Comportements d achats alimentaires en Champagne-Ardenne
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- Pierre-Yves Charbonneau
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1 Baromètre santé nutrition 29 Comportements d achats alimentaires en En 29, la part du budget des ménages consacrée à l alimentation diminue à nouveau (passant de 12,4 % en 28 à 9,6 %) après avoir augmenté en 28 (+,1 %). Le prix des denrées alimentaires stagne (-,1 %) après une hausse des prix (+ 5, % en 28). La consommation en produits alimentaires, hors boissons alcoolisées et tabac, s accélère légèrement (+,5 % en 29 contre +,1 % en 28) [1,2]. Par ailleurs, on observe une stabilisation du phénomène de fusion et de concentration des enseignes auquel on assistait dans la grande distribution alimentaire depuis plusieurs décennies et une montée en puissance des magasins hard-discounts qui ont doublé leur part de marché en cinq ans (de 7, % des dépenses alimentaires en 21 à 13, % en 26) [3]. Compte tenu des interactions entre le type de magasin de distribution et les comportements d achats, on peut supposer que cette modification du contexte a influencé les comportements d achats alimentaires des Français. A partir de l extension régionale du Baromètre santé nutrition 29 en, ce chapitre s intéresse aux comportements d achats alimentaires des habitants de la région. Il présente les principaux lieux d achats alimentaires fréquentés par les personnes âgées de 18 à 75 ans ainsi que les critères de choix de ces lieux d achat. Les liens entre les lieux d achat et la consommation alimentaire des habitants en sont analysés ainsi que les critères de confiance permettant de qualifier un aliment comme étant «de qualité» en vue de son achat. Introduction Lieux et fréquences d achats alimentaires Lieux d achats et repères du PNNS Autoconsommation Critères de choix du lieu d achat des produits alimentaires Critères de confiance pour l achat d un produit alimentaire Méthodologie Synthèse
2 29 Baromètre santé nutrition Lieux et fréquences d achats alimentaires Les grandes et moyennes surfaces (), lieu d achat le plus fréquenté Comme au niveau national, les lieux d achat les plus fréquentés par les habitants interrogés en sont les grandes et moyennes surfaces () : 87,2 % s y sont rendus au moins une fois durant les quinze jours précédant l enquête (Fig.1). Les Champardennais sont significativement plus nombreux que les autres Français à se rendre dans les une fois par semaine (46,5 % contre 41, % dans le reste de la France) ou une fois toutes les deux semaines (13, % contre 1,9 %). Les boulangeries sont également très fréquentées : 79,1 % des habitants s y sont rendus au moins une fois au cours de ces quinze jours et 75, % au moins deux fois dans la même période. Plus d un tiers des personnes interrogées en région (37,1 %) s y rendent tous les jours. Viennent ensuite les commerces de détail (hors boulangerie) puis les marchés. Les achats alimentaires dans ces deux types de lieux sont moins souvent cités par les habitants de Champagne- Ardenne que par ceux du reste de la France. Ainsi, ils sont 58,7 % à ne jamais être allé dans un commerce de détail durant les quinze jours précédant l enquête (contre 51,5 % en France) et 67,7 % à ne jamais être allé au marché pendant cette période (contre 6,7 % en France). En, 7,3 % des habitants s approvisionnent dans la rue auprès d un vendeur ambulant (hors vendeurs sur les marchés), soit significativement plus que le reste des Français (5,3 %). Enfin 9,3 % ont commandé par téléphone ou Internet au moins une fois au cours des quinze derniers jours. Figure 1 : Fréquentation des lieux d achats alimentaires durant les 15 jours précédant l enquête 1 % ,8 12,2 4,1 2,9 27,7 46,5 13, 12,9 13,7 19,3 8,3 58,7 Boulangerie Commerces de détail 29 5,4 18,4 8,6 67,6 6,5 14,6 2, 33,5 41, 4,9 1,9 14,6 19,8 2,7 7,9 51,5 Marché Boulangerie Commerces de détail 2 fois par semaine ou plus 1 fois par semaine 1 fois toutes les 2 semaines Jamais dans les 2 dernières semaines 6,4 23,4 9,6 6,7 Marché France métropolitaine 28 Source : Baromètre santé nutrition 29 - ORS, Inpes - Exploitation ORS 2 Différence significative entre la et la France pour la fréquentation des marchés, des et des commerces de détail.
