Extrait de l intervention transcrite de M. Hubert Védrine 2 ème Conférence économique organisée par Attijariwafa bank 23 juillet 2012
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- Valentin Bertrand
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1 Extrait de l intervention transcrite de M. Hubert Védrine 2 ème Conférence économique organisée par Attijariwafa bank 23 juillet 2012 Mesdames et messieurs, Je dois vous dire, que déjà en entendant le ministre des Finances, en entendant la Présidente du Patronat, en entendant le président de la Banque qui nous invite et qui nous reçoit ce soir, je dois dire que le contraste est saisissant pour moi qui suis, comme Alexandre Adler, plongé dans les interrogations européennes, des incertitudes européennes et un certain manque de confiance en soi, que je trouve d ailleurs infondé, mais enfin c est un élément de la situation, je suis très, heureusement et positivement frappé par ce contraste, par la démonstration de cette énergie marocaine, de cette ambition marocaine et même la très sympathique petite séance à la quelle nous venons d assister, fait partie de ça, et c est déjà un élément de la réponse. On m a demandé d insérer vos réflexions de ce soir et votre travail dans un contexte plus global. Naturellement le Maroc a beaucoup d atouts, vous le savez bien, et quelques handicaps qui me semblent être abordés et traités, de plus en plus avec de la lucidité, et la volonté de les surmonter. Vous n êtes pas seuls, vous êtes dans un contexte plus général, et sur ce contexte je voudrais rappeler, que depuis quinze à vingt ans, les choses dans notre monde ne se sont pas déroulées comme les occidentaux, dont mon pays fait partie, avaient cru après la fin de l union soviétique, quand nous avions cru à la fin de l histoire au début de la communauté internationale, terme chaleureux, nous avions cru à une domination facile de conception occidentale en matière politique comme en matière économique, à travers une sorte de leadership renforcé, mais en réalité ce n est pas comme ça que ça se passe. Les problèmes du monde ne se sont pas concentrés autour de la seule question du terrorisme, contrairement à ce qu avait cru l administration de Georges W. Bush. Et finalement la croissance que l on croyait infinie est devenue une croissance de casino, une spéculation débridée, suite à la dérégulation financière systématique. Finalement nous ne sommes pas dans ce contexte idéal que l on nous décrit, de façon un peu naïve, nous sommes dans une compétition et vous le savez
2 bien, vous, qui êtes des agents économiques, nous sommes dans une compétition économique généralisé. La mondialisation apporte beaucoup d opportunités mais elle est également déstabilisante pour les puissances les plus importantes du monde, les pays émergents émergent de plus en plus, je pense notamment à la Chine, qui est représentée ici par Mme l Ambassadrice, et qui a des conséquences colossales sur l ensemble du fonctionnement du monde. La gouvernance de ce monde que l on recherche est tâtonnante et on sait bien que le G20, comme les autres enceintes, ce sont des enceintes, ce ne sont pas des pouvoirs qui ont la capacité à gouverner, à décider et imposer leurs décisions au reste du monde, donc c est un ensemble moins clair, un peu chaotique à certains égards, sans oublier le compte à rebours écologique qui se poursuit inexorablement. Je comprends que le Maroc suit avec beaucoup d attention, de vigilance, d intensité et parfois d inquiétude quand il regarde au nord, il est entrain de se demander quelle est sa place? Et quels sont ses atouts? Mais les atouts, vous les connaissez mieux que moi. Et si vous êtes ici, c est par ce que vous y croyez et que vous savez les développer. Ce potentiel formidable, qu est l agriculture, les phosphates, le développement industriel, la puissance géographique, sans lesquels vous n auriez pas pu faire ce projet magnifique de Tanger Med. Quant aux investissements étrangers, ils sont importants bienvenus, mais jamais suffisants. Je crois que le Maroc d aujourd hui est engagé dans cette immense mutation économique et politique. C est l un des pays du monde arabe qui est en transformation et dans lequel, se présentent les processus les plus prometteurs. Il me semble qu il y a une franchise, un esprit concret dans la façon d aborder les problèmes. La question de la formation par exemple. Il est évident qu un des handicaps du Maroc est de conserver un taux d analphabétisme trop élevé qui est une gène. La formation qui peut donner des résultats magnifiques, on l imagine, à travers ces jeunes bacheliers qu on a vus, mais qui reste sur beaucoup de plans encore inadaptée. Mais il y a un problème de diversification parce que vous avez l histoire que vous avez eue et qui était en partie notre histoire commune. Histoire d imbrication avec l économie européenne et notamment française et espagnole, donc vous avez, bien sûr, un problème de diversification qui est devant vous, diversification des partenaires, je ne devrais pas le dire en tant que français, mais je le dis quand même, vous avez un intérêt à diversifier les partenaires. Vous le savez ça, mais vous êtes tributaires plus au moins de ce qui va se passer dans d autres parties du monde.
