Prof. N. Midoun Enseignement post-gradué d Epidémiologie - Oran le 11 Mars 2014

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Prof. N. Midoun Enseignement post-gradué d Epidémiologie - Oran le 11 Mars 2014"

Transcription

1 Prof. N. Midoun Enseignement post-gradué d Epidémiologie - Oran le 11 Mars 2014

2 Prof. N. Midoun Enseignement post-gradué Faculté de Médecine d Oran, Mars 2014

3 Prof. N. Midoun Enseignement post-gradué Faculté de Médecine d Oran, Mars 2014

4 COMPARAISON DES MÉTHODES ACTUARIELLE ET DE KAPLAN-MEIER Méthode Actuarielle Dans les études de type populationnel, la méthode actuarielle est souvent préférée à la méthode de KM, même si les estimations de S(t) produites par ces deux méthodes sont semblables. Méthode actuarielle utilise des données groupées, alors que laméthodedekm nes appuiesuraucunregroupementde données. Puisque les données issues d études de type populationnel sont souvent groupées, le calcul de la survie observée repose généralement sur la méthode actuarielle. Prof. N. Midoun Enseignement post-gradué Faculté de Médecine d Oran, Mars 2014

5 . COMPARAISON DES MÉTHODES ACTUARIELLE ET DE KAPLAN-MEIER Méthode de Kaplan-Meïer Taux de survie sont estimés par un calcul de probabilités conditionnelles. Le temps est découpé en intervalles inégaux débutant à l instant d un décès et s arrêtant juste avant le décès suivant. Pour chaque intervalle la probabilité de survie conditionnelle est égale à la probabilité de survivre jusqu à la fin de l intervalle sachant qu on était vivant au début. Estiméecommelerapportdunombredesujetsvivantsàlafin de l intervalle(nbre de sujets à risque au début de l intervalle le nombre de décès dans l intervalle)/nbre de sujets exposés au risque au début de l intervalle. Prof. N. Midoun Enseignement post-gradué Faculté de Médecine d Oran, Mars 2014

6

7 Termes D é f i n i t i o n s Date de Point C est la date à laquelle on décide d analyser les résultats Date d origine C est le point de départ à partir duquel le sujet est observé : - Date de diagnostic, date de début du traitement, la date de randomisation. La date de départ doit être la même pour tous les sujets, mais la date varie d un sujet à un autre. Date des dernières nouvelles État aux dernières nouvelles) C est la date à laquelle on a eu pour la dernière fois des nouvelles du sujet : - Date du décès ou date de survenue de l évènement étudié (guérison ou rechute, 1 ère apparition d un évènement indésirable). - Date de la dernière consultation, si le sujet n a pas présenté d évènement étudié (décès, guérison) ou si le sujet est perdu de vue. Le sujet décédé/vivant, rechute O/N Recul C est le délai écoulé entre la date d origine et la date de point. Temps de participation Temps écoulé entre la date d origine est : - La survenue de l évènement - La date des dernières nouvelles si le sujet et perdu de vue - La date de point si le sujet est présent pendant toute la durée de l observation sans que l événement se soit produit pendant cette période ; dans le cas, les données sont dites censurées à droite.

8

9

10

11 Prof. N. Midoun Enseignement post-gradué Faculté de Médecine d Oran, Mars 2014

12 Prof. N. Midoun Enseignement post-gradué Faculté de Médecine d Oran, Mars 2014

13 Prof. N. Midoun Enseignement post-gradué Faculté de Médecine d Oran, Mars 2014

14 Prof. N. Midoun Enseignement post-gradué Faculté de Médecine d Oran, Mars 2014

15 Prof. N. Midoun Enseignement post-gradué Faculté de Médecine d Oran, Mars 2014

16 Prof. N. Midoun Enseignement post-gradué Faculté de Médecine d Oran, Mars 2014

17 Prof. N. Midoun Enseignement post-gradué Faculté de Médecine d Oran, Mars 2014

18 Prof. N. Midoun Enseignement post-gradué Faculté de Médecine d Oran, Mars 2014

19 Prof. N. Midoun Enseignement post-gradué Faculté de Médecine d Oran, Mars 2014

20 Prof. N. Midoun Enseignement post-gradué Faculté de Médecine d Oran, Mars 2014

21 Prof. N. Midoun Enseignement post-gradué Faculté de Médecine d Oran, Mars 2014

22 Prof. N. Midoun Enseignement post-gradué Faculté de Médecine d Oran, Mars 2014

23

24

25 Prof. N. Midoun Enseignement post-gradué Faculté de Médecine d Oran, Mars 2014

26 Prof. N. Midoun Enseignement post-gradué Faculté de Médecine d Oran, Mars 2014

27

28 Prof. N. Midoun Enseignement post-gradué Faculté de Médecine d Oran, Mars 2014

29

30

31

32 Prof. N. Midoun Enseignement post-gradué Faculté de Médecine d Oran, Mars 2014

33 Prof. N. Midoun Enseignement post-gradué Faculté de Médecine d Oran, Mars 2014

34

35

36 Prof. N. Midoun Enseignement post-gradué Faculté de Médecine d Oran, Mars 2014

37 Prof. N. Midoun Enseignement post-gradué Faculté de Médecine d Oran, Mars 2014

38 Prof. N. Midoun Enseignement post-gradué Faculté de Médecine d Oran, Mars 2014

39

40

41

42 Prof. N. Midoun Enseignement post-gradué Faculté de Médecine d Oran, Mars 2014

43

44

45

46 Prof. N. Midoun Enseignement post-gradué Faculté de Médecine d Oran, Mars 2014

47 Prof. N. Midoun Enseignement post-gradué Faculté de Médecine d Oran, Mars 2014

48

49

50

51

52

53

54

55

56 Prof. N. Midoun Enseignement post-gradué Faculté de Médecine d Oran, Mars 2014

57

58

59 Prof. N. Midoun Enseignement post-gradué Faculté de Médecine d Oran, Mars 2014

60

61

62

63

64

65

66

67

FORD C-MAX + FORD GRAND C-MAX CMAX_Main_Cover_2013_V3.indd 1-3 22/08/2012 15:12

FORD C-MAX + FORD GRAND C-MAX CMAX_Main_Cover_2013_V3.indd 1-3 22/08/2012 15:12 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 12,999,976 km 9,136,765 km 1,276,765 km 499,892 km 245,066 km 112,907 km 36,765 km 24,159 km 7899 km 2408 km 76 km 12 14 16 1 12 7 3 1 6 2 5 4 3 11 9 10 8 18 20 21 22 23 24 26 28 30

