuvée par le Comité de Section Laboratoires de mars Cette mise à jour fait suite à la publication du document ILAC P9 qui définit, au niveau international, les exigences relatives à la participation aux comparaisons interlaboratoires. Une exigence majeure de la politique Cofrac consiste en l'élaboration par le laboratoire d'un plan de participation aux comparaisons interlaboratoires en déterminant les circuits représentatifs de sa portée d'accréditation et en définissant la fréquence de participation découlant d'une analyse de ses besoins. Ainsi lors de la visite d évaluation du laboratoire, le Cofrac examinera le plan de participation aux programmes de comparaisons interlaboratoires en corrélation avec la portée d'accréditation du laboratoire. Cette politique est incluse au 9.5 de la nouvelle version du document LAB REF 02 et sera applicable à partir du 1er mai Un mailing sera envoyé aux responsables des laboratoires accrédités et aux évaluateurs pour informer de la mise à disposition de ce document sur le site internet du Cofrac. Gabriel Boisson Chargé de missions CIL et Formation, section Laboratoires * comparaisons interlaboratoires 9
10 international Journée internationale de l'accréditation Le 9 Juin 2012 aura lieu la cinquième édition de la Journée Internationale de l accréditation, placée cette année sous le signe de la sécurité alimentaire. Peter Unger Président d ILAC Randy Dougherty Président d IAF Nous avons le plaisir d annoncer que la journée mondiale de l accréditation sera célébrée le 9 juin Cette année, le thème portera principalement sur la manière dont l accréditation contribue à mettre à la disposition des consommateurs des aliments sans risque pour la santé et de l eau potable propre à la consommation. Nous avons tous besoin d avoir accès à une quantité suffisante d aliments et d eau qui, au minimum, doivent être à des coûts abordables, adaptés d un point de vue nutritionnel et sans risque pour la santé. Les chaînes d approvisionnement en aliments et en eau évoluent rapidement en raison de facteurs tels que l urbanisation croissante, les progrès techniques en matière de transformation et de traitement, l évolution de la demande et des goûts des consommateurs ou encore la mondialisation permanente. En outre, les consommateurs des pays développés s intéressent de plus en plus à l origine des aliments qu ils mangent ainsi qu à la source de l eau en bouteille ou aux minéraux qu elle contient. Ils se préoccupent également de l impact environnemental ou de l éthique commerciale des produits qu ils consomment. Au vu de ces facteurs, il est essentiel que les consommateurs aient confiance en la sécurité comme en l authenticité des aliments et de l eau qu ils consomment. Cette confiance peut être gagnée grâce à l application de systèmes communs de gestion de la sécurité alimentaire, contrôlés par des politiques d essais et d inspections crédibles, à l intérieur du pays mais aussi au-delà des frontières, «du producteur au consommateur». Un nombre croissant d organismes contrôle la conformité des produits aux normes en fournissant par exemple des services d essais en laboratoire, des mesures d étalonnage, des services d inspection ou des services de certification. C est cependant l accréditation qui établit que ces organismes sont impartiaux et compétents pour fournir ces services. L accréditation couvre plusieurs disciplines tout au long de la chaîne d approvisionnement afin de garantir que les organismes qui contrôlent les acteurs de l industrie alimentaire et de l industrie de l eau sont en mesure de prouver qu ils travaillent selon les normes adéquates. Les laboratoires d essais accrédités sont sollicités pour rechercher des contaminants ou déterminer l authenticité d un produit. Une surveillance et un échantillonnage continus sont nécessaires pour s assurer en permanence que les produits qui quittent l usine sont conformes à ce qui est indiqué sur leur étiquette. Les systèmes de gestion de la sécurité alimentaire sont utilisés par des organismes impliqués dans tous les aspects de la chaîne d approvisionnement en eau et en aliments, afin de démontrer leur capacité à contrôler Vidéo visible sur : 10