3 Baromètre santé nutrition 29 Les achats alimentaires, une pratique plus féminine En, les achats alimentaires en sont significativement plus une tâche féminine : 93,9 % des femmes ont fait au moins une fois des achats alimentaires en durant les quinze jours précédant l enquête contre 8,1 % des hommes (Fig.2). En revanche, les achats faits dans la rue auprès de vendeurs ambulants sont le fait des hommes (8,4 % contre 6,2 % des femmes). 1% ,9 78, Figure 2 : Fréquentation des lieux d achats alimentaires au moins une fois durant les 15 jours précédant l enquête selon le sexe 8,1 76,2 Boulangerie 43,3 39,4 33,6 3, 81,2 8,2 94,3 93,9 1,6 8,4 8, 6,2 9,3 6,6 6,7 4,2 53,5 43,1 Commerces Marché Internet Rue Boulangerie Commerces de détail de détail Hommes Femmes 44,8 34,6 Marché Internet Rue Source : Baromètre santé nutrition 29 - ORS, Inpes- Exploitation ORS Aucune différence significative entre la et la France pour la fréquentation des lieux d achats alimentaires selon le sexe. Différence significative entre les hommes et les femmes pour la fréquentation des (en comme en France), des vendeurs ambulants (pour la uniquement) et des marchés et commerces de détails (en France uniquement). Les lieux d approvisionnement en denrées alimentaires varient avec l âge Si les restent le lieu de chalandise le plus fréquenté par l ensemble des Champardennais (à l exception des ans qui sont plus nombreux à être allé dans une boulangerie qu en durant les quinze jours précédant l enquête), le choix des lieux d achats alimentaires varie sensiblement avec l âge. Ainsi, les achats par Internet ou par téléphone sont moins fréquents à partir de 45 ans alors que la fréquentation des commerces de détail est plus importante chez les plus de 35 ans (Fig.3). En, la fréquentation des lieux d achat varie aussi significativement selon la situation professionnelle. Les retraités sont plus nombreux que les personnes qui travaillent à faire leurs achats au marché (44,4 % contre 32,6 %). Par ailleurs, les chômeurs et les étudiants sont moins nombreux à s être rendus dans une boulangerie au moins une fois dans les quinze jours qui précédent l enquête (respectivement 67,4 % et 59,8 % contre 78,9 % pour ceux qui travaillent). La zone d habitation joue aussi un rôle dans la fréquentation des marchés : ce sont les personnes résidant en zone urbaine qui y effectuent le plus leur achats alimentaires (38,3 % contre 24,5 % des personnes vivant en zone rurale). Les achats dans la rue auprès de vendeurs ambulants sont, à l inverse, surtout le fait de personnes résidant en zone rurale (9,3 % contre 5,8 %). Comparativement aux personnes vivant seules, les couples avec enfants sont significativement moins nombreux à se rendre dans les pour faire leurs achats (79,6 % contre 96,2 %). Enfin, les Champardennais n ayant aucun diplôme sont ceux qui font le plus d achats dans les commerces de détail (54,5 % contre 39,2 % des personnes ayant un diplôme). Figure 3 : Fréquentation des lieux d achats alimentaires au moins une fois durant les 15 jours précédant l enquête selon l âge en 1 % , 73,2 87,1 89,1 91,3 9,9 71,9 85,8 Aucune différence significative entre la et la France pour la fréquentation des lieux d achats alimentaires selon l âge. En France, différences significatives selon l âge quel que soit le lieu d achats. En, différences significatives uniquement pour la fréquentation des, des commerces de détail et des achats sur Internet. 73,3 79, 88,7 88,3 6,7 41,1 42,5 46,8 41,1 29,3 3,8 36,4 23,2 37,4 37,5 16,8 1,2 1,4 6,5 8,2 15,2 17,7 5,7 5,4 8, 5,8 2,1 4, ans Boulangerie Rue Marché Commerces de détail Par internet ou téléphone Source : Baromètre santé nutrition 29 - ORS, Inpes- Exploitation ORS 3
4 29 Baromètre santé nutrition Pour plus d un habitant sur sept, le premier lieu d achat cité est un magasin de hard-discount Interrogés sur les deux principales catégories de dans lesquelles ils effectuent le plus souvent leurs achats alimentaires, plus de la moitié des habitants de (55,7 %) déclare aller uniquement dans les hyper-et supermarchés comme grandes et moyennes surfaces. Ils sont 28,1 % à fréquenter plus souvent un hyper-et supermarché en premier et en second un magasin de hard-discount (Fig.4). Les Champardennais sont 14,7 % à avoir cité en premier les magasins hard-discounts comme principal lieu d achats dans les grandes et moyennes surfaces. Parmi ceux-ci, 13,1 % ont déclaré aller en second lieu dans un hyper-et supermarché et 3,1 % de nouveau dans un hard-discount. La fréquentation des magasins hard-discounts augmente significativement lorsque le revenu par unité de consommation (RUC) diminue : 22,8 % des habitants de ayant un faible niveau de revenu (RUC inférieur à 9 euros) choisissent les