Rapport annuel
|
|
- Martine Fortier
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Rapport annuel
2 TABLE DES MATIÈRES Mot du président... 2 Mot de la directrice générale Faits saillants L historique, la mission, la vision et les valeurs de l organisme... 5 Bilan des orientations 2012/ La structure organisationnelle... 8 Le conseil d administration... 8 L équipe professionnelle... 9 L organigramme... 9 L équipe de gestion... 9 L équipe responsable de la prestation des services Services courants Service d intervention et de référence policière 24/ L équipe de soutien administratif et l agente de promotion Les services, la clientèle et le territoire desservi Le service d intervention et de référence policière 24/ Les agents de liaison (AL) en centres d enquêtes du SPVM Les services courants Les programmes CAVAC-INFO et INFOVAC L accueil des témoins à la cour Le groupe d intervention post-traumatique L évaluation des services Le développement des compétences Les activités de formation Les activités de supervision clinique Le travail administratif Les partenariats et la concertation Les tables de concertation et autres comités Comités du réseau des CAVAC Le partenariat et la collaboration Les activités de promotion et de relations publiques Les activités de promotion Les participations à des événements Les envois de dépliants Les présences médiatiques Les publicités Bilan 2012/ Annexe Annexe - Données statistiques 2012/2013
3 Mot du président Quoi de mieux pour amorcer mon mot de président, que de vous faire une confidence : Puisque nous avons tous des vies professionnelles et personnelles des plus remplies, je dois vous avouer qu afin de récupérer un peu de temps, j avais songé à céder ma place de président à un autre membre du conseil d administration. Vous est-il déjà arrivé de vous féliciter de ne pas avoir pris une décision, alors que vous pensiez que c était le meilleur choix? Avec du recul, cela aurait été l une des pires décisions d abandonner un organisme qui regorge de personnel d un dévouement sans équivoque et qui, jour après jour, de par leur savoir-être et leur savoir-faire, hisse le CAVAC au sommet des organismes dévoués pour la cause de la victimisation. À ce titre, je n ai qu un sentiment de fierté. Fier des membres du conseil d administration (CA) qui réussissent à concilier leur agenda et à nous donner du temps de qualité. Votre expertise est, et sera toujours, des plus précieuses. Fier de la directrice générale, Jenny Charest, qui est d un engagement déconcertant et qui possède une vision stratégique qui va propulser le CAVAC vers d autres avenues jusqu ici inexplorées. Fier du directeur clinique, Denis René, qui est ce grand homme derrière cette grande femme. Ton expertise et ton professionnalisme ont contribué, certes, à la progression quotidienne du CAVAC. Fier de Julie Dault et Cindy Lapointe qui ont toutes les qualités de gestionnaires de haut niveau et qui savent surtout les mettre à profit. Finalement, fier de tout ce personnel de première ligne; l équipe du SIRP 24/7, les agents de liaison, l équipe des services courant ainsi que l équipe de soutien administratif, sans vous, nous ne serions simplement rien! Au-delà de nos orientations, de nos désirs, de nos volontés, vous êtes ceux qui, jour après jour, réussissez de main de maître à faire rayonner et progresser le CAVAC. À vous tous, en mon nom, au nom des membres du CA et surtout de toutes les victimes, MERCI! Vous êtes à mes yeux, ma raison de demeurer avec vous. Que j aurais été bête de vous lâcher! Mario Guérin Président 2
4 Mot de la directrice générale Depuis juin 2012, j ai le privilège de me retrouver à la barre de cette extraordinaire organisation qu est le CAVAC de Montréal. Entourée par une équipe dévouée, la dernière année, particulièrement trépidante, aura été remplie de défis et de nombreux accomplissements. J ai été témoin, lors de cette première année pour moi, mais 24 e pour le CAVAC de Montréal, de la vivacité et du dynamisme qui transparaît au travers du développement de diverses activités, de partenariats, de services s adressant à des clientèles spécifiques, d activités de promotion et de sensibilisation ainsi que de la