11 le magazine de l accréditation les dangers liés à la sécurité jusqu au moment de la consommation. Des audits en matière d hygiène sont régulièrement réalisés par des organismes d inspection accrédités. «les consommateurs des pays développés s intéressent de plus en plus à l origine des aliments» Il existe également de plus en plus de programmes accrédités relatifs au commerce équitable, aux aliments biologiques, au traitement des animaux et à l impact environnemental. Les organismes d accréditation ayant été audités et reconnus comme compétents signent des accords permettant aux certificats et aux résultats couverts par l accréditation d'être reconnus au-delà des frontières nationales. Ces accords, gérés par l International Accreditation Forum (IAF) et l International Laboratory Accreditation Cooperation (ILAC), permettent d éviter d avoir à recourir à des essais, contrôles ou vérifications supplémentaires à l entrée de chaque pays. Ils constituent également pour les administrations une garantie reconnue à l échelle internationale prouvant que le fournisseur respecte les normes en vigueur. À l occasion de la journée mondiale de l accréditation, des événements, campagnes de presse, ateliers et séminaires seront organisés dans plus de 90 pays afin de sensibiliser le public au rôle joué par l accréditation pour garantir des aliments sans risque pour la santé et de l eau potable propre à la consommation. Une brochure promotionnelle dédiée à cette journée est disponible en téléchargement sur les sites Internet d ILAC et d IAF et un court-métrage promotionnel peut être visionné sur la chaîne YouTube de l IAF et de l ILAC Randy Dougherty Président d IAF Peter Unger Président d ILAC international World Accreditation Day 9 June 2012 Accreditation: Supporting safe food and clean drinking water 11
12 W Nouveaux arrivés au Cofrac Poursuivant son développement, le Cofrac a récemment accueilli sept nouveaux collaborateurs. Pierre-Arthur ECOCHARD a rejoint le Pôle Physique- Electricité de la section Laboratoires, en tant que responsable d accréditation. Diplômé de l ENSIM - spécialité capteurs et systèmes de mesures - et d un Mastère Spécialisé Intégration des Systèmes de Management QHSE, il a acquis une première expérience dans les secteurs de l automobile et de la grande distribution. Il intervient sur les dossiers relatifs aux organismes procédant à l'inspection périodique des chronotachygraphes numériques. De formation supérieure en Physique, Maxime ORZEKOWSKA, a rejoint le Pôle Mécanique de la section Laboratoires. Après une première expérience en tant qu ingénieur qualité et métrologie au sein d un laboratoire d étalonnage, il est aujourd hui responsable d accréditation pour les domaines du mesurage de volume, de la débitmétrie liquide et des essais en environnement climatique et mécanique. La section Certifications a intégré Amélie DAMOUR en tant que responsable d accréditation. De formation supérieure en Sciences et Technologies Agroalimentaires, elle a occupé les fonctions de responsable qualité et sécurité au sein d un groupe industriel agroalimentaire pendant plus de 3 ans avant de rejoindre le Cofrac. Elle est en charge des organismes de certification de système de management, notamment dans le secteur de l environnement. Après une formation ingénieur des Techniques des Industries Agricoles et Alimentaires, complétée par une formation supérieure en Environnement, et après une expérience de chargée de mission dans le domaine environnemental, Hélène GIBIERGE a rejoint l équipe de la section Inspection. Responsable d accréditation, elle gère aujourd hui les dossiers dans les domaines de l Environnement et des Services. Le Cofrac a également accueilli deux nouvelles secrétaires : Tiphanie COLLET a rejoint l équipe du Pôle Biologie-Biochimie de la section Laboratoires et Marylise PAYET celle de la section Santé Humaine. Enfin, l équipe d Evaluateurs-Qualiticiens s est étoffée avec l arrivée de Julien FAUTHOUX. Après une formation supérieure en biologie végétale, spécialisée en biologie moléculaire, il a travaillé près de 8 ans au sein du laboratoire A.Bio.C, où il a été ingénieur développement puis responsable technique de l unité de biologie moléculaire. Marina Meunier Responsable recrutement-formation W Nominations Section Inspection : M. Hervé TEPHANY, de la Direction générale de la sécurité civile et de la gestion des crises, a rejoint le comité de la section Inspection en remplacement du Commandant Patrick BAGUET. M. Mathias PIEYRE, Chef de la nomenclature, des émissions industrielles et de la pollution de l eau au sein du service des risques technologiques a rejoint le comité de la section Inspection en remplacement de M. Guy MOTTARD. Section Santé Humaine : Dr Edgar FELLOUS, médecin généraliste et Président du Conseil départemental de la Seine Saint Denis, a été nommé pour siéger au comité de la section Santé Humaine en remplacement du Dr Jean CANARELLI. W A savoir Le Cofrac a emménagé (cf. ci-contre, une photo de l immeuble dans lequel sont également présents l ESA et le CNES) début avril dernier dans ses nouveaux locaux parisiens situés 52 rue Jacques Hillairet (75012)
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