magasins hard-discounts comme premier lieu d achats alimentaires contre 6,1 % des personnes ayant un revenu mensuel par unité de consommation supérieur ou égal à 1 5 euros. Les personnes qui fréquentent les hard-discounts comme premiers magasins pour effectuer leurs achats alimentaires sont 26,2 % à déclarer «y arriver difficilement ou ne pas pouvoir y arriver sans faire de dettes» contre 1,3 % des personnes qui choisissent un hyper-et supermarché comme premier choix. En France seulement, la fréquentation des magasins hard-discounts comme principal lieu d achat diminue avec l augmentation du niveau d études. Les caractéristiques des personnes fréquentant les magasins harddiscounts sont comparables à celles observées par le Crédoc dans son enquête sur le commerce menée en 25 [4]. La montée des magasins de hard-discount apparaît donc comme le marqueur d une certaine paupérisation de la population [5] mais on peut légitimement se demander si nous ne sommes pas dans une période charnière où le consommateur prendrait conscience du superflu de certains services spécifiques à l hypermarché, comme la garantie d une gamme de choix très étendue, une présentation attractive des linéaires, des animations... En effet, le harddiscount semble devenir le complément de l hypermarché plus que le concurrent car il n attire plus seulement les populations démunies. L hypermarché maintient malgré tout le cap et tout le monde le fréquente sans distinction de revenus. Figure 4 : Fréquentation d un hyper-et-supermarché ou d un hard-discount comme principaux lieux d achat en grande et moyenne surface 1 % ,7 28,1 13,1 3,1 29 Uniquement discount Discount puis hyper Hyper puis discount Uniquement hyper Différence significative entre la et la France pour les modalités «Discount puis Hyper» et «Hyper puis Discount». 66,5 2,1 11,2 2,2 28 Source : Baromètre santé nutrition 29 - ORSCA, Inpes- Exploitation ORS
5 Baromètre santé nutrition 29 Lieux d achats et repères du PNNS Figure 5 : Respect de repères du PNNS selon la diversité des lieux d achats Certains repères du PNNS plus souvent atteints avec la multiplicité des lieux d achats alimentaires 8 % % % ,1 16,6 14, 12,5 Trois dont Deux dont 16,4 8,7 8,4 8,7 exclusif Pas de 3, 9,1 Aucun des trois* ,6 47,8 Trois dont Au moins 5 fruits et légumes par jour Au moins 2 fois du poisson par semaine 72,8 75,2 73,5 71,4 48,4 51,5 36,4 35,9 37,2 4,9 34,8 32,3 Deux dont exclusif Pas de Aucun des trois* Au moins 3 féculents par jour 8,6 66,3 68, 69,8 7,5 58,7 Source : Baromètre santé nutrition 29 - ORS, Inpes - Exploitation ORS Durant les quinze derniers jours, 17,9 % des habitants de Champagne- Ardenne ont fait des achats à la fois en, au marché et dans les commerces de détails hors boulangerie (Fig.5 : modalité «trois dont»). Ils sont 34,5 % à être allé dans une et dans un autre lieu (modalité «deux dont») et 34,7 % à avoir fréquenté une exclusivement («exclusif»). Seuls 2,8 % se sont rendus au marché et dans un commerce de détail mais pas en («Pas de») et 1,1 % n ont fréquenté aucun de ces trois lieux d achats («Aucun des trois»). En France, par rapport aux personnes déclarant avoir fréquenté uniquement une, celles étant allées également au marché et dans des commerces de détail (comme les poissonneries par exemple) sont plus nombreuses à avoir suivi les repères de consommation du Programme national nutrition santé (PNNS) pour le poisson et les fruits et légumes (Fig.5). Cette variation n est pas observable en. Concernant les repères du PNNS relatifs à la consommation de féculents, de produits laitiers et d aliments appartenant au groupe «viande, poisson, œufs», il n y a pas de différence entre les personnes déclarant fréquenter trois types de lieux d achat dont les et celles citant les exclusivement (en France comme en région). 5 2 Trois dont Deux dont exclusif Pas de Aucun des trois* *Fréquentation du marché ou des commerces de détail ou des inférieure à une fois dans les 15 jours
6 29 Baromètre santé nutrition Les repères du PNNS relatifs à la consommation de fruits et légumes et de produits laitiers sont moins atteints par les personnes fréquentant en premier un hard-discount En, les personnes qui fréquentent les magasins de hard-discount comme premier lieu d achats en sont significativement moins nombreuses à consommer au moins cinq fruits et légumes par jour (4,1 %) et des produits laitiers selon les recommandations du PNNS (18,5 %) que celles qui ont choisi en premier un hyper-et supermarché (avec respectivement 12,6 % pour les fruits et légumes et 29,5 % pour les produits laitiers) (Fig.6). Pour les autres repères du PNNS relatifs aux consommations de féculents, de «viande, poisson, œufs» ou de poisson, aucun effet du type de fréquenté n a pu être mis en évidence. Au niveau national, les Français fréquentant un hard-discount en premier comme sont moins nombreux à atteindre le repère PNNS relatif aux féculents que ceux allant dans un hyper et supermarché. Pour les autres repères, aucun effet significatif n a été observé. 