Logement social. suivi des demandes et des attributions sur Rennes Métropole en synthèse. septembre 2015
|
|
- Nathalie Léger
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Logement social suivi des demandes et des attributions sur Rennes Métropole en 1 septembre 15 synthèse
2
3 En bref : les chiffres à retenir En 1 9 logements familiaux PLUS, PLAI ont été livrés sur Rennes Métropole attributions ont été réalisées dont 89 hors mutations et en mutations nouvelles demandes ont été déposées au cours de l année dont 8 1 hors mutations et 69 en mutations demandes hors mutations ont quitté le fichier (non renouvellement, abandons..) 11 mois : délai moyen des attributions pour Rennes Métropole ; 13,7 mois sur Rennes et 8,5 mois sur les autres communes.,5 demandes sont comptabilisées pour une attribution ;,3 hors mutations et 3, pour les mutations., propositions pour une attribution. Au 1 er janvier demandes sont en instance dont hors mutations et en mutations. demandes actives sans proposition enregistrent un délai anormalement long, (,8 % du total en instance) dont 16 hors mutations (1,3 % de ces demandes) et 78 en mutations (6,3 % de ces demandes en instance). AUDIAR 15 Logement social Suivi des demandes et des attibutions sur Rennes Métropole en 1 3
4 Au cours de l année 1, les livraisons neuves du parc social ont permis la mise en location de 9 nouveaux logements sur la métropole de Rennes. Ce niveau élevé, dans la moyenne des années antérieures, a facilité le bon niveau des attributions, car la rotation dans le parc social reste globalement faible, notamment sur Rennes où elle est impactée par les besoins liés aux restructuration du parc. Ainsi, au cours de l année 5 6 attributions ont été effectuées, dont 37 ont permis des premières entrées dans le parc social. Grâce à ce niveau élevé d attributions, le rapport demandes / attributions reste globalement satisfaisant (,5). Ces niveaux constants depuis 5 ans facilitent aussi les mutations internes dans le parc qui totalisent le 1/ des attributions en 1. Les délais d attributions demeurent également à un bon niveau avec une moyenne inférieure à un an (11 mois). Les délais sont toutefois toujours plus longs sur Rennes et notamment pour les parcs les plus anciens. Les demandes qui attendent dans le fichier au-delà des délais normaux fixés, sans avoir fait l objet de propositions, sont comme les années passées peu nombreuses, moins de 3 %. Et ce taux n est même que de 1,3 % pour les demandes hors mutations. En revanche, il convient de porter une vigilance particulière sur les demandes de mutations pour lesquelles 6 % sont toujours en attente au-delà des délais normaux sans avoir reçu de proposition. Les importantes opérations de réhabilitation en cours dans le parc contribuent en particulier à l accroissement des besoins en mutations, notamment lors de démolitions ou d opérations lourdes de restructuration. Avec près de 1 demandeurs en instance au 1 er janvier 15, le niveau de demandes reste élevé. Si les nouvelles inscriptions dans le fichier hors mutations ont marqué le pas, avec un recul de 5 %, en revanche les départs du fichier ont été moins nombreux. Moins de ménages ont résilié, abandonné ou n ont pas renouvelé leur demande. Le nombre de propositions enregistrées pour une attribution reste globalement assez constant autour de,. Bien sûr cette moyenne masque des disparités importantes. Les profils des demandeurs hors mutations sur la métropole sont toujours marqués par la précarité et globalement les attributions réalisées sont en accord avec ces profils. Les ménages inscrits se caractérisent toujours par leur jeunesse (18 % ont moins de 5 ans), leurs faibles ressources (pour 5 % inférieures à 3 % des plafonds PLUS), une dominante originaire de la métropole rennaise (51%), en forte proportion dans des situations d hébergement (3 %) et avec des statuts professionnels précaires (5 %). Il faut souligner qu en 1 la part des demandes de petits logements a été en forte augmentation. Elle atteint 55 % du total, et les attributions sur ces logements marquent le pas au contraire et affichent un décalage important dans leur structure avec seulement % de types 1 et. Logement social Suivi des demandes et des attibutions sur Rennes Métropole en 1 15 AUDIAR
5 Le bon niveau des attributions se poursuit en 1 : plus de 5 6 par an depuis 5 ans Pour la 5 ème année consécutive, le volume des attributions de logements sociaux réalisées sur l agglomération rennaise se situe autour de 5 6 logements. Attributions de l année sur RM évol. 7/1 évol. 11/1 1 ères entrées ,9,99 Mutations ,3 1,1 Total , 1, Au cours de cette dernière année, on observe une quasi stabilité des attributions concernant les 1 ères entrées (-1,3 %), alors que le volume des mutations a progressé de 5 %. Cette progression correspond à la volonté de répondre au besoin de ménages logés dans le parc social et qui n ont d autres possibilités de ATTRIBUTIONS ANNUELLES NATURE DES ATTRIBUTIONS 6 5 Mutations ères entrées parcours résidentiels que les mutations à l intérieur de ce parc, en raison d un profil socio-économique marqué par la précarité. Il s agit en forte proportion d attributions sur la ville de Rennes comme on le verra plus loin. Le niveau élevé des livraisons de logements est le facteur principal de ces bons résultats. Après l année 13 qui avait connu un recul des livraisons, on enregistre en 1 près de 1 nouveaux logements mis en location sur la métropole (91), soit dans la moyenne des livraisons de ces dernières années (987 logements), avec une proportion importante sur Rennes : 3 % contre 7 % au cours des années précédentes. LIVRAISONS ANNUELLES TAUX D'ATTRIBUTIONS HORS LIVRAISONS ET HORS MUTATIONS = REMISES EN LOCATION Rennes Périphérie Total En effet, le volume des livraisons détermine en majeure partie la capacité de réponse à la demande, car les taux de rotation (pour autant que nous puissions les approcher[1]) restent faibles surtout sur la ville de Rennes alors que les volumes de demandes demeurent importants. La demande en instance reste élevée avec près de 1 demandeurs au 1 er janvier 15 Le niveau constant et important des attributions n a pas empêché le volume des demandes en instance fin 1 d augmenter, avec une progression de 3,3 % pour celles concernant les 1 ères entrées dans le parc. Demandes au 1 er janvier sur RM évolution 8 /11 évolution 1 /15 1 ères entrées ,93 1,8 Mutations ,59 1,16 Total ,7 1,1 [1] Faute de données sur les départs, le taux de rotation est défini par le rapport des attributions hors livraisons et hors mutations internes sur le parc hors livraisons et hors mutations. Il s agit d une appréciation du «taux de remises en location». AUDIAR 15 Logement social Suivi des demandes et des attibutions sur Rennes Métropole en 1 5
