Des outils de contrôle de l inspecteur sur site aux expertises en laboratoire
|
|
- Claude Chagnon
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Des outils de contrôle de l inspecteur sur site aux expertises en laboratoire Céline Merlatti Docteur-Ingénieur en physico-chimie des polymères Inspecteur ACQPA / FROSIO Service Ingénierie des Matériaux 1 1
2 Présentation du Service Ingénierie des Matériaux Le SIM : Situé au sein d une école d ingénieur, SeaTech Mis en place pour donner accès aux industriels à un ensemble d équipements et de compétences scientifiques Une équipe de docteurs et d ingénieurs permanents (5 personnes) Plus de 15 ans d expérience Une certification ISO 9001 depuis 2002 Les domaines de compétence Expertises Etudes, essais, caractérisations et analyses des matériaux Expertise peinture suite à avarie Expertise corrosion Analyse chimique de polymères Vieillissements artificiels et naturels Formation continue Stage «Inspecteur ACQPA/FROSIO» Stage «Conducteur de travaux ACQPA» Stage introductif à l inspection des peintures Aujourd'hui 741 personnes formées, Pour la certification des inspecteurs, 380 stagiaires => 63% de réussite à l'examen Ils nous font confiance 2
3 Méthodologie d analyse proposée Conditions climatiques INSPECTION «TERRAIN» Contrôle de la qualité de la préparation de surface Degré de soin ISO et -2 Rugosité ISO et -5 Détection des poussières ISO Détection des contaminants solubles ISO et -9 Contrôle de la qualité du film sec Observations visuelles ISO , -2 Epaisseurs ISO et NFT Jauge d'inspection des peintures ASTM D4138 Test d adhérence par traction ISO
4 Méthodologie d analyse proposée INSPECTION «TERRAIN» Prélèvements EXPERTISE «LABO» Recherche des contaminants de surface Mesure de l épaisseur de chacune des couches du système Analyses des charges, pigments Détermination de la famille chimique de la peinture Recherche de solvants résiduels, de plastifiants Détermination de la Tg, phénomène de post-réticulation 4 4
5 L expertise «revêtement» une stratégie d analyse à plusieurs niveaux Système anticorrosion Corrosion - Conception générale d un ouvrage => Cas n 2 : désordres de type craquelage sur système de peinture => Cas n 3 : corrosion de vannes Substrat acier Préparation de surface => Cas n 1 : bilan avant remise en peinture 5 5
6 Cas n 1 : bilan initial avant remise en peinture Passerelle piétonne au dessus d unerivière Problème rencontré : dégradation importante du revêtement Objectif : expliquer les causes de ces défaillances prématurées 6 6
7 Cas n 1 : bilan initial avant remise en peinture Résultat de l analyse «terrain» : Observations visuelles : ISO : degré d'enrouillement Ri2 ISO : degré de craquelage 5, sans direction préférentielle, plutôt de type mosaïque Contrôle des épaisseurs à l aide du mesureur à flux électromagnétique et du P.I.G. : Application de la peinture hétérogène : Importante disparité au niveau des épaisseurs, Présence d'une ou deux couches de nature différentes et selon les zones 7 7
8 Cas n 1 : bilan initial avant remise en peinture Résultat de l analyse «terrain» (suite): Valider la présence d une préparation de surface : Présence de résidus de calamine, de traces d'oxydation Absence de rugosité, donc absence de préparation de surface initiale Calamine (gris foncé) et rouille => système anticorrosion défectueux et absence de préparation de surface 8 8
9 Cas n 1: bilan initial avant remise en peinture Analyse «Labo» Analyse MEB / EDS - méthode d analyse pour réaliser : 1. des observations : visualisation des différents constituants d une peinture (charges, pigments ) mesure des épaisseurs de couche, rugosité 2. analyse élémentaire de l échantillon constituants d une peinture, recherche de contaminants 9 9
10 Cas n 1: bilan initial avant remise en peinture Analyse «Labo» Analyse MEB / EDS Validation du nombre de couches et des épaisseurs : Deux systèmes de peinture existent sur l'ouvrage Cas du système composé d'une couche : peinture riche en TiO 2, présence de CaCO 3 en quantité plus faible 10 10
11 Cas n 1 : bilan initial avant remise en peinture Analyse «Labo» Analyse MEB/EDS Recherche de contaminants de surface : Les analyses ont permis de mettre en évidence d'au moins un contaminant de surface, du soufre. O, Ca, Mg, Al, Si, Ti sont probablement des résidus de la peinture Présence de soufre (agent corrosif) Fe attribuable à des oxydes de fer (oxydation présente sur le substrat) 11 11
12 Cas n 1: bilan initial avant remise en peinture Analyse «Labo» Analyse IRTF par mode ATR (ReflexionTotale Atténuée)- Principe : Surface de l échantillon directement en contact avec le cristal ATR Résultat obtenu : «signature» de la famille chimique de la peinture 12 12
13 Cas n 1 : bilan initial avant remise en peinture Analyse IRTF : 0,20 0,18 Analyse des 1ers micromètres du système 1 Analyse «Labo» 0,16 0, Absorbance 0,12 0,10 0,08 0,06 0,04 0, ,00-0,02-0, Nombre d'onde (cm-1) Ce spectre infrarouge est caractéristique d un système Epoxy Identification de la famille chimique de la peinture
