MINISTERE DE LA SANTE ET DE LA LUTTE CONTRE LE SIDA DIRECTION GENRALE DE LA SANTE
|
|
- Monique Pépin
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 MINISTERE DE LA SANTE ET DE LA LUTTE CONTRE LE SIDA DIRECTION GENRALE DE LA SANTE REPUBLIQUE DE COTE D IVOIRE Union - Discipline Travail Termes de références Evaluation de la proposition 2007 pour le soutien de Gavi au Renforcement du Système de Santé de Côte d Ivoire I. CONTEXTE ET OBJECTIFS DE L EVALUATION La Côte d Ivoire a élaboré en 2008, sa première proposition de renforcement de système de santé par GAVI, l Alliance pour la vaccination. Cette proposition qui venait en complément au soutien aux services de vaccination (SSV) dont la Côte d Ivoire bénéficiait depuis 2001, avait pour objectif de : - renforcer les capacités de gestion du personnel de santé de 6 services centraux, 12 Directions Régionales de la Santé et des équipes cadres de 32 Districts Sanitaires de 2008 à 2012 ; - revitaliser 326 ESPC, 24 HG et 8 CHR dans 32 districts sanitaires de 2008 à 2012 ; - améliorer la gestion de l information sanitaire à tous les niveaux de la pyramide sanitaire de 2008 à Cette proposition devrait à terme améliorer la couverture vaccinale dans les 32 districts sanitaires fortement perturbé par la crise socio politique et militaire et contribuer à relever la couverture vaccinale au plan nationale vis-à-vis de l ensemble des antigènes. Cependant la mise en œuvre de la proposition a connu de nombreuses difficultés. Prévue pour couvrir la période de 2008 à 2012, la mise en œuvre n a débuté qu en Elle a connu une interruption de 2011 à 2013, en raison de la crise post-électorale d une part et des irrégularités constatées dans la gestion des fonds d autre part. La signature en 2013 d un aide-mémoire établissant les termes et les procédures nouveaux de la gestion financière des fonds GAVI et la mise œuvre des clauses de cet aide-mémoire a conduit, à la reprise de la coopération financière avec Gavi. Cela s est traduit par le décaissement de la totalité de la subvention en 3 phases : 2013, 2015 et Finalement la proposition RSS 2007 a été mise en œuvre selon trois procédures de gestion différentes. De 2009 à 2011 : les fonds étaient logé à la banque du trésor publique et géré par directement par le Ministère de la Santé à travers la Direction de l Information (DIPE), de la Planification et de l Evaluation qui assurait la mise en œuvre des activités. Un régisseur a été nommé par le Ministère de l Economie et des Finances (MEF) auprès de la DIPE pour la liquidation des dépenses. A cette époque, il n y a avait pas de contrôleur financier désigné par le MEF pour assurer la régularité et la réalité du service fait. Ce contrôle était assuré par l OMS. De 2013 à 2014 : suite à la signature de l aide-mémoire, les fonds ont été transférés dans une banque commerciale et la gestion de la subvention est passée de la DIPE à la Direction Générale de la santé. Les closes de l aide-mémoire ont exigés que la gestion financière de la subvention soit faite selon les procédures de gestion des finances publiques avec la transcription du budget dans la nomenclature budgétaire et l inscription du budget au SIGFIP (Système Intégré de Gestion des Finances Publiques). Ainsi en plus du régisseur un Contrôleur financier a été nommé
2 par le Ministère de l Economie et des Finances. Cette nouvelle procédure était à la fois valable pour le RSS que pour le SSV (Soutient au Services de Vaccination). Devant les difficultés entrainées par ce second mode de gestion quelques modifications ont été apportées. De 2015 à 2016 : devant les difficultés de consommation des fonds aussi bien du RSS que du SSV, le pays a élaboré avec l appui du Secrétariat de Gavi une feuille route dans le cadre de l approche taillé sur mesure. Pour la mise en œuvre de cette feuille de route, la tranche de financement 2015 a été directement versée à l UNICEF qui en a assuré la gestion dans la cadre d un accord tripartite Ministère de la Santé, UNICEF et Secrétariat de Gavi. Les activités sont alors mises en œuvre par la Direction Générale de la Santé et la Gestion financière assurée par l UNICEF selon les procédures de cette organisation partenaire de Gavi. La présente évaluation porte sur l ensemble de la période de gestion de la subvention. L évaluation devra s intéresser à toutes les étapes de la mise en œuvre de la subvention incluant la gestion administrative, fiduciaire et la gouvernance ; la préparation et la soumission des rapports annuels de situation et le suivi des résultats. Cette évaluation permettra d apprécier l atteinte des objectifs formulés dans la proposition du pays ainsi que sa contribution à l amélioration du système de santé. L évaluation devra analyser l influence du contexte politico-social qui a prévalu dans le pays sur la mise en œuvre des activités et son impact sur l atteinte des objectifs. L évaluation permettra d identifier les points forts et les difficultés rencontrées ainsi que leurs causes afin de proposer des améliorations pour l élaboration et la mise en œuvre de la nouvelle proposition de RSS à soumettre à Gavi en septembre II. LES QUESTIONS D EVALUATION L évaluation devrait répondre aux questions suivantes: A. Elaboration, conception et mise en œuvre: 1. Dans quelle mesure la demande de soutien a été élaborée en concertation avec les différents partenaires? 2. Dans quelle mesure le contenu de la demande de soutien de la Côte d Ivoire à Gavi a été : a. Basé sur une évaluation rigoureuse des besoins et des principaux goulots d étranglement du système de santé b. Basé sur un diagnostic réaliste des possibilités du pays pour implanter le programme et en particulier en rapport avec les ressources humaines (quantité et qualifications) requises à tous les niveaux c. Basée sur une complémentarité des activités subventionnées par les différents partenaires. d. Basé sur des liens solides entre les activités planifiées et l amélioration du système de santé en général et du programme de vaccination en particulier. 3. Quel ont été les conséquences de la suspension du programme en 2011, sur la mise en œuvre du programme et l atteinte des objectifs de départ? 4. La re-planification des activités après la période de suspension du programme a- t- elle été pertinente et bien conduite? : a. Comment le processus a t- il été conduit? Quel a été le rôle des partenaires?
