ORGANISATION DES NATIONS UNIES POUR L ÉDUCATION, LA SCIENCE ET LA CULTURE. Discours de M. Koïchiro Matsuura
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- Claude Marie-Louise Audy
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1 DG/2006/076 REV. Original : anglais ORGANISATION DES NATIONS UNIES POUR L ÉDUCATION, LA SCIENCE ET LA CULTURE Discours de M. Koïchiro Matsuura Directeur général de l Organisation des Nations Unies pour l éducation, la science et la culture (UNESCO) à l'occasion de la troisième réunion du Groupe de haut niveau de l Alliance des civilisations Dakar (Sénégal), 30 mai 2006
2 DG/2006/076 REV. page 1 Je voudrais tout d abord remercier M. Mayor pour ses aimables propos, et exprimer ma profonde satisfaction de voir l UNESCO pleinement engagée, et reconnue, dans les travaux de l Alliance des civilisations. C est un grand plaisir pour moi de pouvoir prendre la parole à cette troisième réunion du Groupe de haut niveau de l Alliance des civilisations. Je me réjouis d être associé à une entreprise aussi importante et de pouvoir contribuer à vos débats, en mettant à profit, et en partageant avec vous, la somme considérable d expérience que l UNESCO a acquise dans ce domaine, où les enjeux sont toujours plus importants. C est la première fois que j ai l occasion de participer personnellement à vos travaux, même si l UNESCO, en la personne de Mme Katérina Stenou, était présente à la deuxième réunion du Groupe, à Doha. Je dois dire que je suis impressionné de voir les résultats déjà obtenus par vos discussions. L UNESCO partage pleinement le souci de l Alliance de favoriser un plus grand respect mutuel entre les différents groupes culturels et religieux et de contrecarrer la montée de l extrémisme. La recherche d un dialogue entre les civilisations, les cultures et les peuples est inscrite au cœur même de l Acte constitutif de l UNESCO. L objectif de l Organisation est de «construire la paix dans l esprit des hommes». Promouvoir une conception commune de la diversité culturelle et religieuse, ainsi que le respect pour celle-ci, est donc un élément central de sa mission. Les évolutions de ces dernières années ont rendu la nécessité du dialogue encore plus pressante, voire impérieuse. Il y a aujourd hui une volonté réelle de passer des mots à l action, tant pour contrer la recrudescence de l intolérance et du fanatisme que pour mettre à profit les nombreuses possibilités nouvelles qu offre la mondialisation d échange et de compréhension interculturels et de lutte contre le «choc des ignorances». Dans ce contexte, la mise en place l année dernière d une Alliance des civilisations a été encourageante. Cette initiative est un signal fort, qui montre la préoccupation croissante, aux niveaux politiques les plus élevés, quant à l importance stratégique du dialogue interculturel et interreligieux pour la défense de la paix. C est là une des avancées qui ont été faites récemment et qui contribuent à améliorer la coopération internationale dans ce domaine. Parmi ces avancées figure la résolution adoptée par la Conférence générale de l UNESCO en octobre 2001, immédiatement après les événements du 11 septembre, qui a souligné l importance du dialogue dans les efforts internationaux en vue de prévenir et éliminer les actes de terrorisme. Une autre avancée importante est intervenue un mois plus tard, avec la résolution de l Assemblée générale des Nations Unies sur le Programme mondial pour le dialogue entre les civilisations. Cette résolution a été adoptée au terme de l Année des Nations Unies pour le dialogue entre les civilisations. L UNESCO s est vu confier le soin de conduire la mise en œuvre du Programme mondial pour le dialogue ; et ces cinq dernières années, en étroite collaboration avec les États membres, l Organisation a mis en œuvre une série d initiatives concrètes pour promouvoir le respect et la compréhension mutuels entre les civilisations. Le Programme mondial et son Plan d action restent particulièrement pertinents, comme en atteste le soutien marqué qu ils ont reçu des chefs d État dans le Document final du Sommet mondial de 2005.