14 Cas n 1 : bilan initial avant remise en peinture Bilan de l analyse «terrain» =>mise en évidence de : l absence d une préparation de surface la présence de plusieurs systèmes de peinture la dégradation importante du système de peinture et début de corrosion Bilan de l analyse «labo»=> a permis de confirmer : la présence de contaminants de surface la présence de 2 systèmes de peinture, leur épaisseur, leur nombre de couches la famille chimique de la peinture Conclusion : nécessité de décaper l ensemble de la peinture et de réaliser une préparation de surface 14 14
15 Cas n 2 : désordres observés sur un système de revêtement organique Système anticorrosion finition Couche intermédiaire Primaire Substrat acier Craquelage - décollement entre la finition et la couche intermédiaire zone «saine» zone «défectueuse» Objectifs : comparer les propriétés du revêtement en zone «saine» et en zone «défectueuse» 15 15
16 Cas n 2 : désordres observés sur un système de revêtement organique Résultat de l analyse «terrain» : Observations : Craquelage de la finition (rouge) appliquée sur l intermédiaire (blanc) Souplesse de l intermédiaire importante «défectueux» en comparaison au revêtement «sain» Forte «odeur de solvant» en zone défectueuses Contrôle des épaisseurs à l aide de la Jauge d Inspection Peintures (P.I.G.) : Conformité des épaisseurs appliquées pour chaque couche Essais d adhérence par traction en zone défectueuse : Minimum de 3MPa Rupture adhésive entre l intermédiaire et la finition => Hypothèses : problème de séchage et/ou de réticulation de la couche intermédiaire 16 16
17 Cas n 2 : désordres observés sur un système de revêtement organique Analyse Thermique (DSC ): détermination de la Tg de l intermédiaire Rev Heat Flow (W/g) Analyse «Labo» C Heat Flow (W/g) Nonrev Heat Flow (W/g) C(I) Tg ( C) Réticulation complète "Sain" 62 Oui "défectueux" 22 Non Aspect du revêtement Etat vitreuxrevêtement «dur et cassant» Etat caoutchoutiquerevêtement «mou» 67 C Exo Up Temperature ( C) Universal V4.7A TA Instruments Souplesse de l intermédiaire visible au MEB! 17 17
18 Cas n 2 : désordres observés sur un système de revêtement organique Analyse Py-CPV/SM - Principe : Pyrolyse de l échantillon «solide» Analyse «Labo» Identification des molécules Résultat obtenu : Famille chimique de la peinture Séparation des molécules Mise en évidence de solvants résiduels, de plastifiants, d excès de durcisseur 18 18
19 Cas n 2 : désordres observés sur un système de revêtement organique Analyse Py-CPV/SM : Aire pics «durcisseur»/aire pics «base+durcisseur» Tg ( C) "Sain" "défectueux" Echantillon «défectueux» : problème de mélange base/durcisseur Quantité de durcisseur largement plus importante que pour l échantillon «sain» ce problème de mélange est validé par la différence de Tg 19 19
20 Cas n 3 : corps de vanne à un degré de dégradation très avancé Résultat de l analyse «terrain» : Observations visuelles : Présence de zones non corrodées sur lesquelles la peinture semble adhérente Observations de zones de corrosion localisées Dégradation importante du système de peinture Question posée : rechercher l origine des problèmes de peinture rencontrés 20 20
21 Cas n 3 : corps de vanne à un degré de dégradation très avancé Analyse «Investigations de «laboratoire» : Analyse «Labo» Observation de la surface du métal : Absence de contamination par des huiles et graisses Evaluation de la rugosité à l aide du ruban à répliquer : rugosité < exigence de la spécification Flasque supérieur Corps de pompe Rugosité : dans la spécification Conclusion : préparation de surface hors spécif. dans certaines zones 21 21
22 Cas n 3 : corps de vanne à un degré de dégradation très avancé Arêtes: Analyse «Labo» Écaillage des arêtes lié à des chocs ( présence d un primaire après grattage ) observations MEB Arrondi de l arête et continuité de l épaisseur du primaire Conclusion : mise en évidence que les pré-touches ont bien été réalisées sur l arrondi 22 22
23 Cas n 3 : corps de vanne à un degré de dégradation très avancé Montage des vannes sur ligne : Autour des alésages : serrage de la vis directement sur la peinture Sur l'axe principal : zone de passage de la clé de serrage insuffisante Conclusion : prendre en compte la protection par peinture dès la conception
24 En conclusion, la gestion des problèmes de revêtement Sur le «terrain», les techniques d analyse simples permettent de faire des hypothèses sur l origine des dégradations : préparation de surface application de la peinture Les techniques d analyse «labo» permettent d obtenir des informations supplémentaires sur : la conformité des produits et mélanges la qualité de la préparation de surface le respect de bonnes conditions de séchage La comparaison entre surface saine et surface défectueuse constitue une méthode de travail efficace. Documenter au maximum le projet avec : les documents de suivi qualité les «plaques références» 24
Colle époxydique multi usages, à 2 composants
Notice Produit Edition 20 01 2014 Numéro 9.11 Version n 2013-310 01 04 02 03 001 0 000144 Colle époxydique multi usages, à 2 composants Description est une colle structurale thixotrope à 2 composants,
Plus en détailAdhésif structural pour le collage de renforts
