PLAN DE SECURITE ALIMENTAIRE COMMUNE RURALE DE YELEKEBOUGOU

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1 PRESIDENCE DE LA REPUBLIQUE REPUBLIQUE DU MALI Un Peuple Un But Une Foi Commissariat à la Sécurité Alimentaire (CSA) Projet de Mobilisation des Initiatives en matière de Sécurité Alimentaire au Mali (PROMISAM) REGION DE KOULIKORO Cercle de Kati rurale de Yélékébougou PLAN DE SECURITE ALIMENTAIRE COMMUNE RURALE DE YELEKEBOUGOU Elaboré avec l appui technique et financier de l USAID-Mali à travers le projet d appui au CSA, le PROMISAM Mars 2008

2 I. INTRODUCTION 1.1 Contexte et utilité du diagnostic dans le cadre du Programme National de Sécurité Alimentaire La mise en œuvre du programme national de sécurité alimentaire à travers lequel la République du Mali a opté pour une gestion décentralisée de la sécurité alimentaire faisant de celle-ci un espace ouvert à tous les partenaires. Ce programme et la traduction de la stratégie national de sécurité alimentaire, SNSA, adoptée en 2002 par le gouvernement du Mali, ce qui a conduit à l adoption du cadre institutionnel en 2003, qui est conforme au processus de décentralisation et implique le niveau national, régional, local et communal. Tous les acteurs doivent participer aux instances de concertation et de coordination prévues à ces niveaux. Les défis et les enjeux de la stratégie nationale de sécurité alimentaire sont : Nourrir une population en forte croissance et de plus en plus urbaine ; Asseoir la croissance des revenus ruraux sur une stratégie rapide du secteur agricole ; Affronter la diversité des crises alimentaires ; Intégrer la gestion de la sécurité alimentaire dans le processus de décentralisation et de la reforme de l Etat ; Cette stratégie nationale se fixe les objectifs suivants : Objectifs généraux : - Assurer les conditions d une sécurité alimentaire structurelle durable et intégrée ; - Améliorer la prévention et la gestion des crises alimentaire 1.2 Méthodologie : Pour l élaboration du plan de sécurité alimentaire, PSA, la démarche comprenant quatre étapes a été adoptée : L étape de diagnostic L étape de concertation L étape de planification/programmation L étape de validation/restitution La première phase du diagnostic consiste à l établissement d une situation de référence ; connaître les potentialités et les contraintes de la collectivité, du milieu, des hommes, l évolution de l environnement. Ce diagnostic a été fait suivant les quatre piliers de la sécurité alimentaire, à savoir : La disponibilité des aliments L accès aux aliments L utilisation des aliments La stabilité dans l approvisionnement L analyse de la situation a consisté à l énumération des potentialités, des contraintes et des solutions à envisager pour résoudre les problèmes. L étape suivante était celle de la planification, ce qui a consisté un atelier le 14 octobre, qui a regroupé les services techniques (OHVN, SCN), les partenaires au développement et les élus communaux. Il s agit là de revoir ensemble le diagnostic pour proposer une planification de l ensemble des activités pour une durée de cinq ans. L étape de la concertation communautaire, élus, chefs de villages était celle qui a un caractère de sensibilisation des communautés. Elle a permis aussi de situer les citoyens de la commune en termes d efforts à consentir pour financer ce plan de sécurité. 2

