1S Devoir commun 2017 CORRECTION PARTIE I- RESTITUTION ORGANISEE DES CONNAISSANCES :
|
|
- Danielle Dubé
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 1S Devoir commun 2017 CORRECTION PARTIE I- RESTITUTION ORGANISEE DES CONNAISSANCES : / 10 points Les mutations sont la source aléatoire de la diversité des allèles, fondement de la biodiversité. Toutefois, elles peuvent aussi être à l'origine de graves maladies. (1)Après avoir présenté l'origine des mutations, (2) discutez des conséquences plus ou moins graves de celles-ci. Votre exposé sera constitué d un texte clair et structuré. Introduction : (Enoncé de la problématique, annonce du plan, définition des mots clés.) Les mutations sont des phénomènes relativement rares, accidentels et aléatoires qui modifient le génome des individus en modifiant la séquence de nucléotides de l ADN. Ces modifications sont à l origine des différentes versions des gènes : les allèles qui permettent une diversification des caractères et donc du vivant. Cependant elles sont aussi à l origine de dysfonctionnement et de maladies. En fonction des cellules, des gènes touchés ou de l étendue des modifications provoquées, les conséquences de ces mutations vont être plus ou moins graves. On s interroge sur l origine des mutations et la gravité de leurs conséquences. Pour cela nous allons dans un premier temps expliquer l origine des mutations, puis étudier les différentes conséquences possibles. Développement : (le plan est suggéré dans l énoncé) I Origine des mutations : Au cours du cycle cellulaire, pendant l interphase, l ADN est fidèlement recopié pendant la phase S pour assurer le maintient du patrimoine génétique des cellules d une génération cellulaire à la suivante. Cette réplication est assurée par une enzyme l ADN polymérase qui recopie chaque brin de l ADN en plaçant face à chaque nucléotide le nucléotide complémentaire (A-T ; C-G) Pendant cette réplication, L ADN polymérase peut commettre des erreurs spontanées et rares : On peut distinguer plusieurs types de mutations, touchant un ou plusieurs nucléotides : La fréquence des mutations est augmentée par l action d agents mutagènes : UV, tabac, alcool, amiante, radiations ces agents de l environnement peuvent endommager l ADN et provoquer des modification de la séquence de nucléotides. NB : L ADN peut aussi être endommagé en dehors de la réplication, par exemple par les virus, qui au cours de leur cycle de développement vont intégrer leurs gènes au génome de la cellule infectée et modifier celui-ci. Le plus souvent l erreur est détectée et réparée par des systèmes enzymatiques de contrôle qui vérifient les différentes étapes du cycle cellulaire (endonucléases) qui éliminent la portion contenant la mauvaise séquence, l ADN polymérase re-synthétisant la partie manquante. Si ces erreurs ne sont pas corrigées et si les modifications n empêchent pas la survie de la cellule, il apparaît donc une mutation.
2 II Conséquences plus ou moins graves des mutations : 1. Des conséquences différentes en fonction de la modification de la protéine codée. Un gène est une séquence de nucléotides qui contient les informations nécessaires à la synthèse d une protéine. La séquence de nucléotides code pour une séquence d acides aminés en fonction d un code quasi universel : le code génétique qui fait correspondre un codon (séquence de 3 nucléotides) à un acide aminé. Si la séquence du gène change, cela peut modifier la séquence d acides aminés de la protéine qui peut alors voir sa forme modifiée, ce qui modifie sa fonction. Ainsi les substitutions peuvent se traduire par des séquences d acides aminés plus ou moins différentes ce qui va modifier la fonction de la protéines sauf si le nouveau codon apparu code pour le même acide aminé grâce à la redondance du code génétique. Les insertions et additions entrainent un décalage du cadre de lecture qui est susceptible de modifier plus profondément les séquences ou de faire apparaître un codon stop qui interrompt de façon anticipée la synthèse de la protéine : écourtée, elle aura peu de chance d être fonctionnelle. NB : la région de la protéine qui sera touchée est importante une modification même ponctuelle de la protéine, peut avoir de graves conséquences si c est la zone active de la protéine qui est modifiée. Cette modification du phénotype moléculaire peut modifier le phénotype cellulaire qui à son tour peut modifier le phénotype macroscopique = le dysfonctionnement des organes provoqué sera responsable des symptômes d une maladie. 2. Des conséquences différentes selon les cellules touchées : Une mutation peut survenir dans une cellule somatique (cellules du corps des cellules reproductrices) et est alors présente dans toutes les cellules filles issues de la division de cette cellule si elle ne provoque pas la mort de la cellule. Cette mutation pourra avoir des conséquences sur le fonctionnement de la cellule et modifier plus ou moins gravement son activité mais elle disparaîtra avec l individu à sa mort. Si les protéines touchées sont les protéines qui régulent le cycle cellulaire, la cellule peut devenir cancéreuse : elles se multiplie de façon anarchique, perd sa différenciation, constituant une tumeur et peut acquérir une mobilité se traduisant par la formation de métastases. Cancérisation Erreur de l ADN polymérase Agents mutagènes Mais elle peut intervenir aussi dans une cellule germinale (cellules reproductrice) elle sera alors transmise à la descendance et devient héréditaire. Ces mutations sont responsables de l apparition de nouvelles versions de gènes : les allèles qui pourront faire apparaître des phénotypes alternatifs avantageux, sélectionnés par l évolution et ces nouveaux allèles se répandront dans les populations. La combinaison des mutations (le hasard) et de la sélection de l environnement (la nécessité) est responsable de l évolution des populations et des espèces. Par exemple dans les populations de bactéries, des mutations peuvent faire apparaître des résistances aux antibiotiques.
