Séance 2 à 4 (doc. 3) L observation qualitative
|
|
- Raymonde Morin
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Séance 2 à 4 (doc. 3) L observation qualitative 1
2 Plan de la séance 1. L observation qualitative Pourquoi observer? Que peut-on observer? Principes généraux L observation verbalisée L observation directe 2. Conclusion sur les méthodes qualitatives 2
3 L observation Pourquoi observer? Passer des représentations au comportement réel Une forme d étude marketing «naturelle» 3
4 L observation Que peut-on observer? Des gestes, des postures, des déplacements Des mimiques, des indices émotionnels Certaines prises d information Des communications, des échanges Etc. 4
5 Principes généraux Définition : L observation Enregistrement de façon précise et systématique des activités auxquelles que se livrent les gens dans leur cadre normal de vie Particulièrement adaptée si : actes ou interactions interpersonnelles risque de décalage déclaratif / comportement réel verbalisation difficile Un besoin d attention très soutenue Une logique inductive 5
6 L observation Principes généraux Plusieurs types d observation : Observation Indirecte verbalisée Directe Automatisée Non participante Client mystère Participante Type ethno 6
7 L observation directe L observation Trois types : Observation non-participante (vue de l extérieur) L observateur «invisible» L observateur a un point de vue externe Observation type «client mystère» L observateur «invisible» mais prend prend part à l activité observée Observation participante de type ethnographique L observateur doit se fait «admettre» L observateur a un point de vue interne 7
8 L observation directe L observation Quatre règles à respecter : Etre présent sur les lieux même du terrain Observer le phénomène étudié au moment où il se produit Conserver une trace de l ensemble des observations Rendre compte de ce qui a été observé afin d en proposer une interprétation 8
9 L observation directe L observation L importance des notes de terrain : Mémoire limitée / nombreuses données Différents types de notes : pragmatiques descriptives théoriques journal de bord Emploi d une grille d observation 9
10 L observation directe L observation Les pièges à éviter : L attention trop sélective : Les a priori de l accès au terrain L arrêt prématuré de la recherche de données 10
11 L observation directe L observation L observation directe non participante Exemples d utilisation : Manière dont le produit est manipulé, testé, pris en main Prise de décision dans un achat familial Observation des techniques de vente Déplacements dans les centres commerciaux : types de magasins visités (logique employée, temps passé) Utilisation des services (DAB, guichets ) dans une optique d amélioration de la satisfaction client, Etc. 11
12 L observation directe L observation L observation directe non participante Analyse : Même que pour un entretien semi-directif : Avantages et limites : avantages : saisie «sur le vif», authenticité limites : biais lié à l observateur, difficulté d interprétation 12
13 L observation directe L observation L observation participante de type ethnographique: Objectif : clarifier la manière dont se construit une culture au travers d observations de comportement et d expériences Méthode marginale en marketing Intéressant pour comprendre certains rituels de consommation 13
14 L observation directe L observation L observation participante de type ethnographique: Totale immersion du chargé d études dans son terrain Risque de perdre une partie d objectivité Difficulté pour tout saisir Nécessité d intégrer le comportement de l observateur dans l analyse 14
15 L observation directe L observation L observation participante de type ethnographique: En pratique : Préparation connaissance du contexte Repérage Puis oubli des a priori Présentation de soi Se tenir au rôle décrit, gagner la confiance, respecter ses engagements se faire oublier en tant qu observateur 15
16 L observation directe L observation L observation participante de type ethnographique: En pratique : Déroulement Poser des questions à caractère informatif, Trouver des appuis pour éclairer des zones d ombre S interroger sur l intérêt que chacun peut avoir à se servir de l observateur Faire varier les points de vue sur la situation que l on observe Immersion profonde et durable 16
17 L observation L observation directe L observation participante de type ethnographique: En pratique : Recueil de l information Description la plus détaillée possible de ce que l observateur a vu ou entendu. Description des enchaînements d actions Analyse de contenu rendue complexe par la quantité et la diversité des données 17
18 L observation L observation directe L observation participante de type ethnographique: Comment s assurer que les données collectées sont fiables et valides : Observer le phénomène de façon répétée et prolongée Co-observation Soumettre son analyse aux participants Saturation des données 18
19 L observation directe L observation L observation participante de type ethnographique: Avantages et inconvénients : Avantages: source d info importante, authenticité des données, mise en évidence de processus, besoin de ressources matérielles limité Inconvénients : se faire accepter comme observateur, risque de modifier le comportement des sujets observés, interprétation parfois difficile, objectiver l observation, temps nécessaire 19
20 L observation directe L observation La visite mystère : Le chargé d études se fait passer pour un client Quand l utilise-t-on? Comprendre raison de satisfaction / insatisfaction et la qualité dans la distribution et les services Déroulement : cahier des charges des opérations à effectuer grille d observation fait en interne ou via sociétés externes Peut poser des problèmes déontologiques 20
21 L observation L observation verbalisée (protocoles verbaux) Principe : Le sujet pense à haute voix durant la tâche requise par l étude Quand l utilise-t-on? Pour comprendre la décision d achat face au rayon Déroulement : L observateur demande à un client de verbaliser son processus de décision / éventuellement quelques relances très simples 21
