Le changement climatique et ses conséquences en Martinique

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Le changement climatique et ses conséquences en Martinique"

Transcription

1 Le changement climatique et ses conséquences en Martinique Pascal SAFFACHE Professeur des Universités Yoann PELIS Chargé de mission au Parc Naturel Régional de la Martinique

2 QUELLE EST LA SITUATION ACTUELLE? Elévation générale des températures due aux émissions de gaz à effet de serre (G.E.S.). De 1910 à nos jours, la température moyenne du globe s est élevée de + 0,85 C, et on attend une élévation comprise entre + 1,4 et + 5,6 C pour les prochaines décennies. Des effets induits : 1. Fonte des glaces polaires 2. Recul des glaciers de montagnes (ex : Kilimandjaro) 3. Elévation du niveau de la mer (+ de 25 cm au cours des 120 dernières années / + 26 à + 82 cm en 2100)

3 1. CONSÉQUENCE DE LA MONTÉE DES EAUX DANS LA CARAÏBE INSULAIRE Accumulation de G.E.S Intrusion marine à forte action érosive Littoral entièrement à forte vulnérabilité ennoyé Fonte des des glaciers Montée des eaux

4 2. CONSÉQUENCE DES SURCOTES MARINES DANS LA CARAÏBE INSULAIRE

5 ÉLÉVATION DU NIVEAU DE LA MER EN 2060 ± 10 cm 2060 Montée des eaux de 2 mm.an -1. En 2060 hausse du niveau de la mer d une dizaine de cm environ

6 VUE SYNOPTIQUE DES INTRUSIONS MARINES DANS LA CARAÏBE INSULAIRE EN 2060

7 ETUDE DE CAS Les Bahamas

8 Les Bahamas - Caraïbes

9 Les Bahamas - Caraïbes Scenarii retenus pour les simulations : RCP 4.5 (anciennement B1) et RCP 8.5 (anciennement A2) CONSÉQUENCES DE L ÉLÉVATION DU NIVEAU DE LA MER À HORIZON (+0,38 À +0,51 M)

10 ETUDE DE CAS Cuba

11 Cuba - Caraïbes

12 Cuba - Caraïbes Scenarii retenus pour les simulations : RCP 4.5 (anciennement B1) et RCP 8.5 (anciennement A2) CONSÉQUENCES DE L ÉLÉVATION DU NIVEAU DE LA MER À HORIZON (+0,38 À +0,51 M)

13 ETUDE DE CAS La Guadeloupe

14 La Guadeloupe - Caraïbes

15 La Guadeloupe - Caraïbes Scenarii retenus pour les simulations : RCP 4.5 (anciennement B1) et RCP 8.5 (anciennement A2) CONSÉQUENCES DE L ÉLÉVATION DU NIVEAU DE LA MER À HORIZON (+0,38 À +0,51 M)

16 La Guadeloupe - Caraïbes Scenarii retenus pour les simulations : RCP 4.5 (anciennement B1) et RCP 8.5 (anciennement A2) CONSÉQUENCES DE L ÉLÉVATION DU NIVEAU DE LA MER À HORIZON (+0,38 À +0,51 M) + UNE ONDE DE TEMPÊTE DE 3 M

17 ETUDE DE CAS Martinique : Fort-de-France

18 Fort-de-France - Martinique

19 Fort-de-France - Martinique Scenarii retenus pour les simulations : RCP 4.5 (anciennement B1) et RCP 8.5 (anciennement A2) Conséquences de l élévation du niveau de la mer à horizon (+0,38 à +0,51 m)

20 Fort-de-France - Martinique Scenarii retenus pour les simulations : RCP 4.5 (anciennement B1) et RCP 8.5 (anciennement A2) Conséquences de l élévation du niveau de la mer à horizon (+0,38 à +0,51 m) + une onde de tempête de 3 m

21 Fort-de-France - Martinique Scenarii retenus pour les simulations : RCP 4.5 (anciennement B1) et RCP 8.5 (anciennement A2) Conséquences de l élévation du niveau de la mer à horizon (+0,38 à +0,51 m) + une onde de tempête de 5 m

22 ETUDE DE CAS Martinique : Le Marin

23 Le Marin - Martinique

24 Le Marin - Martinique Scenarii retenus pour les simulations : RCP 4.5 (anciennement B1) et RCP 8.5 (anciennement A2) Conséquences de l élévation du niveau de la mer à horizon (+0,38 à +0,51 m)

25 Scenarii retenus pour les simulations : B1 et A2 Etude de cas : Le Marin - Martinique RAPPEL DES PROJECTIONS CLIMATIQUES Scenarii retenus pour les simulations : (GIEC) RCP 4.5 (anciennement À HORIZON B1) et RCP (anciennement 2100 A2) Conséquences de l élévation du niveau de la mer à horizon (+0,38 à +0,51 m) + une onde de tempête de 3 m

26 Le Marin - Martinique Scenarii retenus pour les simulations : RCP 4.5 (anciennement B1) et RCP 8.5 (anciennement A2) Conséquences de l élévation du niveau de la mer à horizon (+0,38 à +0,51 m) + une onde de tempête de 5 m

27 ETUDE DE CAS Martinique : Le Robert

28 Le Robert - Martinique

29 Le Robert - Martinique Scenarii retenus pour les simulations : RCP 4.5 (anciennement B1) et RCP 8.5 (anciennement A2) Conséquences de l élévation du niveau de la mer à horizon (base : +0,38 à +0,51 m)

30 Le Robert - Martinique Scenarii retenus pour les simulations : RCP 4.5 (anciennement B1) et RCP 8.5 (anciennement A2) Conséquences de l élévation du niveau de la mer à horizon (base : +0,38 à +0,51 m) + une onde de tempête de 3 m

31 Le Robert - Martinique Scenarii retenus pour les simulations : RCP 4.5 (anciennement B1) et RCP 8.5 (anciennement A2) Conséquences de l élévation du niveau de la mer à horizon (base : +0,38 à +0,51 m) + une onde de tempête de 5 m