6 Pourtant, les nouvelles demandes déposées au cours de l année, ont quant à elles marqué le pas. Au total leur baisse est de près de 3 %, avec une évolution contrastée entre les demandes de mutations qui continuent à augmenter de près de % tandis que les demandes pour entrer dans le parc baissent de près de 5 %. DEMANDES HORS MUTATIONS En instance en fin d'année Déposées dans l'année DEMANDES AU 1 ER JANVIER Mutations ères entrées Nouvelles demandes sur RM déposées en : évolution 1 /7 1 ères entrées ,6 Mutations ,8 Total ,67 Ce résultat est en apparence paradoxal : on enregistre en fin d année une augmentation des demandes en stock, alors que les attributions de l année ont été stables et que les nouvelles demandes déposées ont été en baisse. Cette contradiction s explique par la troisième variable constituant les flux : les demandes qui quittent le fichier (non renouvellement, abandons ). Celles-ci, hors mutations ont été beaucoup moins nombreuses en 1 que les années antérieures, elles ont enregistré une baisse de 1 %. En 13 elles représentaient 5 % des demandes en instance au 1 er janvier, alors qu en 1 elles n en totalisent plus que 37 %. Cela relève sans doute de plusieurs facteurs : les demandeurs préfèrent attendre dans la mesure où les délais sont relativement supportables et leurs profils sont tels qu une autre alternative est peu envisageable (accès à une location dans le parc privé notamment). Demandes hors mutations sur Rennes Métropole ayant quitté le fichier en : Nombre de demandes En % des demandes au 1 er janvier 35,5 38,,3 5,8,5 5,1 36,7 Les indicateurs de satisfaction de la demande restent à un bon niveau Avec,3 demandes pour une attribution concernant les entrées dans le parc, les demandes conservent un bon niveau de satisfaction. Depuis ans, cet indicateur connait toutefois une légère mais régulière nouvelle tension, passant de 1,9 en 1 à,3 en 1. Cette situation résulte pour les 1 ères entrées dans le parc, à la fois d un tassement des attributions et d une progression des demandes en instance. Le niveau de satisfaction pour les mutations se tend légèrement également avec 3, demandes pour une attribution en 1 au lieu de 3 en 1. Ce résultat est dû exclusivement à l augmentation des demandes car les attributions ont progressé au cours des dernières années. NOMBRE DE DEMANDES POUR UNE ATTRIBUTION DEMANDES EN INSTANCE / ATTRIB. (en global et hors mutations) Total RM Hors mutations - RM Demandes en instance en fin d année pour 1 attribution au cours de l année 1 ères entrées indisp. 3,,, 1,9,1,,,3 Mutations,3,, 3, 3,1 3, 3, 3, Total 3,6 3,8 3,,9,3,7,1,3,,,5 6 Logement social Suivi des demandes et des attibutions sur Rennes Métropole en 1 15 AUDIAR 3 1
7 Le bon niveau de satisfaction des attributions s observe également par le délai d attribution de 11 mois en moyenne, tous types, toutes communes et tous parcs confondus. Là aussi, une légère tension s observe depuis ans, avec des délais d attributions moyens comptant un mois de plus qu en 1. Bien sûr, cette moyenne est très différente selon le type de logements et la nature des parcs. Ainsi, cette moyenne s établit autour de 1 mois pour les attributions réalisées sur le parc d avant 1975 alors qu elle se situe autour de 1 mois pour les logements postérieurs à 198. Délais moyens des attributions de RM Délais en mois 15, 15, 1,3 1,9 1, 9, 1,7 11,1 1 er janvier 15 TOTAL Hors mutations Mutations Demandes en instance Dont en délais dépassés % % % dont sans propostion 668,6% 38 3,8% 8 6,5% dont Actives,8% 16 1,3% 78 6,3% Dans ce contexte, les demandes qui restent en attente et enregistrent des délais d attente anormalement longs sont très minoritaires. Il s agit de délais dépassant 3 mois pour les types 1, ou 3 et mois pour les autres logements. Si au total elles constituent 17 % des 1 demandes en instance au 1 er janvier 15, elles sont moins de 5 % à n avoir reçu aucune proposition. Et si on exclut les demandes de mutations, cette proportion n est de 3,8 % (38 demandes), dont seulement 16 dites actives sont véritablement en situation de recevoir une proposition, pour les autres, les propositions sont bloquées pour diverses raisons (date de sortie de structures ou établissements encore inconnue, dossiers incomplets, refus multiples, ). Si le nombre global de ces demandes en attente hors délais est relativement faible, il convient toutefois de s interroger sur les 78 demandes de mutations qui n ont reçu aucune proposition et qui représentent tout de même 6,3 % des demandes de mutations. A priori, le niveau d urgence est moindre puisque ces ménages sont déjà logés dans le parc social, mais quelle est exactement la nature de cette attente? Le rapprochement offre/ demande est toujours difficile : nature de l offre et modalités de gestion des mutations sont complexes à harmoniser sur l ensemble de la métropole. Les bailleurs ont entrepris un travail commun sur le sujet. Cette situation se double de nouvelles demandes liées aux opérations de réhabilitation qui vont s échelonner sur plusieurs années. Des situations toujours différentes entre Rennes et la périphérie liées à la nature des parcs Si le volume des attributions est resté quasiment stable sur l ensemble de la métropole, cela s est traduit par des évolutions divergentes entre la ville de Rennes (léger accroissement) et les communes de la périphérie (faible baisse). Cela s explique par un volume de livraison de logements plus important sur la ville de Rennes en 1 au regard des années antérieures. ATTRIBUTIONS ANNUELLES Rennes Périphérie DÉLAI MOYEN D'ATTRIBUTION (en mois) Rennes Périphérie Total RM Globalement, on observe depuis 7 un écart qui se réduit entre les volumes d attributions sur Rennes et la périphérie, les deux courbes se rapprochent. L effet parc joue de façon plus importante sur la ville de Rennes que sur les communes de la périphérie, ce qui explique des délais d attributions en moyenne plus longs sur la ville-centre (13,7 mois) que sur les autres communes (8,5 mois). Le parc antérieur à 1975, qui connait des délais d attributions plus longs, y est beaucoup plus représenté. Sur Rennes, 57 % des attributions ont été réalisées en moins de 1 mois, sur les autres communes elles sont 77 %. AUDIAR 15 Logement social Suivi des demandes et des attibutions sur Rennes Métropole en 1 7
8 La part des attributions consacrée aux mutations est plus importante à Rennes (7 %) que dans les communes périphériques (1 %). Ainsi 3,8 % du parc total, nouvelles livraisons incluses, sont consacrés aux mutations, soit 3,5 % sur Rennes et,3 % sur les communes périphériques. Les taux des logements remis en location, hors mutations[], totalisent environ 1 % du parc au cours de ces dernières années, avec une baisse en 1. Ce taux bien sûr diffère entre le parc rennais (moins de 1 %) et celui de la périphérie (entre 1 et 1 %), en raison des rythmes de rotation plus rapides et plus importants sur le parc plus récent des communes périphériques. TAUX DU PARC CONSACRÉ AUX MUTATIONS * Rennes Périphérie Total TAUX D'ATTRIBUTIONS HORS LIVRAISONS ET HORS MUTATIONS = REMISES EN LOCATION ** Périphérie Total * Les mutations internes à Rennes Métropole sur le parc de ** Attributions hors livraisons et hors mutations sur le parc l année livraisons incluses au 11 1 er janvier Rennes PROPOSITIONS ET ATTRIBUTIONS SUR RM 16 Propositions Attributions PROPOSITIONS Rennes Périphérie ATTRIBUTIONS Rennes Périphérie S il faut toujours faire plusieurs propositions avant l attribution d un logement, ce rapport reste quasiment inchangé depuis de nombreuses années (depuis 9). La moyenne, qui bien sûr cache beaucoup d écarts, s établit autour de, propositions pour une attribution. Il a fallu près de 13 8 propositions en 1 pour réaliser 5 68 attributions. Depuis 9, la tendance est à la stabilisation avec un rapport autour de, propositions pour une attribution, et ce tant sur la ville de Rennes, avec un taux de,5 en 1, que sur les autres communes où ce rapport est de,3 propositions pour une attribution. Rennes Métropole Attributions Propositions Propositi. / attribut. 1,9 1,9,,,,5,, NOMBRE DE PROPOSITIONS POUR UNE ATTRIBUTION Rennes Périphérie [] Faute de données sur les départs, le taux de rotation est défini par le rapport des attributions hors livraisons et hors mutations internes sur le parc hors livraisons et hors mutations. Il s agit d une appréciation du «taux de remises en location». 8 Logement social Suivi des demandes et des attibutions sur Rennes Métropole en 1 15 AUDIAR
