Observatoire des patients traités par AINS
|
|
- Bertrand Desjardins
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Observatoire des patients traités par AINS Observatoire national auprès de 700 rhumatologues Profils de la co-prescription des IPP et des AINS SYNTHESE DES RESULTATS
2 CONTEXTE DE L OBSERVATOIRE L utilisation des anti-inflammatoires non stéroïdiens non salicylés (AINS) est associée à un risque accru de survenue de lésions gastro-duodénales. L incidence des lésions ulcéreuses gastriques et duodénales, dont certaines asymptomatiques de découverte endoscopique, varie de 5 à 25%. La prévalence des lésions superficielles varie de 20 à 80% et celle de l ulcère gastro-duodénal de 15 à 40% 1. La prise d AINS est associée à une augmentation importante du risque de complications ulcéreuses sévères : hémorragie digestive, perforation ou sténose gastro-duodénale. Le risque relatif d ulcère compliqué s établit entre 3 et 5%. Ce risque varie avec plusieurs paramètres : il croît avec l âge, la présence d antécédents d ulcères compliqués, la dose d AINS Le risque digestif lié aux AINS apparaît dès la 1 ère prise du traitement. Il se maintient pendant toute la durée du traitement mais semble maximum lors des premiers mois. A l arrêt de l AINS, le risque de complications digestives diminue. En revanche, il reste non négligeable jusqu au 2 ème mois après l arrêt du traitement 2-3. Pour réduire ce risque digestif, les inhibiteurs de la pompe à protons (IPP) apportent une solution thérapeutique efficace. Afin de mieux comprendre les paramètres influant sur la durée du traitement par IPP en co-prescription à un AINS et d expliquer les facteurs influant sur cette pratique de prescription : présence de facteurs de risque, nature de la pathologie traitée, typologie des patients, type d AINS prescrits ; les Laboratoires TAKEDA ont pris l initiative de créer sous la conduite d un expert, le Docteur S. Rozenberg (Service de rhumatologie, Hôpital Pitié- Salpêtrière, Paris), l observatoire. Cet observatoire national des patients traités par AINS mis en place auprès de 700 rhumatologues a permis d étudier sur une large population la durée du traitement par IPP en co-prescription avec les AINS et les facteurs influençant celle-ci. METHODOLOGIE DE L OBSERVATOIRE est un observatoire national non interventionnel qui a permis aux rhumatologues libéraux de conduire une enquête transversale de septembre 2004 à janvier Les rhumatologues libéraux au cours de cette enquête observationnelle recueillaient les données descriptives du traitement de la pathologie rhumatismale par AINS et de la prescription d IPP. Objectifs de l observatoire L observatoire avait pour objectif de : Décrire une cohorte de patients présentant une pathologie rhumatismale aiguë ou chronique traitée par un ou plusieurs AINS et ayant parallèlement une prescription d IPP. Préciser les caractéristiques démographiques des rhumatologues prescripteurs. Décrire les pathologies rhumatismales à l origine de la consultation et justifiant les traitements (AINS-IPP). Préciser le facteur de risque (parmi une liste de facteurs candidats, cf. table 8) ou l association de facteurs de risque susceptibles d expliquer la prescription d un IPP, sa dose et sa durée. 1
3 Critères d inclusion des patients Patients suivis et traités par un rhumatologue libéral dans le cadre d une pathologie rhumatismale aiguë ou chronique. Age 18 ans. Patients nécessitant lors de la consultation, la co-prescription d un ou plusieurs AINS et d un gastro-protecteur de type IPP. Modalités de recueil des données et d analyses statistiques Les patients étaient inclus dans l observatoire de façon consécutive. Quinze patients au maximum étaient incluables par rhumatologue. Les données recueillies à l aide d un questionnaire ont fait l objet d une double saisie et d une analyse statistique programmée sous SAS versions 8.2 par QUANTA MEDICAL. Les tests statistiques ont été effectués en formulation bilatérale avec un risque de première espèce (alpha) fixé à 0,05. CARACTERISTIQUES DES RHUMATOLOGUES (n = 470) 470 rhumatologues répartis sur la France entière ont participé à l observatoire. La moyenne d âge des rhumatologues participants était de 49,5 ans (± 7,5 ans) superposable à celle de l âge moyen des rhumatologues français (48,4 ans). Les rhumatologues de sexe féminin étaient dans cet échantillon légèrement sous représentés par rapport à la moyenne nationale : 26,5% versus 33,8%. Deux tiers de l échantillon (64,0%) exerçaient une activité libérale exclusive. DESCRIPTION DES PATIENTS (n = 5099) 5099 patients ont été inclus dans l observatoire. L âge moyen des patients est de 59,4 (± 13,9 ; médiane 61 ans). Le sexe féminin est majoritaire (59,7%). UNE PREDOMINANCE DE PATHOLOGIES CHRONIQUES Figure 1 - Répartition des pathologies rhumatismales Arthrose (35,5%) et pathologies lombaires (33,4%) étaient les pathologies les plus représentées [Figure 1]. Les pathologies chroniques (rhumatismes inflammatoires chroniques, pathologies lombaires chroniques, arthroses) touchaient 56,4% des patients. Rhumatisme inflam. chron. (13.3%) Pathologies Lombaires (33.4%) Arthrose (35.5%) Pathologies tendineuses et péri articulaires (17.8%) Autres (4.1%) 2
