Application de la télédétection dans la connaissance et la cartographie de la salinité des sols de la plaine du Bas-Chéliff
|
|
- Gabrielle Poitras
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Application de la télédétection dans la connaissance et la cartographie de la salinité des sols de la plaine du Bas-Chéliff Douaoui A 1., Hartani T 2 1. Université de Chlef, abdouaoui@yahoo.fr 2. INA, Alger Résumé - L application de la télédétection dans le suivi et l indentification des états de surface, telle que la salinisation des sols, est de plus en plus utilisée ces dernières années. La salinité qui est la principale caractéristique de la plaine du Bas Chéliff peut être détectée directement par l accumulation des sels à la surface ou indirectement par son effet sur les états de surfaces. Ce travail consiste à confronter les données de salinité mesurées sur des échantillons prélevés sur terrain aux données numériques de télédétection issues de l image ASTER de l été 25 d une part, et la cartographie de la salinité par la télédétection d autre part. La comparaison visuelle entre la carte de la salinité mesurée et l image Aster classée montre une bonne concordance entre les deux types de données. Les deux cartes établies montrent une même tendance et une même répartition des niveaux de salinité. Dans ce sens, un indice de salinité issu des données de télédétection a montré une corrélation significative avec les points échantillonnés de ces classes. Cette corrélation exprimée par un r=,82 a été trouvée par la combinaison des trois canaux dont deux dans le visible et le troisième dans le proche infrarouge. Il n en est pas de même lorsque cette corrélation a été déterminée ponctuellement entre les CN des pixels et la CE correspondant à chacun de ces pixels. L origine de la faiblesse de cette corrélation est due probablement au déséquilibre dans la balance des valeurs de la CE dans la plaine où 85 % des échantillons prélevés ont une valeur de CE inférieure à 1 ds/m (en pâte saturé). Mots clés : Télédétection, états de surface, salinité I. Introduction La plaine du Bas-Chéliff se situe au Nord du bassin du Chéliff (Nord-Ouest de l Algérie), à environ 25 km à l Ouest d Alger et à 35 km à vol d oiseau de la méditerranée. Elle se trouve entre 4 et de longitude Est et et de latitude Nord. D'une superficie de plus de 5 ha. Le climat du Bas- Chéliff, est très rude et très contrasté par ses étés très chauds et des températures basses en hiver, avec des précipitations moyennes annuelles de l'ordre de 25 mm. Les études pédologiques effectuées dans cette région montrent que les sols de la plaine sont formés dans des alluvions quaternaires et ce sont des sols en majorité peu différenciés, plus ou moins calcaires, de texture variable, parfois hydromorphes, avec localement la présence de sols vertiques ou calcimagnésiques [1]. Le Bas-Chélif se distingue par la présence de nombreux sols salés [2]. Cette salinité caractérise les états de surface des sols soit par l accumulation des sels à la surface soit par son intervention sur la qualité des sols et la végétation [3]. Un échantillonnage, aussi important soit il, ne peut aboutir à une bonne connaissance et une cartographie exhaustive de la salinité sur la totalité de la plaine du Bas-Chéliff qui s étend sur une superficie de avoisinant les 65 ha. Il s agit par ce travail d une part, de connaître et de cartographier la salinité des couches de surface des sols de la plaine du Bas-Chéliff par l utilisation combinée du SIG et de la télédétection et d autre part, de comparer ces résultats à la carte de la salinité établie par l approche géostatistique. II. Matériel et méthodes II. 1. Echantillonnage La reconnaissance du terrain et le prélèvement des échantillons ont été effectués durant une période s étalant sur un mois, du 15 juillet au 15 août de l année 26. Le choix de cette période coïncide avec une couverture végétale très faible voire inexistante dans certaines zones de la plaine. C est aussi durant cette période que l accumulation des sels est la plus importante à la surface du sol et par conséquent plus facilement détectable. L échantillonnage adopté est de type stratifié ; il s est basé sur les classes issues de l image satellitaire de juillet 2 [3]. Chaque site échantillonné a été géoréférencié à l aide d un GPS de navigation de type Garmin. Le plan d échantillonnage des points sol (fig.1), montre la répartition des points prélevés dans la plaine. La salinité des 4 points échantillonnés a été mesurée dans le laboratoire par la méthode de l extrait dilué 1/5 dont 5 échantillons ont fait l objet de mesures sur l extrait de la pâte saturée [4] GAA Point de CE O.Chéliff Hmadna O.Djidiouia Oued Cheliff et ses affluents Ouarizane O.O.Rhiou km 2.5km 5km Fig. 1. Plan d échantillonnage des points de sol (26) II. 2. Données de l image satellitaire Comme image satellitaire, nous avons utilisé une scène du satellite ASTER (Advanced Spaceborne Thermal Emission and Reflectance Radiometer), prise en août 25 (fig. 2). Cette image est constituée de 14 bandes comprenant trois régions spectrales à savoir : 1
2 - VPIR avec la bande 1 (le vert) µm, la bande 2 (le rouge) µm, et la bande 3 (le proche infrarouge) µm ; - MIR (bandes 4-9) 3 mètres de résolution ; - TIR (bandes 1-14) avec 9 mètres de résolution. Fig. 2. L image Aster utilisée (août 25) III. Résultas et discussion III. 1. Traitement de l'imagerie satellitaire L histogramme bidimensionnel, obtenu par l intersection du canal rouge et le proche infrarouge, est utilisé pour mettre en évidence les différents états de surface à l échelle de toute la plaine (Fig. 3). La concentration des points autour de la droite des sols indique l'existence d'une série importante des sols nus allant des plus sombres aux plus clairs. En contre partie, le nuage de points qui s'étale vers l'axe du proche infrarouge de l histogramme bidimensionnel indique également la présence des classes de végétation à différentes densités. De façon générale et à l échelle de toute la plaine, il apparaît un net déséquilibre entre les superficies couvertes par la végétation chlorophyllienne et les sols nus qui occupent la majeur partie de la plaine. PIR VCHTD VCHD SNSCSB SNCDA VH SNCP JCH La droite des sols SNSCB Rouge VH : Végétation halophyte, SNSCB : Sols non salés, clairs du plateau de Benziane. SNSCSB : Sols non salés, céréaliers, sombre du plateau de Benziane. VCHD : Végétation chlorophyllienne, dense. VCHTD : Végétation chlorophyllienne, très dense. SNCP : Sol nu cultivé de la plaine. SNCDA : Sols nu cultivés à dominance d'artichaut. JCH : Sols mis en jachère. Fig. 3. Histogramme bidimensionnel de la plaine Il s agit maintenant de déterminer les différentes classes de l image satellitaire. L objectif est de faire ressortir les différents états de surface et de les représenter cartographiquement en classes homogènes continues par l utilisation de la télédétection. Les informations dont nous disposons (nos propres connaissances sur le terrain, les photo-aériennes, analyse visuelle de l image ) ont permis de définir les aires d entraînement (Area Of Interset) représentatives de la plaine du Bas-Chéliff et de retenir la méthode de classification supervisée. Dans ce sens, 9 zones d entraînements ont été retenues : - Végétation halophyte (VH) : se sont des faciès a dominance d'espèces halophytes (Sueda fructosa, Sueda molis, et Salsola vermuculata), On les retrouve un peu partout dans la plaine, et surtout au milieu et dans la dépression fermée à l ouest de la plaine connue sous le nom de la Gaa. - Sols nus salés (SNS) : Ils ont une salinité élevée qui n encourage pas les agriculteurs à les cultiver. - Sols non salés, clairs du plateau de Benziane (SNSCB) : cette classe est particulièrement différente des autres par la nature des sols et par sa localisation géomorphologique connue sous le nom de plateau de Benziane, Les céréales non irriguées restent la principale culture pratiquée sur ces sols. Les croûtes sont d ordre structural. - Sols non salés, céréaliers, sombre du plateau de