Analyse de risque pour l'introduction d'un prédateur exotique de la cochenille du pin maritime
|
|
- Georgette Paquette
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Analyse de risque pour l'introduction d'un prédateur exotique de la cochenille du pin maritime Inge van Halder, Manuela Branco, Catarina Tavares & Hervé Jactel GEFF, 2015
2 Cochenille de Pin maritime - Matsucoccus feytaudi Espèce endémique au Maroc, Portugal, Espagne et dans le sud-ouest de la France -> pas de dégâts Années 1950 introduite dans le sud-est, ensuite dispersion vers Toscane Découverte en Corse en 1994 (Rigot et al., 2014). Dégâts : mortalités des arbres suite aux attaques par des ravageurs secondaires. 26 % mortalité dans peuplements suivis depuis 9 ans
3 Corse : extension prévue vers le sud, vers grands massifs de Pin maritime (2 km/an) Méthodes de lutte Gestion forestière Lutte biologique utilisation ennemis naturels Lutte biologique classique Chercher des ennemis naturels dans l aire d origine du ravageur -> introduction Limites (en rouge) de l'aire de répartition de Matsucoccus feytaudi en Corse en 2015 Evaluer les risques et bénéfices Prédation sur d autres proies (non-cibles) Compétition avec d autres prédateurs indigènes Effets sur la santé humaine/ animale -> prédateur très spécialisé sur le ravageur
4 Candidat pour la lutte biologique contre M. feytaudi : coccinelle Iberorhyzobius rondensis Seulement connue dans la Péninsule Ibérique Se nourrit des pontes de M. feytaudi Attirée par la phéromone de M. feytaudi Projet de recherche sur l écologie/ biologie avec : ISA Lisbonne INRA Bordeaux - UMR Biogeco INRA Orléans Zoologie Forestière Thèse de Catarina Tavares au Portugal (2014)
5 Procédure pour introduction -> DOSSIER pour l ANSES (Agence nationale de sécurité sanitaire de l alimentation, de l environnement et du travail) DOSSIER TECHNIQUE PREMIÈRE PARTIE : LE MACRO-ORGANISME 1.1. Taxonomie du ou des macro-organismes Description du macro-organisme Informations générales sur la biologie et l écologie du macro-organisme Origine et répartition du macro-organisme Informations sur l utilisation du macro-organisme Informations sur l organisme cible ou les organismes cibles (ravageurs et plantes). DEUXIÈME PARTIE Uniquement dans le cas d une demande d entrée sur le territoire en milieu confiné. TROISIÈME PARTIE : LES RISQUES ET BÉNÉFICES LIÉS À L INTRODUCTION 3.1. Probabilité d établissement du macro-organisme dans l environnement Probabilité de dispersion du macro-organisme dans l environnement Risque potentiel pour la santé humaine et/ou animale Risque potentiel pour la santé des végétaux Risque potentiel pour l environnement dans le territoire pour lequel l autorisation est demandée Risque potentiel lié à la spécificité hôte/macro-organisme Autres risques Efficacité et bénéfices du macro-organisme.
6 Iberorhyzobius rondensis : une espèce décrite récemment 2000 : larves d une coccinelle ont été trouvées au Portugal sur le tronc de P. pinaster, en train de se nourrir de pontes de la cochenille de pin maritime, Matsucoccus feytaudi (Branco et al., 2001). Rhyzobius sp.? 2004 : espèce décrite comme Coccidula rondensis par Eizaguirre (2004) 2006 : Larves et adultes sont attirées par la phéromone sexuelle de synthèse de M. feytaudi (Branco et al., 2006) : Espèce appartient à un nouveau genre Iberorhyzobius (Raimundo et al., 2006).
7 Les analyses génétiques confirment que les individus de I. rondensis forment un clade bien séparé des autres genres (Tavares, 2014)
8 Répartition : espèce seulement connue dans la Péninsule Ibérique Echantillonnage à l aide des phéromones. L espèce a été trouvée dans tous les points sauf A. (Tavares et al., 2014) Pas trouvée en Aquitaine, Corse, Italie En gris : répartition du pin maritime
9 Biologie Cycle biologique : Œufs 4 stades larvaires nymphe adulte Durée stade œuf : 8.6 jours à 25 C Durée 4 stades larvaires : 40 jours à 22 C, nourries avec pontes M. feytaudi Adulte : 10 mois (maximum 2 ans) Femelle a une diapause pré-reproductive de 5 à 6 mois -> une génération par an Fécondité : œufs (femelles nourries avec pontes M. feytaudi) La fécondité est réduite à un tiers sur œufs Ephestia kuehniella, et zéro avec régime de pollen + miel-eau.