32 ETUDE DE CAS Martinique : Le François

33 Le François - Martinique

34 Le François - Martinique Scenarii retenus pour les simulations : RCP 4.5 (anciennement B1) et RCP 8.5 (anciennement A2) CONSÉQUENCES DE L ÉLÉVATION DU NIVEAU DE LA MER À HORIZON (+0,38 À +0,51 M)

35 Le François - Martinique Scenarii retenus pour les simulations : RCP 4.5 (anciennement B1) et RCP 8.5 (anciennement A2) CONSÉQUENCES DE L ÉLÉVATION DU NIVEAU DE LA MER À HORIZON (+0,38 À +0,51 M) + UNE ONDE DE TEMPÊTE DE 3 M

36 Porto Rico - Caraïbes Scenarii retenus pour les simulations : RCP 4.5 (anciennement B1) et RCP 8.5 (anciennement A2) CONSÉQUENCES DE L ÉLÉVATION DU NIVEAU DE LA MER À HORIZON (+0,38 À +0,51 M) + UNE ONDE DE TEMPÊTE DE 5 M

37 AVANCÉE DE LA MER DANS LE BOURG DU FRANÇOIS 30/09/2015

38 CONCLUSION Que faire pour protéger les populations d une élévation potentielle du niveau de la mer (d autant qu il y a une très forte littoralisation des hommes et de leurs activités)? Quelques pistes : Informer la population Initier des groupes de travail pluridisciplinaire Élargir ces groupes de travail à nos voisins caribéens Réfléchir à une stratégie de repli et à de possibles opérations de «durcification» de la ligne de rivage

Synthèse SYNTHESE - 1 - DIRECTION GENERALE DE L ENERGIE ET DU CLIMAT. Service du climat et de l efficacité énergétique

Synthèse SYNTHESE - 1 - DIRECTION GENERALE DE L ENERGIE ET DU CLIMAT. Service du climat et de l efficacité énergétique DIRECTION GENERALE DE L ENERGIE ET DU CLIMAT Service du climat et de l efficacité énergétique Observatoire national sur les effets du réchauffement climatique Synthèse SYNTHESE Prise en compte de l'élévation

Plus en détail

Le petit guide illustré de l ISR*

Le petit guide illustré de l ISR* Le petit guide illustré de l ISR* * Investissement Socialement Responsable document non contractuel L investisseur potentiel qui peut devenir acteur ESG* via l ISR Le professionnel de la démarche ISR L

Plus en détail

Changement du trait de côte et images satellites. Tempêtes 2014, plage de la Salie, côte atlantique française

Changement du trait de côte et images satellites. Tempêtes 2014, plage de la Salie, côte atlantique française Les tempêtes L expert Avec la crise climatique, les rivages subissent plus durement les assauts de la mer et les crues de fleuves. Pour anticiper et prévenir des risques d érosion et d inondation, il est

Plus en détail

Comment développer Ecoville : le cahier des charges

Comment développer Ecoville : le cahier des charges Comment développer Ecoville : le cahier des charges Les élus d Ecoville ont besoin de vous pour décider du futur de la commune. Ce document vous explique les objectifs principaux et les phases de développement

Plus en détail

PROJET ACCLIMATE ETUDE SIM-CLIM THEME 3 Etude bilan des possibilités d une simulation climatique régionale

PROJET ACCLIMATE ETUDE SIM-CLIM THEME 3 Etude bilan des possibilités d une simulation climatique régionale Commission de l Océan Indien Projet ACCLIMATE 1 PROJET ACCLIMATE ETUDE SIM-CLIM THEME 3 Etude bilan des possibilités d une simulation climatique régionale Résumé Commission de l Océan Indien Projet ACCLIMATE

Plus en détail

25 septembre 2015. Programme niveau Lycée

25 septembre 2015. Programme niveau Lycée 25 septembre 2015 Programme niveau Lycée Le Carrefour des Solutions 80 stands à découvrir à travers un questionnaire adapté à chaque niveau (primaire/collège/lycée). Les élèves sont invités à parcourir

Plus en détail

CONCOURS EXTERNE DE RECRUTEMENT DE PROFESSEURS CERTIFIÉS ET CONCOURS D ACCÈS À DES LISTES D APTITUDE (CAFEP)

CONCOURS EXTERNE DE RECRUTEMENT DE PROFESSEURS CERTIFIÉS ET CONCOURS D ACCÈS À DES LISTES D APTITUDE (CAFEP) Repère à reporter sur la copie SESSION DE 28 CONCOURS EXTERNE DE RECRUTEMENT DE PROFESSEURS CERTIFIÉS ET CONCOURS D ACCÈS À DES LISTES D APTITUDE (CAFEP) Section : SCIENCES DE LA VIE ET DE LA TERRE COMPOSITION

Plus en détail

Climat : vers le point de rupture?

Climat : vers le point de rupture? Climat : vers le point de rupture? Nouvelles données scientifiques sur la crise climatique BRIEFING Avril 2009 Climat : vers le point de rupture? Nouvelles données scientifiques sur la crise climatique

Plus en détail

GEV MP C 200 kw 225 kw 250 kw 275 kw. L éolien visionnaire

GEV MP C 200 kw 225 kw 250 kw 275 kw. L éolien visionnaire GEV MP C 200 kw 225 kw 250 kw 275 kw L éolien visionnaire GEV MP 200-275 kw Diamètre de rotor 32 m Hauteur 55/60 m De l énergie jusqu au bout du monde Les sites les plus difficiles à équiper en infrastructures

Plus en détail

Tarifs de vente du gaz naturel TVA incluse au 1er avril 2015. Tarifs de vente du gaz naturel TVA incluse au 1er mars 2015

Tarifs de vente du gaz naturel TVA incluse au 1er avril 2015. Tarifs de vente du gaz naturel TVA incluse au 1er mars 2015 s de vente du gaz naturel TVA incluse au 1er avril 2015 Abonnement 66,43 EUR/an 78,33 EUR/an 226,57 EUR/an 226,57 EUR/an 1616,95 EUR/an 7332,56 EUR/an Hiver (1) Eté (1) Hiver (1) Eté (1) 1 10,06 8,24 5,51