Benziane (SNSCSB) : semblable a la classe précédente sauf que ces sols ont une particularité d être sombre, il s agit des sols isohumiques. - Végétation chlorophyllienne, dense (VCHD) : présence importante d arboriculture, de couleur rouge vive sur l image. Cette classe se retrouve le plus souvent dans les périmètres irrigués de Ouarizane, Djidiouia, et Oued Rhiou. - Végétation chlorophyllienne, très dense à dominance d arboriculture (VCHTD), présence importante d agrumes, irriguées, la plus part de ses superficies se trouvent dans les périmètres de Ouarizane, Djidiouia, et Oued Rhiou. - Sol nu cultivé de la plaine (SNCP) : se sont des sols nus qui sont cultivés et se répartissent sur toute la plaine. - Sols nu cultivés à dominance d'artichaut (SNCDA) : se sont des sols cultivés irrigués à dominance d'artichaut. - Sols mis en jachère (JCH) : ils ne sont qu occasionnellement cultivés et sont mis le plus souvent en jachère, Ils ont une salinité élevée qui n encourage pas les agriculteurs à les cultiver régulièrement. La méthode retenue pour la classification de l image est celle de maximum de vraisemblance. C est la méthode la plus utilisée donnant une meilleure information. Elle est basée sur les propriétés statistiques des composantes spectrales de l image. Les traitements statistiques utilisent les statistiques des sites d entraînement pour calculer la probabilité d appartenance du pixel à une classe en particulier. Enfin, comme elle est assistée, elle permet de ne classer que ce qui correspond au but recherché et de mettre dans une classe toutes les autres composantes de l image qui ne sont pas utiles [5]. Le recours à cette méthode nécessite une connaissance des objets à classifier et par conséquent, les aires d entraînement doivent être choisies avec beaucoup de soin de sorte à être les plus représentatifs possibles de la dynamique spectrale de chacun d eux [6]. 2
3 En tenant compte des zones d entraînements retenus, neuf (9) classes ont donc été délimitées (fig. 4). Pour valider cette classification et voir sa pertinence, Le coefficient Kappa a été déterminé à partir de la matrice de confusion [7]. La valeur trouvée est égale est de % ; sachant que la valeur critique de ce dernier au-delà de laquelle une classification est jugée acceptable est de 75 % [5], on peut donc dire qu il y a une bonne correspondance entre la cartographie issue de la classification de données de la télédétection et les observations de terrain. Sup (ha) ,53 14,7 8,94 VH SNS SNSCB SNSCS B Superficie (ha) Pourcentage (%) 3,31 2,61 2,89 18,7 13,56 6,2 VCHD VCHTD SNCP SNCDA JCH Superficie (ha) 16183,3 7459, , , ,1 1531,6 9578, , ,86 Pourcentage (%) 3,53 14,7 8,94 3,31 2,61 2,89 18,7 13,56 6,2 P (%) Fig. 5. Superficie des classes Fig. 4. L image satellitaire classée VH SNS SNSCB SNSCSB VCHD VCHTD SNCP SNCDA JCH La répartition des superficies par classe montre que celle de la végétation halophyte représentée par la classe 1 vient en tête avec un pourcentage assez élevé de 3,53 % de la superficie totale ; on la retrouve un peu partout dans la plaine, occupant des vastes étendues. Les sols nus salés avec plus de 14 % viennent en troisième position (fig. 5). Un tel résultat témoigne de la présence des sels à une échelle spatiale élevée dans la plaine. En deuxième position, on retrouve les sols nus cultivés du plateau de Benziane et de la plaine avec un total de 3.32 %. La superficie occupée par la jachère n en n est pas moins importante avec près de 14 % de la superficie totale. La végétation chlorophyllienne dense et très dense ne représente qu un pourcentage très faible de 5,5 % au total avec les classes 5 et 6 ayant respectivement 2,61 % et 2,89 %. On les retrouve essentiellement dans les trois périmètres irrigués (Djidiouia, Ouarizane et Oued Rhiou) et le long du cours d eau de Oued Chlef. Enfin, La classe 9, dominée par les Sols cultivés irrigués à dominance d'artichaut, couvre une superficie de 6,2 % de la superficie totale de la plaine. Les sols de cette classe sont toujours plus ou moins salés. Cette classe est particulière par sa spécificité dans la plaine. C est une classe dominée par la culture d artichaut qui est la culture phare de la plaine au vue de sa résistance à la salinité. Le comportement numérique selon la moyenne des trois canaux (VPIR) est représenté graphiquement pour comparer entre les différentes tendances spectrales des neuf classes définies. Le comportement spectral des deux classes représentant la végétation chlorophyllienne diffère nettement de l ensemble des autres classes. Elle montre des courbes concaves ascendantes à droite bien visibles pour la classe à végétation chlorophyllienne très dense. On retrouve également la classe des sols nus cultivés à dominance d artichaut (SNCDA) proche à celle de la végétation chlorophyllienne. Ce rapprochement entre les deux classes chlorophylliennes et la classe SNCDA revient, au fait, à la présence d une végétation chlorophyllienne non négligeable due à la présence des plants d artichaut en fin de cycle et l existence d une végétation naturelle assez dense suite au maintien d un niveau acceptable de l humidité du sol suite à l irrigation B1 B2 B3 VH SNS SNSCB SNSCSB VCHD VCHTD SNCP SNCDA JCH VH : Végétation halophyte. SNS : Sols nus salés. SNSCB : Sols non salés, clairs du plateau de Benziane. SNSCSB : Sols non salés, céréaliers, sombre du plateau de Benziane. VCHD : Végétation chlorophyllienne, dense. VCHTD : Végétation chlorophyllienne, très dense. SNCP : Sol nu cultivé de la plaine. SNCDA : Sols nu cultivés à dominance d'artichaut. JCH : Sols mis en jachère. Fig. 6. Comportement numérique des neuf classes III. 2. Confrontation des données de télédétection aux données mesurées de la salinité des sols Pour cette confrontation, deux cas ont été retenus : le premier cas prend en compte la confrontation de la CE par classes, alors que dans le deuxième cas il s agit de la confrontation avec les données ponctuelles de la CE. Les 4 échantillons dont nous disposons ont été utilisés pour évaluer l apport de la télédétection dans la cartographie de la salinité en tenant compte des neuf classes définies par la classification supervisée de l image satellitaire. 3
4 Le tableau 1, donne les caractéristiques statistiques de la conductivité électrique pour les neuf classes. Les deux classes des sols nus et la végétation halophyte montrent une valeur moyenne de CE la plus élevée respectivement de 2.9 et 1.66 ds/m. Paradoxalement, on trouve dans la classe des sols clairs non salés du plateau de Benziane une valeur maximum de CE élevée 8.96 ds/m. Ceci peut être expliqué par le fait que des pixels ayant un comportement spectral proche des sols du plateau de Benziane mais n en faisant pas partie ont été affectés à cette classe. dénommé ISs (indice de salinité du sol-végétation) a été déterminé. ISs = 2*vert (rouge + PIR) Le tableau 2 montrent que la corrélation trouvée entre l indice VSSI et la CE est la plus élevée par rapport aux autres indices tirés de la bibliographie. Cette corrélation qui témoigne d une bonne relation entre l indice SSI issu des données de télédétection et la CE est également significative au seuil de 5%. Tableau 1. Valeurs de la CE 1/5 (ds/m) des classes SNS SNS CSB VCH VCH SNC stat VH SNS CB D TD SNCP DA JCH moy 1,66 2,22,56,35,34,4,87 1,31,68 max 1,8 12,4 8,96,5,74,88 5,9 6,35 4,5 min,8,16,6,1,11,1,1,12,7 La représentation graphique des valeurs moyennes de la CE en fonction de leurs classes correspondantes montre une très bonne discrimination entre celles-ci. Ce résultat confirme le lien étroit entre les niveaux de salinité et les différents états de surface de la plaine du Bas-Chéliff et montre à quel point les états de surface sont influencés par la teneur en sel (fig. 7). 