10 Cycle prédateur et proie I. rondenis janvier février mars avril mai juin juillet août septembre octobre novembre décembre œufs œufs œufs œufs larves larves larves larves nymphes nymphes nymphes adultes pontes pontes estivation estivation estivation estivation estivation estivation pontes M. feytaudi janvier février mars avril mai juin juillet août septembre octobre novembre décembre œufs œufs œufs œufs larves L1 larves larves larves estivation estivation estivation Larves L2 larves larves larves larves larves (pro)nymphes nymphes pro(nymphes) pro(nymphes) adultes adultes adultes adultes -> synchronisation entre présence de larves de I. rondensis et œufs de M. feytaudi mâles M. feytaudi larves I. rondensis
11 Régime alimentaire Proies testées pour le développement larvaire méthode phylogénétique centrifuge Hemiptera : Matsucoccidae: Matsucoccus feytaudi, M. josephi Monophlebidae: Palaeococcus fuscipennis, Icerya purchasi, Gueriniella serratulae Pseudococcidae: Planococcus citri Adelgidae: Pineus pini Aphididae: Cinara maritimae (larves) Lepidoptera : Pyralidae: Ephestia kuehniella Tests de non-choix, de choix et de croissance
12 Tests de non-choix : Survie des larves à partir du stade L1
13 Croissance des larves RGR toujours plus élevé avec M. feytaudi, souvent 0 sur d autres proies Stades larvaires
14 Tests de choix : comparaison avec M. feytaudi L3/L4 L3/L4 L3/L4 L1 L3/L4 Résultats des 3 tests : une spécialisation sur Matsucoccus feytaudi, nécessaire pour les L1, préférées par les autres stades.
15 Choix d habitat Pinus nigra Pinus sylvestris Pinus pinaster M. pini M. feytaudi Echantillonnage : 8 régions 3 essences par région 3 peuplements pas essence arbres par peuplement Résultat : I. rondensis seulement trouvé sur Pin maritime
16 Etudes phylogéographiques Hôte proie prédateur : structure spatiale génétique similaire
17 Résumé spécialisation Larves observées sur le terrain en train de manger les pontes de M. feytaudi Larves (et adultes) attirées par la phéromone de M. feytaudi Résultats des tests de choix, non-choix et croissance -> spécialisation sur M. feytaudi Espèce seulement trouvée dans les peuplements de pin maritime, et pas sur pin sylvestre ou pin noir. Fécondité 3x plus sur M. feytaudi > E. kuehniella Cycle synchronisé (larves I. rondensis œufs M. feytaudi) Corrélation entre phylogéographie hôte-proie-prédateur -> Espèce semble très spécialisée sur M. feytaudi
18 Analyse de risques Risque de prédation sur d autres proies Spécialisée sur M. feytaudi Spécialisée sur pin maritime -> faible risque de prédation sur des espèces proies dans le même habitat ou dans d autres habitats (M. pini) Risque de compétition ou de substitution d espèces Essais au laboratoire entre I. rondensis et Elatophilus spp. -> aucune interférence entre les deux espèces (Tavares comm. pers.). Aucune expérimentation sur les interactions biotiques avec d'autres prédateurs comme Aplocnemus spp. ou Hemerobius spp. Essais d'attraction kairomonale sur le terrain -> présence simultanée de I. rondensis, Elatophilus spp., Aplocnemus spp. et Hemerobius spp. sur le même arbre -> cohabitation -> risque semble faible, mais reste à mieux tester
19 Contraintes climatiques pour l installation logiciel CLIMEX Données laboratoire -> preferendum thermique -> l aire de répartition potentielle en Europe Conditions climatiques dans l aire de répartition Péninsule Ibérique -> zones de même climat Les deux méthodes montrent un concordance dans les conditions climatiques entre le Portugal et la Corse.
20 Capacité de prédation Stades larvaires : 2000 œufs de M. feytaudi Valeur comparable avec d autres coccinelles utilisées contre des cochenilles Adultes :? Capacité de dispersion Pas connue
21 Conclusions Risques semblent faibles : espèce très spécialisée (proie et habitat) Taux de prédation semble OK Concordance climatique : OK Moins ou pas connu : Alimentation adultes Compétition avec d autres prédateurs (semble faible) Capacité de dispersion Risques liés à l introduction semblent donc faibles, mais risque zéro n existe pas C est maintenant à la commission d ANSES de donner son avis
22 Merci de votre attention
Biologie du psylle Inventaire des auxiliaires spontanés Evaluation de leur impact réel sur la saison
ELEMENTS DE BIOLOGIE DU PSYLLE DE L ELAEAGNUS, CACOPSYLLA FULGURALIS (KUWAYAMA, 1908) [HEMIPTERA : PSYLLIDAE] ET RELATIONS AVEC SES AUXILIAIRES SPONTANÉS A. FERRE ET M. BEAUJEAN LIFE HISTORY TRAITS OF
Plus en détailMise en place d un réseau d Arboretums pour une valorisation coordonnée des ressources ligneuses ex situ
ENGREF. Mise en place d un réseau d Arboretums pour une valorisation coordonnée des ressources ligneuses ex situ Stéphanie BRACHET Chargée des missions scientifiques ENGREF - Arboretum national des Barres
Plus en détailJournée scientifique 21 novembre «Base de données e-prpv Etat des lieux et perspectives Bernard Reynaud, Henri Brouchoud, Bruno Hostachy»
Journée scientifique 21 novembre «Base de données e-prpv Etat des lieux et perspectives Bernard Reynaud, Henri Brouchoud, Bruno Hostachy» Sécurité alimentaire et Changement climatique : l Indianocéanie
Plus en détailLes méthodes de luttes : De la protection «systématique» à la Protection Intégrée (P.B.I.)