Plus en détail

MODELES DE DUREE DE VIE

MODELES DE DUREE DE VIE MODELES DE DUREE DE VIE Cours 1 : Introduction I- Contexte et définitions II- Les données III- Caractéristiques d intérêt IV- Evènements non renouvelables/renouvelables (unique/répété) I- Contexte et définitions

Plus en détail

La survie nette actuelle à long terme Qualités de sept méthodes d estimation

La survie nette actuelle à long terme Qualités de sept méthodes d estimation La survie nette actuelle à long terme Qualités de sept méthodes d estimation PAR Alireza MOGHADDAM TUTEUR : Guy HÉDELIN Laboratoire d Épidémiologie et de Santé publique, EA 80 Faculté de Médecine de Strasbourg

Plus en détail

Peut-on réduire l incidence de la gastroentérite et ses conséquences dans les écoles primaires à l aide de solution hydro-alcoolique?

Peut-on réduire l incidence de la gastroentérite et ses conséquences dans les écoles primaires à l aide de solution hydro-alcoolique? Peut-on réduire l incidence de la gastroentérite et ses conséquences dans les écoles primaires à l aide de solution hydro-alcoolique? Service des Maladies Infectieuses; CHR Orléans Unité Inserm U-707,

Plus en détail

certificat médical accident du travail maladie professionnelle notice d utilisation destinée au praticien

certificat médical accident du travail maladie professionnelle notice d utilisation destinée au praticien cerfa n 50513#01 cerfa accident du travail notice d utilisation destinée au praticien Ce doit être utilisé pour les salariés victimes d accidents du travail, de trajet, de maladies professionnelles (dans

Plus en détail

Chapitre 3 : Principe des tests statistiques d hypothèse. José LABARERE

Chapitre 3 : Principe des tests statistiques d hypothèse. José LABARERE UE4 : Biostatistiques Chapitre 3 : Principe des tests statistiques d hypothèse José LABARERE Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés. Plan I. Introduction

Plus en détail

Lecture critique d article. Bio statistiques. Dr MARC CUGGIA MCU-PH Laboratoire d informatique médicale EA-3888

Lecture critique d article. Bio statistiques. Dr MARC CUGGIA MCU-PH Laboratoire d informatique médicale EA-3888 Lecture critique d article Rappels Bio statistiques Dr MARC CUGGIA MCU-PH Laboratoire d informatique médicale EA-3888 Plan du cours Rappels fondamentaux Statistiques descriptives Notions de tests statistiques

Plus en détail

Application des courbes ROC à l analyse des facteurs pronostiques binaires

Application des courbes ROC à l analyse des facteurs pronostiques binaires Application des courbes ROC à l analyse des facteurs pronostiques binaires Combescure C (1), Perneger TV (1), Weber DC (2), Daurès J P (3), Foucher Y (4) (1) Service d épidémiologie clinique et Centre

Plus en détail

Résultats techniques de la mortalité au Canada

Résultats techniques de la mortalité au Canada Résultats techniques de la mortalité au Canada Présentation à l assemblée annuelle de l ICA à Vancouver 29 juin 2010 1 Présentation Espérance de vie Amélioration de la longévité Comparaisons internationales

Plus en détail

Assurances selon la LAMal

Assurances selon la LAMal Assurances selon la LAMal Règlement Edition 01. 2015 Table des matières I Dispositions communes 1 Validité 2 Affiliation / admission 3 Suspension de la couverture-accidents 4 Effets juridiques de la signature

Plus en détail

LYCEE LOUIS de CORMONTAIGNE

LYCEE LOUIS de CORMONTAIGNE LYCEE LOUIS de CORMONTAIGNE 12, place Cormontaigne BP 70 624 57010 METZ cedex 1 Téléphone:03 87 31 85 31 Télécopie: 03 87 31 85 30 Proviseur : dominique.parisot@ac-nancy-metz.fr Chef de Travaux: alain.crave@ac-nancy-metz.fr

Plus en détail

FORD FOCUS 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 12,999,976 km 9,136,765 km 1,276,765 km 499,892 km 245,066 km 112,907 km 36,765 km 24,159 km 7899 km 2408 km 76 km 17 19 20 21 9 3 1 1 6 4 2 5 7 8 10 23 25

Plus en détail

Module 1. Formation à la structure Mutuelle et aux outils d'accès aux soins de santé

Module 1. Formation à la structure Mutuelle et aux outils d'accès aux soins de santé Module 1 Formation à la structure Mutuelle et aux outils d'accès aux soins de santé Partie 3 - Assurance Maladie Invalidité les indemnités. Plan A- INCAPACITÉ PRIMAIRE(1)(2) B- INVALIDITÉ (1)(2) (3)Principes

Plus en détail

Taux d intérêts simples

Taux d intérêts simples Taux d intérêts simples Les caractéristiques : - < à 1 ans - Rémunération calculée uniquement sur investissement initial. Période de préférence = période sur laquelle on définit le taux de l opération

Plus en détail

La comptabilité de gestion : Fiche pourquoi?