3 b. Sur quelles bases les nouvelles activités ont- elles été identifiées? 5. Quel a été l impact des différents changements de procédure de gestion du programme sur la mise en œuvre de la subvention? quels ont été les points forts et les points faibles de chacune de ces procédures? 6. L acheminement des fonds vers l UNICEF a-t-il été une mesure efficace? a. Comment la coordination a été assurée entre l UNICEF et le Ministère? b. Dans quelle mesure les activités des deux unités sont complémentaires (ressources humaines, expertise, rôles) c. Cette mesure a-t- elle permis d accélérer la mise en œuvre des activités et d améliorer l efficience du programme? 7. Quels réaménagements devront entrepris pour permettre une meilleure gestion administrative et financière du programme aussi bien au niveau central qu au niveau déconcentré (régions et districts sanitaire)? B. Efficience: a. Dans quelle mesure les ressources financières ont été utilisées conformément à politique de gestion et de transparence de Gavi et aux dispositions de la procédure nationale de gestion des finances publiques? b. Qu est ce qui aurait pu être fait autrement pour améliorer l efficience? c. Quelles sont les facteurs contextuels qui pourraient expliquer le taux d utilisation des fonds reçus? d. Ya-t-il eu des retards et goulots d étranglement dans la disponibilité des fonds et les flux financiers? A quels niveaux? Quelles en étaient les causes et comment ont-elles étés résolues? C. Résultats: a. Dans quelle mesure les résultats attendus du programme RSS ont été atteints? b. Dans quelle mesure ce type de soutien a une valeur ajoutée par rapport aux autres moyens de financement du système de santé en Côte d Ivoire? A-t-il joué un rôle catalytique? A-t-il été complémentaire? c. Quelles ont été les conséquences inattendues (positives et négatives) du programme de RSS? d. Quelles sont les facteurs contextuels qui pourraient expliquer le niveau d atteinte des résultats? e. Quelles mesures auraient pu être prises pour améliorer l efficacité du programme D. Pérennité: a. Dans quelle mesure les acquis du programme RSS sont durables du point de vue financier et programmatique? E. Leçons pour le futur: a. Quelles sont les leçons importantes qui peuvent être tirées pour permettre : i. Une meilleure conception et mise en œuvre du prochain RSS. ii. Une meilleure procédure de gestion administrative et financière
4 iii. Une révision de la conception, du suivi et de l évaluation des programmes RSS de Gavi en général Les soumissionnaires sont fortement encouragés à proposer des questions supplémentaires. III. METHODOLOGIE Il est attendu que les évaluateurs utilisent une méthode mixte associant les techniques qualitatives (revue documentaire, entretiens structurés, etc.) et quantitative (analyse des sources de données primaires et secondaires incluant ceux de l OMS, EDS, Comptes nationaux ) tout en minimisant les sources potentielles de biais et en garantissant l indépendance de l évaluation. Une triangulation des données est recommandée. Le rapport préliminaire fera l objet d échanges et de discussions avec le GTR élargie aux membres du comité de rédaction de la nouvelle proposition GAVI RSS et les autres parties prenantes du RSS au cours d un atelier de validation après sa réception par la Direction Générale de la Santé. Sept (7) jours après l atelier de validation, les consultants devront produire un rapport final qui prendra en compte les éventuelles observations et recommandations formulées par l atelier de validation. Le rapport sera transmis sur support papier en quatre(4) exemplaires et en version électronique au format PDF à la Direction Générale de la Santé qui assure la coordination du programme RSS Gavi. 3.1 Revue Documentaire: La revue documentaire initiale devrait permettre d affiner les questions de recherche, le contenu des entretiens structurés et l analyse quantitative. Cette revue documentaire doit inclure au minimum : la documentation de Gavi sur le RSS, les requêtes du pays avec ses annexes, les réponses de Gavi à ses requêtes, les rapports de situation annuels, l analyse faite par Gavi de ses rapports, les états financiers du pays, les rapports de progrès. 3.2 Les entretiens structurés: Les entretiens structurés doivent être entrepris avec les personnes/organisations suivantes: les cadres du Ministère de la santé incluant (DGS, DCPEV, DAF,..), du Ministère de l Economie et des Finances et du Budget. Les partenaires locaux du programme RSS (OMS, UNICEF, ONG, bilatéraux,..), et toute autre personne chargée de la mise en œuvre à tous les échelons du système de santé. La liste finale des personnes à interviewer sera établie ultérieurement en concertation avec le comité de suivi de l évaluation. 3.3 Visites sur le terrain: Il est aussi attendu que les évaluateurs entreprennent des visites sur le terrain dans un certain nombre des districts sanitaire ayant bénéficié du soutien du programme RSS. Ces visites permettront de vérifier l exécution physique des activités financées sur les fonds Gavi/RSS et aussi d apprécier le niveau d atteinte des indicateurs de santé dans les régions et districts sanitaires concernés. Une attention particulière devra être portée sur les obstacles à la pérennité. Pour ce faire, des séances d entretien seront réalisées avec certaines équipes cadres des districts et des directions régionales de la santé. La sélection des districts à visiter devra tenir compte entre autre de la nature des activités soutenues par le programme RSS et du volume des ressources allouées. Les soumissionnaires auront à faire une proposition comprenant d autres critères à utiliser et un choix préliminaire des districts à visiter. Cette liste sera ultérieurement finalisée en concertation avec le comité de suivi de l évaluation une fois le processus d adjudication terminée. Les visites de terrains devront se faire en dix (10) jours calendaires.