1% Figure 6 : Respect des repères du PNNS selon le premier lieu d achat en grandes et moyennes surfaces 12,6 12,6 9,8 4,1 Fruits et légumes 71,6 71,2 67,3 65,8 Féculents 29 83,9 85,2 83,4 84,9 Viande, poisson, oeufs Hyper/Super Discount 47,1 39, 45,1 37,5 Poisson 29,5 23,5 Produits laitiers 22,3 18,5 28 Différence significative entre la et la France pour les produits laitiers et le poisson. En, différence significative selon le type de pour les fruits et légumes et les produits laitiers. Source : Baromètre santé nutrition 29 - ORSCA, Inpes- Exploitation ORS 6 6 % Autoconsommation Figure 7 : «Produire des aliments et les consommer» selon la zone de résidence 53,8 55, 29,8 25,8 < 2 habitants 2 habitants ou plus Aucune différence significative entre la et la France. Source : Baromètre santé nutrition 29 - ORSCA, Inpes- Exploitation ORS En, deux habitants sur cinq produisent des aliments et les consomment Plus de deux personnes interrogées en sur cinq déclarent produire des aliments et les consommer (4,1 %). Cette pratique est davantage le fait des personnes de 45 ans et plus : elles sont 49,8 % à produire et consommer leurs aliments contre 24,2 % des personnes de 18 à 25 ans. De manière attendue, l autoconsommation est plus pratiquée en milieu rural (53,8 %) ; toutefois, près d un tiers des urbains (29,8 %) déclare consommer les aliments qu il produit (Fig.7). En outre, les couples avec ou sans enfant sont significativement plus nombreux à produire leurs aliments et à les consommer (44,8 % contre 2,7 % pour les personnes vivant seules). En, l autoconsommation est associée à un meilleur respect des repères PNNS relatifs aux féculents et au groupe «Viande, poisson, œufs» (respectivement 79, % et 86,9 % de personnes respectant ces repères contre 63,3 % et 81,4 % pour les personnes ne pratiquant pas l autoconsommation). En France, cette pratique est associée à un meilleur respect du repère concernant les fruits et légumes.
7 Baromètre santé nutrition 29 Critères de choix du lieux d achat des produits alimentaires La distance et le prix, premiers critères de choix du lieu d achat de produits alimentaires Le premier critère de choix du lieu d achat des produits alimentaires cité par les Champardennais est la distance au lieu d achat (37,4 %). Le second critère intervenant est le prix (33,2 %) et le troisième la qualité et la variété (2,3 %) (Fig.8). Viennent loin derrière des critères comme les horaires d ouverture (3,4 %) et la renommée du magasin (2,7 %). En revanche, en cumulant le premier et le second critère de choix, le prix arrive en première position (64, %), suivi par la qualité et variété (57,3 %) et enfin la distance (56,3 %). La probabilité de citer la distance comme critère principal de choix varie avec l âge. Comparativement aux personnes âgées de 18 à 25 ans, les Champardennais âgés de 26 à 34 ans sont moins sensibles à ce critère pour choisir leur lieu d achat (25, % contre 42,6 %). A l inverse, les personnes âgées de 65 ans et plus sont significativement plus nombreuses à avoir donné ce critère (53,3 % contre 42,6 % des ans). Le critère de prix prend lui aussi de l importance avec l âge : les plus de 65 ans sont 27,6 % à le citer contre 2,9 % pour les personnes de 18 à 25 ans. Le niveau de diplôme joue aussi un rôle dans le fait de donner le prix comme principal critère de choix. Ainsi, les personnes ayant un niveau de diplôme supérieur ou équivalent au Bac sont moins concernées par ce critère (29,7 % contre 43,9 % des personnes n ayant aucun diplôme). Enfin, le critère de qualité et variété des produits proposés n a pas la même importance selon l âge des acheteurs. Les personnes âgées de 65 ans et plus ne sont que 16,7 % à le citer contre 22,4 % des jeunes de 18 à 25 ans. Ainsi, comme au niveau national, les consommateurs semblent faire passer la proximité du lieu d achat et le prix des produits alimentaires avant leur qualité, ce qui est une nouveauté par rapport aux données nationales du Baromètre santé 22 : la qualité était alors le premier critère de choix [6]. L augmentation des prix des denrées alimentaires et de la fréquentation des harddiscounts depuis 22 sont sans doute des facteurs explicatifs de ce changement. Les consommateurs semblent rechercher des aliments moins chers, même s ils doivent perdre en qualité ou en diversité de choix pour un même type de produit. Le prix, premier critère de choix pour les magasins de hard-discount