AGIR DOSSIER DE PRESSE GIL CORRE

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1 AGIR DOSSIER DE PRESSE GIL CORRE

2 SOMMAIRE FONDATION SANOFI ESPOIR : #1 Christopher A.Viehbacher Directeur Général de Sanofi #2 Jean-François Dehecq Président de la Fondation Sanofi Espoir #3 Caty Forget Déléguée Générale de la Fondation Sanofi Espoir #7 My Child Matters : un programme pour améliorer la survie des enfants atteints de cancer dans les pays à revenus limités Cary Adams, Directeur Général de l Union Internationale Contre le Cancer et P r Pierre Bey de l Alliance Mondiale Contre le Cancer #11 Stand up for African Mothers : un programme pour lutter contre la mortalité maternelle en Afrique Muriel Gavila, Déléguée Générale de l AMREF en France MEURA / MEDECINS DU MONDE #15 ENFAMS : favoriser l accès aux soins des enfants et familles sans logement Aline Delettrez, Directrice du Développement des Ressources et de la Communication du Samusocial de Paris GIL CORRE AMREF

3 FONDATION SANOFI ESPOIR : AGIR Favoriser l accès à la santé Nous avons toujours mené des programmes importants d accès aux médicaments. Cependant, Sanofi et la Fondation ont compris depuis longtemps que le véritable défi à relever est l accès à la santé. Nous travaillons avec nos partenaires pour identifier les besoins réels et élaborer des programmes qui ont un impact concret sur la santé de ceux qui en ont le plus besoin. Les vaccins et les médicaments font partie intégrante de notre approche et de nos initiatives, au même titre que les programmes d information, de sensibilisation, de formation et de financement. En tant que partenaire de santé, nous avons l'expertise et les ressources pour faire la différence. Christopher A. Viehbacher Directeur Général de Sanofi #1

4 Les médicaments seuls ne peuvent pas améliorer la santé dans les pays les plus pauvres. La création de la Fondation Sanofi Espoir traduit un engagement de long terme pour améliorer l accès des populations les plus pauvres aux soins de santé. Depuis des décennies, les sociétés constituant le groupe Sanofi ont toujours mené des actions humanitaires qui se traduisaient par des soutiens financiers, par la fourniture gratuite ou à très bas prix de médicaments et de vaccins pour les communautés les plus pauvres, ou par des dons d urgence aux victimes de catastrophes. Avec la Fondation, nous avons souhaité renforcer cet engagement avec des partenariats de long terme autour de trois grands domaines d actions prioritaires : la lutte contre les cancers de l enfant dans les pays en développement, la mortalité maternelle et néonatale, et l accès aux soins des personnes en grande précarité. Nous espérons ainsi favoriser l accès aux soins des plus démunis et contribuer au développement des pays dans lesquels nous agissons. Jean-François Dehecq Président de la Fondation Sanofi Espoir #2

5 Caty Forget Déléguée Générale de la Fondation Sanofi Espoir Quels principes guident l action de la Fondation au quotidien? Nous nous engageons sur des enjeux qui nous paraissent insuffisamment pris en compte et pour lesquels nous pouvons apporter de réels bénéfices sur la durée, notamment pour lutter contre la mortalité maternelle et infantile et améliorer l accès à la santé des plus vulnérables. Ces engagements font partie des Objectifs du Millénaire pour le Développement de l ONU. Ils donnent un cadre d action pour une dynamique collective publique-privée, que nous cherchons à impulser avec nos partenaires. Nous sommes dans une démarche de construction avec nos 43 partenaires principaux pour accompagner les pays et les régions dans la mise en place de programmes d amélioration de l accès aux soins. Près de 60 programmes sont actuellement en cours. Quelles sont les modalités de l action sur le terrain? Nos actions s inscrivent dans une logique pluriannuelle, avec des ONG, des communautés, des professionnels et des autorités de santé, dans la démarche la plus participative possible. Un programme est un succès quand il a démontré de réels bénéfices pour améliorer l accès à la santé des plus démunis, qu il a permis de renforcer tous les niveaux de la filière de soins et, à plus long terme, qu il a permis d influencer les politiques de santé. Comment mesurer l efficacité d un programme? Cette question se pose dès le départ. Nous l inscrivons au cœur du pilotage des programmes quand nous définissons avec nos partenaires les objectifs du projet, les activités à mettre en place pour les atteindre et les indicateurs de santé, sociaux ou économiques, qui mesureront les bénéfices pour les populations, pour les acteurs de soins et dans les politiques de santé. Ces indicateurs sont aussi indispensables pour décider d une stratégie de sortie afin que l action soit la plus pérenne possible. Les évaluations sont systématiquement demandées quand un partenaire public comme l Agence Française de Développement ou l Union Européenne est partie prenante du projet. Nous suivons les critères d impacts pour chacun des programmes de la Fondation. #3