9 Des demandeurs toujours en grande précarité et une demande renforcée en petits logements Sur les demandeurs en instance au 1 er janvier 15, près de 1 (9 986 exactement) sont inscrits pour une demande hors mutation, soit une augmentation de 3 % en un an. Le profil de ces ménages demandeurs est toujours marqué par la précarité : faibles ressources, statut de logement et du travail précaire, personnes isolées et familles séparées L année 1 se distingue principalement par un renforcement des demandes concernant des ménages résidant sur la métropole, occupant un emploi précaire et souhaitant un petit logement. Face à cette évolution, les attributions conservent un profil en adéquation avec celui des demandeurs, avec toutefois un décrochage en ce qui concerne la typologie des logements et donc la composition familiale. Les demandeurs de logements sociaux sont pour les 3/ domiciliés sur la métropole et plus d un demandeur sur deux est rennais. Les attributions réalisées suivent globalement cette répartition, il n y a pas de décrochage majeur en fonction de l origine même si le nombre de demandes en instance rapporté aux attributions est un peu supérieur pour les ménages extérieurs à la métropole. Plus d un demandeur sur deux est une personne isolée, et 55 % de demandes concernent des types 1 et. La progression des demandes en petits logements est particulièrement importante, leur part dans l ensemble des demandes a progressé de 5 points en ans. En revanche la structure des demandes selon la composition familiale a peu changé au cours des dernières années. Il y a donc sans doute adaptation de la demande des ménages en fonction de leurs capacités. Nombre de demandes en instance pour 1 attribution hors mutations selon l adresse Rennes,,3,,5, Autres communes RM 1,6 1,8 1,9 1,8 1,9 Hors RM 1,6,3,3,,8 Total 1,9,1,,,3 DEMANDES SELON LA DOMICILIATION ATTRIBUTIONS SELON LA DOMICILIATION Hors RM Périphérie Rennes HORS MUTATIONS DEMANDES PAR TYPES T5 et + T T3 T DEMANDES COMPOSITION FAMILIALE Famill. monopar. Couples avec enfants Couples sans enfant Personnes seules HORS MUTATIONS AUDIAR 15 Logement social Suivi des demandes et des attibutions sur Rennes Métropole en 1 9
10 Face à cette évolution des demandes, on observe un décrochage des attributions. Celles-ci ont enregistré une diminution pour les petits logements, ce qui induit un différentiel important de 15 points entre la part des types 1 et au sein des demandes et des attributions (elle était de 8 points en 13). De même entre la part des demandes et des attributions pour les personnes isolées, le différentiel est de 9 points (il était de et 5 points en 13). ATTRIBUTIONS PAR TYPES T5 et + T T3 T1- DEMANDES ET ÂGE DU DEMANDEUR ATTRIBUTIONS STRUCTURE FAMILIALE Famill. monopar. Couples avec enfants Couples sans enfant Personnes seules HORS MUTATIONS DEMANDES ET LOGEMENT OCCUPÉ Le profil des demandeurs reste toujours jeune, et pour une part importante en situation d hébergement. La composition par âge des demandeurs n a pas changé, demandeurs sur 1 ont moins de 3 ans et près de 1 sur 5 moins de 5 ans. La part des ménages demandeurs occupant un logement temporaire, en hébergement ou transit est toujours la plus importante. En regard de ces profils, les attributions en 1 témoignent toujours d une bonne prise en compte des situations d hébergement, avec même un renforcement au cours de cette dernière année. La répartition selon l âge est également très voisine de celle des demandeurs > 6 ans 6-6 ans 31-5 ans 5-3 ans < 5 ans Autres Chez les parents Hébergemt + AIVS Locataires HLM Locataire privé HORS MUTATIONS ATTRIBUTIONS ET ÂGE > 6 ans 6-6 ans 31-5 ans 5-3 ans < 5 ans ATTRIBUTIONS ET LOGEMENT PRÉCÉDENT Autres Chez les parents Hébergemt + AIVS Locataires HLM Locataire privé HORS MUTATIONS 1 Logement social Suivi des demandes et des attibutions sur Rennes Métropole en 1 15 AUDIAR
11 La précarité professionnelle des demandeurs s est renforcée. En 1, un demandeur sur deux occupe un emploi précaire ou est à la recherche d un emploi, et les couples mono-actifs constituent toujours 5 % du total. Dans ces conditions la répartition des demandeurs selon leurs ressources présente comme les années antérieures une part de ménages dont 5 % ont des revenus inférieurs à 3 % des plafonds PLUS, c est-à-dire au minima sociaux (Cf tableau ci-joint) soit 56 euros mensuels pour une personne seule ou 9 euros pour une personne seule avec un enfant. Les attributions réalisées en 1 tiennent compte de cette précarité, puisque % des attributions ont concerné des ménages en situation de précarité professionnelle et que 7 % des logés au cours de l année avaient des revenus ne dépassant pas 3 % des plafonds PLUS. Au fil des années ce respect de la précarité est renouvelé et même la part des attributions vis-à-vis des ménages ayant des situations professionnelles précaires s est renforcée. DEMANDES ET STATUT DU TRAVAIL Inactifs Couples mono-actifs Emplois précaires Situations intermédiair. Emplois stables ATTRIBUTIONS ET STATUTS DU TRAVAIL Inactifs Couples mono-actifs Emplois précaires Situations intermédiair. Emplois stables DEMANDES ET PLAFONDS DE RESSOURCES ATTRIB. ET PLAFONDS DE RESSOURCES % et + 6 à < 1 % 3 à < 6 % < 3 % HORS MUTATIONS % et + 6 à < 1 % 3 à < 6 % < 3 % HORS MUTATIONS Revenus mensuels correpondant aux plafonds PLUS au 1 er janvier 1 1% 6% 3% % Pers seules Couple ss enfant ( pers Couple / Pers seules + 1 enfant Couple / Pers seules + enfants Couple / Pers seules + 3 enfants Couple / Pers seules + enfants AUDIAR 15 Logement social Suivi des demandes et des attibutions sur Rennes Métropole en 1 11
12 Contact Catherine Caille c.caille@audiar.org Agence d'urbanisme et de développement Intercommunal de l'agglomération Rennaise 3 rue Geneviève de Gaulle-Anthonioz CS RENNES Cedex T : ETU-1
Cet article s attache tout d abord
Méthodes internationales pour comparer l éducation et l équité Comparaison entre pays des coûts de l éducation : des sources de financement aux dépenses Luc Brière Marguerite Rudolf Bureau du compte de
Plus en détailMARCHÉ IMMOBILIER DE BUREAUX
MARCHÉ IMMOBILIER DE BUREAUX PERSPECTIVES CONJONCTURE ÉCONOMIQUE LE MARCHÉ DES BUREAUX EN ILE-DE-FRANCE 1 er Semestre 212 PERSPECTIVES Un contexte de marché favorable aux utilisateurs La crise financière
Plus en détailLes parcs de logements et leur occupation. dans l Aire Urbaine de Lille et sa zone d influence. Situation 2005 et évolution 1999-2005
Les parcs de logements et leur occupation dans l Aire Urbaine de Lille et sa zone d influence Situation 2005 et évolution 1999-2005 Décembre 2008 Le territoire d étude 2 Agence de développement et d urbanisme
Plus en détailLE PASS-TRAVAUX. Edition 2008. Le prêt PASS-TRAVAUX concerne principalement les propriétaires, seuls 2% des bénéficiaires étaient locataires en 2007.
