Prise en charge de la gastroentérite aigüe (GEI)
|
|
- Gaspard Paré
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Prise en charge de la gastroentérite aigüe (GEI) 1. Votre profil Votre sexe - Votre âge <35 ans - 3,0% (20) Ancienneté d'installation < 5 ans - 13,2% (88) Région d'exercice Alsace Aquitaine Auvergne Basse- Normandie Bo - 4,5% (30) 5,1% (34) 1,2% (8) 0,9% (6) 1 1 of 10
2 2. La prise de solution de réhydratation (SRO) chez un enfant de 18 mois souffrant d' une gastroentérite aiguë de gravité moyenne, ayant eu 3 vomissements modérés en quelques heures Est contre-indiquée en raison des vomissements 0,5% 3 Est possible moyennant certaines précautions ( commencer par de petites quantités à augmenter progressivement en fonction de la tolérance...) 94,9% 609 Doit être interrompue si le nombre de selles augmente 0,0% 0 Est limitée à 100 ml/kg/jr pour ne pas risquer une intoxication par l'eau avec une hyponatrémie 4,7% answered question 642 skipped question 27 2 of 10
3 3. La durée de conservation d'une solution de rehydratation (SRO) reconstituée dans un réfrigérateur est de 4 heures 11,4% 73 8 heures 8,6% heures 19,9% heures 60,1% answered question 639 skipped question Un enfant de 3 ans a une gastroentérite aiguë de gravité moyenne; il refuse obstinément de boire la SRO prescrite ; cette SRO peut être remplacée par du coca-cola préalablement dégazéifié qui aura une action thérapeutique équivalente? Vrai 20,3% 130 Faux 79,7% answered question 641 skipped question 28 3 of 10
4 5. La fréquence d'une intolérance au lactose lors d'une gastroentérite aiguë virale de gravité modérée, chez les nourrissons âgés de plus de 6 mois, est de 5% 67,1% % 21,2% % 10,0% % 1,7% answered question 632 skipped question Quand allez vous le réalimenter? Après 4 h 88,8% 556 Après 12h 10,1% 63 Dès que les selles seront redevenues normales 1,1% 7 47 answered question 626 skipped question 43 4 of 10
5 7. Avec quel lait? Un lait sans lactose 16,1% 103 Le lait qu il avait auparavant, mais dilué 2,0% 13 Le lait qu il avait auparavant, normalement reconstitué 36,2% 232 Un lait hypoallergénique (HA) 0,3% 2 Un hydrolysat de protéines 45,4% answered question 641 skipped question 28 5 of 10
6 8. Un nourrisson âgé de 4 mois alimenté exclusivement au lait de sa mère, a depuis quelques heures des selles liquides, non glaireuses, non sanglantes ; il ne vomit pas, a un comportement habituel, et un examen clinique normal, sans perte de poids. Son frère âgé de 2 ans vient de contracter à la crèche une gastroentérite aiguë. Quelle prescription diététique vous semble la plus judicieuse pour ce nourrisson? Poursuivre l allaitement maternel, en ajoutant une SRO 98,0% 627 Suspendre l allaitement maternel pendant 4 heures, et le remplacer par une SRO 2,0% 13 Remplacer l allaitement maternel, par un hydrolysat de protéines 0,0% 0 Remplacer l allaitement maternel, par un lait sans lactose 0,0% 0 L adresser aux urgences hospitalières, en raison de son âge 0,0% 0 27 answered question 640 skipped question Quand allez vous le réalimenter? Après 4 h 86,5% 543 Après 12h 12,6% 79 Dès que les selles seront redevenues normales 1,0% 6 43 answered question 628 skipped question 41 6 of 10
7 10. Avec quel lait? Un lait sans lactose 23,3% 148 Le lait qu il avait auparavant, mais dilué 1,9% 12 Le lait qu il avait auparavant, normalement reconstitué 73,3% 466 Un lait hypoallergénique (HA) 0,2% 1 Un hydrolysat de protéines bovines 0,3% 2 Un hydrolysat de protéines de riz 1,1% 7 42 answered question 636 skipped question Avec quelle alimentation? Une alimentation "antidiarrhéique" (carottes, riz, petits pots "pommes/coings".) 82,3% 520 Une alimentation identique à celle qu'il avait avant sa gastroentérite 17,7% answered question 632 skipped question 37 7 of 10
8 12. L utilisation d un lait sans lactose chez un nourrisson de 5 mois ayant une GEI d intensité modérée est justifiée Systématiquement 13,9% 87 En cas de récidive immédiate de la diarrhée, après réintroduction du lait 54,9% 344 En cas de diarrhée persistante 63,0% answered question 627 skipped question Lors d une GEI, parmi les situations suivantes, quelles sont les indications de la coproculture? Une déshydratation > 7% 2,7% 16 Une fièvre >39 12,2% 73 La fréquentation d une collectivité 8,7% 52 Aucune de ces situations 76,5% 458 Autre (veuillez préciser) 174 answered question 599 skipped question 70 8 of 10