Plus en détail

enquête pour les fautes sur le fond, ce qui est graves pour une encyclopédie.

enquête pour les fautes sur le fond, ce qui est graves pour une encyclopédie. 4.0 Contrôles /4 4 e enquête pour les fautes sur le fond, ce qui est graves pour une encyclopédie. RPPEL de 0. Wikipédia 2/2 Dans le chapitre : XX e siècle : ( 4.0 mythe paroxysme ) sous la photo d un

Plus en détail

Changements Climatiques 2007

Changements Climatiques 2007 Changements Climatiques 2007 R apport de sy nthèse OMM Un rapport du Groupe d experts intergouvernemental sur l évolution du climat PNUE Bilan 2007 des changements climatiques : Rapport de synthèse Publié

Plus en détail

La diversité des climats

La diversité des climats Les interactions entre l océan et l atmosphère Chaque jour, la météorologie occupe une place importante (voire le devant de la scène), lorsque surviennent tempêtes, vagues de chaleur ou de froid, ou inondations.

Plus en détail

ASSUR-BP Auto des Particuliers

ASSUR-BP Auto des Particuliers ASSUR-BP Auto des Particuliers Assurez votre véhicule au plus près de vos besoins et de votre budget. EN BREF ASSUR-BP Auto est un contrat d assurance automobile modulable qui prend soin de votre véhicule

Plus en détail

Défibrillateur Cardiaque Automatisé

Défibrillateur Cardiaque Automatisé Défibrillateur Cardiaque Automatisé Décret n 2007-705 du 4 mai 2007 : autorise toute personne, même non médecin, à utiliser un défibrillateur pour sauver des vies. Def-i Accessible au grand public, ce

Plus en détail

Économisons l énergie! 11

Économisons l énergie! 11 Économisons l énergie! 11 Objectifs Prendre conscience de sa consommation d énergie. Maîtriser sa consommation d énergie afin de réduire l émission de gaz à effet de serre (mettre en place gestes et actions).

Plus en détail

ARGIA : RTE fait la lumière sur 2 années d exploitation

ARGIA : RTE fait la lumière sur 2 années d exploitation N ARGIA : RTE fait la lumière sur 2 années d exploitation Villefranque, le 30 novembre 2004 DOSSIER DE PRESSE Contact presse : Pierre Claverie : Directeur de Projets : 06 75 65 41 23 : Téléphone fixe :

Plus en détail

EXPRIMEZ-VOUS LORS DU CHOIX DE VOS PNEUS : EXIGEZ DES PNEUS SÛRS, ÉNERGÉTIQUEMENT EFFICACES ET SILENCIEUX! WWW.ETIQUETTE-PNEUS.CH

EXPRIMEZ-VOUS LORS DU CHOIX DE VOS PNEUS : EXIGEZ DES PNEUS SÛRS, ÉNERGÉTIQUEMENT EFFICACES ET SILENCIEUX! WWW.ETIQUETTE-PNEUS.CH EXPRIMEZ-VOUS LORS DU CHOIX DE VOS PNEUS : EXIGEZ DES PNEUS SÛRS, ÉNERGÉTIQUEMENT EFFICACES ET SILENCIEUX! POUR DE MEILLEURS PNEUS SUR LES ROUTES SUISSES S exprimer lors du choix des pneus? Donner son

Plus en détail

Défi Transition énergétique : ressources, société, environnement ENRS Projet Exploratoire PALEOSTOCK

Défi Transition énergétique : ressources, société, environnement ENRS Projet Exploratoire PALEOSTOCK Des traitements thermiques de matériaux lithiques du paléolithique destinés à faciliter leur taille, aux prétraitements adaptés à leur usage en stockage thermique haute température. Contexte «Stockage»

Plus en détail

Cartes de l étendue des eaux libres liés aux inondations Guide des produits

Cartes de l étendue des eaux libres liés aux inondations Guide des produits Cartes de l étendue des eaux libres liés aux inondations Guide des produits Contexte Les crues ont parfois des effets dévastateurs sur la vie humaine, les infrastructures, l économie, les espèces sauvages

Plus en détail

et la promotion de l action en faveur du climat

et la promotion de l action en faveur du climat La Banque européenne d investissement et la promotion de l action en faveur du climat Les changements climatiques constituent l une des principales menaces d un point de vue environnemental, social et

Plus en détail

Que sont les sources d énergie renouvelable?

Que sont les sources d énergie renouvelable? Que sont les sources d énergie renouvelable? Comme leur nom l indique, il s agit de sources qui se renouvellent et ne s épuiseront donc jamais à l échelle du temps humain! Les sources non renouvelables

Plus en détail

CHANGEMENTS CLIMATIQUES 2013

CHANGEMENTS CLIMATIQUES 2013 CHANGEMENTS CLIMATIQUES 2013 Les éléments scientifiques Résumé à l intention des décideurs GT I CONTRIBUTION DU GROUPE DE TRAVAIL I AU CINQUIÈME RAPPORT D ÉVALUATION DU GROUPE D EXPERTS INTERGOUVERNEMENTAL

Plus en détail

UNE REFLEXION PREALBLE

UNE REFLEXION PREALBLE UNE REFLEXION PREALBLE NOUS N AVONS JAMAIS ETE AUSSI RICHES IL N Y A JAMAIS EU AUTANT DE PAUVRES QUI GERE LA REPARTITION? 1 ÉNERGIE ET TRANSITION Comprendre la situation est facile Ce qu il faut faire

Plus en détail

PLAN SEISME ANTILLES

PLAN SEISME ANTILLES Direction générale de la prévention des risques PLAN SEISME ANTILLES Note de synthèse Bilan 2008 et perspectives 2009-2010 Présent pour l avenir Ministère de l écologie, de l énergie, du développement

Plus en détail

«Une heure pour savoir»

«Une heure pour savoir» PLAN CYCLONE. ORGANISATION DÉPARTEMENTALE ET ZONALE DE LA GESTION DE CRISE «Une heure pour savoir» LE 8 JUILLET 2011 E.FONTANILLE/ J. VINCENT Les CYCLONES aux ANTILLES Depuis 1986 le Cyclone (en Grec Dieu

Plus en détail

Discours de Philippe MARTIN Ministre de l Écologie, du Développement durable et de l Énergie

Discours de Philippe MARTIN Ministre de l Écologie, du Développement durable et de l Énergie Philippe MARTIN, Ministre de l Écologie, du Développement durable et de l Énergie Paris, le jeudi 6 février 2014 Discours de Philippe MARTIN Ministre de l Écologie, du Développement durable et de l Énergie

Plus en détail

Le DUT est un diplôme professionnel qui permet une entrée directe sur le marché du travail ou une poursuite d études.