6 Concrètement, quels sont vos résultats aujourd hui? My Child Matters, notre programme de lutte contre les cancers de l enfant dans les pays à revenus limités, a permis de faire progresser le taux de survie à 2 ans de 16% à 68%, pour les leucémies, au Philippine Children s Medical Center et d arriver à une prise en charge par l Etat des traitements pour les plus démunis. Depuis 2010, au travers de nos 7 programmes en cours en Afrique pour lutter contre la mortalité maternelle et infantile, c est déjà sages-femmes, infirmières et médecins qui ont été formés, sachant qu une sage-femme formée, c est en moyenne 500 mamans prises en charge par an. C est ce soutien à la formation des sages-femmes que nous allons intensifier dans les années à venir. De même, pour le troisième axe de la Fondation, l accès aux soins des plus démunis, nous nous intéressons à la fois aux systèmes innovants de couverture santé dans les pays en développement et aux parcours d accès à la santé en France, en soutenant par exemple une enquête sans précédent consacrée aux trajectoires des familles sans domicile. ELISABETH RULL / MEDECINS DU MONDE ASHIC FOUNDATION #4 AMREF

7 La Fondation en chiffres (2012) Créée en Dotée d un budget de 33,7 millions d euros sur 5 ans. Programmes d appui aux politiques de santé pour accompagner le développement 60 programmes à fin 2012 dont 20 pour lutter contre les cancers de l enfant en Asie, Afrique et Amérique Latine, 11 pour lutter contre la mortalité maternelle et infantile et 7 pour renforcer les structures et systèmes d accès aux soins des plus défavorisés. 43 partenaires principaux, dont des unités d oncologie pédiatrique dans les pays du Sud, des organisations internationales comme l Union Internationale Contre le Cancer (UICC), l UNICEF, des organisations et ONG comme AMREF, Care, Croix Rouge française, Médecins du Monde, Samusocial 40 pays bénéficiaires. Urgences humanitaires 8 pays (Haïti, Syrie et pays de la région du Sahel : Tchad, Niger, Mali, Cameroun, Sénégal et Burkina Faso). Dons de médicaments et de vaccins boîtes de médicaments doses de vaccins. Pour un équivalent de 12 millions d'euros. 2,2 millions de personnes bénéficiaires dans 31 pays. #5

8 Le conseil d administration La Fondation Sanofi Espoir s appuie sur un conseil d administration présidé par Jean-François Dehecq, Président d Honneur de Sanofi, et composé de 15 membres. Il se réunit au moins 2 fois par an, définit les grandes orientations, valide les projets stratégiques au-delà de euros par an et veille à la bonne gestion de la Fondation. Le collège du fondateur et de ses représentants Serge Weinberg, Président du Conseil d Administration de Sanofi Christopher A. Viehbacher, Directeur Général de Sanofi Jérôme Contamine, Vice-Président Exécutif, Directeur Financier Hanspeter Spek, Président, Opérations Globales Gilles Lhernould, Senior Vice-Président, Responsabilité Sociale de l Entreprise Laure Thibaud, Senior Vice-Présidente, Communication Robert Sebbag, Vice-Président, Accès au Médicament Caty Forget, Déléguée Générale de la Fondation Sanofi Espoir Le collège des représentants du personnel Françoise Pierre, Chargée de mission, Direction Prospective & Initiatives Stratégiques Secrétaire du Comité d Entreprise Européen Cristina Moscardi, Directrice Responsabilité Sociale de l Entreprise, zone Amérique latine Le collège des personnalités qualifiées externes Jean-François Dehecq, Président de la Fondation Alice Dautry, Directrice Générale de l Institut Pasteur Jean-Michel Severino, Inspecteur Général des Finances, Membre de l Académie des Technologies, Président du Partenariat Français pour l Eau (PEE) Safiatou Thiam, Médecin de Santé publique, Ancienne Ministre de la Santé du Sénégal Juan Antonio de Castro de Arespacochaga, Professeur et Directeur du Groupe de Politiques de Développement (GPD) de l Université Complutense de Madrid (Espagne) #6

