JOSEPH SHUMPETER PROGRÈS TECHNIQUE ET ÉVOLUTION ÉCONOMIQUE ÉCONOMIE
|
|
- Emmanuelle Larouche
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 JOSEPH SHUMPETER PROGRÈS TECHNIQUE ET ÉVOLUTION ÉCONOMIQUE ÉCONOMIE
2 PROGRÈS TECHNIQUE ET ÉVOLUTION ÉCONOMIQUE : J.A. SHUMPETER. SYNTHESE Travail à faire : I- Présenter l auteur, sa biographie, sa bibliographie et sa place dans la pensée économique et/ou sociologique. II- Présenter l analyse de l auteur sur la base des questions suivantes : (Appliquer impérativement un schéma de réflexion : (o)=j observe ;(c)=je constate ; (e)=j explique ; (i)=j illustre ; (cc)=je conclus). 1- Expliquer en quoi le développement est un phénomène «spontané et discontinu» lié à l innovation. 2- Expliquer le rôle qu attribue Schumpeter à l entrepreneur. 3- Expliquer le lien qu établit Schumpeter entre l innovation et le caractère cyclique de l évolution économique. 4- Expliquer en quoi l innovation dépend de la taille des entreprises. III- Actualiser la pensée de l auteur par des prolongements théoriques et factuels. (Appliquer impérativement un schéma de réflexion : (o)=j observe ;(c)=je constate ; (e)=j explique ; (i)=j illustre ; (cc)=je conclus).
3 1-Présenter l auteur - CF carte d identité ci-jointe réalisée par l élève. 2- Exposer l analyse de l auteur (o) Théorie de SCHUMPETER (c) c1 Selon Schumpeter, le développement est un phénomène spontané et discontinu grâce à l innovation (q1). c2 L entrepreneur innovateur joue un rôle central dans la croissance (q2). c3 L activité économique est cyclique grâce à l introduction des innovations (q3). c4 Le monopole au contraire de la concurrence pure et parfaite favorise l innovation (q4). (e) e1 Le développement est l ensemble des changements économiques, sociaux, techniques, organisationnels et institutionnels impulsés par la croissance au sens commun du terme. Selon Schumpeter, ce phénomène est le résultat de l innovation, application réussie d une invention dans le domaine industriel et commercial et est appelé évolution. L innovation englobe cinq catégories : la fabrication d un nouveau produit ((i) portable ) ou innovation de produit, l introduction d une nouvelle méthode de production ((i) automatismes ) ou innovation de procédé, l ouverture d un débouché nouveau ((i) la Chine ) ou innovation de marché, la conquête d une nouvelle source de matière première ((i) électricité, nucléaire ), la création d une nouvelle organisation du travail ou d entreprise ((i) le taylorisme, l externalisation ou la sous traitance) ou innovation organisationnelle. Cette innovation brise les routines et rompt l équilibre stationnaire néoclassique en mettant en route un processus de «destruction créatrice» en ce sens que de nouvelles combinaisons productives plus performantes chassent les anciennes devenues désuètes. On désignera par progrès technique au sens de Schumpeter l ensemble des cinq types d innovations. L innovation est le fruit de l entrepreneur innovateur ; elle est à l origine d un développement discontinu car les innovations ne se répartissent pas uniformément dans le temps mais apparaissent de manière groupée- les «grappes d innovations» - et sont interdépendantes (goulots d étranglement) ; les profits générés par les premières innovations attirent de nouveaux entrepreneurs innovateurs et confèrent au capitalisme un caractère discontinu. e2 Schumpeter attribue à l entrepreneur innovateur un rôle central dans la croissance : en innovant, celui-ci brise l état stationnaire. C est un personnage sanguin et aventurier sans cesse attiré par le profit qui, seul, motive sa démarche. De par son action, sont détruites les anciennes combinaisons productives, construites et diffusées de nouvelles combinaisons, ce qui profite à l ensemble de la société. L innovation, véritable fonction sociale de l entreprise, fait progresser le capitalisme, et chaque innovation est supplantée à son tour par de nouvelles même si l auteur pense que ce processus va à s épuiser et que le capitalisme va laisser sa place au socialisme (Nota: même issue pour Marx!!!) e3 L irrégularité du progrès technique fait que se succèdent des périodes à forte intensité d innovation et des périodes où l innovation est moins intense. L activité économique est donc cyclique. Les cycles sont définis par des fluctuations du PIB à travers le temps ; un cycle comporte plusieurs phases : l expansion, la crise ou le retournement du cycle, la dépression, la récession qui se caractérise par un recul de la croissance, et la reprise. A noter : - les «sommets» d un cycle dépassent ceux du cycle précédent ; en outre, le ralentissement est plus rapide et brutal que l expansion (en coupe dynamique, le cycle ne comporte pas des phases symétriques car l expansion est plus lissée que les phase de récession et de dépression plus brutales; - l auteur ZARNOVITZ met en évidence dans les différentes phases du cycle des éléments pro cycliques (qui varient dans le même sens que le PIB) : l investissement, les prix, la part des salaires dans la VA, les profits avancés ou le crédit bancaire, la productivité du travail et l agrégat monétaire M3 et des éléments contra cycliques (qui varient en sens inverse du PIB): part du profit dans la VA, taux d intérêt réel. La «procyclité» des salaires réels n est pas vérifiée, seule celle des salaires nominaux l est ; - au sommet du cycle durant la phase de crise, le différentiel du taux d intérêt long et court s inverse (le taux d intérêt court devient plus important que le taux d intérêt long afin de stopper brutalement l inflation). Les cycles sont liés à l introduction des innovations et dans la réalité apparaissent des branches d activité et des entreprises nouvelles tandis que les entreprises peu adaptées disparaissent (processus de destruction créatrice). On distingue généralement les cycles longs de Kondratiev (55 ans), les cycles des affaires de Juglar (10ans) et les cycles courts de Kitchin (40 mois) ; Schumpeter dans son analyse se réfère aux cycles de Kondratiev. e4 Schumpeter considère que la CPP tue l innovation car l hypothèse de l atomicité des offreurs n est pas propice à l innovation et au progrès technique dans le sens où elle ne permet pas de dégager le même profit que le monopole. Taille des entreprises et innovations sont donc liées. Esprit critique : a) dans les grandes entreprises((i) S.A. ou multinationales), l innovation devient moins spontanée car elle met en jeu des sommes considérables et ne peut faire l objet d un quelconque risque ; b) avec le développement du capitalisme et des grandes sociétés anonymes, il y a un glissement de l entrepreneur innovateur vers le technocrate gestionnaire ce qui introduit au sein de ces entreprises une certaine inertie quant à l esprit d initiative bien que les grandes entreprises concentrées arrivent à dégager d énormes moyens pour effectuer des dépenses de recherche ; c est ce que Schumpeter avait entrevu en parlant du caractère routinier que prenait l innovation dans les grandes entreprises.