2,5 2 1,5 1 CE Tableau 2. Corrélations entre la salinité moyennes des classes les indices aux points échantillonnés par classe Variable SI NDSI IS ISs CE,26,53,27.76 II. 3. Cartographie de la salinité Le variogramme expérimental moyen se calcul sur la moitié de la distance entre les deux points les plus éloignés. Dans notre cas, la distance entre les deux points les plus éloignés est un peu plus de 5 km, ce qui fait que la distance de 3 km sur laquelle le variogramme a été calculée reste dans les normes de la variographie (fig. 8). L intérêt d établir le variogramme sur une distance maximale permise offre la possibilité d interpréter la structure spatiale de la salinité sur une grande surface. Le variogramme expérimental moyen montre un déploiement régulier de la salinité de façon linéaire au début jusqu à atteindre un palier à partir duquel la variance commence à diminuer, ce qui témoigne de la bonne structure de la salinité (fig. 8).,5 SNS VH JCH SNCP SNCDA SNSCB VCHTD SNSCSB VCHD Fig. 7. Evolution de la CE moyenne en fonction des classes de télédétection Cette bonne relation entre les classes de télédétection et leurs valeurs moyennes de salinité respectives nous a amené à rechercher un meilleur indice de salinité. Il s agit pour ce faire, de trouver la meilleure combinaison possible aboutissant à la meilleure corrélation entre les canaux de télédétection et les données de salinité (CE). Dans la bibliographie on trouve plusieurs indices qui sont utilisés pour estimer la salinité [8], [9]: Salinity Index (SI); SI = Racine (B x R); Normalized Differential Salinity Index (NDSI); NDSI = (B2-B3) / (B2+B3); Indice de salinité IS = Racine ( R² + PIR²). L application de ces différents indices dans le cas de notre travail n a pas donné des résultats satisfaisants. Partant du principe de la combinaison entre les réponses spectrales du visible et du proche infra-rouge qui sont souvent utilisés dans la télédétection de la salinité [6], un nouvel indice Fig. 8. Variogramme expérimental moyen Comme le krigeage est de type ordinaire, c'est-à-dire que l interpolation se fera autour d un voisinage de point, il n est pas nécessaire d ajuster le variogramme sur la distance de calcul de 3 km retrouvée ici. Il est toutefois nécessaire de rechercher un variogramme robuste qui ne dépend pas du type d échantillonnage. Pour cela il faut veiller à ce que le nombre de couples par classes soit supérieur à cinquante et le nombre de classes doit être suffisant pour pouvoir bien ajuster le variogramme [1]. Le variogramme expérimental robuste retenu répond à ces conditions (fig. 9) et montre que : 4
5 - la distance de calcul de 11 km est largement inférieure à la distance maximale qui est de 51 km ; - le nombre de classes est de 12. Cest un nombre suffisant pour faire un bon ajustement ; - le nombre de couples par classe est de très loin supérieur à 5. cas est égale à 1,98. L existence de cette anisotropie témoigne d un changement de comportement de la salinité selon au moins deux directions dont il faut tenir compte lors du krigeage. Fig. 11. Variogramme surfacique de la conductivité électrique Fig. 9. Variogramme expérimental moyen retenu Le variogramme expérimental moyen retenu a été ajusté par un modèle sphérique avec un effet de pépite de 49,3 (ds/m)2, un palier de 2 (ds/m)2 et une portée égale à 825 m (fig. 1). Figure 1. Variogramme théorique moyen de la CE ajusté à un modèle sphérique La valeur de l effet de pépite n est certes pas très élevée, mais elle reste non négligeable en occupant le 1/3 de la variance totale. Cet effet de pépite qui représente la variabilité locale est un indicateur des difficultés de l estimation de la salinité aux faibles distances avec des risques d erreur dont il faut prendre en charge lors du krigeage. La valeur élevée du palier par rapport à la CE moyenne traduit aussi la grande variabilité de la CE à l échelle de la plaine du Bas-Chéliff. Le variogramme surfacique est un bon outil qu offre le logiciel Variowin pour connaître directement les deux principales directions anisotropiques de la CE à l échelle de la plaine [3]. L établissement du variogramme surfacique a été calculé sur des incréments de 26 m et 13 m respectivement pour X et Y avec un nombre de 1 classes. Il montre l existence d une anisotropie principale selon la direction 82 dans le sens de la plus grande portée (fig. 11). La valeur de l anisotropie (rapport des deux portées selon les deux principales directions d anisotropie) trouvée dans ce Le krigeage ordinaire à variogramme global a été fait en tenant compte des résultats de la variographie. En effet, l anisotropie a été respectée en choisissant un rayon de krigeage selon une ellipse dont le rapport entre le rayon majeur et le rayon mineur est égal à 2, tout en étant inférieurs à la portée moyenne (3/15 m). Le nombre de points maximal retenus dans le voisinage pour l estimation est de 5. L interpolation par bloc (surface) de 15 m de coté au lieu de l interpolation ponctuelle a été retenue pour pouvoir faire la comparaison avec la salinité estimée par télédétection sur des pixels de mêmes dimensions. La carte de la salinité obtenue par krigeage ordinaire montre que les sols les moins salés (CE< 8 ds/m) se localisent sur les périphéries de la plaine. On peut, en effet, les voir sur le plateau de Benziane, la colline de partage et les périmètres de Ouarizane, Djédiouia-Oued Rhiou et Guerouaou (fig. 12). Les superficies dont la salinité est supérieure à 16 ds/m couvrent la région centrale de la plaine et se prolongent vers l ouest. Cette région couvre une bonne partie du périmètre de Hmadna et s étale vers la partie sud de la Gaa. Cette classe de salinité apparaît également sur la rive droite de oued Chlef au nord du périmètre de Hmadna. Le reste de la partie centrale jusqu à l extrême ouest est occupé essentiellement par une salinité comprise entre 8 et 16 ds/m marquant une salinité moyenne [4]. Cette classe de salinité apparaît également à l est de la plaine aux alentours de Merdjet Sidi Abed. Fig. 12. Carte de la salinité estimée par KO 5
6 III. 4. Cartographie de la salinité par combinaison entre SIG et télédétection La carte de la salinité établie à partir de 9 valeurs seulement montre la même répartition spatiale des niveaux de la salinité que celle obtenue par krigeage (fig. 13). On peut en effet voir que les superficies les plus salées se trouvent dans le périmètre de Hmadna et la Gaa mais également au nord de Merdjet Sidi Abed. Cette dernière est effectivement connue par ses sols très salées et abandonnés [6]. Les superficies les moins salées se trouvent également sur le plateau de Benziane et les autres périmètres irrigués ainsi que tout au long de l oued Chlef ce qui concorde avec la réalité du terrain. La variabilité spatiale de la salinité à l échelle locale est plus fidèle à la réalité ici qu à celle établie par krigeage comme l avait montré la valeur élevée de l effet de pépite du variogramme. Fig. 13. Carte de la salinité par combinaison entre SIG et télédétection En examinant les superficies correspondant aux superficies des classes de salinité par les deux méthodes (krigeage et télédétection-sig), il apparaît nettement que la carte estimée par télédétection-sig a permis d avoir une estimation meilleure par rapport à celle obtenue par krigeage ordinaire. On peut en effet voir (tab. 2) que les sur-estimations obtenues au niveau des faibles valeurs de CE sont passées de près de 24 % à 8 % pour les sols légèrement salins (CE < 4 ds/m), soit une diminution d une superficie de 8441 ha. Par ailleurs, les sousestimations obtenues au niveau des superficies salées (CE > 8 ds/m) ont été améliorées de 6,3 % en passant de 45,7 % à 52 % ; soit une augmentation d une superficie de 3371 ha. Tableau 2. Superficies des classes de CE estimées par KO et télédétection-sig classes de CE (ds/m) < > 16 CE estimée par KO ha % Total CE estimée par télédét-sig ha % Faut il encore le rappeler, et c est très important à notre sens, que cette performance dans la cartographie de la salinité en vue de sa meilleure estimation spatiale a été obtenue avec seulement 9 valeurs de CE représentant la moyenne de chaque classe obtenues par télédétection à partir de 4 échantillons. Il est également vrai que cet échantillonnage était fait de façon stratifiée pour tenir compte des différents états de surface de la plaine. Les