Aussi bien au niveau national que régional, les personnes déclarant privilégier le hard-discount parmi les citent, sans surprise, le prix comme premier critère de choix de lieu d achat, et ce plus que celles qui favorisent les hyper-et supermarchés (71,1 % contre 29,8 % en ). En revanche, elles citent moins souvent la distance (17, % contre 41,8 %) ou la qualité et la variété (9,1 % contre 19,2 %) (Fig.9). Par rapport au niveau national, les Champardennais qui fréquentent surtout les hyper-et supermarchés pour leurs achats alimentaires, citent plus souvent le prix comme premier critère de choix. Pour ceux allant principalement dans les harddiscounts, aucune différence significative n est observée entre la région et la France. Distance Prix Qualité et variété Figure 8 : Principaux critères cités pour le choix du lieu d achat de produits alimentaires 2,3 23,5 27,9 33,2 37,4 39,9 Aucune différence significative entre la et la France pour le premier critère de choix. Différence significative entre la et la France pour le prix et la qualité et variété comme second critère de choix. 37, 33, 28,3 18,9 3,8 22, % 29 En première intention En seconde intention 28 Figure 9 : Premier critère cité pour le choix d un lieu d achats alimentaires selon la fréquentation d un hyperet-supermarché ou d un hard-discount 1 % ,7 78,6 71,1 41,8 29,8 23,5 17, 14,2 21,4 19,2 9,1 6,1 Distance Prix Qualité et variété 29 Hyper/Super Discount 28 Différence significative entre la et la France pour le prix comme premier critère de choix chez les personnes fréquentant un hyper-et supermarché. Source : Baromètre santé nutrition 29 - ORSCA, Inpes- Exploitation ORS Source : Baromètre santé nutrition 29 - ORSCA, Inpes- Exploitation ORS 7
8 29 Baromètre santé nutrition Critères de confiance pour l achat d un produit alimentaire en La marque et la qualité, premiers critères de confiance Pour acheter un produit de qualité en, les personnes interrogées en déclarent faire confiance avant tout à la marque du produit (3,5 %), à sa composition (27,9 %) puis au prix (16,7 %). Le label (13,7 %) et l enseigne du magasin (6,5 %) sont moins souvent cités (Fig. 1). Cette hiérarchie ne change pas en cumulant le premier et le deuxième critère de confiance : la marque et la composition restent les deux premiers critères cités pour l achat d un produit alimentaire. Au niveau national, la hiérarchisation est différente. En première intention, le premier critère cité est la marque suivi du label et de la composition. En deuxième intention, le prix arrive en tête suivi de la marque et du label. Par rapport au niveau national, les Champardennais font moins confiance au label et accordent plus d importance au prix comme critère de confiance. La position du label, assez loin dans la hiérarchie des critères, est surprenante dans la mesure où le label est censé exprimer et garantir la qualité. Les qualités intrinsèques du produit et l expérience des marques sont apparemment plus explicites pour le consommateur. La surabondance et la complexité des labels ne seraient-elles pas en cause? Figure 1 : Principaux critères de confiance cités pour l achat d un produit de qualité Marque Composition Label Prix 13,7 11,2 18,4 16, ,8 3,5 27,9 33,5 16,3 24,9 19,5 23,5 19, 22,3 25,1 23, % En première intention En seconde intention 28 Différence significative entre la et la France pour le label et le prix comme premier critère de confiance. Source : Baromètre santé nutrition 29 - ORS, Inpes- Exploitation ORS 8 Les critères de confiance varient en fonction des critères socio-démographiques La marque comme critère de confiance pour l achat d un produit alimentaire de qualité reste largement l apanage des jeunes (de 36,5 % pour les ans à 25,3 % pour les ans) (Fig.11). La composition du produit est davantage citée par les femmes (31,8 % contre 23,7 % pour les hommes). Par ailleurs, les personnes pour qui manger représente «un moyen de conserver la santé» sont plus nombreuses à utiliser la composition comme critère de choix pour un produit de qualité (36,6 % contre 26,9 % pour les personnes pour qui manger est «une chose indispensable pour vivre»). L évocation du label est principalement le fait des Champardennais ayant déclaré être «très ou plutôt» influencés par la santé quand ils composent leurs menus (15,6 % contre 8,1 % pour les personnes qui se disent «plutôt pas ou pas du tout» influencées par la santé quand elles composent leurs menus). Enfin, le prix comme critère de confiance pour l achat d un produit alimentaire de qualité est lié à un faible niveau socio-économique : faible niveau d étude (de 28,5 % pour les personnes sans diplôme à 5,4 % pour les personnes ayant un diplôme supérieur au Bac) et faible niveau de revenus (29,9 % pour les personnes ayant des revenus par unité de consommation inférieur à 9 euros contre 6,6 % pour les personnes ayant un RUC supérieur ou égal à 1 5 euros). En outre, les personnes influencées par la santé pour composer leurs menus sont significativement moins nombreuses à citer le prix comme premier critère de confiance (14,5 % contre 23,5 % pour les personnes qui ne sont pas influencées par la santé pour la composition de leurs menus). A l inverse et logiquement, les Champardennais qui déclarent être influencés par le budget dans la composition de leurs menus citent plus le prix que les autres (18,1 % contre 13, % pour ceux qui ne sont pas influencés par le budget). 