4 (i) Cf. exemples cités directement dans les explications. (cc) En conclusion de ce schéma de réflexion : a) le développement selon Schumpeter est le résultat de l innovation : de produit, de procédé, organisationnelle, de marché ou liée à la découverte d une nouvelle source de matière première ; b) les innovations brisent l état stationnaire néoclassique, apparaissent en grappes et donnent au développement et à la croissance un caractère spontané et discontinu (les cycles) ; c) elles sont le fruit d entrepreneurs innovateurs et ont une véritable fonction sociale ; la CPP tue l innovation tandis que le monopole la favorise ; d) hélas, l innovation prend dans les grandes entreprises un caractère routinier, ce qui l étouffe et le capitalisme laisse sa place au socialisme. 3- Actualiser la pensée de l auteur. (o) Pensée schumpétérienne : actualisation par des éléments théoriques et factuels. (c) La pensée de l auteur est à la fois confirmée et infirmée. (e) Eléments théoriques: Les théories traditionnelles, par l établissement de fonction de production du type Cobb-Douglas : P=f (K, L, résidu) considèrent que le progrès technique (ensemble des innovations) est exogène et que la croissance économique est expliqué pour l essentiel par les facteurs de production, notamment le facteur travail. Les théories de la croissance endogène (Cf. travaux de Romer) confèrent au progrès technique un caractère endogène et à la croissance un caractère cumulatif, analyse qu on retrouve chez Schumpeter. Selon ces nouvelles théories, le progrès technique peut se diffuser par le savoir-faire (learning by doing), le capital humain (Lucas) ou les externalités positives publiques (Barro). Elles confirment donc la thèse de Schumpeter. Eléments factuels : a) Les innovations organisationnelles ((i) le fordisme) ou celles liées à la diffusion de nouveaux biens de consommation ont joué un rôle important durant les trente glorieuses qui de surcroît semble correspondre à la phase ascendante d un cycle long de Kondratiev ; les innovations de produits dans cette période ont généré une amélioration du niveau de vie et du mode de vie (fonction sociale). Cela confirme la thèse de Schumpeter. b) La croissance des dépenses de recherche et développement dans les grandes firmes confirme que l innovation est de plus en plus planifiée et relève d un caractère routinier en glissant des mains de l entrepreneur innovateur vers des départements de recherche appliquée recrutant de simples salariés. Cela confirme la thèse de Schumpeter. c) Les entrepreneurs d aujourd hui ne correspondent plus à l entrepreneur innovateur du temps de Schumpeter ; trois types d entrepreneurs semblent se dégager : 1) les créateurs et les visionnaires à l origine des innovations stratégiques ; 2) les leaders qui attirent et mobilisent les autres en encourageant les idées et en rendant les organisations créatrices ((i) Goggle), les technocrates qui sont certes brillants en faisant du management cérébral mais qui sont coupés de la réalité. 2) et 3) infirment la thèse de l auteur sur le rôle de l entrepreneur innovateur solitaire maître en matière d innovation. (i) Cf. directement les explications. (cc) La thèse de l auteur est confirmée sur le plan théorique par les éléments des théories de la croissance endogène ; sur le plan factuel les trente glorieuses semblent correspondre à la thèse de l auteur de même que le caractère routinier que prend l innovation dans les grandes entreprises. Hélas, les entrepreneurs d aujourd hui sont bien éloignés de l entrepreneur innovateur de Schumpeter.
5 Progrès technique et évolution économique : J.A SCHUMPETER Carte d identité de l entrepreneur innovateur selon SCHUMPETER Champ d étude Le personnage Etude L entrepreneur chez Schumpeter est avant tout un innovateur qui introduit : *) un nouveau produit ; *) un nouveau type d organisation de la production ; *) une nouvelle source de matière première ; *) une nouvelle organisation du travail ou d entreprise ; *) un nouveau marché. Motivations *) Volonté de fonder un royaume privé, voire une dynastie ; *) volonté de vaincre ; *) volonté de créer une forme économique nouvelle. Caractéristiques de sa fonction : *) Manière spéciale de voir les choses ; *) capacité précise de saisir les choses et de les voir dans leur réalité ; *) capacité d aller seul et de l avant ; *) ne pas sentir l insécurité et la résistance comme des arguments devant freiner la décision ; *) faculté d agir sur autrui. La sélection des entrepreneurs *) Chez Schumpeter : *) Aujourd hui : *) L appât de gains importants imprime une impulsion puissante chez les futurs entrepreneurs : profits futurs supérieurs aux profits courants ; *) le risque d échec tient en haleine l entrepreneur innovateur ; *) les créateurs et les visionnaires : ils sont à l origine des innovations stratégiques ; *) les leaders qui attirent et mobilisent les autres en encourageant les idées et en rendant les organisations créatives ; *) les technocrates, brillants mais souvent coupés de la réalité et qui font du management cérébral.