9 14. Parmi les médicaments suivants, quels sont ceux que vous prescrivez chez un enfant âgé de moins de 2 ans qui a une gastroentérite aiguë de gravité modérée? Jamais Rarement Parfois Souvent Toujours Ultralevure 26,1% (161) 25,6% (158) 28,7% (177) 17,2% (106) 2,4% (15) 617 Lactéol 25,3% (153) 28,6% (173) 26,9% (163) 16,5% (100) 2,6% (16) 605 Smecta 15,7% (97) 22,8% (141) 30,4% (188) 27,0% (167) 4,2% (26) 619 Tiorfan 6,9% (43) 11,5% (72) 18,2% (114) 48,6% (304) 14,7% (92) 625 Primpéran 94,4% (568) 3,7% (22) 1,3% (8) 0,3% (2) 0,3% (2) 602 Vogalène 38,5% (238) 25,6% (158) 25,2% (156) 9,9% (61) 0,8% (5) 618 Motilium 46,1% (281) 27,6% (168) 18,6% (113) 6,9% (42) 0,8% (5) answered question 634 skipped question Prescrivez- vous un vaccin contre la gastroentérite à rotavirus? Systématiquement 33,7% 212 Parfois 56,0% 353 Jamais 10,3% answered question 630 skipped question 39 9 of 10
10 16. Quelle est la proportion d enfants que vous vaccinez parmi ceux à qui vous avez prescrit le vaccin? 0% 7,4% 44 25% 27,8% % 19,4% % 26,1% % 19,4% 115 answered question 594 skipped question Avez vous l impression que, depuis l'utilisation de ce vaccin, il y a moins de gastroentérites aigües dans votre patientèle? Oui 41,0% 235 Non 59,0% 338 answered question 573 skipped question of 10
Méthode et exemples d application. Congrès SFSE - Jeudi 15 décembre 2011
Exploitation des données de remboursement de médicaments de la Cnam-TS pour l'investigation rétrospective d'épidémie de Gastro-Enterites Aigues d origine hydrique Méthode et exemples d application Congrès
Plus en détailRevitalisation de la prise en charge des diarrhées aiguës chez l enfant, en République Démocratique du Congo. Consultant Dr Célestin NSIBU NDOSIMAO
Revue documentaire à l intention de tous les partenaires impliqués dans le programme d introduction de la nouvelle solution de SRO, en complément d un supplément en zinc, en République Démocratique du
Plus en détailBilan de la démarche. de certification V 2010. Haute-Normandie
Bilan de la démarche de certification V 2010 Haute-Normandie Juin 2013 La certification V 2010 en Haute Normandie Bilan au 1 er juin 2013 Etat d avancement de la démarche Au 1 er juin 2013, 69 établissements
Plus en détailBESOIN DE MANGER ET BOIRE chez BB. Besoin d'eau : 125cc/kg/jour Maximum 1 litre.
BESOIN DE MANGER ET BOIRE chez BB Besoin d'eau : 125cc/kg/jour Maximum 1 litre. Besoin alimentaire Allaitement maternelle : 1er jour=colostrum riche en protéines et en glucides Contient des AC Laxatif
Plus en détailLE TRANSIT INTESTINAL
LE TRANSIT INTESTINAL ALIMENTS FAVORISANT LE TRANSIT INTESTINAL : LES LEGUMES VERTS Artichauts, Aubergines, Asperges, Betteraves rouges, Blettes, Carottes (crues seulement), Courgettes, Epinards, Haricots
Plus en détailSurveillance épidémiologique en Lorraine
CIRE LORRAINE- ALSACE Surveillance épidémiologique en Lorraine Point de situation au 2 juillet 2, n 2-16, 16, 26 Sommaire Surveillance par pathologie : - allergies... 2 - asthme...3 - pathologies liées
Plus en détailPrésentation du Programme PHARE. Direction générale de l offre de soins - DGOS
Présentation du Programme PHARE Les achats hospitaliers, levier majeur de performance pour les établissements Achats hospitaliers : 18 Milliards d euros en 2009 Non médicaux 42% Achats Hospitaliers Médicaux
Plus en détailLes prélèvements d eau en France en 2009 et leurs évolutions depuis dix ans
COMMISSARIAT GÉNÉRAL AU DÉVELOPPEMENT DURABLE n 29 Février 212 Les prélèvements d eau en France en 29 et leurs évolutions depuis dix ans OBSERVATION ET STATISTIQUES ENVIRONNEMENT En 29, 33,4 milliards
Plus en détailBASES DE L ENTRAINEMENT PHYSIQUE EN PLONGEE
BASES DE L ENTRAINEMENT PHYSIQUE EN PLONGEE І) INTRODUCTION II) BASES PHYSIOLOGIQUES III) PRINCIPES GENERAUX DE L ENTRAINEMENT PHYSIQUE IV) ENTRAINEMENT DANS LES DIFFERENTES FILIERES V) LA PLANIFICATION
Plus en détailEvolution de la collecte des RPU Réseau OSCOUR
