La Dégradation des Matériaux. Corrosion
|
|
- Danielle Dubé
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 La Dégradation des Matériaux Destruction ou modification des propriétés d un matériau, au cours du temps, due à l effet du milieu ambiant. Trois types de réaction: 1. En milieux aqueux: CORROSION 2. En milieux gazeux secs: OXYDATION 3. Plastique / Céramiques: CHIMIQUES Réactions électrochimiques Réactions chimiques Corrosion Acquérir un état thermodynamique stable (diminution de l enthalpie libre G du système) Destruction des matériaux métalliques Thermodynamique + Cinétique 1
2 Réactions électrochimiques Fe + 2H + Fe 2+ + H 2 Le fer se corrode (1) Réaction anodique (oxydation) le métal se dissout (2) Réaction cathodique (réduction) production d'h 2 Réactions électrochimiques exemple du Fer en eau salée Réaction anodique Réaction cathodique Réaction globale 2Fe OH - 2Fe(OH) 2 Instable L hydroxyde ferreux s oxyde en hydroxyde ferrique (rouille) 2Fe(OH) 2 + H 2 O + 1/2O 2 2Fe(OH) 3 (Rouille) 2
3 Thermodynamique de la Corrosion Permet de déterminer si une réaction est possible et si oui dans quelle direction elle évoluera. Potentiel d équilibre M / M n+ Métal et un de ses ions (ex: cuivre dans solution de CuSO 4 ) M M n+ Réaction d équilibre M M n+ n e G = - nf( ) = - nfe Thermodynamique de la Corrosion Potentiel d équilibre E: s établit entre le métal et l électrolyte E = E o -RT/(nF) ln a M n+ Relation de Nernst E = E o (0.059/n) log [M n+ ] À 25 o C (298K) E o Cellule de mesure du potentiel standard E o d un métal M M a Mn+ = 1 H2 H 2 O+M n+ a H+ = 1 Tableau des E o (E H ) E H potentiel standard p/r à l électrode normale d hydrogène Équilibre réversible M M n+ n e - + 3
4 Thermodynamique de la Corrosion E = E o + RT/(nF) ln (activité) où E ocu = +0.34v E ozn =-0.76v si a Cu2+ et a Zn2+ = 1 activité : [ion] E o = +0.34v v = +1.1v Corrosion si E 0 E zn zn 2+ 2 e - + cu cu 2+ 2 e - + Zn Cu En première approximation on peut dire que Zn se dissout car Eo Cu >Eo Zn On peut prédire les réactions Zn 2+ Cu 2+ Thermodynamique de la Corrosion E = Eo cu/cu /2 log [Cu 2+ ] - Eo zn/zn /2 log [Zn 2+ ] cu cu 2+ 2 e - + zn zn 2+ 2 e - + R Si circuit ouvert (I=0) Réactions réversibles! Zn Cu Si un courant I (circuit fermé) alors V=RI Réactions irréversibles! Zn 2+ Cu 2+ Attention : V E! 4
5 Thermodynamique de la Corrosion Condensateur Zn/Zn 2+ R Condensateur Cu/Cu 2+ Zn Cu Zn 2+ Cu 2+ milieu Si R = 0 Court circuit Corrosion maximum Thermodynamique de la Corrosion Corrosion homogène ou dite généralisée Condensateur Zn/Zn 2+ R Condensateur Cu/Cu 2+ Zn 2+ Cu 2+ Zn Cu milieu Corrosion hétérogène Différence de propriétés locales (chimique, composition, fini de surface, contrainte, gaz, ) 5
6 Thermodynamique de la Corrosion Cu pas attaqué par acides ne contenant pas O 2 Mais attaqué par acide + O 2 dissous = +0.89v Attaqués par acides ne contenant pas O 2 et dégagement de H 2 Cinétique de la Corrosion Permet de déterminer la vitesse de corrosion: Aicorrt m nf Loi de Faraday m : perte de masse (gr) A : masse atomique i corr : courant de corrosion (A) t : temps (sec) n : n électrons de valence F : cte de Faraday = Coulomb / mole = A sec / mole Souvent, lorsque la dissolution est uniforme: i corr remplacé par j : courant A / unité de surface Vitesse de corrosion souvent exprimé en: épaisseur / temps: mm / an, masse / (surface temps): mg/(dm 2 jour) 6
7 Cinétique de la Corrosion L approche thermodynamique (comparaison de deux tensions à l équilibre) ne donne aucune indication sur la vitesse de la réaction E change en fonction du temps lorsqu un courant circule (extraction d électrons). Ea I e- E E s E Zn H2 Zn 2+ Temps Cinétique de la Corrosion Montage typique pour mesurer l évolution du potentiel de l anode E a et de la cathode E c en fct du courant i. Les courbes de E vs i s appellent courbes de polarisation. 7
8 Passivation Formation d'une couche passive très mince qui bloque la mise en solution des ions vitesse de corrosion très diminuée Rupture du film passif État passif corrosion quasi nulle Loi de Tafel Alliages passivables : aciers inox, Inconel, Stellite (Co+Cr), Ti, Nb, Ta Comportement de l acier inoxydable C1 : pouvoir oxydant élevé [O 2 ] Passivité stable: E > E F Acier protégé C 4 C2 : pouvoir oxydant moyen Passivité instable: Si film passif intact: vitesse de corrosion faible (point B). Acier protégé Si film rompu et ne peut se reformer (point E). Zones dépassivées se corrodent rapidement. Corrosion par piqûres. C4 : pouvoir oxydant très élevé [O 2 ] État transpassif: E > E T le film passif se dissout plus rapidement qu il ne se forme. Corrosion par piqûres C3 : pouvoir oxydant faible [O 2 ] Passivité nulle: E < E F Courant de corrosion correspond au point F Corrosion importante mais uniforme. 8
9 MODES DE CORROSION CORROSION GALVANIQUE Pile galvanique avec circulation d un courant d électrons dans la jonction métallique et un courant ionique dans l électrolyte. Ex. Pile Fe-Cu dans l eau de mer (O 2 ) dissous Fe et Cu se corrodent indépendamment. Fe se corrode et pas Cu Anode Anode Anode Cathode Circuit ouvert Circuit fermé Série galvanique dans l eau de mer 9