résultats de la corrélation obtenue directement sur les points échantillonnés et non pas sur leurs moyennes par classe n ont pas été concluants. Tableau 3. Corrélation entre la salinité et les différents indices de végétation et de sol Indices NDVI TSAVI PVI IC IB ISsv CE Le NDVI (Normalized Difference Vegetation Index, TSAVI (Transformed Soil Adjusted Vegetation Index, PVI (Perpendicular Vegetation Index, IC (Indice de couleur), IB (indice de brillance), ISsv (Indice de salinité sol-végétation) L origine de la faiblesse des corrélations entre les différents indices et la salinité est due essentiellement au déséquilibre dans la balance des valeurs de la CE dans la plaine (tab.4), où 85 % des échantillons prélevés ont une valeur de CE inférieure à 1 ds/m (en pâte saturé). C est justement au delà de ce seuil que la détection directe des sels devient possible [9]. Tableau 4. Répartition des valeurs de la CE par rapport au seuil 1 ds/m (pâte saturée) Moyenne % CE ds/m < 1 2,7 85 CE ds/m 1 2,4 15 CE ds/m 2 32, Conclusion Par sa haute résolution et la rapidité dans l acquisition des données, la télédétection constitue une aide certaine dans la discrimination entre les différents états de surface de façon générale et de façon particulière, dans la connaissance et la cartographie de la salinité. La combinaison des données de la télédétection avec les données de terrain a donné de bons résultats quand il s agit de raisonner par rapport aux classes de salinité, ce qui est souvent le cas en cartographie. Ce n est pas le cas lorsqu il s agit de confronter les données de télédétection aux données ponctuelles de salinité. Dans ce dernier cas, la télédétection de la salinité est meilleure aux delà des valeurs de salinité supérieures à 1 ds/m.. Enfin, les résultats des deux approches ont montré une extension importante de la salinité qui risque de s étendre encore vers des sols qui ne sont pas encore touchés par ce le problème de la salinisation si les mesures nécessaires ne sont pas prises concrètement et rapidement. 5. Références [1] J., Boulaine, Etude des sols des plaines du Cheliff. Thèse d état de l Université d Alger, 1957, 582 p. 6
7 [2] A. Douaoui, C. Gascuel-Odoux, Ch. Walter. Infiltrabilité et érodibilité de sols salinisés de la plaine du Bas Chéliff (Algérie). Mesures au laboratoire sous simulation de pluie. EGS, Vol. 11, N 4, 24, [3] A. Douaoui, Variabilité Spatiale de la salinité et sa relation avec certaines caractéristiques des sols de la plaine du Bas-Chéliff.Apport de la géostatistique et de la télédétection. Thèse Doct d état, INA Alger, 25, 233 p. [4] U.S.S.L.S. (Unated State Salinity Laboratory Staff), Diagnosis and improvement of saline and alkali soils, US Department of Agriculture, Handbook n 6, U. S. Gov. Print. Office, Washington DC. [5] M. C Girard and C. M. Girard, Traitement des données de télédétection. DUNOD Ed. Paris, 529 p. [6] Douaoui A., Nicolas H., Walter Ch., 26. Detecting salinity hazards within a semiarid context by means of combining soil and remotesensing data. Geoderma 134 (26) [7] R. G., Congalton, A Review of Assessing the Accuracy of Classifications of Remotely Sensed Data. remote sens. environ. 1991, 37:35-46 [8] G. I. Metternicht and J. A. Zinck, Remote sensing of soil salinity : potentials and constraints. Remote Sensing of Envoronment, 23, 5812, 1-2. [9] G. I. Metternicht and J. A. Zinck, Remote sensing and soil salinization. CRC press, Taylor and Francis group. New york, 29, 374 P. [1] A. G Géostatistique minière. Centre de géostatistique. Ecole des mines, Fontainbleau, Tome 1 et 2, 1977, 737 p. 7
BILAN HYDRIQUE ET BESOIN D IRRIGATION DE LA CEREALICULTURE EN REGION SEMI-ARIDE.
Résumé Des travaux de recherches combinant les précipitations annuelles et les températures, classent la zone d étude dans le climat méditerranéen de l étage semi-aride (Seltzer, 1949; Emberger, 1955).
Plus en détailPerspectives d applications de la télédétection en grandes culture à court et moyen terme dans le Sud-Ouest
Perspectives d applications de la télédétection en grandes culture à court et moyen terme dans le Sud-Ouest Jean-François DEJOUX CESBIO & Luc CHAMPOLIVIER CETIOM Télédétection en agriculture : nouveau
Plus en détail4. Résultats et discussion
17 4. Résultats et discussion La signification statistique des gains et des pertes bruts annualisés pondérés de superficie forestière et du changement net de superficie forestière a été testée pour les
Plus en détailChristophe SANNIER christophe.sannier@sirs-fr.com
Systèmes d Information à Référence Spatiale Utilisation d un Estimateur de Régression avec des Données Landsat pour l Estimation de l Etendu et des Changements du Couvert Forestier du Gabon de 1990 à 2010
Plus en détailLa base de données régionale sur les sols. d Alsace. La base de données régionale sur les sols d Alsace
3 outils complémentaires pour connaître les sols en Alsace La base de données régionale sur les sols d Alsace Le guide des sols d Alsace La base de données régionale sur les sols Le réseau de mesure de
Plus en détailApplication SIG : élaboration d une carte de bathymétrie de la Méditerranée marocaine et de la lagune de Nador Par :
Application SIG : élaboration d une carte de bathymétrie de la Méditerranée marocaine et de la lagune de Nador Par : Rachida HOUSSA & Benyounes ABDELLAOUI Avril 2002 La présente étude a été menée au Centre
Plus en détailLIDAR LAUSANNE 2012. Nouvelles données altimétriques sur l agglomération lausannoise par technologie laser aéroporté et ses produits dérivés
LIDAR LAUSANNE 2012 Nouvelles données altimétriques sur l agglomération lausannoise par technologie laser aéroporté et ses produits dérivés LIDAR 2012, nouveaux modèles altimétriques 1 Affaire 94022 /
Plus en détailExemple et réflexion sur l utilisation de données satellitaires
Exemple et réflexion sur l utilisation de données satellitaires Données Global Forest Change Détection des coupes rases non reboisées Importance et répartition des coupes définitives Le renouvellement
Plus en détailAMTEC RESOURCES MANAGEMENT LTD. CREATION D UNE BANQUE DE DONNEES DONNEES GEOSPATIALES NATIONALE
AMTEC RESOURCES MANAGEMENT LTD. CREATION D UNE BANQUE DE DONNEES GEOSPATIALE CREATION A D UNE L ECHELLE BANQUE NATIONAL DE DONNEES GEOSPATIALES NATIONALE 1 AMTEC RESOURCES MANAGEMENT LTD. P O Box 3463
Plus en détailLes principales méthodes d évaluation
Attention : Cette fiche n a pas pour objet de fixer administrativement la valeur des biens. Elle ne doit pas être assimilée à une instruction administrative. Elle propose les principales méthodes d évaluation
Plus en détailProjet de Traitement du Signal Segmentation d images SAR
Projet de Traitement du Signal Segmentation d images SAR Introduction En analyse d images, la segmentation est une étape essentielle, préliminaire à des traitements de haut niveau tels que la classification,
Plus en détailEVOLUTION SPATIO-TEMPORELLE DE L OCCUPATION DES ESPACES SUR LE TRIANGLE MARNAIS
EVOLUTION SPATIO-TEMPORELLE DE L OCCUPATION DES ESPACES SUR LE TRIANGLE MARNAIS MARTIN S. *, DELAHAYE F. ** Bureau d études E3C 2 rue Léon Patoux CS 50001 51664 REIMS CEDEX * Mr Stéphane MARTIN, Directeur
Plus en détailLA TÉLÉDETECTION EN AGRICULTURE. par Bruno Tisseyre 1
1 LA TÉLÉDETECTION EN AGRICULTURE par Bruno Tisseyre 1 RÉSUMÉ Avec la médiatisation des applications développées à partir des drones, la télédétection appliquée à l'agriculture fait aujourd hui beaucoup
Plus en détailSPOT4 (Take 5) : Sentinel-2 avec deux ans d avance
SPOT4 (Take 5) : Sentinel-2 avec deux ans d avance Olivier Hagolle Mercredi 6 février 2012 Sentinel-2 : révolution du suivi de la végétation par télédétection 13 bandes spectrales, résolution 10m à 20m,
Plus en détailLes bases de l étalonnage avec Adobe Premiere Pro Formation de Duduf http://www.duduf.training
Les bases de l étalonnage Formation de Duduf http://www.duduf.training I - Régler les contrastes Luminosité, niveaux, gamma... Forme d onde Y/C, Correcteur de luminance II - Régler la saturation Vivacité
Plus en détailTABLE DES MATIÈRES. Bruxelles, De Boeck, 2011, 736 p.