9 DES PARTENARIATS Trois axes prioritaires La lutte contre les cancers de l enfant La lutte contre la mortalité maternelle et infantile L accès aux soins des plus défavorisés My Child Matters Un programme pour améliorer la survie des enfants atteints de cancer dans les pays à revenus limités 30% 1 de survie à 5 ans en moyenne dans les pays à bas revenus, 80% 1 dans les pays développés : terrible constat pour les cancers de l enfant, à l origine du programme My Child Matters. Plus de enfants sont diagnostiqués avec un cancer chaque année et au moins meurent de la maladie. «Il y a plusieurs raisons à cela : le cancer n est pas reconnu ; il est diagnostiqué trop tard ; les infrastructures pour le traitement sont absentes ; et les traitements quand ils sont initiés sont rapidement abandonnés, précise Cary Adams, Directeur Général de l Union Internationale Contre le Cancer (UICC). Un partenariat public / privé emblématique Le programme My Child Matters, conçu par l équipe de la Fondation et déployé avec l Union Internationale Contre le Cancer (UICC) associe soutien financier, appui d experts internationaux et mise en réseau pour améliorer tous les aspects de la chaîne de santé : information et sensibilisation du grand public et des autorités, formation de personnels qualifiés, diagnostic plus précoce, accès aux soins, y compris la lutte contre la douleur et les soins palliatifs encore très peu développés, et soutien psychologique aux enfants, aux familles et à leurs soignants. «My Child Matters représente depuis 2005 l un des partenariats les plus forts et emblématiques pour l UICC. C est un exemple de coopération efficace entre ONG et fondation d entreprise, avec des partenaires très impliqués, un engagement sur la durée, des résultats positifs et un impact durable, souligne Cary Adams. «La Fondation Sanofi Espoir a contribué à hauteur de 5,2 millions d euros depuis l origine, ce qui constitue un effort très significatif dans ce domaine. #7 1 UICC SIOP (February 2013)

10 Après 7 ans d actions : la cause des cancers de l enfant progresse Plus de 40 projets ont été soutenus dans 26 pays. «My Child Matters a eu un impact significatif sur plusieurs points majeurs, résume Cary Adams. «D abord, une conscience bien plus forte du problème des cancers de l enfant dans ces pays et régions, accompagné du développement de capacités locales pour le diagnostic précoce et le traitement. D autre part, une contribution à la réduction du fossé entre les taux de survie des pays développés et des pays à bas revenus. Enfin, la cause des cancers de l enfant a été défendue au plus haut niveau, à l OMS ou à l Assemblée Générale des Nations Unies. Un nouveau plan d actions à 3 ans vient d être décidé autour de trois priorités : l accompagnement renforcé et l évaluation des projets en cours dans 15 pays d Asie, d Afrique et d Amérique latine, l appui aux réseaux inter-régionaux et le déploiement d actions de plaidoyer avec l UICC pour qu un jour, les cancers de l enfant deviennent une priorité de santé publique. L Union Internationale Contre le Cancer (UICC) est une organisation nongouvernementale créée en vue d aider la communauté mondiale de la santé à intensifier sa lutte pour l éradication du cancer. Fondée en 1933 et établie à Genève, l UICC regroupe plus de 770 organisations dans 156 pays, dont les principales associations mondiales de lutte contre le cancer, les ministères de la santé, les instituts de recherche et les groupes de patients. Le partenariat En 2013, 20 projets sont en cours dans 16 pays d Afrique (Burkina Faso, Cameroun, Côte d Ivoire, Mali, Mozambique, Sénégal, Tanzanie), d Asie (Pakistan, Philippines, Thaïlande) et d Amérique Latine (Bolivie, Colombie, Equateur, Honduras, Panama, Paraguay). Bénéficiaires directs : enfants pris en charge et professionnels de santé formés depuis Domaines : registres cancer, information des familles, formation de professionnels de santé, accès aux soins, support psycho-social, soins palliatifs. #8 GIL CORRE GUILLERMO SAMUDIO