Evolution de la collecte des RPU Réseau OSCOUR Vanina BOUSQUET InVS St MAURICE 20 Mai 2014 Journée plénière de la FEDORU SOMMAIRE Etat des lieux des remontée de RPU Etat des lieux des structures régionales
Plus en détaillire les Étiquettes et trouver les sucres cachés
lire les Étiquettes et trouver les sucres cachés Objectif : Sensibiliser les élèves à ce qui se trouve dans leur nourriture et les aider à se méfi er des sucres cachés. Matériel Feuille à imprimer : Chaîne
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION. 10 octobre 2001
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION 10 octobre 2001 VIRAFERONPEG 50 µg 80 µg 100 µg 120 µg 150 µg, poudre et solvant pour solution injectable B/1 B/4 Laboratoires SCHERING PLOUGH Peginterféron
Plus en détailTITRE : «Information et consentement du patient en réadaptation cardiovasculaire»
TITRE : «Information et consentement du patient en réadaptation cardiovasculaire» MC Iliou, R Brion, C Monpère, B Pavy, B Vergès-Patois, G Bosser, F Claudot Au nom du bureau du GERS Un programme de réadaptation
Plus en détailEVALUATION DU RISQUE CHIMIQUE
EVALUATION DU RISQUE CHIMIQUE Cette évaluation doit être systématique, quelle que soit l activité de l entreprise, même s il n y a pas d exposition a priori du fait des activités de travail. L'objectif
Plus en détailPeut-on réduire l incidence de la gastroentérite et ses conséquences dans les écoles primaires à l aide de solution hydro-alcoolique?
Peut-on réduire l incidence de la gastroentérite et ses conséquences dans les écoles primaires à l aide de solution hydro-alcoolique? Service des Maladies Infectieuses; CHR Orléans Unité Inserm U-707,
Plus en détailNOTICE: INFORMATION DE L UTILISATEUR. Dulcolax bisacodyl 5 mg comprimés enrobés (bisacodyl)
NOTICE: INFORMATION DE L UTILISATEUR Dulcolax bisacodyl 5 mg comprimés enrobés (bisacodyl) Veuillez lire attentivement cette notice avant de prendre ce médicament. Elle contient des informations importantes
Plus en détailREFERENTIEL D AUTO-EVALUATION DES PRATIQUES EN ODONTOLOGIE
REFERENTIEL D AUTO-EVALUATION DES PRATIQUES EN ODONTOLOGIE Janvier 2006 I. PROMOTEURS Association dentaire française (ADF). Haute Autorité de santé (HAS). II. SOURCE Agence nationale d accréditation et
Plus en détailAteliers Conférences. Interventions. Sandrine LE FLEM. Formatrice et consultante petite enfance 06.95.18.75.38.
Sandrine LE FLEM Formatrice et consultante petite enfance Ateliers Conférences 06.95.18.75.38. sandrineleflem@hotmail.fr www.sandrineleflem.fr Interventions 2015 Page 1 sur 5 La formatrice intervenante
Plus en détailPlan. Introduction. Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé. Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or
Plan Introduction Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or Introduction NACO: une actualité brûlante! AVK: Plus forte incidence
Plus en détailBovins viande. Effectifs troupeaux et animaux par région en 2013. Total élevages. Nbre de veaux pesés en VA0. Nbre de veaux pesés en VA4
Bovins viande Effectifs troupeaux et animaux par région en 2013 Chif Régions Nbre de Nbre de Nbre de troupeaux troupeaux troupeaux adhérents adhérents suivis en en VA4 en VA0 engraissement Nbre de troupeaux
Plus en détailRESTAURANT SCOLAIRE MACOT ET LA PLAGNE LA PLAGNE Tél. 04.79.06.87.62 MACOT : Tél. 04.79.08.97.83
REGLEMENT INTERIEUR Les services de cantines scolaires, qui n ont pas de caractère obligatoire, ont pour but, de permettre la restauration des enfants scolarisés, dont les parents travaillent. Les enfants
Plus en détailMARS 2012. rapport d analyse. étude de la situation nutritionnelle des enfants vus par Médecins du Monde à Mayotte
rapport d analyse MARS 2012 rapport d analyse étude de la situation nutritionnelle des enfants vus par Médecins du Monde à Mayotte introduction w La malnutrition se définit par des apports inférieurs ou
Plus en détailQuand BÉBÉ VOYAGE. Guide pratique sur les précautions à prendre
Quad BÉBÉ VOYAGE Guide pratique sur les précautios à predre Vous partez bietôt pour u log voyage avec votre jeue efat. Quelques précautios sot à predre avat, pedat le déplacemet et durat votre séjour.