Epreuve de Sciences économiques et sociales
Epreuve de Sciences économiques et sociales Sujet zéro 1 1/ Question d analyse microéconomique ou macroéconomique (6 points) Expliquer et représenter graphiquement les gains à l échange. 2/ Conduite d
Plus en détailCHAPITRE «CROISSANCE, CAPITAL ET PROGRES TECHNIQUE»
CHAPITRE «CROISSANCE, CAPITAL ET PROGRES TECHNIQUE» I ) SOURCES DE LA CROISSANCE ECONOMIQUE : La croissance économique est d abord une réalité quantitative. Généralement, on mesure cette croissance avec
Plus en détailANNEXE VII EFFETS MACROECONOMIQUES DE LA REFORME PIECE JOINTE N 2 SIMULATIONS REALISEES A PARTIR DU MODELE MACROECONOMETRIQUE MESANGE
ANNEXE VII, PJ n 2, page 1 ANNEXE VII EFFETS MACROECONOMIQUES DE LA REFORME PIECE JOINTE N 2 SIMULATIONS REALISEES A PARTIR DU MODELE MACROECONOMETRIQUE MESANGE ANNEXE VII, PJ n 2, page 2 Les simulations
Plus en détailGESTION DE LA RELATION CLIENT (CRM) Etat actuel et perspectives du marché suisse en 2002
GESTION DE LA RELATION CLIENT (CRM) Etat actuel et perspectives du marché suisse en 2002 CONSULTING KPMG Consulting SA La «gestion de la relation client» (ou, en anglais, Customer Relationship Management,
Plus en détailPOINTS DE REPÈRE SUR LA FÉVRIER 2015 PRODUCTIVITÉ EN FRANCE
POINTS DE REPÈRE SUR LA FÉVRIER 2015 PRODUCTIVITÉ EN FRANCE MESURER LA PRODUCTIVITÉ Productivité du travail : valeur ajoutée / stock d heures travaillées. Elle est simple à calculer et facilement compréhensible.
Plus en détailRéaliser la fiche de lecture du document distribué en suivant les différentes étapes de la méthodologie (consulter le support du TD!
Réaliser la fiche de lecture du document distribué en suivant les différentes étapes de la méthodologie (consulter le support du TD!) 1. Réaliser la note sur l auteur (bien lire le document, utiliser Internet)
Plus en détailPremière partie : Mobilisation des connaissances
Première partie : Mobilisation des connaissances 1. Présentez le lien entre productivité globale des facteurs et progrès technique. (3 points) Ci-dessous un corrigé : comparez-le à votre réponse, surlignez
Plus en détailChapitre 1 Quelles sont les sources de la croissance?
CONCEPTION ET MISE EN PAGE : PAUL MILAN 18 mars 2015 à 13:38 Chapitre 1 Quelles sont les sources de la croissance? Notions : PIB, IDH, investissement, progrès technique, croissance endogène, productivité
Plus en détailHISTOIRE MONETAIRE DE L EUROPE DE 1800 A 2007
Sciences sociales et humaines- MESOJ- ISSN 2109-9618- (2010) Volume 1 No 3 HISTOIRE MONETAIRE DE L EUROPE DE 1800 A 2007 Sciences sociales et humaines : Livre : HISTOIRE MONETAIRE DE L EUROPE DE 1800 A
Plus en détailb ) La Banque Centrale Bilan de BC banques commerciales)
b ) La Banque Centrale Notre système bancaire se complexifie puisqu il se trouve maintenant composer d une multitude de banques commerciales et d une Banque Centrale. La Banque Centrale est au cœur de
Plus en détailCHAP 3 COMMENT EXPLIQUER L INSTABILITE DE LA CROISSANCE?
CHAP 3 COMMENT EXPLIQUER L INSTABILITE DE LA CROISSANCE? 3.1 COMMENT EXPLIQUER LES FLUCTUATIONS ECONOMIQUES? Introduction : 1. La croissance économique n est pas régulière. A une période d expansion succède
Plus en détailENSEIGNEMENT DES SCIENCES ET DE LA TECHNOLOGIE A L ECOLE PRIMAIRE : QUELLE DEMARCHE?
ENSEIGNEMENT DES SCIENCES ET DE LA TECHNOLOGIE A L ECOLE PRIMAIRE : QUELLE DEMARCHE? Les nouveaux programmes 2008 confirment que l observation, le questionnement, l expérimentation et l argumentation sont
Plus en détailUne étude sur : «La Supply Chain comme facteur clé de compétitivité» Jeudi 27 juin 2013 Au Grand Hôtel Opéra, Paris
Jeudi 27 juin 2013 Au Grand Hôtel Opéra, Paris Une étude sur : «La Supply Chain comme facteur clé de compétitivité» A l'initiative de Réalisée par Pour le compte de Une étude basée sur un nombre significatif
Plus en détailTable des matières. Le long terme... 45. Partie II. Introduction... 1. Liste des figures... Liste des tableaux...