3 Mutation somatique ou germinale Mais ces mutations peuvent aussi être responsables des maladies génétiques, héréditaires. La transmission des allèles mutés au cours de la reproduction sexuée transmet le codage d une protéine anormale, responsable de dysfonctionnements. Par exemple la mucoviscidose est une maladie génétique assez répandue, elle est due à une mutation du gène CFTR qui code pour une protéine (CFTR) assurant la régulation de la fluidité du mucus. L allèle muté code pour une protéine modifiée qui n assure plus cette régulation, les cellules sécrétrices produisent un mucus trop épais qui s accumule, favorise les infections et obstruent différents canaux (bronches, intestins, canaux de production des enzymes digestives, canaux reproducteurs) entraînant de graves problèmes respiratoires, digestifs, reproducteurs Dysfonctionnement des cellules épithéliales :
4 Conclusion Les mutations sont donc le résultat d erreurs de l ADN polymérase au cours de la réplication, de l action d agents mutagènes, non corrigée par les systèmes de surveillance cellulaire. Elles sont source de diversification du vivant, elles permettent l apparition de nouveaux allèles qui codent pour des protéines alternatives responsables de phénotypes alternatifs qui seront soumis au filtre sélectif de l environnement. Elles peuvent être responsables de maladies graves : cancers si les cellules somatiques sont atteintes, héréditaires si les cellules germinales sont touchées. Ouvertures possibles: - L impact d une modification du génome sur la santé n est pas un déterminisme absolu. Il existe des mutations qui rendent plus probable le développement d une maladie sans pour autant la rendre certaine. En général les modes de vie et le milieu interviennent également, et le développement d une maladie dépend alors de l interaction complexe entre facteurs du milieu et génome. (Ex : diabète de type II) - Comment lutter contre les conséquences des maladies génétiques : prévision, dépistage, thérapie génique? PARTIE II/1- RAISONNEMENT SCIENTIFIQUE A L AIDE DES CONNAISSANCES / 5 POINTS 1. : B/C 2. : A/D 3. : A/C/D 4. : B 5. : B/D PARTIE II/2 RESOUDRE UN PROBLEME / 5 POINTS A partir de l analyse des documents fournis, proposez un scénario pour l histoire des gènes codant pour les pigments visuels. Vous compléterez le document 4 en plaçant l apparition des différents gènes. PB posé Infos : Document 1- Les gènes des opsines chez l Homme. Chez l Homme, les opsines (= protéines = pigments visuels) contenues dans les trois types de cônes (= cellules de la rétine, photoreceptrices, contiennent chacune un type de pigment) sont les produits de trois gènes localisés sur deux chromosomes différents. 3 gènes, (locus ) sur 2 chromosomes codent pour 3 opsines (pigments rétiniens) : M, L, S Opsines = protéines contenues dans les cônes de la rétine : cellules photosensibles spécialisées dans la perception des couleurs. Il existe 3 types de cônes contenant chacun 1 opsine Chez l homme il existe 3 types de cellules photoreceptrices percevant les couleurs : les cônes qui contiennent chacune un type de pigment visuel (opsine) M ; L ou S Ces opsines sont codées par 3 gènes situés sur 2 chromosomes. Document 2- Tableau des identités (exprimées en %) obtenu à partir d une comparaison des séquences nucléotidiques des gènes des opsines S, M et L. Gène opsine M Gène opsine L Gène opsine S Gène opsine M 100 Gène opsine L 96 (MAX) 100 Gène opsine S 44(MIN) 43 (MIN) 100
5 Infos pertinentes Fort taux d identité (> 40%) Max d identités : entre M et L : 96% Min entre S et (M, L) : ± 45% Connaissances La comparaison des identités permet d établir le lien de parenté entre les gènes étudiés Plus le % d identité est élevé plus le lien de parenté est étroit, plus les gènes comparés partagent un gène ancestral commun récent. Ce gène ancestral a subi une duplication et une transposition suivie de mutations indépendantes. => famille multigénique Déductions Le fort % d identités entre les 3 gènes témoigne d un lien de parenté. - M et L partage le plus grand% d =, ils ont le lien de parenté le plus étroit : ils proviennent du gène ancestral le plus récent - (M,L) et S partage un gène ancestral plus ancien. - M, L et S proviennent de 2 duplications successives : 1 er à S et le gène ancestral de M et L avec ne translocation sur un autre chromosome (7à X) 2 ième à M et L (tous 2 sur le chromosome X) ces 3 gènes constituent une famille multigénique Document 3 - Gènes des opsines et vision chez les primates. Gène de l opsine M/L Chez les primates de l ancien monde, 3 gènes à trichromatie (vision de 3 couleurs : R, V, B) sur 2 chromosomes (7, X) Les différentes opsines permettent la vision de couleurs différentes Chez les primates du nouveau monde : 2 gènes à dichromatie (vision de 2 couleurs (B, V) sur 2 chromosomes (7, X) Toutes les espèces ne perçoivent pas les couleurs de la même façon, cela dépend des gènes des opsines qu ils possèdent. Chez les primates, on distingue ceux de l ancien monde qui sont trichromates grâce à la possession des 3 gènes Et ceux du nouveau monde qui sont dichromates car ils ne possèdent que 2 gènes On peut faire l hypothèse que la 2 ième duplication donnant les gènes M et L ne s est pas déroulée chez les primates du nouveau monde. L'Homme et certains autres Primates sont trichromates c'est-à-dire que leur vision des couleurs est due à la présence de trois catégories de pigments contenus dans les cônes. Les singes de l'ancien Monde (Bonobo, Chimpanzé, Gorille et Macaque) présentent le gène S (codant l opsine bleue) sur le chromosome 7 et les gènes L et M (codant respectivement les opsines rouge et verte) sur le chromosome X. Mais la plupart des mammifères sont le plus souvent dichromates: leur vision dépend de deux catégories de pigments. Ainsi les singes du Nouveau Monde (Amérique) possèdent le gène S sur un autosome quelconque et un seul autre gène nommé M/L codant pour une autre opsine sur le chromosome X