4 FACTEURS DE RISQUE EVALUES PAR LES RHUMATOLOGUES ET AYANT JUSTIFIE LA PRESCRIPTION D UN IPP Figure 2a - Les facteurs de risque de l AMM En France, selon les AMM des IPP, seuls Antécédents d'ugd (12.2%) Age>65 ans (39.2%) N. patients L âge > 65 ans Les antécédents d ulcères sont considérés comme facteurs de risque justifiant la co-prescription d un AINS. L observatoire conforte ces données puisque l âge de plus de 65 ans (39,2%) et les antécédents d ulcères gastro-duodénaux (12,2%) sont les facteurs de risque qui justifient le plus fréquemment la prescription d un IPP [Figure 2a]. Figure 2b - Les autres facteurs de risque Consom. alcool (6.3%) On constate que d autres facteurs de risque sont perçus par les rhumatologues comme justifiant la co-prescription d un IPP. La dyspepsie apparaît en première position et concerne 50,4% des patients [Figure 2b]. Plusieurs facteurs sont fréquemment associés (58,8%). Dans 22% des cas on retrouve au moins 3 facteurs de risque associés. Forte dose d'ains (7.2%) Aspirine (7.5%) AINS à forte toxicité (11.9%) Consom.tabac (13.8%) Antécédent RGO (19.7%) Dyspepsie (50.4%) N. patients Prescriptions : durées et doses Les 4 AINS les plus prescrits (kétoprofène, piroxicam-béta-cyclodextrine, diclofénac, nimesulide) représentent à eux seuls 53,1% des prescriptions. Les IPP sont prescrits à demidose dans 70,5% des cas. Les AINS sont prescrits en moyenne 19,5 jours (± 18,7 ; médiane 14 jours) et 75% des prescriptions sont 21 jours. Les IPP sont prescrits toutes doses confondues en moyenne 20,0 jours (± 18,6 ; médiane 14 jours) et 75% des prescriptions sont 28 jours. La pleine dose est prescrite en moyenne 1 jour de plus que la demi-dose. Il n y a pas de différence de durée de traitement entre l AINS et l IPP dans 86% des cas. La différence de durée de prescription est retrouvée chez 14% des patients. Parmi ceuxci, 90% ont une durée de prescription de l IPP supérieure à celle de l AINS (en moyenne de 5,5 jours). Tableau
5 Y-a-t-il des facteurs qui prédisent la prescription d une pleine dose d IPP? Age Figure 3 - Probabilité d administrer la pleine dose Nombre de pathologies Durée de prescription Nombre de facteurs de risque Effet (paramètre) >65 ans vs [40-65] ans [18-40] ans vs [40-65] ans O R I.C 95% vs vs Durée IPP < AINS vs Durée IPP = AINS Durée IPP > AINS vs Durée IPP = AINS Unité = Les patients les plus âgés reçoivent significativement (p=0,001) plus souvent une pleine dose d IPP. 9,6% des patients de moins de 40 ans reçoivent une pleine dose versus 43,3% pour les plus de 65 ans. Les patients traités par pleine dose d IPP ont significativement plus (p<0,0001) de traitement où la durée de l IPP est supérieure à celle de l AINS (17,1% versus 10,8 %). La prescription d une pleine dose d IPP est significativement (p<0,0001) plus élevée chez les patients ayant au moins 2 facteurs de risque (68,8% versus 54,8%). Afin d expliquer la probabilité d administrer la pleine dose : une analyse multivariée utilisant une régression logistique pas à pas (stepwise regression) a été réalisée. [Figure 3]. Lorsque le nombre de facteurs de risque augmente de 1, le patient a 1,5 fois plus de chance de recevoir une pleine dose. Lorsque la durée de prescription des IPP est supérieure à celle des AINS, la probabilité de recevoir une pleine dose d IPP est 1,7 fois plus importante. CONCLUSIONS Les résultats de l observatoire p e r m e t t e n t d é t a b l i r l e s p o i n t s s u i v a n t s : Les facteurs de risque justifiant la prescription d un IPP perçus par les rhumatologues sont nombreux. En pratique, le choix d un IPP à pleine dose par rapport à une ½ dose semble lié : à l âge à une durée de prescription de l IPP > à celle de l AINS au nombre de facteurs de risque Les résultats de cet observatoire feront l objet d une soumission au prochain congrès de la Société Française de Rhumatologie. 4
6 ANNEXES DM : données manquantes SD : déviation standard N : nombre Min : valeur minimale Max : valeur maximale Q1 : premier quartile Q3 : 3 e quartile BIBLIOGRAPHIE 1. Merle V, Thiéfin G, Czernichow P. Epidémiologie des complications gastro-duodénales associées aux anti-inflammatoires non stéroïdiens. Gastroenterol Clin Biol 2004;28:C27-C Hernandez-Diaz S, Garcia Rodriguez LA. Association between nonsteroidal anti-inflammatory drugs and upper gastrointestinal tract bleeding/perforation. An overview of epidemiologic studies published in the 1990s. Arch Intern Med 2000;160: Ravaud Ph, Chaussade S. Risque digestif des AINS : données épidémiologiques. Presse Médicale 2003 ;32 : DREES mars ; 78 5
7 DONNEES QUESTIONNAIRE MEDECIN Table 1 : L'âge moyen du rhumatologue N D.M Moyenne SD Médiane Min Max Q1 Q3 Toutes régions confondues Table 2 : Le sexe du rhumatologue Table 3 : Le Mode d'exercice Le sexe du rhumatologue N % D.M Masculin Féminin Total DM : données manquantes Mode d exercice N % D.M Libéral Hôpital/Clinique Mixte Total réponses multiples sont interprétées comme mixte Table 4 : Le lieu d'exercice Lieu d exercice N % D.M Rural Urbain Rural et urbain Total réponses multiples sont interprétées comme mixte Table 5 : L'année de thèse Année de thèse N % D.M > Total