11 Focus sur Trois programmes d Asie, d Afrique et d Amérique latine et leurs résultats Aux Philippines Au Sénégal Au Paraguay Depuis 2006, le programme a permis de constituer un réseau de 31 établissements, permettant aux enfants d être pris en charge hors de la capitale, Manille, ce qui est essentiel en raison des caractéristiques du pays, un archipel composé de milliers d îles. De 20 pédiatres oncologueshématologues à l origine, l effectif est désormais de 56 médecins. Les médicaments, provenant d abord de dons, sont aujourd hui mieux pris en charge par le système national d assurance maladie, notamment pour les traitements de la leucémie, cancer le plus répandu chez l enfant. Le programme a permis d inverser les statistiques : 70 % 2 des cancers sont découverts à un stade précoce, contre 30 % 2 avant Le taux d abandon de traitement a été ramené de 80 % à 10 % 2. «Au Philippine Children s Medical Center, devenu centre d excellence et de référence, le taux de survie, à deux ans, est passé, pour les leucémies, de 16 % à 68 % 2. Quand My Child Matters a été lancé en 2006, le programme s est appuyé sur l unité d oncologie pédiatrique (UOP) de Dakar et sur le Groupe franco-africain d oncologie pédiatrique (GFAOP, créé par le P r Jean Lemerle). En six ans, le programme a permis d équiper et de réorganiser l UOP ; d améliorer la rapidité du diagnostic et de commencer à développer une activité d oncologie pédiatrique dans les hôpitaux régionaux, de soutenir les familles en détresse financière et leur permettre la poursuite des soins et de diminuer le nombre de «perdus de vue. Il a également permis de développer un soutien psychologique aux enfants malades, à leur famille et aux personnes impliquées dans la prise en charge, et enfin d organiser une activité de soins palliatifs pour les enfants en échec thérapeutique et en fin de vie. Dans ce pays, 80 % 2 des patients se trouvent en zones rurales. Le projet a permis une décentralisation de la prise en charge des enfants dans quatre cliniques régionales, dont deux ont été habilitées en 2009 et deux en Le département d oncologie pédiatrique de l hôpital d Asuncion est devenu en 2012 le centre de référence pour le pays. Depuis le début du projet, près de chimiothérapies ont pu être administrées, dont 350 dans les cliniques régionales. Le nombre de consultations a atteint le chiffre de , dont 989 dans les cliniques. Le taux d abandon de traitement a baissé de 13 %, avant le projet à 0 % en En 2012, 620 professionnels de santé ont été formés à l oncologie pédiatrique. Le réseau de lutte contre les cancers de l enfant a été déclaré d intérêt public par le Président paraguayen et le budget du centre de référence a sensiblement augmenté. #9 2 Ribeiro RC, Steliarova-Foucher E, Magrath I, et al. Baseline status of paediatric oncology care in ten low-income or mid-income countries receiving My Child Matters support: a descriptive study. Lancet Oncology, 2008, 9: My Child Matters Philippine Report, unpublished data from collated reports of network collaborating hospital, ReNACI database.

12 Focus sur Deux réseaux inter-régionaux, en Afrique Améliorer le diagnostic précoce et la prise en charge du rétinoblastome La Fondation soutient également le programme piloté par le P r Pierre Bey pour l AMCC (Alliance Mondiale Contre le Cancer) sur le rétinoblastome. Ce cancer de la rétine peut toucher un seul ou les deux yeux et conduire à la cécité ou la mort s il n est pas diagnostiqué assez tôt et traité. En cas d ablation de l œil malade, la pose de prothèse sera supervisée par des centres de référence. Si les deux yeux sont atteints, un traitement conservateur pourra être mis en place au moins sur un œil, si la prise en charge est assez précoce. «Ce traitement au laser est plus difficile et l Institut Curie a formé l ophtalmologiste de Bamako grâce à l aide de la Fondation, explique Pierre Bey. Nous allons acheter un laser dès que la situation sera normalisée au Mali et étendre le programme à d autres villes. Le programme cible 250 enfants d Afrique subsaharienne, dont 30 ont déjà été opérés au Mali, alors que nouveaux cas apparaissent chaque année dans toute l Afrique. «Le programme va du diagnostic précoce à la réhabilitation et comporte des actions d information du public, de formation des médecins et paramédicaux, afin de reconnaître très tôt cette maladie qui touche le très jeune enfant, explique le P r Pierre Bey. Il faut ensuite faciliter la prise en charge, sans quoi le diagnostic précoce ne sert à rien. La survie de ces enfants est actuellement de 40 % et le programme vise à doubler ce taux. En termes d infrastructures et de moyens, il est souhaitable de disposer d au moins une unité d oncologie pédiatrique dans la capitale d un pays, et de moyens diagnostics tels que des scanners et des appareils de radiographie. Le second élément capital est «d avoir des gens formés et compétents, souligne Pierre Bey. «Il ne faut pas s arrêter à l aspect matériel, poursuit-il, car il faut avant tout des personnes compétentes dans tous les domaines qui concourent à la cancérologie : un pédiatre formé en oncologie, plusieurs chirurgiens par sous-spécialités, un radiothérapeute, etc. C est une grande différence avec la prise en charge des maladies infectieuses qui réclame un seul type de spécialiste. Ce programme est en place au Mali, il démarre en République Démocratique du Congo et doit s étendre à 4 nouveaux pays d Afrique sub-saharienne. Renforcer la formation des acteurs de santé des pays d Afrique francophone La Fondation Sanofi Espoir apporte son soutien à l Ecole d Oncologie Pédiatrique qui bénéficie déjà à 12 pays membres du réseau du Groupement Franco-Africain d Oncologie Pédiatrique (GFAOP). L objectif de ce programme est de proposer un cursus de formation évolutif, adapté aux besoins des acteurs de la filière de soins en oncologie pédiatrique, qui partagent des problèmes très similaires d un pays à l autre. Si l objectif premier est d avoir des soignants mieux formés pour une meilleure prise en charge des enfants atteints de cancer, l école permettra également de structurer un réseau inter-pays et, si le cursus est reconnu comme formation diplômante, de participer à l évolution professionnelle de ces acteurs de santé. #10