6 Document 4 - Taux d absorption des photons en fonction de la longueur d onde pour une vision trichromatique et dichromatique. Le succès de la la trichromatie et notamment la différenciation rouge vert chez les primates semble lié à l avantage évolutif que leur donne la capacité de mieux distinguer le vert du rouge, ce qui était particulièrement important pour des populations de cueilleurs qui devaient distinguer les baies mures généralement rouges, du feuillage et des baies non mures généralement vertes. (= avantage sélectif à survie > à reproduction> à diffusion du gène dans les populations = selection naturelle) Vision trichromate : 3 pigments (M, L, S) qui absorbent des longueurs d ondes : M à Vert ; Sà Bleu ; Là Rouge Vision dichromate : 2 pigments S à B et M/Là V La possession des 3 pigments a donné aux individus les possédant un Les opsines contenues dans les cônes interagissent avec les photons de différentes longueurs d onde (séquence, forme, fonction ) et à naissance d un message nerveux visuel = perception des couleurs Les gènes conférant un L apparition d un nouveau gène (L) par duplication chez l ancêtre commun des primates de l ancien monde a représenté un avantage sélectif en permettant une meilleure exploitation des ressources alimentaires. Ce nouveau caractère a été sélectionné et s est maintenu chez tous les primates issus de cet ancêtre commun. La duplication à l origine du pigment avantage sélectif ó avantage aux populations L ne s est pas produite chez les exploitation des ressources sont sélectionnés et transmis primates du nouveau monde. alimentaires. à la descendance Document 5 : arbre phylogénétique de quelques primates Les singes de l ancien monde ont un ancêtre commun plus récent (23MA) que l ancêtre commun des primates (40MA) à l origine des 2 groupes de primates. L étude des identités entre les gènes permet de reconstituer l histoire des gènes et de reconstituer les liens de parenté entre les espèces Les singes de l anciens monde se sont différenciés à partir d un ancêtre commun à tous les primates (40MA) chez qui une mutation (duplication) du gène M/L a permis l apparition de 2 gènes différents M et L. (23MA) Cela permet de placer l Homme parmi les primates de l ancien monde
7 Ancêtre commun des primates de l ancien monde Gène L (chromosome X) Gène M (chromosome 7) Ancêtre commun des primates Gène M/L (chromosome X) Gène S (autosome) Mise en relation : Chez l Homme ainsi que chez tous les primates de l ancien monde, il existe 3 opsines (pigments rétiniens) (doc 1, 3) contenus dans les cellules réceptrices de la rétine, assurant la vision des couleurs : les cônes. La présence des 3 opsines permet la perception de 3 longueurs d ondes : R, V, B : ils sont trichromates (doc4) Elles sont codées par 3 gènes situés sur les chromosomes 7 (gène S) et X (M et L). La comparaison des séquences de nucléotides de ces gènes montrent une forte identité qui témoigne d un lien de parenté, ils proviennent d un gène ancestral commun : ils constituent une famille multigénique (doc 2). Chez les singes du nouveau monde il n existe que 2 gènes (S et M/L) qui permettent la perception de 2 couleurs (V, B), ils sont dichromates (doc 3, 4) On peut donc imaginer que chez l ancêtre commun des primates (40MA) il existait 2 gènes des opsines (S et M/L) qui provenaient d une duplication d un gène ancestral commun plus ancien. Les 2 copies obtenues ont subi des mutations indépendantes et une translocation de M/L sur le chromosome X. Avant 23 MA, une autre duplication du gène M/L a donné naissance aux 2 gènes M et L, présents chez l ancêtre commun des singes de l ancien monde. (Doc 1, 5). Ce nouveau caractère (trichromatie) a représenté un avantage sélectif (alimentation) et a été sélectionné et conservé chez tous les primates de l ancien monde
CHAPITRE 3 LA SYNTHESE DES PROTEINES
CHAITRE 3 LA SYNTHESE DES ROTEINES On sait qu un gène détient dans sa séquence nucléotidique, l information permettant la synthèse d un polypeptide. Ce dernier caractérisé par sa séquence d acides aminés
Plus en détailChapitre 2 - Complexité des relations entre génotype et phénotype
Chapitre 2 - Complexité des relations entre génotype et phénotype Chaque chromosome est en double exemplaire Donc chaque gène (situé sur son locus) est en double exemplaires : et peut être sous différente
Plus en détailSéquence 6. Mais ces espèces pour autant ne sont pas identiques et parfois d ailleurs ne se ressemblent pas vraiment.