3 La dernière étape est celle de la restitution et validation par le conseil communal au cours d une session ordinaire. 1.3 Présentation de la commune Historique Elle a été créée par la loi n du 04/11/1996 et compte 17 villages que sont : Yélékébougou qui donne son nom à la commune, Fabougoula, Siramasso, Soungalaobougou, Guilly, N Golofala, Koba, N Tiani, Fansira-coura, Fansira-coro, M Bamba, Ninzana, Moribougou-coura, Mery, Tinzéni, Koulounikoro et Fiah Situation géographique Situé au Nord à 30 km du chef lieu de cercle, la commune rurale de Yélékébougou présente les limites ci-après : - Est : Rurale de Safo - Ouest : Rurale de Kalifabougou - Nord-Ouest : Rurale de Djédougou Torodo - Nord : Rurale de Nonsombougou (Cercle de Kolokani) - Sud: Rurale de Kambila. Elle couvre une superficie estimée à 288,03 km Population Estimée à habitants depuis 2000 selon le recensement administratif avec un taux d accroissement annuel de 1,37 %, nous l estimons aujourd hui à âmes reparties comme suite : - Hommes soit 51 % environ - Femmes soit 49 % environ. Le constat qui s impose ici, c est que c est une commune où les hommes sont plus nombreux que les femmes. C est aussi une commune dans laquelle cohabitent surtout les Bambaras, les Peulhs et les Sarakolés avec comme langue courante le Bambara. La population se partage entre l Islam, le Christianisme et l Animisme Accessibilité Traversée par route nationale n 3, elle facile d accès et même sur pistes (malgré leur mauvais état par endroit) pour quelqu un qui veut se rendre à l intérieur. Le relief est quelque peu accidenté par des cours d eau certes. Cependant il ne rend pas impossible la circulation intérieure Ressources naturelles Elle sont disponibles et concernent les sols, les eaux, la flore et la faune et dont l usage est fonction des activités que mènent les habitants de la commune Infrastructures et équipements En terme d infrastructures ce sont les écoles, CED et centres d alphabétisation en nombre insuffisant bien sûr : - une (01) école à Yélékébougou (1 ère à 9 ème année) - une (01) école à Guilly (1 ère à 6 ème année) - deux (02) écoles à Koba dont une communautaire - une (01) école communautaire à Mery - un (01) CED à Moribougou et - cinq (05) centres d alphabétisation. C est aussi le CSCOM de Yélékébougou et la maternité de Koulounikoro aux quels s ajoutent les deux (02) marchés des mêmes localités, la RN3, le siège de la Mairie, un magasin de stockage, le bâtiment de la sécurité, le siège de l ONG BADS, les mosquées, les églises et les terrains de foot non encore aménagés. Quant aux équipements, il est à retenir qu en plus des points d eau existants : puits et forages qui totalisent en tout 170, il y a des équipement agricoles qui sont : 3

4 - charrue : charrettes : multiculteur : semoir : appareil de traitement : 25. Cependant les besoins sont encore loin d être satisfaits Activités socio- économiques et culturelles C est surtout l agriculture, l élevage, l exploitation de la forêt (cueillette, chasse, bois combustible) aux quelles s ajoutent le commerce, le maraîchage et l artisanat qui constituent les principales activités socio économiques de la commune Structures / services En plus des services déconcentrés de d Etat (OHVN, Santé et Education qui sont représentés) et les ONG comme BADS, APGR et AMEPE aussi résidants, il y a la conservation de la nature, le contrôle réglementation, le SLACAET, le CCC et l ANICT qui interviennent de loin. Les exploitants de carrière comme l entreprise chinoise COVEC et tout récemment STONE en voie d installation comptent aussi parmi les structures d intervention sans oublier surtout l administration communale représentée par la mairie. 1.4 Partenaires et Prestataires : a) Partenaires Techniques et Financiers : les aspects techniques sont touchés par des structures comme le Centre de Conseil Communal (CCC) en terme de renforcement des capacités, le Bureau d Assistance pour le Développement social (BADS) et l Association Malienne pour l Education du Public et la Protection de l Environnement pour des Actions en Faveurs de l Environnement et l Alphabétisation et l Association pour la Promotion des Groupements Ruraux et récemment le Tonus pour le Micro Crédit. b) Prestataires : c est l Agence Nationale pour l Investissement des Collectivités Territoriales (ANICT) dont l activité principale concerne les constructions dans les domaines Educatif et Administratif. 1.5 Education : elle est de type public, privé et communautaire avec un taux moyen de 53 % de réussite à l examen en 2004 dans toute la commune. La principale contrainte demeure le manque de logement pour les élèves qui viennent d ailleurs que les villages abritants les écoles tels que Yélékébougou,Guilly, Koba et Meny. Les normes sont largement dépassées par les valeurs à cause des effectifs élevés et l insuffisance de salles de classe exceptée pour les centres d alphabétisation et centres d éducation pour le développement (CED) où les normes sont loin d être atteintes. Ainsi, par des facteurs multiples, le taux actuel d alphabétisation est 5 % sur une norme de 100 % les CED sont encore peu faute d autorisation de l Etat POUR LEUR CR2ATION ; Quant aux infrastructures éducatives elles sont gérées par un comité de gestion scolaire mis en place par le système de vote et au sein figurent seize (16) femmes. 1.6 Santé : Il y a un CSCOM à Yélékébougou avec un dépôt pharmaceutique en médicaments DCI et une maternité à Koulounikoro. Il faut surtout noter l insuffisance de personnel : 3 au CSCOM et 01 à la maternité pour toute une commune. Les ratios étant de : - 1 infirmier pour matrones pour aide soignant pour centre de santé pour pharmacie et ou dépôt pour , ces ratios se trouvent aujourd hui caduques et le seront plus d ici 2009 si les élus ne prennent pas le devant en investissant dans le domaine parce que la population aura beaucoup augmenté et les différents taux aussi qui sont de l ordre de : - 15,75 % pour la fréquentation des centres, 4