13 Stand up for African Mothers Un programme pour lutter contre la mortalité maternelle en Afrique Dans le monde, 1 femme meurt toutes les 2 minutes de complications pendant la grossesse ou l accouchement qui auraient pu être traitées, et 99% 4 de ces décès surviennent dans les pays à faibles revenus. En Afrique subsaharienne, ce sont femmes qui meurent chaque année (soit 56% 4 des décès mondiaux), laissant près d 1 million d orphelins. La majorité des femmes accouchent seules, sans personnels de santé qualifiés, et ce chiffre peut monter jusqu à 92 % 4 au Sud-Soudan. En moyenne, 40 % 4 des femmes africaines ne bénéficient toujours pas de soins pendant la grossesse et l accouchement. A titre de comparaison, les femmes africaines ont 1 chance sur 39 de perdre la vie contre 1 sur pour les femmes des pays à hauts revenus. Le risque est 100 fois plus élevé. Pourtant des premiers progrès ont été accomplis : «La mortalité maternelle a été réduite de 50 % ces dernières années, soit les deux tiers de l Objectif du Millénaire pour le Développement qui est de 75 %, explique Muriel Gavila, Déléguée Générale de l AMREF (Fondation Africaine pour la Médecine et la Recherche) en France. «Pour atteindre les 25 % restants et progresser de façon plus pérenne et plus forte, nous devons passer par la formation des sages-femmes dans les zones rurales, là où vit la majorité de la population. Plus de 80% des décès sont le résultat de complications qui pourraient être prises en charge dans des centres de santé avec un service d urgence et d obstétrique basique. Les femmes particulièrement exposées sont en effet celles issues des communautés pauvres et isolées. Les jeunes femmes et les jeunes filles sont les plus en danger. Dans de nombreuses communautés, les jeunes filles continuent à se marier très jeunes et le planning familial est faible ou inexistant. Les complications les plus graves liées à la grossesse, sont subies par des mères adolescentes. 1 sage-femme formée prend en charge 500 mamans dans l année Le programme Stand Up for African Mothers, soutenu par la Fondation Sanofi Espoir, a justement pour objectif de former sages-femmes africaines dans une quinzaine de pays d ici à 2015, et de sensibiliser le grand public et les gouvernements à cette problématique. Les candidates bénéficient d une formation initiale de 3 à 4 ans, et/ou d une formation continue, pour le personnel de santé implanté en zone rurale qui nécessite une sérieuse remise à niveau. «Nous les remettons à niveau sur les standards qualité de l OMS et de la fédération internationale des sages-femmes et nous utilisons beaucoup l e-learning pour cela, précise Muriel Gavila. Les nouvelles technologies ont permis de former des infirmiers et des sages-femmes en Ouganda, au Kenya et en Tanzanie et vont être utilisées aussi en Afrique francophone. Ces outils contribuent également à motiver les volontaires pour exercer dans des zones rurales isolées, en garantissant un nombre d heures de formation théorique et pratique. #11 4 Trends in Maternal Mortality WHO, UNICEF, UNFPA and the World Bank 2012