1 % Figure 11 : Principaux critères de confiance cités pour l achat d un produit de qualité selon l âge 36,5 23,9 31,1 1,3 14,7 29,5 25,3 27,7 16,1 18,8 12,4 2,4 17,4 19,8 Aucune différence significative entre la et la France. En, différence significative selon l âge pour la marque. En France, différence significative selon l âge pour l ensemble des critères à l exception du label. 42,2 2,3 33,9 25,5 1,9 9,4 1,5 12,3 1,5 9,1 11,3 23,4 28,5 17,4 14,1 16, ans 29 Marque Composition Label Prix Autre 28 Source : Baromètre santé nutrition 29 - ORS, Inpes - Exploitation ORS
9 Baromètre santé nutrition 29 Le prix, plus souvent cité par les personnes déclarant fréquenter principalement des hard-discounts Les personnes déclarant aller dans un magasin de hard-discount comme premier lieu d achat en citent significativement plus le prix comme critère de confiance pour l achat d un produit alimentaire de qualité par rapport à ceux qui vont dans un hyperet supermarché (31,7 % contre 14,4 %) (Fig.12). Ces derniers évoquent plus la marque et le label. Par rapport au niveau national, les habitants de la Champagne- Ardenne déclarant aller principalement dans un hard-discount pour leurs achats alimentaires font plus confiance au prix et moins au label pour choisir un produit alimentaire de qualité. Figure 12 : Critères de confiance cités pour l achat d un produit alimentaire de qualité selon le type de 4 % ,8 31, 28,5 19,2 28,9 33,2 24,8 25, Pour la marque chez les personnes fréquentant un hyper- et supermarché en premier, 1différence significative entre la région et la 18,4 15,5 Hyper/Super Discount 13,7 2,6 14,4 1,4 Marque Composition Label Prix 29 31,7 18,1 28 Source : Baromètre santé nutrition 29 - ORSCA, Inpes- Exploitation ORS Différence significative entre la et la France pour le prix et le label comme premier critère de confiance chez les personnes fréquentant un hard-discount. 9
10 29 Baromètre santé nutrition Le choix de la composition comme critère de confiance pour l achat d un produit alimentaire de qualité et la lecture des étiquettes 3 vont de pair Un peu plus des deux tiers (68, %) des habitants de Champagne- Ardenne déclarent lire systématiquement les informations relatives à la composition des produits sur les emballages de tous ou de certains des aliments qu ils achètent. Les personnes ayant cité la composition en premier critère de confiance pour l achat d un produit alimentaire de qualité sont significativement plus nombreuses à déclarer lire de façon systématique les étiquettes de tous les produits (17,7 % contre 4, % de personnes disant faire confiance à la composition et ne lisant jamais les étiquettes) ou simplement de certains d entre eux (5,3 % contre 4, %). En revanche, celles ayant évoqué la marque comme critère de confiance le font peu voire jamais (Fig.13). Figure 13 : Lecture des étiquettes selon les critères de confiance cités pour l achat d un produit alimentaire de qualité 1 % ,5 26,1 48,8 19,6 17,7 5,3 27,9 42,6 4,5 4, 6, 1,9 1,6 6,3 24,7 42,8 21,9 24,5 49,1 2,1 22, 48,5 27,1 2,4 11,1 1,7 36,3 41,9 1,7 25,7 37,1 26,5 Marque Composition Label Prix Marque Composition Label Prix Systématiquement tous les produits Systématiquement certains produits De temps en temps ou rarement Jamais Source : Baromètre santé nutrition 29 - ORSCA, Inpes- Exploitation ORS Aucune différence significative entre la et la France pour la lecture des étiquettes, quel que soit le critère de confiance. En et en France, différence significative pour la lecture des étiquettes selon l ensemble des critères à l exception du prix (non significatif en ). 1 3 La question sur la lecture des étiquettes «Lisez-vous habituellement les informations relatives à la composition du produit, qui sont sur les emballages des aliments que vous achetez» prévoyait 5 modalités : systématiquement pour tous les produits, systématiquement pour certains produits, de temps en temps, rarement ou jamais. Deux d entres elles ont été regroupées pour définir la catégorie «De temps en temps ou rarement».