22 L observation L observation verbalisée (protocoles verbaux) Exemple : Il faut que j achète de l huile. Tiens! Des lots de deux bouteilles. De l huile de tournesol ; c est le genre d huile que je prends. Je vais regarder le prix parce que si c est intéressant, j en prendrai. 1,90 euros, les deux litres. Je vais regarder à côté combien coûte un litre seul. Si ça fait une grosse différence, je prendrai le lot. Je vois que l huile de tournesol de Fruit d Or fait 1,15 euros. Je regarde si c est pour la friture ou l assaisonnement, ça m est arrivé de me tromper. C est bon, je prends le lot. 22
23 L observation L observation verbalisée (protocoles verbaux) Analyse : Comparable à l analyse d un entretien Retranscription des protocoles Analyse de contenu Éventuellement, analyse du lexique utilisé 23
24 L observation L observation verbalisée (protocoles verbaux) Avantages : reconstitution du processus de décision d achat Inconvénients : méthode lourde et coûteuse en terrain réel, on ne contrôle pas l influence des facteurs situationnels biais de rationalisation Gestion difficile car le client demande souvent à l observateur son avis dans le choix du produit 24
25 L observation indirecte L observation Principe : Comprendre les consommateurs en regardant les objets qui les entourent et ceux dont ils se débarrassent A noter que cette méthode est utilisée à la marge Exemple : La «garbalogie» L analyse des garde manger 25
26 Plan de la séance 1. L observation qualitative 2. Bilan sur les méthodes qualitatives Des méthodes sans cesse renouvelées Résumé des principes de l étude qualitative Un schéma synthétique des méthodes qualitatives Du «quali» au «quanti» 26
27 Bilan sur les méthodes qualitatives Des méthodes sans cesse renouvelées Empruntent à de nombreux courants S enrichissent continuellement grâce aux apports d autres disciplines Quelques exemples La «netnographie» Trend spotting 27
28 Bilan sur les études qualitatives Résumé des principes de l étude qualitative Spécificités de la démarche qualitative Objectif : répondre à des questions du type «pourquoi», «comment», «dans quelle condition» Caractéristiques des études qualitatives : mesure pas prioritaire, pas de recherche de «représentativité» Mots clés : Comprendre, apprendre, explorer, identifier 28
29 Bilan sur les études qualitatives Résumé des principes de l étude qualitative Spécificités de la démarche qualitative Hypothèses fortes : Besoin d analyse en profondeur L enquêteur est neutre Avantages : profondeur et richesse de l analyse Inconvénients : formation de haut niveau, analyses manuelles, interprétation 29
30 Bilan sur les études qualitatives Différents types d études qualitatives Exploration en profondeur des processus décisionnels, des freins et motivations, des attitude et des comportements Individuel Non directif Semi directif Directif Entretiens Faciliter le discours, en faisant tomber les barrières psycho. De groupe Construction Interprétations de dessins, listes de courses, photos Association Association de mots Techniques projectives Elt à compéter Phrase ou histoire à compléter, Transposition Jeu de rôle, portrait chinois Faire projeter les émotions, les sentiments, les qualités / défauts, les fantasmes Observation Indirecte Verbalisée Directe Non participante Participante ethno Visite mystère Accéder aux comportements 30 réels
31 Du quali au quanti Les éléments de quantification dans l étude qualitative Plusieurs méthodologies issues de la démarche qualitative mettent en évidence une quantification des données : Comptage des occurrences des thèmes dans entretiens ou tests projectifs Automatisation possible des observations sur certains comportements Une collecte «quali» pour une analyse «quanti» 31
32 Du quali au quanti Les éléments de quantification dans l étude qualitative Attention, le comptage dans une analyse qualitative est rarement synonyme de généralisation : Ex : apparition des thèmes de l authenticité et du chez-soi dans des interviews sur l attachement à un lieu de vente : 53% des 17 individus interviewés en profondeur sont attachés à un lieu de vente spécifique parce qu il le trouvent authentique, et 47% parce qu ils s y sentent chez eux 32
33 Du quali au quanti Les éléments de quantification dans l étude qualitative Le comptage peut constituer un indicateur intéressant pour «classer» les thèmes Des logiciels permettent d effectuer ce type de comptage et de compter les thèmes cooccurrents Avantages : rapide, rigoureux, flexibilité, reproductibilité Faiblesses : difficile à utiliser si données sémantiques trop complexes 33
34 Du quali au quanti L étude qualitative comme prélude àl étude quantitative Quantification a du sens si repose sur une compréhension correcte du marché Lorsque comprendre un phénomène n a d intérêt pour l entreprise que si elle est capable de le mesurer sur le plan quantitatif afin de proposer des actions sur le marché Pour ces raisons, les phases d études qualitatives précèdent souvent les phases quantitatives. 34
35 Du quali au quanti L étude qualitative comme substitut àl étude quantitative Une étude qualitative seule : on peut chercher à vouloir uniquement comprendre les motivations conscientes ou inconscientes des sans intention de mesure Exemple de thème abordé par les études qualitatives : - qu est ce qui motive certaines personnes à aller seules ou à être accompagnées lors d une sortie culturelle (cinéma)? 35
36 Du quali au quanti L étude qualitative comme complément à l étude quantitative Quand on cherche à : Enrichir les résultats d une étude quantitative : Ex : Taux de satisfaction anormalement bas, entretiens en profondeur pour comprendre pourquoi Confirmer les résultats d une étude quantitative : Ex :«trianguler» les résultats d une quantitative d impact publicitaire par une réunion de groupe 36
VI- Exemples de fiches pédagogiques en 3 ème année primaires
21 VI- Exemples de fiches pédagogiques en 3 ème année primaires 22 PROJET I : Séquence 3 ORAL (Réception) Compréhension orale : Activité d écoute : 1 ère fiche pédagogique L objectif de cette séance est
Plus en détailI/ CONSEILS PRATIQUES
D abord, n oubliez pas que vous n êtes pas un enseignant isolé, mais que vous appartenez à une équipe. N hésitez jamais à demander des idées et des conseils aux autres collègues (linguistes et autres)
Plus en détailConsolidation de fondamentaux
Consolidation de fondamentaux Point de vue communicationnel sur le réel Consolidation - Stéphanie MARTY - 2009/2010 1 Question 31 31. Que signifie «avoir un point de vue communicationnel sur le réel»?
