Observatoire social. de la Communauté Urbaine de Brest Note de synthèse SOUS -PREFECTURE DE BREST

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1 SOUS -PREFECTURE DE BREST Observatoire social de la Communauté Urbaine de Brest Note de synthèse

2 2 S O M M A I R E Pages 1. Quelques éléments de contexte national 3 2. Le Pays de Brest 4 3. L évolution des indicateurs brestois 6 4. La géographie sociale brestoise et son évolution 7 1. L arrêt sur image L évolution de la situation sociale Le Parc locatif social détermine toujours plus la localisation de personnes défavorisées L élargissement du champ d observation 14 Réf. : 03/185 La maîtrise d'œuvre de l'observatoire social est assurée par l'adeupa. La présente note de synthèse est une coproduction d'un comité de lecture réunissant : Madame DENIEUL (Conseil Général), Madame DOLMAZON (DDE), Monsieur CROZON (PLIE), Madame JOLY-PICARD (CAF du Nord Finistère), Monsieur LE DU (Mission Locale), Monsieur POT (OPAC de la CUB), Madame PRIEUR (DSU), Madame SOVRANO (DASS), Monsieur THOMAS (CCAS de Brest).

3 L 'observatoire social de la Communauté Urbaine de Brest, initié par le Contrat de Ville, constitue un outil partenarial entre la Communauté Urbaine de Brest, l'etat, le Département, la Caisse d'allocations Familiales du Nord- Finistère. Son maître d'œuvre est l'adeu- Pa. Observatoire social de la Communauté Urbaine de Brest en Ainsi, alors qu il avait diminué en 2000 (pour la première fois depuis 1989) et 2001, le nombre des allocataires du RMI est reparti à la hausse à partir du deuxième trimestre 2002, +1,3% sur l année 2002.(Source Direction de la recherche, de l évaluation et des études statistiques du Ministère de la santé ). 3 L'observatoire s'appuie sur une base de données alimentée par de nombreux fournisseurs : INSEE, CAF, Conseil Général, CCAS de Brest, DDE, OPAC, PLIE, Mission Locale. Une base de données recueille l'ensemble de ces informations actualisées annuellement depuis Le traitement statistique de ces données s'appuie sur une trentaine de grands indicateurs, mobilisés à l'échelle de 31 quartiers brestois et des communes périphériques. Une note de synthèse rend compte de l'analyse partagée de la situation sociale qui en est faite par les partenaires. 1. Quelques éléments de contexte national Il importe de distinguer clairement, même si elles sont liées, les deux dimensions, socio-économique d'une part, et, urbaine d'autre part. La première dimension traduit le positionnement par rapport à l emploi, aux revenus du travail et aux prestations sociales redistribuées dans le cadre de la solidarité nationale. La seconde résulte de l aménagement et du fonctionnement urbain, de l'organisation du marché de l'habitat, des phénomènes de valorisation ou de dévalorisation des espaces urbains qui finissent par concentrer, à des degrés divers, les situations sociales critiques dans les mêmes lieux. S'agissant de l'environnement socioéconomique la période aujourd'hui couverte par l'observatoire social ( ) s'inscrit à cheval sur deux tendances : - Les années sont caractérisées par une embellie économique créatrice d'emplois et réductrice du chômage. - Le début de la présente décennie est marqué par un retournement des tendances précédentes frôlant même la récession L'INSEE a procédé dans son dernier "France, portrait social" à une analyse rétrospective qui constitue une référence utile. Celle-ci clarifie certaines notions telle que la pauvreté monétaire et les seuils qui servent à évaluer celle-ci. La pauvreté monétaire se définit de façon statistique (en France comme en Europe) en référence au revenu médian. Est considéré comme seuil de pauvreté 50 % ou moins du revenu médian. De fait la valeur monétaire de ce seuil évolue chaque année. 547 /unité de consommation par mois en 1997, 579 en Revenu médian : valeur telle que 50 % de la population ont un revenu supérieur et 50 % un revenu inférieur. Définition EUROSTAT des unités de consommation : 1 personne seule = 1 UC, 1 couple sans enfant = 1,5 UC, 0,3 UC supplémentaire par enfant de moins de 14 ans et 0,5 par personne de plus de 14 ans. Reprenant cette même source des revenus fiscaux, l observatoire de la pauvreté propose une comparaison des zones d emploi françaises laquelle fait apparaître le Pays de Brest comme le Finistère dans son ensemble et la zone de Rennes en situation très favorable dans le contexte national au regard de la proportion de ménages en situation de pauvreté. «Dans trois territoires, le taux de pauvreté est faible. La Bretagne avec un niveau de développement économique moyen mais une dynamique de développement très forte produit une plus grande cohésion sociale qu'ailleurs. Rappelons que les familles monoparentales sont peu nombreuses sauf dans les grandes villes où elles ne sont pas nécessai- (1) Observatoire de la pauvreté La documentation française