participation à des projets de recherche. Quelques faits marquants ont teinté cette année dont l aboutissement des négociations et la signature en février dernier de la première convention collective de l équipe du Service d intervention et de référence policière 24/7 (SIRP 24/7) et le développement de collaborations avec de nouveaux partenaires. Que dire également de cette volteface de la Commission d accès à l information (CAI) qui après avoir entériné le protocole SPVM/CAVAC en 2010 a désavoué celui-ci en février De concert avec le SPVM, nous avons tenté de limiter au maximum les impacts directs sur les personnes victimes. J en profite pour souligner l apport de ce dernier dans le processus pour trouver des solutions innovantes tout en respectant les demandes de la CAI. La contribution de toute l équipe du CAVAC demeure la pierre angulaire de toutes nos réalisations. Son implication directe dans la planification et la tenue d une journée d étude s inscrivant dans notre processus de planification stratégique a été fort stimulante. Avec fierté, j ai réalisé que je peux compter sur une équipe loyale et généreuse, qui dispense des services professionnels de qualité. Ensemble nous avons comptabilisé plus de personnes victimes aidées et dispensé plus de services, tous services confondus! Malgré l impossibilité d identifier un nombre de personnes distinctes précis (une personne peut avoir reçu plus d un type de services du continuum), ce nombre demeure impressionnant. Félicitations! À vous tous, chers membres de l équipe du CAVAC de Montréal, votre souci du bien-être et votre connaissance fine des besoins des personnes victimes est une source d inspiration! Accueillez par ce petit mot, mes remerciements sincères pour ces gestes que vous posez chaque jour et qui font toute la différence. Il importe également de souligner l apport et l expertise des membres du conseil d administration qui m ont soutenu et qui ont appuyé nos actions tout en trouvant des solutions créatives aux problématiques rencontrées. Que dire également du dévouement et de la compétence de Denis René, Julie Dault et Cindy Lapointe, sans qui ces résultats obtenus à tous les niveaux n auraient pu être atteints. Ajoutons finalement ce dévouement de Noémie Crevier, l agente de promotion, de Catty Barrios et de Lise Lasanté qui assurent le soutien administratif de la direction et de l équipe. Acceptez mes sincères remerciements, autant pour l accueil et le soutien reçu depuis mon arrivée, que pour l appui indéfectible que vous apportez quotidiennement à l équipe. Un dernier mot pour vous saluer, vous, nos précieux partenaires, qui nous appuient dans la poursuite de notre mission pour le mieux-être des personnes victimes et la reconnaissance de leurs droits. Recevez toute notre gratitude. Notre année se termine ainsi sur les préparatifs de notre Soirée Gala reconnaissance, visant à remercier et à souligner l apport considérable de nos partenaires. Nous poursuivrons dans cette veine pour célébrer avec fierté en 2013, ces 25 ans de passion! Bonne lecture! Jenny Charest Directrice générale CAVAC de Montréal 3
5 Faits saillants 2012/2013 Augmentation importante (plus de 200%) du nombre de personnes rejointes, avec l arrivée de nouveaux programmes; Instauration du programme INFOVAC-PLUS au palais de justice dès juillet 2012 : Plus de envois d information aux victimes d actes criminels en neuf mois; Augmentation importante du nombre de services offerts; Plus de 4700 références vers les ressources du milieu; Augmentation de 20 % des demandes de service au Service d intervention et de référence policière (SIRP) 24/7 et de 60 % du nombre de services dispensés; Poursuite des processus de collaboration avec les organismes du milieu avec notamment, les Centres d aide et de lutte contre les agressions à caractères sexuels (CALACS) de la région de Montréal, les procureurs des poursuites criminelles et pénales (PPCP) : cour municipale, chambre de la jeunesse et palais de justice; Collaboration et Travaux pour la signature d ententes avec des organismes du milieu dont : o Côté cour o Autorité des marchés financiers (AMF) o Sûreté du Québec (SQ) o Carrefour Montrose (Projet SAVA) SAVA Est et