Les méthodes de luttes : De la protection «systématique» à la Protection Intégrée (P.B.I.) Protection Biologique Intégrée Lutte phytosanitaire De la lutte «systématique» à la lutte raisonnée La lutte «systématique»
Plus en détail2.0 Interprétation des cotes d évaluation des risques relatifs aux produits
2.0 Interprétation des cotes d évaluation des risques relatifs aux produits L interprétation des cotes attribuées dans le cadre des évaluations des risques relatifs aux produits décrite plus loin repose
Plus en détailJournées portes ouvertes ECOPHYTO 18-11-2013
Journées portes ouvertes ECOPHYTO 18-11-2013 Principe: Favoriser la biodiversité fonctionnelle sur l exploitation -Impact très souvent sous estimé de la faune auxiliaire naturellement présente -Importance
Plus en détailÉVALUATION DU TYPE DE DOMMAGE CAUSÉ PAR LA PUNAISE PENTATOMIDE VERTE, ACROSTERNUM HILARE (SAY) SELON LE DÉVELOPPEMENT DES FRUITS
ÉVALUATION DU TYPE DE DOMMAGE CAUSÉ PAR LA PUNAISE PENTATOMIDE VERTE, ACROSTERNUM HILARE (SAY) SELON LE DÉVELOPPEMENT DES FRUITS CAROLINE PROVOST, MANON LAROCHE, MAUD LEMAY LES OBJECTIFS Objectif principal:
Plus en détailMarie Curie Actions Marie Curie Career Integration Grant (CIG) Call: FP7-People-2012-CIG
Marie Curie Actions Marie Curie Career Integration Grant (CIG) Call: FP7-People-2012-CIG Genomerge : role of genome merger and redundancy in plant evolution and adaptation Mathieu ROUSSEAU- GUEUTIN UMR-
Plus en détailUn expérience pluridisciplinaire de l intensification écologique en Agriculture Familiale
Le développement du semis-direct sous couverture végétale pour les agriculteurs des exploitations familiales des biomes Cerrados (2005-2009) et Amazonia (2008-2013) Un expérience pluridisciplinaire de
Plus en détailLes futures techniques de lutte contre les punaises de lit Taz Stuart 204.292.8444 tdts@tdts.ca
Les futures techniques de lutte contre les punaises de lit Taz Stuart 204.292.8444 tdts@tdts.ca Phéromones d alarme. En phase de recherche. Aldéhydes 4-oxo-hexénal et 4-oxo-octénal chez les punaises de
Plus en détailMASTER (LMD) GESTION DE DONNEES ET SPATIALISATION EN ENVIRONNEMENT (GSE)
MASTER (LMD) GESTION DE DONNEES ET SPATIALISATION EN ENVIRONNEMENT (GSE) RÉSUMÉ DE LA FORMATION Type de diplôme : Master (LMD) Domaine ministériel : Sciences, Technologies, Santé Mention : STIC POUR L'ECOLOGIE
Plus en détailLes macroinvertébrés: des bioindicateurs incontournables pour le monitoring des cours d eau en CH
Les macroinvertébrés: des bioindicateurs incontournables pour le monitoring des cours d eau en CH 4 e Rencontres de l eau 20 mars 2015, UNIL Nathalie Menétrey Hydrobiologiste Bureau d étude aquatique et
Plus en détailLE MONITORING DE LA BIODIVERSITE EN SUISSE. Hervé LETHIER, EMC2I
LE MONITORING DE LA BIODIVERSITE EN SUISSE Hervé LETHIER, EMC2I INTRODUCTION OBJECTIFS L INSTRUMENT LES INDICATEURS UN PREMIER BILAN INTRODUCTION OBJECTIF De simples inventaires spécialisés et ciblés Combler
Plus en détail«Poursuivre au-delà de BEEST : une approche fonctionnelle basée sur les traits de vie des espèces en relation avec l habitat».
«Poursuivre au-delà de BEEST : une approche fonctionnelle basée sur les traits de vie des espèces en relation avec l habitat». Philippe USSEGLIO-POLATERA Université Paul Verlaine Metz UMR-CNRS 746 - LIEBE
Plus en détailEXAMEN DES PROPOSITIONS D'AMENDEMENT DES ANNEXES I ET II. Autres propositions
Prop. 11.33 EXAMEN DES PROPOSITIONS D'AMENDEMENT DES ANNEXES I ET II Autres propositions A. Proposition Transférer Eunymphicus cornutus cornutus de l'annexe II à l'annexe I. La perruche de la chaîne a
Plus en détailMASTER (LMD) PARCOURS MICROORGANISMES, HÔTES, ENVIRONNEMENTS (MHE)
MASTER (LMD) PARCOURS MICROORGANISMES, HÔTES, ENVIRONNEMENTS (MHE) RÉSUMÉ DE LA FORMATION Type de diplôme : Master (LMD) Domaine ministériel : Sciences, Technologies, Santé Mention : BIOLOGIE DES PLANTES
Plus en détailListe des diplômes français généralement comparables au niveau du Diplôme d études collégiales en formation technique
Liste des diplômes français généralement s au niveau du Diplôme en formation technique Ministère de l Immigration et des Communautés culturelles Service d évaluation comparative des études effectuées hors
Plus en détailMaster 2. Mention : «Ecosciences, Microbiologie» Domaine : Sciences Technologies Santé Responsable : F. Menu