5 - 15,90 % pour les consultations prénatales, - 15,45 % pour les accouchements assistés, - 10,00 % pour les consultations post natales et - 80 % pour la malle nutrition chronique chez les enfants de moins de 5 ans. 1.7 Sport, Art et Culture : Ils sont très peu pratiqués voire inexistants dans le cas de l art et la culture faute d espace appropriés et d organisation. L engouement est peu manifesté pour le sport surtout qui se pratique dans la cour de l école à Yélékébougou par les tous petits. Aucune équipe n est formée dans ce domaine. Cependant les ressources humaines sont là si l on sait que la tranche d âge située entre 15 et 45 ans est la plus élevée et c est dans cette tranche que l on retrouve les vrais pratiquants des disciplines en terme de capacité et d endurance mais les moyens ne s y prêtent pas. 2) Economie Rurale 2.1 Ressources Naturelles : - Elles concernant les forêts, abusivement exploitées dans un but lucratif avec peu ou pas de reboisement de la part des exploitants eux-mêmes. Seuls quelques endroits préservés en terme de classée, mise en défens et bois sacré font la fierté des populations aujourd hui. Cependant, au rythme où l on va, elles finiront par s attaquer à ces existants d ici 2009 si les autorités communales n entreprennent pas des actions en faveur de l environnement surtout que la population croit d année en année et partout le nombre d exploitants qui, pour en faire une activité lucrative, qui pour défricher un nouveau champ ou pour sculpter etc... sans compter les feux incontrôlés. - C est aussi les terres agricoles de l ordre de ha caractérisées par leurs extrêmes pauvretés grâce à l action humaine d une part et aux phénomènes naturelles d autres parts comme l effet des eaux de ruissellement qui lessive au même titre que les vents des saisons sèches. En plus ce sont les cours d eau, aujourd hui tarissables parce que ensablés suite à des facteurs comme l agriculture qui se pratique jusqu aux abords et les carrières qui s ouvrent un peu partout et dont l effet dégradent sur l environnement est reconnu de tous. Ne prenant pas garde alors, terres agricoles et pastorales s amenuiseront au bout d un certain temps surtout que les taux d exploitation et de déforestation avoisinent 80 % avec peu de vigilance de la part des populations elles mêmes bénéficiaires de ces ressources. 2.2 Agriculture : Elle doit beaucoup à l OHVN à cause des intrants d une part, et au peu d équipements et animaux de traits existants d autre part malgré leur insuffisance et le déficit pluviométrique. Cependant, elle est aujourd hui contraignante faute de méconnaissance des nouvelles techniques culturales et aussi de moyens financiers pour s octroyer des équipements ; le crédit agricole étant difficile d accès depuis Le palliatif à cet état de fait, c est l organisation du monde paysan surtout que les valeurs actuelles des rendements par spéculation sont largement en dessous des normes. Dans tous cela le rôle de la femme se ramène à la culture de l arachide sur de petites parcelles acquises difficilement auprès des maires si et seulement si elle termine le repas et l apporte au champ. Pourtant dans les villages le rôle de l homme prend fin dès que les récoltes sont finies. 2.3 Elevage : Peu prospère, il concerne les bovins, les ovins caprins, les asins, camelions, porcins et surtout la volaille en dehors de laquelle les autres sont en nombre très réduits. Ce sont les feux de brousse et le manque de point d eau dans beaucoup de villages qui rendent difficile ce sous secteur aussi caractérisé par la faible couverture sanitaire, les vols aux quels s ajoute l abattage qui concourent à la diminution du cheptel dans le commune. Les nouvelles autorités doivent donc agir en collaboration avec le concernés pour rendre le domaine plus prospère à jamais. 2.4 Environnement / Assainissement : Des forêts villageoises, bosquets, vergers, plantations d alignement existent certes avec des mesures de lutte anti érosives. Mais ce sous secteur est peu organisé avec un seul comité de gestion du trésor villageois (GTV) qui fonctionne sur dix sept villages que compte la 5