SAVA Centre-ouest; Participation à de nouveaux comités et mécanismes de concertation dont notamment : o Table de concertation violence conjugale de Montréal o Comité des représentants des tables multisectorielles et des partenaires locaux traitant de la maltraitance envers les aînés de la région de Montréal. Agence de santé et de services sociaux (ASSS) aînés o Comité d implantation du Programme d accompagnement judiciaire PAJ-MA aînés avec le Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) et la cour municipale o Membre du comité de coordination de la coalition québécoise contre la traite humaine o Membre du Groupe de travail national sur la traite des femmes et des filles au Canada (National Task force on human trafficking) o Conseil d administration du Centre de justice de proximité du Grand Montréal; Renversement de la décision de la Commission d accès à l information du Québec qui permettait au SPVM de divulguer certaines informations aux agents de liaison présents en centres d enquêtes pour les autoriser à communiquer avec les personnes victimes afin de les informer et de leur offrir des services selon leurs besoins; Subvention du ministère de la Justice du Canada pour la tenue d une Soirée reconnaissance des partenaires dans le cadre de la Semaine nationale de sensibilisation aux victimes d actes criminels (SNSVAC) 2013; Amorce d une démarche de planification stratégique. 4
6 L historique, la mission, la vision et les valeurs de l organisme En juin 1988, l Assemblée nationale adopte la Loi sur l aide aux victimes d actes criminels (L.R.Q., c.a. 13.2). Cette loi instaure les droits et les responsabilités des personnes victimes d actes criminels. Elle prévoit également la création du Bureau d aide aux victimes d actes criminels (BAVAC) et la reconnaissance des Centres d aide aux victimes d actes criminels (CAVAC). C est ainsi que le CAVAC de Montréal embauche la fondatrice et voit le jour en D abord parrainé par le YMCA de Montréal, le CAVAC devient autonome avec l obtention de son incorporation en avril Les services du CAVAC de Montréal sont rendus possibles grâce à la contribution financière du ministère de la Justice par le biais du Fonds d aide aux victimes d actes criminels (FAVAC). La mission «C est la raison d être du CAVAC de Montréal.» Le CAVAC de Montréal dispense des services de première ligne à toute personne victime d un acte criminel et à ses proches, ainsi qu aux témoins d un crime. L aide du CAVAC de Montréal est disponible que le présumé responsable du crime soit ou non identifié, arrêté, poursuivi ou reconnu coupable. Une intervention post-traumatique sur les conséquences reliées à un crime est disponible qu une personne ait porté plainte ou non. La vision «C est ce que le CAVAC de Montréal souhaite être et la façon dont il veut être reconnu.» Le CAVAC de Montréal se distingue par une offre de services en intervention post-traumatique et psychosociojudiciaire de haute qualité. Ces services sont largement accessibles aux personnes victimes et à leurs proches, ainsi qu aux témoins d un crime. De plus, ils sont offerts le plus rapidement possible après l événement et se poursuivent à toutes les étapes du processus judiciaire. Les valeurs «Ce sont les principes qui guident les façons de faire des gestionnaires et des employés du CAVAC de Montréal.» Le CAVAC dispense ses services, sans discrimination, à toute personne victime d'un acte criminel, à ses proches ainsi qu'aux témoins. Le CAVAC intervient rapidement pour prévenir l'aggravation et la détérioration de l'état de la personne victime. Le CAVAC postule que la situation vécue par la majorité des personnes victimes est temporaire et qu'avec une aide adéquate, elles retrouveront leur équilibre, à court et à moyen terme. Les victimes nécessitant une thérapie à long terme sont dirigées vers les ressources appropriées. Le CAVAC prend pour acquis que ce sont les personnes victimes elles-mêmes qui sont responsables de la reprise de leur autonomie. Par conséquent, l'approche retenue par le CAVAC vise à épauler la victime en misant sur les ressources de cette dernière. Le CAVAC traite la personne victime avec courtoisie, équité et compréhension, dans le respect de sa dignité et de sa vie privée. 5