5 3.4 Profil de l Equipe d Evaluation L évaluation sera réalisée par un cabinet indépendant qui doitavoir le profil suivant : Consultant sénior Le consultant sera indépendant dans la conduite de sa mission. Le consultant aura pour tâches d assurer la collecte des informations, l analyse l interprétation et la confection des rapports de l évaluation. Pour la conduite de cette mission, il aura en charge d identifier les compétences requises pour une bonne réalisation de cette analyse, ainsi que de l identification de toute personne auprès de qui il pourra collecter des données. Si nécessaire, le consultant pourra solliciter les services du Ministère en charge de la Santé pour faciliter la communication avec les parties prenantes. Il doit avoir les compétences suivantes : 1) Avoir au moins un diplôme troisième cycle (Masters Degree) ou tout diplôme équivalent en santé publique 2) Avoir une expérience d au moins 10 ans en matière de suivi et évaluation de programme de santé en Afrique subsaharienne, de préférence en Afrique de l Ouest. 3) Avoir une bonne connaissance dans l évaluation des programmes Gavi RSS 4) Avoir une bonne connaissance des programmes élargis de vaccination en Afrique subsaharienne. 5) Avoir une bonne connaissance du système de soumission et de la mise en œuvre des subventions de GAVI. 6) Avoir une bonne connaissance de la Côte d Ivoire, surtout de ces régions sanitaires 7) Avoir une bonne maitrise de la langue française (écrit et parle) 8) Avoir une bonne maitrise de l outil informatique 9) Être capable de travailler et produire des résultats complexes dans les délais assignés 10) Être Capable d intégrer les perspectives parfois contradictoires des parties prenantes à Expert national en santé publique L expert national en santé publique travaillera en étroite collaboration avec le consultant international, et devra avoir les compétences suivantes : 1) Avoir un diplôme en santé publique 2) Avoir une expérience une expérience d au moins 5 ans en matière de suivi et évaluation de programme de santé 3) Avoir une bonne connaissance des activités du programme élargi de vaccination en Côte d Ivoire 4) Expérience en analyse de données qualitative et quantitatives, d'analyse des tendances et interprétations 5) Avoir une bonne maitrise de la langue française (écrit et parle) 6) Avoir une bonne maitrise de l outil informatique 7) Être capable de travailler et produire des résultats complexes dans les délais assignés 8) Être Capable d intégrer les perspectives parfois contradictoires des parties prenantes à Expert national économiste de la santé
6 L expert national en économie de la santé travaillera en étroite collaboration avec le consultant international, et devra avoir les compétences suivantes : 1) Avoir un diplôme en économie de la santé 2) Avoir une expérience d au moins 5 ans en matière de suivi et évaluation de programme de santé 3) Expérience dans les évaluations de la qualité des données et de la surveillance épidémiologique pour les programmes élargis de vaccination. 4) Expérience d analyse de données qualitative et quantitatives, d'analyse des tendances et interprétations. 5) Avoir une bonne maitrise de la langue française (écrit et parle) 6) Avoir une bonne maitrise de l outil informatique 7) Être capable de travailler et produire des résultats complexes dans les délais assignés 8) Être Capable d intégrer les perspectives parfois contradictoires des parties prenantes à Expert national en finance publique L expert national en finance publique travaillera lui aussi en étroite collaboration avec le consultant international, et devra avoir les qualifications suivantes : 1) Être titulaire d un diplôme universitaire équivalent à Bac +5 en sciences de gestion, économie de la santé, ou tout autre domaine équivalent 2) Avoir de l expérience de terrain dans le domaine de la gestion financière des programmes de santé 3) Avoir une bonne compréhension de la gestion des finances publiques en Côte d Ivoire 4) Expérience d analyse de données qualitative et quantitatives, d'analyse des tendances et interprétations. 5) Avoir une bonne maitrise de la langue française (écrit et parle) 6) Avoir une bonne maitrise de l outil informatique 7) Être capable de travailler et produire des résultats complexes dans les délais assignés 8) Être capable d intégrer les perspectives parfois contradictoires des parties prenantes à
1. ANTÉCÉDENTS ET JUSTIFICATION
REPUBLIQUE DU NIGER MINISTERE DE LA SANTE PUBLIQUE SECRETARIAT GENERAL DIRECTION DES ARCHIVES INFORMATION DOCUMENTATION ET RELATIONS PUBLIQUES TERMES DE RÉFÉRENCE POUR LE RECRUTEMENT D UN ASSISTANT TECHNIQUE
Plus en détailVIIème Congrès international FATO Yamoussoukro 2013
VIIème Congrès international FATO Yamoussoukro 2013 Thème: Accessibilité et financement des services de santé en Afrique Subsaharienne: le cas de la Côte d Ivoire Proposé par FOFANA MEMON, Doctorant en
Plus en détailTERMES DE REFERENCE POUR PRESTATAIRE INDIVIDUEL ET CONSULTANT
TERMES DE REFERENCE POUR PRESTATAIRE INDIVIDUEL ET CONSULTANT Titre: Consultance pour l élaboration de la Base de données communautaires pour la santé et formation des administrateurs/formateurs Type de
Plus en détailACCOMPAGNEMENT A LA CERTIFICATION ISO 9001 DE L AGENCE POUR LA RECHERCHE ET L INNOVATION EN CHAMPAGNE-ARDENNE - CARINNA
1 APPEL D OFFRES ACCOMPAGNEMENT A LA CERTIFICATION ISO 9001 DE L AGENCE POUR LA RECHERCHE ET L INNOVATION EN CHAMPAGNE-ARDENNE - CARINNA JUILLET 2013 2 1. OBJET DE L APPEL D OFFRE Réalisation d un accompagnement
Plus en détailPLACE DE L ASSURANCE PRIVEE DANS LA MISE EN ŒUVRE D UNE ASSURANCE MALADIE DITE UNIVERSELLE
PLACE DE L ASSURANCE PRIVEE DANS LA MISE EN ŒUVRE D UNE ASSURANCE MALADIE DITE UNIVERSELLE 37 ème Assemblée Générale de la FANAF YAOUDE (CAMEROUN) 23-28 Février 1 ASSURANCE MALADIE 2 - Un des principaux
Plus en détailConsultation sur le projet de mise à jour des indicateurs PEFA, 7 août 2014
Consultation sur le projet de mise à jour des indicateurs PEFA, 7 août 2014 Madame, Monsieur Le Programme «Dépenses publiques et Responsabilité financière» (PEFA), lancé en 2001, a mis en place un cadre
Plus en détailREVUE DE LA DEFENSE DU BURUNDI : LEÇONS TIREES
REVUE DE LA DEFENSE DU BURUNDI : LEÇONS TIREES Juin 2014 TABLE DES MATIERES REMERCIEMENTS... iii CARTE DU BURUNDI... iv SIGLES ET ABREVIATIONS... v RESUME EXECUTIF... vii CHAPITRE I : INTRODUCTION...
