Les nouvelles théories du commerce international

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1 Les nouvelles théories du commerce international Q U A L I T É D E S F A C T E U R S R Ô L E D E L I N N O V A T I O N V A R I É T É D E S P R O D U I T S L E S N O U V E L L E S T H É O R I E S D U C I

2 Les principaux partenaires de la France en 2013

3 Les principaux partenaires commerciaux du Cameroun en 2010 La Communauté Économique et Monétaire des Etats de l'afrique Centrale (CEMAC) regroupe 6 pays, à savoir le Cameroun, le Congo, le Gabon, la Guinée Équatoriale, la République de Centrafrique et le Tchad.

4 Depuis la 2 nde GM: augmentation des échanges entre pays «similaires». Smith, Ricardo, HOS posent un cadre général au gain à l échange: Spécialisation Paradigme libéral (Main invisible, rendement décroissant, atomicité ) Dotations factorielles

5 L évolution des échanges amène à lever certaines hypothèses des modèles classiques pour mieux les expliquer.

6 Dans un premier temps, remise en cause de l homogénéité du facteur travail. Prolongement des travaux de Leontieff, approche néofactorielle Travail qualifié / non qualifié Corrélation dotation capital / travail qualifié La spécialisation associe alors Capital et travail qualifié contre travail non qualifié. On voit émerger la question du progrès technique et de l innovation (combinaison de travail et capital)

7 L innovation à l origine des échanges Le modèle néo technologique (POSNER 1961) énonce que les échanges existent du fait d écarts de technologie L avance technologique génère un flux d exportation TEMPORAIRE si la demande existe dans les pays étrangers. Délai lié à la demande: elle doit exister sans devenir massive Délai d imitation

8 L innovation à l origine des échanges Krugman synthétise les approches «néo» en schématisant: Le groupe «du sud» en retard technologiquement mais qui bénéficie en permanence de transfert technologique se spécialise dans des technologies datées et du travail peu qualifié Le groupe «du nord» innove en permanence pour maintenir son avance technologique et bénéficier de rentes de monopole. Explication de la destruction d emplois non qualifiés

9 Extrait rapport sénatorial sur la compétitivité de la France (2013) La France est performante en terme de technologie avancée (Aéronautique, pharmacie, chimie, luxe, agroalimentaire) Mais prend du retard sur des technologies plus faibles (plastique, caoutchouc, imprimerie )

10 L innovation à l origine des échanges Or: 61% de l industrie française contre 42% pour l Allemagne concerne des technologies moyennes ou basses Le plan Europe 2020 fixe un cadre: 3% du PIB consacré à la R&D en Actuellement, Allemagne, USA: 2.8% Japon, Suède, Danemark, Finlande: > 3% France: 2.2%

11 L innovation à l origine des échanges Innovations et exportations en France (2008) Ensemble Exportatrices Non exportatrices Ensemble 100,0 % 100,0 % 100,0 % Innovantes 42,2 % 60,4 % 35,5 % Non innovantes 57,8 % 39,6 % 64,5 % Statistiquement, on observe une corrélation entre innovation et exportation Attention: corrélation n est pas causalité

12 Prolongements: Cycle de vie de Vernon et vol d oies sauvages d Akamatsu (Consommation puis biens d équipement)

13 L innovation à l origine des échanges Newly industrialized economies: HK, Singapour, Corée du sud, Taiwan ASEAN-4 : Indonesia, Malaysia, Philippines, and Thailand

14 L innovation à l origine des échanges

15 La taille des pays (des marchés) explique les échanges Pour Linder: le marché domestique représentatif génère un avantage de coût (learning by doing). L échange extérieur prolonge les échanges régionaux Deux pays similaires auront tendance à échanger de la même façon que deux régions entre elles. Cela suppose un cœur de cible large quid des segments non satisfaits?

16 La demande de variété explique les échanges Pour Lassudrie-Duchêne, il existe une demande de variété liée à l hétérogénéité des produits (hypothèse classique remise en cause). L échange vient alors de la recherche de marché élargi par les firmes et de produits différenciés par les consommateurs. Les échanges internationaux permettent de réconcilier volume et différenciation NB: le rôle de la statistique dans le découpage sectoriel

17 Linder et Lassudrie-Duchêne sont à l origine de deux fondements des Nouvelles théories du CI: les rendements croissants et la différenciation des produits.

18 Les nouvelles théories du CI Krugman est le chef de file de ce mouvement qui a formalisé et prolongé des intuitions antérieures. Le premier point prolonge l idée de Linder: il existe des rendements croissants au sein de certaines industries. On observe une économie d échelle lorsque le coût unitaire d un produit diminue du fait d une augmentation de l échelle de production. Externes Internes

19 Economies d échelle externes KEwjHt-LemavIAhVGXhQKHT-EBj8&url=http%3A%2F%2Fwww.dailymotion.com%2Fvideo%2Fxit4zt_virginieguillerm-sur-la-technopole-rennes-atalante_tech&usg=AFQjCNH0r9H Elles sont générées dans un environnement économique par: La concentration de compétences similaires (imitation ou collaboration), L accès à des ressources performantes (RH et capital) Les infrastructures

20 Economies d échelle externes L existence d économies d échelle externes est en soi un facteur de spécialisation et d échange. L avantage comparatif est à la fois cause et conséquence de l échange. La taille du pays est un facteur d avantage comparatif Cet avantage est stable car générateur de barrières à l entrée Cf argument protectionniste des industries naissantes.

21 Exemples des montres

22 CM Suisse Demande Thailande Demande Monde CM Thailande

23 Economies d échelle internes Elles sont générées par les firmes Trois causes principales: Coûts fixes Apprentissages Négociation

24 Economies d échelle internes Prix, coûts Demande mondiale CM Pays B CM pays A Demandes nationales Quantités

25 Economies d échelle internes La tendance qui résulte des EEI est la constitution de monopoles ou oligopoles (selon les tailles des marchés et les fonctions de coûts). Cependant, monopole contestable Il y a gain à l échange (prix < et quantités >) et spécialisation De fait, il y a rationalisation de l offre et disparition des firmes les moins performantes Sauf si l on envisage de se différencier

26 La concurrence monopolistique L hypothèse d homogénéité des produits est remplacée par celle de substituabilité imparfaite des produits. Les firmes sont alors en monopole sur leurs produits mais menacées par des produits substituables. Le nombre de firmes en concurrence élevé a deux effets: La baisse du prix pour une demande donnée L augmentation des coûts moyens Le marché trouve un équilibre.

27 Plus il y a de firmes, plus la concurrence contribue à faire baisser le prix (PP) Plus le coût moyen monte (CC) Equilibre: CC = PP

28 L ouverture amène une augmentation de la taille des marchés modifiant l équilibre

29 L ouverture des échanges provoque les effets suivants: Plus de variété Baisse des coûts donc des prix Rationalisation des productions On explique ainsi l apparition des échanges intrabranches.

30 Illustration chiffrée: Nation avant ouverture Etranger avant ouverture Marchés intégrés Ventes totales de voitures Nombre de firmes Ventes par firme Coût moyen Prix de vente

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