Notice Produit Edition 18/07/2014 Numéro 3022 Version N 2014-253 N identification : 020206040010000001 Adhésif structural pour le collage de renforts Description est une colle structurale thixotrope à
Plus en détailTous les produits de la gamme SAF offrent des résistances :
Fiche Technique Strengths Are Flex La gamme SAF est basée sur une technologie et des polymères méthacrylates brevetés. Ces adhésifs de nouvelle génération permettent d adhérer sur de nombreux supports
Plus en détailLES RÉPLIQUES MÉTALLOGRAPHIQUES
CONGRÈS MATÉRIAUX 2014 Colloque 6 «Corrosion, vieillissement, durabilité, endommagement» LES RÉPLIQUES MÉTALLOGRAPHIQUES Une méthode non destructive pour contrôler le vieillissement et l endommagement
Plus en détailappliquée aux emballages alimentaires
La méthode HACCP La méthode HACCP appliquée aux emballages alimentaires 1- La réglementation des matériaux au contact des aliments Quels contaminants issus des emballages dans les aliments? Des contaminants
Plus en détailFiche technique Mai, 2011 Dernière version : Oct 2010. Produits transparents : SJ 3460 : non adhésif SJ 3560 : Muni d un adhésif acrylique VHB
Dual Lock 250 Système de fixation ouvrable et refermable Fiche technique Mai, 2011 Dernière version : Oct 2010 Description du produit Produits transparents : SJ 3460 : non adhésif SJ 3560 : Muni d un adhésif
Plus en détailChapitre Contenu Page. 14 Restauration du béton 383
Chapitre Contenu Page 14 383 14 Principes De par ses propriétés particulières, le béton s est installé comme matériau dans tous les domaines de la construction. Partenaire important et fiable, il est
Plus en détailAssurance qualité du côté de l'entreprise (1) pour l'utilisation de systèmes de peintures intumescentes
Assurance qualité du côté de l'entreprise (1) pour l'utilisation de systèmes de peintures intumescentes sur acier (en tant qu'annexe 3 de la publication SZS C2.5 «Peintures intumescentes» reconnue officiellement
Plus en détailPOLLUTEC LYON 3 Décembre 2004 M. LECA gérard GCEE
POLLUTEC LYON 3 Décembre 2004 M. LECA gérard GCEE COMMENT REHABILITER UN CHATEAU D EAU? INTRODUCTION Historique de la construction: Construits entre 1920 et 1980, mais depuis 1950 pour 70% du parc actuel.
Plus en détailConstruction. Sarnavap 5000E SA. Pare-vapeur. Description du produit. Tests
Notice Produit Edition 09.2012 Identification no4794 Version no. 2012-208 Sarnavap 5000E SA Pare-vapeur Description du produit Sarnavap 5000E SA est un pare-vapeur auto-adhésif pour système en adhérence
Plus en détailSALLE DE BAIN, DOUCHE, PLAN DE TRAVAIL CUISINE, PISCINE... Collage et jointoiement. L Epoxy facile
SALLE DE BAIN, DOUCHE, PLAN DE TRAVAIL CUISINE, PISCINE... Collage et jointoiement L Epoxy facile DOMAINES D EMPLOI Recommandé pour salle de bain, douche, plan de travail cuisine, piscine, bassins thermaux,
Plus en détailSOCIETE NATIONALE DES CHEMINS DE FER BELGES SPECIFICATION TECHNIQUE
SOCIETE NATIONALE DES CHEMINS DE FER BELGES SPECIFICATION TECHNIQUE L - 72 FOURNITURE DE SEMELLES ELASTIQUES POUR LA FIXATION DE VOIE "TYPE BOTZELAER" EDITION: 04/2001 Index 1. INTRODUCTION... 3 1.1. DOMAINE
Plus en détailRecommandations pour le contrôle par méthode électrique des défauts des revêtements organiques appliqués sur acier en usine ou sur site de pose
RECOMMANDATION PCRA 003 Octobre 2003 Rev.0 Commission Protection Cathodique et Revêtements Associés Recommandations pour le contrôle par méthode électrique des défauts des revêtements organiques appliqués
Plus en détailBALAIS Moteur (charbons)
BALAIS Moteur (charbons) 1/ Rôle a) Pour les machines électriques comportant des bagues (alternateur moteur asynchrone) : moteur universel Les balais doivent maintenir un contact constant avec la bague
Plus en détailEXERCICE II. SYNTHÈSE D UN ANESTHÉSIQUE : LA BENZOCAÏNE (9 points)
Bac S 2015 Antilles Guyane http://labolycee.org EXERCICE II. SYNTHÈSE D UN ANESTHÉSIQUE : LA BENZOCAÏNE (9 points) La benzocaïne (4-aminobenzoate d éthyle) est utilisée en médecine comme anesthésique local
Plus en détailSOMMAIRE Thématique : Matériaux
SOMMAIRE Thématique : Matériaux Rubrique : Connaissances - Conception... 2 Rubrique : Essais... 7 Rubrique : Matériaux...11 1 SOMMAIRE Rubrique : Connaissances - Conception Connaître les matières plastiques...
Plus en détailPrestations de services d application Solutions pour vos besoins en réparation des surfaces
Prestations de services d application Solutions pour vos besoins en réparation des surfaces Henkel Votre partenaire en solutions de réparation des surfaces Grâce à de nombreuses années d expérience dans
Plus en détailContrôle Non Destructif C.N.D.
Contrôle Non Destructif C.N.D. 16 Principales techniques Particules magnétiques Pénétrants 7% Autres 7% 6% Ultrasons 30% Objets divers Pétrochimique 15% 10% Aérospatial 25% Courants de Foucault 10% Autres
Plus en détailTABLE DES MATIÈRES INTRODUCTION LISTE DES PRODUITS FICHES TECHNIQUES
TABLE DES MATIÈRES INTRODUCTION LISTE DES PRODUITS FICHES TECHNIQUES RECOMMANDATIONS D APPLICATION INTRODUCTION HISTORIQUE, AVANTAGES TECHNOLOGIQUES, ET BÉNÉFICES DU POLYURÉTHANE HYGRORÉACTIF À UN COMPOSANT.