STATISTIQUE THÉORIQUE ET APPLIQUÉE Tome 2 Inférence statistique à une et à deux dimensions Pierre Dagnelie TABLE DES MATIÈRES Bruxelles, De Boeck, 2011, 736 p. ISBN 978-2-8041-6336-5 De Boeck Services,
Plus en détailDocument d Appui n 3.3. : Repérage ou positionnement par Global Positionning System G.P.S (extrait et adapté de CAMELEO 2001)
Document d Appui n 3.3. : Repérage ou positionnement par Global Positionning System G.P.S (extrait et adapté de CAMELEO 2001) 1. Présentation du GPS Le GPS (Global Positionning System=système de positionnement
Plus en détailAnalyse de la vidéo. Chapitre 4.1 - La modélisation pour le suivi d objet. 10 mars 2015. Chapitre 4.1 - La modélisation d objet 1 / 57
Analyse de la vidéo Chapitre 4.1 - La modélisation pour le suivi d objet 10 mars 2015 Chapitre 4.1 - La modélisation d objet 1 / 57 La représentation d objets Plan de la présentation 1 La représentation
Plus en détailCarrotAge, un logiciel pour la fouille de données agricoles
CarrotAge, un logiciel pour la fouille de données agricoles F. Le Ber (engees & loria) J.-F. Mari (loria) M. Benoît, C. Mignolet et C. Schott (inra sad) Conférence STIC et Environnement, Rouen, 19-20 juin
Plus en détail1. Vocabulaire : Introduction au tableau élémentaire
L1-S1 Lire et caractériser l'information géographique - Le traitement statistique univarié Statistique : le terme statistique désigne à la fois : 1) l'ensemble des données numériques concernant une catégorie
Plus en détailUtilisation du module «Geostatistical Analyst» d ARCVIEW dans le cadre de la qualité de l air
Etude n 10 Assistance en modélisation (Rapport 3/3) Utilisation du module «Geostatistical Analyst» d ARCVIEW dans le cadre de la qualité de l air Novembre 2004 Convention : 04000087 Giovanni CARDENAS Utilisation
Plus en détailPlacettes vers de terre. Protocole Fiche «Description spécifique» Fiche «Observations» www.observatoire-agricole-biodiversite.fr
Protocole Fiche «Description spécifique» Fiche «Observations» 13 PROTOCOLE 1/2 Les vers de terre sont de bons indicateurs de la qualité du sol. Ils sont également des acteurs indispensables de sa fertilité
Plus en détailAPPROCHES SIMPLIFIÉES POUR L ÉVALUATION DES PARAMÈTRES DE CONCEPTION POUR LES BASSINS DE FAIBLES DIMENSIONS. Gilles Rivard, ing. M. Sc.
APPROCHES SIMPLIFIÉES POUR L ÉVALUATION DES PARAMÈTRES DE CONCEPTION POUR LES BASSINS DE FAIBLES DIMENSIONS Gilles Rivard, ing. M. Sc. Québec 15 mars 2012 PRÉSENTATION Particularités des petits bassins
Plus en détailÉvolution du climat et désertification
Évolution du climat et désertification FACTEURS HUMAINS ET NATURELS DE L ÉVOLUTION DU CLIMAT Les activités humaines essentiellement l exploitation de combustibles fossiles et la modification de la couverture
Plus en détail4. Verdissement, une PAC plus verte
4. Verdissement, une PAC plus verte Aides Couplées JA Verdissement Paiement redistributif DPB Trois obligations à respecter : 1. Diversification des assolements 2. Maintien des prairies permanentes 3.
Plus en détailSite d étude. Résultats
Avec la collaboration de l Université de Bretagne Occidentale, (Institut Universitaire Européen de la Mer, Laboratoire d'ecophysiologie et de Biotechnologie des Halophytes et Algues Marines) Site d étude
Plus en détailRégionalisation des régimes de perturbations et implications pour l aménagement dans un contexte de changement climatique
Régionalisation des régimes de perturbations et implications pour l aménagement dans un contexte de changement climatique Sylvie Gauthier, Chercheuse scientifique, successions forestières RNCan-SCF-CFL
Plus en détailFranck VAUTIER, Jean-Pierre TOUMAZET, Erwan ROUSSEL, Marlène FAURE, Mohamed ABADI, Marta FLOREZ, Bertrand DOUSTEYSSIER
Utilisation d images dérivées d un jeu de données LIDAR pour la détection automatisée de vestiges archéologiques (programme de recherche méthodologique LiDARCHEO) Franck VAUTIER, Jean-Pierre TOUMAZET,
Plus en détailL inégale répartition de l énergie solaire est à l origine des courants atmosphériques
L inégale répartition de l énergie solaire est à l origine des courants atmosphériques I/ Objectif : Dans la partie 2 du programme de seconde «enjeux planétaires contemporains : énergie et sol», sous partie
Plus en détailTABLE DES MATIÈRES. PRINCIPES D EXPÉRIMENTATION Planification des expériences et analyse de leurs résultats. Pierre Dagnelie
PRINCIPES D EXPÉRIMENTATION Planification des expériences et analyse de leurs résultats Pierre Dagnelie TABLE DES MATIÈRES 2012 Presses agronomiques de Gembloux pressesagro.gembloux@ulg.ac.be www.pressesagro.be
Plus en détailModélisation géostatistique des débits le long des cours d eau.
Modélisation géostatistique des débits le long des cours d eau. C. Bernard-Michel (actuellement à ) & C. de Fouquet MISTIS, INRIA Rhône-Alpes. 655 avenue de l Europe, 38334 SAINT ISMIER Cedex. Ecole des
Plus en détailLa classification automatique de données quantitatives
La classification automatique de données quantitatives 1 Introduction Parmi les méthodes de statistique exploratoire multidimensionnelle, dont l objectif est d extraire d une masse de données des informations
Plus en détail1. L'été le plus chaud que la France ait connu ces cinquante dernières années.