Le DUT est un diplôme professionnel qui permet une entrée directe sur le marché du travail ou une poursuite d études. GENERALITES Le DUT est un diplôme professionnel qui permet une entrée directe sur le marché du travail ou une poursuite d études. Des poursuites d études peuvent être envisagées dans différents types de

Plus en détail

GUIDE de L ÉCO CITOYEN. au BUREAU

GUIDE de L ÉCO CITOYEN. au BUREAU GUIDE de L ÉCO CITOYEN au BUREAU SUIVEZ LE GUIDE...................................................................... p.03 QUELS BESOINS, QUELS IMPACTS? ce qui est consommé ce qui est rejeté > Transport

Plus en détail

Optimisation de l équilibre offre-demande, rôle des interconnexions et impact de l arrêt du nucléaire allemand pour EDF

Optimisation de l équilibre offre-demande, rôle des interconnexions et impact de l arrêt du nucléaire allemand pour EDF Optimisation de l équilibre offre-demande, rôle des interconnexions et impact de l arrêt du nucléaire allemand pour EDF 07 juin 2011 Philippe TORRION Directeur Optimisation Amont/Aval et Trading Sommaire

Plus en détail

L Allemagne championne des énergies propres?

L Allemagne championne des énergies propres? L Allemagne championne des énergies propres? La chancelière allemande a tranché, l Allemagne sera la première grande puissance industrielle européenne à sortir du nucléaire. Et ceci rapidement puisque

Plus en détail

Projet de Réforme des Transports

Projet de Réforme des Transports Projet de Réforme des Transports Stratégie globale et focus sur l AOT unique/habilitation Septembre 2012 DGA BTP DEPT -Mission Transport Mobilité Eléments de contexte - Les contraintes du territoire -Insularité

Plus en détail

Bilan électrique français ÉDITION 2014

Bilan électrique français ÉDITION 2014 Bilan électrique français ÉDITION 2014 Dossier de presse Sommaire 1. La baisse de la consommation 6 2. Le développement des ENR 8 3. Le recul de la production thermique fossile 9 4. La baisse des émissions

Plus en détail

AGENCE DU LAMENTIN. Immeuble Gondeau Palmiste 97232 Le Lamentin Tél. : 0596 75 76 77. lamentin@groupimo.com CP : 164T

AGENCE DU LAMENTIN. Immeuble Gondeau Palmiste 97232 Le Lamentin Tél. : 0596 75 76 77. lamentin@groupimo.com CP : 164T N 0 56 Martinique Découvrez à Didier, cette charmante résidence de 4 appartements T1 et T2 plus une villa T5, au calme, à proximité des commerces, écoles, collèges, cliniques, administrations... Tél. 0596

Plus en détail

Groupe Télégramme Le Groupe Télégramme se renforce dans l événementiel à l international avec OC Sport

Groupe Télégramme Le Groupe Télégramme se renforce dans l événementiel à l international avec OC Sport COMMUNIQUE DE PRESSE Morlaix, le 07 juillet 2014 Groupe Télégramme Le Groupe Télégramme se renforce dans l événementiel à l international avec OC Sport Spécialiste des médias depuis 70 ans, et fort de

Plus en détail

Atelier marin. - Vers un suivi optimal des lagons et récifs -

Atelier marin. - Vers un suivi optimal des lagons et récifs - Observatoire de l environnement en Nouvelle-Calédonie Atelier marin - Vers un suivi optimal des lagons et récifs - Bases de données de la CPS pour les pêches récifales: Objectifs, réalisations et retour

Plus en détail

EFFET DOPPLER EXOPLANETES ET SMARTPHONES.

EFFET DOPPLER EXOPLANETES ET SMARTPHONES. EFFET DOPPLER EXOPLANETES ET SMARTPHONES. I. APPLICATIONS UTILISEES POUR CETTE ACTIVITE : Sauf indication les applications sont gratuites. 1.Pour connaître les exoplanetes : Exoplanet (android et IOS)

Plus en détail

Eric Chaumillon UMR CNRS 7266 Littoral Environnement et Sociétés LIENSs Université de la Rochelle

Eric Chaumillon UMR CNRS 7266 Littoral Environnement et Sociétés LIENSs Université de la Rochelle Eric Chaumillon UMR CNRS 7266 Littoral Environnement et Sociétés LIENSs Université de la Rochelle 7ème Journée de restitution des résultats de l Observatoire du Patrimoine Naturel Marais poitevin jeudi

Plus en détail

Présentation et proposition d engagement. Conseil Municipal de Courtry 13/06/2013

Présentation et proposition d engagement. Conseil Municipal de Courtry 13/06/2013 COMMUNAUTE D AGGLOMERATION MARNE ET CHANTEREINE AGENDA 21 - DEVELOPPEMENT DURABLE PLAN CLIMAT ENERGIE TERRITORIAL Présentation et proposition d engagement Conseil Municipal de Courtry 13/06/2013 DE QUOI

Plus en détail

BUDGET ETUDIANT. Gérer pour optimiser

BUDGET ETUDIANT. Gérer pour optimiser BUDGET ETUDIANT Gérer pour optimiser Etudier à l Université de Savoie Le budget mensuel d un étudiant atteint en moyenne 620 en résidence universitaire et 800 en logement hors CROUS Les différents postes