10 Rapport entre les surfaces de l anode et de la cathode Si la surface de la cathode est dix fois plus grande que celle de l anode, la vitesse de corrosion du fer est également multipliée par dix. Si la surface de la cathode est 2 fois plus petite que celle de l anode, le courant est divisé par 2. Important à considérer lors de la conception! CORROSION GALVANIQUE Facteurs métallurgiques et facteurs de mise en oeuvre Hétérogénéités qui créent localement des micropiles de corrosion. 10
11 Ségrégation Deux métaux (par extension, 2 parties hétérogènes) Une solution conductrice Un lien électrique joints de grains, ségrégation, différentes Exemples : phases, précipitations, écrouissage Corrosion intergranulaire d un acier inoxydable 304 due à une sensibilisation durant le traitement thermique. (Formation de Cr 23 C 6 aux joints de grains) Ex: Corrosion sous contrainte dûe à l écrouissage (formage, pliage, etc) Zone écrouie ou sous contrainte (énergie interne élevée) est anodique par rapport à une zone non écrouie ou libre de contraintes. Le milieu exerce une grande influence sur la corrosion sous contrainte Laitons en présence d ammoniac Acier inoxydables en présence d ions Cl - 11
12 CORROSION GALVANIQUE Effets du milieu de corrosion Permettent le passage du courant ionique entre l anode et la cathode. Son agressivité est déterminée par: PH Pouvoir oxydant Conductibilité électrique Température Effets du milieu de corrosion-ph Cartes de Pourbaix diagramme de stabilité thermodynamique On trace les E = Eo + RT/(nF) ln (activité) en fonction du ph Fixe les concentrations d électrolytes (souvent à 10-6 mol/l) E Fe 3+ Fe 2+ ph O2 Er = ph Fe H 2 O <=> OH - + H + H2 Er = ph 12
13 Cartes de Pourbaix du fer: Indique ce qui peut se produire mais ne donne aucune information sur la cinétique. E Fe 3+ Passivité O2 Zones de corrosion Fe 2+ Fe 2 O 3 ph Fe 23 O 4 Immunité Fe H2 Fe 2 (OH)
14 Effets du milieu de corrosion EFFET DE LA TEMPÉRATURE En général: La vitesse de corrosion augmente avec la température. Exception: Augmentation de la température de l eau conduit à une baisse de la solubilité de O 2 et CO 2. Milieu moins agressif. INFLUENCE DE LA CONDUCTIBILITÉ ÉLECTRIQUE Une faible conductibilité augmente les pertes ohmiques dans le milieu corrosif. Le courant de corrosion est diminué. Conductibilité élevée Conductibilité faible 14
15 Effets du milieu de corrosion-pile de concentration Variation locale de la concentration en oxygène dissout. Polarisation de diffusion (de concentration). Corrosion: Sous une goutte d eau Caverneuse Suite à l accumulation de boues ou de débris O 2 Fe 1 O 2 Fe 2 Corrosion des aciers inoxydables: Dépassivation dans les zones pauvres en O 2, favorisée par des ions Cl -. Formation rapide de piqûres. Pile de concentration Ex: CORROSION SOUS UNE GOUTTE D EAU De l hydroxyde (OH-) de fer se forme OH- s oxyde rapidement pour former la rouille Zone cathodique où l oxygène de l air se transforme en ions hydroxyde Zone anodique où le fer se dissout 15
16 CORROSION GALVANIQUE Effets du milieu de corrosion-pile de concentration Ex: CORROSION CAVERNEUSE Effets du milieu de corrosion- Vitesse d écoulement de l électrolyte Type d écoulement: laminaire, turbulent Vitesse: Diminution de la polarisation de diffusion de la cathode avec la vitesse. 16
17 Effets du milieu de corrosion- Vitesse d écoulement de l électrolyte Exception: les alliages passivables Effet contraire Corrosion par érosion Écoulements très rapides et turbulents Usure mécanique et corrosion du métal Le fond de la zone érodée est anodique par rapport aux surfaces intactes. Turbulence de l écoulement Déformation plastique du métal Solides en suspension accentuent l érosion. Application: peut se produire au niveau d un changement brusque de section ou de direction des conduites. 17
18 Corrosion par cavitation Variations de pression importantes à la surface du métal. Formation de bulles de vapeur d eau ou d oxygène à la surface du métal. Ces bulles sont instables. Leur condensation rapide provoquent des ondes de compression intenses conduisant à une érosion mécanique. Effet mécanique et électrochimique Formation d une bulle de vapeur Condensation de la bulle de vapeur Formation d un microjet qui attaque le métal Application: Hélices de bateaux, pales de turbines, pompes. Corrosion par les eaux Eau de mer Corrosion de l acier doux (0.2%C) Salinité totale : 34g/l ph de 8.2 Conductivité de 4 S/m Solubilité de O 2 : 12mg/l à 5 o C; 7 mg/l à 25 o C Eau douces % minéraux dissous, solubilité O 2 et CO 2, ph, Dures (incrustantes): dépôt calcaire ralentit la corrosion. Piqûres possibles si dépôt non uniforme. Douces (agressives): peu minéralisées donc plus corrosives 18
19 Corrosion atmosphérique Dépôts de films ou de gouttelettes d eau. Contiennent en solution des contaminants. Évaporation : augmentation de leur concentration Piles de concentration sous les gouttelettes. 1. Atmosphères rurales Les moins corrosives 2. Atmosphères urbaines et industrielles SO 2 est le principal contaminant. ph peut atteindre Atmosphères marines L eau des gouttelettes contient des Cl - Corrosion de l acier doux (0.2%C) Corrosion par les sols Les sols sont très inhomogènes d un site à l autre. Sol très agressif : Acide Humide Peu aéré Bonne conductibilité électrique Canalisation traversant des sols de nature différente Conduite d acier enfoui dans le sable / argile (anodique) : E~0.3V 19