Master 2 Mention : «Ecosciences, Microbiologie» Domaine : Sciences Technologies Santé Responsable : F. Menu Université Claude Bernard Lyon I Établissements cohabilités (spécialités 1,2,4) : INSA VetAgro
Plus en détailUne espèce exotique envahissante: Le Roseau commun. ou Phragmites australis
Une espèce exotique envahissante: Le Roseau commun ou Phragmites australis Indigène vs exotique Il y a deux sous-espèces de Phragmites australis, L indigène: n envahit pas le milieu, cohabite avec les
Plus en détailLa gestion des données en écologie des communautés végétales : l exemple de Phytobase
Journée Bases de Données Besançon 21 mars 2013 La gestion des données en écologie des communautés végétales : l exemple de Phytobase François Gillet Université de Franche-Comté CNRS UMR 6249 Chrono-environnement
Plus en détailPuceron rose et cécidomyie cidomyie du pommier: cycle de vie et moyens de lutte
Puceron rose et cécidomyie cidomyie du pommier: cycle de vie et moyens de lutte Daniel Cormier, Ph. D. Institut de recherche et de développement d en agroenvironnement inc.. (IRDA), Québec, Canada Pourquoi
Plus en détailTétranyques à deux points: stratégies de contrôle
Tétranyques à deux points: stratégies de contrôle Par Jean-Paul Soucy, agr. Les acariens nuisibles en serre Tétranyque à deux points Tétranyque de Lewis Acariens des bulbes Mite du cyclamen/tarsonème du
Plus en détail4. Résultats et discussion
17 4. Résultats et discussion La signification statistique des gains et des pertes bruts annualisés pondérés de superficie forestière et du changement net de superficie forestière a été testée pour les
Plus en détailvérifiez leur compatibilité avec nos auxiliaires sur notre site web Bulletin d information sur les cultures fraises Stratégie IPM pour les fraises
Avant d utiliser des produits chimiques, vérifiez leur compatibilité avec nos auxiliaires sur notre site web www.biobest.be Bulletin d information sur les cultures fraises Stratégie IPM pour les fraises
Plus en détailGénétique et génomique Pierre Martin
Génétique et génomique Pierre Martin Principe de la sélections Repérage des animaux intéressants X Accouplements Programmés Sélection des meilleurs mâles pour la diffusion Index diffusés Indexation simultanée
Plus en détailLe miracle du changement LE CYCLE DES METAMORPHOSES
Le miracle du changement LE CYCLE DES METAMORPHOSES L'homme curieux a été longtemps intrigué par les étonnantes lois régissant la croissance et le développement de la plupart des Insectes. On a longtemps
Plus en détailDomaine : Sciences, Technologies et Santé Mention : Nutrition, Sciences des aliments, Agroalimentaire
Contexte Domaine : Sciences, Technologies et Santé Mention : Nutrition, Sciences des aliments, Agroalimentaire Fédération des spécialités de Master des 5 pôles universitaires partenaires de la région Nord-Pas-de-Calais
Plus en détailESTIMATION DE LA TAILLE DES POPULATIONS D ANOURES DE LA FORET DE FONTAINEBLEAU (SEINE ET MARNE)
ESTIMATION DE LA TAILLE DES POPULATIONS D ANOURES DE LA FORET DE FONTAINEBLEAU (SEINE ET MARNE) Philippe LUSTRAT 33 rue de la garenne 77760 VILLIERS SOUS GREZ Lustrat P. (1999) - Estimation de la taille
Plus en détailNormes internationales pour les mesures phytosanitaires (NIMPs)
105 Annexe 3 Normes internationales pour les mesures phytosanitaires (NIMPs) On trouvera ci-après une description succincte des NIMP adoptées. Le texte intégral des NIMP peut être consulté sur le Site
Plus en détailRésumé du suivi phytosanitaire du canola au Centre-du-Québec de 2009 à 2011
Résumé du suivi phytosanitaire du canola au Centre-du-Québec de 2009 à 2011 Brigitte Duval, agronome (MAPAQ Nicolet) et Geneviève Labrie, Ph.D. (CÉROM) en collaboration avec Joëlle Cantin, stagiaire, Mathieu
Plus en détailBILAN DE LA CAMPAGNE 2014
BSV n 13 bilan saison 214 Epidémiosurveillance BRETAGNE-NORMANDIE-PAYS DE LA LOIRE : Bilan de la Saison 214 SOMMAIRE BILAN DE LA CAMPAGNE 214 Les observateurs Les observations Les Bulletins de Santé du
Plus en détailDEVELOPPEMENT D UNE BANQUE DE DONNEES PHOTOGRAPHIQUES ET SON PORTAIL WEB
Cahierdescharges«Portaild imagesinra» CAHIERDESCHARGES DEVELOPPEMENTD UNEBANQUEDE DONNEESPHOTOGRAPHIQUESETSON PORTAILWEB INRAUMR406"AbeillesetEnvironnement"INRA UAPV LaboratoiredePollinisationetEcologiedesAbeilles
Plus en détailCe qu'il faut retenir
N 10 5 juin 2015 Ce qu'il faut retenir Balanin : des balanins sont présents en verger et d'après les dissections de femelles et de mâles, les accouplements devraient commencer dans les prochains jours.