11 Baromètre Santé nutrition 29 Méthodologie Méthodologie générale 1 En 28, l INPES a reconduit le Baromètre santé nutrition. Il s agit d une enquête téléphonique consacrée aux relations entre la nutrition et la santé qui est réalisée au niveau national. De plus, sept régions ont participé à ce baromètre par le biais de sur échantillons régionaux et la a réalisé une extension en 29. Le questionnaire et la méthodologie employés en région sont les mêmes que ceux mis en œuvre au niveau de l enquête nationale. Seule la période d enquête varie : du 11 février au 19 mai 28 au niveau national et du 16 février au 25 mars 29 pour la. L échantillon Champardennais est composé de 83 personnes. L analyse présentée dans ce document porte sur les ans. Les données ont été pondérées par le nombre de personnes éligibles au sein du ménage contacté ainsi que par le nombre de lignes téléphoniques du foyer. Un redressement a été réalisé sur le sexe, l âge, le diplôme et la taille d agglomération, afin d être représentatif de la population régionale. Les tests de comparaison, réalisés essentiellement à partir de régressions logistiques, ont été effectués sur les données brutes (non pondérées) en ajustant sur le sexe, l âge, le niveau de diplôme, la situation professionnelle, la structure du foyer et le fait d habiter une zone rurale ou non. Le seuil de significativité est fixé à 5 %. Principales caractéristiques de la population étudiée Sexe Âge %* dans l échantillon régional, n=722 %** dans l échantillon national n=3481 homme 49,3 49, femme 5,7 51, ans 14,7 14, ans 16,7 16, ans 2,1 2, ans 19,8 19, ans 15,9 17, ans 12,9 12,4 1 La méthodologie détaillée de l étude est développée dans la fiche thématique «Présentation et méthodologie de l enquête». Niveau de diplôme aucun diplôme 15,2 17,2 inférieur au Bac 49,4 41,2 bac 15,9 18,1 Références bibliographiques [1] Consalès G. En 28, la consommation des ménages s infléchit mais résiste. Insee Première n 1241, Juin 29, 4p. [2] Consalès G. En 29, la consommation des ménages résiste malgré la récession. Insee Première n 131, Juin 21, 4p. [3] Bellamy V, Léveillé L. Consommation des ménages : Quels lieux d achat pour quels produits?, Insee Première n 1165, Novembre 27, 4p. [4] Moati P, Meublat O, Pouquet L, Ranvier M. Enquête commerce 25. Comportements et attitudes des consommateurs à l égard du commerce alimentaire. Credoc, Cahier de recherche n 211, Novembre 25, 143p. [5] Moati P, Ranvier M Faut-il avoir peur du hard-discount? Credoc. Consommation et modes de vie n 188, décembre 25, 4p. [6] Guilbert P, Perrin-Escalon H. Baromètre santé nutrition 22. Saint-Denis : INPES. 22:259 p. bac+2 ou plus 19,5 23,4 Situation professionnelle actifs occupés 6, 6,2 élèves, étudiants 4,3 8, chômeurs 8,4 4,5 retraités 21,7 2,2 autres inactifs 5,6 7,2 Revenus par unité de consommation <9 2,9 23, ,3 3, ,8 37,5 manquant 6,8 8,8 Structure du foyer personnes seules 12,5 11,8 foyer monoparental*** 5,1 6, foyer sans enfant*** 39, 34,7 foyer avec enfant*** 43,3 47,5 Zones de résidence < 2 habitants 42,9 25,7 2 habitants ou plus 57,1 74,3 * % pondérés à partir du bilan démographique de 26 (sexe et âge) pour la et à partir du bilan démographique de 27 (sexe et âge) pour la et des données de l enquête Emploi 27 (diplôme et taille d agglomération). ** pondérés à partir de l enquête Emploi 27 (sexe, âge, diplôme et taille d agglomération). *** Enfant(s) âgé(s) de moins de 25 ans..