20 CORROSION GALVANIQUE Conditions du milieu d utilisation Certaines conditions peuvent accélérer la corrosion. Fatigue-corrosion: Effet combiné de facteurs électrochimiques et mécaniques Amorçage de fissures à la racine des piqûres Corrosion en fond de fissure Rupture du film d oxyde en fond de fissure Corrosion par frottement: (ex: tête de vis et surface d une plaque) Usure des crêtes des surfaces en contact Rupture du film d oxyde. Gradient de température: Gradient de potentiel entre la partie froide (anodique) et la partie chaude. Courants vagabonds: Mise à la terre par le sol d une installation électrique. Passage de courant dans le sol. Le courant circule dans des conduits métalliques enterrés à proximité (résistance électrique inférieure à celle du sol) Exemple de Fatigue-Corrosion Pièce de test Empreintes de doigts (Cl) et titane à haute température 20
21 Règles à suivre 1. Formation de couples galvaniques 2. Formation d interstices 3. Accumulation d eau stagnante 4. Zones de turbulence 5. Concentrations de contrainte 6. Gradients de température 1. Éviter la Formation de Couples Galvaniques Tube Cu Tube Acier Rondelles de Polymères Raccord isolant Bronze Acier 21
22 2. Éviter la Formation d Interstices dans les Assemblages 2. Éviter la Formation d Interstices dans les Assemblages 22
23 2. Éviter la Formation d Interstices dans les Assemblages 3. Éviter l Accumulation d Eau Stagnante ou de Boues 23
24 4. Éviter les Concentrations de Contraintes Pour les matériaux susceptibles à la corrosion sous contraintes. Ex. Après soudage ou déformation à froid on élimine les contraintes résiduelles en faisant un recuit de détente. Ex:Assemblage mécano-soudé 5. Éviter les Zones de Turbulence 24
25 6. Éviter les Gradients de Température En Conclusion Éviter toute HÉTÉROGÉNÉITÉ de l assemblage et du milieux de corrosion qui entraîne l établissement d une pile de corrosion. 25
1 ère partie : tous CAP sauf hôtellerie et alimentation CHIMIE ETRE CAPABLE DE. PROGRAMME - Atomes : structure, étude de quelques exemples.
Référentiel CAP Sciences Physiques Page 1/9 SCIENCES PHYSIQUES CERTIFICATS D APTITUDES PROFESSIONNELLES Le référentiel de sciences donne pour les différentes parties du programme de formation la liste
Plus en détailPrincipe de la corrosion galvanique :
Préconisations d installation d un ballon d ECS face à la corrosion galvanique Des questions reviennent fréquemment sur le forum de l APPER concernant la corrosion, les couples galvaniques, les cuves ballons
Plus en détailCalcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier?
Calcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier? Les solutions techniques Principes et critères de choix Par Sébastien LIBOZ - Hydrogéologue Calcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier?
Plus en détailQu est-ce que l acier inoxydable? Fe Cr > 10,5% C < 1,2%
Cr > 10,5% C < 1,2% Qu est-ce que l acier inoxydable? Alliage de fer comportant 10,5 % de chrome et 1,2 % de carbone nécessaires pour garantir la formation d une couche de surface auto-régénérante (couche
Plus en détailRappels sur les couples oxydantsréducteurs
CHAPITRE 1 TRANSFORMATIONS LENTES ET RAPIDES 1 Rappels sur les couples oxydantsréducteurs 1. Oxydants et réducteurs Un réducteur est une espèce chimique capable de céder au moins un électron Demi-équation
Plus en détailPhysique : Thermodynamique
Correction du Devoir urveillé n o 8 Physique : hermodynamique I Cycle moteur [Véto 200] Cf Cours : C P m C V m R relation de Mayer, pour un GP. C P m γr γ 29, 0 J.K.mol et C V m R γ 20, 78 J.K.mol. 2 Une
Plus en détailAccumulateurs portables
Accumulateurs portables par Georges CAILLON Ingénieur de l École Supérieure de Physique et de Chimie Industrielles de la ville de Paris (ESPCI) Ingénieur de Recherche et Développement Société SAFT 1. Principe
Plus en détailPlate forme de modélisation en vue de la prédiction de la durée de vie des bétons vis-à-vis de la pénétration d agents agressifs
Plate forme de modélisation en vue de la prédiction de la durée de vie des bétons vis-à-vis de la pénétration d agents agressifs Phase d'initiation de la corrosion vis-à-vis de la - pénétration d'agents
Plus en détailLABORATOIRES DE CHIMIE Techniques de dosage
LABORATOIRES DE CHIMIE Techniques de dosage Un dosage (ou titrage) a pour but de déterminer la concentration molaire d une espèce (molécule ou ion) en solution (généralement aqueuse). Un réactif de concentration
Plus en détailOrigine du courant électrique Constitution d un atome
Origine du courant électrique Constitution d un atome Electron - Neutron ORIGINE DU COURANT Proton + ELECTRIQUE MATERIAUX CONDUCTEURS Électrons libres CORPS ISOLANTS ET CORPS CONDUCTEURS L électricité
Plus en détailT4 Pourquoi éteindre les phares d une voiture quand le moteur est arrêté? Comment fabriquer une pile? un accumulateur?
T4 Pourquoi éteindre les phares d une voiture quand le moteur est arrêté? Comment fabriquer une pile? un accumulateur? Pour ce module, sont proposés et présentés des phases de recherche documentaire, de
Plus en détailREACTIONS D OXYDATION ET DE REDUCTION
CHIMIE 2 e OS - 2008/2009 : Cours et exercices -19- CHAPITRE 5 : REACTIONS D OXYDATION ET DE REDUCTION Chacun d entre nous a déjà observé l apparition de rouille sur un objet en fer, ou de «vert-degris»
Plus en détailApplication à l astrophysique ACTIVITE
Application à l astrophysique Seconde ACTIVITE I ) But : Le but de l activité est de donner quelques exemples d'utilisations pratiques de l analyse spectrale permettant de connaître un peu mieux les étoiles.