8 DONNEES PATIENT Table 6.1 : Caractéristiques des patients Sexe N=5099 % Féminin Masculin Age(ans) *D.M (>65 ans) Poids(kg) [18-40] ans ]40-65] ans ]65-80] ans > 80 ans Moyenne(σ) (13.93) Médiane 61 Min 18 Max 101 Moyenne(σ ) (13.14) Médiane 70 Max 170 Min 38 σ = écart-type PATHOLOGIE RHUMATISMALE A L ORIGINE DE LA CONSULTATION Table 6.2 : Pathologies rhumatismales N=5099 % Pathologies rhumatismales Rhumatisme inflammatoire chronique Pathologies Lombaires Arthrose Pathologies tendineuses et péri articulaires Autres Pathologies rhumatismales aiguës ou chroniques Aiguës Chroniques Autres Un patient peut avoir plus d une pathologie et/ou plus d un facteur de risque 7
9 TRAITEMENT DE LA PATHOLOGIE RHUMATISMALE Table 7.1 : Fréquence de prescriptions d'ains DCI N % Dl-lysine acétylsalicylate Indométacine Phénylbutazone Ibuprofène Naproxène Naproxène sel de na Kétoprofène Diclofénac sel de na Diclofénac épolamine Sulindac Flurbiprofène Piroxicam Piroxicam - bêta-cyclodextrine Acide tiaprofénique Étodolac Nabumétone Ténoxicam Alminoprofène Nimésulide Méloxicam Acéclofénac Diclofénac sel de na; misoprostol Célécoxib Rofécoxib Nb. Total de prescriptions d'ains Table 7.2 : Durée de prescription d AINS Durée de prescription (jours) Durée de prescription d AINS (jours) Nb. de patients 5099 Moyenne (σ) (18.73) Médiane 14 Min 1 Max 180 Q1 10 Q3 21 Q1 est le 1 er quartile et Q3 le 3 ème quartile 8
10 Table 7.3 : Durée de prescription d AINS DCI Durée de prescription (jours) N Moyenne SD Médiane Min Max Q1 Q3 Toutes DCI prescrites confondues Kétoprofène Piroxicam - bêta-cyclodextrine Diclofénac sel de na Nimésulide Célécoxib Naproxène Acéclofénac Nabumétone Piroxicam Méloxicam Étodolac Ténoxicam Flurbiprofène Diclofénac épolamine Ibuprofène Indométacine Phénylbutazone Diclofénac sel de na; misoprostol Sulindac Alminoprofène Acide tiaprofénique Rofécoxib Naproxène sel de na Dl-lysine acétylsalicylate
11 FACTEURS DE RISQUE Table 8 : Facteurs de risque N=5099 % Facteurs de risque Antécédents d'ulcère gastro-duodénal Complications ulcéreuses Age > 65 ans AINS à forte toxicité Forte dose d'ains AINS Corticoïdes Anti Coagulant Anti Agrégant plaquettaire Aspirine Dyspepsie liée aux AINS Antécédent de RGO Pathologies cardio vasculaires Infection par Helicobacter Pylori Consommation de tabac Consommation d'alcool Autres Un patient peut avoir plus d un facteur de risque PRESCRIPTIONS D IPP Table 9.1 : Durée de prescription d IPP Prescriptions d'ipp Durée de prescription (jours) N Moyenne SD Médiane Min Max Q1 Q3 1/2 dose Pleine dose D.M Total Table 9.2 : Prescriptions d AINS et/ou d IPP Ratio 1/2 dose / pleine dose d'ipp 1/2 dose Pleine dose D.M Ratio N N N Toutes prescriptions d'ains confondues %
12 Table 9.3 : Différence de durée de prescription AINS et IPP Classe de durée Différences des durées de prescription (IPP-AINS) en jours N Moyenne SD Médiane Durée IPP > durée AINS Durée IPP < durée AINS Table 9.4 : Nombre de facteurs de risque et dose d IPP Nombre de facteurs de risque 1/2 doses Pleine Dose TOTAL N % N % N % D.M 103 2,9 27 1, , , , , , , , , , , , , , ,7 18 1,3 44 0, ,1 9 0,6 12 0, ,1 1 0,0 Total , , ,0 11
13 Laboratoires TAKEDA quai de Dion Bouton Puteaux Cedex OGB / 100 / Conception et réalisation de l observatoire : QUANTA MEDICAL.
UTILISATION ET PRECAUTION D EMPLOI DES AINS Professeur Philippe BERTIN, Chef de Service de Rhumatologie, CHU Limoges Octobre 2009
UTILISATION ET PRECAUTION D EMPLOI DES AINS Professeur Philippe BERTIN, Chef de Service de Rhumatologie, CHU Limoges Octobre 2009 Objectifs pédagogiques : 1 ) Connaître les mécanismes d action des AINS
Plus en détailAlgorithme d utilisation des anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS)
Algorithme d utilisation des anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) Édition Conseil du médicament www.cdm.gouv.qc.ca Coordination Anne Fortin, pharmacienne Élaboration Conseil du médicament Fédération
Plus en détailAccidents des anticoagulants
30 Item 182 Accidents des anticoagulants Insérer les T1 Objectifs pédagogiques ENC Diagnostiquer un accident des anticoagulants. Identifier les situations d urgence et planifier leur prise en charge. COFER
Plus en détailAssurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments. Avis 2 23 Octobre 2012
Assurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments Avis 2 23 Octobre 2012 Titre I : Nom du médicament, DCI, forme pharmaceutique, dosage, présentation HUMIRA (DCI : Adalimumab
Plus en détailSOMMAIRE I. INTRODUCTION 4 II. SOURCES D INFORMATION 5
SOMMAIRE I. INTRODUCTION 4 II. SOURCES D INFORMATION 5 2.1. ETUDES REALISEES PAR LES SERVICES DES CAISSES D ASSURANCE MALADIE 5 2.2. ANALYSE DE LA LITTERATURE 5 2.3. ANALYSE DES VENTES 6 2.4. COMPARAISONS
Plus en détailAnti-Inflammatoires Non stéroïdiens
Pharmacologie Clinique des Anti-Inflammatoires Non stéroïdiens Effets indésirables Aude FERRAN Plan Toxicité digestive Ulcères» Physiopathologie : effets locaux et systémiques» Cas du cheval Augmentation
Plus en détailItem 182 : Accidents des anticoagulants