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 19 octobre 2011
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 19 octobre 2011 PEDIAVEN AP-HP G15, solution pour perfusion 1000 ml de solution en poche bi-compartiment, boîte de 4 (CIP: 419 999-0) PEDIAVEN AP-HP G20, solution pour
Plus en détailONZE ASSOCIATIONS MEDICAMENTEUSES FORMELLEMENT CONTRE-INDIQUEES
DIRECTION DES RISQUES MALADIE DIRECTION DU SERVICE MEDICAL ONZE ASSOCIATIONS MEDICAMENTEUSES FORMELLEMENT CONTRE-INDIQUEES Situation en 2000 JANVIER 2003 l'assurance Maladie des salariés - sécurité sociale
Plus en détailCarte de soins et d urgence
Direction Générale de la Santé Carte de soins et d urgence Emergency and Healthcare Card Porphyries Aiguës Hépatiques Acute Hepatic Porphyrias Type de Porphyrie* Déficit en Ala déhydrase Ala Dehydrase
Plus en détailQUESTIONNAIRE COMPLEMENTAIRE A.E.E.H.
QUESTIONNAIRE COMPLEMENTAIRE A.E.E.H. Document nécessaire à l étude de la demande d Allocation d Education d Enfants handicapés DOSSIER N (GED) :. Cadre réservé à la MDPH NOM Prénom de l enfant : Date
Plus en détailLA FIN DE VIE AUX URGENCES: LES LIMITATIONS ET ARRÊTS DES THÉRAPEUTIQUES ACTIVES. Dr Marion DOUPLAT SAMU- Urgences Timone
LA FIN DE VIE AUX URGENCES: LES LIMITATIONS ET ARRÊTS DES THÉRAPEUTIQUES ACTIVES Dr Marion DOUPLAT SAMU- Urgences Timone SOMMAIRE 1. La mort aux urgences 2. Les Limitations et Arrêts des Thérapeutiques
Plus en détailSignalement et gestion des infections respiratoires aiguës (IRA) et des gastroentérites aiguës (GEA) 19 juin 2014
Signalement et gestion des infections respiratoires aiguës (IRA) et des gastroentérites aiguës (GEA) 19 juin 2014 Nadège Caillere, Cire Océan Indien Dr Joao Simoes, Cellule de veille, d alerte et de gestion
Plus en détailLa constipation occasionnelle chez l adulte
Laconstipationoccasionnellechezl adulte Laconstipationsedéfinitparladiminutiondelafréquencedessellesendessousde3parsemaine. Cette définition ne constitue pas une règle absolue, la fréquence des selles
Plus en détailConseils aux voyageurs
Conseils aux voyageurs Informations issues du site du Ministère des Affaires Etrangères en France : http://www.diplomatie.gouv.fr/ Entrée / Séjour : Un visa d entrée est nécessaire pour les ressortissants
Plus en détailVue d ensemble de la prise en charge à base communautaire de la malnutrition aiguë (PCMA)
Vue d ensemble de la prise en charge à base communautaire de la malnutrition aiguë (PCMA) 1 Module 1. Objectifs d apprentissage Discuter de la malnutrition aiguë et des mesures à prendre en réponse Identifier
Plus en détailQUESTIONS FREQUEMMENT POSEES AUX EXPERTS DU SERVICE TELEPHONE VERT SIDA (800861061) ISTITUTO SUPERIORE DI SANITA
QUESTIONS FREQUEMMENT POSEES AUX EXPERTS DU SERVICE TELEPHONE VERT SIDA (800861061) ISTITUTO SUPERIORE DI SANITA INFORMATIONS SUR LE TEST DE DEPISTAGE Q. Quels examens médicaux doit-on faire pour détecter
Plus en détailAVANT-PROPOS. Directeur de la Division de la statistique de la FAO
AVANT-PROPOS L Annuaire statistique de la FAO fournit une sélection d indicateurs par pays sur l alimentation et l agriculture. Les données proviennent de FAOSTAT, la base de données statistique de l Organisation
Plus en détailSport et alpha ANNEXES
Sport et alpha ANNEXES Edition 2013 TABLE DES MATIERES Table des matières 1 Alimentation 2 Boire, Boire, Boire... 2 Et à l approche des «20 km de Bruxelles»? 3 Et pendant l épreuve? 3 Stretching 4 Avant
Plus en détailMutualité Chétienne de Liège 130. Place du XX Août 38 4000 LIEGE Tél. : (04) 221 73 11 Fax : (04) 221 74 09
Organisation Avantages Détails Accompagnants à l'hôpital Intervention de 6,20 euros par jour pour les frais de la personne qui loge dans la chambre du patient, 15 euros par jour si c'est un enfant de moins
Plus en détailADDITIF AU RAPPORT DE CERTIFICATION V2010 CLINIQUE CHIRURGICALE DU LIBOURNAIS
ADDITIF AU RAPPORT DE CERTIFICATION V2010 CLINIQUE CHIRURGICALE DU LIBOURNAIS 119 rue de la marne - 33500 - Libourne NOVEMBRE 2014 SOMMAIRE PREAMBULE 1. Présentation du document 2. Les niveaux de certification
Plus en détailANNEXE 3 ASSISTANCE MÉDICALE
ANNEXE 3 ASSISTANCE MÉDICALE - 30 - ANNEXE N 3 ASSISTANCE MÉDICALE (Mutuelle Assistance International, Mutuelle Assistance France) I. CONDITIONS GÉNÉRALES En cas de besoin, chaque bénéficiaire peut, 24
Plus en détaile-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé
e-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé Professeur Michèle Kessler CHU de Nancy et réseau Néphrolor L une des applications de la télémédecine est la télésurveillance à domicile,
Plus en détailComment bien s hydrater pendant l été?