Plus en détailDÉCISIONS À PRENDRE AVANT DE COMMENCER
CHAPITRE 2 DÉCISIONS À PRENDRE AVANT DE COMMENCER Ce chapitre s adresse aux directeurs de programme, à leurs partenaires nationaux, aux coordinateurs d enquête et au personnel technique. Il vous aidera
Plus en détailDROIT, ÉCONOMIE & GESTION MASTER DROIT DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES. Collectivités littorales. www.univ-littoral.fr
DROIT, ÉCONOMIE & GESTION MASTER DROIT DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES Collectivités littorales www.univ-littoral.fr OBJECTIFS DE LA FORMATION Face à la complexification des règles et des procédures juridiques
Plus en détailMAQUETTE GENERALE MASTER DIDL.
MAQUETTE GENERALE MASTER DIDL. PROGRAMME DE FORMATION AU MASTER EN «DECENTRALISATION ET INGENIERIE DU DEVELOPPEMENT LOCAL» DE BAMAKO 2009-2010 Ministère de l Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique
Plus en détailsommaire L organisation et la gestion des archives d entreprise...7
sommaire La formation continue à l EBAD... 3 Niveau i... 4 La chaine de traitement archivistique... 4 Initiation aux techniques documentaires... 5 Organisation et gestion des bibliothèques... 6 Niveau
Plus en détailMINISTERE DES POSTES, DES TELECOMMUNICATIONS ET DES NOUVELLES TECHNOLOGIES ET DE LA COMMUNICATION
MINISTERE DES POSTES, DES TELECOMMUNICATIONS ET DES NOUVELLES TECHNOLOGIES ET DE LA COMMUNICATION Central African Backbone Communication Infrastructure and Technology CAB CIT Congo Projet N IDA 49740 CG
Plus en détailCas de la Plateforme du Niger
Plateformes Nationales de Dialogue entre Acteurs pour l Adaptation de l Agriculture au Changement Climatique Cas de la Plateforme du Niger M me HIMA Fatimatou, Plateforme Paysanne/Niger avril 2013 UNE
Plus en détailPatrick K. N'Gouan TRESOR PUBLIC EN CÖTE D'IVOIRE. Des origines ä nos jours. Preface de Joseph Y. Yao
Patrick K. N'Gouan TRESOR PUBLIC ET POLITIQUE FINANCIERE EN CÖTE D'IVOIRE Des origines ä nos jours Preface de Joseph Y. Yao L'Harmattan TABLE DES MATIERES Avant-propos 7 Preface 9 Sigles et abreviations
Plus en détailCouverture du risque maladie dans les pays en développement: qui doit payer? (Paris, 7 mai 2008)
Couverture du risque maladie dans les pays en développement: qui doit payer? (Paris, 7 mai 2008) Excellences, Chers collègues, Mesdames et Messieurs, Chers amis, Quelles méthodes, quels instruments pour
Plus en détailREGLEMENT INTERIEUR TITRE I : DISPOSITIONS GENERALES
RÉPUBLIQUE DU BÉNIN COUR CONSTITUTIONNELLE REGLEMENT INTERIEUR TITRE I : DISPOSITIONS GENERALES Article 1 er : Le présent Règlement Intérieur est pris en application des dispositions de la Loi n 90-032
Plus en détailElaboration de tableaux de bord sur l emploi (éditions 2011, 2012 et 2013)
REPUBLIQUE DU BENIN = + = + = + = MINISTERE CHARGE DE LA MICROFINANCE, DE L EMPLOI DES JEUNES ET DES FEMMES (MCMEJF) = + = + = + = + = Agence Nationale Pour l Emploi (ANPE) = + = + = + = TERMES DE REFERENCE
Plus en détailDocument de Consultation des Entreprises Préfecture de Corse
Réalisation d une enquête auprès des jeunes en demande d insertion Document de Consultation des Entreprises Préfecture de Corse SOMMAIRE 1. OBJET DE LA CONSULTATION 2 2. PRESENTATION DU GIP CORSE COMPETENCES
Plus en détailCommission pour la consolidation de la paix Configuration pays République centrafricaine
Commission pour la consolidation de la paix Configuration pays République centrafricaine La politique nationale et le soutien de la Communauté internationale au développement de la Réforme du Secteur de
Plus en détailFORMATIONS QUALIFIANTES ET DIPLOMANTES EN MICROFINANCE
GROUP WEST AFRICA MICROFINANCE CONSULTING COMPANY CONSULTING CIFOMBE CIFOMCI ARIMANE -ONG FORMATIONS QUALIFIANTES ET DIPLOMANTES EN MICROFINANCE CENTRES INTERNATIONAUX DE FORMATION EN MICROFINANCE CIFOMBE
Plus en détailMENTION ADMINISTRATION DES TERRITOIRES ET DES ENTREPRISES
MENTION ADMINISTRATION DES TERRITOIRES ET DES ENTREPRISES Les spécialités : MASTER PROFESSIONNEL 00 Management des activités tertiaires () Management public : métiers de l administration territoriale ()
Plus en détailCote d Ivoire: Progrès et Défis de l après-crise
19 AVRIL 2012 SON EXCELLENCE MONSIEUR CHARLES KOFFI DIBY, MINISTRE DE L ECONOMIE ET DES FINANCES Cote d Ivoire: Progrès et Défis de l après-crise Séminaire «Marchés de la Prochaine Génération», JP Morgan
Plus en détailMédecin Responsable volet hospitalier - Koulikouro - MALI
Médecin Responsable volet hospitalier - Koulikouro - MALI L ASSOCIATION ALIMA The Alliance for International Medical Action (ALIMA) est une organisation médicale internationale, fondée en 2009. ALIMA a
Plus en détailPROGRAMME BACHELOR BANQUE / FINANCE / ASSURANCE en 3 ans
PROGRAMME BACHELOR BANQUE / FINANCE / ASSURANCE en 3 ans DESCRIPTION Faire le choix d un cursus en 3 ans c est opter pour une formation qui permet à l étudiant de découvrir le monde de l entreprise afin
Plus en détailTERMES DE REFERENCE. : Consultant gestion de l information et des bases de données protection de l enfance (consultation nationale)
TERMES DE REFERENCE Titre Type de contrat Durée : Consultant gestion de l information et des bases de données protection de l enfance (consultation nationale) : SSA : 06 mois Date de clôture : 0 Juin 201
Plus en détailLa priorité est donnée aux secteurs de concentration de la coopération belge au développement et aux thèmes transversaux suivants:
Bourses belges La notion de "bourse d études et de stages hors projet" se rapporte aux bourses d études et de stages obtenues en dehors du cadre de la mise en œuvre d un projet ou programme de coopération
Plus en détailMODALITES DU CONTROLE DES CONNAISSANCES. Règlement relatif à l obtention du diplôme de MASTER ECONOMIE Mention «Monnaie Banque Finance Assurance»
MODALITES DU CONTROLE DES CONNAISSANCES Année universitaire 2015 2016 Règlement relatif à l obtention du diplôme de MASTER ECONOMIE Mention «Monnaie Banque Finance Assurance» I Dispositions générales I.1.