Plus en détail

Influence du changement. agronomiques de la vigne

Influence du changement. agronomiques de la vigne Influence du changement climatique sur les résultatsr agronomiques de la vigne à l'aide du modèle STICS Iñaki García a de Cortázar Atauri Unité CSE - Avignon Réunion Protection du Vignoble Changement Climatique

Plus en détail

Brevet Professionnel

Brevet Professionnel Brevet Professionnel ASSURANCES E32 Communication professionnelle orale Durée : 20 +20 Coefficient : 2 Session 2014 Ce sujet se compose de 8 pages, numérotées de 1/8 à 8/8. Dès que le sujet vous est remis,

Plus en détail

Robert Guichet. Conférence DERBI Juin 2008

Robert Guichet. Conférence DERBI Juin 2008 Robert Guichet Conférence DERBI Juin 2008 Plan de l exposé 1) Introduction le bâtiment et l énergie les enjeux 2) Le projet Monitoring THPE les partenaires la réglementation l indicateur de performance

Plus en détail

RAPPORT ANNUEL SUR LE PRIX ET LA QUALITE DU SERVICE PUBLIC D ASSAINISSEMENT COLLECTIF

RAPPORT ANNUEL SUR LE PRIX ET LA QUALITE DU SERVICE PUBLIC D ASSAINISSEMENT COLLECTIF RAPPORT ANNUEL SUR LE PRIX ET LA QUALITE DU SERVICE PUBLIC D ASSAINISSEMENT COLLECTIF Exercice 2008 1 Conformément au décret n 95-635 du 06 mai 1995 mod ifié. Les données techniques contenues dans ce rapport

Plus en détail

FAO-Adapt. Programme-cadre sur l adaptation au changement climatique

FAO-Adapt. Programme-cadre sur l adaptation au changement climatique FAO-Adapt Programme-cadre sur l adaptation au changement climatique FAO-Adapt Programme-cadre sur l adaptation au changement climatique ORGANISATION DES NATIONS UNIES POUR L ALIMENTATION ET L AGRICULTURE

Plus en détail

Préfecture du Territoire de Belfort. Charte Eco-Responsable

Préfecture du Territoire de Belfort. Charte Eco-Responsable Préfecture du Territoire de Belfort Charte Eco-Responsable Mai 2009 UN ETAT ECO-RESPONSABLE "Notre maison brûle et nous regardons ailleurs. La nature, mutilée, surexploitée, ne parvient plus à se reconstituer

Plus en détail

Le logiciel de gestion 100% en ligne

Le logiciel de gestion 100% en ligne Le logiciel de gestion 100% en ligne p 2/3 > Elgeaweb dans Easysystème p 4/5 > Elgeaweb, qu est-ce que c est? > Pourquoi choisir Elgeaweb? p 6/11 > Les principales fonctionnalités p 12 > Contacts pour

Plus en détail

Conception : Éric Loddé. Imprimé en France (IOC/BRO/2010/5) UNESCO/COI 2010 (3027_10)

Conception : Éric Loddé. Imprimé en France (IOC/BRO/2010/5) UNESCO/COI 2010 (3027_10) Les appellations employées dans cette publication et la présentation des données qui y gurent n impliquent de la part du Secrétariat de l UNESCO aucune prise de position quant au statut juridique des pays

Plus en détail

L énergie nucléaire au sein du mix énergétique belge

L énergie nucléaire au sein du mix énergétique belge L énergie nucléaire au sein du mix énergétique belge 1. Sécurité d approvisionnement Le taux de dépendance énergétique de la Belgique est plus important que la moyenne européenne. Ainsi en 2011, le taux

Plus en détail

Votre Stratégie Énergétique, Performante et Écologique, avec cette petite flamme en plus qui change tout!

Votre Stratégie Énergétique, Performante et Écologique, avec cette petite flamme en plus qui change tout! Votre Stratégie Énergétique, Performante et Écologique, avec cette petite flamme en plus qui change tout! «Nous n héritons pas de la terre de nos ancêtres, nous l empruntons à nos enfants» Antoine de Saint-Exupéry

Plus en détail

Formation à l utilisation du défibrillateur semi-automatique (DSA)

Formation à l utilisation du défibrillateur semi-automatique (DSA) Formation à l utilisation du défibrillateur semi-automatique (DSA) Que devons nous savoir? Utiliser en toute sécurité un défibrillateur semi-automatique au cours de la réanimation cardio-pulmonaire Durée

Plus en détail

Microsoft Excel : tables de données

Microsoft Excel : tables de données UNIVERSITE DE LA SORBONNE NOUVELLE - PARIS 3 Année universitaire 2000-2001 2ème SESSION SLMD2 Informatique Les explications sur la réalisation des exercices seront fournies sous forme de fichiers informatiques.

Plus en détail

LA NORME RABC EN BLANCHISSERIE NOYONS SEPTEMBRE 2012

LA NORME RABC EN BLANCHISSERIE NOYONS SEPTEMBRE 2012 LA NORME RABC EN BLANCHISSERIE NOYONS SEPTEMBRE 2012 SOMMAIRE La norme RABC, qu est-ce que c est? Les grandes lignes La blanchisserie et la Fonction linge - incidences sur l application de la méthode Les

Plus en détail

La gestion du risque chez AXA

La gestion du risque chez AXA Séminaire International de la Presse Suduiraut 21 & 22 juin 2006 La gestion du risque chez AXA François Robinet Chief Risk officer Groupe AXA Sommaire I. La Gestion du Risque : Définition D II. III. La

Plus en détail

Les calottes polaires Isostasie Champ de température

Les calottes polaires Isostasie Champ de température 1 M2R STUE / Cours «Neige et Glace» Les calottes polaires Isostasie Champ de température F. Parrenin Laboratoire de Glaciologie et Géophysique de l'environnement Grenoble 2 L'isostasie sous-glaciaire Rigidité

Plus en détail

Cli Made. CliMade 2015. Média social & innovant au service de COP21 et des initiatives sur le climat. CliMade 2015

Cli Made. CliMade 2015. Média social & innovant au service de COP21 et des initiatives sur le climat. CliMade 2015 Cli Made CliMade 2015 Média social & innovant au service de COP21 et des initiatives sur le climat CliMade 2015 Le contexte Le sommet officiel et les événements associés 1 événement mondial au Bourget

Plus en détail

Changement Climatique (1/2) : Qu est-ce que c est?