3 DG/2006/076 REV. - page 2 Parmi les autres avancées récentes les plus notables, figure encore l Engagement de Rabat, «Encourager le dialogue entre les cultures et les civilisations à travers des actions concrètes et durables», adopté par l UNESCO en juin 2005 avec l ISESCO, l ALECSO et d autres partenaires internationaux importants. Depuis son lancement en juillet dernier, j ai suivi les travaux de l Alliance avec un grand intérêt. Je me réjouis d observer que les recommandations formulées par le Groupe de haut niveau - et qui ont été présentées ici ce matin - font clairement écho aux directives que j ai reçues du Conseil exécutif de l UNESCO. Je retrouve en particulier la même insistance sur la nécessité de traduire notre volonté commune de dialogue en actions concrètes. Permettez-moi de présenter brièvement quelques-unes des activités que l UNESCO a menées pour que son action devienne plus concrète. En suivant la direction donnée par la résolution de l Assemblée générale des Nations Unies ainsi que par les recommandations adoptées à Rabat au mois de juin dernier, l UNESCO et ses États membres ont élaboré un plan d action intersectoriel destiné à promouvoir le dialogue en faisant intervenir tous les programmes principaux de l Organisation. Le temps ne me permet pas de vous faire un compte rendu détaillé de ce plan. Au lieu de cela, je voudrais présenter un certain nombre d exemples d actions concrètes menées dans les domaines de l éducation, de la culture et des médias - domaines dont je sais qu ils ont été au centre des discussions du Groupe de haut niveau ces deux derniers jours. J espère que ces exemples inspireront les discussions du Groupe qui sont en cours. Au-delà, ils pourraient nous aider à identifier les domaines dans lesquels l UNESCO peut rattacher ses travaux au plan d action que l Alliance des civilisations est en train d élaborer pour l avenir. L éducation, comme vous l avez reconnu, est un instrument clé du dialogue. Une éducation de qualité peut contribuer à stabiliser les conflits, à éliminer les stéréotypes culturels et à bâtir la compréhension et le respect mutuels envers d autres religions et cultures. Les politiques linguistiques ont à cet égard un rôle important à jouer. Le multilinguisme, par exemple, est une manière de stimuler le dialogue interculturel et de permettre aux apprenants de participer activement à la société planétaire d aujourd hui. Des matériels d apprentissage et des approches pédagogiques de qualité, qui promeuvent la tolérance, la cohésion sociale et le respect pour les droits de l homme, sont également essentiels, et il faut qu ils soient adaptés aux contextes tant de l éducation formelle que de l éducation non formelle. La réforme des programmes d enseignement est une autre question essentielle. L UNESCO s implique depuis longtemps dans la mise au point de processus pour renouveler et adapter les programmes, qui prennent en compte les questions interculturelles et favorisent les moyens d apprendre à vivre ensemble pacifiquement. Pour être efficace, ceci doit être combiné avec des politiques nationales du livre qui garantissent un accès équitable aux manuels scolaires et matériels de lecture, de même qu avec un rôle de chef de file international dans l organisation de la révision bilatérale et multilatérale de ces matériels. Une coopération régionale et internationale renforcée dans ce domaine - comme dans d autres domaines tels que la formation des enseignants, l édition et le renforcement des capacités des universités - s avèrera crucial pour que l éducation joue pleinement son rôle de promotion du dialogue et de la compréhension interculturelle. La mission fondamentale de l UNESCO est également de promouvoir la «féconde diversité des cultures», ainsi que son corollaire : le dialogue au sein de chaque culture et civilisation, et le dialogue entre elles. Dans ce contexte, la préservation du patrimoine culturel, matériel et
4 DG/2006/076 REV. - page 3 immatériel, revêt la plus grande importance. Les origines du patrimoine sont multiples et entrelacées. En nous efforçant de mettre en avant les nombreuses et diverses influences qui ont façonné l histoire et l identité de notre patrimoine, nous pouvons contribuer à promouvoir le dialogue, les échanges et la compréhension entre les communautés et les peuples, en particulier parmi les jeunes. Des initiatives couronnées de succès, comme la publication par l UNESCO du «Patrimoine mondial entre les mains des jeunes», ont démontré que le patrimoine était un dénominateur commun et un facteur d unité pour la coopération et la réconciliation. Les festivals culturels, les manifestations sportives, les forums culturels, les salons des arts et des livres sont d autres véhicules possibles du dialogue et de la compréhension. Les médias peuvent être un autre moyen pour créer et encourager le dialogue, bien que, comme l a montré «l affaire des caricatures», il est essentiel que les journalistes respectent les règles professionnelles et éthiques les plus hautes. La liberté d expression et la liberté de la presse sont vitales pour le dialogue culturel et doivent être défendues comme des éléments indispensables des sociétés démocratiques. Cependant, comme les autres droits et libertés, elles doivent s exercer dans le respect des convictions morales et religieuses. Comme je le dis souvent, la liberté et le respect sont deux principes sur lesquels il ne nous est pas permis de transiger. Ils sont complémentaires, non pas exclusifs l un de l autre ; c est ce qu a réaffirmé le Conseil exécutif de l UNESCO au mois d avril. Il est donc vital de promouvoir un débat parmi les journalistes et leurs associations professionnelles sur des codes de conduite librement consentis dans les médias. La