Edition 2008 LE PASS-TRAVAUX Le prêt PASS-TRAVAUX concerne principalement les propriétaires, seuls 2% des bénéficiaires étaient locataires en 2007. A la demande de l ANPEEC, MV2 Conseil a réalisé, en 2007,
Plus en détailLe marché immobilier de bureaux en Ile-de-France 4 ème trimestre 2014. Accelerating success.
Le marché immobilier de bureaux en Ile-de-France 4 ème trimestre 214 Accelerating success. PERSPECTIVES Une année 215 dans la continuité > Après le creux de 213, l activité sur le marché des bureaux francilien
Plus en détailComité national d évaluation du rsa Annexes
Comité national d évaluation du rsa Annexes Annexe 11 La mise en place du Rsa dans les caisses d allocations familiales (*) Pauline Domingo, Stéphane Donné (Cnaf) Décembre 2011 Les documents d études sont
Plus en détail1/5 ENFANTS ETAUTRES PERSONNES VIVANT AU FOYER SI ENFANTS ACCUEILLIS EN DROIT DE VISITE ET D HEBERGEMENT, PRECISER :
1/5 Service Logement 21, route de la Côte d Amour 44600 SAINT-NAZAIRE - 02.49.14.80.83 - - 02.40.53.03.33 DEMANDE D ACCES A UN LOGEMENT EN SOUS-LOCATION 1 LE(S) DEMANDEUR(S) 1 DEMANDEUR CONJOINT Nom(s)
Plus en détailGUIDE PRATIQUE. Du provisionnement des emprunts à risques
Ministère de l Égalité des territoires et du Logement Ministère de l Économie et des Finances GUIDE PRATIQUE Du provisionnement des emprunts à risques Application aux Offices Publics de l Habitat à comptabilité
Plus en détailFocus. Lien entre rémunération du travail et allocation de chômage
Focus Lien entre rémunération du travail et allocation de chômage Introduction Le travailleur qui devient chômeur et qui est admissible sur base de prestations de travail se voit, en application du principe
Plus en détailL allocataire dans un couple : l homme ou la femme?
L allocataire dans un couple : l homme ou la femme? par Alain Jacquot CNAF-Bureau des Prévisions Les CAF versent une trentaine de prestations (prestations familiales stricto sensu, aides au logement, et
Plus en détailMarché de l occasion et exigences de rénovation énergétique. Rencontre de l Observatoire 21 mai 2015
Marché de l occasion et exigences de rénovation énergétique Rencontre de l Observatoire 21 mai 2015 Logements neufs / logements d occasion 7 700 logements d occasion vendus en 2013 dans l aire urbaine
Plus en détailDTZ Research. Les Clés du Marché ILE-DE-FRANCE T4 2013 Léger mieux côté transactions. Clés du marché du 4 ème trimestre 2013.
Les Clés du Marché ILE-DE-FRANCE T4 2013 Léger mieux côté transactions 7 Janvier 2014 Données Ile-de-France T4 2013 : Demande placée : 1 844 500 m² Loyer moyen de première main : 443 Loyer moyen de seconde
Plus en détail4.04 Etat au 1 er janvier 2013
4.04 Etat au 1 er janvier 2013 Rentes d invalidité de l'ai Généralités 1 Les personnes assurées qui, du fait d une atteinte à la santé, sont totalement ou partiellement empêchées de travailler ou d accomplir
Plus en détailATELIER DROIT DES CONTRATS, DE LA CONSOMMATION ET DU COMMERCE ELECTRONIQUE
ATELIER DROIT DES CONTRATS, DE LA CONSOMMATION ET DU COMMERCE ELECTRONIQUE Présidence : Martine Behar-Touchais, professeur à l Université Paris Descartes (Paris V) Les clauses abusives à l épreuve de la
Plus en détailL INSEE EN BREF. L Insee en bref. La mesure du chômage par l Insee. N 4 Septembre 2012. Combien y a t il de chômeurs en France?