Plus en détailDIU Soins Palliatifs et d Accompagnement.
DIU Soins Palliatifs et d Accompagnement. Centre - Pays de Loire CHRU Tours COMMUNICATION «Conflits internes et Cohérence personnelle» SOMMAIRE Introduction page 3 Communication Page 4 Les paramètres d
Plus en détailL E C O U T E P r i n c i p e s, t e c h n i q u e s e t a t t i t u d e s
L E C O U T E P r i n c i p e s, t e c h n i q u e s e t a t t i t u d e s L E C O U T E P r i n c i p e s, t e c h n i q u e s e t a t t i t u d e s Stéphane Safin Psychologue - Ergonome Lucid Group -
Plus en détailLOG2420 Analyse et conception d interfaces utilisateur
LOG2420 Analyse et conception d interfaces utilisateur Processus de développement centré utilisateur 1/36 LOG2420 Analyse et conception d interfaces utilisateur Processus de développement centré utilisateur
Plus en détailL analyse de la gestion de la clientèle
chapitre 1 - La connaissance du client * Techniques utilisées : observation, recherche documentaire, études de cas, études qualitatives (entretiens de groupes ou individuels, tests projectifs, analyses
Plus en détail1. Les types d enquêtes
La conduite d une enquête par questionnaire La conception d un questionnaire ne doit pas être réalisée de façon hasardeuse. Elle suit une méthodologie stricte qui permet d atteindre des résultats utilisables
Plus en détailRéussir. son. référencement. web. Olivier Andrieu. Groupe Eyrolles, 2008, ISBN : 978-2-212-12264-0
Réussir son référencement web Olivier Andrieu Groupe Eyrolles, 2008, ISBN : 978-2-212-12264-0 Table des matières CHAPITRE 1 Le référencement aujourd hui : généralités, définitions......................................
Plus en détailPLATEFORME MÉTIER DÉDIÉE À LA PERFORMANCE DES INSTALLATIONS DE PRODUCTION
PLATEFORME MÉTIER DÉDIÉE À LA PERFORMANCE DES INSTALLATIONS DE PRODUCTION KEOPS Automation Espace Performance 2B, rue du Professeur Jean Rouxel BP 30747 44481 CARQUEFOU Cedex Tel. +33 (0)2 28 232 555 -
Plus en détailAvis sur la 1 ère révision du schéma d'aménagement et de gestion des eaux «Nappes profondes de Gironde»
Commission Planification Séance du 24 mai 2012 Délibération n DL/CB/12-XX Avis sur la 1 ère révision du schéma d'aménagement et de gestion des eaux «Nappes profondes de Gironde» Le comité de bassin délibérant
Plus en détail2 e partie de la composante majeure (8 points) Les questions prennent appui sur six documents A, B, C, D, E, F (voir pages suivantes).
SUJET DE CONCOURS Sujet Exploitation d une documentation scientifique sur le thème de l énergie 2 e partie de la composante majeure (8 points) Les questions prennent appui sur six documents A, B, C, D,
Plus en détailCOMPETENCE DE NIVEAU N1
GROUPE DES ACTIVITES ATHLETIQUES DEMI FOND Réaliser une performance motrice maximale mesure à une échéance donnée COMPETENCE DE NIVEAU N1 Compétences attendues dans l APSA Réaliser la meilleure performance
Plus en détailIAFACTORY. sommaire MATERIALIZE YOUR NEXT SUCCESS. étude marketing, expérience utilisateur, ergonomie étude concurrentielle. principes.
sommaire principes p objectifs méthode prestation, livrable, tarif aperçu visuel à propos d MATERIALIZE YOUR NEXT SUCCESS conseil en architecture de l information www.iafactory.fr contact@iafactory.fr
Plus en détailIntroduction à la méthodologie de la recherche
MASTER DE RECHERCHE Relations Économiques Internationales 2006-2007 Introduction à la méthodologie de la recherche geraldine.kutas@sciences-po.org Les Etapes de la Recherche Les étapes de la démarche Etape
Plus en détailTechnologie Comment fabriquer une voiture qui roule avec du matériel de récupération? Cycle 2
Technologie Comment fabriquer une voiture qui roule avec du matériel de récupération? Cycle 2 Objectif : Identifier des problèmes techniques posés par la fabrication de petites voitures, et à envisager
Plus en détailDéfinition de la dyspraxie
E.BINTZ Définition de la dyspraxie Dys : manque en grec Praxie : action, mouvement, adaptation du mouvement au but recherché C est un trouble de la planification et de la coordination des mouvements qui
Plus en détailACTIVITE. principal Animation Fournisseur C54 Participer à une animation fournisseur Mise en rayon et analyse de rayon
Vademecum de toutes les missions 2006-2014 Règle des 70/30 Exemple d'activité «Vendre» ACTIVITES Exemple d'activité «Assurer la qualité de service à la clientèle» OM Exemple d'activité «Mettre en place
Plus en détailGestion de l activité commerciale
12 13 Gestion de l activité commerciale Gérez efficacement votre activité de négoce, services ou industrie L activité commerciale, c est le nerf de la guerre : prospection, réalisation de devis, facturation,
Plus en détailQu est-ce que l effet de levier?