Plus en détailPARTENAIRE VERS UNE GESTION DURABLE ET PERFORMANTE DE VOTRE ÉNERGIE EQUIPEMENT DE MONITORING
PARTENAIRE VERS UNE GESTION DURABLE ET PERFORMANTE DE VOTRE ÉNERGIE EQUIPEMENT DE MONITORING Formation Réseau De Chaleur - ACTIVITE DE CORETEC Notre principal objectif est de réduire la facture énergétique
Plus en détailDécrets, arrêtés, circulaires
Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE LA SANTÉ ET DES SOLIDARITÉS Arrêté du 11 janvier 2007 relatif aux limites et références de qualité des eaux brutes et des eaux destinées à la
Plus en détailColle époxydique multi usages, à 2 composants
Notice Produit Edition 20 01 2014 Numéro 9.11 Version n 2013-310 01 04 02 03 001 0 000144 Colle époxydique multi usages, à 2 composants Description est une colle structurale thixotrope à 2 composants,
Plus en détailPrincipe de fonctionnement des batteries au lithium
Principe de fonctionnement des batteries au lithium Université de Pau et des pays de l Adour Institut des Sciences Analytiques et de Physicochimie pour l Environnement et les Matériaux 22 juin 2011 1 /
Plus en détailLES RÉPLIQUES MÉTALLOGRAPHIQUES
CONGRÈS MATÉRIAUX 2014 Colloque 6 «Corrosion, vieillissement, durabilité, endommagement» LES RÉPLIQUES MÉTALLOGRAPHIQUES Une méthode non destructive pour contrôler le vieillissement et l endommagement
Plus en détailGENERALITES SUR LA MESURE DE TEMPERATURE
Distributeur exclusif de GENERALITES SUR LA MESURE DE TEMPERATURE INTRODUCTION...2 GENERALITES SUR LA MESURE DE TEMPERATURE...2 La température...2 Unités de mesure de température...3 Echelle de température...3
Plus en détailFICHE DE DONNEES DE SECURITE
PAGE 1/7 DATE DE MISE A JOUR : 16/11/2011 1/ - IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA SOCIETE Identification du produit : Gaines, films, housses, et/ou sacs transparents et colorés en polyéthylène. Famille
Plus en détailPrestations de services d application Solutions pour vos besoins en réparation des surfaces
Prestations de services d application Solutions pour vos besoins en réparation des surfaces Henkel Votre partenaire en solutions de réparation des surfaces Grâce à de nombreuses années d expérience dans
Plus en détailNotes. Schéma général PRODUCTION ÉLECTROLYTIQUE Composés inorganiques, nonmétaux
XXXX C25 PROCÉDÉS ÉLECTROLYTIQUES OU ÉLECTROPHORÉTIQUES; APPAREILLAGES À CET EFFET (électrodialyse, électro-osmose, séparation de liquides par l électricité B01D; usinage du métal par action d une forte
Plus en détailL École nationale des pompiers du Québec. Dans le cadre de son programme de formation Pompier I
L École nationale des pompiers du Québec Dans le cadre de son programme de formation Pompier I QUATRIÈME ÉDITION MANUEL DE LUTTE CONTRE L INCENDIE EXPOSÉ DU PROGRAMME D ÉTUDES POMPIER 1 SUJET 4 Énergie
Plus en détailRELAIS STATIQUE. Tension commutée
RELAIS STATIQUE Nouveau Relais Statique Monophasé de forme compacte et économique Coût réduit pour une construction modulaire Modèles disponibles de 15 à 45 A Modèles de faible encombrement, avec une épaisseur
Plus en détailIR Temp 210. Thermomètre infrarouge. Des techniques sur mesure
IR Temp 210 Thermomètre infrarouge Contenu 1. Spécifications...26 2. Touches et affichages...28 3. Utilisation...30 4. Entretien...31 5. Elimination des piles et de l appareil...31 6. Tableau de facteur
Plus en détailLa gravure. *lagravureparvoiehumide *lagravuresèche
La gravure Après avoir réalisé l étape de masquage par lithographie, il est alors possible d effectuer l étape de gravure. L étape de gravure consiste à éliminer toutes les zones non protégées par la résine
Plus en détailTRAVAUX PRATIQUES D INTRODUCTION À L ÉTUDE DES RÉACTIONS ÉLECTROCHIMIQUES
Elèves-Ingénieurs en Sciences et Génie des Matériaux 2ème année TRAVAUX PRATIQUES D INTRODUCTION À L ÉTUDE DES RÉACTIONS ÉLECTROCHIMIQUES G. BARRAL B. LE GORREC C. MONTELLA (UJF) (IUT 1) (ISTG) GRENOBLE
Plus en détailL ÉLECTROCUTION Intensité Durée Perception des effets 0,5 à 1 ma. Seuil de perception suivant l'état de la peau 8 ma
TP THÈME LUMIÈRES ARTIFICIELLES 1STD2A CHAP.VI. INSTALLATION D ÉCLAIRAGE ÉLECTRIQUE SÉCURISÉE I. RISQUES D UNE ÉLECTROCUTION TP M 02 C PAGE 1 / 4 Courant Effets électriques 0,5 ma Seuil de perception -
Plus en détailbiocer - système d implant dentaire
i n f o r m a t i o n s p r o d u i t s biocer - - implants dentaires combinés et concepts de butées en matériaux biologiquement fiables. Le dispositif exceptionnel des surfaces cerid - sont la conception
Plus en détailFICHE TECHNIQUE POSTE METALLIQUE
CEL FRANCE Sarl au capital de 40 000E RC Alès 97RM 300 SIRET 410 748 875 00011 TVA CEE FR56410748875 NAF 316D Tableaux HTA Transformateur HTA Postes de transformation TGBT Disjoncteur BT www.cel france.com
Plus en détailPROPRIÉTÉS TECHNIQUES DU SYSTÈME NEOWEB