12 29 Baromètre santé nutrition Synthèse A partir de l extension régionale du Baromètre santé nutrition 29 en, ce chapitre présente les comportements d achats alimentaires des habitants de la région, leur lien avec les comportements alimentaires ainsi que les motivations qui sous-tendent le choix du lieu d achats et celui d un produit de qualité. Les lieux d achats alimentaires sont le reflet de la structure dominante des lieux de distribution. Dans les quinze jours précédant l enquête, 87,2 % des Champardennais se sont rendus dans les grandes et moyennes surfaces (), 79,1 % dans une boulangerie, 41,3 % dans un commerce de détail (hors boulangerie) et 32,4 % sur un marché. Les autres lieux ou modes d achat sont encore relativement peu pratiqués : 9,3 % commandent par téléphone ou par Internet et 7,3 % achètent dans la rue auprès d un vendeur ambulant (hors vendeur sur les marchés). Cette dernière pratique est plus courante en qu en France. Par ailleurs, plus de deux personnes enquêtées sur cinq (4,1 %) déclarent produire des aliments et les consommer. L autoconsommation est davantage le fait des personnes de 45 ans et plus ainsi que des couples (avec ou sans enfants). Interrogés sur les deux principales grandes et moyennes surfaces () dans lesquelles ils effectuent le plus souvent leurs achats alimentaires, plus de la moitié des habitants de la région (55,7 %) déclare aller uniquement dans les hyper-et supermarchés et 14,7 % dans les magasins de hard-discount. Diversifier les types de lieux d achat permet au consommateur d exploiter au mieux leurs complémentarités et de trouver des réponses adaptées à ses besoins variés. Ainsi, en France, les personnes ayant déclaré fréquenter trois types de lieux d achat différents (parmi les, marchés et commerces de détails) au cours des quinze jours précédant l enquête ont plus de chances d avoir suivi les repères du Programmes national nutrition santé (PNNS) relatifs aux fruits et légumes et au poisson que les personnes n ayant fréquenté que des au cours de la même période. Cette variation n est toutefois pas observée en. Le choix des lieux d achat se fait en premier lieu, selon trois principaux critères : la distance au lieu d achat (37,4 %), le prix (33,2 %) puis la qualité et variété des produits (2,3 %). Le temps, le confort d achat et le prix dominent désormais la qualité des produits dans le choix d un lieu de chalandise. Pour les clients des hard-discounts, le prix prévaut aux autres critères. Enfin, en ce qui concerne les critères de choix d un produit de qualité en, les Champardennais font avant tout confiance à la marque puis à la composition, au prix et au label. Par rapport au reste de la France, les habitants de la région font moins confiance au label et accordent plus d importance au prix comme critère de confiance. Les fiches thématiques du Baromètre santé nutrition L analyse de l extension régionale du Baromètre santé nutrition en a donné lieu à la publication d autres documents thématiques : «Consommations alimentaires», «Perceptions et connaissances nutritionnelles», «Activité physique et sédentarité», «Structure et environnement des repas», «Nutrition, revenus et insécurité alimentaire» et d un fascicule «Présentation et méthodologie de l enquête». Une synthèse intitulée «Différences et similitudes entre régions» a également été réalisée par la Fnors. Ce document a été réalisé par : Karine Croenne et Samira Bensalah et mis en page par Angélique Bodenan (ORS ). Le choix des thématiques et les analyses ont été réalisés en collaboration étroite avec Samira Bensalah, Marie-Antoinette Castel-Tallet et Thomas Klipfel (ORS ), Elodie Roy et Anne-Sophie Woronoff (ORS Franche-Comté), François Baudier et Claude Michaud (Urcam Franche-Comté), Cyril Boudier, Gaëlle Mazure et Hervé Villet (ORS Haute-Normandie), Jean-François Buyck, Dorothée Grange et Catherine Vincelet (ORS Île-de-France), My Maï Cao et Hafida Raoui (Drass Nord - Pas-de-Calais), Henriette Noël (Drass Picardie), Nadège Thomas et Alain Trugeon (OR2S Picardie), Claire Bossard et François Michelot (Fnors), François Beck et Hélène Escalon (Inpes). Le recueil des données du sur-échantillon et l analyse ont été fi nancés par l Agence Régionale de Santé de et par le Conseil Régional de Champagne Ardenne Observatoire Régional de la Santé de 48 rue du Barbâtre REIMS Tél : Télécopie : courriel : info@orsca.fr
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