Plus en détailObservatoire Economique et Statistique d Afrique Subsaharienne
Observatoire Economique et Statistique d Afrique Subsaharienne Termes de référence pour le recrutement de quatre (4) consultants dans le cadre du Projet «Modules d initiation à la statistique à l attention
Plus en détailLa modernisation de la gestion publique au sein des EPSCP. Colloque des Agents Comptables. 05 juin 2015
La modernisation de la gestion publique au sein des Colloque des Agents Comptables 05 juin 2015 EPSCP Frédéric Dehan Directeur Général des Services Université de Strasbourg 1) Des éléments de contexte
Plus en détailRecommandations avant inscription à AC JumpStart
Recommandations avant inscription à AC JumpStart Qu est-ce qu AC JumpStart? AC JumpStart est un programme innovateur d incubation et d encadrement soutenant l implantation d entreprises en démarrage à
Plus en détailRestitution de l 'atelier 1 Protocoles thérapeutiques et aspects médicaux de la PTME
Restitution de l 'atelier 1 Protocoles thérapeutiques et aspects médicaux de la PTME Modérateur : Dr Didier Koumavi Ekouevi INSERM U-897, Université Bordeaux Segalen, PACCI, Abidjan et Université de Lomé
Plus en détailTransfert Monétaire par téléphone mobile (programme en partenariat avec le PAM et MTN)
1 TERMS OF REFERENCE Pour l Evaluations Externe d ACF Transfert Monétaire par téléphone mobile (programme en partenariat avec le PAM et MTN) Programme Financé par PAM Référence du Contrat CI D4C 20 septembre
Plus en détailwww.u-bordeaux3.fr Master professionnel Communication des organisations Communication publique et politique
www.u-bordeaux3.fr Master professionnel Communication des organisations Communication publique et politique Un peu d histoire Cette formation qui existe depuis une quinzaine d années est devenue un master
Plus en détailCOMPOSANTE 3 Objectif 3.C
TERMES DE RÉFÉRENCE POUR LE RECRUTEMENT D UN CABINET POUR LE DÉVELOPPEMENT DE LA PLATEFORME DE GESTION DES CONNAISSANCES POUR LA REFORME DE LA GOUVERNANCE COMPOSANTE 3 Objectif 3.C Sous-objectif 3.C.02
Plus en détailLes dossiers de l enseignement scolaire. l Éducation nationale et la formation professionnelle en France
Les dossiers de l enseignement scolaire 2010 l Éducation nationale et la formation professionnelle en France ministère éducation nationale L Éducation nationale et la formation professionnelle en France
Plus en détailAppel à Manifestation d'intérêt
AfricaInteract : Renforcement des liens entre la recherche et les décideurs politiques pour l'adaptation au changement climatique en Afrique Appel à Manifestation d'intérêt Recrutement d'un expert pour
Plus en détailComité du développement et de la propriété intellectuelle (CDIP)
F CDIP/5/7 REV. ORIGINAL : ANGLAIS DATE : 21 JUILLET 2010 Comité du développement et de la propriété intellectuelle (CDIP) Cinquième session Genève, 26 30 avril 2010 PROJET RELATIF À LA PROPRIÉTÉ INTELLECTUELLE
Plus en détailTERMES DE REFERENCE Mission n 14INI144
TERMES DE REFERENCE Mission n 14INI144 I. Informations générales Intitulé de la mission Composante Thématique(s) Bénéficiaire(s) Pays Durée totale des jours prévus 64 Revue documentaire des formes juridiques
Plus en détailTABLEAU DE BORD DES REFORMES PAR PRIORITE
PILIER: PI- SECURITE NATIONALE REFORMES ETAT NIVEAU DE REALISATION R1-DÉFINIR UNE POLITIQUE NATIONALE DE DÉFENSE ET DE SÉCURITÉ ADAPTÉE AU CONTEXTE ACTUEL DE LA COTE D IVOIRE ET A SON ENVIRONNEMENT RÉGIONAL
Plus en détailPROTOCOLE D ACCORD ENTRE. MERLOT--The Multimedia Educational Repository for Learning and Online Teaching
Centre National de Télé-enseignement de Madagascar PROTOCOLE D ACCORD ENTRE MERLOT--The Multimedia Educational Repository for Learning and Online Teaching ET Le Centre National de Télé-enseignement de
Plus en détailDECRETS. Section 1 Recrutement et promotion. Section 2 Stage, titularisation et avancement. 12 Moharram 1429 20 janvier 2008
12 Moharram 1429 JOURNAL OFFICIEL DE LA REPUBLIQUE ALGERIENNE N 03 3 DECRETS Décret exécutif n 08-04 du 11 Moharram 1429 correspondant au 19 janvier 2008 portant statut particulier des fonctionnaires appartenant
Plus en détailExpert principal 1: Chef d'équipe, coordonnateur de projet (expert senior)
1.1.1 Experts principaux Ces termes de référence définissent les profils requis pour les experts principaux. Le soumissionnaire doit fournir une déclaration d'exclusivité et de disponibilité pour les experts
Plus en détailconforme à l original
REPUBLIQUE DE CÔTE D IVOIRE Union - Discipline - Travail Copie certifiée -------------- conforme à l original DECISION N 020/2012/ANRMP/CRS DU 30 AOÛT 2012 SUR LE RECOURS DE LA SOCIETE MEDICAL PROGRESS
Plus en détailRésultats des Comptes de la Santé 2012 en RD Congo
REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO MINISTERE DE LA SANTE PUBLIQUE Secrétariat Général PROGRAMME NATIONAL DES COMPTES NATIONAUX DE LA SANTE «PNCNS» Résultats des Comptes de la Santé 2012 en RD Congo Pr ELOKO
Plus en détailObjectif 3 : Confinement et certification
Objectif 3 : Confinement et certification CONFINEMENT ET CERTIFICATION Principaux objectifs Indicateurs de réalisation Principales activités Certifier l éradication et le confinement de tous les poliovirus
Plus en détailCopie Certifiée Conforme à l original