Plus en détailLa fourmi. Biologie et protection
Direction de l'aménagement, de l'environnement et des constructions DAEC Raumplanungs-, Umwelt- und Baudirektion RUBD Bureau de la protection de la nature et du paysage Büro für Natur- und Landschaftsschutz
Plus en détailModèles et simulations informatiques des problèmes de coopération entre agents
Modèles et simulations informatiques des problèmes de coopération entre agents Bruno Beaufils LIFL Axe CIM Équipe SMAC Laboratoire d'informatique Plan 1. Motivations 2. Dilemme itéré du prisonnier 3. Simulations
Plus en détailDES FORÊTS POUR LE GRAND TÉTRAS GUIDE DE SYLVICULTURE
DES FORÊTS POUR LE GRAND TÉTRAS GUIDE DE SYLVICULTURE 2 ÉDITO C R C - M C Daniel BEGUIN Jean-Marie HARAUX Jean-Pierre RENAUD Henri PLAUCHE GILLON 3 SOMMAIRE PRÉAMBULE 5 PARTIE 1 : DESCRIPTION DE L ESPÈCE
Plus en détailSamuel Decout, Sandra Luque. Sandra.luque@cemagref.fr
!""#$%&'()*+,-#,'((.'(&),#/#%&)0/1$*(.'("/+%&0(.2&/3)+/+('*(4/5'6#(.'(7/(%$**'%15)+,(8(( 9)7)'6:($65'#+0('+(9)7)'6:(4$#'01'#0( ( (!"#$%&#'"#(%#)*"+,-.(("#*,-&&"#"+#/&0*"# Samuel Decout, Sandra Luque Sandra.luque@cemagref.fr
Plus en détailAnalyses de Variance à un ou plusieurs facteurs Régressions Analyse de Covariance Modèles Linéaires Généralisés
Analyses de Variance à un ou plusieurs facteurs Régressions Analyse de Covariance Modèles Linéaires Généralisés Professeur Patrice Francour francour@unice.fr Une grande partie des illustrations viennent
Plus en détailConception d un CD interactif : simulation d une sortie en écologie végétale
Conception d un CD interactif : simulation d une sortie en écologie végétale A. El Ghorfi *, M. Boulanouar *, M. Cheggour*, N. Zahid ** * Département de biologie, ENS Marrakech ** Département d informatique,
Plus en détailUne conférence-débat proposée par l Institut National de la Recherche Agronomique
Economies d'énergies dans les procédés agro-alimentaires : l'optimisation coût/qualité, un équilibre pas si facile à maîtriser Une conférence-débat proposée par l Institut National de la Recherche Agronomique
Plus en détailTerrOïko : JEU en collaboration avec la SEEM
TerrOïko : JEU en collaboration avec la SEEM Journée EcoInnovation et Biodiversité 21 mai 2014 - Contact: Catherine de Roincé, catherine.deroince@terroiko.fr Historique d une start-up issue de la recherche
Plus en détailLe Crabe commun des eaux côtières du Québec
Pêches et Océans Canada Sciences Fisheries and Oceans Canada Science MPO Sciences Région Laurentienne Rapport sur l état des stocks C-2 (21) 5 16B 16A 17A-C D 16C 16D 16E YZ E-X A-C Le Crabe commun des
Plus en détailENQUETE SUR LA SITUATION DES GRANDES VILLES ET AGGLOMERATIONS EN MATIERE D ASSURANCES DOMMAGES
ENQUETE SUR LA SITUATION DES GRANDES VILLES ET AGGLOMERATIONS EN MATIERE D ASSURANCES DOMMAGES N 202 AOUT 2003 SOMMAIRE 1. PRESENTATION p.3 2. SYNTHESE DE L ENQUETE p.4 3. LES REPONSES DES VILLES ET AGGLOMERATIONS
Plus en détail1st International Workshop on Harmonization of GMO Detection and Analysis in the Middle East and North Africa (MENA) Region
Université Mentouri Constantine 1st International Workshop on Harmonization of GMO Detection and Analysis in the Middle East and North Africa (MENA) Region Dead Sea, Jordan, 4-5 June 2012. 1 Les OGMen
Plus en détailL extermination des coquerelles
L extermination des coquerelles De la façon la moins toxique Guide pratique pour se débarrasser des coquerelles dans les maisons et appartements AU CŒUR DE L HABITATION La SCHL : Au cœur de l habitation
Plus en détailINVETISSEMENTS, PRODUCTION, COMMERCIALISATION, EXPORTATION: FACILITES & CONTRAINTES. CAS DU GROUPE FALY EXPORT
INVETISSEMENTS, PRODUCTION, COMMERCIALISATION, EXPORTATION: FACILITES & CONTRAINTES. CAS DU GROUPE FALY EXPORT LA SECURITE ALIMENTAIRE DANS L INDIANOCEANIE INVESTIR DANS LA PRODUCTION AGRICOLE 25-27 MARS
Plus en détailCompléments et commentaires liés à l outil d initiation à la biodiversité à destination du secteur privé
Compléments et commentaires liés à l outil d initiation à la biodiversité à destination du secteur privé Afin de parfaire la présentation «Initiation à la biodiversité à destination du secteur privé»,
Plus en détailNotre métier : Vous accompagner dans votre Projet
Notre métier : Vous accompagner dans votre Projet Formation initiale en alternance (scolaire ou apprentissage) Formation continue FORMATION INITIALE > Bac Pro Bio Industries de Transformation Accéder x
Plus en détailGUIDE CONSO-CITOYEN : LES ESPÈCES PROFONDES
GUIDE CONSO-CITOYEN : LES ESPÈCES PROFONDES CRIME EN EAUX PROFONDES LE MOBILE DU CRIME ET LE COMPLICE Parce qu on pêche trop, trop loin, trop profond, nos océans sont en train de mourir, tout spécialement