6 commune. L environnement étant difficilement gérable par des actions isolées, mieux vaut donc conjuguer les efforts. Cela passe nécessairement par une forte organisation des populations qui s impose aujourd hui faute de quoi il serait hasardeux de tenter la sauvegarde de l environnement qui, du reste ne peut être assaini que par les humains. 2.5 Hydraulique : Malgré l existence des points d eau potable (119 puits traditionnels, 25 puits améliorés, 9 puits à grand diamètre et 17 forages équipés de pompe manuelle) les besoins des populations en eau sont loin d être satisfaits soit à cause des pannes fréquentes des pompes, soit à cause du tarissement précoce des puits (traditionnels et grand diamètre) aussi dû à la baisse de la nappe phréatique qu il couvrent de relever par des actions maîtrisées pour pouvoir résoudre à jamais le problème d eau dans la commune surtout sachant que les pluies se font rares partout dans le pays excepté du reste la région de Sikasso où elles atteignent encore des hauteurs considérables au regard des données météorologiques. 3- Infrastructures et Bâtiments 3.1 Infrastructures et Equipements socio-économiques : En plus des bâtiments socio-culturels : mosquées, églises et logement des enseignants, œuvre des populations elles mêmes, il y a le CSCOM, une maternité, des écoles (même si elles sont insuffisantes) aux quels s ajoutent le siège de l administration communale (Mairie) financé par l ANICT et un magasin de stockage grâce à l AMEPE. Les boutiques et équipements passables dans leur état sont privés. Le marché de Yélékébougou lui, est très mal organisé. Ce qui signifie que les nouvelles autorités ont quoi «ne pas chômer». 3.2 Axes Routiers, Chemins de Fer et Navigation : Les deux derniers sont inexistants. La commune totalise 10 km de route nationale en très bon état. Les pistes valent 110 km tous les villages confondus. Elles sont seulement praticables que pendant la saison sèche parce que pas entretenus et par manque de ponts par endroit pour faciliter la traversée durant l hivernage et rallier chef lieu de commune. Les eaux de pluies ruisselantes retiennent longtemps les populations en besoins de se rendre à Yélékébougou pour des raisons qui les concernent. 3.3 Equipements de la Communication : Pas de radio, pas de téléphone, pas de Rac et encore moins d intérêt (la commune n étant pas d ailleurs électrifiée). Ils sont au stade de promesse. Cela signifie que les autorités locales doivent encore «activer». 4) Secteur Secondaire Elle n est pas du tout développée pris dans son ensemble : eau, énergie, mines, industries. Seulement l artisanat est dominé par les forgerons, soudeurs, maçons, tailleurs, menuisiers et mécaniciens en nombre très insuffisant d ailleurs. Le tourisme est presque inexistant malgré l existence de certains point que la population croit nécessaires : bois sacré dans tous les villages, marigot sacré à Koba, des fétiches (surtout culturel) et deux tombeaux respectivement à Fiah et Meny. C est donc un secteur où il reste encore beaucoup à faire par l administration communale en place et à laquelle les populations ont confié leur «devenir». 1.5 Orientations et objectifs du développement Les grandes orientations de la commune 1) Economie Rurale : - Augmentation des revenus des populations de la commune 50 % 2) Secteur Secondaire : - Promouvoir le commerce et l artisanat, l eau potable pour tous d ici l an 2025 et protéger l environnement contre l exploitation abusive des carrières. 3) Infrastructures : - Désenclavement de la commune, - Amélioration du cadre de vie de la population de la commune. 4) Ressources Humaines : - Augmentation du taux de scolarisation et du taux d alphabétisation à 80 % - Augmentation de la couverture sanitaire à 85 % - Promouvoir l emploi, le sport, l art et la culture 6