Changement Climatique (1/2) : Qu est-ce que c est? Dossier pédagogique 3 Langues, géographie, sciences, histoire Changement Climatique (1/2) : Qu est-ce que c est? plus de 100 ans de recherches scientifiques Changement climatique, Effet de serre, gaz à

Plus en détail

ADRESSES PHYSIQUES DES BUREAUX MARINE CENTRES D INFORMATION ET DE RECRUTEMENT DES FORCES ARMEES (CIRFA)

ADRESSES PHYSIQUES DES BUREAUX MARINE CENTRES D INFORMATION ET DE RECRUTEMENT DES FORCES ARMEES (CIRFA) MAJ 05/11/14 ADRESSES PHYSIQUES DES BUREAUX MARINE CENTRES D INFORMATION ET DE RECRUTEMENT DES FORCES ARMEES (CIRFA) AU CIRFA AJACCIO 18 avenue Colonel Colonna d Ornano 20000 AJACCIO Tel : 04.20.00.70.86

Plus en détail

Modélisation couplée des processus de surface et souterrains pour prédire la distribution spatiale de l'évapotranspiration.

Modélisation couplée des processus de surface et souterrains pour prédire la distribution spatiale de l'évapotranspiration. Contacts : jean-martial.cohard@ujf-grenoble.fr AMA Fall Meeting 2013 Toulouse, 22-24 janvier Modélisation couplée des processus de surface et souterrains pour prédire la distribution spatiale de l'évapotranspiration.

Plus en détail

Eléments de doctrine de maîtrise de l'urbanisation dans les zones à risques proposée par la DDTM en l'attente de validation en CAR

Eléments de doctrine de maîtrise de l'urbanisation dans les zones à risques proposée par la DDTM en l'attente de validation en CAR Eléments de doctrine de maîtrise de l'urbanisation dans les zones à risques proposée par la DDTM en l'attente de validation en CAR 1) contexte général Le département du Morbihan est soumis aux risques

Plus en détail

Bilan thermique et social simplifié

Bilan thermique et social simplifié Bilan thermique et social simplifié Fiche descriptive logement 34 Maître d Ouvrage d Insertion : Pact Métropole Nord 25 rue de Lille 59 057 Roubaix Adresse logement : 32 quai de Rouen 59 100 ROUBAIX Informations

Plus en détail

Le débat sur les retraites offre un constat paradoxal. D un côté, avec la

Le débat sur les retraites offre un constat paradoxal. D un côté, avec la Retraites : Les scénarios de la réforme Samia BENALLAH *, Pierre CONCIALDI *, Michel HUSSON *, Antoine MATH * Le débat sur les retraites offre un constat paradoxal. D un côté, avec la profusion des rapports

Plus en détail

Dépistage du cancer colorectal :

Dépistage du cancer colorectal : Dépistage du cancer colorectal : Quels enjeux? Robert Benamouzig Gastro-entérologie Hôpital Avicenne Bobigny Le cancer colorectal dans le monde 3ème cause de cancer Augmentation 1975 : 500 000 cas 1990

Plus en détail

gelato italiano d eccellenza by Gelato Club

gelato italiano d eccellenza by Gelato Club gelato italiano d eccellenza by Gelato Club FR gelato italiano d eccellenza by Gelato Club Movo est un système très dynamique. Movo qu est-que c est? Connue dans le monde entier, la glace est un des produits

Plus en détail

Science et technologie : Le truc de Newton

Science et technologie : Le truc de Newton Science et technologie : Le truc de Newton Une caractéristique fondamentale de la science c est le lien étroit qui l unit à la technologie. La science cherche les règles du monde matériel et la technologie

Plus en détail

Workshop franco-polish on Mainstreaming climate change into realization of projects. Making vulnerable investments climate resilient

Workshop franco-polish on Mainstreaming climate change into realization of projects. Making vulnerable investments climate resilient Workshop franco-polish on Mainstreaming climate change into realization of projects. Making vulnerable investments climate resilient ------------- Volet Infrastructures et services de transport du plan

Plus en détail

Bilan thermique et social simplifié

Bilan thermique et social simplifié Bilan thermique et social simplifié Fiche descriptive logement Maître d Ouvrage d Insertion : Pact Métropole Nord 25 rue de Lille 59 057 Roubaix Adresse logement : 72 rue de Rome 59 100 Roubaix Informations

Plus en détail

Fonctions de plusieurs variables

Fonctions de plusieurs variables Module : Analyse 03 Chapitre 00 : Fonctions de plusieurs variables Généralités et Rappels des notions topologiques dans : Qu est- ce que?: Mathématiquement, n étant un entier non nul, on définit comme

Plus en détail

La Lettre de l IMSEPP

La Lettre de l IMSEPP La Lettre de l IMSEPP N 46 27 janvier 2015 Marché du travail 2014 en Martinique : Bilan d une année de demandes d emploi Page 1 16 Synthèse : Au mois de décembre 2014, la baisse tendancielle du nombre

Plus en détail

Comment le réchauffement de la planète va-t-il modifier notre milieu? Guide simplifié de Changements Climatiques 2001 : impacts, adaptation et

Comment le réchauffement de la planète va-t-il modifier notre milieu? Guide simplifié de Changements Climatiques 2001 : impacts, adaptation et Comment le réchauffement de la planète va-t-il modifier notre milieu? Guide simplifié de Changements Climatiques 2001 : impacts, adaptation et vulnérabilité du GIEC Publié par le Programme des Nations

Plus en détail

Investir dans l action pour le climat, investir dans LIFE

Investir dans l action pour le climat, investir dans LIFE Investir dans l action pour le climat, investir dans LIFE Un aperçu du nouveau sous-programme LIFE Action pour le climat 2014-2020 istock Action pour le climat Qu est-ce que le nouveau sous-programme LIFE