Item 182 : Accidents des anticoagulants COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Cruralgie par hématome
Plus en détailLe reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003
Pré-Requis : Corpus Médical Faculté de Médecine de Grenoble Le reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003 Sécrétion acide et peptique de l estomac Motricité œsophagienne et gastrique
Plus en détailEVALUATION DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ ANALYSE MÉDICO-ÉCONOMIQUE. Efficacité et efficience des hypolipémiants Une analyse centrée sur les statines
EVALUATION DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ ANALYSE MÉDICO-ÉCONOMIQUE Efficacité et efficience des hypolipémiants Une analyse centrée sur les statines Juillet 2010 Mise à jour Septembre 2010 1 Le rapport complet
Plus en détailL hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines
L hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines Hôpital de jour (HDJ) Permet des soins ou examens nécessitant plateau
Plus en détailPoint d information Avril 2012. Les nouveaux anticoagulants oraux (dabigatran et rivaroxaban) dans la fibrillation auriculaire : ce qu il faut savoir
Point d information Avril 2012 Les nouveaux anticoagulants oraux (dabigatran et rivaroxaban) dans la fibrillation auriculaire : ce qu il faut savoir Le dabigatran (PRADAXA), inhibiteur direct de la thrombine,
Plus en détailLANCEMENT DE IPRAALOX, 20 mg Pantoprazole
COMMUNIQUE DE PRESSE LANCEMENT DE IPRAALOX, 20 mg Pantoprazole Paris, le 7 Mars 2012 Sanofi annonce la mise à disposition dans les officines de Ipraalox 20 mg, à base de pantoprazole, une nouvelle marque
Plus en détailAINS : données d innocuité durant la grossesse et l allaitement
AINS : données d innocuité durant la grossesse et l allaitement Les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) sont largement utilisés dans la population générale pour le soulagement de douleurs d étiologies
Plus en détailMédicaments en vente libre : Considérations pour la pratique de la thérapie physique au Canada
Médicaments en vente libre : Considérations pour la pratique de la thérapie physique au Canada Contexte L utilisation de médicaments par un professionnel de la santé n étant pas médecin évolue et dépend
Plus en détail«Les lombalgies chroniques communes à la consultation de rhumatologie du CHU de Fès»
2006-2007 Premier Prix : «La voie d abord postérieure mini-invasive modifiée de la hanche» Dr. Chbani Idrissi Badr Deuxième Prix «Éradication de l helicobacter pylori: quelle trithérapie en première intention?»
Plus en détailTraiter la goutte sans être débordé
Fédération des médecins omnipraticiens du Québec Traiter la goutte sans être débordé Hélène Demers et Michel Lapierre Vous voulez traiter et prévenir la goutte? Lisez ce qui suit! Les différentes phases
Plus en détailMigraine : traitement de la crise. Comment utiliser les triptans?
Migraine : traitement de la crise Comment utiliser les triptans? 6 ème congrès national de lutte contre la douleur 19-20 Mars Alger Alain Serrie Service de Médecine de la douleur, médecine palliative et
Plus en détailPRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS
PRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS Dr Mourot cardiologue Hôpital d Auxerre le 31 mars 2012 PLAN DE LA PRESENTATION ASSOCIATION
Plus en détailLes formes cliniques. Maxime Breban
Reconnaître la Spondylarthrite en 2011 Les formes cliniques Maxime Breban maxime.breban@apr.aphp.fr Qu'est-ce que les rhumatismes inflammatoires? Inflammation chronique des articulations Maladies complexes
Plus en détailSUTURE D EPISIOTOMIE ET PRISE EN CHARGE DE LA CICATRICE; RECOMMANDATIONS AUX PATIENTES
SUTURE D EPISIOTOMIE ET PRISE EN CHARGE DE LA CICATRICE; RECOMMANDATIONS AUX PATIENTES M. BERLAND Université Claude Bernard Lyon 1 Faculté de Médecine et de Maïeutique Lyon Sud Charles Mérieux 1 METHODES
Plus en détailNote de synthèse Assurance Maladie. Information des professionnels de santé sur les produits de santé mars 2011
Note de synthèse Assurance Maladie Information des professionnels de santé sur les produits de santé mars 2011 Au début des années 2000, l Assurance Maladie a commencé à construire puis développer une
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 10 mai 2006
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 10 mai 2006 METOJECT 10 mg/ml, solution injectable en seringue pré-remplie 1 seringue pré-remplie en verre de 0,75 ml avec aiguille : 371 754-3 1 seringue pré- remplie
Plus en détailE04a - Héparines de bas poids moléculaire
E04a - 1 E04a - Héparines de bas poids moléculaire Les héparines de bas poids moléculaire (HBPM) sont un mélange inhomogène de chaînes polysaccharidiques obtenues par fractionnement chimique ou enzymatique
Plus en détailRecommandation Pour La Pratique Clinique
Recommandation Pour La Pratique Clinique Prise en charge diagnostique et thérapeutique de la migraine chez l adulte ( et chez l enfant) : aspects cliniques (et économiques) Octobre 2002 1 La migraine de
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC. Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014