7 - Garantir la sécurité des personnes et des biens Objectifs globaux et spécifiques 1) Economie Rurale : a) Objectifs Globaux : - Augmenter les productions agricoles, pastorales et diminuer l exploitation forestière. b) Objectifs Spécifiques : - Fertiliser les terres cultivables, - Doter les villages en matériels et équipements agricoles, - Maîtriser les eaux de surface, - Organiser le monde paysan, - Améliorer la couverture sanitaire du cheptel, - Gérer mieux les pâturages, - Lutter contre la coupe abusive du bois, - Reboiser à outrance. 2) Secteur Secondaire : a) Objectifs Globaux : - Développer le commerce et l artisanat, - Faciliter l accès à l eau potable de tous et - Protéger l environnement. b) Objectifs Spécifiques : - Organiser les commerçants et artisans, - Réaliser des points d eau, - Reconstituer le couvert végétal, - Restaurer les sols. 3) Infrastructures : a) Objectifs Globaux : - Rendre praticable les pistes en toute saison, - Faciliter la communication, - Donner un aspect esthétique au chef lieu de commune. b) Objectifs Spécifiques : - Redresser les rues - Avoir le téléphone dans les villages - Attribuer des lots à usage d habitation. 4) Ressources Humaines : a) Objectifs Globaux : - Diminuer le taux d analphabétisme - Diminuer le taux de mortalité chez les enfants de moins de 5 ans - Développer le sport, l art et la culture - Lutter contre la pauvreté - Doter la commune en moyens d information et sensibilisation - Renforcer la sécurité des personnes et des biens. b) Objectifs Spécifiques : - Recruter le maximum d enfants à l école - Vacciner le maximum d enfants et de femmes à l âge de procréation - Créer des emplois - Mettre en place une troupe théâtrale et une équipe communale - Réduire enfin les actes de banditisme. 1.6 Système d acteur Le Conseil Communal Depuis les élections communales, du 30 Mai 2004, la commune de Yélékébougou dispose d un conseil communal de 17 Membres élus pour 05 ans. Il s agit de : 1 COULIBALY Yacouba Maire 2 TRAORE Issa 1 er Adjoint Maire 7

8 3 COULIBALY Oumar 2 ème Adjoint Maire 4 SIDIBE Abdoulaye 3 ème Adjoint Maire 5 COULIBALY Iclin Conseiller communal 6 DIARRA Koulou Conseiller communal 7 SIDIBE Sétou Conseiller communal 8 TRAORE Dossolo Conseiller communal 9 KONARE Niama Conseiller communal 10 TRAORE Oumar Conseiller communal 11 COULIBALY Tiéman Conseiller communal 12 COULIBALY Mamadou Conseiller communal 13 COULIBALY Bakary Conseiller communal 14 COULIBALY Dianégué Conseiller communal 15 COULIBALY Salif Conseiller communal 16 TRAORE Daouda Conseiller communal 17 DOUKARA Tidiane Conseiller communal La commune dispose d un personnel communal composé de : DIARRA Fatoumata Secrétaire Général DEBOUKAMA Kissima Régisseur recettes BA Diariatou Régisseur dépenses DIAKITE Sidiby Secrétaire dactylo Partenaires intervenant dans la commune AMEPPE, LE/TONUS, TAGNE, PACT, CIWARA, 1.7 Les Atouts - Existence de bas-fonds aménageables ; - Existences de terres cultivables ; - Abondance de pâturage ; - Existence de coopérations paysannes ; - Existence de pistes ; - Existence de beaucoup d artisans ; - Existence de 02 marchés hebdomadaire ; - Existence de puits à grand diamètre dans tous les villages ; - Existence de quelques forages ; - Existence de moulins ; - Existence de céréales (mil, maïs, arachide, haricot, riz) ; - Existence de viande et d une importante quantité de légumes (tomate, oignons, concombre) ; - Existence de fruits (mangues melon, goyaves, karité ; - Existence d une banque de céréales ; 1.8 Les Contrainte - Pauvreté des sols - Sous-équipement des paysans - Erosion des sols - Absence de pharmacie vétérinaire - Manque de parc de vaccination - Eloignement du lieu d approvisionnement en aliment bétail et des intrants agricoles - Dégradation de l environnement par les unités d exploitation des carrières - Feux de brousse - Usage excessif des engrais chimiques - Tarissement précoce des cours d eau - Non maître des nouvelles techniques agricoles par les paysans - Tarissement précoce de puits 8