La comptabilité de gestion : Fiche pourquoi? La comptabilité de gestion : Fiche pourquoi? 1 Définition Selon le plan comptable général, la comptabilité de gestion fait apparaître deux aspects : Connaître les coûts et les résultats par produit. Agir

Plus en détail

Associations Dossiers pratiques

Associations Dossiers pratiques Associations Dossiers pratiques Le tableau de bord, outil de pilotage de l association (Dossier réalisé par Laurent Simo, In Extenso Rhône-Alpes) Difficile d imaginer la conduite d un bateau sans boussole

Plus en détail

ANNEXES...16 Notation...16 Rente financière certaine...16. Mémo d Actuariat - Sophie Terrier @ 2004 1/16

ANNEXES...16 Notation...16 Rente financière certaine...16. Mémo d Actuariat - Sophie Terrier @ 2004 1/16 ÉO TUIT FOULS TUILLS SU TT Probbé ouo 3 dfféré4 ee gère be à ere échu 5 ee gère be à ere échu ueur fo d ée 6 ee gère à ere be d ce7 ee gère à ere be d ce ueur fo d ée8 urce décè 9 urce décè à c rbe cro

Plus en détail

L investissement Immobilier en nue-propriété

L investissement Immobilier en nue-propriété L investissement Immobilier en nue-propriété L investissement Immobilier en nue-propriété L acquisition d un bien immobilier comporte de nombreux risques pour un investisseur (vacance locative, loyers

Plus en détail

Un défibrillateur à la CAD offert par GrDF POINT PRESSE Hôtel communautaire Lundi 30 septembre 11h30

Un défibrillateur à la CAD offert par GrDF POINT PRESSE Hôtel communautaire Lundi 30 septembre 11h30 Un défibrillateur à la CAD offert par GrDF POINT PRESSE Hôtel communautaire Lundi 30 septembre 11h30 Jean-François RUIZ Responsable de la Communication - Direction Territoriale PACA Est T. 04 94 30 45

Plus en détail

Fiche d animation n 1 : Pêle-mêle

Fiche d animation n 1 : Pêle-mêle Fiche d animation n 1 : Pêle-mêle Cette animation permet au participants de découvrir les différents pièges du crédit à la consommation et plus particulièrement des ouvertures de crédit. Elle suscite également

Plus en détail

Désormais la clé, c est vous. ASSA ABLOY, the global leader in door opening solutions*

Désormais la clé, c est vous. ASSA ABLOY, the global leader in door opening solutions* Désormais la clé, c est vous. ASSA ABLOY, the global leader in door opening solutions* *ASSA ABLOY, le leader mondial des solutions de sécurisation des accès Nouvelle gamme Entrez dans l ère du digital

Plus en détail

DÉRIVÉES. I Nombre dérivé - Tangente. Exercice 01 (voir réponses et correction) ( voir animation )

DÉRIVÉES. I Nombre dérivé - Tangente. Exercice 01 (voir réponses et correction) ( voir animation ) DÉRIVÉES I Nombre dérivé - Tangente Eercice 0 ( voir animation ) On considère la fonction f définie par f() = - 2 + 6 pour [-4 ; 4]. ) Tracer la représentation graphique (C) de f dans un repère d'unité

Plus en détail

LES COLLISIONS FRONTALES ENTRE VÉHICULES

LES COLLISIONS FRONTALES ENTRE VÉHICULES LES COLLISIONS FRONTALES ENTRE VÉHICULES Quel est le rôle de la masse dans un choc frontal entre deux véhicules? Quel est le rôle de la vitesse? Quelle est la force délivrée par chacun des deux véhicules?

Plus en détail

LISTE D EXERCICES 2 (à la maison)

LISTE D EXERCICES 2 (à la maison) Université de Lorraine Faculté des Sciences et Technologies MASTER 2 IMOI, parcours AD et MF Année 2013/2014 Ecole des Mines de Nancy LISTE D EXERCICES 2 (à la maison) 2.1 Un particulier place 500 euros

Plus en détail

Fiche mathématiques financières

Fiche mathématiques financières Fiche mathématiques financières Thème 1 : Les taux d'intérêts simples et composés Taux d'intérêts simples : Les taux d'intérêts simples sont appliqués dans le cas d'emprunts dont la durée est inférieure

Plus en détail

Conseil d administration. Du 1 Avril 2011

Conseil d administration. Du 1 Avril 2011 Conseil d administration Du 1 Avril 2011 Vérification du quorum Nombre de membres : 24 Nombre de présents : 13 Quorum atteint au 13 ème membre présent Quorum atteint : Oui Début du conseil d administration

Plus en détail

La médiatrice d un segment

La médiatrice d un segment EXTRT DE CURS DE THS DE 4E 1 La médiatrice d un segment, la bissectrice d un angle La médiatrice d un segment Définition : La médiatrice d un segment est l ae de smétrie de ce segment ; c'est-à-dire que

Plus en détail

Principe d un test statistique

Principe d un test statistique Biostatistiques Principe d un test statistique Professeur Jean-Luc BOSSON PCEM2 - Année universitaire 2012/2013 Faculté de Médecine de Grenoble (UJF) - Tous droits réservés. Objectifs pédagogiques Comprendre

Plus en détail

LE PROJOPHONE de Fresnel

LE PROJOPHONE de Fresnel LE PROJOPHONE de Fresnel Le principe général est assez simple : l'image de l écran est agrandie et projetée à l'aide de la lentille optique. Nous allons commencer par créer un élément dans lequel le téléphone

Plus en détail

Evolution de la fréquence des sinistres 2003-2012 en assurance RC automobile

Evolution de la fréquence des sinistres 2003-2012 en assurance RC automobile Evolution de la fréquence des sinistres 2003-2012 en assurance RC automobile Contenu 1. Nombre de sinistres en RC tourisme et affaires... 2 Fréquence des sinistres en RC tourisme et affaires... 2 Fréquence

Plus en détail

Règlement de Jeu BAC 2015

Règlement de Jeu BAC 2015 Règlement de Jeu BAC 2015 DEFINITION : Délais Impartis : Période durant laquelle la participation au Jeu est ouverte. Gagnant : Participant victorieux qui a été tiré au sort Participant : Personne qui