Comment bien s hydrater pendant l été? C est bien connu, il faut boire davantage en été pour ne pas se déshydrater, notamment en cas de forte chaleur. Il faut en effet être vigilant dès que la température
Plus en détailCéphalées vues aux Urgences. Dominique VALADE Centre d Urgence des Céphalées Hôpital Lariboisière PARIS
Céphalées vues aux Urgences Dominique VALADE Centre d Urgence des Céphalées Hôpital Lariboisière PARIS Deux Objectifs aux Urgences Identifier les céphalées à risque vital Optimiser le traitement des céphalées
Plus en détailGENERALI MUTUELLE SANTE
GENERALI MUTUELLE SANTE AVANTAGES DU CONTRAT MUTUELLE SANTE GENERALI Notice d'information Generali : Notice 1 cliquez ici - - - Notice 2 cliquez ici Demandez nous un devis : Cliquez ici Des garanties adaptées
Plus en détailConnaître. facultatif. le régime. de complémentaire. santé Pour les anciens salariés
1 Connaître le régime facultatif de complémentaire santé Pour les anciens salariés Préambule Le 12 août 2008, l Union des Caisses Nationales de Sécurité sociale et des organisations syndicales ont signé
Plus en détailPRISE EN CHARGE D'UN PATIENT ATTEINT OU SUSPECT DE CLOSTRIDIUM DIFFICILE
PRISE EN CHARGE D'UN PATIENT ATTEINT OU SUSPECT DE CLOSTRIDIUM DIFFICILE PG SPI SUR 014 v1 2011 1/5 OBJET Conduite à tenir dans le cadre de l'arrivée d'un patient atteint ou suspect de portage de Clostridium
Plus en détailRÈGLEMENT DE FONCTIONNEMENT
REPUBLIQUE FRANÇAISE DEPARTEMENT de la CORREZE MAIRIE DE 19360 Cosnac Maison de la Petite Enfance Lotissement les Bouleaux 19360 COSNAC tél : 05 55 22 86 54 RÈGLEMENT DE FONCTIONNEMENT -------------------------------------------------------------------
Plus en détailIRBMS. Institut Régional de Biologie et de Médecine du Sport N ORD PAS- DE-CALAIS WWW. IRBMS. COM. Titre : «DECALAGE HORAIRE ET SPORT»
IRBMS http://www.irbms.com Institut Régional de Biologie et de Médecine du Sport N ORD PAS- DE-CALAIS WWW. IRBMS. COM Titre : «DECALAGE HORAIRE ET SPORT» Auteur(s) : J.-D. Guieu Catégorie : Sport Santé
Plus en détailLe DMP en Bretagne. Assemblée générale ANIORH. Vendredi 7 Décembre 2012
Le DMP en Bretagne Assemblée générale ANIORH Vendredi Ordre du Jour 1- Présentation du DMP 2- Déploiement du DMP en Bretagne 3- Présentation de la démarche en établissement 4- Présentation de la démarche
Plus en détailBien comprendre et bien choisir votre complémentaire santé
Bien comprendre et bien choisir votre complémentaire santé Bien comprendre et bien choisir votre complémentaire santé SOMMAIRE P. 1...A quoi sert une complémentaire santé? P. 2... Que vous rembourse votre
Plus en détailSURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES
SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES Dr Virginie NAEL Service de Santé au travail du personnel hospitalier CHU Nantes 44èmes journées FMC ANMTEPH / SOHF - Lausanne - Septembre
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 18 janvier 2006
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 18 janvier 2006 ADVATE 1500 UI, poudre et solvant pour solution injectable 1 flacon(s) en verre de 1 500 UI - 1 flacon(s) en verre de 5 ml avec matériel(s) de perfusion(s)
Plus en détailMINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES DIRECTION GENERALE DE LA SANTE- DDASS DE SEINE MARITIME
Département des situations d urgence sanitaire Personne chargée du dossier : Evelyne FALIP/Nicole BOHIC Tél : 01 40 56 59 65/02 32 18 31 66 evelyne.falip@sante.gouv.fr MINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES
Plus en détailParcours du patient cardiaque
Parcours du patient cardiaque Une analyse HAS à partir de la base QualHAS, des Indicateurs Pour l Amélioration de la Qualité & Sécurité des Soins (IPAQSS)- Infarctus du myocarde Linda Banaei-Bouchareb,
Plus en détailVaccinations pour les professionnels : actualités
Vaccinations pour les professionnels : actualités Dominique Abiteboul Service de Santé au Travail Hôpital Bichat - Claude Bernard Paris GERES Les vaccins A (H1N1)v 4QUESTIONS +++++ Pas assez de recul???