Plus en détail

Matthieu Wemaere Avocat aux Barreaux de Paris et Bruxelles

Matthieu Wemaere Avocat aux Barreaux de Paris et Bruxelles Etude des pratiques du secteur des banques et assurances pour faire face aux changements climatiques dans la gestion intégrée des zones côtières (GIZC) en Méditerranéenne Matthieu Wemaere Avocat aux Barreaux

Plus en détail

Le projet DRIAS : premières études et documents

Le projet DRIAS : premières études et documents Le projet DRIAS : premières études et documents Julien Lémond CNRM / GAME, Météo-France, CNRS Direction de la Climatologie Réunion Comité Utilisateurs, le 29 juin 2010 Plan de la présentation 1 ) Les services

Plus en détail

Savoir lire une carte, se situer et s orienter en randonnée

Savoir lire une carte, se situer et s orienter en randonnée Savoir lire une carte, se situer et s orienter en randonnée Le b.a.-ba du randonneur Fiche 2 Lire une carte topographique Mais c est où le nord? Quel Nord Le magnétisme terrestre attire systématiquement

Plus en détail

La modélisation, un outil pour reconstituer (et prédire) climat et végétation

La modélisation, un outil pour reconstituer (et prédire) climat et végétation La modélisation, un outil pour reconstituer (et prédire) climat et végétation Quels rôles jouent les surfaces continentales dans le système climatique? Nathalie de Noblet-Ducoudré nathalie.de-noblet@lsce.ipsl.fr

Plus en détail

Changements climatiques 2001: Rapport de synthèse

Changements climatiques 2001: Rapport de synthèse Changements climatiques 2001: Rapport de synthèse Rapport de synthèse Evaluation du Groupe d experts intergouvernemental sur l évolution du climat Ce résumé, intégralement approuvé à la XVIII e session

Plus en détail

Le système d information en classe de première STMG

Le système d information en classe de première STMG Le système d information en classe de première STMG Description du thème Propriétés Description Intitulé long Formation concernée Matière Thème Question de gestion Intitulé long Données, information et

Plus en détail

Nous avons soumis la question au (( Bureau sur les changements climatiques du ministère de l'environnement D qui nous a fait la réponse suivante :

Nous avons soumis la question au (( Bureau sur les changements climatiques du ministère de l'environnement D qui nous a fait la réponse suivante : Première question de la Commission 180 DB26 Dragage d'entretien du chenal entre Hudson et Oka Lac des Deux-Montagnes 6211.02-104 c Est-ce que vous savez si les gouvernements, provincial et fédéral, ont

Plus en détail

Promouvoir une énergie sûre, compétitive et durable en Europe

Promouvoir une énergie sûre, compétitive et durable en Europe Promouvoir une énergie sûre, compétitive et durable en Europe L une des priorités stratégiques de l Union européenne consiste à promouvoir une énergie sûre, compétitive et durable pour l Europe. La BEI

Plus en détail

Application à l astrophysique ACTIVITE

Application à l astrophysique ACTIVITE Application à l astrophysique Seconde ACTIVITE I ) But : Le but de l activité est de donner quelques exemples d'utilisations pratiques de l analyse spectrale permettant de connaître un peu mieux les étoiles.

Plus en détail

L opération étudiée : le SDEF

L opération étudiée : le SDEF L opération étudiée : le SDEF Situation géographique 29 Landivisiau Finistére Zone H2a Altitude : 34 m Acteurs de l opération Maitrise d ouvrage Maître d œuvre / Architecte BET Thermique SDEF Atelier 3

Plus en détail

LE RESEAU AFRICAIN D INFORMATION ENVIRONNEMENTALE

LE RESEAU AFRICAIN D INFORMATION ENVIRONNEMENTALE LE RESEAU AFRICAIN D INFORMATION ENVIRONNEMENTALE PREMIERE ETAPE : 2003 à 2004 Questionnaire DERNIER AVANT-PROJET, Version 2.1 RESEAU AFRICAIN D INFORMATION ENVIRONNEMENTALE - RAFINE EVALUATION DES CAPACITES

Plus en détail

Évolution du climat et désertification

Évolution du climat et désertification Évolution du climat et désertification FACTEURS HUMAINS ET NATURELS DE L ÉVOLUTION DU CLIMAT Les activités humaines essentiellement l exploitation de combustibles fossiles et la modification de la couverture

Plus en détail

Profils verticaux de la couverture nuageuse, de ses propriétés et des aérosols: données du lidar CALIOP et du radar CLOUDSAT (DARDAR) de 2006 à 2012

Profils verticaux de la couverture nuageuse, de ses propriétés et des aérosols: données du lidar CALIOP et du radar CLOUDSAT (DARDAR) de 2006 à 2012 T1.3 (Tropics) Diurnal cycle of cloud cover in the tropical regions: combined use of geostationary satellite, A-Train measurements and lidar/radar ground station measurements. Coordination : G. Sèze (LMD)

Plus en détail

CONVENTION-CADRE DE PARTENARIAT ENTRE LA FONDATION PRINCE ALBERT II DE MONACO

CONVENTION-CADRE DE PARTENARIAT ENTRE LA FONDATION PRINCE ALBERT II DE MONACO CONVENTION-CADRE DE PARTENARIAT ENTRE LA FONDATION PRINCE ALBERT II DE MONACO ET L UICN, UNION INTERNATIONALE POUR LA CONSERVATION DE LA NATURE ET DE SES RESSOURCES EN PRESENCE DE L INSTITUT OCEANOGRAPHIQUE,

Plus en détail

LE TABLEAU DE BORD DE SUIVI DE L ACTIVITE

LE TABLEAU DE BORD DE SUIVI DE L ACTIVITE TABLEAU DE BORD LE TABLEAU DE BORD DE SUIVI DE L ACTIVITE DEFINITION Le tableau de bord est un support (papier ou informatique) qui sert à collecter de manière régulière des informations permettant de