Plus en détail

REGLEMENT. PAPIER : Les inscriptions sur papier et tout courrier les concernant sont à adresser à :

REGLEMENT. PAPIER : Les inscriptions sur papier et tout courrier les concernant sont à adresser à : REGLEMENT GENERALITES «La Saintélyon» est une épreuve pédestre organisée par l association le CT Lyon répondant à la réglementation des courses hors stade. LIEU L organisation (accueil, arrivées, vestiaires,

Plus en détail

Règlement de Jeu RUGBY 2015

Règlement de Jeu RUGBY 2015 Règlement de Jeu RUGBY 2015 DEFINITION : Délais Impartis : Période durant laquelle la participation au Jeu est ouverte. Gagnant : Participant victorieux qui a été tiré au sort Participant : Personne qui

Plus en détail

Régimes complémentaires de retraite et prévoyance

Régimes complémentaires de retraite et prévoyance Régimes complémentaires de retraite et prévoyance Textes de référence : Article L242-1 et L 871-1 du code de la Sécurité sociale. Article D242-1, R 871-1 et R 871-2 du code de la Sécurité sociale. Loi

Plus en détail

Les débats sur l évolution des

Les débats sur l évolution des D o c u m e n t d e t r a v a i l d e l a B r a n c h e R e t r a i t e s d e l a C a i s s e d e s d é p ô t s e t c o n s i g n a t i o n s n 9 8-0 7 C o n t a c t : La u re nt V e r n i è r e 0 1 4

Plus en détail

Fiche d information relative au fonctionnement des garanties «responsabilité civile» dans le temps

Fiche d information relative au fonctionnement des garanties «responsabilité civile» dans le temps GENERALI assurances Société Anonyme d Assurances Au capital de 53 193 775 EUR Entièrement versé. Entreprise régie par le code des Assurances Siège social : 7, boulevard Haussmann 75456 Paris Cedex 09 552

Plus en détail

OSGOODE HALL LAW SCHOOL Université York MÉMOIRE PRIVILÉGIÉ ET CONFIDENTIEL

OSGOODE HALL LAW SCHOOL Université York MÉMOIRE PRIVILÉGIÉ ET CONFIDENTIEL OSGOODE HALL LAW SCHOOL Université York MÉMOIRE PRIVILÉGIÉ ET CONFIDENTIEL À : &' 1$,'6 M. Richard Drouin, O.C., c.r. Président, Commission d examen sur la rémunération des juges 2CVTKEM,/QPCJCP DATE :

Plus en détail

c est tout de suite plus castoche!

c est tout de suite plus castoche! Vous voulez :. Tout savoir sur votre magasin, un conseil avant de passer commande ou suite à un achat 0 810 104 104 (du lundi au vendredi de 8 h à 20 h - coût variable selon opérateur) ou sur www.castorama.fr

Plus en détail

Si vous tombez malade peu après une autre période de maladie, s il s agit d une rechute ou d une nouvelle maladie.

Si vous tombez malade peu après une autre période de maladie, s il s agit d une rechute ou d une nouvelle maladie. FICHE INFO Attention. Suite aux décisions prises récemment dans le cadre du statut commun du travailleur, certaines dispositions seront modifiées à partir du 1 er janvier 2014. Elles portent essentiellement

Plus en détail

PROBABILITES ET STATISTIQUE I&II

PROBABILITES ET STATISTIQUE I&II PROBABILITES ET STATISTIQUE I&II TABLE DES MATIERES CHAPITRE I - COMBINATOIRE ELEMENTAIRE I.1. Rappel des notations de la théorie des ensemble I.1.a. Ensembles et sous-ensembles I.1.b. Diagrammes (dits

Plus en détail

Les paradoxes des marchés de bureaux et du logement Les prévisions IEIF 2013. 2013 : l année dangereuse Entre rechute et guérison?

Les paradoxes des marchés de bureaux et du logement Les prévisions IEIF 2013. 2013 : l année dangereuse Entre rechute et guérison? Les paradoxes des marchés de bureaux et du logement Les prévisions IEIF 2013 2013 : l année dangereuse Entre rechute et guérison? 2013 : scénarios pour l économie française Scénario central 80% de probabilité

Plus en détail

TMS Enterprise Description des rapports

TMS Enterprise Description des rapports TMS Enterprise Description des rapports Dernière modification: 22/08/2011 Version 1.2 St. Michael Strategies #201 701 Salaberry Chambly Québec Canada J3L 1R2 (450) 658-5148 www.storetraffic.com Contents

Plus en détail

Management Chapitre 4 La Stratégie I) La notion de stratégie A) Caractéristiques

Management Chapitre 4 La Stratégie I) La notion de stratégie A) Caractéristiques L Management Chapitre 4 La I) La notion de stratégie A) Caractéristiques 1) Définition a stratégie : consiste pour une entreprise, à se fixer des objectifs à long terme et à se donner les moyens de les

Plus en détail

Numéro de dossier : 001. Caisse d Epargne Côte d Azur

Numéro de dossier : 001. Caisse d Epargne Côte d Azur Numéro de dossier : 001 Caisse d Epargne Côte d Azur SOMMAIRE Introduction Analyse de la situation Plan d action Réalisation du dossier de recommandations dans le but de devenir la banque référence pour

Plus en détail

I. S. F. ET DELOCALISATIONS FISCALES UN IMPACT DIFFICILE A MESURER FAUTE D UN TABLEAU DE BORD SATISFAISANT

I. S. F. ET DELOCALISATIONS FISCALES UN IMPACT DIFFICILE A MESURER FAUTE D UN TABLEAU DE BORD SATISFAISANT I. S. F. ET DELOCALISATIONS FISCALES UN IMPACT DIFFICILE A MESURER FAUTE D UN TABLEAU DE BORD SATISFAISANT Communication de M. Philippe Marini Rapporteur général I. LES DERNIERES DONNEES SUR LES DELOCALISATIONS