Liste des figures... Liste des tableaux... XI XV Liste des encadrés.... XVII Préface à l édition française... XIX Partie I Introduction... 1 Chapitre 1 Un tour du monde.... 1 1.1 La crise.... 1 1.2 Les
Plus en détailTPE/PME : comment me situer et justifier de mon statut?
TPE/PME : comment me situer et justifier de mon statut? Vérification du statut de PME par les micro, petites et moyennes entreprises au sens du règlement REACH Ce document est traduit et librement adapté
Plus en détailP s a sep e o p r o t S e S r e vi v ce c s Fabrice Dubost
Passeport Services Fabrice Dubost 2.6 Gestion des Mises en Production ITIL, Soutien des services Entreprise, Clients et Utilisateurs Outil de Supervision Dysfonctionnements Questions / Renseignements Incidents
Plus en détailECONOMIE GENERALE G. Carminatti-Marchand SEANCE III ENTREPRISE ET INTERNATIONALISATION
ECONOMIE GENERALE G. Carminatti-Marchand SEANCE III ENTREPRISE ET INTERNATIONALISATION On constate trois grandes phases depuis la fin de la 2 ème guerre mondiale: 1945-fin 50: Deux blocs économiques et
Plus en détailLa politique monétaire après la crise financière mondiale : Nouveaux enjeux
OCP Policy Center Seminar series La politique monétaire après la crise financière mondiale : Nouveaux enjeux Pierre-Richard Agénor, Hallsworth Professor, University of Manchester and Senior Fellow, OCP
Plus en détailREFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL
1 REFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL DEFINITION DE LA PROFESSION ET DU CONTEXTE DE L INTERVENTION L assistant de service social exerce de façon qualifiée, dans le cadre d un mandat
Plus en détailLes Notes de l Institut d émission
Les Notes de l Institut d émission Établissement public Dotation - SIRET 78 APE 65 A Siège social : 5 rue Roland Barthes 75598 Paris cedex Tél. : + 5 Fax : + 87 99 6 Croissance de la masse monétaire et
Plus en détailprogression premiere et terminale
progression premiere et terminale s.2 s.3 valette SEQUENCE Séance Objectif Contenu du cours Compétences Savoirs 1 1. Le bilan comportemental Identifier les objectifs de la connaissance de soi Utiliser
Plus en détailContribution des industries créatives
RÉSUMÉ - Septembre 2014 Contribution des industries créatives à l économie de l UE en termes de PIB et d emploi Évolution 2008-2011 2 Contribution des industries créatives à l économie de l UE en termes
Plus en détailMontée en débit : la mise en œuvre de l accès à la sous-boucle et son articulation avec le développement des réseaux FttH
février 2010 Montée en débit : la mise en œuvre de l accès à la sous-boucle et son articulation avec le développement des réseaux FttH Orientations de l ARCEP - 1 - Introduction Bénéficier d une montée
Plus en détailI) L ouverture des économies à l international
L autarcie s oppose au système du libreéchange. I) L ouverture des économies à l international A) La mesure des échanges de biens et services. La balance des transactions courantes. Cette balance retrace
Plus en détailMise en place du Mécanisme de Supervision Unique (MSU)
Mise en place du Mécanisme de Supervision Unique (MSU) Mise en place du Mécanisme de Supervision Unique (MSU) 1. Le MSU est l un des piliers de l Union bancaire européenne 2. La mise en œuvre opérationnelle
Plus en détailChapitre 3. La répartition
Chapitre 3. La répartition 1. La répartition de la valeur ajoutée La valeur ajoutée (1) Valeur ajoutée : solde du compte de production = > VA = P CI = > Richesse effectivement créée par les organisations
Plus en détailCes formations se font uniquement «Sur mesure» - Nous contacter. II - Techniques de vente «Avancées» - 6 ou 7 modules selon le concept vente
FORMATIONS COMMERCIALES MANAGEMENT Ces formations se font uniquement «Sur mesure» - Nous contacter I - Techniques de vente «Basic» - 6 modules II - Techniques de vente «Avancées» - 6 ou 7 modules selon
Plus en détailLe rôle du secteur bancaire suisse dans la transformation de l épargne en investissements réels
Le rôle du secteur bancaire suisse dans la transformation de l épargne en investissements réels Dans la théorie de l intermédiation financière, un système bancaire fonctionne correctement s il favorise
Plus en détailTRAVAIL ET GESTION DE L EMPLOI?
INDICATIONS COMPLÉMENTAIRES E n s e l i m i t a n t à u n e présentation graphique simple et en insistant sur les déterminants de l'offre et de la demande, on expliquera l'analyse néoclassique du fonctionnement
Plus en détailRemarques d Ouverture par M. Mohammed Laksaci, Gouverneur de la Banque d Algérie, Président de l Association des Banques Centrales Africaines
Remarques d Ouverture par M. Mohammed Laksaci, Gouverneur de la Banque d Algérie, Président de l Association des Banques Centrales Africaines Symposium des Gouverneurs sur le thème «Inclusion financière
Plus en détailCHAPITRE 6. LES FONCTIONS MACROÉCONOMIQUES
CHAPITRE 6. LES FONCTIONS MACROÉCONOMIQUES PLAN ET RÉFÉRENCES Plan du chapitre I. Circuit et équilibre macro-économique II. La consommation et l épargne III. L investissement Références Généreux (2) Mankiw
Plus en détailGestion électronique des procurations
Gestion électronique des procurations Table des matières Généralités... 2 1. Approuver des procurations... 4 1.1 Section «Procurations à approuver»... 4 1.2 Section «Signaux»... 6 1.3 Messages particuliers...