TECHNIQUES DU SYSTÈME NEOWEB Propriétés techniques Neoweb V 2.5 SYSTÈME DE CONFINEMENT CELLULAIRE 3D CLASSIFICATION POLYMÈRE TYPE Neoloy Technologie de pointe nano-composite MÉCANIQUES DU SYSTÈME Module
Plus en détailappliquée aux emballages alimentaires
La méthode HACCP La méthode HACCP appliquée aux emballages alimentaires 1- La réglementation des matériaux au contact des aliments Quels contaminants issus des emballages dans les aliments? Des contaminants
Plus en détailChapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices :
Chapitre 02 La lumière des étoiles. I- Lumière monochromatique et lumière polychromatique. )- Expérience de Newton (642 727). 2)- Expérience avec la lumière émise par un Laser. 3)- Radiation et longueur
Plus en détailPhysique Chimie. Quelques aspects de la physique et de la chimie du piano
Physique Chimie PSI 4 heures Calculatrices autorisées Quelques aspects de la physique et de la chimie du piano 2013 e piano est un instrument de musique à cordes frappées inventé par l italien Bartolomeo
Plus en détailAPPLICATIONS DE L'IMPLANTATION IONIQUE POUR LE BIOMEDICAL
Ion Beam Services ZI Peynier / Rousset Rue G. Imbert Prolongée 13790 Peynier, France Tel. : +33 4 42 53 89 53 Fax : + 33 4 42 53 89 59 Email : frank.torregrosa@ion-beam-services.fr APPLICATIONS DE L'IMPLANTATION
Plus en détailPour améliorer la qualité Objectif esthétique pour l eau potable 1 mg/l
Dans une goutte d eau Cuivre Le cuivre (Cu) est présent à l état naturel dans la roche, le sol, les plantes, les animaux, l eau, les sédiments et l air. Le cuivre est souvent présent sous forme de minéraux,
Plus en détailMesure de conductivité on-line. Mesurer Surveiller Régler. Mesure de conductivité on-line. Eaux d égout communales et eaux usées industrielles
Mesure de conductivité on-line Mesurer Surveiller Régler La mesure de conductivité est un paramètre reconnu, dont on ne peut plus se passer en analyse moderne des process, des eaux et eaux usées. On utilise
Plus en détailLa voiture électrique. Cliquez pour modifier le style des sous-titres du masque
La voiture électrique Cliquez pour modifier le style des sous-titres du masque I) Introduction II) Composition et Fonctionnement d une voiture électrique III) Gros plan sur les Batteries IV) Conclusion
Plus en détailChap 1: Toujours plus vite... Introduction: Comment déterminer la vitesse d une voiture?
Thème 2 La sécurité Chap 1: Toujours plus vite... Introduction: Comment déterminer la vitesse d une voiture?! Il faut deux informations Le temps écoulé La distance parcourue Vitesse= distance temps > Activité
Plus en détailCONCOURS COMMUN 2010 PHYSIQUE
CONCOUS COMMUN SUJET A DES ÉCOLES DES MINES D ALBI, ALÈS, DOUAI, NANTES Épreuve de Physique-Chimie (toutes filières) Corrigé Barème total points : Physique points - Chimie 68 points PHYSIQUE Partie A :
Plus en détailU-31 CHIMIE-PHYSIQUE INDUSTRIELLES
Session 200 BREVET de TECHNICIEN SUPÉRIEUR CONTRÔLE INDUSTRIEL et RÉGULATION AUTOMATIQUE E-3 SCIENCES PHYSIQUES U-3 CHIMIE-PHYSIQUE INDUSTRIELLES Durée : 2 heures Coefficient : 2,5 Durée conseillée Chimie
Plus en détailProjet SETHER Appel à projets 2008. Adrien Patenôtre, POWEO Adrien.patenotre@poweo.com
Projet SETHER Appel à projets 2008 Adrien Patenôtre, POWEO Adrien.patenotre@poweo.com SETHER STOCKAGE D ELECTRICITÉ SOUS FORME THERMIQUE À HAUTE TEMPÉRATURE Partenaires : POWEO, SAIPEM, CEA, CNAM, GEMH,
Plus en détailACIDES BASES. Chap.5 SPIESS
ACIDES BASES «Je ne crois pas que l on me conteste que l acide n ait des pointes Il ne faut que le goûter pour tomber dans ce sentiment car il fait des picotements sur la langue.» Notion d activité et
Plus en détailChoix multiples : Inscrire la lettre correspondant à la bonne réponse sur le tiret. (10 pts)
SNC1D test d électricité Nom : Connaissance et Habiletés de la pensée compréhension (CC) (HP) Communication (Com) Mise en application (MA) 35 % 30 % 15 % 20 % /42 /31 grille /19 Dans tout le test, les
Plus en détailVERRE DECORATIF AGC POUR APPLICATIONS INTERIEURES GUIDE DE NETTOYAGE ET D ENTRETIEN
VERRE DECORATIF AGC POUR APPLICATIONS INTERIEURES GUIDE DE NETTOYAGE ET D ENTRETIEN VERSION 2.0 MAI 2015 Cette version du guide annule et remplace toutes les versions précédentes. Consultez régulièrement
Plus en détailLes Rencontres Scientifiques Colas
Les Rencontres Scientifiques Colas «L avenir du véhicule électrique» 2 juin 2009 avec Yves CHABRE Docteur ès-sciences Consultant pour véhicules électriques et Pierre MIDROUILLET Directeur Général de PVI
Plus en détailMéthodes de Caractérisation des Matériaux. Cours, annales http://www.u-picardie.fr/~dellis/
Méthodes de Caractérisation des Matériaux Cours, annales http://www.u-picardie.fr/~dellis/ 1. Symboles standards et grandeurs électriques 3 2. Le courant électrique 4 3. La résistance électrique 4 4. Le
Plus en détail4. Conditionnement et conservation de l échantillon