L INSEE EN BREF L Insee en bref N 4 Septembre 2012 La mesure du chômage par l Insee Combien y a t il de chômeurs en France? Quelle définition des chômeurs retient l Insee? Comment l Insee mesure t il le
Plus en détailAides pour restaurer les parties communes des immeubles en copropriété. Aides pour restaurer un logement locatif
DISPOSITIONS PRATIQUES OPAH COPROPRIETE RENNES Dans le cadre de l Opération programmée d amélioration de l habitat engagée par la Ville de Rennes sur le centre depuis mars 2007, pour une durée de cinq
Plus en détailla création d entreprise en nord-pas de calais
Nord-Pas de Calais N 184 SEPTEMBRE 2014 la création d entreprise en nord-pas de calais Près de 24 000 créations d entreprise en 2013 en Nord-Pas de Calais En 2013, les créations ont légèrement baissé en
Plus en détailLes durées d emprunts s allongent pour les plus jeunes
Revenus Les durées d emprunts s allongent pour les plus jeunes Marie-Émilie Clerc, Pierre Lamarche* Entre 2005 et 2011, l endettement des ménages a fortement augmenté, essentiellement du fait de la hausse
Plus en détailLe Domicile Collectif FTVS ( Foyer de Transition à la Vie Sociale)
Le Domicile Collectif FTVS ( Foyer de Transition à la Vie Sociale) Son histoire 1972 Situé à Villefranche-sur-Saône, le FTVS était un service de transition professionnelle vers le milieu ordinaire. 1993
Plus en détailLE CONSEIL GÉNÉRAL VOUS PRÉSENTE. Constitution du dossier de demande d agrément
LE CONSEIL GÉNÉRAL VOUS PRÉSENTE haute-garonne.fr Le dossier de demande Constitution du dossier de demande d agrément Les pièces à communiquer à la confirmation de la demande : u Le formulaire «ADOPTION-Demande
Plus en détailBaromètre France générosités- CerPhi Evolution des dons des particuliers et du profil des donateurs - 2010 & 2011
Baromètre France générosités- CerPhi Evolution des dons des particuliers et du profil des donateurs - 2010 & 2011 Baromètre établi à partir des sources suivantes: 2010 - Données transmises par la Direction
Plus en détailPRÊT SOCIAL Pour les agents de l AP-HP
DOSSIER N :. PRÊT SOCIAL Pour les agents de l AP-HP Emprunteur Co-emprunteur Mr Mme Mr Mme Nom d usage (en majuscules) :..... Nom de famille (nom de jeune fille) :.. Prénoms :.. Nom d usage (en majuscules)
Plus en détailRetraite du Service public! Préfon-Retraite : la retraite complémentaire du service public
Retraite du Service public! Préfon-Retraite : la retraite complémentaire du service public Préfon-Retraite : la retraite complémentaire du service public Préfon (Caisse nationale de prévoyance de la fonction
Plus en détail1- Résultats généraux Consommations moyennes pour l ensemble des voitures particulières * Unité : litre/100 km
CONSOMMATIONS DE CARBURANTS DES VOITURES PARTICULIERES EN FRANCE 1988-2005 Direction Générale de l'énergie et des Matières Premières Observatoire de l économie de l énergie et des matières premières Observatoire
Plus en détailCE QU IL FAUT SAVOIR POUR GUIDER NOS INTERLOCUTEURS DANS LE DOMAINE DE LA SANTE
CE QU IL FAUT SAVOIR POUR GUIDER NOS INTERLOCUTEURS DANS LE DOMAINE DE LA SANTE SE SOIGNER A MOINDRE FRAIS... 2 La CMU de BASE... 3 LA CMU COMPLEMENTAIRE... 5 L ACS... 7 TABLEAU... 8 L'AME... 9 LE CMP...
Plus en détailcontre la pauvreté et pour l inclusion sociale
PREMIER MINISTRE PLAN PLURIANNUEL contre la pauvreté et pour l inclusion sociale 3 mars 2015 SYNTHÈSE Adopté à la suite d un comité interministériel de lutte contre l exclusion en 2013, le plan pluriannuel
Plus en détailInstructeur du dossier : Adresse : Téléphone : E-mail :
Commission Permanente d Action Sociale. DEMANDE d AIDE FINANCIERE 2015 Vacances Familiales ou Individuelles, Cures, Voyages pour Insuffisants Respiratoires, Maladies rares, Neurologiques, Asthme Séjours
Plus en détailvous êtes en charge des services sociaux auprès d une collectivité locale ou territoriale,
Vous êtes un professionnel du corps médical ou des services sociaux, vous travaillez au sein d un établissement spécialisé, vous êtes en charge des services sociaux auprès d une collectivité locale ou
Plus en détailCommission de Surveillance du Secteur Financier
COMMUNIQUE DE PRESSE 13/20 PUBLICATION DU RAPPORT D ACTIVITES 2012 DE LA COMMISSION DE SURVEILLANCE DU SECTEUR FINANCIER (CSSF) Même si cela peut paraître surprenant par des temps aussi mouvementés, l
Plus en détailLes paradoxes des marchés de bureaux et du logement Les prévisions IEIF 2013. 2013 : l année dangereuse Entre rechute et guérison?
Les paradoxes des marchés de bureaux et du logement Les prévisions IEIF 2013 2013 : l année dangereuse Entre rechute et guérison? 2013 : scénarios pour l économie française Scénario central 80% de probabilité
Plus en détailL IMPACT DE LA MUTUALISATION SUR LES RESSOURCES HUMAINES
ANNEXES L ISTE DES ANNEXES ANNEXE I : ANNEXE II : ANNEXE III : ANNEXE IV : ÉVOLUTION DES DEPENSES DES COMMUNES ET DES EPCI DE 2006 A 2013 OUTILS JURIDIQUES DE MUTUALISATION A DISPOSITION DES ACTEURS LOCAUX
Plus en détailPROTECTION MALADIE LA COMPLÉMENTAIRE CMU
LA COMPLÉMENTAIRE CMU La complémentaire CMU (Couverture maladie universelle) est une protection maladie complémentaire de service public, gratuite, sous condition de ressources, dont le contenu est défini
Plus en détailPhotographie statistique des accidents de travail, des accidents de trajet et des maladies professionnelles en France selon le sexe entre 2001 et 2012
Photographie statistique des accidents de travail, des accidents de trajet et des maladies professionnelles en France selon le sexe entre 2001 et 2012 Des tendances d évolution différenciées pour les femmes
Plus en détailPIG Programme d Intérêt Général Communauté de Communes Les Hauts du Lyonnais. Réunion Publique du 27/06/2013
PIG Programme d Intérêt Général Communauté de Communes Les Hauts du Lyonnais Réunion Publique du 27/06/2013 1 Sa durée est de 3 ans de Juin 2013 à Mai 2016. Le périmètre de l opération concerne les 10
Plus en détailPoints de vigilance. Marc PILLON, Conseiller technique 14/02/201 3. Journée patrimoine immobilier
Points de vigilance Marc PILLON, Conseiller technique 14/02/201 3 Journée patrimoine immobilier 1 Sommaire Différentes modalités d acquisition Rappels réglementaires Cessations d activité et fermetures
Plus en détail3.01 Prestations de l AVS Rentes de vieillesse et allocations pour impotent de l AVS
3.01 Prestations de l AVS Rentes de vieillesse et allocations pour impotent de l AVS Etat au 1 er janvier 2015 1 En bref Lorsque vous atteignez l âge ordinaire de la retraite, vous avez droit à une rente
Plus en détailFiche d information à l intention des parents. Volet 2 Les options résidentielles
Centre de réadaptation en déficience intellectuelle de Québec (CRDI de Québec) 7843, rue des Santolines Québec (Québec) G1G 0G3 Téléphone : 418 683-2511 Télécopieur : 418 683-9735 www.crdiq.qc.ca Fiche
Plus en détailÉtude sur les taux de revalorisation des contrats individuels d assurance vie au titre de 2013 n 26 mai 2014
n 26 mai 2014 Étude sur les taux de revalorisation des contrats individuels d assurance vie au titre de 2013 Sommaire 1.INTRODUCTION 4 2.LE MARCHÉ DE L ASSURANCE VIE INDIVIDUELLE 6 2.1.La bancassurance
Plus en détailComment on le demande
LE CRÉDIT POUR LA SOLIDARITÉ C est pour tout le monde! Un outil du Collectif pour un Québec sans pauvreté Mai 2011 Le crédit pour la solidarité a été annoncé par le ministre des Finances en mars 2010.