4 4 rement pauvres. Pour cette région, il convient sans doute de rappeler, outre un développement important de l'emploi féminin qui permet de contenir la pauvreté tant des couples que des familles monoparentales, les performances de son appareil scolaire, supérieures à celles de toutes les autres régions". Entre 1996 et 2000, la population pauvre ainsi définie a baissé de 10 %. Mais les seuils établis ont un impact considérable sur le résultat, que ce seuil soit à 60 % du revenu médian au lieu de 50 % et on passe de 11 à 18 % de la population se situant en dessous du seuil de pauvreté, en revanche avec un seuil à 40 %, seulement 6 % de la population se situeraient en dessous. Quelle est la composition de la population en situation de pauvreté? Les personnes en situation de pauvreté ne sont pas toutes sans emploi et dépendantes des transferts sociaux : 22 % sont salariées et 6 % non salariées Les chômeurs sont un peu plus de 10 %. Les étudiants sont dans une fourchette de 8 à 9 %. Les inactifs adultes non retraités et leurs enfants : 40 %. 13 % sont retraités. La diminution globale, voisine de 10 %, a profité inégalement aux différentes catégories : Les salariés et encore plus les non salariés et chômeurs ont connu une évolution très favorable. Leur nombre en situation de pauvreté diminue de 17 à 30 %. La situation est inverse pour les inactifs adultes et les retraités dont le nombre a augmenté de près de 10 %. On peut sans doute en conclure que l'embellie économique a profité à ceux qui étaient en situation de saisir les nouvelles opportunités d'emploi. On soulignera aussi, dans la population se situant sous le seuil de pauvreté, l'importance des retraités due principalement à la revalorisation insuffisante des pensions de base. Dans l'avenir, cette situation risque de prendre de l ampleur et il importera que l observatoire suive ce point en particulier. 2- Le Pays de Brest Le Pays de Brest, zone d'emploi et bassin d'habitat, s avère l espace pertinent pour appréhender les évolutions économiques et sociales. La Communauté urbaine constitue l élément majeur de ce vaste ensemble qui fonctionne aujourd hui comme un tout. Sur la période d'observation , l'évolution de l'emploi salarié fût positive, emplois en 5 ans, en moyenne annuelle de 1997 à 2000 et ensuite, évolution légèrement plus favorable que celle de la région. 120 Pays de Brest Taux de chômage 110 Evolution en base EMPLOI chômage <25 ans Années CHOMAGE chômage longue durée

5 5 Le chômage globalement connaît une réduction en rapport avec la situation économique, laquelle tend aujourd'hui à se stabiliser également. On notera cependant des évolutions fort contrastées : Les jeunes, très réactifs à l'embellie de l'emploi des années 90, le sont tout autant à l'affaiblissement de cette tendance. Les chômeurs de longue durée diminuent toujours plus. Ayant tardivement touché les vents porteurs de l'embellie économique, ils paraissent peu affectés par le ralentissement. On peut se demander d'ailleurs si les deux phénomènes sont totalement liés ou s'il existe des facteurs extérieurs expliquant éventuellement cette situation : basculement des chômeurs de longue durée du marché de l'emploi vers le RMI ou l'a.a.h. (?). Li ttoral.shp pays de Brest No ms de c ommune s Revenu moyen par ménage in fé ri eur à à supé rier à Revenu moyen en 1999 pou r l'e nsembl e du Pays de Bre st: euros Pays de Brest et ses commu nautés de communes MOLENE ST-PABU LANNILIS LAMPAUL- PLOUDALMEZEAU LANDUNVEZ TREGLONOU PLOUDALMEZEAU PLOUGUIN PORSPODER LAM PAUL- PLOUARZEL LANILDUT PLOUR IN BR ELES PLOUMOGUER TREBABU PLOUARZEL PLOUGONVELIN LE CONQUET LANR IVOAR E LOCMARIA- PLOUZANE TREOUERGAT ST-RENAN Pays de Brest Revenus nets moyens par ménage en 1999 PLOUZANE LANDEDA GUIPRONVEL MILIZAC GUILERS PLOUGUER NEAU BOHARS BR EST PLOUVIEN GOUESNOU GUISSENY BRIGNOGAN-PLAGE GOULVEN ST-FREGANT PLOUIDER KERNOUES KERNILIS LESNEVEN LANARVILY LE FOLGOET LOC-BREVALAIRE ST-MEEN PLAB ENNEC LE DR ENNEC GUIPAVAS PLOUNEOUR- KERLOUAN TRE Z COAT- MEAL BOURG- BLANC KERSAINT- PLAB ENNEC PLOUGASTEL- DAOULAS TREGARANTEC PLOUDANIEL ST-THONAN ST-DIVY LA FOREST- LANDERNEAU LOPERHET TREMAOUEZAN LANNEUFFRET PLOUEDERN LANDERNEAU DIRINON DAOULAS PENC RAN LA M AR TYRE ST-URBAIN IR VILLAC N LA ROC HE-MAURICE PLOUDIR Y TREFLEVENEZ LE TR EHOU SAINT-ELOY ROSCANVEL LE RELECQ- KERHUON LOGONNA- DAOULAS HOPITAL- CAM FROUT HANVEC LE FAOU CAM AR ET- SUR-MER CROZON LANVEOC LANDEVENNEC ROSNOEN PONT-DE-BUIS- LES-QUIMERCH TELGRUC- SUR -MER ARGOL St SEGAL Sou rc e I NSEE / D GI. Tra iteme nt ADEUPa d e Bre st Kilom ètr es La géographie sociale du Pays de Brest en 1999 est parfaitement explicite et on ajoutera pérenne parce que très constante dans le temps : une ville-centre au revenu moyen des ménages faible, entourée d'une périphérie nettement plus riche sauf aux marges les plus éloignées qui se situent au même niveau que Brest (cf. carte). La périurbanisation fût naturellement sélective dans les ménages qu'elle a attirés vers l'extérieur, le coût de l'investissement pavillonnaire l'explique en grande partie. On retrouvera la trace de tout ceci dans la comparaison entre Brest et les communes de la C.U.B. Cependant dans le cas de Brest, il convient d'être plus nuancé. Certes le revenu fiscal moyen est faible, mais ne traduit pas pour autant une situation partagée par une majorité d'individus. Il s'agit plutôt d'un moyen terme statistique entre deux extrêmes : des catégories sociales supérieures, très représentées, et des catégories sociales modestes également sur-représentées. On peut préciser que les évolutions depuis 10 ans consolident cette image. Au sein d une croissance globale des revenus à l échelle du pays, l évolution décennale 90 met en lumière une discrimination croissante entre la périphérie où le revenu moyen progresse de 10 à 20 % et la ville-centre où cette progression est de l ordre de 2 %.