REPUBLIQUE DE CÔTE D IVOIRE Union - Discipline - Travail ------------- Copie Certifiée Conforme à l original DECISION N 010/2015/ANRMP/CRS DU 02 AVRIL 2015 SUR LE RECOURS DE LA SOCIETE KINAN CONTESTANT
Plus en détailProjet de mise en place de l Enquête Emploi du temps en Algérie
Projet de mise en place de l Enquête Emploi du temps en Algérie Mechti samia, Mokri samia, Roggaz Nacera Direction de la Population et de l Emploi, ONS Objectif L enquête Nationale sur l Emploi du temps
Plus en détailMASTER ARTS APPLIQUÉS : COULEUR, IMAGE, DESIGN
MASTER ARTS APPLIQUÉS : COULEUR, IMAGE, DESIGN RÉSUMÉ DE LA FORMATION Type de diplôme : Master (LMD) Domaine : Arts, Lettres, Langues Présentation La spécialité se décline en trois entrées : * la particularité
Plus en détailEvelyne DUCROT. Spécialiste de l accompagnement du changement et des relations humaines
Evelyne DUCROT Conseil en Sociologie du travail et management des organisations Formation en relations humaines, management, communication et Ressources humaines Spécialiste de l accompagnement du changement
Plus en détailDECISION DCC 15 116 DU 26 MAI 2015
DECISION DCC 15 116 DU 26 MAI 2015 Date : 26 Mai 2015 Requérant : Ayikoué Alain KAKPO Contrôle de conformité Elections législatives Acte Administratif : (Décision n 045/CENA/PT/VP/CB/SEP/SP du 19 mars
Plus en détailAnnexe - document CA 118/9. Termes de référence. Audit fonctionnel et organisationnel de l OTIF
Annexe - document CA 118/9 Termes de référence Audit fonctionnel et organisationnel de l OTIF Index 1 Description de l organisation... 3 2 Contexte de la mission... 4 3 Objet de la mission... 4 3.1 Objectif
Plus en détailProgramme de bourses universitaires conjoint Japon-Banque mondiale (JJ/WBGSP) Programme régulier. Formulaire de demande de bourse 2012
Programme de bourses universitaires conjoint Japon-Banque mondiale (JJ/WBGSP) Programme régulier Formulaire de demande de bourse 2012 T H E W O R L D B A N K 1818 H Street NW MSN J4-402. Washington, DC
Plus en détailSecrétariat général de la cshep, Thunstr. 43a, 3005 Berne, tél.: 031 350 50 20, fax: 031 350 50 21
Secrétariat général de la cshep, Thunstr. 43a, 3005 Berne, tél.: 031 350 50 20, fax: 031 350 50 21 Recommandations de la CSHEP et de la CRUS pour la mise en œuvre coordonnée de la déclaration de Bologne
Plus en détailwww.u-bordeaux3.fr Master professionnel Communication des organisations Stratégies et produits de communication
www.u-bordeaux3.fr Master professionnel Communication des organisations Stratégies et produits de communication Un peu d histoire Depuis 1988 à l université Bordeaux 3, la spécialité Communication des
Plus en détailLICENCE ADMINISTRATION PUBLIQUE. www.univ-littoral.fr DROIT, ECONOMIE, GESTION
LICENCE DROIT, ECONOMIE, GESTION ADMINISTRATION PUBLIQUE www.univ-littoral.fr OBJECTIFS DE LA FORMATION La Licence d Administration Publique (LAP) propose aux étudiants une formation diplômante en vue
Plus en détailGuide d auto-évaluation
REPUBLIQUE DU SENEGAL Un Peuple Un But Une Foi MINISTERE DE L ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET DE LA RECHERCHE ----------- Autorité nationale d Assurance Qualité de l Enseignement supérieur ANAQ-Sup Guide d auto-évaluation
Plus en détailOrganisation des Nations Unies pour le développement industriel
Organisation des Nations Unies pour le développement industriel Distr. générale 14 octobre 2014 Français Original: anglais Conseil du développement industriel Quarante-deuxième session Vienne, 25-27 novembre
Plus en détailActivité n 8.2.5 du PAA 2014
République du Niger Fraternité Travail Progrès MINISTÈRE DE LA SANTÉ PUBLIQUE Secrétariat Général DIRECTION DES ETUDES ET DE LA PROGRAMMATION DIVISION DES ETUDES, RECHERCHES Termes de références pour la
Plus en détailSPECIALISATIONS DU MASTER GRANDE ECOLE
SPECIALISATIONS DU MASTER GRANDE ECOLE Finance, Contrôle des Organisations Cette spécialisation se fonde sur la nécessité de prendre des décisions et/ou d organiser les différents processus au cœur de
Plus en détailPlan de mise en œuvre du concept national maladies rares
Département fédéral de l'intérieur DFI Office fédéral de la santé publique OFSP Unité de direction Assurance maladie et accidents Etat 4 mai 2015 Plan de mise en œuvre du concept national maladies rares
Plus en détailAvant projet de texte légal portant régime de l intégration du genre dans les politiques nationales de croissance et de l emploi
Avant projet de texte légal portant régime de l intégration du genre dans les politiques nationales de croissance et de l emploi Préambule Le Cameroun a révisé son DSRP i 2003 en lui adressant une direction
Plus en détailSoutien pour la formation à la recherche translationnelle en cancérologie
APPEL A CANDIDATURES 2011 Soutien pour la formation à la recherche translationnelle en cancérologie Action 1.2 Date limite de soumission en ligne du dossier : 06 décembre 2010 http://www.e-cancer.fr/aap/for2011
Plus en détailMETIERS DES LANGUES ET CULTURES ETRANGERES
Mention : METIERS S LANGUES ET CULTURES ETRANGERES Domaine : Spécialité : Volume horaire étudiant : Niveau : MASTER 2 année ARTS LETTRES LANGUES ET VEILLE DOCUMENTAIRE INTERNATIONALE M2 120 ES 120 h 48/78
Plus en détailRépublique de Guinée. Ministère de l Economie et des Finances. Unité de Coordination et d Exécution des Projets