Plus en détailBROCHURE DESTINÉE A ACCOMPAGNER LA MISE EN OEUVRE DE LA PART INCITATIVE DE LA TAXE D ENLEVEMENT DES ORDURES MENAGERES
BROCHURE DESTINÉE A ACCOMPAGNER LA MISE EN OEUVRE DE LA PART INCITATIVE DE LA TAXE D ENLEVEMENT DES ORDURES MENAGERES SOMMAIRE I- AVANT-PROPOS I.1- LES TROIS MODES DE FINANCEMENT DU SERVICE PUBLIC D ÉLIMINATION
Plus en détailLa publication, au second
Les entreprises industrielles françaises de plus en plus impliquées dans les NTIC Malgré l adoption accélérée des différents outils des nouvelles technologies de l information et de la communication (NTIC)
Plus en détailCe guide a pour objectif de vous
La défiscalisation des dons aux fondations et associations déclarées d utilité publique Ce guide a pour objectif de vous permettre de déterminer au mieux la répartition des imputations de vos dons sur
Plus en détailHeures supplémentaires
Heures supplémentaires Présentation et évolutions des allégements Tepa La loi du 21 août 2007 en faveur du travail, de l emploi et du pouvoir d achat a créé au 1er octobre 2007, une exonération d impôt
Plus en détailEtude statistique des données fournies par la CCIJP
Etude statistique des données fournies par la CCIJP Sommaire Introduction : Stagnation du nombre de cartes accordées en 2012... 4 1. Dans quels secteurs d activité les journalistes encartés travaillent-ils?
Plus en détailCONTRAT DE BAIL POUR UN APPARTEMENT Entre : 1. Monsieur... et Madame... domicilies a... ci-apres denomme bailleur - et 2. Monsieur... et madame...
CONTRAT DE BAIL POUR UN APPARTEMENT Entre : 1. Monsieur... et Madame... domicilies a... ci-apres denomme bailleur - et 2. Monsieur... et madame... domicilie actuellement a... ci-apres denomme locataire
Plus en détailPoint d actualité. Conseil Economique, Social & Environnemental Régional. Séance plénière 2 février 2015
Conseil Economique, Social & Environnemental Régional Point d actualité Séance plénière 2 février 2015 Rapporteur général : Jean-Jacques FRANCOIS, au nom du Comité de Conjoncture CONTEXTE GÉNÉRAL A la
Plus en détailActivité des programmes de médicaments
Chapitre 4 Section 4.05 Ministère de la Santé et des Soins de longue durée Activité des programmes de médicaments Suivi des vérifications de l optimisation des ressources, section 3.05 du Rapport annuel
Plus en détailL offre d accueil collectif des enfants de moins de six ans
Mois AAAA En bref L objectif de cette fiche est de donner une vision chiffrée du nombre d établissements collectifs d accueil de jeunes enfants (les structures monoaccueil et multi-accueil) et de montrer
Plus en détailUNE ACCESSION SOCIALE À LA PROPRIÉTÉ SÉCURISÉE
CHIFFRES CLÉS DU LOGEMENT SOCIAL ÉDITION NATIONALE SEPTEMBRE 2011 UNE ACCESSION SOCIALE À LA PROPRIÉTÉ SÉCURISÉE En 2010, les opérateurs Hlm ont également vendu 16 000 logements destinés à des accédants,
Plus en détailLES MODES D ADAPTATION ET DE COMPENSATION DU HANDICAP : Les personnes handicapées motrices à domicile (enquête HID 1999)
Délégation ANCREAI Ile-de-France CEDIAS - 5 rue Las-Cases 75007 PARIS Tél : 01 45 51 66 10 Fax : 01 44 18 01 81 E-mail : creai.idf@9online.fr Contact : Carole PEINTRE LES MODES D ADAPTATION ET DE COMPENSATION
Plus en détailDemande de. logement. social. Ensemble, construisons durablement demain POLITIQUE. logement. et habitat
Demande de logement social Ensemble, construisons durablement demain POLITIQUE logement et habitat 1 Conditions d attribution Plafonds de ressources pour 2014 (revenu net imposable de l année N-2). Catégorie
Plus en détailéclairages QUI SONT LES ALLOCATAIRES INDEMNISÉS PAR L ASSURANCE CHÔMAGE? Près de 3 demandeurs d emploi sur 5 sont couverts par l Assurance chômage
éclairages ÉTUDES ET ANALYSES N 5 AVRIL 213 QUI SONT LES ALLOCATAIRES INDEMNISÉS PAR L ASSURANCE CHÔMAGE? L Unédic a réalisé une étude pour approfondir la compréhension de la population des allocataires
Plus en détaill'avenir de de décès
Assurer l'avenir de votre famille en cas de décès Mutuelles santé prévoyance AUTONOMIE retraite Pourquoi souscrire un contrat de prévoyance? Le décès, un risque trop fréquemment sous-estimé 1 personne
Plus en détailUE 4 Comptabilité et Audit. Le programme
UE 4 Comptabilité et Audit Le programme Légende : Modifications de l arrêté du 8 mars 2010 Suppressions de l arrêté du 8 mars 2010 Partie inchangée par rapport au programme antérieur 1. Information comptable
Plus en détailTests de sensibilité des projections aux hypothèses démographiques et économiques : variantes de chômage et de solde migratoire
CONSEIL D ORIENTATION DES RETRAITES Séance plénière du 16 décembre 2014 à 14 h 30 «Actualisation des projections» Document N 5 Document de travail, n engage pas le Conseil Tests de sensibilité des projections
Plus en détailP.A.R.A.D.S. PÔLES D ACCUEIL EN RÉSEAU POUR L ACCÈS AUX DROITS SOCIAUX
P.A.R.A.D.S. PÔLES D ACCUEIL EN RÉSEAU POUR L ACCÈS AUX DROITS SOCIAUX MAI 2011 SOMMAIRE ADMINISTRATIF - DOMICILIATION - C.N.I Carte Nationale d Identité - EXTRAIT D ACTE DE NAISSANCE - DEMANDE D ASILE
Plus en détailL analyse des marchés immobiliers par Crédit Foncier Immobilier sur les 9 premiers mois de 2013
Paris, le 15 octobre 2013 COMMUNIQUE DE PRESSE L analyse des marchés immobiliers par Crédit Foncier Immobilier sur les 9 premiers mois de 2013 Un marché immobilier résidentiel caractérisé par une baisse
Plus en détailRésumé de la réforme des pensions février 2012
NOTE AU BUREAU DU PARTI 27 février 2012 Résumé de la réforme des pensions février 2012 Ce résumé ne concerne que les pensions du secteur privé. Un autre document suivra lorsque la réforme des pensions
Plus en détailLa prise en compte du travail à temps partiel dans les droits à retraite des différents régimes
CONSEIL D ORIENTATION DES RETRAITES Séance plénière du 9 juillet 2014 à 9 h 30 «Carrières précaires, carrières incomplètes et retraite» Document N 10 Document de travail, n engage pas le Conseil La prise
Plus en détailCompte bancaire ou assurance vie? 5. Amortissement direct ou indirect?