Sommaire Séquence 6 Nous avons vu dans les séances précédentes qu au cours des temps géologiques des espèces différentes se sont succédé, leur apparition et leur disparition étant le résultat de modifications
Plus en détailGénétique et génomique Pierre Martin
Génétique et génomique Pierre Martin Principe de la sélections Repérage des animaux intéressants X Accouplements Programmés Sélection des meilleurs mâles pour la diffusion Index diffusés Indexation simultanée
Plus en détailDr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires
Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires I. Introduction II. Les microscopes 1. Le microscope optique 2. Le microscope à fluorescence 3. Le microscope confocal 4. Le microscope électronique
Plus en détailINFORMATION GÉNÉTIQUE et REPRODUCTION SEXUÉE
Partie 1, Chapitre 4 INFORMATION GÉNÉTIQUE et REPRODUCTION SEXUÉE Constat : à l'exception des jumeaux, chaque individu est unique. Ses caractères héréditaires dependent des info génétiques (allèles) portées
Plus en détailBases moléculaires des mutations Marc Jeanpierre
Bases moléculaires des mutations Marc Jeanpierre Chaque enfant qui naît hérite de 10 à 30 nouvelles mutations ponctuelles. L essentiel des ces mutations sont heureusement des variations neutres de séquence
Plus en détailExercices de génétique classique partie II
Exercices de génétique classique partie II 1. L idiotie phénylpyruvique est une maladie héréditaire dont sont atteints plusieurs membres d une famille, dont voici l arbre généalogique : 3 4 5 6 7 8 9 10
Plus en détailUnivers Vivant Révision. Notions STE
Univers Vivant Révision Notions STE Chap. 13) L Écologie 1) a) Qu est-ce que l empreinte écologique? L empreinte écologique correspond à la surface terrestre et aquatique totale nécessaire à un individu,
Plus en détailSéquence 1. Reproduction conforme de la cellule et réplication de l ADN Variabilité génétique et mutation de l ADN
Séquence 1 Reproduction conforme de la cellule et réplication de l ADN Variabilité génétique et mutation de l ADN Sommaire 1. Reproduction conforme de la cellule et réplication de l ADN 2. Variabilité
Plus en détailMABioVis. Bio-informatique et la
MABioVis Modèles et Algorithmes pour la Bio-informatique et la Visualisation Visite ENS Cachan 5 janvier 2011 MABioVis G GUY MELANÇON (PR UFR Maths Info / EPI GRAVITE) (là, maintenant) - MABioVis DAVID
Plus en détailTD de Biochimie 4 : Coloration.
TD de Biochimie 4 : Coloration. Synthèse de l expérience 2 Les questions posées durant l expérience 2 Exposé sur les méthodes de coloration des molécules : Générique Spécifique Autres Questions Pourquoi
Plus en détailConférence technique internationale de la FAO
Décembre 2009 ABDC-10/7.2 F Conférence technique internationale de la FAO Biotechnologies agricoles dans les pays en développement: choix et perspectives pour les cultures, les forêts, l élevage, les pêches
Plus en détailProjet Pédagogique Conférence interactive HUBERT REEVES Vendredi 13 mars 2015-14 H
Projet Pédagogique Conférence interactive HUBERT REEVES Vendredi 13 mars 2015-14 H Page 1 DES CONFERENCES QUI ENRICHISSENT LES PROGRAMMES SCOLAIRES : Objectifs principaux : Acquérir et approfondir des
Plus en détailTransfusions sanguines, greffes et transplantations
Transfusions sanguines, greffes et transplantations Chiffres clés en 2008 La greffe d organes est pratiquée depuis plus de 50 ans. 4 620 malades ont été greffés. 1 563 personnes ont été prélevées. 222
Plus en détail1 les caractères des êtres humains.
Quelques rappels des classes précédentes ACTIVITÉ livre pages 8 et 9 : apprendre le bilan de la page 9 Les êtres vivants sont répartis en espèces. Chaque être vivant est formé de cellules. schéma d une
Plus en détailLes débuts de la génétique
HPITRE 9 DES DÉBTS DE L ÉNÉTIQE X ENJEX TELS DES BIOTEHNOLOIES 1 Les débuts de la génétique est avec les travaux de regor Mendel vers la fin du XIX e siècle que furent posées les bases de la génétique.