1. L'été le plus chaud que la France ait connu ces cinquante dernières années. La figure ci-dessous présente la moyenne sur la France des températures minimales et maximales de l'été (période du 1 er juin
Plus en détailUne espèce exotique envahissante: Le Roseau commun. ou Phragmites australis
Une espèce exotique envahissante: Le Roseau commun ou Phragmites australis Indigène vs exotique Il y a deux sous-espèces de Phragmites australis, L indigène: n envahit pas le milieu, cohabite avec les
Plus en détail16- Grand lac Shaw Portrait 2006
Grand lac Shaw 16- Grand lac Shaw Portrait 2006 16.1 Localisation et description physique du Grand lac Shaw : Municipalité St-Narcisse-de- Rimouski Bassin versant (sous-bassin) Tenure Altitude (m) Latitude
Plus en détailCorrection ex feuille Etoiles-Spectres.
Correction ex feuille Etoiles-Spectres. Exercice n 1 1 )Signification UV et IR UV : Ultraviolet (λ < 400 nm) IR : Infrarouge (λ > 800 nm) 2 )Domaines des longueurs d onde UV : 10 nm < λ < 400 nm IR : 800
Plus en détail$SSOLFDWLRQGXNULJHDJHSRXUOD FDOLEUDWLRQPRWHXU
$SSOLFDWLRQGXNULJHDJHSRXUOD FDOLEUDWLRQPRWHXU Fabien FIGUERES fabien.figueres@mpsa.com 0RWVFOpV : Krigeage, plans d expériences space-filling, points de validations, calibration moteur. 5pVXPp Dans le
Plus en détailFertiliser le maïs autrement
Fertiliser le maïs autrement Dans un contexte de renchérissement des ressources en azote organique et de recherche de plus d autonomie, les agriculteurs biologiques picards et leurs conseillers au sein
Plus en détailÉtude de la carte de Vézelise. Initiation à la lecture du relief sur une carte topographique
Étude de la carte de Vézelise Initiation à la lecture du relief sur une carte topographique Double objectif de la séance Étude d un paysage lorrain de côte Apprentissage de la lecture du relief sur une
Plus en détailChapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices :
Chapitre 02 La lumière des étoiles. I- Lumière monochromatique et lumière polychromatique. )- Expérience de Newton (642 727). 2)- Expérience avec la lumière émise par un Laser. 3)- Radiation et longueur
Plus en détailApplications of Earth Observation for Disaster Risk Management
Satellite Earth Observation & Disaster Risks Applications of Earth Observation for Disaster Risk Management Hicham EZZINE, Regional Centre for Disaster Risk Reduction Data Info. INRODUCTION INRODUCTION
Plus en détailVision industrielle et télédétection - Détection d ellipses. Guillaume Martinez 17 décembre 2007
Vision industrielle et télédétection - Détection d ellipses Guillaume Martinez 17 décembre 2007 1 Table des matières 1 Le projet 3 1.1 Objectif................................ 3 1.2 Les choix techniques.........................
Plus en détailMETEOROLOGIE CAEA 1990
METEOROLOGIE CAEA 1990 1) Les météorologistes mesurent et prévoient le vent en attitude à des niveaux exprimés en pressions atmosphériques. Entre le niveau de la mer et 6000 m d'altitude, quels sont les
Plus en détailSurveillance et Detection des Anomalies. Diagnostic d une digue: rappel méthodologique
Surveillance et Detection des Anomalies Diagnostic d une digue: rappel méthodologique issu de l expérience d EDF Jean-Paul BLAIS Service Géologie - Géotechnique EDF 1 La méthodologie utilisée par EDF,
Plus en détailRôle des nuages dans l'anomalie de température de l'hiver 2007 en Europe
Rôle des nuages dans l'anomalie de température de l'hiver 2007 en Europe Meriem Chakroun Marjolaine Chiriaco (1) Sophie Bastin (1) Hélène Chepfer (2) Grégory Césana (2) Pascal Yiou (3) (1): LATMOS (2):
Plus en détailGlobal Monitoring Emergency Services
Global Monitoring Emergency Services Christelle BOSC Olivier POCHARD 22/05/2012 Pôle Applications Satellitaires et Télécommunicaton CETE Sud-Ou LE PROGRAMME GMES Global Monitoring for Environment and Security
Plus en détailRelation entre deux variables : estimation de la corrélation linéaire
CHAPITRE 3 Relation entre deux variables : estimation de la corrélation linéaire Parmi les analyses statistiques descriptives, l une d entre elles est particulièrement utilisée pour mettre en évidence
Plus en détailLes exploitations de grandes cultures face à la variabilité de leurs revenus : quels outils de gestion des risques pour pérenniser les structures?
Les exploitations de grandes cultures face à la variabilité de leurs revenus : quels outils de gestion des risques pour pérenniser les structures? Benoît Pagès 1, Valérie Leveau 1 1 ARVALIS Institut du
Plus en détailFiche Technique. Filière Maraichage. Mais doux. Septembre 2008
Fiche Technique Production Peu Développée en Languedoc-Roussillon Filière Maraichage Mais doux Septembre 2008 Rédigée par : Julien GARCIA Chambre Régionale d Agriculture du Languedoc-Roussillon Potentiel
Plus en détailAnalyses de Variance à un ou plusieurs facteurs Régressions Analyse de Covariance Modèles Linéaires Généralisés
Analyses de Variance à un ou plusieurs facteurs Régressions Analyse de Covariance Modèles Linéaires Généralisés Professeur Patrice Francour francour@unice.fr Une grande partie des illustrations viennent
Plus en détailTERRES CULTIVABLES ET TERRES CULTIVÉES : APPORTS DE L ANALYSE CROISÉE DE TROIS BASES DE DONNÉES À L ÉCHELLE MONDIALE
TERRES CULTIVABLES ET TERRES CULTIVÉES : APPORTS DE L ANALYSE CROISÉE DE TROIS BASES DE DONNÉES À L ÉCHELLE MONDIALE Laurence ROUDART Professeur de Développement agricole à l Université Libre de Bruxelles
Plus en détailDétection en environnement non-gaussien Cas du fouillis de mer et extension aux milieux
Détection en environnement non-gaussien Cas du fouillis de mer et extension aux milieux hétérogènes Laurent Déjean Thales Airborne Systems/ENST-Bretagne Le 20 novembre 2006 Laurent Déjean Détection en
Plus en détailEtudes des nuages et de la convection autour des dépressions intenses des moyennes latitudes
Etudes des nuages et de la convection autour des dépressions intenses des moyennes latitudes Jérôme DREANO 28 Février 2014 1 Introduction Dans le modèle LMDZ, les paramétrisations physiques des nuages
Plus en détailBiostatistiques Biologie- Vétérinaire FUNDP Eric Depiereux, Benoît DeHertogh, Grégoire Vincke
www.fundp.ac.be/biostats Module 140 140 ANOVA A UN CRITERE DE CLASSIFICATION FIXE...2 140.1 UTILITE...2 140.2 COMPARAISON DE VARIANCES...2 140.2.1 Calcul de la variance...2 140.2.2 Distributions de référence...3
Plus en détailProjet SENTINELLE Appel àprojets «CO 2»Déc. 2007
Projet SENTINELLE Appel àprojets «CO 2»Déc. 2007 Philippe de DONATO Université de Lorraine/CNRS Co-auteurs: C. PRINET, B. GARCIA, H. LUCAS, Z. POKRYSZKA, S. LAFORTUNE, P. FLAMANT, F. GIBERT, D. EDOUART,
Plus en détailDéroulement d un projet en DATA MINING, préparation et analyse des données. Walid AYADI
1 Déroulement d un projet en DATA MINING, préparation et analyse des données Walid AYADI 2 Les étapes d un projet Choix du sujet - Définition des objectifs Inventaire des données existantes Collecte, nettoyage
Plus en détailLA NOTATION STATISTIQUE DES EMPRUNTEURS OU «SCORING»
LA NOTATION STATISTIQUE DES EMPRUNTEURS OU «SCORING» Gilbert Saporta Professeur de Statistique Appliquée Conservatoire National des Arts et Métiers Dans leur quasi totalité, les banques et organismes financiers
Plus en détailURBAIN-RURAL : DE QUOI PARLE-T-ON?