Plus en détail

«Cours Statistique et logiciel R»

«Cours Statistique et logiciel R» «Cours Statistique et logiciel R» Rémy Drouilhet (1), Adeline Leclercq-Samson (1), Frédérique Letué (1), Laurence Viry (2) (1) Laboratoire Jean Kuntzmann, Dép. Probabilites et Statistique, (2) Laboratoire

Plus en détail

La rémunération de l apprenti :

La rémunération de l apprenti : F I C H E P R A T I Q U E N 2 R E M U N E R A T I O N E T A I D E S L I E E S A U C O N T R A T D A P P R E N T I S S A G E L apprenti est titulaire d un contrat de travail de type particulier : il est

Plus en détail

Par accident, on entend un événement soudain dont la cause ou l une des causes est extérieure

Par accident, on entend un événement soudain dont la cause ou l une des causes est extérieure titre V VIVIUM TRAVEL RELAX préambule Pour autant que le véhicule désigné aux conditions particulières de la présente police auto bénéficie de la garantie Vivium car relax, le preneur d assurance peut

Plus en détail

3.04 Prestations de l AVS Age flexible de la retraite

3.04 Prestations de l AVS Age flexible de la retraite 3.04 Prestations de l AVS Age flexible de la retraite Etat au 1 er janvier 2015 1 En bref Lorsque vous atteignez l âge ordinaire de la retraite, vous avez droit à une rente de vieillesse. Cet âge est fixé

Plus en détail

La méthode de l amortissement direct

La méthode de l amortissement direct Cours 8 (STS, J.-M. Schwab) L amortissement Méthodes et calculs d'amortissements Les biens d une entreprise se déprécient par l usure, par l extinction d un droit (brevet, licence, exclusivité) ou plus

Plus en détail

LE DECRET STATUTAIRE RELATIF AUX ENSEIGNANTS-CHERCHEURS (par le bureau du Collectif pour la Défense de l Université)

LE DECRET STATUTAIRE RELATIF AUX ENSEIGNANTS-CHERCHEURS (par le bureau du Collectif pour la Défense de l Université) LE DECRET STATUTAIRE RELATIF AUX ENSEIGNANTS-CHERCHEURS (par le bureau du Collectif pour la Défense de l Université) Après avoir fait adopter sa loi «Libertés et Responsabilités des Universités» en plein

Plus en détail

REPUBLIQUE TUNISIENNE MINISTERE DE L'ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE * * QUALIFICATION DES CONSULTANTS

REPUBLIQUE TUNISIENNE MINISTERE DE L'ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE * * QUALIFICATION DES CONSULTANTS REPUBLIQUE TUNISIENNE MINISTERE DE L'ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE UNIVERSITE DE TUNIS INSTITUT PREPARATOIRE AUX ETUDES D INGENIEUR DE TUNIS TERMES DE REFERENCES * * QUALIFICATION

Plus en détail

Niveau d assurance de stérilité (NAS) Hôpital Neuchâtelois Sylvie Schneider Novembre 2007

Niveau d assurance de stérilité (NAS) Hôpital Neuchâtelois Sylvie Schneider Novembre 2007 Niveau d assurance de stérilité (NAS) Hôpital Neuchâtelois Sylvie Schneider Novembre 2007 Plan Objectif de la stérilisation Rappel théorique Niveau d Assurance Stérilité Conséquence Destruction des micro-organismes

Plus en détail

Définition. Caractéristiques

Définition. Caractéristiques REPENSER LA PRESENTATION DU BUDGET : UNE NOMENCLATURE STRATEGIQUE Le budget des collectivités de plus de 3 500 habitants peut être présenté par nature et par fonction. La nomenclature fonctionnelle permet

Plus en détail

Baromètre Santé & Société - Europ Assistance / CSA 2013 : 7 ème vague du baromètre. 15 octobre 2013

Baromètre Santé & Société - Europ Assistance / CSA 2013 : 7 ème vague du baromètre. 15 octobre 2013 2013 : 7 ème vague du baromètre 15 octobre 2013 Contexte, objectifs et méthodologie 2 Objectifs de l étude En 2006, le Groupe Europ Assistance et le Cercle Santé Société lançaient, avec l institut CSA,

Plus en détail

La gestion des écoulements dans les Wateringues du Nord - Pas de Calais Incidence prévisible des changements climatiques

La gestion des écoulements dans les Wateringues du Nord - Pas de Calais Incidence prévisible des changements climatiques La gestion des écoulements dans les Wateringues du Nord - Pas de Calais Incidence prévisible des changements climatiques Par Philippe PARENT Institution des Wateringues Par Philippe PARENT Institution

Plus en détail

LIVRET D ÉPARGNE SALARIALE

LIVRET D ÉPARGNE SALARIALE LIVRET D ÉPARGNE SALARIALE Tout ce que vous devez savoir sur les dispositifs d épargne salariale 2 - Tout ce que vous devez savoir sur les dispositifs d épargne salariale Sommaire Les dispositifs de participation

Plus en détail

Jeux mathématiques en maternelle. Activités clés. Jeu des maisons et des jardins (Yvette Denny PEMF)

Jeux mathématiques en maternelle. Activités clés. Jeu des maisons et des jardins (Yvette Denny PEMF) Activités clés NIVEAU : PS/MS Jeu des maisons et des jardins (Yvette Denny PEMF) Compétences Construire les premiers nombres dans leur aspect cardinal Construire des collections équipotentes Situation

Plus en détail

TAUX FIXE, TAUX INDEXE

TAUX FIXE, TAUX INDEXE Catégories d emprunts Mobiliser un emprunt, c est essentiellement choisir un taux, une durée, un profil d amortissement et une périodicité. Nous décrivons ci-dessous les différentes modalités qui s offrent