EMPRUNTER POUR INVESTIR : CE N EST PAS POUR TOUT LE MONDE Qu est-ce que l effet de levier? L effet de levier consiste à investir en empruntant une partie ou la totalité des sommes. De cette façon, vous
Plus en détailFICHE METIER. «Opérateur de prises de vue» Opérateur de prises de vue vidéo. Cadreur. Pointeur vidéo APPELLATION(S) DU METIER DEFINITION DU METIER
Opérateur de prises de vue Version 1 «Opérateur de prises de vue» APPELLATION(S) DU METIER Opérateur de prises de vue vidéo Cadreur Pointeur vidéo DEFINITION DU METIER L'opérateur de prises de vue assure
Plus en détailAcadémie de Créteil. Projet présenté autour de l album «Trois souris peintres» d Ellen Stoll Walsh
Projet académique 2013-2014 «Des boîtes à histoires» Comment créer un outil au service de la mise en mémoire et de la compréhension des textes littéraires Académie de Créteil Projet présenté autour de
Plus en détailPrésentation de la démarche et méthodologie qualitative Claire Boileau Anthropologue
Santé Communautaire et accès aux soins en contexte tropical Présentation de la démarche et méthodologie qualitative Claire Boileau Anthropologue Introduction Principes des recherches qualitatives Les étapes
Plus en détailQUELQUES CONSEILS AU PROFESSEUR STAGIAIRE POUR ASSEOIR SON AUTORITE
QUELQUES CONSEILS AU PROFESSEUR STAGIAIRE POUR ASSEOIR SON AUTORITE Le premier contact avec vos élèves est déterminant, il y a de nombreux éléments à prendre en compte pour le réussir. Un professeur doit
Plus en détailHadopi Département Recherche, Etudes et Veille (DREV)
Hadopi Département Recherche, Etudes et Veille (DREV) Livre numérique et terminaux de lecture, quels usages? note d analyse Dans le cadre de la mission légale d observation des utilisations licites et
Plus en détailSavoirs professionnels en classe de lecture littéraire à l école
Savoirs professionnels en classe de lecture littéraire à l école Dupuy, Catherine IUFM/ Université Montpellier 2 France Problématique et question de recherche Comment penser la tâche générale prescrite
Plus en détailSOMMAIRE QU EST-CE QU UNE SITUATION DE VENTE POUR LE REFERENTIEL BTS? ------------------------------------- 2
SOMMAIRE QU EST-CE QU UNE SITUATION DE VENTE POUR LE REFERENTIEL BTS? ------------------------------------- 2 E4 : 12 SITUATIONS / COMPETENCES ------------------------------------------------------------------------------------
Plus en détailDEES COMMUNICATION DEESCOM
Fonction DEES COMMUNICATION DEESCOM Diplôme Européen délivré par la Fédération Européenne des Ecoles 1 ; www.fede.org NIVEAU BAC+3 Le DEESCOM prépare les étudiants aux fonctions de chef de produit junior,
Plus en détailANNEXE 4. Réaliser un diagnostic de sécurité Principales méthodes de collecte d information. (Module 3, partie I, section 2.5)
ANNEXE 4 Réaliser un diagnostic de sécurité Principales méthodes de collecte d information (Module 3, partie I, section 2.5) Dans les pages qui suivent, nous présentons neuf méthodes de collecte d information.
Plus en détailViolence au travail Un organisme national
Violence au travail Un organisme national Violence au travail : prévention, protocoles et sanctions Politique La Société s engage à offrir un milieu de travail sécuritaire. Elle reconnaît que la violence
Plus en détailQuestionnaire pour connaître ton profil de perception sensorielle Visuelle / Auditive / Kinesthésique
Questionnaire pour connaître ton profil de perception sensorielle Visuelle / Auditive / Kinesthésique BUT : Découvrir ton profil préférentiel «Visuel / Auditif / Kinesthésique» et tu trouveras des trucs
Plus en détailActivités de mesures sur la masse à l aide d unités de mesure conventionnelles. L unité de mesure la plus appropriée
Activités de mesures sur la masse à l aide d unités de mesure conventionnelles L unité de mesure la plus appropriée Dans cette activité, l élève choisit l unité de mesure la plus appropriée pour déterminer
Plus en détailDemande d admission au Centre pédagogique Lucien-Guilbault Secteur primaire
Date d envoi : Demande d admission au Centre pédagogique Lucien-Guilbault Secteur primaire QUESTIONNAIRE AU TITULAIRE Ce document doit être complété par le titulaire de classe et/ou par l orthopédagogue
Plus en détailLa construction du temps et de. Construction du temps et de l'espace au cycle 2, F. Pollard, CPC Bièvre-Valloire
La construction du temps et de l espace au cycle 2 Rappel de la conférence de Pierre Hess -Démarche de recherche: importance de se poser des questions, de chercher, -Envisager la démarche mentale qui permet
Plus en détailScénario n 24 : QUOI FAIRE AVEC MON BAC PRO TRANSPORT /LOGISTIQUE?