9 1.9 Les stratégies de mise en œuvre Les stratégies de mise en œuvre de ce programme de sécurité alimentaire consistent : L adoption de cet outil de planification comme document de référence pour les acteurs et les partenaires afin d assurer la cohérence et garantir l impact et un développement humain et durable. Ventilation au regard des acteurs pour une large sensibilisation d information et de formation sur leur rôle dans l exécution de ce plan de sécurité alimentaire. La Mobilisation de ressources internes (impôts et taxes) et des ressortissants de la commune. La Mobilisation de ressources externes Etat, entreprise, Institutions, ONG et autres afin de participer pleinement à l exécution du plan de sécurité alimentaire 1.10 Mécanisme de suivie et évaluation Un comité restreint sera mis en place pour le suivi permanent de la mise en œuvre correcte et effective de ce processus du plan de sécurité alimentaire de la commune. Le comité sera composé des élus communaux de la société civile 9

10 II. DIAGNOSTIC Piliers 1. Disponibilités Atouts/ Potentialités Existence de basfonds aménageables Existences de terres cultivables Absence de la production maraîchère Abondance pâturage de Existence de 22 coopérations paysannes Contraintes/Problèmes Solutions proposées Activités Localisation Insuffisance de terres cultivables Réaliser des superficies Aménagement des bas-fonds cultivables Pauvreté des sols Rendre les sols fertiles Formation des paysans en technique de production de fumure organique Sous-équipement des paysans Faciliter paysans l accès aux Octroi de crédits agricoles aux crédits paysans Erosion des sols Lutter contre l érosion Vulgarisation des techniques de lutte anti-érosion (cordon pierreux, haie vive) Absence de pharmacie vétérinaire Créer une pharmacie Encouragement de la création vétérinaire d une pharmacie vétérinaire Manque de parc de vaccination Créer un parc de vaccination Construction d un parc de vaccination Eloignement du lieu Rapprocher le lieu Construction d un magasin de d approvisionnement en aliment d approvisionnement en vente des intrants agricoles et des bétail et des intrants agricoles aliment bétail aliments bétails Dégradation de l environnement Organisation des campagnes de par les unités d exploitation des Lutter contre la dégradation reboisement, formation des carrières de l environnement populations en technique de Yélékébougo u Yélékébougo u Yélékébougo u fabrication des foyers améliorés Coupe abusive du bois Reboiser Sensibilisation sur la pratique de feu et la coupe abusive du bois Feux de brousse Lutter contre les feux de Réalisation de parc feux brousse Usage excessif des engrais Modérer l utilisation des Formation des maraîchers sur chimiques engrais l utilisation des engrais chimiques Tarissement précoce des cours Rendre les cours intarissables Surcreusement de points d eau d eau Non maître des nouvelles Alimentation des retenues Réalisation des retenues d eau techniques agricoles par les d eau paysans Tarissement précoce de puits Rendre les puits intarissables Formation des paysans sur les 10

11 II. Accès Existence de pistes Existence de beaucoup d artisans (forgerons, menuisiers etc.) Existence de 02 marchés hebdomadaire nouvelles techniques agricoles Réalisation des puits à grand diamètre Absence de coopératives Créer des coopératives Organisation des maraîchers en maraîchères maraîchères coopérative Non respect des statuts et Respect les statuts et Sensibilisation des membres des règlements intérieurs des coopératives règlements intérieurs des coopératives coopératives sur l importance du respect des statuts et règlements intérieurs Mauvais état des pistes Améliorer l état des pistes Entretien de pistes Pauvretés monétaires Difficultés d écoulement des produits maraîchers Absence de caisse d épargne et de crédit Non diversification des produits maraîchers Augmenter les revenus de populations Faciliter l écoulement des produits maraîchers Suscité la mise en place d une caisse d épargne et de crédit Diversification des produits maraîchers Organisations et formations des femmes pour les activités de fabrication des savons, de teintures etc. Organisation du circuit commercial Mise en place d une caisse d épargne de crédit Facilitation de l accès des populations au crédit Non prévision des besoins alimentaires familiaux après les récoltes Prévoir les besoins alimentaires familiaux Sensibilisation des producteurs maraîchers sur l importance de la diversification des produits, approvisionnement en semences maraîchères, sensibilisation des paysans sur l importance de la prévision des besoins alimentaires de la famille 11