Plus en détailLes renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic de cancer
Information importante pour les personnes atteintes d un cancer du poumon non à petites cellules de stade avancé Les renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic
Plus en détailSéquence 8. De l œil au cerveau : quelques aspects de la vision
Séquence 8 De l œil au cerveau : quelques aspects de la vision Sommaire Pour s interroger 1. La vision : de la lumière au message nerveux 2. La vision : la perception visuelle, une construction cérébrale
Plus en détailPOLY-PREPAS Centre de Préparation aux Concours Paramédicaux. - Section Orthoptiste / stage i-prépa intensif -
POLY-PREPAS Centre de Préparation aux Concours Paramédicaux - Section Orthoptiste / stage i-prépa intensif - 1 Suite énoncé des exos du Chapitre 14 : Noyaux-masse-énergie I. Fission nucléaire induite (provoquée)
Plus en détailLes tests génétiques à des fins médicales
Les tests génétiques à des fins médicales Les tests génétiques à des fins médicales Nous avons tous hérité d une combinaison unique de gènes de la part de nos parents. Cette constitution originale et l
Plus en détailBases de données des mutations
Bases de données des mutations CFMDB CFTR2 CFTR-France / Registre Corinne THEZE, Corinne BAREIL Laboratoire de génétique moléculaire Montpellier Atelier Muco, Lille, 25-27 septembre 2014 Accès libre http://www.genet.sickkids.on.ca/app
Plus en détailSéquence 2. L expression du patrimoine génétique. Sommaire
Séquence 2 L expression du patrimoine génétique Sommaire 1. La synthèse des protéines 2. Phénotypes, génotypes et environnement Synthèse de la séquence 2 Exercices de la séquence 2 Glossaire des séquences
Plus en détailLES DÉFICITS IMMUNITAIRES COMBINÉS SÉVÈRES
LES DÉFICITS IMMUNITAIRES COMBINÉS SÉVÈRES Le présent livret a été rédigé à l attention des patients et de leurs familles. Il ne doit pas remplacer les conseils d un spécialiste en immunologie. 1 Egalement
Plus en détailIMMUNOLOGIE. La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T. Informations scientifiques
IMMUNOLOGIE La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T Informations scientifiques L infection par le VIH entraîne des réactions immunitaires de l organisme qui se traduisent par la production
Plus en détailLes OGM. 5 décembre 2008. Nicole Mounier
Les OGM 5 décembre 2008 Nicole Mounier Université Claude Bernard Lyon 1 CGMC, bâtiment Gregor Mendel 43, boulevard du 11 Novembre 1918 69622 Villeurbanne Cedex OGM Organismes Génétiquement Modifiés Transfert
Plus en détailAlarme domestique- Présentation
STI2D PROJET SIN Alarme domestique- Présentation Document réponses Séquence découverte Le fonctionnement du système d alarme domestique: (Démarche d investigation) Après avoir fait une présentation de
Plus en détailLa gestion de données dans le cadre d une application de recherche d alignement de séquence : BLAST.
La gestion de données dans le cadre d une application de recherche d alignement de séquence : BLAST. Gaël Le Mahec - p. 1/12 L algorithme BLAST. Basic Local Alignment Search Tool est un algorithme de recherche
Plus en détailLa Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène
1 La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène Document rédigé par l équipe pluridisciplinaire du centre de référence pour les maladies cardiaques héréditaires (Paris), en collaboration avec des patients
Plus en détailEXERCICES : MECANISMES DE L IMMUNITE : pages 406 407 408 409 410
EXERCICES : MECANISMES DE L IMMUNITE : pages 406 407 408 409 410 EXERCICE 1 PAGE 406 : EXPERIENCES A INTERPRETER Question : rôles respectifs du thymus et de la moelle osseuse dans la production des lymphocytes.
Plus en détailI - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE
I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE 1- Définition : Le diabète sucré se définit par une élévation anormale et chronique de la glycémie. Cette anomalie est commune à tous les types de diabète sucré, mais
Plus en détailBiomarqueurs en Cancérologie
Biomarqueurs en Cancérologie Définition, détermination, usage Biomarqueurs et Cancer: définition Anomalie(s) quantitative(s) ou qualitative(s) Indicative(s) ou caractéristique(s) d un cancer ou de certaines
Plus en détailDépistage drépanocytose. Édition 2009
Dépistage drépanocytose Édition 2009 ÊTre hétérozygote et alors Madame, Monsieur, Comme tous les nouveau-nés, votre bébé a eu un prélèvement de sang au talon. Ce prélèvement a été réalisé dans le cadre
Plus en détailPrincipe d un test statistique
Biostatistiques Principe d un test statistique Professeur Jean-Luc BOSSON PCEM2 - Année universitaire 2012/2013 Faculté de Médecine de Grenoble (UJF) - Tous droits réservés. Objectifs pédagogiques Comprendre
Plus en détailLe test de dépistage qui a été pratiqué à la
élever CommenT UN enfant ayant une drépanocytose Q Le test de dépistage qui a été pratiqué à la maternité vient de révéler que votre bébé est atteint de drépanocytose. Aujourd hui, votre enfant va bien,
Plus en détailQue faire lorsqu on considère plusieurs variables en même temps?
Chapitre 3 Que faire lorsqu on considère plusieurs variables en même temps? On va la plupart du temps se limiter à l étude de couple de variables aléatoires, on peut bien sûr étendre les notions introduites
Plus en détailLa maladie de Stargardt
La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à vous informer sur la maladie de Stargardt.
Plus en détailEVALUATION DU RISQUE CHIMIQUE
EVALUATION DU RISQUE CHIMIQUE Cette évaluation doit être systématique, quelle que soit l activité de l entreprise, même s il n y a pas d exposition a priori du fait des activités de travail. L'objectif
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailMa vie Mon plan. Cette brochure appartient à :
Ma vie Mon plan Cette brochure est pour les adolescents(es). Elle t aidera à penser à la façon dont tes décisions actuelles peuvent t aider à mener une vie saine et heureuse, aujourd hui et demain. Cette
Plus en détailGénoToul 2010, Hôtel de Région Midi Pyrénées, Toulouse, 10 décembre 2010
GénoToul 2010, Hôtel de Région Midi Pyrénées, Toulouse, 10 décembre 2010 Analyse de la diversité moléculaire des régions génomiques de 30 gènes du développement méristématique dans une core collection
Plus en détailInformation génétique
chapitre 3 Information génétique et division cellulaire L étude de la division cellulaire est abordée pour découvrir comment est transmise et conservée l information génétique portée par les chromosomes.