Scénario n 24 : QUOI FAIRE AVEC MON BAC PRO TRANSPORT /LOGISTIQUE? SUJET(S) : Production par les élèves de ressources numériques / Former à la veille et à la diffusion de l information / Collaborer avec
Plus en détailLe banquier idéal des Français et des Américains
pour Le banquier idéal des Français et des Américains Février 2011 1 La méthodologie 2 2 Note méthodologique Etude réalisée pour : Groupama Banque Echantillons : France : Echantillon de 1000 personnes,
Plus en détailLe menu du jour, un outil au service de la mise en mémoire
Le menu du jour, un outil au service de la mise en mémoire Type d outil : Outil pour favoriser la mise en mémoire et développer des démarches propres à la gestion mentale. Auteur(s) : Sarah Vercruysse,
Plus en détailLe livret des réponses
Le livret des réponses Achat 1 Avant de dépenser tout ton argent, il faut réfléchir aux conséquences de cet achat. Auras-tu besoin d argent pour faire d autres activités dans les semaines qui viennent,
Plus en détailLES BASES DU COACHING SPORTIF
LES BASES DU COACHING SPORTIF Module N 1 Motivation, concentration, confiance, communication Module N 2 L apprentissage : «Apprendre à apprendre» LES BASES DU COACHING SPORTIF APPRENTISSAGE PLAISIR PERFORMANCE
Plus en détailLa P N L appliquée à la vente
La P N L appliquée à la vente Public concerné : Cadres et cadres supérieurs. Objectifs : Maîtriser les outils de programmation de la démarche commerciale. Programmer les objectifs de la réussite commerciale.
Plus en détailCertificats TURBO. Bénéficiez d un effet de levier en investissant sur l indice CAC 40! Produits non garantis en capital.
Certificats TURBO Bénéficiez d un effet de levier en investissant sur l indice CAC 40! Produits non garantis en capital. www.produitsdebourse.bnpparibas.com Les Certificats Turbo Le Certificat Turbo est
Plus en détailFICHE ÉLÈVE. Déroulement. Activité 2 : Faites des hypothèses sur le sujet après avoir visionné une première fois la vidéo sans le son.
1 TROISIÈME SECTEUR DE L ECONOMIE SECTEUR TERTIAIRE- LES SERVICES (3) L'ESSOR DE L'E-COMMERCE FICHE ÉLÈVE Déroulement Activité 1 : Parlez de cette image, faites des hypothèses sur le sujet. Activité 2
Plus en détailIntroduction. Les articles de la presse spécialisée tendent à nous laisser penser que c est en effet le cas :
Introduction Le CRM se porte-t-il si mal? Les articles de la presse spécialisée tendent à nous laisser penser que c est en effet le cas : «75 % de projets non aboutis» «La déception du CRM» «Le CRM : des
Plus en détailCéline Nicolas Cantagrel CPC EPS Grande Section /CP Gérer et faciliter la continuité des apprentissages
Céline Nicolas Cantagrel C EPS Grande Section / Gérer et faciliter la continuité des apprentissages GS Quelques pistes par rapport à l équipe pédagogique : renforcer les liens, clarifier les paramètres
Plus en détailSOCLE COMMUN: LA CULTURE SCIENTIFIQUE ET TECHNOLOGIQUE. alain salvadori IA IPR Sciences de la vie et de la Terre 2009-2010 ALAIN SALVADORI IA-IPR SVT
SOCLE COMMUN: LA CULTURE SCIENTIFIQUE ET TECHNOLOGIQUE alain salvadori IA IPR Sciences de la vie et de la Terre 2009-2010 ALAIN SALVADORI IA-IPR SVT SOCLE COMMUN ET PROGRAMMES La référence pour la rédaction
Plus en détailRédiger et administrer un questionnaire
Rédiger et administrer un questionnaire Ce document constitue une adaptation, en traduction libre, de deux brochures distinctes : l une produite par l American Statistical Association (Designing a Questionnaire),
Plus en détailLE DEVELOPPEMENT DES PNEUS VTT MICHELIN
Dossier de presse Juin 2015 LE DEVELOPPEMENT DES PNEUS VTT MICHELIN Du laboratoire au pneu commercialisé, une chaîne d activités construite pour délivrer les meilleures performances Dossier de presse Contact
Plus en détailExpérimentation «Tablettes Tactiles en maternelle» (Octobre 2013 - Février 2014) Ecole maternelle Les Alouettes, Champhol
Expérimentation «Tablettes Tactiles en maternelle» (Octobre 2013 - Février 2014) Ecole maternelle Les Alouettes, Champhol Dans le cadre du plan DUNE, l école a reçu, pour une période de 5 mois, 6 tablettes
Plus en détailAssurance Vie en Ligne