République de Guinée Ministère de l Economie et des Finances Unité de Coordination et d Exécution des Projets PROJET D APPUI AU RENFORCEMENT DES CAPACITES DE GESTION ECONOMIQUE ET FINANCIERE (PARCGEF)
Plus en détailSELECTION D UN CONSULTANT CHARGE DE LA MISE EN PLACE DES REFERENTIELS DE CONTROLE INTERNE ET DE LA MISE A JOUR DES MANUELS DE PROCEDURES DU GIM-UEMOA
TERMES DE REFERENCE SELECTION D UN CONSULTANT CHARGE DE LA MISE EN PLACE DES REFERENTIELS DE CONTROLE INTERNE ET DE LA MISE A JOUR DES MANUELS DE PROCEDURES DU GIM-UEMOA TDR : REFERENTIELS ET PROCEDURES
Plus en détailDROIT, ÉCONOMIE & GESTION MASTER GESTION DE PRODUCTION, LOGISTIQUE, ACHATS LOGISTIQUE ET TRANSPORT. www.univ-littoral.fr
DROIT, ÉCONOMIE & GESTION MASTER GESTION DE PRODUCTION, LOGISTIQUE, ACHATS LOGISTIQUE ET TRANSPORT www.univ-littoral.fr OBJECTIFS DE LA FORMATION Aujourd hui, la chaîne logistique globale est désormais
Plus en détailTERMES DE REFERENCE POUR PRESTATAIRE INDIVIDUEL ET CONSULTANT
TERMES DE REFERENCE POUR PRESTATAIRE INDIVIDUEL ET CONSULTANT Titre: Consultance pour l élaboration d un système d information informatisé : système de suivi, de mesure et d évaluation des données sur
Plus en détailEUROPAID/119860/C/SV/multi. Identification et formulation du projet d'appui à la politique de santé à financer sur les ressources du PIN 10 ème FED
EUROPAID/119860/C/SV/multi Identification et formulation du projet d'appui à la politique de santé à financer sur les ressources du PIN 10 ème FED LOT N 8 DEMANDE N 2009/201619/1 TERMES DE REFERENCE SPECIFIQUES
Plus en détailNOTICE POUR LE CONTRAT D APPRENTISSAGE
NOTICE POUR LE CONTRAT D APPRENTISSAGE Cerfa FA14 Avant de conclure un contrat d apprentissage, renseignez-vous sur les règles applicables au contrat ainsi que les dispositions particulières prévues dans
Plus en détailBourse de recherche Jeff Thompson. Politique et procédures
Bourse de recherche Jeff Thompson Politique et procédures Table des matières Objet et contexte... 2 Financement... 2 Candidats admissibles... 3 Processus de sélection et d attribution de la bourse... 4
Plus en détailRéseau National de Laboratoires * * * * * * * * * *
République du Sénégal Ministère de la Santé et de l Action Sociale Direction Générale de la Santé Direction des Laboratoires Réseau National de Laboratoires * * * * * * * * * * PLAN DE FORMATION DES PERSONNELS
Plus en détailDROIT- ECONOMIE - GESTION. Sciences économiques. Sciences économique Santé, Emploi - Formation
2012-2016 Niveau : MASTER Année Domaine : Mention : DROIT- ECONOMIE - GESTION Sciences économiques M1 Spécialité : Sciences économique Santé, Emploi - Formation 60 ES Volume horaire étudiant : 302 h 87
Plus en détailMASTER MANAGEMENT STRATEGIE, SPECIALITE CONSULTANT EN MANAGEMENT, ORGANISATION, STRATÉGIE
MASTER MANAGEMENT STRATEGIE, SPECIALITE CONSULTANT EN MANAGEMENT, ORGANISATION, STRATÉGIE RÉSUMÉ DE LA FORMATION Type de diplôme : Master (LMD) Domaine ministériel : Droit, Economie, Gestion Mention :
Plus en détailOFFRE DE CONSULTANCE Volet Gouvernance judiciaire à l Est de la RDC
OFFRE DE CONSULTANCE Volet Gouvernance judiciaire à l Est de la RDC «Consultant en suivi-évaluation et élaboration d outils de suivi-évaluation pour le programme PARJ-E «Uhaki Safi» Profil recherché: Objectif
Plus en détailExpert International en Gestion des ressources en eau Coresponsable - Maroc
Agence belge de développement, la CTB mobilise ses ressources et son expertise pour éliminer la pauvreté dans le monde. Contribuant aux efforts de la Communauté internationale, la CTB agit pour une société
Plus en détailMASTER 2 INFORMATION, COMMUNICATION PARCOURS COMMUNICATIONS NUMÉRIQUES ET ORGANISATIONS
MASTER 2 INFORMATION, COMMUNICATION PARCOURS COMMUNICATIONS NUMÉRIQUES ET ORGANISATIONS RÉSUMÉ DE LA FORMATION Type de diplôme : Master Domaine ministériel : Sciences humaines et sociales Mention : Information,
Plus en détailDROIT, ÉCONOMIE & GESTION MASTER DROIT DES AFFAIRES. Droit européen des affaires. www.univ-littoral.fr
DROIT, ÉCONOMIE & GESTION MASTER DROIT DES AFFAIRES Droit européen des affaires www.univ-littoral.fr OBJECTIFS DE LA FORMATION Spécialisation en Droit européen et français des Affaires COMPETENCES VISEES
Plus en détailMise à disposition d une plateforme de veille et d analyse sur le Web et les réseaux sociaux
Ministère de la Culture et de la Communication Secrétariat Général Délégation à l Information à la Communication (DICOM) CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES Personne publique contractante Ministère
Plus en détailTRAVAUX DU GROUPE GUINEE/CONAKRY ET BISSAO
TRAVAUX DU GROUPE GUINEE/CONAKRY ET BISSAO PLAN DE PRESENTATION BREVE PRESENTATION DES DEUX PAYS - GUINEE/CONAKRY GUINEE BISSAO Population = 7 156 406hbts dont 51% de femmes et 46% de jeunes, - 1 200 000
Plus en détailTous les intéressés qui effectuent des opérations d assurance RC professionnelle (secteur des services financiers) au Québec
bulletin Canadien Date 2014-06-05 Destinataires Référence Tous les intéressés qui effectuent des opérations d assurance RC professionnelle (secteur des services financiers) au Québec RE-14-008 Objet Pièce
Plus en détailJournal d apprentissage. Union Technique du Mali