Plus en détail

GROUPE GRANDS MOULINS DE STRASBOURG

GROUPE GRANDS MOULINS DE STRASBOURG GRANDS MOULINS DE STRASBOURG S.A. SERVICES ADMINISTRATIFS : 1, Place Henry Levy B.P. 10080-67016 STRASBOURG CEDEX SIEGE SOCIAL : 61, AVENUE D IENA 75116 PARIS CODE ISIN : FR0000064180 Strasbourg le 23

Plus en détail

L équilibre offre-demande d électricité en France pour l été 2015

L équilibre offre-demande d électricité en France pour l été 2015 L équilibre offre-demande d électricité en France pour l été 2015 Synthèse Juin 2015 Sommaire Analyse globale 4 1. Prévision de consommation 5 2. Disponibilité du parc de production 7 3. Étude du risque

Plus en détail

ICELAND ROVERS INCENTIVES À L ÉCOUTE DE VOS ENVIES

ICELAND ROVERS INCENTIVES À L ÉCOUTE DE VOS ENVIES ICELAND ROVERS INCENTIVES À L ÉCOUTE DE VOS ENVIES INCENTIVES EN ISLANDE INCENTIVES Quand on pense incentives, la première idée est souvent le plaisir et l amusement. Mais une excursion incentive réussie,

Plus en détail

Caractéristiques techniques

Caractéristiques techniques Défibrillateur Philips HeartStart OnSite Caractéristiques techniques Défibrillateur Modèle Gamme de défibrillateur Éléments livrés Type d onde Énergie Intervalle entre chocs Délivrance rapide du choc Instructions

Plus en détail

IGN Usages et besoins d informations géographiques sur le littoral

IGN Usages et besoins d informations géographiques sur le littoral IGN Usages et besoins d informations géographiques sur le Septembre 2007 Nadine GARRABET Guillaume FHAL Véronique VERRIER 2, rue Antoine Etex- 94020 Créteil cedex Tel : 01 45 15 11 11 - Fax : 01 45 15

Plus en détail

6. Assurance automobile et assurance multirisques habitation : une année riche en actualité

6. Assurance automobile et assurance multirisques habitation : une année riche en actualité 6. Assurance automobile et assurance multirisques habitation : une année riche en actualité Comité consultatif du secteur financier Rapport 2010-2011 77 Au cours des années 2010 et 2011, le CCSF a porté

Plus en détail

«L énergie la moins chère et la moins polluante est celle qu on ne consomme pas»

«L énergie la moins chère et la moins polluante est celle qu on ne consomme pas» Énergie «L énergie la moins chère et la moins polluante est celle qu on ne consomme pas» La première fonction de l agriculture est la valorisation de l énergie solaire en énergie alimentaire par la photosynthèse.

Plus en détail

2. L offre et la demande d énergie: tendances et perspectives

2. L offre et la demande d énergie: tendances et perspectives 5 2. L offre et la demande d énergie: tendances et perspectives La demande d énergie devrait s accroître considérablement dans les années à venir à cause de l augmentation de la population et du développement

Plus en détail

Notions physiques Niveau 2

Notions physiques Niveau 2 14 novembre 2011 Contenu 1. Les pressions Les différentes pressions 2. La loi de Mariotte (Autonomie en air) 2.1. Principes 2.2. Applications à la plongée 3. Le théorème d Archimède (Flottabilité) 3.1.

Plus en détail

T-TOUCH II Mode d emploi

T-TOUCH II Mode d emploi T-TOUCH II Mode d emploi Remerciements Ns vs remercions d avoir choisi une montre TISSOT, une marque suisse parmi les plus réputées au monde. Votre montre T-TOUCH bénéficie des innovations techniques les

Plus en détail

VOUS Y GAGNEZ! CONTRATS D ASSURANCES NÉGOCIÉS PAR LA CCAS AUTO MOTO HABITATION SCOLAIRE CHASSE PROTECTION JURIDIQUE

VOUS Y GAGNEZ! CONTRATS D ASSURANCES NÉGOCIÉS PAR LA CCAS AUTO MOTO HABITATION SCOLAIRE CHASSE PROTECTION JURIDIQUE VOUS Y GAGNEZ! CONTRATS D ASSURANCES NÉGOCIÉS PAR LA CCAS AUTO MOTO HABITATION SCOLAIRE CHASSE PROTECTION JURIDIQUE AUTO Tiers Vous êtes couverts essentiellement pour les dommages causés à autrui et pour

Plus en détail

LYCEE TECHNIQUE PIERRE EMILE MARTIN - 18 026 BOURGES ETUDE D UN TRAITEMENT DE SURFACE

LYCEE TECHNIQUE PIERRE EMILE MARTIN - 18 026 BOURGES ETUDE D UN TRAITEMENT DE SURFACE TP. TET LYCEE TECHNIQUE PIERRE EMILE MARTIN - 18 026 BOURGES GENIE ELECTROTECHNIQUE Durée : 3 heures Tp relais statique 10-11 RELAIS STATIQUE S.T.I. Pré-requis : Laboratoire des systèmes Cours sur les

Plus en détail

SOMMAIRE. ENVOYEZ VOS COURRIERS A LA DEMANDE 6 8- Courriers 6 9- Options des courriers 7 10- Archivage électronique des courriers 7

SOMMAIRE. ENVOYEZ VOS COURRIERS A LA DEMANDE 6 8- Courriers 6 9- Options des courriers 7 10- Archivage électronique des courriers 7 SOMMAIRE ACCEDEZ AUX SERVICES MAILEVA 3 1- Abonnements annuels 3 2- Comment choisir mon abonnement? 3 3- Simuler mon budget 3 4- Formule Liberté (sans engagement) 4 5- Modes d accès 5 6- Principes de facturation

Plus en détail

«Résoudre les problèmes de l'énergie, une clé pour la survie de l'humanité»

«Résoudre les problèmes de l'énergie, une clé pour la survie de l'humanité» Fédération mondiale des travailleurs scientifiques World Federation of scientifique Workers 85ème session du Conseil exécutif Symposium «Résoudre les problèmes de l'énergie, une clé pour la survie de l'humanité»

Plus en détail