3 D abord il ya ce qui se passe dans le monde arabe, mais je crois que, c est politiquement important, c est presque culturellement important, peut être sentimentalement important. Ce n est pas tellement important sur le plan économique pour le moment, certainement un jour ça le deviendra. Aujourd hui les échanges intermaghrébins, par exemple, sont insignifiants sur le plan économique. J imagine que vous avez en tête qu un jour, ce sera différent, qu il y ait un vrai contenu dans une Union du Maghreb Arabe qui deviendrait réelle, bon c est une perspective mais pas un élément de la réalité aujourd hui, ce qui fait que paradoxalement vous n êtes pas directement concernés par ce qui se passe dans les pays arabes ou les processus en cours sont dans certains cas, ça ne se passent pas trop mal, dans certains cas ça se passent de manière complètement tragique, dans d autres cas, c est le statuquo complet, de toute façon ça va durer des années pour ne pas dire des décennies et ce qui a commencé en Tunisie va toucher l ensemble des régimes autoritaires, despotiques, répressifs dans le monde, notamment ceux qui ont des jeunesses très nombreuses, parfois très bien formées, avec des taux de chômage effrayants. Je ne parle pas du Maroc, je parle de la moyenne des pays au sud de la méditerranée, chez les jeunes ce n est pas loin de 40%, mais on sait bien que des phénomènes de ce type peuvent concerner aussi, des pays de l Asie centrale, des pays comme la Russie, ce n est pas qu un phénomène arabe ce qui a commencé, ça va déborder, mais après, on ne pourra pas généraliser puisque les situations sont à examiner au cas par cas. Je crois que ce qui est important pour vous, c est ce qui se passe dans les pays du Golf et c est la volonté des différents pays du Golf, de continuer à considérer que le Maroc est un partenaire intéressant, un lieu d investissement intéressant dans des projets communs. Il y a, ensuite la perspective africaine qui est évoquée souvent, le secteur bancaire marocain est tout à fait remarquable sur ce plan, en ce qui concerne son dynamisme, alors je ne sais pas si, historiquement c est parce qu il y a eu un choix africain délibéré, ou c est par tâtonnements successifs et que les grandes banques marocaine se sont dites que c est là ou il y a un développement possible, d abord l Afrique de l ouest, l Afrique en général, toujours est-il qu il y a un grand potentiel de croissance en Afrique. On parle souvent de l Afrique à travers des drames, il y en a encore, bien sûr, mais le potentiel est considérable c est d ailleurs ce que disait Mustapha Terrab, dans un colloque il y a un mois environ à Paris, un colloque HEC sur l intérêt de l Afrique en soi, non pas parce que les autres pays dans le monde ont une politique africaine, la France, l Italie, la chine, le Qatar, que sais-je, mais parce que l Afrique est une force en soi, un potentiel en lui-même, alors là, bien sur, le Maroc est bien placé, a quelques longueurs d avance. La question qui se pose est de savoir si le Maroc doit
4 continuer cette politique africaine pour l amplifier lui-même ou à travers des partenariats originaux à trouver au cas par cas, pays par pays, domaine par domaine, sujet par sujet, en tout cas c est un atout, et ça ne se présente pas du tout de la même façon que l Europe. Je suppose que vous m attendez sur la question européenne parce que, là bien sûr, l imbrication est énorme et même si la tendance dans le long terme serait une tendance à la diversification, ce n est pas encore, tout à fait le cas aujourd hui, eh bien, moi je vous dirais que je voudrais distinguer deux choses à propos de l Europe et des questions que vous pouvez poser notamment sur la zone Euro : Sur un point, je suis relativement optimiste, je fais allusion à la façon dont les pays membres de la zone Euro, finalement laborieusement, depuis deux ans, à force de négociations, de sommet de la dernière chance, on en a vu 15 ou 20, finalement ils ont réussit à bâtir un système qui n était pas évident, plus de solidarité, de plus en plus d aide financière, par rapport à certain pays de la zone Euro qui n inspirent plus confiance au marché, c est un euphémisme, donc que faire par rapport