Synthèse - Mars 2014 Benchmark concurrentiel de l expérience client en ligne e Assurance Vie en Ligne 6 sites d acteurs de référence de l Assurance Vie en Ligne plus de 7.000 internautes mobilisés www.observatoire-eperformance.com
Plus en détailThèmes et situations : Achat-Vente. Fiche pédagogique
Ressources pour les enseignants et les formateurs en français des affaires Activité pour la classe : DFA1 Crédit : Joelle Bonenfant, Jean Lacroix Thèmes et situations : Achat-Vente Objectifs communicatifs
Plus en détailGROUPE DE PAROLE SUR L HYGIENE ET LA PRESENTATION
GROUPE DE PAROLE SUR L HYGIENE ET LA PRESENTATION Programme d éducation et de motivation à l hygiène pour les patients en psychiatrie Cécile GABRIEL-BORDENAVE C.H. St Egrève (38) Problèmes d hygiène corporelle
Plus en détailÊtre visible sur internet - Améliorez votre référencement
EN MAÎTRISANT INTERNET, APPORTEZ UN NOUVEL ÉLAN À VOTRE ACTIVITÉ Publigo PUBLIGO Agence de communication Agence spécialisée dans le conseil en communication pour les professionnels et grands comptes (web,
Plus en détailLa plateforme IRM. La maitrise des risques. L accès à la plateforme
Plateforme IRM La plateforme IRM Une vue 360 sur l activité Le management proactif La maitrise des risques La valorisation de l impact social Les caractéristiques techniques Le processus intégral de traitement
Plus en détailEtude de marché. Idée de depart. Etude de l environnement et des offres existantes. Clients. actuels. Choix de la cible précise
Etude de marché Selon l Agence Pour la Création d Entreprise (APCE), 70% des cas de défaillance ont pour origine la mauvaise qualité des études de marché, que celles-ci soient mal réalisées ou de manière
Plus en détailMASTER GESTION DES ORGANISATIONS ACHAT A L INTERNATIONAL M1 2014/2015
MASTER GESTION DES ORGANISATIONS ACHAT A L INTERNATIONAL M1 2014/2015 Formation sur deux ans en apprentissage I - DÉROULEMENT DE LA FORMATION La formation se déroule en apprentissage selon un rythme alterné
Plus en détail5 Comment utiliser des noms de domaine supplémentaires?...9
Tables des matières 1 Qu est ce qu un nom de domaine?...2 2 Comment choisir son nom de domaine?...3 3 Comment créer un nouveau nom de domaine?...7 4 Comment utiliser un nom de domaine déjà existant?...7
Plus en détailNE PAS SE NOYER DANS LES TECHNIQUES
Manuel d évaluation participative et négociée CAHIER 4 NE PAS SE NOYER DANS LES TECHNIQUES BANQUE DE TECHNIQUES Louise Gaudreau Nicole Lacelle Printemps 1999 Manuel d évaluation participative et négociée
Plus en détailMONIWEB Analyse de l image sur le Web 2.0
MONIWEB Analyse de l image sur le Web 2.0 Eikon Strategic Consulting. L'utilisation ou reproduction partielle ou totale de ce document ne peut être effectuée sans autorisation écrite. SOMMAIRE Qu'est-ce
Plus en détailS initier aux probabilités simples «Question de chance!»
«Question de chance!» 29-11 Niveau 1 Entraînement 1 Objectifs - S entraîner à activer la rapidité du balayage visuel. - Réactiver le comptage par addition jusqu à 20. - Développer le raisonnement relatif
Plus en détailACTIONS GLOBALES. Optimisation des trajets de véhicules de moins de 3,5 tonnes ACTIONS SOCIALES ET SOCIETALES
FICHE ACTIONS Réseau Coursiers ACTIONS GLOBALES Optimisation des trajets de véhicules de moins de 3,5 tonnes ACTIONS SOCIALES ET SOCIETALES Sensibilisation des clients aux risques de pollution liés aux
Plus en détailPROJET D ELECTRIFICATION RURALE PAR RESEAU SBEE <<MESURES D ACCOMPAGNEMENT>> (MISSION D INTERMEDIATION SOCIALE)
1 PROJET D ELECTRIFICATION RURALE PAR RESEAU SBEE (MISSION D INTERMEDIATION SOCIALE) STRATEGIE DE DISTRIBUTION DES CARTES PREPAYEES 2 TABLE DES MATIERES INTRODUCTION... 3 1.
Plus en détailLhopitault Aurora PES 09 février 2011. Unité d apprentissage : Les fruits. Unité d apprentissage : les fruits séance 1
Lhopitault Aurora PES 09 février 2011 Unité d apprentissage : Les fruits Niveau : MS Domaine : Découvrir le monde Objectif : Découvrir le vivant : les fruits Organisation : 2 groupes 8 élèves/7 élèves
Plus en détailLES CARTES À POINTS : POUR UNE MEILLEURE PERCEPTION
LES CARTES À POINTS : POUR UNE MEILLEURE PERCEPTION DES NOMBRES par Jean-Luc BREGEON professeur formateur à l IUFM d Auvergne LE PROBLÈME DE LA REPRÉSENTATION DES NOMBRES On ne conçoit pas un premier enseignement
Plus en détailSUPER! J ai trouvé un amateur!