1. Objet S-II-3V1 DOSAGE DU MERCURE DANS LES EXTRAITS D EAU RÉGALE Description du dosage du mercure par spectrométrie d absorption atomique de vapeur froide ou par spectrométrie de fluorescence atomique
Plus en détailpro-part Ficha técnica Applications recommandées Matériaux Supports
Ficha técnica pro-part Profilé décoratif pour revêtements céramiques, permet de remplacer la traditionnelle frise décorative en céramique. Convient à la finition des angles et des transitions entre carreaux
Plus en détailBAC BLANC SCIENCES PHYSIQUES. Durée : 3 heures 30
Terminales S1, S2, S3 2010 Vendredi 29 janvier BAC BLANC SCIENCES PHYSIQUES Durée : 3 heures 30 Toutes les réponses doivent être correctement rédigées et justifiées. Chaque exercice sera traité sur une
Plus en détailSOLUTIONS TECHNOLOGIQUES D AVENIR
CPTF et CSC CYCLES COMBINES A GAZ (CCG) COGÉNÉRATION DÉVELOPPEMENT DES RENOUVELABLES SOLUTIONS DE STOCKAGE CPTF ET CSC Le parc thermique est un outil essentiel pour ajuster l offre et la demande, indispensable
Plus en détailwww.mesureo.com A N A L Y S E U R E N L I G N E D A G V D E S B I C A R B O N A T E S D E L A L C A L I N I T E
www.mesureo.com A N A L Y S E U R E N L I G N E D A G V D E S B I C A R B O N A T E S D E L A L C A L I N I T E Solutions pour l analyse de l eau en ligne AnaSense Analyseur en ligne d AGV, des bicarbonates
Plus en détailhydrogène au service des énergies renouvelables
Le stockage solide de l hydrogl hydrogène au service des énergies renouvelables P. de Rango, D. Fruchart, S. Miraglia, Ph. Marty*, M. Jehan** J. Chabonnier, A. Chaise, S. Garrier, B. Delhomme, S. Nachev,
Plus en détailLe plaisir du petitdéjeuner. 28 ~
le petit- déjeuner Le plaisir du petitdéjeuner. 28 ~ 29 ~ le petit-déjeuner CR-22 961010715 EAN-13: 8412788027698 Essence ~ Cafetière expresso. ~ Design innovant : version chocolat et aluminium, réservoir
Plus en détailOn peut être «lourd» et agile!
éditorial Traitements & Matériaux 412 Octobre - Novembre 2011 3 On peut être «lourd» et agile! La métallurgie est considérée comme une industrie «lourde», les traitements thermiques comme de «vieux» procédés,
Plus en détailSOL FORTE ÉPAISSEUR INDUSTRIAL FLORIM
SOL FORTE ÉPAISSEUR INDUSTRIAL FLORIM Nouvelle solution en grès cérame grande épaisseur pour l aménagement extérieur. Dalles en grès cérame fin coloré pleine masse de 2 cm d épaisseur, obtenues par atomisation
Plus en détailDéfauts dan les sachets souples état date stérilisables en autoclave nouveau 31/05/2002 Caractérisation et classification
chapitre page 7 Index CHAPITRE 7 CATÉGORIES DES DÉFAUTS 7.1 Abrasion 7.2 Cloque 7.3 Canal de fuite 7.4 Joint comprimé (ou séparation des couches dans la zone de scellage) 7.5 Joint contaminé 7.6 Joint
Plus en détailPrésentations GTF. Point de vue d un utilisateur final. Durée de vie des ouvrages : Approche Prédictive, PerformantielLE et probabiliste
Présentations GTF Présenté par : Georges NAHAS Organismes : Institut de Radioprotection et de Sûreté Nucléaire (IRSN) Paris 26 mai 2009 Introduction Le vieillissement des ouvrages de génie civil et plus
Plus en détailBTS BAT 1 Notions élémentaires de chimie 1
BTS BAT 1 Notions élémentaires de chimie 1 I. L ATOME NOTIONS EÉLEÉMENTAIRES DE CIMIE Les atomes sont des «petits grains de matière» qui constituent la matière. L atome est un système complexe que l on
Plus en détailMater. Environ. Sci. 5 (S1) (2014) 2101-2106 ISSN : 2028-2508 CODEN: JMESCN MPE14
Effect of hygrothermal cycles on physicochemical behavior of a PEM (Proton Exchange Membrane) [L effet des cycles hygrothermiques sur le comportement physicochimique d une PEM (Proton Exchange Membrane)]
Plus en détailPRODUCTION D HYDROGÈNE PAR ÉLECTROLYSE DE L EAU
Mémento de l Hydrogène FICHE 3.2.1 PRODUCTION D HYDROGÈNE PAR ÉLECTROLYSE DE L EAU Sommaire 1 Introduction 2 - Quelques rappels sur l électrolyse 3 - Les technologies en concurrence 4 - L hydrogène par
Plus en détailPrincipe et élaboration de poudre par atomisation gazeuse, granulométrie et traçabilité pour la fabrication additive.
Principe et élaboration de poudre par atomisation gazeuse, granulométrie et traçabilité pour la fabrication additive. Lucas DEMBINSKI Christian CODDET, Cécile LANGLADE Université de Technologie de Belfort-Montbéliard
Plus en détailLICENCE PROFESSIONNELLE TRAITEMENT ET CONTRÔLE DES MATERIAUX
UNIVERSITE PAUL SABATIER Année Universitaire 2015 2016 Licence Professionnelle Traitement et Contrôle des Matériaux Bat. CIRIMAT 118, Route de Narbonne 31062 Toulouse cedex 04 Tél : 05 61 55 77 51 05 61
Plus en détailTS1 TS2 02/02/2010 Enseignement obligatoire. DST N 4 - Durée 3h30 - Calculatrice autorisée
TS1 TS2 02/02/2010 Enseignement obligatoire DST N 4 - Durée 3h30 - Calculatrice autorisée EXERCICE I : PRINCIPE D UNE MINUTERIE (5,5 points) A. ÉTUDE THÉORIQUE D'UN DIPÔLE RC SOUMIS À UN ÉCHELON DE TENSION.