Plus en détailSante. Bilan de santé. pensez-y, c est gratuit. fibres! Un gastroentérologue. Mangez des. Etre plus proche de nos adhérents. p. 3 p.
MA Sante L E J O U R N A L D I N F O R M AT I O N D E S A D H E R E N T S D AV E N I R s A N t é M u t u E l l E M A R s - AV R I l 2 0 1 3 Bilan de santé pensez-y, c est gratuit MA santé VotRE MutuEllE
Plus en détailLe test de dépistage qui a été pratiqué à la
élever CommenT UN enfant phénylcétonurique Le test de dépistage qui a été pratiqué à la maternité vient de révéler que votre bébé est atteint de phénylcétonurie. Aujourd'hui votre enfant va bien mais vous
Plus en détailLes douleurs au ventre, les diarrhées, et les vers
Les douleurs au ventre, les diarrhées, et les vers 1 Parfois, il est normal pour tout le monde d avoir des douleurs au ventre, des nausées, des vomissements, des constipations ou des diarrhées. La majorité
Plus en détailBonne lecture!! et si vous souhaitez consulter le document de l AFEF dans son intégralité, c est ici
Un résumé des recommandations éditées par l AFEF le 1 er juin 2015 Les recommandations de l AFEF vont plus loin que celles de l EASL. Le Pr Victor De Lédinghen, du CHU de Bordeaux, et secrétaire général
Plus en détailLe test de dépistage qui a été pratiqué à la
élever CommenT UN enfant ayant une drépanocytose Q Le test de dépistage qui a été pratiqué à la maternité vient de révéler que votre bébé est atteint de drépanocytose. Aujourd hui, votre enfant va bien,
Plus en détailLe processus d inspection professionnelle du CSSS du Sud de Lanaudière: Une expérience enrichissante
Le processus d inspection professionnelle du CSSS du Sud de Lanaudière: Une expérience enrichissante Marilou Dionne, inf. M.Sc. Conseillère clinicienne en soins infirmiers Manon Allard, inf. M.Sc. Coordonnatrice
Plus en détailRougeole, Oreillons Rubéole et Coqueluche
Rougeole, Oreillons Rubéole et Coqueluche Comment protéger vos enfants? La seule protection efficace : la vaccination R.O.R COQUELUCHE ANNUAIRE Livret élaboré en partenariat avec : Conseil Général du Loir-et-Cher
Plus en détailINFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT
INFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT Les étapes du don de rein DONNER UN REIN DE SON VIVANT PEUT concerner CHACUN le don du vivant 3 /////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////
Plus en détailFrench Version. Aciclovir Labatec 250 mg (For Intravenous Use Only) 02/2010. Product Information Leaflet for Aciclovir Labatec i.v.
Product Information Leaflet for Aciclovir Labatec i.v. 250 mg French Version Aciclovir Labatec i.v. Composition Principe actif: Aciclovirum ut Acicloviri natricum (Praeparatio cryodesiccata). Excipients:
Plus en détailGuide du parcours de soins Titre ACTES ET PRESTATIONS AFFECTION DE LONGUE DURÉE. Hépatite chronique B
Guide du parcours de soins Titre ACTES ET PRESTATIONS AFFECTION DE LONGUE DURÉE Hépatite chronique B Février 2015 Ce document est téléchargeable sur : www.has-sante.fr Haute Autorité de Santé Service des
Plus en détail1 La scintigraphie myocardique au Persantin ou Mibi Persantin
La scintigraphie myocardique au Persantin ou Mibi Persantin Pour mieux connaître l état de votre cœur, votre médecin vous a demandé de passer une scintigraphie myocardique au Persantin. Cette fiche explique
Plus en détailBesoins et attentes des habitants en Haute-Normandie en matière d équipements publics
mars 2010 Besoins et attentes des habitants en Haute-Normandie en matière d équipements publics Enquête BVA réalisée entre le 10 et le 21 février auprès d un échantillon de 197 habitants de Haute-Normandie
Plus en détailVendredi 11 octobre 2013
Autant d occasions de s informer et d échanger sur l allaitement mais aussi sur le maternage. Parents, futurs parents, familles, amis, professionnels de santé ou de la petite enfance, n hésitez pas à assister
Plus en détailConsignes de remplissage - Grille de recueil - Thème DAN2
Généralisation 2014 d un recueil d indicateurs pour l amélioration de la qualité et de la sécurité des soins dans les établissements de santé de soins de courte durée Consignes de remplissage - Grille
Plus en détailRecommandation Pour La Pratique Clinique
Recommandation Pour La Pratique Clinique Prise en charge diagnostique et thérapeutique de la migraine chez l adulte ( et chez l enfant) : aspects cliniques (et économiques) Octobre 2002 1 La migraine de
Plus en détailles deux premières années du Bachelor of Science en sciences pharmaceutiques
UNIVERSITÉ DE FRIBOURG SUISSE FACULTÉ DES SCIENCES UNIVERSITÄT FREIBURG SCHWEIZ MATHEMATISCH-NATURWISSENSCHAFTLICHE FAKULTÄT Plan d'études pour les deux premières années du Bachelor of Science en sciences
Plus en détailLes Petites Toques PLAT CHAUD. STEAK HACHE PETIT MODELE Poids net pour une part : 80 g Ingrédients : Steak haché (origine Union Européenne).