92 LE GUIDE FINANCIER DU PROPRIÉTAIRE Compte bancaire ou assurance vie? La décision de prendre un compte bancaire dépendra du profil du client et de ses besoins. Par exemple, si l emprunteur est célibataire
Plus en détailObservatoire Crédit Logement / CSA du Financement des Marchés Résidentiels Tableau de bord trimestriel 1 er Trimestre 2013
Observatoire Crédit Logement / CSA du Financement des Marchés Résidentiels Tableau de bord trimestriel 1 er Trimestre 2013 I. L ensemble des marchés I.1. L environnement des marchés : les conditions de
Plus en détailSYNTHÈSE. En 2012, la province Sud compte 16 700 personnes. Le maintien à domicile : solution privilégiée des personnes âgées
SYNTHÈSE BP 823-98845 Nouméa Nouvelle-Calédonie (687) 27 54 81 isee@isee.nc www.isee.nc Directeur de la publication Alexandre Gautier Conception et réalisation Département publications Synthèse N 3 Édition
Plus en détailL ANALYSE DU «PARC SOCIAL DE FAIT» PARISIEN EN 2003 : UNE ANALYSE TERRITORIALISÉE DES PROFILS D OCCUPATION DES PARCS ET DES QUARTIERS
ATELIER PARISIEN D URBANISME - 17, BD MORLAND 75004 PARIS TÉL : 01 42 71 28 14 FAX : 01 42 76 24 05 http://www.apur.org Observatoire de l'habitat de Paris L ANALYSE DU «PARC SOCIAL DE FAIT» PARISIEN EN
Plus en détailPréparez-vous à changer d avis sur la banque.
- 1 - Préparez-vous à changer d avis sur la banque. Votre carte Visa offerte pendant 1 an ou votre carte Visa Premier offerte pendant 6 mois pour toute 1ère ouverture d un compte monabanq. avant le 30/09/2010.
Plus en détailPour le Développement d une Relation Durable avec nos Clients
Pour le Développement d une Relation Durable avec nos Clients Prestation de Certification CERTIFICATION-D D-Indice 7 Applicable le 09//009 CERTIFICATION D Indice 7 Page /7 GLOBAL sas 8, rue du séminaire
Plus en détailDétention des crédits : que nous enseignent les évolutions récentes?
1 Numéro 200, juin 2013 Détention des crédits : que nous enseignent les évolutions récentes? I) Un taux de détention en baisse La détention au plus bas historique A la fin de l année 2012, seulement 48,6%
Plus en détailCOMMENT REDUIRE SON IMPOT SUR LE REVENU?
COMMENT REDUIRE SON IMPOT SUR LE REVENU? 24 novembre 2009 1 PLAN DE L INTERVENTION Introduction 1 ère partie : La Loi Scellier 2 ème partie : La Loi Girardin Industriel 3 ème partie : La souscription au
Plus en détailLes crédits nouveaux à l habitat des ménages : les tendances à mi 2014
Les crédits nouveaux à l habitat des ménages : les tendances à mi 214 Gwenaëlle FEGAR Direction des Statistiques monétaires et financières Service d Analyse des financements nationaux Après une forte progression
Plus en détailGUIDE PRATIQUE déplacements professionnels temporaires en France et à l étranger
GUIDE PRATIQUE déplacements professionnels temporaires en France et à l étranger SOMMAIRE GUIDE PRATIQUE déplacements professionnels temporaires en France et à l étranger o o o o o o o o o o o o
Plus en détail1. Rappel des engagements - Roadmap actuelle (RM) Action 8
ACTUALISATION ROADMAP esante 2013-2018 SESSION N 1 04/05/15 Projet A8 : Instauration d un instrument d évaluation uniforme (BelRAI) 1. Rappel des engagements - Roadmap actuelle (RM) Action 8 En 2013, l
Plus en détailLe compte chèque jeune monabanq.
- 1 - Le compte chèque jeune monabanq. Découvrez notre offre dans son intégralité : 0810 002 001 (N Azur, prix d un appel local depuis un poste fixe, de 8h à 22h en semaine et de 8h à 20h le samedi). Principaux
Plus en détailREGLEMENT RELATIF AUX AIDES REGIONALES EN FAVEUR DES ELEVES ET ETUDIANTS EN FORMATIONS SOCIALES, PARAMEDICALES ET DE SANTE
CP 13/09/13 REGLEMENT RELATIF AUX AIDES REGIONALES EN FAVEUR DES ELEVES ET ETUDIANTS EN FORMATIONS SOCIALES, PARAMEDICALES ET DE SANTE VU le Code Général des Collectivités Territoriales, VU la délibération
Plus en détailPPE 1 : GSB. 1. Démarche Projet
PPE 1 : GSB 1. Démarche Projet Présentation de l entreprise : Galaxy Swiss Bourdin est une fusion entre Galaxy (un leader américain) et un regroupement Européen Swiss Bourdin. GSB a différentes activités
Plus en détailLes seniors dans l agglomération nantaise et leurs modes d hébergement
Les seniors dans l agglomération nantaise et leurs modes d hébergement Agence d urbanisme de la région nantaise AURAN - 88.07 n Le nombre de seniors dans l Agglomération nantaise progresse et plus particulièrement
Plus en détailBAROMETRE DE CONJONCTURE DE L HEBERGEMENT D ENTREPRISES
1 er et 2 ème trimestres 2012 Note semestrielle N 5 BAROMETRE DE CONJONCTURE DE L HEBERGEMENT D ENTREPRISES Une activité dynamique qui pourrait s essouffler L activité d hébergement d entreprises au premier
Plus en détailCorefris RAPPORT ANNUEL 2011. Annexe 3 : La hausse des prix de l immobilier est-elle associée à une «bulle» de crédit en France?
Annexe 3 : La hausse des prix de l immobilier est-elle associée à une «bulle» de crédit en France? (DGTrésor) 1. Indépendamment de facteurs d offre et de demande, qui jouent indéniablement sur les prix,
Plus en détailLes jeudis du patrimoine
Les jeudis du patrimoine Quelles solutions pouvez-vous envisager pour réduire votre impôt sur le revenu? Le 29 novembre 2012 19h30 07/12/2012 1 Présentation des héros du jour Couple : Sophie et Marc, 2
Plus en détailObjectifs, réalisations, perspectives. Mai 2013
OPAH-RR Pays Montmoriillllonnaiis 2007-2012 Objectifs, réalisations, perspectives Mai 2013 L année 2012 Préambule page 2 Les chiffres clefs 2012 page 3 PROPRIETAIRES OCCUPANTS Tableaux financiers Propriétaires
Plus en détailArtiscope. Les chiffres clés de l emploi dans l Artisanat en Région Centre Au 31 décembre 2013 (2ème Semestre 2013 - Année 2013)
Observatoire des Métiers et de l Artisanat Région Centre Juin 214 Artiscope Les chiffres clés de l emploi dans l Artisanat en Région Centre Au 31 décembre 213 (2ème Semestre 213 - Année 213) La révision
Plus en détailLe secrétariat du médecin libéral
Le secrétariat du médecin libéral Patrice MARIE Le premier contact du patient avec votre cabinet aura lieu par téléphone. Ce premier accueil du patient est donc primordial puisque de sa qualité dépendra
Plus en détailFocus sur les politiques publiques de l épargne en France
Focus sur les politiques publiques de l épargne en France T. Mosquera Yon Banque de France 1 En France, les pouvoirs publics ont, dès 1818, souhaité mettre en place des dispositifs visant à encourager
Plus en détailDROIT FISCAL. DCG - Session 2008 Corrigé indicatif
DROIT FISCAL DCG - Session 2008 Corrigé indicatif DOSSIER 1-1- Régime d imposition - Quel est le régime d imposition à la de la SA Habitat? La SA Habitat réalise des ventes (menuiseries) et des prestations
Plus en détailFiche conseil DIRIGEANT : Quel statut social choisir? Nos fiches conseils ont pour objectif de vous aider à mieux appréhender les notions :
DIRIGEANT : Quel statut social choisir? Fiche conseil Nos fiches conseils ont pour objectif de vous aider à mieux appréhender les notions : Certifié ISO 9001 Comptables Fiscales Juridiques, Sociales, de
Plus en détailCOTISATIONS ET POINTS DE
GUIDE RETRAITE COMPLÉMENTAIRE AGIRC ET ARRCO COTISATIONS ET POINTS DE LA RETRAITE COMPLÉMENTAIRE Guide salariés n o 3 Cotisations et points de la retraite complémentaire Sommaire La retraite, en bref...