14 Le partenariat avec la Fondation Sanofi Espoir a contribué à financer le programme pilote en Ouganda ainsi que toutes les évaluations nécessaires pour débuter la reproduction du programme en Afrique de l Ouest. Former les sages-femmes africaines pour améliorer la santé des femmes et de l ensemble des communautés Alors que les femmes africaines sont pourvoyeuses de vie mais aussi d éducation, d eau, de nourriture et de soins pour les membres malades de leur famille et communauté, leur santé à elle est souvent reléguée à la seconde voire dernière place. Enfin, alors que 80% des actes de santé en Afrique se pratiquent à la maison et au sein des communautés, les femmes tiennent un rôle vital dans tout le système et doivent être les premières partenaires et bénéficiaires des programmes de santé publique et communautaire. Les sages-femmes ont un rôle important aussi dans l éducation des femmes et de la communauté aux droits des femmes dans la santé reproductive et dans les activités de planning familial. «Dans les programmes menés par l AMREF, les messages passent beaucoup mieux là où il y a des agents de santé communautaires, qui sont des bénévoles de la communauté et qui travaillent en binôme avec une sage-femme. Certaines pratiques reculent., résume Muriel Gavila. A l appui de la démarche, des expériences probantes : Ethiopie, Sud Soudan ou Kenya, sont les premiers pays où l AMREF a mis en œuvre des formations de sages-femmes en présentiel ou en e-learning. Ces formations ont rencontré un vif succès et l idée est ici de les mettre à l échelle sur tout le continent africain. Candidater au Prix Nobel de la Paix 2015 au nom des sages-femmes africaines Stand up for African Mothers soutient également la candidature d Esther Madudu, sage-femme africaine formée par l AMREF, au Prix Nobel de la Paix 2015, comme représentante de toutes les sages-femmes africaines dont l engagement est déterminant pour l avenir de l Afrique. L AMREF veut ainsi montrer combien les femmes sont importantes pour la communauté. #12 LES ENFANTS DE L AÏR

15 La Fondation Sanofi Espoir : une expertise reconnue La Fondation Sanofi Espoir a «donné une impulsion très forte à ce programme panafricain en soutenant le programme pilote e-learning en Ouganda ainsi que les études pour sa reproduction en Afrique de l Ouest. C est aussi la Fondation qui a soutenu le lancement de la campagne en Europe, explique Muriel Gavila, «C est pour nous un partenariat essentiel, car la Fondation a une très bonne expertise du sujet et comprend parfaitement les enjeux. «Nous venons de créer une coalition avec quelques agences onusiennes engagées sur le sujet afin d accélérer la dynamique et de l étendre à plus de pays, conclut Muriel Gavila. Il s agit de faire perdurer la dynamique au-delà de 2015 et nous sommes certains que la Fondation Sanofi Espoir aura un rôle important à jouer. 1 ère ONG africaine de santé publique, l AMREF Flying Doctors a été créée en 1957 pour venir en aide aux communautés les plus isolées d Afrique. Depuis 55 ans, l AMREF a développé des programmes axés sur les soins et sur le développement des compétences des professionnels de santé africains. L association mène aujourd hui 150 programmes chaque année dans 30 pays africains, et couvre la santé de 7 millions de personnes. Lancée au cours du Women s Forum 2011, la campagne Stand Up for African Mothers est soutenue par un collectif international de femmes influentes, avec pour marraine Graca Machel Mandela. AMREF #13