6 6 3- L évolution des indicateurs brestois Les indicateurs principaux de l'observatoire social s'attachent précisément à identifier et évaluer les situations de pauvreté, mais pour autant ne sont pas tout à fait comparables à ceux de l'insee. Nombre de ces indicateurs émanent de la CAF dont le taux de couverture se situe autour de 50 % de la population totale, s'agissant de données relatives au versement de prestations familiales et sociales, elles sont par conséquent soumises à l'évolution de la législation. Sur la période récente les indicateurs principaux de difficultés sociales sont presque tous stables voire en baisse, notamment ceux du chômage. Cette tendance succède, pour ce qui est des indicateurs sociaux, à la hausse forte de la fin des années 90, s'inscrivant en port à faux par rapport à l'évolution économique générale et soulignant en cela une certaine indépendance de la situation économique. On ne peut que rappeler à ce propos que les bénéficiaires de minima sociaux représentent 7 sur 10 des personnes se situant sous le seuil de bas revenus. Une attention particulière devra être accordée dans le temps à la population sortant du système d'indemnisation du chômage, aujourd'hui 10 % des demandeurs d'emploi de catégorie 1. Deux indicateurs méritent une attention particulière par l'ampleur des mouvements observés ou la tendance systématique à l'augmentation. La population des allocataires de la CAF vivant sous le seuil des bas revenus (définition CAF) augmente modestement (+1,7 % par an ) mais avec de fortes disparités territoriales (cf. : ci-dessous la géographie sociale). L évolution de la précarité parait évoluer bien plus rapidement dans le parc locatif social où les ménages dits «sans revenus» (comprendre sans revenus autres que des transferts sociaux) progressent de 73 % entre 1997 et 2003) même si là aussi un ralentissement est perceptible depuis le début des années Cette évolution corrobore le constat établi au plan national de paupérisation des locataires habitant en logement social. Les familles monoparentales (CAF) toujours en augmentation représentaient 11 % des allocataires en 1998 et 12 % aujourd'hui. Dans le parc social, cette proportion passe de 17 % en 1997 à 21 % en En relation sans doute avec cette observation un autre indicateur augmente régulièrement, celui des familles avec enfants vivant sous le seuil des bas revenus (24 % des allocataires avec enfants en 1998, 27 % en 2000, et 27 % en 2002 ) (2). L'analyse de la localisation des familles monoparentales, comme celle des ménages à bas revenus, met en évidence les priorités des politiques d'attribution du logement et l'étroitesse des marges de manoeuvre possibles entre droit au logement et équilibre des territoires pour progresser dans l'objectif de la mixité sociale. Figurent dans la population couverte par la CAF les allocataires, leurs conjoints et enfants, qui perçoivent soit une prestation familiale pour enfant à charge ou soit une prestation sociale (APL, RMI, AAH, ). Bas revenus CAF application de la définition utilisée pour les UC (définition EUROSTAT) majorée de 0,2 UC pour les familles monoparentales. A noter que la base de revenus servant au calcul du seuil de bas revenus intègre les prestations familiales mensuelles à la différence au seuil de pauvreté calculé sur les seuls revenus fiscaux. (2) Source : enquête tri-annuelle des organismes HLM (OPAC)