Plus en détail

6 JANVIER 2015 REUNION D INFORMATION SUR L ORIENTATION EN CLASSE DE PREMIERE

6 JANVIER 2015 REUNION D INFORMATION SUR L ORIENTATION EN CLASSE DE PREMIERE 6 JANVIER 2015 REUNION D INFORMATION SUR L ORIENTATION EN CLASSE DE PREMIERE LES ENJEUX L HEURE DES CHOIX OBJECTIF : REUSSITE Associer les goûts et les aptitudes Le cycle Terminal (1 ère + Ter) Maîtrise

Plus en détail

De la détresse émotionnelle à l actualisation du potentiel des membres de l entourage. La vision familiale. Série 1, numéro 1

De la détresse émotionnelle à l actualisation du potentiel des membres de l entourage. La vision familiale. Série 1, numéro 1 De la détresse émotionnelle à l actualisation du potentiel des membres de l entourage La vision familiale Série 1, numéro 1 En l espace de 25 ans, le profil de la famille québécoise s est transformé de

Plus en détail

La Recherche du Point Optimum de Fonctionnement d un Générateur Photovoltaïque en Utilisant les Réseaux NEURO-FLOUS

La Recherche du Point Optimum de Fonctionnement d un Générateur Photovoltaïque en Utilisant les Réseaux NEURO-FLOUS Rev. Energ. Ren. : Chemss 2000 39-44 La Recherche du Point Optimum de Fonctionnement d un Générateur Photovoltaïque en Utilisant les Réseaux NEURO-FLOUS D.K. Mohamed, A. Midoun et F. Safia Département

Plus en détail

Docteur José LABARERE

Docteur José LABARERE UE7 - Santé Société Humanité Risques sanitaires Chapitre 3 : Epidémiologie étiologique Docteur José LABARERE Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés.

Plus en détail

Aide pour une complémentaire santé et tiers payant social

Aide pour une complémentaire santé et tiers payant social Artisans, commerçants et professionnels libéraux Aide pour une complémentaire santé et tiers payant social Octobre 2014 AIDE POUR UNE COMPLÉMENTAIRE SANTÉ ET TIERS PAYANT SOCIAL Vous ne pouvez pas bénéficier

Plus en détail

CONTRAT EXTENSION DE GARANTIE

CONTRAT EXTENSION DE GARANTIE OUS CONTRAT EXTENSION DE GARANTIE CITROËN VOUS GARANTIT PLUS CONTRATS DE SERVICE CITROËN : LA SÉRÉNITÉ SUR MESURE. CITROËN VOUS GARANTIT PLUS Votre CITROËN a moins de deux ans, avec le Contrat d Extension

Plus en détail

Code du Travail, Art. L6222-23 à L6222-33

Code du Travail, Art. L6222-23 à L6222-33 F I C H E P R A T I Q U E N 2 R E M U N E R A T I O N E T A I D E S L I E E S A U C O N T R A T D A P P R E N T I S S A G E L apprenti est titulaire d un contrat de travail de type particulier : il est

Plus en détail

PROSPECTUS. PROSPECTUS 14 valable à compter du 01.01.2010

PROSPECTUS. PROSPECTUS 14 valable à compter du 01.01.2010 20 PROSPECTUS PROSPECTUS 14 valable à compter du 01.01.2010 Article 47 2 de la loi du 4 août 1992 relative aux Crédits Hypothécaires et l article 4 de l Arrêté royal du 5 février 1993 portant diverses

Plus en détail

Modélisation aléatoire en fiabilité des logiciels

Modélisation aléatoire en fiabilité des logiciels collection Méthodes stochastiques appliquées dirigée par Nikolaos Limnios et Jacques Janssen La sûreté de fonctionnement des systèmes informatiques est aujourd hui un enjeu économique et sociétal majeur.

Plus en détail

Accident de la circulation : l indemnisation des dommages matériels. Centre de documentation et d information de l assurance

Accident de la circulation : l indemnisation des dommages matériels. Centre de documentation et d information de l assurance 3/03/06 17:07 Page 9 DEP 428 FEV. 2006 DEP 428-4 volets Accident de la circulation : l indemnisation des dommages matériels Centre de documentation et d information de l assurance FEV. 26, bd Haussmann

Plus en détail

LES ACCIDENTS DE TRAJET

LES ACCIDENTS DE TRAJET Bien que la Sécurité Sociale assimile l accident de trajet aux accidents du travail en matière d indemnisation, il existe des différences. C est pourquoi il convient de déterminer le régime des accidents

Plus en détail

LA SOUFFRANCE DU MALADE EN FIN DE VIE. LES COMPORTEMENTS FACE A LA PERTE : vécu de la mort

LA SOUFFRANCE DU MALADE EN FIN DE VIE. LES COMPORTEMENTS FACE A LA PERTE : vécu de la mort LA SOUFFRANCE DU MALADE EN FIN DE VIE LES COMPORTEMENTS FACE A LA PERTE : vécu de la mort relation SRLF Paris, 11-12-13 mai C.LE BRIS BENAHIM Psychothérapeute - Formatrice Quimper CHIC Comment le vécu

Plus en détail

DEUXIÈME ÉTUDE D'IMPACT QUANTITATIVE SUR LE RISQUE DE MARCHÉ SOMMAIRE DES RÉSULTATS

DEUXIÈME ÉTUDE D'IMPACT QUANTITATIVE SUR LE RISQUE DE MARCHÉ SOMMAIRE DES RÉSULTATS Deuxième étude d impact quantitative sur le risque de marché Sommaire des résultats Comité mixte BSIF, AMF et Assuris Janvier 2011 DEUXIÈME ÉTUDE D'IMPACT QUANTITATIVE SUR LE RISQUE DE MARCHÉ SOMMAIRE