16 Mortalité maternelle et infantile d autres programmes soutenus par la Fondation Sanofi Espoir Assurer la promotion du dépistage précoce en Algérie L objectif de ce projet, mené avec Santé Sud, la Fédération Algérienne des Personnes Handicapées, les chefs de services des unités de pédiatrie et de gynécologie-obstétrique et la Direction de la Santé, est de former les professionnels de santé au dépistage des troubles du nouveau-né et de créer un réseau pluridisciplinaire de soins mères-enfants. A terme, ce programme doit permettre de proposer au Ministère de la Santé algérien la création de services pilotes de prise en charge des troubles du nouveau-né, ce qui serait une première en Algérie. Améliorer la santé maternelle et néonatale à Nouakchott, Mauritanie Les partenaires sont Santé Sud, le Centre Hospitalier National, le Centre de Santé de Sebkha et l Association Mauritanienne pour la Santé de la Mère et de l Enfant. En appui de la stratégie nationale de la santé de la reproduction, l objectif principal est de réduire, en 3 ans, la mortalité maternelle de 10% et la mortalité néonatale de 40%. Renforcer les capacités de lutte contre les causes de mortalité maternelle et néonatale au Niger et en République de Guinée Les partenaires et parties prenantes sont : Les Enfants de l Aïr, l Unicef Niger, l ONG Agaji, le District et l Hôpital de Tanout, les ONG Kosimankan, Fassodemin, Chirurgie Solidaire, la Direction Préfectorale de la Santé et l Hôpital de Kankan. Le programme repose sur le maillage des différents acteurs de santé entre eux et la formation de ceux de 1 ère ligne, en particulier les matrones de village et les sagesfemmes. Renforcer les soins obstétricaux et néonataux auprès des populations démunies et enclavées des régions de l Adamaoua et du Nord au Cameroun Un programme développé avec l Unicef pour offrir des soins obstétricaux et néonataux essentiels d urgence (SONEU) afin de réduire la mortalité maternelle et infantile beaucoup trop élevée dans cette région du Nord où le taux de décès des enfants avant 5 ans est 42% plus élevé que dans le reste du pays. Lutter contre la mortalité maternelle au Bénin Ce programme innovant, lancé avec CARE, porte sur 35 villages dans l une des régions les plus pauvres du pays. Il repose sur une forte participation communautaire, l utilisation de la téléphonie mobile notamment pour l éducation préventive et la gestion des urgences obstétricales, ainsi que la mise en place de fonds coopératifs et de mutuelles de santé pour améliorer la couverture et la qualité des soins. #14

17 ENFAMS Favoriser l accès aux soins des enfants et familles sans logement Six fois plus de personnes en famille sans abri depuis 10 ans, soit a minima personnes en Ile-de-France : une situation préoccupante à la fois par l augmentation du nombre de personnes mais aussi par l allongement de la durée de prise en charge des familles sur le dispositif d accueil hôtelier, passée d une moyenne de 12 nuits en 1999 à plusieurs années actuellement. Le Samusocial de Paris prend en charge près de la moitié de ces familles sans domicile et constate aujourd hui que l augmentation des personnes en famille, surtout monoparentales avec à leur tête une femme, a dépassé pour la première fois en 2010 le nombre de personnes isolées. Les familles sont logées dans un dispositif hôtelier saturé. Une précarité à laquelle s ajoute souvent la barrière de la langue et de la culture empêchant les familles de prendre contact avec les acteurs sociaux de terrain qui doivent prendre le relais du Samusocial de Paris. Une situation encore plus dommageable à la santé des enfants, y compris sur le plan psychologique. Première enquête française consacrée aux familles sans domicile Pour aider ces familles, l Observatoire du Samusocial de Paris cherche à les connaître, en réalisant une enquête nommée ENFAMS (ENfants et FAMilles Sans logement personnel). Cette recherche-action (première du genre en France), va permettre de mieux connaître cette population, ses difficultés et ses trajectoires sociales, mais aussi d agir en favorisant la prise en charge médicale, psychologique et sociale de ces familles en mobilisant l ensemble des acteurs associatifs et institutionnels autour de cette problématique. L enquête, réalisée en plus de 10 langues, comprend notamment un volet sanitaire incluant, outre des questions posées aux parents, des mesures anthropométriques, des tests psycho-cognitifs pour les enfants et des prélèvements de sang (par micro piqûre au bout du doigt afin de mesurer les carences en fer et vitamines) et de cheveux (afin de mesurer la teneur en plomb et mercure). Le diagnostic peut conduire à des solutions de prise en charge immédiate au sein d un réseau de partenaires créé au cours de l enquête. La recherche-action ENFAMS va durer jusqu en 2014 et participe à la réalisation des Objectifs du Millénaire pour le Développement qui visent à améliorer l accès à la santé des populations les plus démunies. Le partenariat avec la Fondation Sanofi Espoir couvre les trois niveaux d action du Samusocial de Paris : travailler avec les familles sans domicile, impliquer les professionnels de santé et solliciter les acteurs publics. Il s agit en particulier de lutter contre les «décrochages ou les ruptures dans l action des collectivités publiques. #15