7 7 En résumé, le contexte local de développement économique, de niveau des revenus, s'avère plutôt bon et en amélioration, y compris en comparaison nationale. Le repérage des fragilités impose dès lors un regard fin sur des phénomènes encore trop peu observés ou analysés : fonctionnement du marché de l'emploi dans son rapport à la précarité (CDD, temps partiels, accessibilité des emplois, ajustement offres / demandes ), prise en compte des nouvelles organisations/ruptures familiales dans leur rapport à l'insertion professionnelle des femmes, à la richesses des ménages, à l'éducation, l'impact des évolutions en cours et à venir des systèmes de prévoyance divers (retraites, santé, chômage ). Des chantiers à venir pour l'observatoire social. 4- La géographie sociale brestoise et son évolution L'analyse globale résumée précédemment montre que l'évolution des indicateurs principaux de fragilités sociales (pauvreté, chômage, emploi, organisation familiale) ne peut se comprendre dans la seule entité brestoise. Elle doit s'interpréter dans une configuration plus large dépassant la ville elle-même, voire même le bassin d'emploi ou d'habitat. Quelle est la géographie sociale du territoire brestois aujourd'hui et comment celle-ci évolue-t-elle? L'analyse des indicateurs sociaux révèle en effet ses aspérités et son hétérogénéité dans cette géographie. Aucune ville n' a été dans l'histoire homogène et parfaitement identique socialement dans ses différentes composantes. Quartiers commerçants, quartiers résidentiels, quartiers d'affaires, quartiers aisés, quartiers populaires, centre ville, périphéries, quartiers anciens, secteurs en construction. Autant de spécificités qui font la richesse et la vie de la ville. Pour autant la manière dont, dans chaque agglomération / ville, ces composantes se constituent, se mettent en relations, traduit de fait une organisation sociale ouverte ou cloisonnée. Elles peuvent renforcer des distances sociales ou au contraire les rapprocher, susciter des peurs ou au contraire des curiosités et des relations nouvelles. Il s'agit de caractériser les quartiers brestois, en relation avec leur fonction dans la ville, leurs atouts et leurs fragilités propres. Il ne s'agit pas d'un classement en fonction d'indicateurs qui seraient favorables ou défavorables. L'augmentation des populations à bas revenus dans un quartier peut être la résultante d'un choix assumé d'introduire davantage de diversité sociale dans un secteur qui n'en n'a pas. A contrario leur réduction peut être due à leur éviction d'un quartier en requalification urbaine. La concentration d'indicateurs sociaux sur un quartier n'induit pas obligatoirement un disfonctionnement social mais seulement une spécificité à prendre en compte. A contrario, leur absence sur un autre quartier peut traduire un ensemble de choix individuels qui de fait construisent une forme de ségrégation spatiale. Des études antérieures à la mise en place de l'observatoire social brestois (étude des agences d'urbanisme en 1992, études des quartiers français par l'insee ont montré que la ville de Brest présentait traditionnellement moins de différenciations sociales dans son organisation, traduisant en cela la faible distance sociale entre les composantes de sa population : ville ouvrière, fonctionnaire, faible présence d'une bourgeoisie industrielle ou patrimoniale. Le territoire brestois est subdivisé en 31 quartiers correspondant à un regroupement nécessaire pour des questions de pertinence statistique du découpage initial en 64 IRIS réalisé pour le recensement. Ce regroupement produit des ensembles de tailles variables et variables également dans leur mixité urbaine.