Les Petites Toques PLAT CHAUD STEAK HACHE PETIT MODELE Poids net pour une part : 80 g Ingrédients : Steak haché (origine Union Européenne). PEPITES DE PLET PANE Poids net pour une part : 115 g Ingrédients
Plus en détailLes Jeudis de l'europe
LE DIABETE SUCRE EST DEFINI EN DEHORS DE TOUT EPISODE DIABETOGENE : 1.26 g/l SOIT 7 mmol/l PREVALENCE DU DIABETE DE TYPE 2 EN FRANCE METROPOLITAINE 3.4 % AGE = 63 ANS HOMMES = 54% 25% > 75 ans OUTRE MER
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailCoordination de la Gestion des risques. Bilan - Programme
Coordination de la Gestion des risques Bilan - Programme La démarche Mise en place en 2007 Regroupe l ensemble des Vigilances Sanitaire. Associe le programme CLIN Associe les risques liés aux vigilances
Plus en détailService d ambulance. Normes. de soins aux patients. et de transport
Service d ambulance Normes de soins aux patients et de transport Ministère de la Santé et des Soins de longue durée Direction des services de santé d urgence Avril 2000 (Mise à jour : octobre 2002) Soins
Plus en détailLES INSUFFISANCES EN MATIERE D EQUIPEMENTS D IMAGERIE MEDICALE EN FRANCE : ETUDE SUR LES DELAIS D ATTENTE POUR UN RENDEZ-VOUS IRM EN 2013
LES INSUFFISANCES EN MATIERE D EQUIPEMENTS D IMAGERIE MEDICALE EN FRANCE : ETUDE SUR LES DELAIS D ATTENTE POUR UN RENDEZ-VOUS IRM EN 2013 Étude réalisée pour Imagerie Santé Avenir 2013 CEMKA-E VAL 43,
Plus en détailCharte nutritionnelle
Charte nutritionnelle NOTRE MISSION : CONSTRUIRE ET PRESERVER LE CAPITAL SANTE L équilibre alimentaire est un enjeu majeur de santé publique. De ce contexte, Nutrisens s engage à maintenir et à renforcer
Plus en détailVertiges et étourdissements :
: comment être à la hauteur? Anthony Zeitouni, MD, FRCSC Présenté à la 71 e édition du Programme scientifique de l Association des médecins de langue française du Canada. Est-ce bien des vertiges? Il n
Plus en détailInformation sur les programmes d autorisation préalable, de pharmacie désignée et de gestion des dossiers médicaux. Autorisation préalable
Information sur les programmes d autorisation préalable, de pharmacie désignée et de gestion des dossiers médicaux La présente feuille de renseignements vise à fournir de l information sur le processus
Plus en détailVous vous occupez d une personne âgée malade. vous êtes son. aidant naturel
Vous vous occupez d une personne âgée malade vous êtes son aidant naturel Avant-propos Cette brochure est conçue pour vous informer vous et votre famille sur le rôle, les devoirs et les droits d un «aidant
Plus en détailEntre l enfant : Parents : L assistant maternel : Agrément n. Quel est l intérêt de compléter et signer un contrat d accueil?