Plus en détailComprendre l efflorescence
Février 2006 Bulletin technique 4 BULLETIN TECHNIQUE Le Conseil Canadien des Systèmes d Isolation et de Finition Extérieure (SIFE) / (416) 499-4000 Comprendre l efflorescence Nous avons tous déjà observé
Plus en détailMario Geiger octobre 08 ÉVAPORATION SOUS VIDE
ÉVAPORATION SOUS VIDE 1 I SOMMAIRE I Sommaire... 2 II Évaporation sous vide... 3 III Description de l installation... 5 IV Travail pratique... 6 But du travail... 6 Principe... 6 Matériel... 6 Méthodes...
Plus en détailPAPIER OU SUPPORT NUMÉRIQUE, QUEL EST LE BON CHOIX ÉCOLOGIQUE?
PAPIER OU SUPPORT NUMÉRIQUE, QUEL EST LE BON CHOIX ÉCOLOGIQUE? F R A N Ç O I S E B E R T H O U D G D S E C O I N F O / C N R S w w w. e c o i n f o. c n r s. f r F r a n c o i s e. B e r t h o u d @ g
Plus en détailMonitoring et suivi du comportement des chaussées
Monitoring et suivi du comportement des chaussées Pierre Hornych Juliette Blanc IFSTTAR - LAMES 1/xx MONITORING ET SUIVI DU COMPORTEMENT DES CHAUSSÉES DÉVELOPPEMENTS RÉCENTS ET PERSPECTIVES Introduction
Plus en détailLa Plateforme GALA. Un projet régional structurant. avec le pôle Cancer-Bio-Santé pour la recherche et l'innovation en galénique CPER 2007-2013
La Plateforme GALA Un projet régional structurant CPER 2007-2013 avec le pôle Cancer-Bio-Santé pour la recherche et l'innovation en galénique Labellisé en avril 2009 Plateforme GALA : quel rôle? Principe
Plus en détailTECHNIQUES: Principes de la chromatographie
TECHNIQUES: Principes de la chromatographie 1 Définition La chromatographie est une méthode physique de séparation basée sur les différentes affinités d un ou plusieurs composés à l égard de deux phases
Plus en détailMarquage laser des métaux
62 Colorer Marquage laser des métaux TherMark Produit à base aqueuse pour un nettoyage rapide. Appliquer une fine couche de produit sur le métal, laisser sécher moins de 2 minutes et graver au laser. L
Plus en détailLes solutions. Chapitre 2 - Modèle. 1 Définitions sur les solutions. 2 Concentration massique d une solution. 3 Dilution d une solution
Chapitre 2 - Modèle Les solutions 1 Définitions sur les solutions 1.1 Définition d une solution : Une solution est le mélange homogène et liquide d au moins deux espèces chimiques : Le soluté : c est une
Plus en détailEcole d été des spectroscopies d électrons.
Lundi 08 juin 2015 16h00 16h30 Principe et fondements de la technique - Les interactions photon-matière, l émission des photoélectrons - l analyse chimique par XPS Jean-Charles DUPIN Appareillage et instrumentation
Plus en détailPROPRIÉTÉS TECHNIQUES DU SYSTÈME NEOWEB
TECHNIQUES DU SYSTÈME NEOWEB Propriétés techniques Neoweb V 2.5 SYSTÈME DE CONFINEMENT CELLULAIRE 3D CLASSIFICATION POLYMÈRE TYPE Neoloy Technologie de pointe nano-composite MÉCANIQUES DU SYSTÈME Module
Plus en détailLES DESORDRES DE LA FACADE
LES DESORDRES DE LA FACADE AVERTISSEMENT : La responsabilité de la société ne peut être engagée en cas de mauvaise reconnaissance du support ou de non respect des méthodes d application mentionnées sur
Plus en détailFICHE TECHNIQUE POSTE METALLIQUE
CEL FRANCE Sarl au capital de 40 000E RC Alès 97RM 300 SIRET 410 748 875 00011 TVA CEE FR56410748875 NAF 316D Tableaux HTA Transformateur HTA Postes de transformation TGBT Disjoncteur BT www.cel france.com
Plus en détailRe-Certification 2012 Programme complet > 8 modules
Re-Certification 2012 Programme complet > 8 modules Amiante : Formation répondant aux critères de compétence obligatoires dans le cadre de la certification (NF EN ISO 17024) D P E : Formation répondant
Plus en détailIMAGINEZ UNE NOUVELLE FACON DE PEINDRE!