8 8 Pour autant elle joue un rôle d'accueil de la population pauvre ou modeste qui est important dans le bassin d habitat à travers l organisation de son parc de logements : 80 % du parc locatif social du bassin et deux tiers du parc locatif privé. On peut ajouter à cela une accession sociale à la propriété qui n existe nulle part ailleurs. convient de noter toutefois, que trois d'entre-eux (Pontanézen, Kérédern et Recouvrance) ont une taille modeste par rapport à l'ensemble des secteurs observés, taille justement conservée pour ne pas créer des moyennes artificielles avec leur environnement proche très différents. Dans ce contexte, le regard porté à partir des indicateurs de l'observatoire propose deux visions contrastées : L'arrêt sur image en 2002 L'évolution depuis L'arrêt sur image nous permet d identifier 3 ensembles : - L'ensemble vert (Cf. diagramme page 9), 7 quartiers de Loscoat à Tréornou auquel on peut rattacher St Michel et Kérichen, nous présente des quartiers où les indicateurs de difficultés sociales sont très peu présents. Nous sommes en présence de quartiers pavillonnaires de la périphérie urbaine caractérisée par une importante bi-activité des couples nécessaire pour assumer ce type d'investissement. Les logements locatifs, sociaux y sont très peu présents. Ces quartiers présentent beaucoup de similitudes avec les communes périphériques de la CUB. St Michel et dans une moindre mesure Kérichen, bien que d'histoire et de morphologie différentes, se présentent aussi comme des îlots résidentiels, on aurait pu en dire autant du quartier Siam, la surreprésentation de l'indicateur de revenus composés à plus de 75 % de transferts sociaux pouvant résulter d'une domiciliation administrative de populations relevant de la tutelle. - Un ensemble fushia de 4 quartiers de Pontanézen à Kérourien-Kéranroux où la quasi totalité des indicateurs sociaux retenus est fortement sur-représentée par rapport à la moyenne brestoise. Ils totalisent l ensemble des grands écarts observés par rapport à la moyenne de la ville (> 1,75 fois la moyenne brestoise). Mais Il - Enfin un ensemble intermédiaire plus fourni où la dominante des indicateurs se situe autour de la moyenne de la ville avec ponctuellement des profils contrastés selon les indicateurs (St Martin, Kérinou, Pen-ar-Créac h). Le profil des quartiers du centre-ville est parfois à interpréter avec prudence en raison de domiciliation administrative de certains allocataires, à l'adresse d'organismes de tutelle (UDAF-ATP) ou du CCAS. Ces allocataires sont donc comptabilisés hors de leur domicile réel, ils perçoivent souvent des minima sociaux (RMI-AAH) et de ce fait les Iris où sont implantés ces organismes se caractérisent par une surreprésentation de population allocataire sous le seuil de bas revenus ou bénéficiaires de minima sociaux. On y retrouve aussi le quartier de Bellevue un peu plus hétérogène qu'on ne l'imagine généralement sans toutefois qu'on puisse y voir une réelle spécificité sociale mais plutôt une sorte de convergence identifiant des revenus faibles à Kergoat comme à Quizac ou Kerbernier. Y figurent également les quartiers de péricentre où précisément la mixité urbaine se traduit par des profils moins tranchés. La monoparentalité est aujourd'hui un fait de société majeur, sans qu'il puisse être systématiquement assimilé à des difficultés sociales. 33 % en moyenne des familles relevant de la CAF sont dans cette position. Les effets de seuils des classes qui ont été constituées peuvent "durcir" une réalité de répartition sociale plus large : 12 quartiers en comptent 38 % et plus. Il conviendra de maintenir une vigilance particulière sur cet indicateur, les tendances sociétales lourdes laissant en effet entrevoir un accroissement de ces situations.

9 Loscoat/Kervao Saint Marc Kerargayouat/Le Cruguel Kergonan La Cavale Blanche Tréornou Kérichen Saint Michel Géographie sociale de la ville de Brest Bas revenus CAF (1) (Synthèse des indicateurs de situation) Sans ressources "HLM" Minima sociau x CAF (1) Prestation >75 % revenu (1) R.M.I. (1) Bas niveau de formation Familles monoparental es (1) Familles Av enf. <seuil bas revenu (1) Chômage Larc'Hantel Ste Anne Siam Dourjacq Bellevue Pilier Rouge Le Guelmeur Lambézellec Prat Lédan Quatre Moulins Saint-Pierre Kerbernier.Lanrédec Saint-Martin Pen Ar Créach/Petit Paris Kérinou Kergoat Quizac/Le Bergot Le Landais/Quéliverzan Kérourien/Kéranroux Recouvrance Kérédern Pontanézen Légende : 0,25 0,75 1 1,25 1,75 très inférieur inférieure Moyenne de la ville supérieure très supérieure à la moyenne à la moyenne (blanc) à la moyenne à la moyenne (1) L'ensemble de ces indicateurs concerne les allocataires de la CAF

10 10 Enfin, un autre fait mérite d'être relevé, la présence dans deux quartiers de la rive droite (le Landais Quéliverzan et Saint - Pierre) de deux indicateurs assez peu apparents par ailleurs : sur-représentation du faible niveau de formation dans la population active jeune et sur-représentation des familles avec enfants vivant sous le seuil de bas revenus. 2- L'évolution de la situation sociale ( ) nous met en présence de variations très importantes (exemple : 30 fois plus ou 15 fois moins que la moyenne de la ville) témoignant en cela de mouvements brutaux, portant certes sur des effectifs limités en raison du découpage en 31 quartiers, et s'annulant à l'échelle de la ville. La moyenne est en fait, pour une part, une combinatoire d'extrêmes opposés. Des indicateurs sociaux présentant une évolution à la baisse. - et confortent des situations où ils étaient déjà peu élevés : St Marc, St Michel, Kérargayouat-Le Cruguel (secteur pavillonnaire), Kérichen voire Prat Lédan. - dans des quartiers où ils étaient les plus élevés : Recouvrance et Pontanézen. Dans le cas de Recouvrance à peu près tous les indicateurs sociaux sont en baisse. Amélioration de la gestion du parc public, attribution de logements à une population plus solvable dans des immeubles récents aux loyers plus chers, renforcement de l'attractivité du quartier dans sa composante privée, anticipation sur les évolutions futures dans le cadre du renouvellement urbain? Plusieurs explications peuvent être avancées. Cependant la moyenne brestoise apparaît encore lointaine comme en témoigne l'instantané précédent ; quoiqu'il en soit l'évolution pluriannuelle récente montre que le retournement est possible. S'agissant de Pontanézen, les baisses moins significatives que sur Recouvrance peuvent constituer le prolongement favorable d'une stabilité notable depuis 10 ans. Des augmentations Concernant quelques quartiers où les indicateurs étaient déjà plus élevés : Kérédern, Quizac-Le Bergot, voire Kérourien-Kéranroux qui voient augmenter particulièrement les personnes à bas revenus et allocataires de minima sociaux (RMI en particulier, mais aussi API). Pour des ensembles mixtes, comme le grand quartier de Bellevue, les évolutions rapides à Kergoat, Quizac-Bergot déjà cité, voire à Kerbernier (car son association à Lanrédec tempère fortement les résultats) témoignent d'une tendance établie depuis plusieurs années qui s'explique essentiellement par l'évolution du parc de logements sociaux se fondant dans un ensemble de logements. Les indicateurs récents concernant la dynamique privée (Observatoire du Logement), montrent une stabilité de l'attractivité du quartier. L'imbrication du parc social public et du parc privé appelle une attention particulière aux évolutions sociales de tel ou tel sous-ensemble. A Bellevue (ensemble de quartier) la situation d'ensemble est celle d'un quartier à dominante d'actifs. La population vivant sous le seuil de bas revenus est moins qu'ailleurs formée de personnes bénéficiant des minima sociaux. Résultante de la politique de rééquilibrage social de la ville et de diversification du peuplement de ses quartiers, la Cavale Blanche enregistre ainsi une forte augmentation des indicateurs sociaux qui n obère pas tout à fait la situation globale. On peut par ailleurs penser que les projets urbains envisagés dans le secteur de la Penfeld apporteront l'effet de levier conduisant à une requalification durable.