CONTRAT D ACCUEIL Entre l enfant : Parents : Et L assistant maternel : Agrément n Relais d Assistants Maternels 2 rue François Mitterrand 02430 GAUCHY relaiam@ville-gauchy.fr 03.23.51.03.61 Quel est l
Plus en détail23. Interprétation clinique des mesures de l effet traitement
23. Interprétation clinique des mesures de l effet traitement 23.1. Critères de jugement binaires Plusieurs mesures (indices) sont utilisables pour quantifier l effet traitement lors de l utilisation d
Plus en détailLa prise en charge de votre insuffisance cardiaque
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre insuffisance cardiaque Vivre avec une insuffisance cardiaque Décembre 2007 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant
Plus en détailLa prise en charge de votre artérite des membres inférieurs
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre artérite des membres inférieurs Vivre avec une artérite des membres inférieurs Novembre 2007 Pourquoi ce guide? Votre
Plus en détailVue d ensemble : Office of Cellular, Tissue and Gene Therapies
Vue d ensemble : Office of Cellular, Tissue and Gene Therapies DIAPOSITIVE 1 Cette présentation fournit une vue d ensemble de l Office of Cellular, Tissue, and Gene Therapies (bureau des thérapies cellulaires,
Plus en détailQuestionnaire santé et soins médicaux pour les moins de 16 ans
_0_ An Vag Enq N adresse N individuel... Prénom Année de naissance (réservé enquêteur) Questionnaire santé et soins médicaux pour les moins de 6 ans Enquête sur la Santé et la Protection Sociale 00 Prénom
Plus en détailMEDICAMENTS CONTENANT L ASSOCIATION DEXTROPROPOXYPHENE / PARACETAMOL :
REPUBLIQUE FRANÇAISE Juin 2009 MEDICAMENTS CONTENANT L ASSOCIATION DEXTROPROPOXYPHENE / PARACETAMOL : Recommandation de l EMEA de retrait de ces médicaments à la suite de l évaluation européenne et avis
Plus en détailLivret des nouveaux anticoagulants oraux. Ce qu il faut savoir pour bien gérer leur utilisation
Livret des nouveaux anticoagulants oraux Ce qu il faut savoir pour bien gérer leur utilisation DONNÉES DU PATIENT Nom Adresse Tél MÉDECIN TRAITANT Nom Adresse Tél SPÉCIALISTE Nom Hôpital Tél MÉDICAMENT
Plus en détailNOTICE: INFORMATION DE L UTILISATEUR. Bisolax 5 mg comprimés enrobés. Bisacodyl
NOTICE: INFORMATION DE L UTILISATEUR Bisolax 5 mg comprimés enrobés Bisacodyl Veuillez lire attentivement cette notice avant d utiliser ce médicament car elle contient des informations importantes pour
Plus en détailAssurance-maladie complémentaire (LCA)
CC (Conditions complémentaires) Visana Assurances SA Valable dès 2014 Assurance-maladie complémentaire (LCA) Traitements ambulatoires Sommaire Page 3 3 4 6 Assurance complémentaire des frais de guérison
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailComplément à la circulaire DH/EO 2 n 2000-295 du 30 mai 2000 relative à l'hospitalisation à domicile
http://www.sante.gouv.fr/adm/dagpb/bo/2001/01-01/a0010017.htm Bulletin Officiel n 2001-1 Direction de l'hospitalisation et de l'organisation des soins Page 1 sur 6 Complément à la circulaire DH/EO 2 n
Plus en détailLa Population des Exploitants agricoles en 2011
Direction des Etudes des Répertoires et des Statistiques Etude juin 2012 La Population des Exploitants agricoles en 2011 www.msa.fr JUIN 2012 LA POPULATION DES EXPLOITANTS AGRICOLES EN 2011 DIRECTION DES
Plus en détailKARDEGIC 75 mg, poudre pour solution buvable en sachet-dose Acétylsalicylate de DL-Lysine
KARDEGIC 75 mg, poudre pour solution buvable en sachet-dose Acétylsalicylate de DL-Lysine Veuillez lire attentivement cette notice avant d'utiliser ce médicament. Elle contient des informations importantes
Plus en détailLe point de vue d une administration hospitalière Inka Moritz, Secrétaire générale
Spécialistes en santé publique? Le point de vue d une administration hospitalière Inka Moritz, Secrétaire générale Le CHUV est l employeur de 10 000 personnes Budget 1,4 milliard de frs 2 1 des 5 Hôpitaux
Plus en détailCATASTROPHES NATURELLES PREVENTION ET ASSURANCES
CATASTROPHES NATURELLES PREVENTION ET ASSURANCES Mission des sociétés d assurances pour la connaissance et la prévention des risques naturels WWW.mrn-gpsa.org Une association créée en 2000 entre : Mission
Plus en détailQU EST-CE QUE LA PROPHYLAXIE?
QU EST-CE QUE LA PROPHYLAXIE? TABLES DES MATIÈRES Publié par la Fédération mondiale de l hémophilie (FMH) Fédération mondiale de l hémophilie, 2014 La FMH encourage la traduction et la redistribution de
Plus en détailL impact des avis des usagers sur l amélioration de la prise en charge du patient dans un CHU
L impact des avis des usagers sur l amélioration de la prise en charge du patient dans un CHU Michèle WOLF, MCU-PH, Direction de la qualité, de la coordination des risques et des relations avec les usagers,
Plus en détailPour JANVIER 2010 : EPREUVE ECRITE du DF1 :
Pour JANVIER 2010 : EPREUVE ECRITE du DF1 : DUREE 1H30 - Notation sur 20 (18 pts pour les questions et 2 pts pour la forme) ATTENTION : 4 questions sont proposées, vous ne devez traiter que 3 questions
Plus en détailRÉSUMÉ DES CARACTÉRISTIQUES DU PRODUIT. Bisolax 5 mg comprimés enrobés contient 5 mg de bisacodyl par comprimé enrobé.
RÉSUMÉ DES CARACTÉRISTIQUES DU PRODUIT 1. Dé nomination du mé dicame nt Bisolax 5 mg comprimés enrobés. 2. Composition qualitative e t quantitative Bisolax 5 mg comprimés enrobés contient 5 mg de bisacodyl
Plus en détail