#THISISABSTRACT Elle a développé des tubes de peinture pour de Staël, et créé le pastel à l huile pour Picasso, Sennelier est une référence pour les artistes depuis 1887, date à laquelle Gustave Sennelier
Plus en détailCleverLevel LBFS/ LFFS. L alternative vraiment intelligente aux détecteurs de niveau à lames vibrantes
CleverLevel LBFS/ LFFS L alternative vraiment intelligente aux détecteurs de niveau à lames vibrantes L alternative vraiment intelligente Avec sa gamme CleverLevel, Baumer révolutionne la technologie de
Plus en détailSoudal Panel System SPS. La force extrême derrière vos panneaux de façade. www.soudal.com SOUDAL PANEL SYSTEM. Soudal Panel System 1 SPS SOUDAL PANEL
www.soudal.com Soudal Panel System La force extrême derrière vos panneaux de façade WINDOW Soudal Panel System 1 Soudal Panel System () Qu est-ce que le? Les panneaux de façade existent dans tous les modèles
Plus en détailMANUEL DE CONCEPTION DES VITRAGES ISOLANTS
MANUEL DE CONCEPTION DES VITRAGES ISOLANTS INFORMATION IMPORTANTE Les informations ci-dessous sont basées sur les recherches et les observations de Dow Corning et sont considérées comme fiables. Néanmoins,
Plus en détailPMI-MASTER Smart. PMI portatif. Le premier spectromètre par émission optique ARC / SPARK réellement portable
PMI portatif PMIP Le premier spectromètre par émission optique ARC / SPARK réellement portable ORTABI Trois possibilités de transport...... pour répondre à vos besoins Portabilité et commodité Grâce à
Plus en détailDistribution Solutions WireSolutions. Catalogue produits. Fils de palissage Vital
Distribution Solutions WireSolutions Catalogue produits Fils de palissage Vital ArcelorMittal Bissen Sommaire wiresolutions 04 LE REVêTEMENT Vital 05 FiLs à VIGNE 06 Vitalpro vitapal vitafil TRM vitagal
Plus en détailNormes CE Equipements de Protection Individuelle
E. P. I D O C U M E N T D I N F O R M A T I O N Normes CE Equipements de Protection Individuelle Normes CE EQUIPEMENTS DE PROTECTION INDIVIDUELLE Définitions : E.P.I : Tout dispositif ou moyen destiné
Plus en détailMesure des caractéristiques des combustibles bois
Mesure des caractéristiques des combustibles bois ADEME Critt Bois Fibois CTBA JUILLET 2001 SOMMAIRE AVANT PROPOS page 4 1 - LA PRISE D ECHANTILLON page 6 1.1 - Division et/ou mélange du prélèvement accompagnée
Plus en détailLe polissage par laser
B U L L E T I N T E C H N I Q U E N 4 1 B U L L E T I N T E C H N I Q U E N 4 1 Le polissage par laser Contexte Un traitement de surface est généralement réalisé dans le but d améliorer les caractéristiques
Plus en détailActivité 1 : Rayonnements et absorption par l'atmosphère - Correction
Activité 1 : Rayonnements et absorption par l'atmosphère - Correction Objectifs : Extraire et exploiter des informations sur l'absorption des rayonnements par l'atmosphère terrestre. Connaitre des sources
Plus en détailÉTUDE DE L EFFICACITÉ DE GÉOGRILLES POUR PRÉVENIR L EFFONDREMENT LOCAL D UNE CHAUSSÉE
ÉTUDE DE L EFFICACITÉ DE GÉOGRILLES POUR PRÉVENIR L EFFONDREMENT LOCAL D UNE CHAUSSÉE ANALYSIS OF THE EFFICIENCY OF GEOGRIDS TO PREVENT A LOCAL COLLAPSE OF A ROAD Céline BOURDEAU et Daniel BILLAUX Itasca
Plus en détailLa gravure. *lagravureparvoiehumide *lagravuresèche
La gravure Après avoir réalisé l étape de masquage par lithographie, il est alors possible d effectuer l étape de gravure. L étape de gravure consiste à éliminer toutes les zones non protégées par la résine
Plus en détailCreating tomorrow s solutions. Solutions intelligentes et performantes
Creating tomorrow s solutions ÉLASTOMÈRES, PLASTIQUES & COMPOSITES I REVÊTEMENTS REVÊTEMENTS De PLAQUES DE BOULANGERIE-PÂTISSERIE Solutions intelligentes et performantes LES SILICONES VOUS FACILITENT LA
Plus en détailUtilisation historique de nanomatériaux en pneus et possibilités de nouveaux développements
Utilisation historique de nanomatériaux en pneus et possibilités de nouveaux développements 7 juin 2012 Francis Peters Bien qu il n y ait pas de nano particules dans les usines qui produisent les mélanges
Plus en détailLA MESURE DE PRESSION PRINCIPE DE BASE
Page 1 / 6 LA MESURE DE PRESSION PRINCIPE DE BASE 1) Qu est-ce qu un sensor de pression? Tout type de sensor est composé de 2 éléments distincts : Un corps d épreuve soumit au Paramètre Physique φ à mesurer
Plus en détailFORT EN CHIMIE DEGRIPPANTS, GRAISSES ET LUBRIFIANTS
FORT EN CHIMIE DEGRIPPANTS, GRAISSES ET LUBRIFIANTS DEGRIPPANTS Dégrippant PREMIUM ICE - Art. nr. 200774 - Dégrippant puissant et rapide - Décale les éléments et raccords filetés bloqués par la rouille
Plus en détailUltracolor Plus. Coulis avec sable et polymère, à prise rapide et de qualité supérieure CG2 WAF
TM EN CONFORMITÉ AVEC LES NORMES ISO Ultracolor Coulis avec sable et polymère, à prise rapide et de qualité supérieure CG2 WAF ISO 13007 COULIS CIMENTAIRE DESCRIPTION Ultracolor de technologie DropEffect
Plus en détailLICENCE PROFESSIONNELLE TRAITEMENT ET CONTRÔLE DES MATERIAUX