Plus en détailTRAVAUX DU GROUPE GUINEE/CONAKRY ET BISSAO
TRAVAUX DU GROUPE GUINEE/CONAKRY ET BISSAO PLAN DE PRESENTATION BREVE PRESENTATION DES DEUX PAYS - GUINEE/CONAKRY GUINEE BISSAO Population = 7 156 406hbts dont 51% de femmes et 46% de jeunes, - 1 200 000
Plus en détailGrandes cultures n 15 du 10 mars 2015
1 A retenir cette semaine - Très nette accélération des stades phénologiques. - 81% des cuvettes piègent des charançons de la tige du colza cette semaine. Le risque va s amplifier en fin de semaine avec
Plus en détailRENCONTRES EUROMEDITERRANEENNES FEUX DE FORET : Du 11 Décembre 2006 Au 14 Décembre 2006 Site de Valabre - Gardanne (13) - France
RENCONTRES EUROMEDITERRANEENNES FEUX DE FORET : CARTOGRAPHIE : L'APPORT T DES OUTILS INNOVANT ANTS Du 11 Décembre 2006 Au 14 Décembre 2006 Site de Valabre - Gardanne (13) - France ENTENTE INTERDÉPARTEMENTALE
Plus en détailGuide des auxiliaires indispensables : Aphelinus mali, punaises prédatrices et acariens prédateurs
Lesauxiliaires auxiliaires Les enarboriculture arboriculture en Guide des auxiliaires indispensables : Aphelinus mali, punaises prédatrices et acariens prédateurs Insectes pollinisateurs : respecter les
Plus en détailLa lutte intégrée contre les ravageurs de sol en grandes cultures. Geneviève Labrie
La lutte intégrée contre les ravageurs de sol en grandes cultures Geneviève Labrie La lutte intégrée Portrait des dommages au Québec Financière agricole du Québec 880 avis de dommages depuis 2008 224 avis
Plus en détail1 cadre. 3 c 5 c. 7c 9 c. Actu Api n 19
Lors de chaque visite, notre attention se porte sur l âme de la ruche, le couvain. Avec l expérience, on peut y trouver une série d informations qui nous aident dans la conduite des ruches. Pour un nouvel
Plus en détailEN QUÊTE DU MONDE. Les nids de fourmis rousses. Présentation de la vidéo... 2 Générique... 2 description... 2 Principaux thèmes abordés...
Présentation de la vidéo... 2 Générique... 2 description... 2 Principaux thèmes abordés... 2 Contenus... 3 niveaux, disciplines, compétences... 3 notions... 4 Vocabulaire... 4 découpage du film... 5 Suggestions
Plus en détailAVIS. de l'agence nationale de sécurité sanitaire de l alimentation, de l environnement et du travail
Le Directeur général Maisons-Alfort, le 1 er avril 2014 AVIS de l'agence nationale de sécurité sanitaire de l alimentation, de l environnement et du travail relatif à la demande d autorisation de mise
Plus en détailListe des matières enseignées
Liste des matières enseignées Domaine : Sciences de la Nature et de la Vie Filière : Biologie Parcours : Tronc Commun Semestre1 VHG Coefficient Cours TD/TP Crédits/s. unité crédits U.E fondamental : 13
Plus en détailNature et pêche au Domaine provincial de Mirwart
Nature et pêche au Domaine provincial de Mirwart Accueil Comprendre la nature et le monde qui nous entoure, apprendre à taquiner le poisson et à jeter l hameçon, observer, toucher, manipuler, sentir et,
Plus en détail[Présentation] Juillet 2005
[Présentation] Juillet 2005 Présentation générale Histoire Création en 1765 Situation Étudiants Personnels 6 Composantes Au centre de la Corse En 2005 : 4111 Population de 260.000 personnes 230 enseignants
Plus en détailEvaluation du LIDAR et de solutions innovantes pour la chaîne d approvisionnement du bois : les résultats du projet européen FlexWood
Evaluation du LIDAR et de solutions innovantes pour la chaîne d approvisionnement du bois : les résultats du projet européen FlexWood Le projet de recherche européen FlexWood («Flexible wood supply chain»)
Plus en détailSociété de conseil en intégration Oracle E Business Suite.
Société de conseil en intégration Oracle E Business Suite. Qui sommes nous Fondé en 2001, Alcyon SI est une société de conseil spécialisée dans l intégration et l expertise autour d E Business Suite. Alcyon
Plus en détailMobilité du trait de côte et cartographie historique
Mobilité du trait de côte et cartographie historique 1 Frédéric POUGET Université de La Rochelle UMR 6250 LIENSS (Littoral Environnement et SociétéS) Colloque Les littoraux à l heure du changement climatique
Plus en détailLa crise écologique. Perspectives anticapitalistes pour la préservation de la vie sur Terre
La crise écologique Perspectives anticapitalistes pour la préservation de la vie sur Terre Qu est-ce que la crise écologique? Le réchauffement climatique? La destruction des forêts? La fin du pétrole?
Plus en détailFiche d animation n 1 : Pêle-mêle
Fiche d animation n 1 : Pêle-mêle Cette animation permet au participants de découvrir les différents pièges du crédit à la consommation et plus particulièrement des ouvertures de crédit. Elle suscite également
Plus en détailPossibilités offertes après la L2?