Plus en détail

BLOOM #1 + #2 CIE MAURO PACCAGNELLA. décembre 2013. DANSE ET INTERPRETATION LISA GUNSTONE et MAURO PACCAGNELLA

BLOOM #1 + #2 CIE MAURO PACCAGNELLA. décembre 2013. DANSE ET INTERPRETATION LISA GUNSTONE et MAURO PACCAGNELLA FICHE TECHNIQUE WOOSHING MACHINE CIE MAURO PACCAGNELLA décembre 2013 BLOOM #1 + #2 DANSE ET INTERPRETATION LISA GUNSTONE et MAURO PACCAGNELLA MISE EN SCENE / CHOREGRAPHIE MAURO PACCAGNELLA REGIE GENERALE

Plus en détail

Consultation du Conseil du patronat du Québec sur le Régime québécois de santé et de sécurité du travail

Consultation du Conseil du patronat du Québec sur le Régime québécois de santé et de sécurité du travail Consultation du Conseil du patronat du Québec sur le Régime québécois de santé et de sécurité du travail Rapport du comité de travail sur la surindemnisation à la CSST Janvier 2008 1010, rue Sherbrooke,

Plus en détail

La pratique des décisions dans les affaires

La pratique des décisions dans les affaires Association Française Edwards Deming Une philosophie de l action pour le XXIème siècle Conférence annuelle, Paris, 8 juin 1999 Jean-Marie Gogue, Président de l AFED La pratique des décisions dans les affaires

Plus en détail

PROJET CREATION D INCUBATEURS SCIENTIFIQUES A L UNIVERSITE L ELEMENTS POUR LA DECISION

PROJET CREATION D INCUBATEURS SCIENTIFIQUES A L UNIVERSITE L ELEMENTS POUR LA DECISION UNIVERSITE D ORAND ORAN-UNIVERSITE EURO-MED TETHYS JOURNEES D ETUDES D VALORISATION, INCUBATEURS & PEPINIERES D ENTREPRISES D ORAN 17-18 18 FEVRIER 2007 PROJET CREATION D INCUBATEURS D SCIENTIFIQUES A

Plus en détail

I. Qu est ce qu un SSIAD?

I. Qu est ce qu un SSIAD? 1 Plan Introduction I. Qu est ce qu un SSIAD? II. L accompagnement du SSIAD III. Présentation du SSIAD de Meyssac et de Beynat IV. Les personnes prises en soin dans le SSIAD V. Présentation d une situation

Plus en détail

LE POINT SUR Les avantages en nature

LE POINT SUR Les avantages en nature LE POINT SUR Les avantages en nature 1 Qu est-ce que l avantage en nature? Que sont les avantages en nature? Lorsque les dirigeants ou les collaborateurs d une entreprise disposent d une «voiture de fonction»

Plus en détail

RECHUTE ET ACCIDENT DE SERVICE

RECHUTE ET ACCIDENT DE SERVICE RECHUTE ET ACCIDENT DE SERVICE 10èmes Journées nationales de médecine agréée 21 Octobre NANTES Docteur Jean-Michel MAUREL, médecin conseil Assurances et services des collectivités locales SOMMAIRE q DEFINITION

Plus en détail

Quelles ressources pour vivre seul, en 2014, dans une commune du Doubs? Essai d évaluation

Quelles ressources pour vivre seul, en 2014, dans une commune du Doubs? Essai d évaluation 1 Septembre 2014 Quelles ressources pour vivre seul, en 2014, dans une commune du Doubs? Essai d évaluation Grand-Charmont est une commune de 5200 habitants qui compte 57 % de logements sociaux. Les revenus

Plus en détail

Renforcement des trois compétences : compréhension orale, expression orale et expression écrite à partir de documents et vidéos.

Renforcement des trois compétences : compréhension orale, expression orale et expression écrite à partir de documents et vidéos. Master Mathématiques et Applications Spécialité : Ingénierie mathématique et modélisation Parcours : Mathématique et Informatique : Statistique, Signal, Santé (MI3S) 2015-2016 RÉSUMÉ DES COURS : (dernière

Plus en détail

Découvrez les Techniques Avancées de l Auto-Hypnose et utilisez pleinement vos Pouvoirs Secrets!

Découvrez les Techniques Avancées de l Auto-Hypnose et utilisez pleinement vos Pouvoirs Secrets! ALPHA INTERNATIONAL B.P 42 ~ 34560 Poussan téléphone/fax : 04-67-78-29-43 e-mail : Assoalpha@aol.com Découvrez les Techniques Avancées de l Auto-Hypnose et utilisez pleinement vos Pouvoirs Secrets! Bonjour,

Plus en détail

Le quizz des stats. Xavier Paoletti. Sce de biostatistiques / Inserm U900 Institut Curie

Le quizz des stats. Xavier Paoletti. Sce de biostatistiques / Inserm U900 Institut Curie Le quizz des stats Xavier Paoletti Sce de biostatistiques / Inserm U900 Institut Curie Qques questions pour entamer les hostilités 1. Description de la population Pourquoi parler d'âge médian et non moyen?

Plus en détail

Travaux pratiques : Les immobilisations et les amortissements de Véronique

Travaux pratiques : Les immobilisations et les amortissements de Véronique Travaux pratiques : Les immobilisations et les amortissements de Véronique Patrice MARIE À travers l histoire de Véronique, nous allons voir comment il convient de gérer un cabinet médical : Le livre des

Plus en détail

THEME 1 : L ORDINATEUR ET SON ENVIRONNEMENT. Objectifs

THEME 1 : L ORDINATEUR ET SON ENVIRONNEMENT. Objectifs Architecture Matérielle des Systèmes Informatiques. S1 BTS Informatique de Gestion 1 ère année THEME 1 : L ORDINATEUR ET SON ENVIRONNEMENT Dossier 1 L environnement informatique. Objectifs Enumérer et

Plus en détail

Développement de systèmes de surveillance en entreprise à l Institut de Veille Sanitaire

Développement de systèmes de surveillance en entreprise à l Institut de Veille Sanitaire Développement de systèmes de surveillance en entreprise à l Institut de Veille Sanitaire JL Marchand E Imbernon M Goldberg (Département Santé Travail) Présentation / rappels Département Santé Travail de

Plus en détail

Lagrange, où λ 1 est pour la contrainte sur µ p ).