Plus en détailMISE À LA TERRE POUR LA SÉCURITÉ ÉLECTRIQUE
Les informations techniques PROMOTELEC MISE À LA TERRE POUR LA SÉCURITÉ ÉLECTRIQUE La sécurité des personnes contre un défaut d isolement survenant dans un matériel doit être assurée. En effet, un défaut
Plus en détailNOTICE D UTILISATION. Masque de soudage protecteur de vision
NOTICE D UTILISATION Masque de soudage protecteur de vision Attention : Lire attentivement le présent manuel dans son intégralité avant d utiliser le masque de soudage. Table des matières GUIDE DE L UTILISATEUR
Plus en détailÉlaboration et caractérisation de cellules photovoltaïques de troisième génération à colorant (DSSC)
Faculté Polytechnique Élaboration et caractérisation de cellules photovoltaïques de troisième génération à colorant (DSSC) Prof. André DECROLY Dr Abdoul Fatah KANTA andre.decroly@umons.ac.be Service de
Plus en détailLES GENERATEURS ELECTROCHIMIQUES Energie, Puissance et Technologie
EPREUVE COMMUNE DE TIPE 2006 partie D 5 TITRE : LES GENERATEURS ELECTROCHIMIQUES Energie, Puissance et Technologie 10 Temps de préparation : 2 h 15 Temps de présentation devant le jury : 10 minutes Entretien
Plus en détailINFO SOUDAGE LE SOUDAGE PAR FRICTION, UN PROCEDE DE SOUDAGE MULTIPLE ET INNOVATEUR
LE SOUDAGE PAR FRICTION, UN PROCEDE DE SOUDAGE MULTIPLE ET INNOVATEUR PRINCIPE DE FONCTIONNEMENT, CLASSEMENT, APPLICATIONS & AVANTAGES Cet article passe en revue le principe de fonctionnement du soudage
Plus en détailBALAIS Moteur (charbons)
BALAIS Moteur (charbons) 1/ Rôle a) Pour les machines électriques comportant des bagues (alternateur moteur asynchrone) : moteur universel Les balais doivent maintenir un contact constant avec la bague
Plus en détailLe zinc source d inspiration
Le zinc source d inspiration Programme de livraison NedZink Depuis plus d un siècle déjà, NedZink fabrique des produits haut de gamme en zinc pour le secteur de la construction. Les produits semi-finis
Plus en détailMesure de Salinité Réalisation d'un conductimètre
Kourou Novembre 2010. MANGOTECHNO Mesure de Salinité Réalisation d'un conductimètre Frédéric BOUCHAR (TENUM Toulouse) Version 1.0 Table des matières 1.Introduction...3 2.Qu'est-ce que la salinité?...3
Plus en détailContenu pédagogique des unités d enseignement Semestre 1(1 ère année) Domaine : Sciences et techniques et Sciences de la matière
Contenu pédagogique des unités d enseignement Semestre 1(1 ère année) Domaine : Sciences et techniques et Sciences de la matière Algèbre 1 : (Volume horaire total : 63 heures) UE1 : Analyse et algèbre
Plus en détailDETECTOR BICANAL FG2 1. DIMENSIONS ET CONNEXIONS ELECTRIQUES 2. GENERALITES. 24 VDC Alimentat. 24 Vcc. Contact Boucle 2 4 5. Contact Boucle 1 6 7
DETECTOR BICANAL FG. DIMENSIS ET CNEXIS ELECTRIQUES FRANÇAIS 4 VDC Alimentat. 4 Vcc 3 Contact Boucle 4 5 Contact Boucle 6 7 Boucle 8 9 0 Boucle Dimensions en mm. GENERALITES Applications: contrôle de barrières,
Plus en détailLes résistances de point neutre
Les résistances de point neutre Lorsque l on souhaite limiter fortement le courant dans le neutre du réseau, on utilise une résistance de point neutre. Les risques de résonance parallèle ou série sont
Plus en détailMesures calorimétriques
TP N 11 Mesures calorimétriques - page 51 - - T.P. N 11 - Ce document rassemble plusieurs mesures qui vont faire l'objet de quatre séances de travaux pratiques. La quasi totalité de ces manipulations utilisent
Plus en détailDécomposition du Prix Global et Forfaitaire
Décomposition du Prix Global et Forfaitaire Création d'un espace périscolaire Et d'une nouvelle mairie A CUSE et ADRISANS Rue PATARD 25 680 CUSE et ADRISANS Lot n 3 Ventilation - Plomberie sanitaire Maître
Plus en détailSoudal Panel System SPS. La force extrême derrière vos panneaux de façade. www.soudal.com SOUDAL PANEL SYSTEM. Soudal Panel System 1 SPS SOUDAL PANEL
www.soudal.com Soudal Panel System La force extrême derrière vos panneaux de façade WINDOW Soudal Panel System 1 Soudal Panel System () Qu est-ce que le? Les panneaux de façade existent dans tous les modèles
Plus en détailChapitre XIV BASES PHYSIQUES QUANTITATIVES DES LOIS DE COMPORTEMENT MÉCANIQUE. par S. CANTOURNET 1 ELASTICITÉ
Chapitre XIV BASES PHYSIQUES QUANTITATIVES DES LOIS DE COMPORTEMENT MÉCANIQUE par S. CANTOURNET 1 ELASTICITÉ Les propriétés mécaniques des métaux et alliages sont d un grand intérêt puisqu elles conditionnent
Plus en détailEXERCICE II. SYNTHÈSE D UN ANESTHÉSIQUE : LA BENZOCAÏNE (9 points)
Bac S 2015 Antilles Guyane http://labolycee.org EXERCICE II. SYNTHÈSE D UN ANESTHÉSIQUE : LA BENZOCAÏNE (9 points) La benzocaïne (4-aminobenzoate d éthyle) est utilisée en médecine comme anesthésique local
Plus en détailAdhésif structural pour le collage de renforts
Notice Produit Edition 18/07/2014 Numéro 3022 Version N 2014-253 N identification : 020206040010000001 Adhésif structural pour le collage de renforts Description est une colle structurale thixotrope à
Plus en détailMATIE RE DU COURS DE PHYSIQUE
MATIE RE DU COURS DE PHYSIQUE Titulaire : A. Rauw 5h/semaine 1) MÉCANIQUE a) Cinématique ii) Référentiel Relativité des notions de repos et mouvement Relativité de la notion de trajectoire Référentiel
Plus en détailSENACO AS100. Manuel d Utilisation Octobre 2000 ENACO AS100
SENACO AS100 Manuel d Utilisation Octobre 2000 ENACO AS100 Consignes de sécurité Il est important de respecter les consignes fournies dans ce manuel d utilisation pour garantir la sécurité de l utilisateur
Plus en détailMario Geiger octobre 08 ÉVAPORATION SOUS VIDE
ÉVAPORATION SOUS VIDE 1 I SOMMAIRE I Sommaire... 2 II Évaporation sous vide... 3 III Description de l installation... 5 IV Travail pratique... 6 But du travail... 6 Principe... 6 Matériel... 6 Méthodes...