Possibilités offertes après la L2? Licence Pro Licence Générale Formation professionnel Diplôme Bac +3 Diplôme Bac +3 Master Vie Active : Technicien Assistant Ingénieur Laboratoire Public et Privé Master
Plus en détailRedéploiement et conservation des Antilopes Sahélo-Sahariennes en Tunisie Atelier technique, Douz, 18 et 19 avril 2004
Redéploiement et conservation des Antilopes Sahélo-Sahariennes en Tunisie Atelier technique, Douz, 18 et 19 avril 2004 Atelier technique tenu à l invitation de la Direction Générale des Forêts de Tunisie,
Plus en détailPRATIQUES PHYTOSANITAIRES RESPECTUEUSES DE L ENVIRONNEMENT : LA LUTTE BIOLOGIQUE
PRATIQUES PHYTOSANITAIRES RESPECTUEUSES DE L ENVIRONNEMENT : LA LUTTE BIOLOGIQUE 1. DEFINITIONS «Lutte biologique ou biological control : utilisation par l homme d ennemis naturels tels que des prédateurs,
Plus en détailSAVAIS-TU QUE DANS MA COUR D ÉCOLE...
SAVAIS-TU QUE DANS MA COUR D ÉCOLE... Éditions Mariko Francoeur Miguel Hortega IL Y A DES ANIMAUX? 1 Mon école est à Montréal, rue Berri. C est une belle école primaire toute faite de briques. En temps
Plus en détailAFPP DIXIÈME CONFÉRENCE INTERNATIONALE SUR LES RAVAGEURS EN AGRICULTURE MONTPELLIER 22 ET 23 OCTOBRE 2014
AFPP DIXIÈME CONFÉRENCE INTERNATIONALE SUR LES RAVAGEURS EN AGRICULTURE MONTPELLIER 22 ET 23 OCTOBRE 2014 ETUDE DES METHODES DE LUTTES CONTRE LE VER BLANC DES CEREALES (GEOTROGUS DESERTICOLA BLANCH.) DANS
Plus en détailJeu de l ingénierie écologique. mémo du joueur
Jeu de l ingénierie écologique mémo du joueur Contexte Qu est-ce que l ingénierie écologique? L ingénierie écologique peut être définie par une action par et/ou pour le vivant. Plus précisément, le vivant
Plus en détailCHAPITRE 2. Population, ménages et familles
CHAPITRE 2 Population, ménages et familles Les faits saillants Enquête sur les conditions de vie en Haïti Distribution spatiale, structure par âge et par sexe de la population Le taux d urbanisation de
Plus en détailUn espace végétalien dédié à l'expérimentation sociale et écologique
Un espace végétalien dédié à l'expérimentation sociale et écologique Nous sommes un groupe d'individus originaires de différents horizons partageant un rêve commun : vivre en harmonie avec la nature et
Plus en détailCOOPERATION BELGIQUE - BURUNDI Programme 2012 de bourses d études et de stage hors-projet
COOPERATION BELGIQUE - BURUNDI Programme 2012 de bourses d études et de stage hors-projet Les bourses d études ou de stages sont financées par la coopération belge dans le cadre d un accord de coopération
Plus en détailEspace pro. Installation des composants avec Firefox. Pour. Windows XP Vista en 32 et 64 bits Windows 7 en 32 et 64 bits
Espace pro Installation des composants avec Firefox Pour Windows XP Vista en 32 et 64 bits Windows 7 en 32 et 64 bits Version 2.0.3 1 Sommaire 1. Installation du composant de lecture de la carte Vitale
Plus en détail- Les êtres vivants dans leur environnement, rôle et place des êtres vivants - Lecture de textes documentaires
Titre de l atelier : Les vers de terre Domaines d activité Les êtres vivants dans leur environnement, rôle et place des êtres vivants Lecture de textes documentaires Motsclés Vers de terre Vie du sol Compétences
Plus en détailINFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT
INFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT QUELS RÉSULTATS POUR LE RECEVEUR? QUELS RISQUES POUR LE DONNEUR? DONNER UN REIN DE SON VIVANT PEUT CONCERNER CHACUN /////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////
Plus en détailEvaluation de cépages résistants ou tolérants aux principales maladies cryptogamiques de la vigne
VITICULTURE 27 Evaluation de cépages résistants ou tolérants aux principales maladies cryptogamiques de la vigne Marc Chovelon Grab Mathieu Combier Chambre d Agriculture du Var Gilles Masson Centre du
Plus en détailMichel Fortin 1 er Vice-président FTPF 26 janvier 2011
Présentation par Michel Fortin 1 er Vice-président FTPF 26 janvier 2011 STANDARD DE GESTION FORESTIÈRE FSC FOREST STANDARD SHIP COUNCIL Historique du FSC Créé en 1993 suite au Sommet de la terre de Rio
Plus en détailPremières estimations pour 2014 Le revenu agricole réel par actif en baisse de 1,7% dans l UE28
194/2014-15 décembre 2014 Premières estimations pour 2014 Le revenu agricole réel par actif en baisse de 1,7% dans l UE28 Par rapport à 2013, le revenu agricole réel par actif 1 a diminué de 1,7% dans
Plus en détailSOMMAIRE CYCLE 1. Des jeux tout prêts. Des activités à préparer. Les solutions
CYCLE 1 SOMMAIRE Des jeux tout prêts Colorie les animaux Le pelage des animaux Mères et petits Les modes de locomotion Animaux mélangés Plumes, poils et écailles Ranger les familles par ordre de taille
Plus en détailQuelques données : Domaines & Patrimoine. Accord de partenariat avec le Groupe LAFORET Franchise. Membre de l ASFFOR.