Plus en détailTHEME 2 : LA TRADUCTION COMPTABLE DES FLUX
UFR SCIENCES PHARMACEUTIQUES ET BIOLOGIQUES COURS DE GESTION ANNEE SCOLAIRE 2013-2014 INTERVENANT : Isabelle Kei Boguinard THEME 2 : LA TRADUCTION COMPTABLE DES FLUX SENS ET PORTEE DE L ETUDE : Assimiler
Plus en détailMardi 23 octobre 2007. Séminaire. Schumann-bourse
Mardi 23 octobre 2007 Séminaire Schumann-bourse La Bourse : environnement économique et monétaire Définition de la bourse et de son rôle dans l'économie Influence des taux d'intérêts Déterminer les cycles
Plus en détailII L APPROCHE PEDAGOGIQUE EN 2nde PRO LOGISTIQUE ET TRANSPORT. 1 Mon téléphone portable
I PRESENTATION DES THEORIES 1 La chaîne logistique traditionnelle 2 Supply chain 3 Supply chain in reverse logistics La gestion globale de la chaîne logistique dans la logistique inversée (verte) II L
Plus en détailRéduire la pauvreté : comment les collectivités territoriales peuvent-elles être des catalyseurs du développement économique pro-pauvre?
Réduire la pauvreté : comment les collectivités territoriales peuvent-elles être des catalyseurs du développement économique pro-pauvre? Les trois dernières décennies ont été marquées par des progrès impressionnants
Plus en détailExercices Alternatifs. Quelqu un aurait-il vu passer un polynôme?
Exercices Alternatifs Quelqu un aurait-il vu passer un polynôme? c 2004 Frédéric Le Roux, François Béguin (copyleft LDL : Licence pour Documents Libres). Sources et figures: polynome-lagrange/. Version
Plus en détailExercices Alternatifs. Quelqu un aurait-il vu passer un polynôme?
Exercices Alternatifs Quelqu un aurait-il vu passer un polynôme? c 2004 Frédéric Le Roux, François Béguin (copyleft LDL : Licence pour Documents Libres). Sources et figures: polynome-lagrange/. Version
Plus en détailELEMENTS DE COMPTABILITE NATIONALE
ELEMENTS DE COMPTABILITE NATIONALE Cours de M. Di Roberto Université Victor Segalen Bordeaux 2 Bibliographie Ce cours s inspire largement des ouvrages essentiels suivants. Merci à leurs auteurs. BOSSERELLE
Plus en détailL accumulation de réserves de change est-elle un indicateur d enrichissement d une nation?
L accumulation de réserves de change est-elle un indicateur d enrichissement d une nation? Edouard VIDON Direction des Analyses macroéconomiques et de la Prévision Service des Études macroéconomiques et
Plus en détailLa rémunération de l apprenti :
F I C H E P R A T I Q U E N 2 R E M U N E R A T I O N E T A I D E S L I E E S A U C O N T R A T D A P P R E N T I S S A G E L apprenti est titulaire d un contrat de travail de type particulier : il est
Plus en détailAvec Gaël Callonnec (Ademe)
Séminaire Développement durable et économie de l'environnement Les conséquences des politiques énergétiques sur l activité et l emploi Avec Gaël Callonnec (Ademe) Mardi 24 janvier 2012 Présentation du
Plus en détailMéthodologie de la dissertation : application à l économie.
Nicolas Belorgey - IEP Toulouse - 1ère année économie - conférence de méthode. Méthodologie de la dissertation : application à l économie. Faire une dissertation, c est poser une question (encore appelée
Plus en détailPolitiques monétaire et fiscale Cours de M2R Printemps 2006
Politiques monétaire et fiscale Cours de M2R Printemps 2006 Ekkehard Ernst OCDE Ekkehard Ernst 1 Introduction et résumé du cours Objectifs Connaître et apprendre les concepts modernes d analyse monétaire
Plus en détailNotions fondamentales
Gestion de projet Notions fondamentales Versions récentes du cours pdf, ppt, vidéo disponibles ici : management de projet Image : domaine public (source) 1 Avant de commencer Introduction Objectifs Plan
Plus en détailLes conséquences de la crise financière et économique sur l implantation internationale des PME et ETI
Les conséquences de la crise financière et économique sur l implantation internationale des PME et ETI Jiawei Ye Pramex International Université Paris-Dauphine - 1 - - 2 - Pramex International (cabinet
Plus en détailINDICATIONS COMPLÉMENTAIRES
eduscol Sciences économiques et sociales - Première ES Science économique 4. La monnaie et le financement Ressources pour le lycée général et technologique Fiche 4.3 : Qui crée la monnaie? INDICATIONS
Plus en détailL implantation des banques marocaines en Afrique
L implantation des banques marocaines en Afrique L intégration de l économie marocaine à l économie mondiale est désormais une évidence qui fait l unanimité, le dynamisme de cette intégration a été rendu
Plus en détailWWW.ELCON.SE Multichronomètre SA10 Présentation générale
WWW.ELCON.SE Multichronomètre SA10 Présentation générale Le SA10 est un appareil portable destiné au test des disjoncteurs moyenne tension et haute tension. Quoiqu il soit conçu pour fonctionner couplé
Plus en détailOutil : Grille d entretien annuel individuel d évaluation ENTRETIEN ANNUEL