Les nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014 Un AVC toutes les 4 minutes 1 130 000 AVC par an en France 1 770 000 personnes ont été victimes
Plus en détailFiche Produit Profils Médicalisés PHMEV
Guide méthodologique développé par l équipe de projets ci-dessous : Fiche Produit Profils Médicalisés PHMEV EQUIPE PROJET Chef de projet : Maryline CHARRA, Pharmacien Conseil Responsable de la mission
Plus en détailBien vous soigner. avec des médicaments disponibles sans ordonnance. juin 2008. Douleur. de l adulte
Bien vous soigner avec des médicaments disponibles sans ordonnance juin 2008 Douleur de l adulte Douleur de l adulte Ce qu il faut savoir La douleur est une expérience sensorielle et émotionnelle désagréable,
Plus en détailItem 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve
Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Différentes
Plus en détailCEPHALEES CHRONIQUES QUOTIDIENNES AVEC ABUS MEDICAMENTEUX
CEPHALEES CHRONIQUES QUOTIDIENNES AVEC ABUS MEDICAMENTEUX Groupe de travail du RRDBN Y.Perier, A.S.Sergent, E.Touchard, V.Lepelletier, S.Sladek FMC 2009 1 PLAN Migraine sans aura Epidémiologie Critères
Plus en détailPLAIDOYER POUR UNE UTILISATION RAISONNEE DES ANTI-INFLAMMATOIRES EN ODONTO-STOMATOLOGIE
PLAIDOYER POUR UNE UTILISATION RAISONNEE DES ANTI-INFLAMMATOIRES EN ODONTO-STOMATOLOGIE K. SOUAGA *, A. ADOU *, D. AMANTCHI, Y. ANGOH * INTRODUCTION L observation fréquente de cellulites maxillo-faciales
Plus en détailModule digestif. II. Prévention du reflux gastro-œsophagien :
Module digestif Pathologie œsophagique I. Rappel anatomique : Etendu de 15 à 40 cm des arcades dentaires. D environ 25 cm de long. Constitué de 2 types de muscles. Recouvert par une muqueuse malpighienne
Plus en détailPrincipe d un test statistique
Biostatistiques Principe d un test statistique Professeur Jean-Luc BOSSON PCEM2 - Année universitaire 2012/2013 Faculté de Médecine de Grenoble (UJF) - Tous droits réservés. Objectifs pédagogiques Comprendre
Plus en détailMIGRAINE - TRAITEMENT
MIGRAINE - TRAITEMENT Restauration d une bonne qualité de vie Adapté à chaque patient Reposant sur trois axes : éviction des facteurs déclenchants traitement de crise traitement prophylactique ANAES 2002
Plus en détailLe diagnostic de Spondylarthrite Ankylosante? Pr Erick Legrand, Service de Rhumatologie, CHU Angers
Le diagnostic de Spondylarthrite Ankylosante? Pr Erick Legrand, Service de Rhumatologie, CHU Angers Les spondylarthopathies 0.2% de la population en France Arthrites Réactionnelles rares S. Ankylosante
Plus en détailSemaine de la sécurité des patients: novembre 2012
Semaine de la sécurité des patients: novembre 2012 Qu'est-ce-que la douleur? La douleur est une sensation désagréable et complexe (sensorielle et émotionnelle). Cette sensation provient de l'excitation
Plus en détailQuoi de neuf dans la prise en charge du psoriasis?
Quoi de neuf dans la prise en charge du psoriasis? Nathalie QUILES TSIMARATOS Service de Dermatologie Hôpital Saint Joseph Marseille Ce que nous savons Le psoriasis Affection dermatologique très fréquente,
Plus en détailToxicité intestinale des AINS
Toxicité intestinale des AINS La toxicité digestive des anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) n est pas limitée à l estomac et au duodénum mais s exerce également en aval, au niveau de l intestin
Plus en détailREFERENTIEL D AUTO-EVALUATION DES PRATIQUES EN ODONTOLOGIE
REFERENTIEL D AUTO-EVALUATION DES PRATIQUES EN ODONTOLOGIE Janvier 2006 I. PROMOTEURS Association dentaire française (ADF). Haute Autorité de santé (HAS). II. SOURCE Agence nationale d accréditation et
Plus en détailLa maladie de Still de l adulte
La maladie de Still de l adulte Syndrome de Wissler-Fanconi La maladie Le diagnostic Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur Cette fiche est destinée
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 2 avril 2014 DERMOVAL, gel flacon de 20 ml (CIP : 34009 326 130 4 5) DERMOVAL 0,05 POUR CENT, crème tube de 10 g (CIP : 34009 320 432 9 3) Laboratoire GLAXOSMITHKLINE
Plus en détailLes anti-inflammatoires non stéro. Les antalgiques non opiacés.
Les anti-inflammatoires non stéro roïdiens et stéro roïdiens. Les antalgiques non opiacés. (bases pharmacologiques) DCEM1 Pr.. Laurent Monassier Pharmacologie DCEMI Ce que nous allons voir 1 ère partie:
Plus en détailMédicaments en vente libre : considérations pour la pratique de la physiothérapie
Médicaments en vente libre : considérations pour la pratique de la physiothérapie Adapté d un article approuvé de l Alliance canadienne des organismes de réglementation de la physiothérapie (2012) Le CPTNB
Plus en détailFaut-il arrêter les médicaments avant une opération planifiée?
La CMPS informe sur l adaptation pré-opératoire du traitement médicamenteux 5 Faut-il arrêter les médicaments avant une opération planifiée? Irene Vogel Kahmann Différentes questions se posent chez les
Plus en détailChapitre 3 : Principe des tests statistiques d hypothèse. José LABARERE
UE4 : Biostatistiques Chapitre 3 : Principe des tests statistiques d hypothèse José LABARERE Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés. Plan I. Introduction
Plus en détailMédicaments et alcool?