Plus en détailJournée RESO 77 23 mai 2013. 16, passage de la Mogotte 77200 TORCY 01 60 05 66 63 01 64 80 72 43 meptorcy@wanadoo.fr
Journée RESO 77 23 mai 2013 16, passage de la Mogotte 77200 TORCY 01 60 05 66 63 01 64 80 72 43 meptorcy@wanadoo.fr HISTORIQUE DE LA MEP La MEP est une association loi 1901, créée en septembre 1974. Elle
Plus en détailCONJONCT URE. +1 point. Intentions de recrutements de cadres : entre prudence et reprise de confiance
CONJONCT URE estre NOTE DE conjoncture TRIMESTRIELLE de L APEC N Intentions de recrutements de cadres : entre prudence et reprise de confiance Les recruteurs font toujours preuve de prudence dans leurs
Plus en détailAssurance gratuite contre la perte de revenus
Assurance gratuite contre la perte de revenus INFORMATIONS GÉNÉRALES Statistiques voisines Périodicité Ponctualité Propriété L assurance gratuite contre la perte de revenus est une assurance souscrite,
Plus en détailQuelles nouveautés & quelles solutions pour réduire son impôt?
Quelles nouveautés & quelles solutions pour réduire son impôt? La Loi de Finances pour 2013 a introduit de nombreuses modifications concernant l ISF : le barème d imposition a été entièrement repensé,
Plus en détailjçíçêáë~íáçå=éí=ãçäáäáí =W=ÇÉë= ÅçãéçêíÉãÉåíë=éäìë=ê~íáçååÉäë=\==
= = ëééíéãäêé=omnm= Fiche n MQ= jçíçêáë~íáçå=éí=ãçäáäáí =W=ÇÉë= ÅçãéçêíÉãÉåíë=éäìë=ê~íáçååÉäë=\== = = L Enquête Nationale Trports et Déplacements (ENTD) réalisée en 27- est l occasion de faire le point
Plus en détailQuelle est l influence d une réduction des prestations d 1/5, via le crédit-temps et l interruption de carrière, sur le revenu du ménage?
Etudes Quelle est l influence d une réduction des prestations d 1/5, via le crédit-temps et l interruption de carrière, sur le revenu du ménage? Table des matières Introduction...7 Objectif, méthodologie
Plus en détailCONVENTION DE L OFFRE e.lcl A LA CARTE
Loi informatique et Libertés du 06/01/1978 modifiée et secret professionnel : Je reconnais avoir été informé(e) que le Crédit Lyonnais pourra utiliser les coordonnées électroniques (adresse e-mail, n de
Plus en détail- Attention : les renseignements et les pièces justifi catives citées sont obligatoires sauf quand il est indiqué qu ils sont facultatifs.
Recours amiable devant la commission départementale de médiation en vue de l accueil dans une structure d hébergement, un logement de transition, un logement-foyer ou une résidence hôtelière à vocation
Plus en détailINFORMATIONS SUR LE DROIT DE LA FAMILLE
DIRECTION DES SERVICES ADMINISTRATIFS SERVICE POPULATION ET CITOYENNETE SECTEUR ETAT CIVIL INFORMATIONS SUR LE DROIT DE LA FAMILLE Annexe du décret n 2002 1556 du 23 décembre 2002 Ce document est destiné
Plus en détailFONDS D AIDE FINANCIERE INDIVIDUELLE
Date de la demande :. PROCEDURE D URGENCE : Oui Non Date du dépôt de la demande : (à compléter par le service) (FE) FONDS D AIDE FINANCIERE INDIVIDUELLE Fonds de Solidarité pour le Logement (FSL) Accès
Plus en détailLutter contre les exclusions
D 2 COHESION SOCIALE ENTRE LES POPULATIONS, LES TERRITOIRES, LES GENERATIONS Si, globalement, la population vélizienne semble peu exposée au risque d exclusion (taux d emploi élevé, revenu médian moyen,
Plus en détailLE GUIDE LOI PINEL 2015 OU COMMENT SE CONSTITUER UN PATRIMOINE IMMOBILIER À MOINDRE EFFORT
LE GUIDE LOI PINEL 2015 OU COMMENT SE CONSTITUER UN PATRIMOINE IMMOBILIER À MOINDRE EFFORT L investissement Pinel, un Investissement immobilier Le site est édité par un groupement de conseillers en gestion
Plus en détailDOSSIER D ADMISSION ET DE CAUTION EN LOGEMENTS CROUS ANNEE UNIVERSITAIRE 2013/2014. NOM(S) PRENOM(S) de(s) étudiant(e)(s) :
IDES AU LOGEMENT Ministère de l Enseignement Supérieur et de la Recherche CENTRE REGIONAL DES OEUVRES UNIVERSITAIRES ET SCOLAIRES D AMIENS-PICARDIE (CROUS) DOSSIER D ADMISSION ET DE CAUTION EN LOGEMENTS
Plus en détailLes diplômes. Session 2012
note d information 13.05 AVRIL À la session 2012, 557 600 diplômes de l enseignement des niveaux IV et V ont été délivrés en France, dont 90 % par le ministère de l éducation nationale. 40 % de ces diplômes
Plus en détailPREMIERE DEMANDE OU RENOUVELLEMENT DE CARTE DE SEJOUR TEMPORAIRE VOUS PRESENTER PERSONNELLEMENT
PRÉFET DU VAL-D OISE SOUS-PREFECTURE DE SARCELLES Bureau des Ressortissants étrangers Mise à jour le 24/04/2013 PREMIERE DEMANDE OU RENOUVELLEMENT DE CARTE DE SEJOUR TEMPORAIRE VOUS PRESENTER PERSONNELLEMENT
Plus en détail