Bonjour. Le gsm que vous vendez m intéresse. Vous pouvez l envoyer à F. Ilout, rue Harnak 22, 1000 Bruxelles. J effectuerai le paiement dans mon bureau de poste et vous pourrez retirer l argent en donnant
Plus en détailL ENTRETIEN de Recherche
L ENTRETIEN de Recherche I. UTILISATION DE L ENTRETIEN DE RECHERCHE I.1. L entretien Exploratoire I.1.A. Caractéristiques Techniques Des Entretiens Exploratoires I.1.B. Fonctions De L entretien Exploratoire
Plus en détailModèles de lettres réseau
Lettre de demande d entretien suite à une recommandation Mentionnez la personne qui vous recommande J ai travaillé avec votre collègue Cécile Dubois, lorsqu elle était en poste chez Renault. Elle connaît
Plus en détailComment se servir de cet ouvrage? Chaque chapitre présente une étape de la méthodologie
Partie I : Séries statistiques descriptives univariées (SSDU) A Introduction Comment se servir de cet ouvrage? Chaque chapitre présente une étape de la méthodologie et tous sont organisés selon le même
Plus en détailProgramme de formation
Programme de formation Symbos a mis au point avec ses experts un programme en deux temps. l ABC du coaching en neuf jours APPROFONDISSEMENT par l acquisition des méthodes en neuf jours complémentaires.
Plus en détailTechniques d accueil clients
Techniques d accueil clients L accueil est une des phases capitales lors d un entretien de vente. On se rend tout à fait compte qu un mauvais accueil du client va automatiquement engendrer un état d esprit
Plus en détail10 REPÈRES «PLUS DE MAÎTRES QUE DE CLASSES» JUIN 2013 POUR LA MISE EN ŒUVRE DU DISPOSITIF
10 REPÈRES POUR LA MISE EN ŒUVRE DU DISPOSITIF «PLUS DE MAÎTRES QUE DE CLASSES» JUIN 2013 MEN-DGESCO 2013 Sommaire 1. LES OBJECTIFS DU DISPOSITIF 2. LES ACQUISITIONS PRIORITAIREMENT VISÉES 3. LES LIEUX
Plus en détailPRÉPARER SA CLASSE EN QUELQUES CLICS
PROFESSEUR DES ÉCOLES PRÉPARER SA CLASSE EN QUELQUES CLICS Éric SEGOUIN Denis BASCANS Une méthode et un outil d aide à la conception et à la programmation de séquences d enseignement pour l école primaire
Plus en détailmentale Monsieur Falize la création et l utilisation d imagerie interactive, les associations noms-visages, la méthode des lieux.
Pr Anne-Marie Ergis le vieillissement entraîne le déclin d un certain nombre de fonctions cognitives, comme la vitesse de traitement, les ressources attentionnelles, la mémoire de travail, la mémoire épisodique
Plus en détailLe coaching d entreprise. Réalisé par: Tarik KELLAF
Le coaching d entreprise Réalisé par: Tarik KELLAF L intérêt du sujet L importance de la pratique du coaching au sein de l entreprise afin d orienter le personnel, booster sa motivation et mettre en place
Plus en détailMARCHE DE FORMATION CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES (CCTP)
Chambre de Métiers et de l Artisanat de Meurthe-et-Moselle Etablissement public administratif de l Etat MARCHE DE FORMATION Objet : Animation et/ou conception de sessions de formation à destination des
Plus en détailComment agir sur le bilan environnemental d une bouteille PET?
Comment agir sur le bilan environnemental d une bouteille PET? Décembre 2010 En 2009, Eco-Emballages, ELIPSO et Valorplast se sont associés pour conduire une étude d évaluation des impacts environnementaux
Plus en détailComprendre les phénomènes biologiques et psychologiques du stress
GÉRER LE STRESS DANS L ENTREPRISE OBJECTIFS PEDAGOGIQUES DUREE : 1 JOUR Comprendre les phénomènes biologiques et psychologiques du stress Identifier la notion de risques psychosociaux au titre de la Loi
Plus en détailSéminaire national Réforme de la série Gestion Administration de la voie professionnelle. Lyon, 11 mai 2012
Séminaire national Réforme de la série Gestion Administration de la voie professionnelle Lyon, 11 mai 2012 ATELIER REDACTIONNEL : LA FICHE DE SYNTHESE à partir d une proposition de Laurence Douarin, professeure
Plus en détailConseils pour l évaluation et l attribution de la note
Entreprise formatrice Candidat/-e Téléphone: Téléphone: Ce document ne doit en aucun cas être montré au candidat après l attribution des points. Conseils pour l évaluation et l attribution de la note Documentation
Plus en détail«Stage découverte» Une semaine en entreprise Le livret Bienvenue chez XXXX
«Stage découverte» Une semaine en entreprise Le livret Bienvenue chez XXXX Le stagiaire : Le maître de stage : Le correspondant Ressources Humaines : Dates du stage : Inclure ici le logo de Sommaire -
Plus en détailTNS Behaviour Change. Accompagner les changements de comportement TNS 2014 TNS
Accompagner les changements de comportement TNS 2014 Comprendre et accompagner les changements de comportement Inciter et accompagner les changements de comportements des individus est un enjeu fondamental
Plus en détailLES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS
LES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS 1. RÉFÉRENTIEL PROFESSIONNEL D ÉDUCATEUR SPÉCIALISÉ 2. RÉFÉRENTIEL ACTIVITÉS 3. RÉFÉRENTIEL DE 4. RÉFÉRENTIEL DE CERTIFICATION 5. RÉFÉRENTIEL DE FORMATION
Plus en détailMarketing comportemental. Guide méthodologique de mise en œuvre