11 11 Evolution des quartiers de 1998 à 2002 par rapport à l'évolution moyenne de la ville de Brest Kerargaouyat/Le Cruguel Quartiers dans lesquels le chômage augmente et les indicateurs sociaux baissent plus fortement que la moyenne demandeurs 3 d'emploi Loscoat / Kervao Kergonan 2 Saint Marc La cavale blanche Tréornou Dourjacq Le Guelmeur 1 Quartiers dans lesquels le chômage et les indicateurs sociaux augmentent plus fortement que la moyenne Siam Kerinou Saint Michel Lambézellec Kerichen Quizac / Le Bergot Pen-Ar-Créach / Petit indicateurs sociaux 0 Kerbernier / Lanrédec Le Landais -2 / Quéliverzan -1 Paris 0 Kerourien 1 / Keranroux Keredern Saint Pierre Saint Martin -1 Pilier Rouge Bellevue Prat Lédan Recouvrance Quartiers dans lesquels le chômage et les indicateurs sociaux baissent plus fortement que la moyenne -2 Quatre Moulins -3-4 Kergoat Quartiers dans lesquels le chômage baisse et les indicateurs sociaux augmentent plus fortement que la moyenne -5-6 Pontanézen Le parc locatif social détermine toujours plus la localisation des personnes défavorisées. D'après l'observatoire National de la Pauvreté, le Nord de France, et l'ouest entre autres ont un parc social qui joue un rôle primordial en matière d'accueil des populations pauvres, ce qui n'est pas le cas du Sud. Cette fonction jouée par le parc est plutôt source d'une bonne qualité d'habitat par rapport à des villes où ce parc est peu développé. Or l'évolution des quartiers brestois observée ci dessus est en fait très liée à l'évolution du parc social public : création avec diversification des quartiers, quartiers HLM anciens dont les loyers sont faibles et le rapport qualité-prix particulièrement adapté aux populations à bas revenu. Il a donc semblé nécessaire de mieux comprendre et partager dans le cadre de l'observatoire social la fonction du parc brestois dans le marché local de l'habitat. Guide de lecture : le graphique croise la synthèse des évolutions à la baisse ou en hausse d'indicateurs de situations sociale et l'évolution du chômage. Le point 0 correspond à l'évolution moyenne de la ville, les valeurs apparaissant sur les axes correspondent aux écarts des différents quartiers à cette moyenne. Indicateurs sociaux retenus dans l élaboration des graphiques de situation et d évolution sociale des quartiers. Part de la population sous le seuil de bas revenus dans la population couverte par la C.A.F. Part de la population couverte par les minima sociaux de la C.A.F. dans la population couverte par la C.A.F. Part de la population couverte par le R.M.I. délivré par la C.A.F. dans la population de moins de 60 ans au recensement de 1999 Part des allocataires de la C.A.F. dont les prestations sont supérieures à 75% des revenus Part des allocataires de la C.A.F. avec enfant vivant sous le seuil de bas revenus dans l ensemble des allocataires avec enfant de la C.A.F. Part des allocataires de la C.A.F. famille monoparentale dans l ensemble des allocataires avec enfant de la C.A.F. Part des ménages sans ressources dans l ensemble des ménages sans ressources locataires de l O.PA.C. Part des demandeurs d emploi de catégorie 1 dans la population active au recensement de la population de 1999