Plus en détailHémochromatose génétique non liée à HFE-1 : quand et comment la rechercher? Cécilia Landman 11 décembre 2010
Hémochromatose génétique non liée à HFE-1 : quand et comment la rechercher? Cécilia Landman 11 décembre 2010 Métabolisme du fer : hepcidine Fer absorbé par les entérocytes des villosités duodénales : transporteur
Plus en détailDe la physico-chimie à la radiobiologie: nouveaux acquis (I)
De la physico-chimie à la radiobiologie: nouveaux acquis (I) Collaboration: - Laboratoire de Radiotoxicologie et Oncologie (L. Sabatier) CEA, DSV - Laboratoire de Génotoxicité et Modulation de l Expression
Plus en détailIndications pour une progression au CM1 et au CM2
Indications pour une progression au CM1 et au CM2 Objectif 1 Construire et utiliser de nouveaux nombres, plus précis que les entiers naturels pour mesurer les grandeurs continues. Introduction : Découvrir
Plus en détailDÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE
DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE Le présent livret a été rédigé à l attention des patients et de leurs familles. Il ne doit pas remplacer les conseils d un spécialiste en immunologie. 1 Egalement Disponible
Plus en détailStabilitéet variabilitédes génomes au cours de la reproduction sexuée
Stabilitéet variabilitédes génomes au cours de la reproduction sexuée 1 1 Reproduction sexuée et stabilitéde l espèce 2 2 L évolution du nombre de chromosones au cours de la reproduction sexuelle Le cycle
Plus en détailRDP : Voir ou conduire
1S Thème : Observer RDP : Voir ou conduire DESCRIPTIF DE SUJET DESTINE AU PROFESSEUR Objectif Compétences exigibles du B.O. Initier les élèves de première S à la démarche de résolution de problème telle
Plus en détail2.0 Interprétation des cotes d évaluation des risques relatifs aux produits
2.0 Interprétation des cotes d évaluation des risques relatifs aux produits L interprétation des cotes attribuées dans le cadre des évaluations des risques relatifs aux produits décrite plus loin repose
Plus en détailLe dépistage du cancer de la prostate. une décision qui VOUS appartient!
Le dépistage du cancer de la prostate une décision qui VOUS appartient! Il existe un test de dépistage du cancer de la prostate depuis plusieurs années. Ce test, appelé dosage de l antigène prostatique
Plus en détailEtnoka.fr. De la démocratie en France
Etnoka.fr De la démocratie en France Partie 1 : UN SIÈCLE DE TRANSFORMATIONS SCIENTIFIQUES, TECHNOLOGIQUES, ÉCONOMIQUES ET SOCIALES Séquence 1 : LES GRANDES INNOVATIONS SCIENTIFIQUES ET TECHNOLOGIQUES
Plus en détailDétection des duplications en tandem au niveau nucléique à l'aide de la théorie des flots
Université Toulouse 3 Paul Sabatier(UT3 Paul Sabatier) Informatique Spécialité Bioinformatique Eric AUDEMARD lundi 28 novembre 2011 Détection des duplications en tandem au niveau nucléique à l'aide de
Plus en détailMontréal, 24 mars 2015. David Levine Président et chef de la direction DL Strategic Consulting. DL Consulting Strategies in Healthcare
Montréal, 24 mars 2015 David Levine Président et chef de la direction DL Strategic Consulting 1 RSSPQ, 2013 2 MÉDECINE INDIVIDUALISÉE Médecine personnalisée Médecine de précision Biomarqueurs Génomique
Plus en détailDON DE SANG. Label Don de Soi
DON DE SANG Label Don de Soi 2015 SOMMAIRE Les différents types de dons p.3 Le don de sang total Le don de plasma Le don de plaquettes Le don de moelle osseuse Que soigne-t-on avec un don de sang? p.7
Plus en détailI. Une nouvelle loi anti-discrimination
Extrait du Bulletin de Liaison Le Défi n 17, LHFB, Juillet 2004 Discriminations et assurances ; les apports de la Loi du 25 février 2003 et le rôle du Centre pour l'égalité des chances et la lutte contre
Plus en détailQu est-ce que la maladie de Huntington?
Qu est-ce que la maladie de Huntington? Description sommaire Qu est-ce que la maladie de Huntington? La maladie de Huntington (MH) est une maladie neurodégénérative longtemps connue sous le nom de Chorée
Plus en détailManuel d utilisation 26 juin 2011. 1 Tâche à effectuer : écrire un algorithme 2
éducalgo Manuel d utilisation 26 juin 2011 Table des matières 1 Tâche à effectuer : écrire un algorithme 2 2 Comment écrire un algorithme? 3 2.1 Avec quoi écrit-on? Avec les boutons d écriture........
Plus en détailMETHODOLOGIE GENERALE DE LA RECHERCHE EPIDEMIOLOGIQUE : LES ENQUETES EPIDEMIOLOGIQUES
Enseignement du Deuxième Cycle des Etudes Médicales Faculté de Médecine de Toulouse Purpan et Toulouse Rangueil Module I «Apprentissage de l exercice médical» Coordonnateurs Pr Alain Grand Pr Daniel Rougé
Plus en détailGUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE
GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les
Plus en détailDocument d orientation sur les allégations issues d essais de non-infériorité
Document d orientation sur les allégations issues d essais de non-infériorité Février 2013 1 Liste de contrôle des essais de non-infériorité N o Liste de contrôle (les clients peuvent se servir de cette
Plus en détailCe manuel a comme objectif de fournir des informations aux patients et ses familiers à respect du Trait Drepanocytaire.