Outil : Grille d entretien annuel individuel d évaluation NOM : Prénom : Né (e) le : Fonction : Occupée depuis le : Date du précédent entretien : Date de l entretien : Entretien mené par :... ENTRETIEN
Plus en détailDocument 1.2: Définition de l indicateur d ouverture (OPENNESS) de Sachs et Warner,1995
PROGRAMME DE FORMATION CONTINUE SESSION 6 : RENNES, 1314 MARS 2008 Atelier : Ouverture et croissance Animé par Akiko SuwaEisenmann (EEP) L objectif de cet atelier est d examiner les données de plusieurs
Plus en détailf o r m a t i o n m o d u l a i r e e n c o u r s d e m p l o i
CAS Certificat de formation continue Certificate of Advanced Studies Management de l énergie janvier septembre 2013 f o r m a t i o n m o d u l a i r e e n c o u r s d e m p l o i Avec le soutien de Office
Plus en détailDirection des Études et Synthèses Économiques Département des Comptes Nationaux Division des Comptes Trimestriels
Etab=MK3, Timbre=G430, TimbreDansAdresse=Vrai, Version=W2000/Charte7, VersionTravail=W2000/Charte7 Direction des Études et Synthèses Économiques Département des Comptes Nationaux Division des Comptes Trimestriels
Plus en détailLa croissance des pays développés au cours des trente dernières
Éditions La Découverte, collection Repères, Paris, 213 II / Dette et croissance Benjamin Carton* La croissance des pays développés au cours des trente dernières années s est accompagnée d une hausse de
Plus en détailL Equilibre Macroéconomique en Economie Ouverte
L Equilibre Macroéconomique en Economie Ouverte Partie 3: L Equilibre Macroéconomique en Economie Ouverte On abandonne l hypothèse d économie fermée Les échanges économiques entre pays: importants, en
Plus en détailRAPPELS DU COURS PRÉCÉDENT
RAPPELS DU COURS PRÉCÉDENT PIB + M = CF+ FBCF + S + X Demande intérieure Valeur 2006 en milliard s d'euros ) Évolutions en volume au prix de l'année précédente Évolutions en volume au prix de l'année précédente
Plus en détailDe la modélisation linguistique aux applications logicielles: le rôle des Entités Nommées en Traitement Automatique des Langues
De la modélisation linguistique aux applications logicielles: le rôle des Entités Nommées en Traitement Automatique des Langues Maud Ehrmann Joint Research Centre Ispra, Italie. Guillaume Jacquet Xerox
Plus en détailProfil B ou profil E? Aide à la décision
Employée/Employé de commerce CFC Profil B ou profil E? Aide à la décision Introduction Le présent document sert d aide pour les acteurs qui participent au choix de la voie de formation la plus appropriée
Plus en détailexigences des standards ISO 9001: 2008 OHSAS 18001:2007 et sa mise en place dans une entreprise de la catégorie des petites et moyennes entreprises.
R E S U M E de la Thése de doctorat Perfectionnement du systemé de management intégré qualité-responsabilité sociale-santé et sécurité occupationnelle élaborée par Monsieur le thésard Denuntzio C. Romeo,
Plus en détailECOLE SUPERIEURE DE L EDUCATION NATIONALE
ECOLE SUPERIEURE DE L EDUCATION NATIONALE Formation des Chefs d Etablissement d Affectation Management adaptatif et délégations Support participants SOMMAIRE La formation dans son contexte p.3 Les facteurs
Plus en détailCOMMUNAUTE ECONOMIQUE ET MONETAIRE DE L AFRIQUE CENTRALE -------------------- LA COMMISSION -------------------
COMMUNAUTE ECONOMIQUE ET MONETAIRE DE L AFRIQUE CENTRALE -------------------- LA COMMISSION ------------------- DOSSIER TYPE A FOURNIR PAR LES INDUSTRIELS ET A PRESENTER PAR LES ETATS MEMBRES DE LA CEMAC
Plus en détailCode du Travail, Art. L6222-23 à L6222-33
F I C H E P R A T I Q U E N 2 R E M U N E R A T I O N E T A I D E S L I E E S A U C O N T R A T D A P P R E N T I S S A G E L apprenti est titulaire d un contrat de travail de type particulier : il est
Plus en détail1. La fonction de règlement ne peut être assurée au niveau international que dans des conditions bien différentes. D une part, les agents concernés
Introduction La notion de système évoque l idée d organisation. Un système monétaire national est l organisation des relations monétaires dans un pays : comment les agents économiques peuvent-ils utiliser
Plus en détailSage 50 Gestion commerciale Logiciel PME performant pour une gestion commerciale efficace.
Sage 50 Gestion commerciale Logiciel PME performant pour une gestion commerciale efficace. 1 Sage50_Auftrag_Broschuere_fr.indd 1 24.09.2012 08:17:18 Comptabilité Gestion commerciale Facturation Gestion
Plus en détailLes investissements internationaux
Conclusion : Doit-on réguler les IDE? Les investissements internationaux Introduction : Qu est ce qu un investissement direct à l étranger (IDE)? I) L évolution des IDE 1 Les IDE : une affaire entre riches
Plus en détailFaut-il encourager les ménages à épargner?