Marketing comportemental Guide méthodologique de mise en œuvre Sommaire Présentation...3 Les limites du marketing de masse ou du marketing «produit»...5 L idéal marketing : délivrer le bon message au bon
Plus en détailSciences de Gestion Spécialité : SYSTÈMES D INFORMATION DE GESTION
Sciences de Gestion Spécialité : SYSTÈMES D INFORMATION DE GESTION Classe de terminale de la série Sciences et Technologie du Management et de la Gestion Préambule Présentation Les technologies de l information
Plus en détailBIEN ACHETER DE LA FORMATION
professionnalisation compétences FORMATION entreprise solutions BIEN ACHETER DE LA FORMATION GUIDE PRATIQUE AGEFOS PME LANGUEDOC-ROUSSILLON Toutes les réponses à vos questions Sommaire 2... Mes objectifs
Plus en détailLes 10 grands principes de l utilisation du data mining pour une gestion de la relation client réussie
Les 10 grands principes de l utilisation du data mining pour une gestion de la relation client réussie Découvrir les stratégies ayant fait leurs preuves et les meilleures pratiques Points clés : Planifier
Plus en détailGuide pour aider à l évaluation des actions de formation
Guide pour aider à l évaluation des actions de formation Pourquoi évaluer? L évaluation constitue la dernière étape du service d ingénierie que le conseiller de l AGEFOS PME Bretagne peut apporter à l
Plus en détailLes données à caractère personnel
Les données à caractère personnel Loi n 78-17 du 6 janvier 1978 relative à l'informatique, aux fichiers et aux libertésrefondue par la loi du 6 août 2004, prenant en compte les directives 95/46/CE du Parlement
Plus en détailWEBANALYTICS Sur le chemin de l excellence
WEBANALYTICS Sur le chemin de l excellence Une démarche centrée sur l évaluation de sa propre performance! 2004-2008 Philippe FLOC H Strategic Consulting Tous droits réservés Reproduction interdite WEBMETRICS
Plus en détailBTS MANAGEMENT DES UNITES COMMERCIALES GUIDE DU TUTEUR
BTS MANAGEMENT DES UNITES COMMERCIALES GUIDE DU TUTEUR Vous êtes tuteur d un étudiant en BTS management des unités commerciales. Ce guide vous est destiné : il facilite votre préparation de l arrivée du
Plus en détailQu est-ce que le ehealthcheck?
Plus la dépendance d une compagnie envers ses systèmes informatiques est grande, plus le risque qu une erreur dans les processus métiers puisse trouver ses origines dans l informatique est élevé, d où
Plus en détailI. PRESENTATION DE LA SITUATION PROFESSIONNELLE DANS LAQUELLE S INSERE L ATELIER REDACTIONNEL
Séminaire national Réforme de la série Gestion Administration de la voie professionnelle Lyon, 11 mai 2012 Atelier rédactionnel : fiche de synthèse Florence Laville Bidadanure, IEN Lettres-Histoire, Académie
Plus en détailLe géomarketing - Page 1 sur 7
Le géomarketing - Page 1 sur 7 LES DOSSIERS MADWATCH.net méthodes Le Géomarketing Novembre 2003 Nb de pages : 7 Le géomarketing - Page 2 sur 7 Créé dans les années 80, la plupart des applications du géomarketing
Plus en détailIntroduction. Les obstacles à l analyse web. Le marquage
Introduction L analyse web ou Web Analytics est une discipline récente dont on commence à entendre parler au milieu des années 2000. La Web Analytics Association 1 le définit comme la mesure, la collecte,
Plus en détailS organiser autrement
S organiser autrement Dominique Tibéri enseignant en cycle 3 et formateur à l IUFM Nancy (54) propose ici une alternative à la préparation de classe telle qu elle est demandée par l Institution. Préparer
Plus en détailb) Fiche élève - Qu est-ce qu une narration de recherche 2?
Une tâche complexe peut-être traitée : Gestion d une tâche complexe A la maison : notamment les problèmes ouverts dont les connaissances ne sont pas forcément liées au programme du niveau de classe concerné
Plus en détailOBSERVATOIRE DE L EPARGNE EUROPEENNE
Conférence de presse du 22 juin 2001 Fiscalité des produits d épargne: une comparaison internationale Il n existe pas de véritable point de vue européen en matière de fiscalité des produits d épargne.
Plus en détailUE5 Mise en situation professionnelle M1 et M2. Note de cadrage Master MEEF enseignement Mention second degré
UE5 Mise en situation professionnelle M1 et M2 Note de cadrage Master MEEF enseignement Mention second degré ESPE Lille Nord de France Année 2014-2015 Cette note de cadrage a pour but d aider les collègues
Plus en détailRenforcez votre entreprise grâce à l expertise d Applied
: : A P P L I E D S U P P O R T : : Renforcez votre entreprise grâce à l expertise d Applied Maximisez votre investissement technologique LE SUCCÈS DE VOTRE ENTREPRISE DÉPEND DE LA PERFORMANCE DE VOS CAPACITÉS
Plus en détailMegaStore Manager ... Simulation de gestion d un hypermarché. Manuel du Participant
MegaStore Manager Simulation de gestion d un hypermarché.......... Manuel du Participant 1. Introduction 1.1. La simulation de gestion Vous allez participer à une simulation de gestion. Cette activité
Plus en détailGestion du capital humain : savoir exploiter les big data
Gestion du capital humain : savoir exploiter les big data Enquête ADP 2015 auprès des responsables de la gestion du capital humain d entreprises internationales TABLE DES MATIÈRES Synthèse... 3 Introduction
Plus en détail