Ce manuel a comme objectif de fournir des informations aux patients et ses familiers à respect du Trait Drepanocytaire. Nous savons que les informations médicales sont entourés, dans la plupart des cas,
Plus en détailFICHE N 8 Photodiversité, d une banque d images à un portail d activités en ligne Anne-Marie Michaud, académie de Versailles
FICHE N 8 Photodiversité, d une banque d images à un portail d activités en ligne Anne-Marie Michaud, académie de Versailles Niveaux et thèmes de programme Sixième : 1 ère partie : caractéristiques de
Plus en détailDossier «Maladies du sang» Mieux les connaître pour mieux comprendre les enjeux liés au don de sang
Dossier «Maladies du sang» Mieux les connaître pour mieux comprendre les enjeux liés au don de sang Maladies du sang Objectif de ce dossier Les demandes des médias portent régulièrement sur les usages
Plus en détail3: Clonage d un gène dans un plasmide
3: Clonage d un gène dans un plasmide Le clonage moléculaire est une des bases du génie génétique. Il consiste à insérer un fragment d'adn (dénommé insert) dans un vecteur approprié comme un plasmide par
Plus en détailMémoire de première année LE DALTONISME
Mémoire de première année LE DALTONISME Cosculluela Fabrice Bonnouvrier Sophie Année Scolaire 1998-99 ESME Sudria Chevreau Baptiste Sommaire : LE DALTONISME...1 Sommaire :...2 Introduction :...3 Origines
Plus en détailVégétaux Exemples d individus
Végétaux Formation Biologie 2011 2012 Végétaux Exemples d individus Végétaux Embranchement Classification Description Reproduction Mode de vie Exemples d individu Végétaux Règne > Etymologie «Végetaux»
Plus en détailLe VIH et votre foie
Le VIH et votre foie Le VIH et votre foie Que dois-je savoir au sujet de mon foie? Votre foie joue un rôle incroyablement important. Il filtre votre sang en éliminant les substances nocives (toxiques)
Plus en détailTravaux dirigés de Microbiologie Master I Sciences des Génomes et des Organismes Janvier 2015
Andrew Tolonen atolonen@genoscope.cns.fr Travaux dirigés de Microbiologie Master I Sciences des Génomes et des Organismes Janvier 2015 A- Généralités I- La vie sur terre telle que nous la connaissons ne
Plus en détailPHOTO PLAISIRS. La Lumière Température de couleur & Balance des blancs. Mars 2011 Textes et Photos de Bruno TARDY 1
PHOTO PLAISIRS La Lumière Température de couleur & Balance des blancs Mars 2011 Textes et Photos de Bruno TARDY 1 Blanc Infrarouge Flash Température Lumière RVB Couleur chaude Couleur Couleur Couleur Incandescente
Plus en détailThème sélection génétique des plantes hybridation et génie génétique
Thème sélection génétique des plantes hybridation et génie génétique Exemple d activité : recenser, extraire et exploiter des informations afin de comprendre les caractéristiques et les limites de la modification
Plus en détailPrincipales causes de décès selon le groupe d âge. 0 24 25 44 45 64 65 84 85 et plus
Module 2 Exercice 1: Cellules souches hématopoïétiques 1. Causes de décès en Suisse (2010) La figure suivante montre les causes de décès les plus fréquentes en Suisse en 2010, telles qu elles ont été relevées
Plus en détailCOMMENT EVALUER UN RISQUE
COMMENT EVALUER UN RISQUE Rappel : danger et risque Le danger est la propriété ou capacité intrinsèque d un équipement, d une substance, d une méthode de travail, d un environnement à causer un dommage
Plus en détailLa rétinite pigmentaire Rod-cone dystrophie Retinitis pigmentosa
Rod-cone dystrophie Retinitis pigmentosa La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée
Plus en détail7. Exemples de tests pour détecter les différents troubles de la vision.
7. Exemples de tests pour détecter les différents troubles de la vision. 7.1 Pour la myopie (mauvaise vue de loin) : Test de vision de loin Sur le mur d un pièce, fixez l illustration ci-dessous que vous
Plus en détailNicolas DEPRUGNEY Julien CARTON 1 SA TPE 1 S. Les Phéromones de la Fourmi
Nicolas DEPRUGNEY Julien CARTON 1 SA TPE 1 S Les Phéromones de la Fourmi 1 Introduction... p.3 Comment les fourmis communiquent-elles entre elles? I. Mise en évidence des phéromones p.4 Expérience avec
Plus en détailExo7. Probabilité conditionnelle. Exercices : Martine Quinio
Exercices : Martine Quinio Exo7 Probabilité conditionnelle Exercice 1 Dans la salle des profs 60% sont des femmes ; une femme sur trois porte des lunettes et un homme sur deux porte des lunettes : quelle
Plus en détailUniversité de La Rochelle. Réseaux TD n 6
Réseaux TD n 6 Rappels : Théorème de Nyquist (ligne non bruitée) : Dmax = 2H log 2 V Théorème de Shannon (ligne bruitée) : C = H log 2 (1+ S/B) Relation entre débit binaire et rapidité de modulation :
Plus en détail«Peut-on jeûner sans risque pour la santé?»