création de programmes de diffusion, de journaux et de sites Web conjointement par des journalistes aux profils culturels différents sont des stratégies qui se sont avérées particulièrement efficaces. Les stratégies de ce type obtiennent leurs meilleurs résultats quand elles sont accompagnées par des cours de formation spécialisée au journalisme transculturel et au reportage multiculturel. Des formations spécifiques doivent également être assurées pour les professionnels des médias dans les situations de conflit, où une couverture médiatique juste et impartiale peut jeter des ponts entre les différents groupes ethniques, religieux et culturels. Par ailleurs, outre la réponse à donner aux défis posés par les conflits et l extrémisme, il est en même temps nécessaire d encourager une couverture médiatique accrue des questions liées au dialogue, ainsi qu aux événements et aux lieux où s exprime la diversité culturelle de l humanité. En outre, dans toutes nos activités, il est important d exploiter les capacités des TIC. Les forums de discussion sur Internet, les débats interactifs et les sites de conversation en ligne, les jeux vidéos équitables : ce sont là quelques exemples de la façon dont les médias modernes peuvent être utilisés pour créer le dialogue, en particulier chez les plus jeunes. Le principal objectif de ces activités est de mettre en place des médias indépendants, pluralistes et professionnels. Il est de promouvoir un débat ouvert et critique au sein des sociétés, et d encourager une réflexion attentive sur les implications de la diversité culturelle et religieuse dans le monde d aujourd hui. Le défi auquel nous faisons face est immense et complexe, et il ne peut être surmonté que par des actions concertées à tous les niveaux de la société. Il est donc essentiel de s adjoindre de nouveaux partenaires, au-delà des représentants de gouvernements et d universités auxquels nous avons habituellement à faire. En élaborant nos plans d action, nous devons avoir un dialogue bien plus large sur les politiques à mener. Nous devons inclure dans nos débats les organismes de la société
5 DG/2006/076 REV. - page 4 civile, le secteur privé, les communautés locales, ainsi que les représentants d Églises et de mouvements religieux. Il convient également de toucher d autres niveaux de leadership, en scellant des alliances avec ceux des dirigeants qui sont capables et désireux de s engager dans un dialogue interculturel authentique. Il est en particulier important d associer systématiquement les femmes et les jeunes à nos discussions. Le Groupe de haut niveau a rappelé l urgence qu il y avait à promouvoir la tolérance et le respect chez les jeunes. Il est également nécessaire de reconnaître le rôle stratégique que les jeunes peuvent jouer pour jeter des ponts entre les civilisations, et la nécessité de toucher ces jeunes à travers leurs propres centres d intérêt et activités. Le sport et la culture populaire, par exemple, peuvent susciter des occasions importantes d interaction et de dialogue. Des partenariats plus larges seront certainement essentiels dans notre action pour surmonter ce qui est peut-être le plus grand défi auquel nous ayons à faire face aujourd hui : comment toucher ceux que nous ne touchons pas encore, ceux qui sont exclus, ceux - il y en a - qui ne sont pas convaincus. De nouvelles actions audacieuses sont nécessaires pour toucher ceux qui ne croient pas au dialogue. En même temps que nous construisons un consensus international, nous avons besoin d examiner les moyens de mobiliser les communautés locales et de tirer avantage de leurs différentes langues et formes de savoir pour mieux donner vie aux principes de base du dialogue. Dans notre effort pour promouvoir ces principes, il est essentiel de ne pas perdre de vue la réalité sur laquelle ils s appuient : la grande diversité culturelle, linguistique et religieuse de l humanité. Une approche efficace du dialogue doit être plurielle et strictement contextuelle, et elle doit s appuyer sur la diversité même qu elle cherche à défendre. Une détermination forte reste cependant la clé de voûte de nos efforts pour promouvoir le dialogue interculturel. Elle fournit le cadre et l impulsion de nos travaux. L UNESCO accorde une importance particulière à la mobilisation des volontés politiques dans les régions clés. Une région dans laquelle nous faisons des progrès visibles est par exemple l Europe du Sud-Est. Je me rends demain à Opatija (Croatie), pour le quatrième Sommet régional des chefs d État de l Europe du Sud-Est, où j aurai le grand plaisir de retrouver son Coprésident, M. le Ministre d État de la Turquie Mehmet Aydin. Comme les années précédentes, le Sommet s intéressera aux voies possibles pour faire avancer, dans le dialogue, la coopération et la compréhension mutuelle. La détermination politique des chefs d État de l Europe du Sud-Est a représenté un encouragement puissant pour un grand nombre de nouvelles initiatives destinées à promouvoir le dialogue culturel, par exemple en utilisant le riche patrimoine de la région comme fondement d une réelle communication entre les différents groupes culturels et religieux - ce qui est le thème de la réunion de cette année. Les efforts régionaux comme celui-ci doivent être renforcés, et il faut les étendre à d autres parties du monde. J attends avec impatience vos conclusions et recommandations, et je tiens à vous assurer que l UNESCO ne manquera pas de contribuer aux actions du Groupe de haut niveau pour mettre pleinement en œuvre la force du dialogue, afin de transcender les différences culturelles et religieuses et contribuer à la préservation de la paix. Je vous remercie de votre attention.
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