7 Bilan des orientations 2012/2013 Voici à titre de rappel, les orientations de l exercice 2012/2013, retenues par le CAVAC. Orientations 2012/2013 Au plan des services : Réinstaurer le service d intervention avec déplacement de nuit au SIRP 24/7 Après plusieurs rencontres et échanges avec les représentants du syndicat et de l équipe du Service d intervention et de référence policière (SIRP) 24/7, les modalités pour réinstaurer ce service ont été identifiées et finalisées en Ainsi, depuis le 1 er janvier 2013, une équipe de deux intervenants assurent une garde la nuit et peuvent, en fonction des besoins identifiés avec la personne victime, se déplacer en tout temps sur les lieux d un acte criminel. Poursuivre le développement des services à la cour municipale Quelques rencontres et des contacts réguliers ont été réalisés avec la procureure responsable du système de référence mis en place afin que les procureurs puissent procéder à une référence personnalisée au CAVAC à l aide du formulaire de consentement spécifique créée à cet effet. Ainsi, près de 40 personnes victimes ont été référées aux intervenants du CAVAC, qui ont par la suite communiqué directement avec ces dernières. Le CAVAC de Montréal a également participé activement au déploiement d un nouveau programme social de la cour municipale; le Programme d'accompagnement judiciaire contre la Maltraitance envers les aînés (PAJ-MA) Une rencontre bilan avec la procureure responsable du système de référence et la nouvelle Chef de division, de la Division des programmes sociaux de la cour municipale a également eu lieu et de nombreuses avenues de collaboration ont été envisagées. Les démarches pour poursuivre le développement de services et mieux desservir les personnes victimes, dont la cause est entendue à la cour municipale, seront poursuivies dans la prochaine année. Prise en charge du programme INFOVAC-PLUS au palais de justice Depuis le 2 juillet 2012, le CAVAC de Montréal, en collaboration avec le DPCP et les Services judiciaires de Montréal, déploie le Programme INFOVAC-PLUS. Ce programme consiste à transmettre certaines informations par la poste aux personnes victimes lorsque des accusations sont portées, ainsi qu à les informer lors de la fin des procédures. Le déploiement de ce programme a nécessité de nombreux ajustements et plus de envois ont été effectués par la technicienne juridique responsable du programme. 6
8 Au plan des ressources humaines : Prendre une part active à la démarche du réseau des CAVAC en matière d équité salariale Le CAVAC de Montréal a participé au comité provincial du Réseau des CAVAC qui a débuté la démarche d évaluation en matière d équité salariale. Le comité s est adjoint une ressource spécialisée pour faciliter la démarche et en assurer la rigueur. Les travaux se poursuivront en 2013/2014 et la démarche sera finalisée à l automne Poursuivre la collaboration avec le syndicat afin de maintenir un climat d entente approprié entre les parties Résultat de nombreuses négociations, le 19 février 2013, le CAVAC de Montréal signait la première convention collective entre le CAVAC de Montréal et le syndicat des travailleuses et travailleurs du service d intervention et de référence policière 24/7 du CAVAC-Montréal (CSN). La poursuite du Comité des relations de travail et de nombreux échanges entre la direction et le syndicat ont permis tout au long de l année de favoriser un climat d entente et de collaboration qui devrait se poursuivre avec la signature de cette nouvelle convention. Au plan corporatif : Articuler le projet d une démarche de planification stratégique Une première étape de la planification stratégique a été entreprise avec la tenue d une journée d étude réunissant les membres de toutes les équipes du CAVAC de Montréal. Cette journée visait à dresser le portrait des services et de la réalité actuelle du CAVAC, de faire état de la situation pour faire un premier bilan et identifier les priorités et les actions à poursuivre à court, moyen et long terme. La planification stratégique sera entreprise dans la prochaine année et certains éléments sur lesquels le CAVAC va se pencher sont identifiés. Autant l équipe, le comité de gestion, les administrateurs, que les partenaires, seront consultés dans les mois qui viennent afin de bonifier les portraits, revoir la vision, les valeurs, la mission, le mandat, les objectifs et les orientations des prochaines années. 7