URBAIN-RURAL : DE QUOI PARLE-T-ON? B.H. Nicot 1 Juin 2005 «Entre 1990 et 1999, le rural en France métropolitaine a connu une croissance démographique de 4,2 % sur la période, tandis que l urbain ne croissait
Plus en détailCHAPITRE 6 : LE RENFORCEMENT DU MODELE PAR SON EFFICACITE PREDICTIVE
1 CHAPITRE 6 : LE RENFORCEMENT DU MODELE PAR SON EFFICACITE PREDICTIVE Quels sont les arguments qui permettent de renforcer le modèle? 2 3 I. UNE CONFIRMATION DE L EXPANSION DU PLANCHER OCÉANIQUE A.LES
Plus en détailEstimation et Cartographie des Différentes Composantes du Rayonnement Solaire au Sol à Partir des Images Météosat
Rev. Energ. Ren. Vol. 4 (2001) 35-47 Estimation et Cartographie des Différentes Composantes du Rayonnement Solaire au Sol à Partir des Images Météosat N. Bachari, N. Benabadji, A. Razagui et A. H. Belbachir
Plus en détailGénéralités. Front froid
Apprendre : Les masses d'air, les fronts Tester : Les dictons Pratiquer : Prévoir le temps Prévoir : Les dictons mois par mois Généralités Deux masses d'air de température différente qui se rencontrent,
Plus en détailMario Geiger octobre 08 ÉVAPORATION SOUS VIDE
ÉVAPORATION SOUS VIDE 1 I SOMMAIRE I Sommaire... 2 II Évaporation sous vide... 3 III Description de l installation... 5 IV Travail pratique... 6 But du travail... 6 Principe... 6 Matériel... 6 Méthodes...
Plus en détailÉtude de données multisources par simulation de capteurs et clustering collaboratif
Étude de données multisources par simulation de capteurs et clustering collaboratif Germain Forestier, Cédric Wemmert, Pierre Gançarski Université de Strasbourg - LSIIT - CNRS - UMR 75 Pôle API, Bd Sébastien
Plus en détailEnquête APM sur le Gouvernement d entreprise dans les PME-PMI : quelques résultats et commentaires
Enquête APM sur le Gouvernement d entreprise dans les PME-PMI : quelques résultats et commentaires Pierre-Yves GOMEZ Professeur EMLYON Directeur de l Institut Français de Gouvernement des Entreprises (IFGE)
Plus en détailK. Ammar, F. Bachoc, JM. Martinez. Séminaire ARISTOTE - 23 octobre 2014 - Palaiseau
Apport des modèles de krigeage à la simulation numérique K Ammar, F Bachoc, JM Martinez CEA-Saclay, DEN, DM2S, F-91191 Gif-sur-Yvette, France Séminaire ARISTOTE - 23 octobre 2014 - Palaiseau Apport des
Plus en détailBien choisir sa variété de maïs ensilage
Bien choisir sa variété de maïs ensilage Le maïs ensilage n est pas une culture difficile à cultiver. Pour choisir sa variété, l agriculteur dispose aujourd hui d une multitude de critères : attention
Plus en détailqu une partie de l année? Où pourrez-vous demander de l aide en cas de problème (poste de police, bureaux de la mairie, pompiers, hôpitaux, etc.).
2 Usage et lecture des cartes Ferjan Ormeling, Pays-Bas Traduction : Emmanuelle Vagnon et Cécile Duchêne Harmonisation : Felix de Montety Les cartes peuvent avoir plusieurs fonctions : on les utilise par
Plus en détailBILAN ÉCONOMIQUE ET SOCIAL DU VAL D OISE 1998-1999 LES ÉQUIPEMENTS COMMUNAUX
BILAN ÉCONOMIQUE ET SOCIAL DU VAL D OISE 1998-1999 LES ÉQUIPEMENTS COMMUNAUX 1 - Des communes inégalement desservies en terme d équipements 2 - Des pôles majeurs d attraction en terme d équipements 3 -
Plus en détailSorgho grain sucrier ensilage L assurance sécheresses
Sorgho grain sucrier ensilage L assurance sécheresses Sorgho grain sucrier Itinéraire cultural Type de sol et préparation avant semis Le sorgho grain sucrier est relativement peu exigeant par rapport au
Plus en détailOBSERVATOIRE DES TARIFS BANCAIRES IEDOM
OBSERVATOIRE DES TARIFS BANCAIRES IEDOM RAPPORT D ACTIVITÉ 2011 INSTITUT D ÉMISSION DES DÉPARTEMENTS D OUTRE-MER Établissement public national 164, rue de Rivoli - 75001 PARIS Tél. 01 53 44 41 41 Rapport
Plus en détailAgriculture paysanne durable: innovations et meilleures pratiques aux fins de transposition et de reproduction à plus grande échelle
Méthodes innovantes d amélioration sylvo-pastorale: Le cas du projet de lutte participative contre la désertification et de réduction de la pauvreté dans les écosystèmes arides et semi-arides des hauts
Plus en détailCartes de l étendue des eaux libres liés aux inondations Guide des produits
Cartes de l étendue des eaux libres liés aux inondations Guide des produits Contexte Les crues ont parfois des effets dévastateurs sur la vie humaine, les infrastructures, l économie, les espèces sauvages
Plus en détailChapitre 2 : Systèmes radio mobiles et concepts cellulaires
Chapitre 2 : Systèmes radio mobiles et concepts cellulaires Systèmes cellulaires Réseaux cellulaires analogiques de 1ère génération : AMPS (USA), NMT(Scandinavie), TACS (RU)... Réseaux numériques de 2ème
Plus en détailMesures de PAR. Densité de flux de photons utiles pour la photosynthèse
Densité de flux de photons utiles pour la photosynthèse Le rayonnement lumineux joue un rôle critique dans le processus biologique et chimique de la vie sur terre. Il intervient notamment dans sur les
Plus en détailChangement du trait de côte et images satellites. Tempêtes 2014, plage de la Salie, côte atlantique française
Les tempêtes L expert Avec la crise climatique, les rivages subissent plus durement les assauts de la mer et les crues de fleuves. Pour anticiper et prévenir des risques d érosion et d inondation, il est
Plus en détailNOTE SUR LA MODELISATION DU RISQUE D INFLATION
NOTE SUR LA MODELISATION DU RISQUE D INFLATION 1/ RESUME DE L ANALYSE Cette étude a pour objectif de modéliser l écart entre deux indices d inflation afin d appréhender le risque à très long terme qui
Plus en détailCONCEPTION PARTICIPATIVE D UN PROJET COLLECTIF D IRRIGATION LOCALISÉE DANS LE PÉRIMÈTRE DE PMH FOUM EL ANCER (BÉNI MELLAL)
CONCEPTION PARTICIPATIVE D UN PROJET COLLECTIF D IRRIGATION LOCALISÉE DANS LE PÉRIMÈTRE DE PMH FOUM EL ANCER (BÉNI MELLAL) M. KUPER, A. HAMMANI ET B. JAOUADI FIGURE 51 Atelier de restitution du projet
Plus en détailLa surveillance appliquée à la gestion des risques géotechniques miniers
Symposium on Innovation and Technology in The Phosphate Industry - SYMPHOS May 6-10, 2013 Agadir, Marocco La surveillance appliquée à la gestion des risques géotechniques miniers Méthodes et Technologies
Plus en détailCartes de bruit stratégiques
RAPPORTS CETE Normandie Centre LRB Laboratoire Régional de Blois Affaire 131550 Cartes de bruit stratégiques Réseau routier national de l'eure Résumé non technique Article 3 du décret du 24 mars 2006 Novembre
Plus en détailAVIS. Objet : Demande de permis d environnement pour l aménagement et l exploitation d un terrain d entraînement de sport moteur à ROCHEFORT
AVIS Réf. : CWEDD/06/AV.378 Liège, le 13 mars 2006 Objet : Demande de permis d environnement pour l aménagement et l exploitation d un terrain d entraînement de sport moteur à ROCHEFORT Avis du CWEDD portant
Plus en détailIntérêts fixes VS intérêts dégressifs Quelle est la différence?