Journal d apprentissage Union Technique du Mali Projet Kénéya Sabatili «Assurer la santé» Contentus Le Projet... 1 Que quoi le projet traite t-il?... 1 Résumé du projet... 2 Faits Marquants... 3 Quelques
Plus en détailSCIENCES DU MANAGEMENT INGENIERIE DU MANAGEMENT METIERS DU MARKETING
MASTER DROIT, ECONOMIE, GESTION SCIENCES DU MANAGEMENT INGENIERIE DU MANAGEMENT METIERS DU MARKETING www.univ-littoral.fr PRESENTATION ET OBJECTIFS DE LA FORMATION Pour leur conduite de leurs entreprises
Plus en détailI. PRESENTATION DE LA CHAIRE
PANEL 6 LES CENTRES ET ECOLES DE FORMATION EN ADMINISTRATION ELECTORALE DANS L ESPACE FRANCOPHONE LA CHAIRE UNESCO DES DROITS DE LA PERSONNE ET DE LA DEMOCRATIE UNIVERSITE D ABOMEY-CALAVI (BENIN) PAR NOEL
Plus en détailPHP 2 Pratique en santé publique fondée sur des données probantes
PHP 2 Pratique en santé publique fondée sur des données probantes But Les professionnels de la santé publique suivent de plus en plus une approche fondée sur des données probantes lorsqu il s agit de planifier,
Plus en détailDiagnostic sur les besoins des acteurs en matière de formation à la gestion de la qualité des projets humanitaires: Présentation des résultats
Diagnostic sur les besoins des acteurs en matière de formation à la gestion de la qualité des projets humanitaires: Présentation des résultats P. Brunet, D. Kauffmann et C. Nussbaum 20 Novembre 2008 Méthodologie
Plus en détailPREMIERE CONFERENCE DES HAUTS RESPONSABLES CHARGES DE L ETAT CIVIL DES ETATS MEMBRES DE L OCI
REPUBLIQUE DU SENEGAL Un peuple - Un but - Une Foi ----------------- PREMIERE CONFERENCE DES HAUTS RESPONSABLES CHARGES DE L ETAT CIVIL DES ETATS MEMBRES DE L OCI TEHERAN 15-17 AVRIL 2013 Présenté par
Plus en détailwith the support of EFMET cooperation partners:
Recommandations à la Commission Européenne sur le rôle de l enseignement musical et de la formation musicale professionnelle dans le nouveau programme européenne pour la culture with the support of EFMET
Plus en détailNom du candidat :... (nom de famille suivi éventuellement du nom du conjoint)
Dossier à établir en 2 exemplaires : 1 exemplaire pour l IEJ 1 exemplaire à conserver Nom du candidat :... (nom de famille suivi éventuellement du nom du conjoint) Agrafer ici photo d identité Prénom :..
Plus en détailLICENCE ARCHEOLOGIE. skin.:program_main_bloc_presentation_label. skin.:program_main_bloc_objectifs_label. Mention : Histoire de l'art et archéologie
LICENCE ARCHEOLOGIE Mention : Histoire de l'art et archéologie skin.:program_main_bloc_presentation_label L enseignement de la licence est fondé sur une spécialisation progressive au cours des trois années
Plus en détailMarché : N DAF/AUDIT COMPT FINANCIER/18-08
ROYAUME DU MAROC AGENCE POUR LA PROMOTION ET LE DEVELOPPEMENT ECONOMIQUE ET SOCIAL DES PREFECTURES ET POVINCES DU NORD DU ROYAUME... Marché : N DAF/AUDIT COMPT FINANCIER/18-08 OBJET : L AUDIT COMPTABLE
Plus en détailCodirecteur international en assurance-maladie PÉROU
Agence belge de développement, la CTB mobilise ses ressources et son expertise pour éliminer la pauvreté dans le monde. Contribuant aux efforts de la Communauté internationale, la CTB agit pour une société
Plus en détailFiche formation Master - Sociologie - Spécialité culture et patrimoine (2ème année) - N : 4805 - Mise à jour : 04/06/2015
Impression à partir du site https://offredeformation.picardie.fr le 19/09/2015. Fiche formation Master - Sociologie - Spécialité culture et patrimoine (2ème année) - N : 4805 - Mise à jour : 04/06/2015
Plus en détailFICHE SYNOPTIQUE DE PRESENTATION DU PROGRAMME TACC
République du Sénégal Un Peuple Un But Une Foi Ministère de la Décentralisation et des Collectivités locales Direction de la Coopération Décentralisée Programme des Nations Unies pour le Développement
Plus en détailS.A.E.I.F - Bureau d Études
La société Africaine d Études & d Ingénierie Financière est un bureau d Études multidisciplinaire qui travaille depuis 1997 dans le domaine de l appui au développement en Afrique. La SAEIF Bureau d Études
Plus en détailNote Simplifiée. UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE ---------------- La Commission ------------
UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE ---------------- La Commission ------------ PROJET D APPUI A L EXTENSION DE LA COUVERTURE DU RISQUE MALADIE DANS LES PAYS MEMBRES DE L UEMOA Note Simplifiée
Plus en détailZ I G U I N C H O R SITUATION ECONOMIQUE ET SOCIALE REGIONALE 2013. Service Régional de la Statistique et de la Démographie de Ziguinchor
Z I G U I N C H O R REPUBLIQUE DU SENEGAL Un Peuple Un But Une Foi ------------------ MINISTERE DE L ECONOMIE, DES FINANCES ET DU PLAN ------------------ AGENCE NATIONALE DE LA STATISTIQUE ET DE LA DEMOGRAPHIE
Plus en détailsous réserve de validation des modifications DROIT ECONOMIE GESTION SCIENCES DU MANAGEMENT FINANCE
sous réserve de validation des modifications Niveau : MASTER année Domaine : Mention : DROIT ECONOMIE GESTION SCIENCES DU MANAGEMENT M2 Spécialité : FINANCE 120 ES Volume horaire étudiant : 335 h 35 h
Plus en détailREUNION DE COORDINATION DU CARN RBM YAOUNDE, 13-15 JUILLET 2010
REPORT RBM/EXD/2010/REP. 15 JUL 2010 Official document General distribution Français REUNION DE COORDINATION DU CARN RBM YAOUNDE, 13-15 JUILLET 2010 RAPPORT Le groupe de coordination du réseau Faire Reculer
Plus en détail