Médicaments et alcool? Parlez-en à votre pharmacien évitez les cocktails à risque... Médicaments et alcool? évitez les cocktails à risque! Consommer de l alcool quand on prend des médicaments n est pas
Plus en détailLa goutte la maladie des rois
La goutte la maladie des rois Tous droits protégés Pharmanetis Sàrl Tout savoir sur la goutte Comment bien gérer sa maladie? Par Van Nguyen et Xavier Gruffat (pharmaciens) Photo: Matthew Cole - Fotolia.com
Plus en détailContenu. Introduction. Établissement des priorités pour l élaboration des indicateurs. Retrait de certains indicateurs. Répondants au sondage
Contenu Introduction Répondants au sondage Établissement des priorités pour l élaboration des indicateurs Pour chacun des quadrants Pour les dimensions des quadrants Retrait de certains indicateurs Indicateurs
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 23 mai 2007
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 23 mai 2007 SUTENT 12,5 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 265-0) SUTENT 25 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 266-7) SUTENT 50 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 267-3)
Plus en détailThérapeutique anti-vhc et travail maritime. O. Farret HIA Bégin
Thérapeutique anti-vhc et travail maritime O. Farret HIA Bégin Introduction «L hépatite C est une maladie le plus souvent mineure, mais potentiellement cancérigène, qu on peut ne pas traiter et surveiller
Plus en détailPRISE EN CHARGE DES LESIONS SPINCTERIENNES ANALES DU POST-PARTUM : DU CURATIF AU PREVENTIF
PRISE EN CHARGE DES LESIONS SPINCTERIENNES ANALES DU POST-PARTUM : DU CURATIF AU PREVENTIF Laurent ABRAMOWITZ Unité de proctologie médico-chirurgicale Hôpital Bichat Claude Bernard 95, Rue de Passy 75016
Plus en détailLes Jeudis de l'europe
LE DIABETE SUCRE EST DEFINI EN DEHORS DE TOUT EPISODE DIABETOGENE : 1.26 g/l SOIT 7 mmol/l PREVALENCE DU DIABETE DE TYPE 2 EN FRANCE METROPOLITAINE 3.4 % AGE = 63 ANS HOMMES = 54% 25% > 75 ans OUTRE MER
Plus en détailRéflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie
Bull. Acad. Natle Chir. Dent., 2007, 50 113 Commission de l exercice professionnel et Groupe de réflexion Réflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie
Plus en détailDocteur José LABARERE
UE7 - Santé Société Humanité Risques sanitaires Chapitre 3 : Epidémiologie étiologique Docteur José LABARERE Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés.
Plus en détailDiagnostic, prise en charge thérapeutique et suivi des spondylarthrites
Diagnostic, prise en charge thérapeutique et suivi des spondylarthrites RECOMMANDATIONS PROFESSIONNELLES Diagnostic, prise en charge thérapeutique et suivi des spondylarthrites RECOMMANDATIONS Décembre
Plus en détail«Cours Statistique et logiciel R»
«Cours Statistique et logiciel R» Rémy Drouilhet (1), Adeline Leclercq-Samson (1), Frédérique Letué (1), Laurence Viry (2) (1) Laboratoire Jean Kuntzmann, Dép. Probabilites et Statistique, (2) Laboratoire
Plus en détailALTO : des outils d information sur les pathologies thromboemboliques veineuses ou artérielles et leur traitement
Communiqué de presse Bayer HealthCare S.A.S. Parc Eurasanté 220, avenue de la Recherche 59120 LOOS France Tel.+333 28 16 34 00 www.bayerhealthcare.fr Favoriser l observance avec ALTO : l engagement de
Plus en détailLe niveau de revenus des ménages est associé à la couverture vaccinale par le vaccin pneumocoque conjugué chez les enfants d'ile-de-france
Le niveau de revenus des ménages est associé à la couverture vaccinale par le vaccin pneumocoque conjugué chez les enfants d'ile-de-france Jean-Paul Guthmann, Pierre Chauvin, Yann Le Strat, Marion Soler,
Plus en détailL énergie en France et en Allemagne : comparaisons
L énergie en France et en Allemagne : comparaisons En matière de consommation d énergie, de structure du système électrique, de recours aux énergies renouvelables, d émission de gaz à effet de serre, les
Plus en détailLOMBALGIES CHRONIQUES & MALADIES PROFESSIONNELLES
LOMBALGIES CHRONIQUES & MALADIES PROFESSIONNELLES CODE DE LA SÉCURITÉ SOCIALE : «Toute personne salariée ou travaillant à quelque titre ou en quelque lieu que ce soit, pour un ou plusieurs employeurs ou
Plus en détailCéphalées. 1- Mise au point sur la migraine 2- Quand s inquiéter face à une céphalée. APP du DENAISIS
Céphalées 1- Mise au point sur la migraine 2- Quand s inquiéter face à une céphalée EPU DENAIN -14 novembre 2006 Dr Kubat-Majid14 novembre 2006 Dr KUBAT-MAJID Céphalées 1 Mise au point sur la migraine
Plus en détailLivret des nouveaux anticoagulants oraux. Ce qu il faut savoir pour bien gérer leur utilisation
Livret des nouveaux anticoagulants oraux Ce qu il faut savoir pour bien gérer leur utilisation DONNÉES DU PATIENT Nom Adresse Tél MÉDECIN TRAITANT Nom Adresse Tél SPÉCIALISTE Nom Hôpital Tél MÉDICAMENT
Plus en détailExposé n 5: Bases IMS, Thalès Quel apport pour la sécurité d emploi des médicaments?