Lagrange, où λ 1 est pour la contrainte sur µ p ). Chapitre 1 Exercice 1 : Portefeuilles financiers Considérons trois types d actions qui sont négociées à la bourse et dont les rentabilités r 1, r 2 et r 3 sont des variables aléatoires d espérances µ i

Plus en détail

Présentation du métier d actuaire vie

Présentation du métier d actuaire vie 06 Octobre 2010 Frédéric Daeffler 14/10/2010 Agenda Assurance vie : Produits concernés Actuaire produit : Tarification et conception d un produit Actuaire financier : Pilotage des résultats, Gestion actif-passif,

Plus en détail

De nouvelles règles relatives aux contrats à exécution successive de service fourni à distance

De nouvelles règles relatives aux contrats à exécution successive de service fourni à distance De nouvelles règles relatives aux contrats à exécution successive de service fourni à distance Le 2 décembre 2009, l Assemblée nationale du Québec a adopté le projet de loi 60, intitulé Loi modifiant la

Plus en détail

La prévention : caractéristique du positionnement de la Mutualité Française sur l ensemble de son offre

La prévention : caractéristique du positionnement de la Mutualité Française sur l ensemble de son offre La prévention : caractéristique du positionnement de la Mutualité Française sur l ensemble de son offre Avril 2011 La longue expérience de la Mutualité Française dans la mise en œuvre d actions de prévention,

Plus en détail

Présentation: Aline Mendes

Présentation: Aline Mendes Présentation: Aline Mendes Définition et aspects épidémiologiques; Parcours d un aidant et survenue du fardeau; Modalités d intervention; Institutionnalisation; L aidant professionnel; Réseau à Genève.

Plus en détail

Méthode : On raisonnera tjs graphiquement avec 2 biens.

Méthode : On raisonnera tjs graphiquement avec 2 biens. Chapiittrre 1 : L uttiilliitté ((lles ménages)) Définitions > Utilité : Mesure le plaisir / la satisfaction d un individu compte tenu de ses goûts. (On s intéresse uniquement à un consommateur rationnel

Plus en détail

Pour la quatrième année consécutive, la SICAV Uni-Hoche reçoit une récompense au Morningstar Award.

Pour la quatrième année consécutive, la SICAV Uni-Hoche reçoit une récompense au Morningstar Award. Pour la quatrième année consécutive, la SICAV Uni-Hoche reçoit une récompense au Morningstar Award. Paris, le 21 mars 2013 La SICAV Uni-Hoche de Palatine Asset Management, filiale de gestion d actifs de

Plus en détail

Annonces internes SONATRACH RECHERCHE POUR SON ACTIVITE COMMERCIALISATION :

Annonces internes SONATRACH RECHERCHE POUR SON ACTIVITE COMMERCIALISATION : Bourse de l emploi Annonces internes : Direction Administration et Moyens Un Technicien Electricien Un C/Maitre Electricité BAT (Chargé de la Maintenance en pompes) Un C/Maitre Electricité BAT (Chargé

Plus en détail

AVENIR EMPRUNTEUR. Etude Personnalisée. Caractéristiques du (des) prêt(s) Cotisations ASSURE 1 ASSURE 2. Votre conseiller

AVENIR EMPRUNTEUR. Etude Personnalisée. Caractéristiques du (des) prêt(s) Cotisations ASSURE 1 ASSURE 2. Votre conseiller AVENIR EMPRUNTEUR Etude Personnalisée ASSURE ASSURE Fumeur : Statut : Profession exacte : Nombre de kms professionnels/an trajet domicile/travail) : Activité de travaux manuels réguliers ou de manutention

Plus en détail

Ce document est destiné à suivre le parcours de formation d un candidat au CQP «Conduite de ligne de conditionnement», en intégrant :

Ce document est destiné à suivre le parcours de formation d un candidat au CQP «Conduite de ligne de conditionnement», en intégrant : Commission Paritaire Nationale de l Emploi des Industries de Santé CQP «Conduite de ligne de conditionnement» Livret de suivi de la formation en contrat de professionnalisation Nom et prénom du candidat

Plus en détail

Guide du/de la candidat/e pour l élaboration du dossier ciblé

Guide du/de la candidat/e pour l élaboration du dossier ciblé Guide du/de la candidat/e pour l élaboration du dossier ciblé en vue de l obtention du titre de "Conseiller ère diplômé e en orientation professionnelle, universitaire et de carrière" par la validation

Plus en détail

Rapport de stage d initiation

Rapport de stage d initiation Ministère de l enseignement supérieur et de la recherche scientifique Direction Générale des Études Technologiques Institut Supérieur des Etudes Technologiques de SILIANA Département Technologies de l

Plus en détail

Cours d introduction à l informatique. Partie 2 : Comment écrire un algorithme? Qu est-ce qu une variable? Expressions et instructions

Cours d introduction à l informatique. Partie 2 : Comment écrire un algorithme? Qu est-ce qu une variable? Expressions et instructions Cours d introduction à l informatique Partie 2 : Comment écrire un algorithme? Qu est-ce qu une variable? Expressions et instructions Qu est-ce qu un Une recette de cuisine algorithme? Protocole expérimental

Plus en détail

Donneurs vivants Risques à long terme. Cours de transplantation Univ. Montréal et McGill 5 avril 2013

Donneurs vivants Risques à long terme. Cours de transplantation Univ. Montréal et McGill 5 avril 2013 Donneurs vivants Risques à long terme Michel R. Pâquet MD, PhD Unité de Transplantation Le Centre Hospitalier de l Université de Montréal Hôpital Notre-Dame Montréal Hôtel-Dieu Hôpital Notre-Dame Cours

Plus en détail