12 III. Utilisation Existence de puits à grand diamètre dans tous les villages Existence de quelques forages Existence moulins de Existence de céréales (mil, maïs, arachide, haricot, riz) Existence de viande et d une importante quantité de légumes (tomate, oignons, concombre) Existence de fruits (mangues melon, goyaves, karité Insuffisance d eau potable Accroître l approvisionnement en eau potable Insuffisance de moulins Augmenter le nombre de moulins Absence d unités de Faciliter l accès aux unités de transformation des produits transformation maraîchers Méconnaissance des capacités nutritives des aliments Informer la population sur les capacités nutritives des aliments Réparation des pompes en panne, Réalisation de forages et de et la réhabilitation des puits traditionnels Réparation des moulins Approvisionnement en unités de transformation des produits maraîchers Vulgarisation des capacités nutritives des aliments Non diversification des aliments Diversifier les aliments Formation, sensibilisation des femmes sur les techniques culinaires Manque d hygiène des aliments Améliorer l hygiène des aliments Sensibilisation de la population sur l hygiène des aliments Yélékégougo u 12

13 IV. Stabilité Existence d une banque de céréales Insuffisance de banque de céréales Absence d unité de conservation des produits agroalimentaires Augmenter le nombre de banque de céréale Implanter des unités de conservation Création de banques de céréales Création d unité de conservation Mauvaise gestion des banques de céréales Améliorer la gestion des banques de céréales Formation des membres des comités de gestion des banques de céréales III. PLAN DE SECURITE ALIMENTAIRE DE LA COMMUNE DE YELEKEBOUGOU Objectif global : Assurer la Sécurité Alimentaire des populations de la Activités Période Sources de financement Coûts Conseil estimatifs partenaires de cercle Localité Aménagement des bas-fonds x PM x x Formation des paysans en technique de production de 0, x x fumure organique Octroi de crédits agricoles aux paysans x x x Vulgarisation des techniques de lutte anti-érosion (cordon pierreux, haie vive) 0, x x Encouragement de la création d une pharmacie 0,750 x x x vétérinaire Construction d un parc de vaccination 2, x x Yélékébougou Création d un magasin de vente des intrants agricoles et 8, x x des aliments bétails Organisation des campagnes de reboisement, formation 0,2 0, x x des populations en technique de fabrication des foyers améliorés Sensibilisation sur la pratique de feu et la coupe abusive 0,2 0,2 0,2 0,2 0, x x du bois Réalisation de parc feux 0, x x x Formation des maraîchers sur l utilisation des engrais 0, x x 13

14 chimiques Surcreusement de points d eau x x Koba, Yélékébougou Réalisation des retenues d eau x x Formation des paysans sur les nouvelles techniques 0, x x agricoles Réalisation des puits à grand diamètre 5, x x yélékebougou Organisation des maraîchers en coopérative et 0, x x x Yélékébougou Sensibilisation des membres des coopératives sur l importance du respect des statuts et règlements intérieurs Entretien de pistes X X x x x PM x x x Organisations et formations des femmes pour les 0, x x activités de fabrication des savons, de teintures etc. Organisation du circuit commercial 0, x x Mise en place d une caisse d épargne de crédit 0,2 0, x x Facilitation de l accès des populations au crédit 0, x x Sensibilisation des producteurs maraîchers sur 0,4 0, x x Yélékébougou l importance de la diversification des produits, approvisionnement en semences maraîchères, sensibilisation des paysans sur l importance de la prévision des besoins alimentaires de la famille Réparation des pompes en panne, Réalisation de forages et de et la réhabilitation des puits traditionnels x X x PM x x Approvisionnement en unités de transformation des 0,6 0,6 0,6 0,6 0, x x produits maraîchers Vulgarisation des capacités nutritives des aliments x PM x x Formation, sensibilisation des femmes sur les 0,2 0, x x techniques culinaires Sensibilisation de la population sur l hygiène des aliments 0, x x Création de banques de céréales 15, x x x Yélékébougou Création d unité de conservation x x x yélékebougou Formation des membres des comités de gestion des 0, x x x banques de céréales 171,96 14,6 3,4 58,15 76, Total 14

15 15

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