UNIVERSITE PAUL SABATIER Année Universitaire 2015 2016 Licence Professionnelle Traitement et Contrôle des Matériaux Bat. CIRIMAT 118, Route de Narbonne 31062 Toulouse cedex 04 Tél : 05 61 55 77 51 05 61
Plus en détailconformes aux règles de l Art
conformes aux règles de l Art documents de référence travaux d enduits de mortiers minéraux revêtements plastiques épais sur béton et enduits hydrauliques documents de référence mortiers d enduits minéraux
Plus en détailSUIVI CINETIQUE PAR SPECTROPHOTOMETRIE (CORRECTION)
Terminale S CHIMIE TP n 2b (correction) 1 SUIVI CINETIQUE PAR SPECTROPHOTOMETRIE (CORRECTION) Objectifs : Déterminer l évolution de la vitesse de réaction par une méthode physique. Relier l absorbance
Plus en détailSOMMAIRE. LES MURS EXTERIEURS page 2. LES BOISERIES EXTERIEURES page 5. LES LASURES ET VERNIS page 6. LES FERRURES ET FERRONNERIES page 8
SOMMAIRE LES MURS EXTERIEURS page 2 LES BOISERIES EXTERIEURES page 5 LES LASURES ET VERNIS page 6 LES FERRURES ET FERRONNERIES page 8 LES TOITURES page 8 LES INTERIEURS page 9 CONSEILS PRATIQUES page 11
Plus en détailL éco-responsabilité appliquée à l informatique
L éco-responsabilité appliquée à l informatique //////////////////////////////////////////////////////// IMPACTS SUR L ENVIRONNEMENT DU MATERIEL ////////////////////////////////////////////////////////
Plus en détailLes résistances de point neutre
Les résistances de point neutre Lorsque l on souhaite limiter fortement le courant dans le neutre du réseau, on utilise une résistance de point neutre. Les risques de résonance parallèle ou série sont
Plus en détail= RÉALISATION DE QUALITÉ DURABLE
PAVÉS EN BETON CONCEPTION APPROPRIÉE + MISE EN OEUVRE PROFESSIONNELLE = RÉALISATION DE QUALITÉ DURABLE 10 règles de base pour une mise en œuvre correcte de revêtements de pavés en béton 1 2 3 4 5 6 7 8
Plus en détailSurveillance et Detection des Anomalies. Diagnostic d une digue: rappel méthodologique
Surveillance et Detection des Anomalies Diagnostic d une digue: rappel méthodologique issu de l expérience d EDF Jean-Paul BLAIS Service Géologie - Géotechnique EDF 1 La méthodologie utilisée par EDF,
Plus en détailSommaire : Traceurs de chantier Page 4. Piquets bois Page 5. Marqueurs et feutres Pages 6 et 7. Repères de chantier Pages 8 et 9
Nos Partenaires : Sommaire : Traceurs de chantier Page 4 Piquets bois Page 5 Marqueurs et feutres Pages 6 et 7 Repères de chantier Pages 8 et 9 Cibles réfléchissantes Pages 10 et 11 Page 3 Traceurs de
Plus en détailDIAGNOSTIQUEUR IMMOBILIER
OBJECTIFS Réaliser le dossier dans chaque domaine de diagnostique immobilier : amiante, plomb, diagnostic de performance énergétique, termites, gaz et installations intérieures électriques, mesurage des
Plus en détailVERRE DECORATIF AGC POUR APPLICATIONS INTERIEURES GUIDE DE NETTOYAGE ET D ENTRETIEN
VERRE DECORATIF AGC POUR APPLICATIONS INTERIEURES GUIDE DE NETTOYAGE ET D ENTRETIEN VERSION 2.0 MAI 2015 Cette version du guide annule et remplace toutes les versions précédentes. Consultez régulièrement
Plus en détail100kJ. La clôture de protection pare-pierres TXI-010: parce que de petites causes peuvent aussi avoir des effets dévastateurs.
100kJ La clôture de protection pare-pierres TXI-010: parce que de petites causes peuvent aussi avoir des effets dévastateurs. La clôture de protection parepierres TXI-010 - protège contre des impacts d
Plus en détailFICHE 1 Fiche à destination des enseignants
FICHE 1 Fiche à destination des enseignants 1S 8 (b) Un entretien d embauche autour de l eau de Dakin Type d'activité Activité expérimentale avec démarche d investigation Dans cette version, l élève est
Plus en détailMolécules et Liaison chimique
Molécules et liaison chimique Molécules et Liaison chimique La liaison dans La liaison dans Le point de vue classique: l approche l de deux atomes d hydrogd hydrogènes R -0,9-1 0 0,5 1 1,5,5 3 3,5 4 R
Plus en détailC O N S E I L. C a s t o r a m a. La moquette page 2 La préparation page 2&3 La pose. La pose «spécial escalier» page 6 La finition page 6
40.03 POSER UNE MOQUETTE C O N S E I L C a s t o r a m a La moquette page 2 La préparation page 2&3 La pose pages 3&4&5 La pose «spécial escalier» page 6 La finition page 6 page 1/6 - Fiche Conseil n 40.03
Plus en détailApplication à l astrophysique ACTIVITE
Application à l astrophysique Seconde ACTIVITE I ) But : Le but de l activité est de donner quelques exemples d'utilisations pratiques de l analyse spectrale permettant de connaître un peu mieux les étoiles.
Plus en détailChapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices :
Chapitre 02 La lumière des étoiles. I- Lumière monochromatique et lumière polychromatique. )- Expérience de Newton (642 727). 2)- Expérience avec la lumière émise par un Laser. 3)- Radiation et longueur
Plus en détailLes composites thermoplastiques
Les composites thermoplastiques Définition Par définition, un thermoplastique (anglais :thermoplast) est un matériau à base de polymère (composé de macromolécules) qui peut être mis en forme, à l état
Plus en détailComment agir sur le bilan environnemental d une bouteille PET?