Faut-il encourager les ménages à épargner? Analyse du sujet : Nature du sujet : Sujet de type «discussion». Problématique explicite. Mots-clés : Ménages ; épargner épargne des ménages Encourager Epargne
Plus en détailPROGRAMME D ECONOMIE ET DROIT DANS LES SECTIONS DE TECHNCIEN SUPERIEUR RELEVANT DU SECTEUR TERTIAIRE DEFINITION DES EPREUVES
Direction générale pour l enseignement supérieur et l insertion professionnelle PROGRAMME D ECONOMIE ET DROIT DANS LES SECTIONS DE TECHNCIEN SUPERIEUR RELEVANT DU SECTEUR TERTIAIRE DEFINITION DES EPREUVES
Plus en détailRéglementation de l'activité bancaire
Annexe 1 La nature des garanties qui sous-tend une adjudication de crédit sont classées comme suit : Effets de Première Catégorie : 1 Bons du Trésor Bons d équipement Effets représentatifs de crédits bancaires
Plus en détailInvestissements et R & D
Investissements et R & D Faits marquants en 2008-2009 - L investissement de l industrie manufacturière marque le pas en 2008 et se contracte fortement en 2009 - Très fort recul de l utilisation des capacités
Plus en détailÉcriture de journal. (Virement de dépense)
Écriture de journal (Virement de dépense) SERVICE DES FINANCES Équipe de formation PeopleSoft version 8.9 Août 2014 TABLES DES MATIERES AVERTISSEMENT... 3 INTRODUCTION... 4 RAISONS JUSTIFIANT LA CRÉATION
Plus en détailEtude réalisée par Ambroise Bouteille et Associés pour le compte de l OPIIEC. Juin 2008, Synthèse OPIIEC
ETUDE SUR LES CERTIFICATIONS LIEES AUX METIERS DU REFERENTIEL DE LA BRANCHE DES BUREAUX D ETUDES TECHNIQUES, CABINETS D INGENIEURS-CONSEILS ET SOCIETES DE CONSEIL Etude réalisée par Ambroise Bouteille
Plus en détailDossier de Candidature Sélection des Agents
Dossier de Candidature Sélection des Agents Conditions Générales Conditions Générales Vous de sirez adhe rer a un important re seau de distribution expe rimente et vous avez un esprit d e quipe, le sens
Plus en détailL appréhension pénale du terrorisme Plan détaillé de la dissertation ENM 2014
L appréhension pénale du terrorisme Plan détaillé de la dissertation ENM 2014 «Je ne connais rien de plus servile, de plus méprisable, de plus lâche, de plus borné qu'un terroriste» (Chateaubriand, Mémoires
Plus en détailThème 2 : Le rôle du «secteur informel» dans l intégration régionale
Thème 2 : Le rôle du «secteur informel» dans l intégration régionale 1. Le secteur informel en Afrique : définition et caractéristiques générales Le secteur informel est défini comme l'ensemble des unités
Plus en détailLa répartition du capital de Accor est détaillée dans la partie 6 de la présente note.
Société anonyme à Directoire et Conseil de Surveillance au capital de 596 680 254 Siège social : 2, rue de la Mare-Neuve 91000 Evry 602 036 444 RCS Evry Note d'information établie préalablement à l'assemblée
Plus en détailLa stabilité des prix : pourquoi est-elle importante pour vous? Brochure d information destinée aux élèves
La stabilité des prix : pourquoi est-elle importante pour vous? Brochure d information destinée aux élèves Que peut-on acheter pour dix euros? Et si, avec cet argent, vous pouviez acheter deux maxi CD
Plus en détailQuels outils pour prévoir?
modeledition SA Quels outils pour prévoir? Les modèles de prévisions sont des outils irremplaçables pour la prise de décision. Pour cela les entreprises ont le choix entre Excel et les outils classiques
Plus en détail1. Une petite économie ouverte dans un monde de capitaux parfaitement mobiles
Le modèle Mundell-Flemming avec parfaite mobilité des capitaux Le modèle Mundell-Flemming (Robert Mundell, Marcus Flemming, début années 1960) est l extension du modèle IS-LM en économie ouverte. Il partage
Plus en détailINNOVATION, MANAGEMENT ET ÉCONOMIE: COMMENT LA THÉORIE ÉCONOMIQUE REND-ELLE COMPTE DE L'INNOVATION DANS L'ENTREPRISE?
INNOVATION, MANAGEMENT ET ÉCONOMIE: COMMENT LA THÉORIE ÉCONOMIQUE REND-ELLE COMPTE DE L'INNOVATION DANS L'ENTREPRISE? Note de recherche 2003-21 de la Chaire de recherche du Canada sur les enjeux socio-organisationnels
Plus en détailACCORD DU 27 NOVEMBRE 2013
MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L EMPLOI ET DU DIALOGUE SOCIAL CONVENTIONS COLLECTIVES Brochure n 3364 Convention collective nationale RÉGIME SOCIAL DES INDÉPENDANTS IDCC : 2796. Personnel de direction Brochure
Plus en détailLES ACQUISITIONS DE TITRES. Analyse des opérations d'acquisition de titres (frais bancaires et TVA). TABLE DES MATIERES
LES ACQUISITIONS DE TITRES Objectif(s) : o Classification des titres. Pré-requis : o Analyse des opérations d'acquisition de titres (frais bancaires et TVA). Modalités : o Immobilisations financières :
Plus en détailRECHERCHE EXPLORATOIRE (2) SUR LES CRITÈRES DE SUCCÈS DES PROJETS DES PETITES ET MOYENNES ENTREPRISES
RECHERCHE EXPLORATOIRE (2) SUR LES CRITÈRES DE SUCCÈS DES PROJETS DES PETITES ET MOYENNES ENTREPRISES Julie Bérubé (berj23@uqo.ca) Programme de maîtrise en gestion de projet, UQO RÉSUMÉ Les critères de
Plus en détailINTRODUCTION. 1. L innovation permet de renforcer la compétitivité de l entreprise et influe sur les stratégies mises en oeuvre
INTRODUCTION Il y a 20 ans, toute l attention de l entreprise se portait sur la diminution des coûts et la maîtrise des filières de production autour des produits standardisés. Dans les années 1990, le