5 avril 2011 «Pharmaco-épidémiologie» Exposé n 5: Bases IMS, Thalès Quel apport pour la sécurité d emploi des médicaments? Dr Philippe Tcheng Vice-Président Affaires Publiques et Gouvernementales France
Plus en détailUne forte dynamique des prescriptions de ces nouveaux anti-coagulants oraux
27 novembre 2013 Nouveaux anti-coagulants oraux : une étude de l Assurance Maladie souligne la dynamique forte de ces nouveaux médicaments et la nécessité d une vigilance accrue dans leur utilisation Les
Plus en détailSYNOPSIS INFORMATIONS GÉNÉRALES
Evaluation de l utilisation d un anticoagulant anti-xa direct oral, Apixaban, dans la prévention de la maladie thromboembolique veineuse chez les patients traités par IMiDs au cours du myélome : étude
Plus en détailà Master professionnel Enquête sur le devenir au 1 er décembre 2013 des diplômés de Master professionnel promotion 2011
observatoire régional #41 Synthèse régionale août 2014 à Master professionnel Enquête sur le devenir au 1 er décembre 2013 des diplômés de Master professionnel promotion 2011 2 899 diplômés de M2 professionnel
Plus en détailNouvelles données concernant le traitement des crises de goutte aiguës
Cette version online contient toutes les mises à jour disponibles au sujet de la prise en charge de la goutte, suivies par la Fiche de transparence de juin 2010. Goutte Date de publication jusqu au 1 er
Plus en détailTEST DE DÉPISTAGE DE L IMMUNITÉ CONTRE LE
TEST DE DÉPISTAGE DE L IMMUNITÉ CONTRE LE 14 TÉTANOS ET LA ROUGEOLE 14.1 INTRODUCTION Soumaïla MARIKO Comme on l a déjà précisé au chapitre 1, des tests de dépistage de l immunité contre le tétanos et
Plus en détailLISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B
LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B Actualisation février 2009 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication
Plus en détailLe syndrome SAPHO Ostéomyélite multifocale chronique récidivante Spondylarthrite hyperostosante pustulo-psoriasique
Ostéomyélite multifocale chronique récidivante Spondylarthrite hyperostosante pustulo-psoriasique La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre
Plus en détailL abus médicamenteux Critères IHS : 1. La prise médicamenteuse est régulière et dure depuis plus de 3 mois
L abus médicamenteux Critères IHS : 1. La prise médicamenteuse est régulière et dure depuis plus de 3 mois 2. Elle est présente : 15 jours/mois pour les antalgiques non opioïdes (paracétamol, aspirine,
Plus en détailKARDEGIC 75 mg, poudre pour solution buvable en sachet-dose Acétylsalicylate de DL-Lysine
KARDEGIC 75 mg, poudre pour solution buvable en sachet-dose Acétylsalicylate de DL-Lysine Veuillez lire attentivement cette notice avant d'utiliser ce médicament. Elle contient des informations importantes
Plus en détailPlan. Introduction. Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé. Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or
Plan Introduction Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or Introduction NACO: une actualité brûlante! AVK: Plus forte incidence
Plus en détailNOTICE: INFORMATION DE L UTILISATEUR
NOTICE: INFORMATION DE L UTILISATEUR LANSOPRAZOLE TEVA 15 mg GÉLULES GASTRO-RÉSISTANTES LANSOPRAZOLE TEVA 30 mg GÉLULES GASTRO-RÉSISTANTES lansoprazole Veuillez lire attentivement cette notice avant de
Plus en détailQUEL PROTOCOLE DE REENTRAINEMENT PROPOSER AUX PATIENTS INSUFFISANTS CARDIAQUES?
QUEL PROTOCOLE DE REENTRAINEMENT PROPOSER AUX PATIENTS INSUFFISANTS CARDIAQUES? Cliquez pour modifier le style des sous titres du masque MARIE CHRISTINE MERSCH MASSEUR KINESITHERAPEUTE Service de Réadaptation
Plus en détailAnatomie. Le bassin inflammatoire. 3 grands cadres. 4 tableaux. Spondylarthrite ankylosante. Spondylarthrite ankylosante 26/10/13
Anatomie Enthésopathies Docteur Emmanuel Hoppé Service de Rhumatologie CHU Angers 18.10.2013 Symphyse pubienne Coxo-fémorales Bursopathies Sacroiliaques 4 tableaux 3 grands cadres Douleur lombofessière
Plus en détailN oubliez pas de sauvegarder après avoir intégré ce fichier dans votre espace extranet!
FORMULAIRE PDF REMPLISSABLE POUR REPONSE PEDAGOGIQUE AAP 2015 DU Page 1 sur 14 Avant toute chose, rappelez ici : 1 - Le titre principal (anciennement titre long) de votre projet [90 caractères] Lombalgies
Plus en détailFormat de l avis d efficience
AVIS D EFFICIENCE Format de l avis d efficience Juillet 2013 Commission évaluation économique et de santé publique Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service documentation
Plus en détailLa migraine : une maladie qui se traite
La migraine : une maladie qui se traite L évolution natuelle de la migraine Maladie fluctuante+++ Modification des symptômes avec l âge ++ : Moins de crises sévères Caractère pulsatile moins fréquent Plus
Plus en détailNACO dans la FA non Valvulaire
NACO dans la FA non Valvulaire VII ème Rencontres chalonnaises Dr Buttard 29/11/2012 INTRODUCTION La consommation des anticoagulants a été multiplié par 2 en 10 ans Les indications de traitement anticoagulants
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 18 novembre 2009
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 18 novembre 2009 LEDERTREXATE 5 mg, solution injectable B/1 ampoule de 2 ml (Code CIP : 315 012-5) LEDERTREXATE 25 mg, solution injectable B/1 ampoule de 1 ml (Code CIP
Plus en détailCOMMISSION NATIONALE D EVALUATION DES DISPOSITIFS MEDICAUX ET DES TECHNOLOGIES DE SANTE. AVIS DE LA COMMISSION 08 février 2011 CONCLUSIONS
COMMISSION NATIONALE D EVALUATION DES DISPOSITIFS MEDICAUX ET DES TECHNOLOGIES DE SANTE AVIS DE LA COMMISSION 08 février 2011 Nom : Modèles et références retenus : Fabricant : Demandeur : Données disponibles
Plus en détailLE REFLUX ACIDE ET LE RGO
LE REFLUX ACIDE ET LE RGO PATHOLOGIQUE : Une réalité troublante au Canada FAIT 1 SUR LE RGO PATHOLOGIQUE VOIR PAGE 8 Société canadienne sur la recherche intestinale En moyenne, les patients atteints de
Plus en détailRévision des descriptions génériques Comment monter un dossier?