à la défiance des marchés surtout pour des pays qui ont un besoin vital des marchés financiers. La Zone Euro a besoin d emprunter, 700 / 800 Milliards d Euro par an, donc ce n était pas étonnant que les pays qui sont en dernière ligne en termes de garantie comme l Allemagne commence par dire : nous, on va pas garantir aveuglement, donc il faut vraiment opérer un changement radical dans ces pays, il faut qu il prennent des engagements, qu ils passent par des réformes extrêmement douloureuses qui n avaient jamais était faites, c est normal que ce soit long, c est normal que dans des pays démocratiques et qu une opinion mobilisée ça passe par des élections, des échecs, on en est, je crois, à 17 dirigeants Européens ayant perdu les élections depuis le début de la crise, 17 dirigeants européens sortant. Tout ça s est produit, mais finalement si vous regardez le traité budgétaire qui était adopté, pas encore ratifié, et qui était adopté le 2 mars, vous ajoutez à ça l accord qui a été passé fin juin dans un Conseil européen, cette fois ci,vraiment important, où il y a le traité du 2 mars, plus les initiatives de croissance dont le montant réel de départ n est pas énorme, 120 /130 milliards d euro, mais l effet d annonce, l effet de psychologie, l effet de levier, l effet d entrainement pourra être énorme. Si vous combinez ces éléments, plus les mécanismes d aide financière, plus les mécanismes de contrôle, soit le contrôle mutuel soit par le biais de la commission, finalement il y a également un paquet qui est entrain de se mettre en place pour répondre assez bien à la question : comment gérer la zone euro efficacement, de façon plus intégrée et de façon plus démocratique? bien entendu qu il y aurait pas de saut
5 fédéral, au sens ou on voit ça dans la presse française, ça n a pas de réalité politique parce qu enfin, aucun peuple d Europe, à commencer par le peuple allemand, aucun peuple européen, n a envie d abandonner ce qu il a gardé comme souveraineté, ça ne se fera pas, en revanche, sur le plan de l exercice en commun de la souveraineté, ce qui est complètement différent de l abandon de souveraineté, il y a des progrès énormes qui ont été faits, et là dessus je suis relativement optimiste. En revanche, ce qui ne me parait pas encore bien résolu, mais il y a des pistes, c est la question de la croissance dans la zone euro, l accord pour le solidarité, le contrôle etc. mais la croissance, la dessus, moi je trouve que l élément nouveau apporté par le changement de président en France, c est la ligne politique économique de François hollande qui est une bonne chose, puisque ça a obligé les dirigeants de la zone euro à réintroduire la dimension de la croissance, la préoccupation de la croissance, en écoutant les demandes des milieux d affaires mais aussi des milieux syndicaux en Europe, en écoutant ce que demande le Président Obama, ce que demande le secrétaire au trésor Getner, ce que demande Mme Lagarde au nom du FMI, ce que demandent les grands émergents dont la croissance ne peut plus garder le niveau suffisant s ils ne peuvent pas exporter en Europe, et d ailleurs l Allemagne, à la longue, à mon avis a fini par considérer cet élément, si les exigences de rigueur compréhensibles celles de l Allemagne vont très loin, si en gros l Allemagne ne peut plus vendre une seule Mercedes, ailleurs en Europe, il est évident qu il y a une sorte d absurdité et de contradiction, donc il faut que l on travaille sur cet élément. On ne peut pas trouver la solution exacte à ce que serait la croissance durable sans bulle, sans crise post-bulle, qui soit en même temps un facteur d accélération de l écologisation nécessaire, on n a pas trouvé mais tout les européens sont convaincus qu il faut travailler sur la combinaison entre la bonne gestion et la croissance. Bien sur il y a des phénomènes où il faut purger, soit les spéculations financières, complètement dérégulées, insensées, l économie casino des 20/25 dernières années, vous n y pouvez rien, vous étiez relativement protégés par le fait de garder une certaine prudence, vous n avez pas fait partie de ces pays qui s étaient complètement engagés dans des mécanismes de produits toxiques, créances bidons et des produits dérivés etc. ça vous a protégé, c a été présenté comme un développement insuffisant, un manque de sophistication, c était en fait, un bouclier qui vous met dans une meilleure posture que les banques de la zone Euro. Enfin, nous sommes entrain, par tâtonnement et convergences successives, de nous mettre d accord sur un programme d une Europe mieux gérée, quand on aura fini par apurer le passé et qui va travailler sur cette croissance nouvelle dont je vous ai