MFTRANSPARENCY FONDAMENTAUX DE LA FIXATION DES PRIX Intérêts fixes VS intérêts dégressifs Quelle est la différence? Le taux d intérêt est l une des composantes principales du coût d un crédit. Ce concept
Plus en détailSTRATEGIE DE GESTION DES RISQUES DANS LE SECTEUR AGRICOLE
Royaume du Maroc Ministère de l Agriculture et de la Pêche Maritime STRATEGIE DE GESTION DES RISQUES DANS LE SECTEUR AGRICOLE Congrès International sur l Assurance et la Réassurance des Risques Agricoles
Plus en détailComment concevoir son lit biologique
santé - sécurité au travail > RISQUE PHYTOSANITAIRE Gestion des effluents phytosanitaires Comment concevoir son lit biologique > Choix du procédé > Méthode de conception > Construction du lit biologique
Plus en détailM. GUILLAUME ^ Alimentation en eau potable /} ( de la Ville de Metz Implantation de nouvelles stations de pompage dans la région de La Maxe-Thur;y
M. GUILLAUME ^ Alimentation en eau potable /} ( de la Ville de Metz Implantation de nouvelles stations de pompage dans la région de La Maxe-Thur;y 15 Octobre 1954 BUREAU DE RECHERCHES GEOLOGIQUES GEOPHYSIQUES
Plus en détailPROPOSITION TECHNIQUE ET FINANCIERE
Avenue des Etangs Narbonne, F-11100, France Votre correspondant : Romain CRESSON INRA Transfert Environnement Avenue des Etangs Narbonne, F-11100, France Tel: +33 (0)4 68 46 64 32 Fax: +33 (0)4 68 42 51
Plus en détailSynthèse SYNTHESE - 1 - DIRECTION GENERALE DE L ENERGIE ET DU CLIMAT. Service du climat et de l efficacité énergétique
DIRECTION GENERALE DE L ENERGIE ET DU CLIMAT Service du climat et de l efficacité énergétique Observatoire national sur les effets du réchauffement climatique Synthèse SYNTHESE Prise en compte de l'élévation
Plus en détailAuscultation par thermographie infrarouge des ouvrages routiers
Journée «Thermographie infrarouge pour le bâtiment et les travaux publics» Auscultation par thermographie infrarouge des ouvrages routiers Jean Dumoulin (LCPC) Mario Marchetti (LRPC Nancy) Frédéric Taillade
Plus en détailAnalyse dialectométrique des parlers berbères de Kabylie
Saïd GUERRAB Analyse dialectométrique des parlers berbères de Kabylie Résumé de la thèse (pour affichage) Il est difficile de parler du berbère sans parler de la variation. Il y a d abord une variation
Plus en détailEROSION ET ENVASEMENT DES BARRAGES-RESERVOIRS
REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE MINISTERE DES RESSOURCES EN EAU AGENCE NATIONALE DES BARRAGES ET TRANSFERTS EROSION ET ENVASEMENT DES BARRAGES-RESERVOIRS Exposé établi par Mr MANSER Amor
Plus en détailRapport de mission au Bénin. Formation à l exploitation de données avec QGIS 2.2.0 Valmiera
Rapport de mission au Bénin (Cotonou 21-28 novembre 2014) Formation à l exploitation de données avec QGIS 2.2.0 Valmiera Application à l écologie et à la gestion des bio-agresseurs Campus IITA/AfricaRice
Plus en détailProjet MERINOVA : Les risques météorologiques comme moteurs d innovation environnementale dans la gestion des agro-écosystèmes
Projet MERINOVA : Les risques météorologiques comme moteurs d innovation environnementale dans la gestion des agro-écosystèmes Y. Curnel 1, F. Vanwindekens 1, A. Gobin 2, S. Zamani 3, H. Van de Vijver
Plus en détailL IRSN et la surveillance de l environnement. Etat des lieux et perspectives
L IRSN et la surveillance de l environnement Etat des lieux et perspectives Didier CHAMPION et Jean-Marc PERES Journées SFRP Paris 23-24 septembre 2009 Objectifs de la surveillance de l environnement 2
Plus en détailN. Paparoditis, Laboratoire MATIS
N. Paparoditis, Laboratoire MATIS Contexte: Diffusion de données et services locaux STEREOPOLIS II Un véhicule de numérisation mobile terrestre Lasers Caméras Système de navigation/positionnement STEREOPOLIS
Plus en détailSemi-conducteurs. 1 Montage expérimental. Expérience n 29
Expérience n 29 Semi-conducteurs Description Le but de cette expérience est la mesure de l énergie d activation intrinsèque de différents échantillons semiconducteurs. 1 Montage expérimental Liste du matériel
Plus en détailAGROBASE : un système de gestion de données expérimentales
AGROBASE : un système de gestion de données expérimentales Daniel Wallach, Jean-Pierre RELLIER To cite this version: Daniel Wallach, Jean-Pierre RELLIER. AGROBASE : un système de gestion de données expérimentales.
Plus en détailMesures et incertitudes
En physique et en chimie, toute grandeur, mesurée ou calculée, est entachée d erreur, ce qui ne l empêche pas d être exploitée pour prendre des décisions. Aujourd hui, la notion d erreur a son vocabulaire
Plus en détailDÉVERSEMENT ÉLASTIQUE D UNE POUTRE À SECTION BI-SYMÉTRIQUE SOUMISE À DES MOMENTS D EXTRÉMITÉ ET UNE CHARGE RÉPARTIE OU CONCENTRÉE
Revue Construction étallique Référence DÉVERSEENT ÉLASTIQUE D UNE POUTRE À SECTION BI-SYÉTRIQUE SOUISE À DES OENTS D EXTRÉITÉ ET UNE CHARGE RÉPARTIE OU CONCENTRÉE par Y. GALÉA 1 1. INTRODUCTION Que ce
Plus en détailFORMATION CONTINUE SUR L UTILISATION D EXCEL DANS L ENSEIGNEMENT Expérience de l E.N.S de Tétouan (Maroc)
87 FORMATION CONTINUE SUR L UTILISATION D EXCEL DANS L ENSEIGNEMENT Expérience de l E.N.S de Tétouan (Maroc) Dans le cadre de la réforme pédagogique et de l intérêt que porte le Ministère de l Éducation
Plus en détailXXVII e Colloque de l Association Internationale de Climatologie 2-5 juillet 2014 Dijon (France)
MICROPHYSIQUE DES NUAGES ET RAYONNEMENT SOLAIRE : COMPARAISON DES MESURES IN SITU AU MONT RIGI EN HAUTE BELGIQUE ET DES DONNÉES CLOUD PHYSICAL PROPERTIES (CPP) OBTENUES À PARTIR DES IMAGES METEOSAT-9 BEAUMET
Plus en détailChapitre 3. Les distributions à deux variables
Chapitre 3. Les distributions à deux variables Jean-François Coeurjolly http://www-ljk.imag.fr/membres/jean-francois.coeurjolly/ Laboratoire Jean Kuntzmann (LJK), Grenoble University 1 Distributions conditionnelles
Plus en détail