DISPOSITIFS MEDICAUX Révision des descriptions génériques Comment monter un dossier? Guide pour le dossier déposé par les fabricants/distributeurs Adopté en séance de la CEPP* le 13 juillet 2005 *CEPP
Plus en détailStatistique : Résumé de cours et méthodes
Statistique : Résumé de cours et méthodes 1 Vocabulaire : Population : c est l ensemble étudié. Individu : c est un élément de la population. Effectif total : c est le nombre total d individus. Caractère
Plus en détailDocument d orientation sur les allégations issues d essais de non-infériorité
Document d orientation sur les allégations issues d essais de non-infériorité Février 2013 1 Liste de contrôle des essais de non-infériorité N o Liste de contrôle (les clients peuvent se servir de cette
Plus en détailProgramme de prise en charge et de suivi en anticoagulothérapie
Programme de prise en charge et de suivi en anticoagulothérapie (PEACE) Médecins réviseurs : Dr Steve Brulotte, cardiologue, CSSSAD-Lévis Dr Daniel D Amours, cardiologue, CHU Dr Guy Boucher, cardiologue,
Plus en détailIncontinence anale du post-partum
Incontinence anale du post-partum Laurent Abramowitz Unité de proctologie médico-chirurgicale de l hôpital Bichat, Paris Et cabinet libéral Prévalence Inc anale France (1) : 11% > 45 ans Damon et al (2):Pop
Plus en détailSCPUOM RAPPORT SUR LA THÉRAPIE OPTIMALE. Supporting Informed Decisions. À l appui des décisions éclairées
RAPPORT SUR LA THÉRAPIE OPTIMALE SCPUOM vol. 1, numéro 2 mars 2007 Données probantes sur l utilisation des IPP en présence de reflux gastro-œsophagien, de dyspepsie et d ulcère gastroduodénal : Rapport
Plus en détailCLINIMIX AVIS DE LA COMMISSION DE LA TRANSPARENCE
CLINIMIX AVIS DE LA COMMISSION DE LA TRANSPARENCE BAXTER_CLINIMIX N9G15 E et N12G20E_Avis CT_14-02-2007.pdf BAXTER_CLINIMIX N9G15E N12G20E N14G30 N17G35_Avis CT_12-12-2001.pdf BAXTER_CLINIMIX changement
Plus en détailDISTRIBUTION DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR VOIE ORALE PAR L INFIRMIERE : RISQUE DE NON PRISE DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR LE PATIENT
INSTITUT DE FORMATION DES CADRES DE SANTE ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS ACTIVITE PROFESSIONNELLE N 8 : LE CADRE GERE LES RISQUES CONCERNANT LES PRESTATIONS, LES CONDITIONS DE TRAVAIL DES PERSONNELS,
Plus en détailACCUEIL DE JOUR ET HEBERGEMENT TEMPORAIRE POUR PERSONNES AGEES EN POITOU-CHARENTES
OBSERVATOIRE REGIONAL DE LA SANTE Poitou-Charentes ACCUEIL DE JOUR ET HEBERGEMENT TEMPORAIRE POUR PERSONNES AGEES EN POITOU-CHARENTES Enquête auprès des établissements de Poitou-Charentes Etude commanditée
Plus en détailFaut-il encore modifier nos pratiques en 2013?
Anti-agrégants, anticoagulants et Endoscopie digestive Faut-il encore modifier nos pratiques en 2013? Christian Boustière, Marseille ANGIOPAS Essai de phase II randomisé multicentrique évaluant l efficacité
Plus en détailDanielle D Amour, inf. Ph.D. IUFRS 24 février 2011
+ Miser sur le renouvellement de l organisation des services infirmiers pour améliorer la qualité et la sécurité des soins Danielle D Amour, inf. Ph.D. IUFRS 24 février 2011 + Membres de l équipe Carl-Ardy
Plus en détailEt si on utilisait le vélo?
Et si on utilisait le vélo? Marc Eloy Ivan Derré Juillet 2014 Paris peut elle devenir comme Copenhague une capitale symbole du déplacement en vélo? Le développement du Vélib, la mise en place de voies
Plus en détailTests paramétriques de comparaison de 2 moyennes Exercices commentés José LABARERE
Chapitre 5 UE4 : Biostatistiques Tests paramétriques de comparaison de 2 moyennes Exercices commentés José LABARERE Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés.
Plus en détailPEUT ON PRESCRIRE HORS AMM? LE POINT DE VUE DU CLINICIEN
PEUT-ON PRESCRIRE HORS AMM 17 PEUT ON PRESCRIRE HORS AMM? LE POINT DE VUE DU CLINICIEN P. Albaladejo, B. Caillet, Département d Anesthésie-Réanimation de Bicêtre Hôpital de Bicêtre, 78, rue du Gal Leclerc,
Plus en détailGASTRO-ENTEROLOGIE. Variabilité. A des entrées. B des sites anatomiques. C inter-individuelle. D intra-individuelle
GASTRO-ENTEROLOGIE Variabilité A des entrées B des sites anatomiques 2 l externe + 2 l interne 15 litres sécrétion-absorption entrée 2 l duodénum 4 l grêle 3 l côlon 0,3 l anus 0,3 l œsophage 10" estomac
Plus en détail1 - Que faut-il retenir sur les anticoagulants oraux?
La nouvelle convention pharmaceutique offre l opportunité aux pharmaciens d accompagner les patients traités par anticoagulants oraux au long cours afin de prévenir les risques iatrogéniques. Les anticoagulants
Plus en détailEXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE
EXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE Etape n 1 : Faire l état des lieux Identifier la situation
Plus en détailNouveaux anticoagulants oraux : aspects pratiques
Nouveaux anticoagulants oraux : aspects pratiques Christelle MARQUIE CHRU de Lille Clinique de Cardiologie L i l l e 2 Université du Droit et de la Santé Les NOAG: QCM 1. ont les mêmes indications que
Plus en détail