Comment agir sur le bilan environnemental d une bouteille PET? Décembre 2010 En 2009, Eco-Emballages, ELIPSO et Valorplast se sont associés pour conduire une étude d évaluation des impacts environnementaux
Plus en détailEstimer le poids spécifique du maïs bien mûri après le séchage... 17-4. Classement... 17-15
17. Maïs Détermination du taux d impuretés... 17-2 Définitions... 17-2 Impuretés non déclarées... 17-2 Procédure normale de nettoyage... 17-2 Composition des impuretés... 17-3 Estimer le poids spécifique
Plus en détailLa présente fiche technique décrit les exigences auxquelles doit répondre le Système Barofor Round.
1 Objet La présente fiche technique décrit les exigences auxquelles doit répondre le Système Barofor Round. Le système complet comprend les éléments suivants: Panneaux Poteaux Accessoires tels que fixations
Plus en détailSophie Guézo Alexandra Junay
Sophie Guézo Alexandra Junay sophie.guezo@univ-rennes1.fr alexandra.junay@univ-rennes1.fr Unité Mixte de Recherche (UMR) Université Rennes I et CNRS Physique moléculaire Matière molle Matériaux Nanosciences
Plus en détailGuide d installation
PANNEAUX POLYVALENTS EN FIBROCIMENT Guide d installation Finex : solide par nature Finex inc. est un chef de file dans le domaine de la construction en fibrociment. Finex fabrique et offre une ligne de
Plus en détailRELEVE D ETAT DU PONT DES GRANDS-CRÊTS. On a procédé une auscultation visuelle entre le 23 et le 29 mars 2007.
RELEVE D ETAT DU PONT DES GRANDS-CRÊTS On a procédé une auscultation visuelle entre le 23 et le 29 mars 2007. Pour mieux comprendre les résultats ici une petit plan où il y a signalées les différentes
Plus en détailLuxor. Coffret électrique inoxydable mural IP66
Coffret électrique inoxydable mural IP66 5 10 PIECES MÉCANIQUES ANTI-CORROSION - La meilleure option contre la corrosion. - Acier inoxydable AISI 304L et AISI 316L. - Résistance, durabilité et longue durée
Plus en détailEnclosures & Cabinets for Special Requirements comercial@delvalle.es www.delvallebox.com LUXOR IP67. Armoire d acier inoxydable
Enclosures & Cabinets for Special Requirements comercial@delvalle.es LUXOR IP67 Armoire d acier inoxydable v. 1.1/15 2 NOUS SOMMES À VOTRE DISPOSITION Plus de 40 ans d expérience en offrant des solutions
Plus en détailSe protéger contre la contamination par les micro-organismes. Gazole, gazole non routier et fioul domestique Cuves de stockage et réservoirs
0193 exe TOTAL A5 contamination_mise en page 1 20/09/11 15:41 Page1 Se protéger contre la contamination par les micro-organismes Gazole, gazole non routier et fioul domestique Cuves de stockage et réservoirs
Plus en détailUne production économique! Echangeur d ions TKA
Une eau totalement déminéralisée Une production économique! Echangeur d ions TKA Eau déminéralisée pour autoclaves, laveurs, analyseurs automatiques, appareils d'eau ultra pure... SYSTÈMES DE PURIFICATION
Plus en détailConseils en Ingénierie mécanique
Conseils en Ingénierie mécanique contact@solsi-cad.fr +33 (0)3 87 60 34 49 CONCEVOIR OPTIMISER Metz INNOVER VALIDER Historique 1985 1992 1996 2003 2013 2014 Solsi : Calculs des Structures - FEA Création
Plus en détailPrésentation renouveau école Georges Pamart
MAIRIE DE QUERENAING DEPARTEMENT DU NORD REPUBLIQUE FRANCAISE LIBERTE EGALITE FRATERNITE Arrondissement de Valenciennes - Canton de Valenciennes Sud www.querenaing.fr Présentation renouveau école Georges
Plus en détailL École nationale des pompiers du Québec. Dans le cadre de son programme de formation Pompier I
L École nationale des pompiers du Québec Dans le cadre de son programme de formation Pompier I QUATRIÈME ÉDITION MANUEL DE LUTTE CONTRE L INCENDIE EXPOSÉ DU PROGRAMME D ÉTUDES POMPIER 1 SUJET 4 Énergie
Plus en détailIncidence sur la siccité de différents types d emballages dans un conteneur
Incidence sur la siccité de différents types d emballages d dans un conteneur Frédy Cavin Responsable stérilisation - Hospices/CHUV Lausanne 1ères Journées Nationales Suisses sur la stérilisation Définition
Plus en détailINTRODUCTION À LA SPECTROSCOPIE
INTRODUCTION À LA SPECTROSCOPIE Table des matières 1 Introduction : 2 2 Comment obtenir un spectre? : 2 2.1 Étaller la lumière :...................................... 2 2.2 Quelques montages possibles
Plus en détail1 ère partie : tous CAP sauf hôtellerie et alimentation CHIMIE ETRE CAPABLE DE. PROGRAMME - Atomes : structure, étude de quelques exemples.