18 Fondation Sanofi Espoir/ Samusocial partenaires depuis 2000 La Fondation Sanofi Espoir est un partenaire historique du Samusocial de Paris. «Sanofi, qui nous accompagne pour la réalisation de cette enquête, est un partenaire de longue date. L entreprise nous a aidés à monter la première Equipe Mobile de Lutte contre la Tuberculose en 2000, souligne Aline Delettrez, Directrice du Développement des Ressources et de la Communication. «Puis, elle nous a accompagnés pendant 10 ans, jusqu à ce que le financement soit pris en charge par l Agence Régionale de Santé. C est merveilleux d avoir des partenaires qui portent un tel projet jusqu à ce qu il s institutionnalise. Le Samusocial de Paris, présidé par Eric Molinié, propose et développe depuis 1993, date de sa création par le Docteur Xavier Emmanuelli, une approche professionnelle pour lutter contre l exclusion. Depuis 2000, Sanofi a également soutenu la Maison des Femmes et l Observatoire, procédé à des dons de médicaments et de vaccins et apporté son appui aux programmes du Samusocial international (Russie, Roumanie, Pérou, Egypte, Burkina Faso) et aux actions de formations et de capitalisation inter-pays pour un budget de 2,5 millions d euros. D autres actions à venir avec le Samusocial Une autre action va porter sur les femmes enceintes au sein de la population sans-abri, en lien avec le réseau Solipam (Solidarité Paris Maman). Là encore, le soutien de la Fondation Sanofi Espoir va permettre de former sages-femmes et travailleurs sociaux qui pourront aller à la rencontre des femmes concernées. Enfin, la Fondation participe à la conférence de consensus du Samusocial de Paris qui réunit l ensemble des acteurs impliqués dans la lutte contre l exclusion. Ces conférences permettent d élaborer des référentiels pour les politiques de lutte contre l exclusion et de prise en charge sanitaire, sociale et psychologique de ces populations. DIDIER PAZERY BENOIT TELLIER #16

19 Accès aux soins des plus défavorisés d autres programmes soutenus par la Fondation Sanofi Espoir Accès aux soins des populations pour passages. Dans ces centres, les vulnérables sur le territoire français. équipes médicales réalisent plus de consultations médicales par an, dont la moitié Un programme déployé avec la environ à Paris. Le partenariat avec la Fondation Croix Rouge Française, partenaire Sanofi Espoir comprend un soutien financier de depuis 2004 près de euros sur trois ans, qui vient Le projet vise à réduire les inégalités de santé renforcer un soutien de plus de 10 ans pour les en facilitant l accès aux soins des personnes et actions de l ONG en France et dans le monde. familles sans ressources sur l ensemble du territoire. La Croix Rouge est présente en France Favoriser la mise en place de à travers 600 établissements et antennes, y mutuelles de santé : des programmes compris dans les DOM-TOM. Personnes et familles sans-abris, migrants, étudiants et développés au Bénin, Mali, Népal travailleurs pauvres, détenus de nombreuses ou encore en Inde pour réduire les catégories de personnes sont exposées à des inégalités dans l accès aux soins risques sanitaires importants. L espérance de En l absence d un système d assurance santé vie des Français les plus pauvres est de 45 ans. accessible à tous, un accident, une maladie Le projet s appuie sur les dix Antennes de grave ou une grossesse avec complications Premier Accueil Social Médicalisé (APASM), peuvent être dramatiques pour une famille gérées par des bénévoles, implantées dans dont les revenus sont souvent issus du secteur des zones de migration ou de forte population informel. Pour rompre le cercle vicieux pauvreté sans domicile. Il s agit d améliorer le dispositif et difficulté d accès à la santé, la Fondation des APASM et d en créer de nouveaux. Sanofi Espoir apporte son appui à plusieurs Le partenariat avec la Fondation Sanofi Espoir programmes innovants au Bénin, au Mali, au inclut un soutien financier de près de Népal ou encore en Inde, associant services de euros sur trois ans. santé et micro-finance et/ou micro-assurance. En Inde, la Fondation soutient, depuis 2007, le Améliorer l accueil, l accès aux soins programme mené avec l ONG Inter Aide et et l orientation des personnes en cinq associations locales pour améliorer l accès à la santé des familles pauvres des situation de grande précarité dans bidonvilles de Pune et de Bombay. L adhésion les centres de quatre métropoles à la mutuelle de santé leur permet une françaises orientation vers des services de santé de Ce programme de Médecins du Monde, vise à qualité, à des coûts abordables, négociés intensifier son action auprès des personnes en avec les structures de soins partenaires. Les grande précarité, notamment les femmes (40 % familles sont remboursées en cas d hospitalisation des personnes accueillies dans les 21 Centres et bénéficient de formations en matière d Accueil, de Soins et d Orientation CASO) et d hygiène et de santé. A fin 2012, plus de les enfants (12 %). Les quatre CASO concernés personnes ont adhéré en payant une accueillent près de personnes par an contribution de 2 /personne/an. #17

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