12 12 Initialement conçu comme l'habitat à loyer maîtrisé des catégories sociales populaires, le parc locatif social, depuis un quart de siècle, évolue vers une fonction d'accueil de plus en plus identifiée de personnes à très faibles ressources. Près de 3 demandeurs sur 4 aujourd'hui disposent de revenus = 60 % du revenu plafond. Le parc social loin d'avoir l'homogénéité voire l'uniformité qu'on imagine présente des différences qui se traduisent en plusieurs niveaux de loyer adaptés aux différentes catégories de locataires. La très grande majorité des logements sociaux est gérée par l OPAC de la CUB (environ logements). Aiguillon construction, Espacil, HLM les Foyers, Armorique habitat et le Logis breton ne représentent qu une part mineure (mais en progression) du parc d habitat social de la CUB. Une différence majeure s'impose entre logements HLM d'avant 1977 (de niveau de loyer plus faible) et logements financés en PLA après 1977 (de niveau de loyer plus élevé). Cette différence détermine le peuplement de ces parcs et les limites de la fluidité entre Brest et les communes extérieures en et hors CUB, qui disposent de très peu de logements d'avant L'histoire du logement social induit donc de façon assez impérative une spécialisation sociale brestoise. Loyers mensuels des principaux groupes de l OPAC en 2003 T3 T4 Opérations PLA/PLUS récentes à Brest/CUB 334 à à 422 Opérations récentes/plats à Brest Recouvrance 276 à à 355 Kerbernier Lambézellec 209 à à 317 Pontanézen 202 à à 241 Kérangoff 182 à à 247 Quizac/kerhallet 180 à à 280 Kérourien/Valy Hir 179 à à 247 Kergoat 165 à à 215 Kérédern 161 à à 239 Quéliverzan 159 à à 248 P.L.A. : Prêt Locatif Aidé ; PLUS : Prêt Locatif à Usage Social ; PLATS : Prêts Locatif Aidé Très Social Evolution des ressources des locataires du parc public La moyenne des ressources de l'ensemble des ménages (revenus imposables après abattements) de l'opac sur l'ensemble de la ville de Brest est en légère progression, de à annuels. La progression a été plus importante pour la CUB hors Brest (de en 2000 à ). Au sein de la ville de Brest, 3 quartiers se situent sous la moyenne brestoise et ont en outre enregistré une diminution des ressources des ménages qui y résident : Kérédern, Kergoat, et dans une moindre mesure Menez-Paul. 5 autres quartiers se situent sous la moyenne globale mais les ressources des résidents y sont stables, voire en légère progression : Pontanézen, Saint Pierre, Quatre Moulins, Kerbernier et Quéliverzan-Le Landais. Recouvrance ferme la marche dans ce groupe de quartiers avec certes toujours un niveau de ressources moyen très inférieur à la moyenne du parc public, mais en très forte progression grâce à un niveau de ressources des nouveaux ménages arrivés depuis moins de 3 ans dans le quartier supérieur à la moyenne de l'ensemble des locataires récents dans le parc de l'opac. A contrario, parmi ces quartiers affichant un niveau de

13 13 ressources des locataires inférieur à la moyenne de la ville, Kérédern est le seul qui affiche une baisse sensible des ressources moyennes de ses nouveaux locataires, même si aujourd'hui les ressources moyennes de l'ensemble des résidents du quartier ne sont que légèrement inférieures à la moyenne de la ville. A titre de comparaison, le parc privé locatif fort de plus de logements, pratique des niveaux de loyers diversifiés, mais généralement sensiblement supérieurs Enquête 2000 Loscoat/Kervao Locataires occupant depuis moins de 3 ans Pilier-Rouge Le Guelmeur Mesdoun Montaigne Cavale Blanche Saint-Michel Kerinou/Lanrédec Pen-ar-Creac'h/Pt Paris Prat-Ledan Saint-Marc MOYENNE Keredern Lambézellec Quatre-Moulins Quizac/Bergot Kerourien/Keranroux Treornou Kerhallet Menez-Paul Pontanezen Kergoat Recouvr./Pontaniou Kerbernier Saint-Pierre Landais/Queliverzan Saint-Martin Ressources moyennes pour l'ensemble des locataires Enquête 2003 Mesdoun Loscoat/Kervao Locataires occupant depuis moins de 3 ans Recouvr./Pontaniou Menez-Paul Prat-Ledan MOYENNE Pilier-Rouge TreornouSaint-Martin Pen-ar-Creac'h/Pt Paris Lambézellec Quizac/Bergot Quatre-Moulins Kerbernier Saint-Pierre Kerhallet Pontanezen Keredern Kergoat Saint-Michel Montaigne Saint-Marc Cavale Blanche Le Guelmeur Kerinou/Lanrédec Kerourien/Keranroux Landais/Queliverzan Ressources moyennes pour l'ensemble des locataires