Le FIGARO du 21/10/2013, page 13 : Cet article est un document culturel qui témoigne à quel degré l establishment médical français ignore le jeûne. À mettre au frigo, pour le ressortir le jour où l'essai
Plus en détailTESTS D'HYPOTHESES Etude d'un exemple
TESTS D'HYPOTHESES Etude d'un exemple Un examinateur doit faire passer une épreuve type QCM à des étudiants. Ce QCM est constitué de 20 questions indépendantes. Pour chaque question, il y a trois réponses
Plus en détailLa sécurité physique et environnementale
I. Qu est ce que la sécurité physique? "Il ne sert à rien de dresser une ligne Maginot logique si n'importe qui peut entrer dans la salle serveurs par la fenêtre " (Christian Pollefoort, consultant en
Plus en détailLE SPECTRE D ABSORPTION DES PIGMENTS CHLOROPHYLLIENS
Fiche sujet-élève Les végétaux chlorophylliens collectent l énergie lumineuse grâce à différents pigments foliaires que l on peut classer en deux catégories : - les chlorophylles a et b d une part, - les
Plus en détailLa perception des couleurs par l'œil
Travaux Personnels Encadrés Thème: Images La perception des couleurs par l'œil Haïba Lekhal Per Einar Ellefsen 1 ère S 3 2001-2002 Lycée Français Jean Monnet La perception des couleurs par l'oeil par Haïba
Plus en détailQu est-ce qu un test génétique?
8 Vous pouvez rechercher les laboratoires de diagnostic dans votre pays par nom de maladie ou de gène à l'adresse suivante: Qu est-ce qu un test génétique? http://www.orpha.net/consor/cgi-bin/clinicallabs.php?lng=fr
Plus en détailGUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE. La prise en charge des leucémies aiguës de l adulte
GUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE La prise en charge des leucémies aiguës de l adulte Mars 2012 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour faciliter la discussion sur
Plus en détailI partie : diagnostic et proposition de solutions
Session 2011 BTS assistant de manager Cas Arméria: barème et corrigé Remarque: la 1 ère partie doit être cohérente avec les éléments déterminants du contexte décrit dans cet encadré, qui n est pas attendu
Plus en détailLes Réseaux sans fils : IEEE 802.11. F. Nolot
Les Réseaux sans fils : IEEE 802.11 F. Nolot 1 Les Réseaux sans fils : IEEE 802.11 Historique F. Nolot 2 Historique 1er norme publiée en 1997 Débit jusque 2 Mb/s En 1998, norme 802.11b, commercialement
Plus en détailIndicateur d'unité Voyant Marche/Arrêt
Notice MESURACOLOR Colorimètre à DEL Réf. 22020 Indicateur d'unité Voyant Marche/Arrêt Indicateur Etalonnage Bouton Marche/Arrêt Indicateur de sélection de la longueur d'onde Indicateur de mode chronomètre
Plus en détailDépistage du cancer colorectal :
Dépistage du cancer colorectal : Quels enjeux? Robert Benamouzig Gastro-entérologie Hôpital Avicenne Bobigny Le cancer colorectal dans le monde 3ème cause de cancer Augmentation 1975 : 500 000 cas 1990
Plus en détailTP N 3 La composition chimique du vivant
Thème 1 : La Terre dans l'univers, la vie et l'évolution du vivant : une planète habitée Chapitre II : La nature du vivant TP N 3 La composition chimique du vivant Les conditions qui règnent sur terre
Plus en détailGRANULOMATOSE SEPTIQUE CHRONIQUE
GRANULOMATOSE SEPTIQUE CHRONIQUE Le présent livret a été rédigé à l attention des patients et de leurs familles. Il ne doit pas remplacer les conseils d un spécialiste en immunologie. 1 Egalement Disponible:
Plus en détailG U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge de votre mélanome cutané
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre mélanome cutané Mars 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer sur le mélanome
Plus en détailStructure quantique cohérente et incohérente de l eau liquide
Structure quantique cohérente et incohérente de l eau liquide Prof. Marc HENRY Chimie Moléculaire du Solide Institut Le Bel, 4, Rue Blaise Pascal 67070 Strasbourg Cedex, France Tél: 03.68.85.15.00 e-mail:
Plus en détailLes aspects psychologiques de la paralysie cérébrale : répercussions et enjeux dans le parcours de vie.
Les aspects psychologiques de la paralysie cérébrale : répercussions et enjeux dans le parcours de vie. Sarah CAILLOT, Psychologue Réseau Breizh IMC- Pôle MPR St-Hélier (Rennes)- Journée Inter-régionale
Plus en détailNi tout noir, ni tout blanc Consignes Thème I - Observer
Ni tout noir, ni tout blanc Consignes Thème I - Observer BUT : Etudier les synthèses additives et soustractives Comprendre la notion de couleur des objets COMPETENCES : Rechercher et trier des informations
Plus en détailSciences de Gestion Spécialité : SYSTÈMES D INFORMATION DE GESTION
Sciences de Gestion Spécialité : SYSTÈMES D INFORMATION DE GESTION Classe de terminale de la série Sciences et Technologie du Management et de la Gestion Préambule Présentation Les technologies de l information
Plus en détailUtilisation des substrats énergétiques
Utilisation des substrats énergétiques Collège des Enseignants de Nutrition Date de création du document 2010-2011 Table des matières I Les organes et les substrats... 3 I.1 Les substrats énergétiques...
Plus en détailL EMEA accepte d évaluer la demande d autorisation de mise sur le marché de la LENALIDOMIDE
L EMEA accepte d évaluer la demande d autorisation de mise sur le marché de la LENALIDOMIDE NEUCHATEL, Suisse, 7 avril/prnewswire/ -- - LA LENALIDOMIDE est évaluée par l EMEA comme thérapie orale pour
Plus en détailIdentification de nouveaux membres dans des familles d'interleukines
Identification de nouveaux membres dans des familles d'interleukines Nicolas Beaume Jérôme Mickolajczak Gérard Ramstein Yannick Jacques 1ère partie : Définition de la problématique Les familles de gènes
Plus en détail