Plus en détailSérie M Débitmètres Eletta. Débitmètre à P avec sortie programmable
Série M Débitmètres Eletta Débitmètre à P avec sortie programmable Débitmètre à fonctions multiples pour gaz et liquides M3 Le débitmètre série M, avec sa conception polyvalente et conviviale, trouve tout
Plus en détailContribution des faisceaux d ions à l élaboration de dispositifs pour l électronique souple
Comité National Français de Radioélectricité Scientifique Section française de l Union Radio Scientifique Internationale Siège social : Académie des Sciences, Quai de Conti Paris Journées scientifiques
Plus en détailUTILISATION DES SÉDIMENTS VALORISÉS : exemple de la plate-forme expérimentale SOLINDUS pour le pré-traitement des produits de dragage
UTILISATION DES SÉDIMENTS VALORISÉS : exemple de la plate-forme expérimentale SOLINDUS pour le pré-traitement des produits de dragage Dr H. Bréquel, Responsable département Recherche 1 1 /20 CONTEXTE ET
Plus en détailModule d Electricité. 2 ème partie : Electrostatique. Fabrice Sincère (version 3.0.1) http://pagesperso-orange.fr/fabrice.sincere
Module d Electricité 2 ème partie : Electrostatique Fabrice Sincère (version 3.0.1) http://pagesperso-orange.fr/fabrice.sincere 1 Introduction Principaux constituants de la matière : - protons : charge
Plus en détailPréparations avant peinture. Solutions sans CrVI. Michel JANNIER (expert)
Les rendez-vous technologiques «Les traitements de surface des alliages légers» Préparations avant peinture. Solutions sans CrVI. Michel JANNIER (expert) 1 Préparation avant peinture Les traitements avant
Plus en détailHansgrohe Conseils & Entretien
Hansgrohe Conseils & Entretien Dans cette brochure Hansgrohe Conseils & Entretien nous voulons vous informer des plaintes et réclamations possibles. Dans beaucoup de cas, il est possible de déterminer
Plus en détailACCREDITATION CERTIFICATE. N 1-1663 rév. 5. Satisfait aux exigences de la norme NF EN ISO/CEI 17025 : 2005 Fulfils the requirements of the standard
Convention N 2393 Section Laboratoires ATTESTATION D ACCREDITATION ACCREDITATION CERTIFICATE N 1-1663 rév. 5 Le Comité Français d'accréditation (Cofrac) atteste que : The French Committee for Accreditation
Plus en détailAnne Vanasse, agr., Ph.D. Université Laval. Le chapitre 3. Les rédacteurs
La gestion du ph du sol Anne Vanasse, agr., Ph.D. Université Laval Le chapitre 3 Les rédacteurs Anne Vanasse (responsable) Marc Hébert Lotfi Khiari Sébastien Marchand Abdo Badra Hélène Moore 1 Introduction
Plus en détailPROTECTION DEs MAINs ET DEs BRAs INfORMATIONs TEChNIquEs
Les accidents qui touchent les mains sont la première cause d accidents avec arrêt de tra- tuer tous les gestes de notre quotidien et sont également un outil essentiel dans notre travail. Préservons-les,
Plus en détailHISTAR. ArcelorMittal Europe - Long products Sections and Merchant Bars
ArcelorMittal Europe - Long products Sections and Merchant Bars HISTAR Des qualités d acier innovant à haute limite d élasticité pour alléger les constructions ArcelorMittal Photo Library - Architect:
Plus en détailGUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG
GUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG Version 1.0 1 Avant-propos Ce guide de bonnes pratiques a été préparé pour fournir des informations concernant la collecte
Plus en détailSP. 3. Concentration molaire exercices. Savoir son cours. Concentrations : Classement. Concentration encore. Dilution :
SP. 3 Concentration molaire exercices Savoir son cours Concentrations : Calculer les concentrations molaires en soluté apporté des solutions désinfectantes suivantes : a) Une solution de 2,0 L contenant
Plus en détailFiche technique Ligne de vie SECURIFIL industrie
ZI de Monterrat B.P.13 42501 Le Chambon Feugerolles Cedex France Tel : 04 77 40 54 38 Fax : 04 77 40 54 41 Mail : securite@somain.fr Fiche technique Ligne de vie SECURIFIL industrie ZI de Monterrat B.P.13
Plus en détailC3. Produire de l électricité
C3. Produire de l électricité a. Electricité : définition et génération i. Définition La matière est constituée d. Au centre de l atome, se trouve un noyau constitué de charges positives (.) et neutres
Plus en détailÀ propos d ITER. 1- Principe de la fusion thermonucléaire
À propos d ITER Le projet ITER est un projet international destiné à montrer la faisabilité scientifique et technique de la fusion thermonucléaire contrôlée. Le 8 juin 005, les pays engagés dans le projet
Plus en détailSe protéger contre la contamination par les micro-organismes. Gazole, gazole non routier et fioul domestique Cuves de stockage et réservoirs
0193 exe TOTAL A5 contamination_mise en page 1 20/09/11 15:41 Page1 Se protéger contre la contamination par les micro-organismes Gazole, gazole non routier et fioul domestique Cuves de stockage et réservoirs
Plus en détail