14 14 Comment lire et interpréter ces graphiques? L axe horizontal est celui des ressources moyennes des locataires (ménages) d un groupe de logements du patrimoine de l OPAC de la C.U.B. (revenus annuels imposables). L axe vertical donne les ressources des locataires les plus récents entrés depuis moins de 3 ans. Il s agit donc d une indication de l évolution des revenus des locataires des groupes. La diagonale rouge est un axe sur lequel en tout point les ressources moyennes et celles des locataires récents sont identiques. En dessous de cet axe les locataires récents ont des ressources moins élevées que le reste du groupe, au-dessus de l axe c est l inverse. Les axes verts indiquent le revenu moyen des locataires de l OPAC tous groupes confondus et le revenu moyen des locataires les plus récents. Les deux graphiques 2000 et 2003 résultent de deux enquêtes réglementaires conduites tous les 3 ans selon une méthode identique. Leur comparaison permet donc de mesurer l évolution des ressources des locataires. Fourchettes de loyers mensuels du locatif privé, en logements ordinaires, anciens et locataires stables, en Euros T2 T3 T4 mini maxi mini maxi mini maxi Centre reconstruit Centre ancien Péricentre Péricentre résidentielle Total Brest CUB hors Brest NS NS Source : Enquête ADEUPa/Ministère du Logement / OLAP 2003 Ces niveaux de loyers du secteur privé s'accompagnent d'un niveau moyen de ressources également très supérieur : annuels. Ces données, s'ajoutant à la modestie du parc locatif privé conventionné (1 500 unités) posent les limites de la porosité entre les parcs. 5. Elargissement du champ géographique de l'observatoire. Il est difficile de traiter en parallèle la situation des communes périphériques. Pour tous les indicateurs : pauvreté, minima sociaux, chômage, les communes périphériques de la C.U.B. se situent au niveau des meilleurs quartiers brestois, ce qui est somme toute logique. Similitude de type d'urbanisation, de peuplement, profil identique. Ainsi redéfinit -on une autre géographie, une autre représentation de l'agglomération brestoise que celle habituelle qui "oppose" ville-centre et périphérie.

15 15 Situation des quartiers par rapport à la moyenne de la ville en 2002 demande d'emploi Quartiers dans lesquels les indicateurs sociaux et le chômage sont supérieurs à la moyenne de la ville de Brest. Pontanézen 9 Keredern 7 Recouvrance 5 3 Pen-Ar-Créach / Petit Paris Saint Martin Kergoat Kerourien / Keranroux Pilier Rouge Quatre Moulins Quizac / Le Bergot Kerbernier / Lanrédec Kerichen 1 Prat Lédan Lambézellec Le Landais / Quéliverzan indicateurs sociaux -17 PLOUGASTEL-DAOULAS Saint Michel Le Guelmeur Saint Pierre RELECQ-KERHUON Dourjacq -2 3 Kerinou GUILERS Bellevue Tréornou PLOUZANE Saint Marc Siam Ville de Brest GUIPAVAS BOHARS Kerargaouyat/Le Cruguel La cavale blanche -3 GOUESNOU Loscoat / Kervao -5 Kergonan Quartiers dans lesquels les indicateurs sociaux et le chômage sont inférieurs à la moyenne de la ville de Brest L'Arc'hantel / Sainte Anne -11 Rappel : Indicateurs sociaux retenus dans l élaboration des graphiques de situation et d évolution sociale des quartiers. Part de la population sous le seuil de bas revenus dans la population couverte par la C.A.F. Part de la population couverte par les minima sociaux de la C.A.F. dans la population couverte par la C.A.F. Part de la population couverte par le R.M.I. délivré par la C.A.F. dans la population de moins de 60 ans au recensement de 1999 Part des allocataires de la C.A.F. dont les prestations sont supérieures à 75 % des revenus Part des allocataires de la C.A.F. avec enfant vivant sous le seuil de bas revenus dans l ensemble des allocataires avec enfant de la C.A.F. Part des allocataires de la C.A.F. famille monoparentale dans l ensemble des allocataires avec enfant de la C.A.F. Part des ménages sans ressources dans l ensemble des ménages sans ressources locataires de l O.PA.C. Part des demandeurs d emploi de catégorie 1 dans la population active au recensement de la population de Méthode utilisée : Chaque quartier est positionné par rapport à la moyenne brestoise en fonction des écarts à la moyenne constatés en 2002 et entre 1998 et 2002.

16 16 Les indicateurs sociaux en 2002 Par commune dans la C.U.B. Année 2002 BOHARS BREST GOUESNOU GUILERS GUIPAVAS PLOUGAS- TEL- DAOULAS PLOUZANE RELECQ- KERHUON Total CUB Population CAF Population sous le seuil de bas revenus Population couverte par les minima sociaux Population dont les prestations CAF représentent au moins 75% des revenus Population couverte par le RMI Nombre d'allocataires bénéficiaires d'une aide au logement Nombre d'allocataires bénéficiaires de l'als Nombre d'allocataires bénéficiaires de l'apl Nombre d'allocataires bénéficiaires d'une aide au logement dans le parc privé Nombre d'allocataires bénéficiaires d'une aide au logement dans le parc public Nombre d'allocataires famille monoparentale Population couverte par l'api < Nombre de demandeurs d emploi de catégorie 1 au 31/12/ Sources : C.A.F. du Nord Finistère, INSEE, ANPE

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