1 2 Quelques données : Domaines & Patrimoine Membre de Adhérent à : l ASFFOR Membre de l ASFFOR Accord de partenariat avec le Groupe LAFORET Franchise 10 11 salariés 7000 8 500 ha ha gérés 12 13 groupements
Plus en détailRAPPORT DU SECRÉTAIRE
Mars 2011 F Point 6 de l ordre du jour provisoire QUATRIÈME SESSION DE L ORGANE DIRECTEUR Bali (Indonésie), 14-18 mars 2011 RAPPORT DU SECRÉTAIRE 1. En novembre, cela fera exactement dix ans que vous avez
Plus en détailDevenez point de chute d une ferme du réseau québécois d agriculture soutenue par la communauté (ASC)
GUIDE À L INTENTION DES ORGANISATIONS Devenez point de chute d une ferme du réseau québécois d agriculture soutenue par la communauté (ASC) Pour des paniers de légumes locaux et sains, directement livrés
Plus en détailLes débouchés des diplômés de L LMD Sciences de la Nature et de la Vie
Les débouchés des diplômés de L LMD Sciences de la Nature et de la Vie Pour quel métier vous êtes fait? Des doutes sur ta formation actuelle : faut-il poursuivre? Vous avez une idée de métier mais est-ce
Plus en détailCBBC Canadian Business & Biodiversity Council
CBBC Canadian Business & Biodiversity Council Centre de la Science de la Biodiversité du Québec 72 chercheurs et 350 étudiants en thèse distribués sur un réseau de 8 partenaires universitaires et 2 institutions.
Plus en détailUne définition du terroir
Une définition du terroir Diaporama réalisé d après la définition du terroir proposée en 2003 par un groupe de travail INRA-INAO Le terroir c est Un espace géographique délimité Zones humides de Camargue,
Plus en détailAVIS. Objet : Demande de permis de lotir à Franc- Waret (FERNELMONT) Réf. : CWEDD/05/AV.276. Liège, le 14 mars 2005
AVIS Réf. : CWEDD/05/AV.276 Liège, le 14 mars 2005 Objet : Demande de permis de lotir à Franc- Waret (FERNELMONT) Avis du CWEDD portant sur une demande de permis de lotir à Franc-Waret (FERNELMONT) L avis
Plus en détailTableau: Offres de formations professionnelles et doctorales de l'uac
Tableau: Offres de formations professionnelles et doctorales de l'uac ETABLISSEMENTS, TYPES DE FORMATION ET FILIERES CEFORP Populations et Dynamique Urbaines CEFRI Technologie de l'information pour la
Plus en détailÉtudier les habitants du marais Profitons au maximum de l excursion à un marais de la région
Étudier les habitants du marais Profitons au maximum de l excursion à un marais de la région par Chris Earley traduit par Jocelyne Dickey Degrés: 2-5 Discipline: Sciences Concepts clés: Adaptations, chaînes
Plus en détailInfestation par Dipylidium caninum,
Fiche technique n 24 Infestation par Dipylidium caninum, le téniasis félin à Dipylidium Parmi tous les vers qui peuvent infester le chat, Dipylidium caninum est un parasite fréquemment rencontré dans le
Plus en détailLa solution à vos mesures de pression
Mesure de force linéique La solution à vos mesures de pression Sensibilité Répétabilité Stabilité Le système X3 de XSENSOR propose un concept innovant spécialement adapté pour vos applications de mesure
Plus en détailGRAMMATICAUX DE MÊME CATÉGORIE AUSSI TÔT / BIENTÔT BIEN TÔT / PLUTÔT PLUS TÔT / SITÔT SI TÔT 1 Homophones grammaticaux de même catégorie
GRAMMATICAUX DE MÊME CATÉGORIE AUSSITÔT HOMOPHONES AUSSI TÔT / BIENTÔT BIEN TÔT / PLUTÔT PLUS TÔT / SITÔT SI TÔT 1 Homophones grammaticaux de même catégorie aussitôt aussi tôt aussitôt : Il signifie au
Plus en détailBipBatlula, monitoring autonome en haute fréquence
BipBatlula, monitoring autonome en haute fréquence Premiers essais 2009 Observateurs : Fabien Berhault Arnaud Le Houédec Chloé Thomas Rédacteur : Arnaud Le Houédec Présentation du matériel Le matériel
Plus en détailA propos de notre collège
A propos de notre collège Le programme d enseignement à l École des gardes forestiers des Maritimes, au campus de Bathurst, a débuté le 9 janvier 1980. L école changea de nom pour celui de Collège de Technologie
Plus en détailBiomasse forestière et bioénergie: Danger ou solution?
C est correct. La scie mécanique fonctionne au biocarburant. Biomasse forestière et bioénergie: Danger ou solution? Evelyne Thiffault David Paré Jacques Morissette Sébastien Dagnault Ressources naturelles
Plus en détailContenu attendu des guides nationaux de bonnes pratiques d hygiène GBPH
Contenu attendu des guides nationaux de bonnes pratiques d hygiène GBPH Note d information à l usage des professionnels En complément de cette note, des informations relatives au contenu des GBPH sont
Plus en détailActualités sur la sélection des pondeuses Prospections futures. Dr. Matthias Schmutz, Lohmann Tierzucht
Actualités sur la sélection des pondeuses Prospections futures Dr. Matthias Schmutz, Lohmann Tierzucht Alimentation et démographie mondiale Augmentation annuelle de 80 millions Croissance surtout dans
Plus en détailPartie 3 Mise au point des solutions d aménagement. Rapport du Groupe de travail sur la diversité forestière et l approvisionnement en bois
Partie 3 Mise au point des solutions d aménagement Rapport du Groupe de travail sur la diversité forestière et l approvisionnement en bois La collecte de renseignements utiles aux prises de décisions au
Plus en détail