6 parlé et dont vous avez absolument besoin. Bien sûr, en ce qui concerne l Espagne ce sera encore, à mon avis, un peu long et compliqué parce que l Espagne a besoin encore, un peu de temps, pour concevoir une économie moderne qui ne soit pas fondée que sur la spéculation immobilière, touristique, aggravée par l usage que certaines régions ont fait de leur autonomie. Et sur ce point je voudrais dire que pour le MAROC, il faut considérer que, dans l avenir vous aurez un partenaire européen toujours essentiel, mais peut être moins important, relativement, puisque vous allez développer les partenariats en Asie, en Afrique, en Amérique latine, et partout, vous êtes dans la mondialisation comme les autres, comme nous, avec tous vos atouts, vous n avez aucune raison d être prisonniers d une histoire ou d une géographie trop restrictive. Bien sûr et la carte africaine, je n y reviendrai pas, je l ai dit tout a l heure, mais il n empêche que, même avec des pourcentages un peu réduits le partenaire européen sera toujours vital et à cet égard on ne peut pas dire mieux que, ce qu a dit votre ministre des finances tout a l heure, c est que le Maroc n est pas un problème mais une partie de la solution, mais moi je n ai jamais beaucoup cru aux mécanismes institutionnels avec les grands sommets, les procédures le processus de Barcelone avait atteint ses limites, j ai toujours pensé que l union pour la Méditerranée était une fausse bonne idée, une bonne idée comme ça historique et stratégique et que, ça ne sert à rien de parler d union en rassemblant des pays séparés par tellement de choses, politiques et institutionnelles, mais en revanche, sur le plan économique, sur le plan technologique, sur le plan des investissements croisés, sur le plan des projets communs, prenez l énergie par exemple ou c e qui est entrain de se passer dans votre pays sur le plan de l industrie automobile et en reprenant votre formule, comment faire en sorte que vous soyez insérés dans la chaine de valeurs? C est ça la réponse, ce n est pas une relance d une espèce, d une nouvelle formule ou de je ne sais quel partenariat ou sommet qui ne sert à rien, c est un travail précis concret que les banques encouragent, poussent et financent et qui crée une imbrication créatrice de valeur ajoutée pour les différents côtés. Nous avons vraiment tous les éléments pour progresser. Voila ce que je voulais vous dire, nous sommes à l unissons. Vous avez un élément de la solution aux problèmes européens et je crois qu il faut le faire comprendre mieux. D autant que vous avez un élément de la solution à la question psychologique, puisque les européens sont dans une sorte de phase complètement exagérée, pas du tout rationnelle, dans laquelle ils doutent d eux même
7 Parce qu en gros, face à la gigantesque redistribution des cartes qu entraine la mondialisation, ils ont le sentiment d avoir beaucoup à perdre, plus à perdre que les autres. La plupart des pays émergents n ont rien à perdre, ils ont tout à gagner. Ils ont des problèmes gigantesques à résoudre, mais ils pensent qu ils vont réussir à les résoudre et que de toute façon après, ça va être mieux qu avant, et le problème que nous avons en Europe et qu ont les dirigeants européens ont des difficultés à diriger, c est que la majorité des populations des classes moyennes craignent que ce soit plus mauvais après, plus mauvais pour leurs enfants, et là, il y a quelque chose à faire. Plus nous arriverons à voir des projets communs : France/Maroc, Europe/Maghreb, Afrique/Maroc, plus nous bénéficierons un peu de transfusion d énergie d optimisme et d ambition. Dont nous avions cru à la fin de l histoire
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