Référentiel CAP Sciences Physiques Page 1/9 SCIENCES PHYSIQUES CERTIFICATS D APTITUDES PROFESSIONNELLES Le référentiel de sciences donne pour les différentes parties du programme de formation la liste
Plus en détailweber.cel bordure (procomix)
Κ. ΚΑΛΦΙΔΗΣ ΕΠΕΞΕΡΓΑΣΜΕΝΑ ΔΟΜΙΚΑ ΥΛΙΚΑ ΤΕΧΝΙΚΑ ΚΟΝΙΑΜΑΤΑ ΚΑΘΗΓ. Δ. ΕΥΡΙΓΕΝΗ 15 (ΚΕΡΑΜ. ΑΛΛΑΤΙΝΗ) ΤΚ 542 49 ΘΕΣ/ΝΙΚΗ ΤΗΛ / FAX: 2310-330 003 e-mail: info@weberkalfidis.gr www.weberkalfidis.gr Το έντυπο
Plus en détailFiltre permanent d'antigraffiti, d'antisticker, antioxydant et d'ultraviolets de protection.
Fiche Tecniqué 09.07.A HLG SYSTEM Filtre permanent d'antigraffiti, d'antisticker, antioxydant et d'ultraviolets de protection. Propriétés de la protection Champs d'application Principalement les types
Plus en détailOrganisme certificateur : 10 rue Galilée 77420 Champs sur Marne Tél : +33 (0)1 72.84.97.84 Fax : +33 (0)1 43 30 85 65 www.fcba.fr. www.marque-nf.
N d identification AFNOR Certification : NF 061 MQDQ-CERT 15-306 du 18/01/2015 N de Révision : 16 Date de mise en application : 04/03/2015 Annule et remplace le MQDQ-CERT /14-324 du 15/05/2014 REGLES GENERALES
Plus en détailMatériel de laboratoire
Matériel de laboratoire MATERIAUX UTILISE... 1 L'APPAREILLAGE DE LABORATOIRE... 1 a) Les récipients à réaction... 2 b) La verrerie Graduée... 2 MATERIEL DE FILTRATION... 6 FILTRATION SOUS VIDE AVEC UN
Plus en détailAVEC ARDEX, vous MORTIERS DE JOINTOIEMENT ARDEX
AVEC ARDEX, vous pouvez regarder de pres! MORTIERS DE JOINTOIEMENT ARDEX ARDEX EG 8 Joint hybride Protection longue durée contre les agents agressifs. Nous sommes fiers de vous présenter ARDEX EG 8, le
Plus en détailPROTECTION DEs MAINs ET DEs BRAs INfORMATIONs TEChNIquEs
Les accidents qui touchent les mains sont la première cause d accidents avec arrêt de tra- tuer tous les gestes de notre quotidien et sont également un outil essentiel dans notre travail. Préservons-les,
Plus en détailpka D UN INDICATEUR COLORE
TP SPETROPHOTOMETRIE Lycée F.BUISSON PTSI pka D UN INDIATEUR OLORE ) Principes de la spectrophotométrie La spectrophotométrie est une technique d analyse qualitative et quantitative, de substances absorbant
Plus en détailFluorescent ou phosphorescent?
Fluorescent ou phosphorescent? On entend régulièrement ces deux termes, et on ne se préoccupe pas souvent de la différence entre les deux. Cela nous semble tellement complexe que nous préférons rester
Plus en détailSérie M Echangeurs thermiques à plaques
. kypour le chauffage et le refroidissement de votre installation Série M Echangeurs thermiques à plaques Applications Les échangeurs thermiques à plaques d Alfa Laval peuvent être utilisés pour le chauffage
Plus en détailContenu de la présentation Programme 28.10.2010
Fire Safety Day 2010 28 octobre 2010 - Leuven Note d information technique NIT 238 L application de systèmes de peinture intumescente sur structures en acier Source: Leighs Paints ir. Y. Martin CSTC/WTCB
Plus en détailRAPPORT D INTERVENTION
R PRESTATAIRE DE SERVICES RAPPORT D INTERVENTION N 7445 Rédigé par Eric TANGUY Céline LETORT Intervention du 23/07/2010 Affaire Nature de l intervention Toiture contrôlée Intervention à la demande de Résidence
Plus en détailDESCRIPTION DE PRODUIT
41231 et suiv. Système de peinture opaque (pigmenté) à l eau, pour le professionnel DESCRIPTION DE PRODUIT Généralités Caractéristiques particulières Normes de contrôle Système de peinture opaque à l eau,
Plus en détailComment concevoir son lit biologique
santé - sécurité au travail > RISQUE PHYTOSANITAIRE Gestion des effluents phytosanitaires Comment concevoir son lit biologique > Choix du procédé > Méthode de conception > Construction du lit biologique
Plus en détailTransmetteur de pression de haute qualité pour applications industrielles Type S-10
Mesure électronique de pression Transmetteur de pression de haute qualité pour applications industrielles Type S-10 Fiche technique WIKA PE 81.01 pour plus d'agréments, voir page 4 Applications Construction
Plus en détailFORMATION GENERALE DES OPERATEURS DE CONTROLE D'ETANCHEITE NIVEAU 1
87 CURSUS DE FORMATION RECOMMANDE POUR LE PASSAGE DES CERTIFICATIONS COFREND EN ETANCHEITE NIVEAU 1 NIVEAU 2 Stage GE10 + Stage GE11 + 3 mois minimum d'expérience professionnelle accès direct Stage GE20
Plus en détailLibre-Service de l agence ISOPAR Garges-lès-Gonesse
Libre-Service de l agence ISOPAR Garges-lès-Gonesse 60 Tarif Public H.T. (réservé aux professionnels) Verre cellulaire FOAMGLAS T4+ FOAMGLAS S3 FOAMGLAS F FOAMGLAS TAPERED FOAMGLAS BOARD PANNEAU READY
Plus en détail