Plus en détailDirective relative aux assurances perte de gain pour les partenaires de distribution
innova Versicherungen AG Case postale 3073 Gümligen Directive relative aux assurances perte de gain pour les partenaires de distribution externes. 1. Intervalle de temps pour l envoi de conventions d affiliation
Plus en détailAIDES EN MATIERE D AGRICULTURE. Investissements de création ou de modernisation pour les fermes auberges
Ce dossier est à adresser à : Monsieur Nicolas ROULY Président du Département de Seine-Maritime Hôtel du Département DEE/SAP Quai Jean Moulin CS 56101 76101 ROUEN CEDEX 1 AIDES EN MATIERE D AGRICULTURE
Plus en détailLES SIIC. Pierre Schoeffler Président S&Partners Senior Advisor IEIF. Étude réalisée par. Les SIIC et la retraite 1
LES SIIC et la retraite Étude réalisée par Pierre Schoeffler Président S&Partners Senior Advisor IEIF Les SIIC et la retraite 1 23 juin 2014 2 Les SIIC et la retraite La retraite est, avec l emploi et
Plus en détailContinent africain / Evaluation de préjudice Les économistes apportent des réponses à 360 degrés lors des procédures litigieuses
Tribune Paris, le 19 janvier 2015 Continent africain / Evaluation de préjudice Les économistes apportent des réponses à 360 degrés lors des procédures litigieuses Par Gildas de Muizon (Directeur associé)
Plus en détailRAPPORT D OBSERVATIONS DEFINITIVES SUR LES COMPTES ET LA GESTION DE LA COMMUNE DE TARBES
CHAMBRE REGIONALE DES COMPTES DE MIDI-PYRENEES --- N/Réf. : GO10 329 01 RAPPORT D OBSERVATIONS DEFINITIVES SUR LES COMPTES ET LA GESTION DE LA COMMUNE DE TARBES Exercices 2003 à 2009 22 5.3 Les renégociations
Plus en détailBTS (brevet de technicien supérieur) DUT (diplôme universitaire de technologie) Filière santé (médecine, pharmacie, sage-femme, dentaire)
Un BTS ou un DUT, une prépa ou une université, ou bien une école spécialisée? Choisir son orientation après le bac n'est pas toujours facile. Pour vous aider à y voir plus clair, nous vous proposons quelques
Plus en détailCONDITIONS GENERALES D ACHAT BONTAZ CENTRE
CONDITIONS GENERALES D ACHAT BONTAZ CENTRE Article 1 : Objet et champ d application Sauf accord particulier dûment négocié entre les parties sous quelque forme que ce soit, ces présentes conditions générales
Plus en détailLes effets d une contrainte de crédit sur la convergence économique : Le cas des pays de l UEMOA
Les effets d une contrainte de crédit sur la convergence économique : Le cas des pays de l UEMOA Auteurs : Abdoulaye DIAGNE et Abdou-Aziz NIANG Introduction Ceci devrait contribuer à réduire l écart entre
Plus en détail«L avenir ne se prévoit pas, il se prépare. pare» Maurice Blondel Philosophe. Prospective stratégique et conduite du changement
Prospective stratégique et conduite du changement Il n y a pas de vent favorable pour celui qui ne sait où il va! ( Sénèque) «L avenir ne se prévoit pas, il se prépare pare» Maurice Blondel Philosophe
Plus en détailLes mécanismes de transmission de la politique monétaire
Chapitre 5 Les mécanismes de transmission de la politique monétaire Introduction (1/3) Dans le chapitre 4, on a étudié les aspects tactiques de la politique monétaire Comment la BC utilise les instruments
Plus en détailNOM DE L ELEVE :.. Dossier à rendre complété avant le 16 Mars 2015 (afin de vous éviter le temps des formalités lors de la pré-rentrée).
Dossier à rendre complété avant le 16 Mars 2015 (afin de vous éviter le temps des formalités lors de la pré-rentrée). NOM DE L ELEVE :.. Prénom : I. DOCUMENTS A RETOURNER A L ETABLISSEMENT Réservé à l
Plus en détailLes enjeux et clés de succès des entreprises familiales. kpmg.fr
Les enjeux et clés de succès des entreprises familiales kpmg.fr 1 Les enjeux et clés de succès des entreprises familiales Les enjeux et clés de succès des entreprises familiales 2 La gestion de la trésorerie,
Plus en détailPROGRAMME D'ÉTUDES 2015-2016. Maîtrise interuniversitaire en Journalisme et Communication FACULTÉ DES SCIENCES DE LA SOCIÉTÉ
PROGRAMME D'ÉTUDES 015-01 Maîtrise interuniversitaire en Journalisme et Communication FACULTÉ DES SCIENCES DE LA SOCIÉTÉ Maîtrise interuniversitaire en Journalisme et Communication s obligatoires communs
Plus en détailHausse du crédit bancaire aux entreprises au Canada
Hausse du crédit bancaire aux entreprises au Canada Juillet 3 Aperçu Des données récemment publiées, recueillies par Prêts bancaires aux entreprises Autorisations et en-cours (Figure ), l Association des
Plus en détailFormation PME Comptabilité analytique (ou comptabilité d exploitation)
Formation PME Comptabilité analytique (ou comptabilité d exploitation) Fit for Business (PME)? Pour plus de détails sur les cycles de formation PME et sur les businesstools, aller sous www.banquecoop.ch/business
Plus en détailBienvenue. Procure.ch. Jeudi 26 avril 2012. Haute école de gestion Fribourg www.heg-fr.ch. Haute école de gestion Fribourg
Bienvenue Procure.ch Jeudi 26 avril 2012 Haute école de gestion Fribourg www.heg-fr.ch 1 ère question (thème) C est grave docteur? Les principaux indicateurs économiques En préambule.. Qu est-ce qu un
Plus en détail