9 La structure organisationnelle Le conseil d administration Les statuts et règlements de la Corporation prévoient un nombre de 7 sièges au conseil d administration. Au cours du dernier exercice, les administrateurs se sont réunis à huit (8) reprises et une fois à l occasion de l assemblée générale. Le comité de sélection mis sur pied pour travailler au processus de dotation de la nouvelle direction générale a procédé, avec l apport d une spécialiste en ressources humaines, au processus d identification du profil du poste, à l évaluation des candidatures, au développement du cadre, en plus d assister aux entrevues de sélection. Ce comité a recommandé aux membres du conseil d administration en mai 2013, l embauche de Madame Jenny Charest à titre de directrice générale. En somme, le temps bénévole consacré aux travaux du conseil et des comités compte plus de 100 heures/personne. Les activités des membres du conseil se sont concentrées autour de trois volets soit celui du financement, de l administration et des orientations. Chaque membre du conseil a mis à profit son expertise pour la bonne gestion du CAVAC de Montréal et a su faire preuve d innovation pour répondre aux nombreuses problématiques rencontrées par le CAVAC. Quelques activités au cours de l année ont favorisé le développement de liens plus étroits entre les membres du conseil et l équipe du CAVAC de Montréal. Président Monsieur Mario Guérin Assistant directeur Directeur du Centre opérationnel Sud Service de police de la Ville de Montréal Trésorier Monsieur Pierre Richard, CPA CA, IAS.A/ICD.D Directeur des finances Barreau du Québec Administrateur Monsieur Gino Dubé Inspecteur Directeur du Poste de quartier 26 Service de police de la Ville de Montréal Vice-président Monsieur Michel Ouellet Vice-président, conseil MORIN RELATIONS PUBLIQUES Secrétaire Madame Michelle Savard Partenaire RH Direction des ressources humaines Université de Montréal Administrateur Me Isabelle Grondin Procureure chef adjointe aux poursuites criminelles et pénales Palais de justice de Montréal Administrateur Me Gaétan Plouffe Chef d équipe Direction des poursuites criminelles et pénales Cour municipale de Montréal Remplacé par Me Gaétane Martel Chef de division - programmes sociaux Direction des poursuites criminelles et pénales Cour municipale de Montréal 8
10 L équipe professionnelle Au 31 mars 2013, l équipe du CAVAC de Montréal est composée de 51 personnes. L organigramme L équipe de gestion L équipe de gestion soutient, oriente et encadre les activités du CAVAC de Montréal. Elle est composée d une direction générale et d une direction clinique appuyées par les chefs de service des services courants et du service d intervention et de référence policière 24/7. L année a particulièrement été marquée par l entrée en fonction d une nouvelle direction générale le 4 juin 2012 et le changement de titre des deux chefs de service, qui auparavant agissaient à titre de chefs d équipe. Jenny Charest Directrice générale Cindy Lapointe Chef de service Services courants *Mois d avril et de mai 2012 Denis René Directeur général par intérim* et directeur clinique Julie Dault Chef de service Service d intervention et de référence policière (SIRP) 24/7 9
11 L équipe responsable de la prestation des services Le CAVAC de Montréal réussit à poursuivre les objectifs de sa mission en s appuyant sur les compétences et l engagement de son équipe d intervenantes et d intervenants psychosociaux. Le but du CAVAC de Montréal demeure celui d offrir une gamme de services complémentaires aux personnes victimes dans un court délai après la commission de l acte criminel et à toutes les étapes du processus judiciaire. Les services accessibles à proximité de leur lieu de résidence, peuvent être ponctuels ou requérir un suivi sur plusieurs jours, semaines, mois, voire parfois, années. L équipe des intervenantes et intervenants, tous services confondus, au 31 mars 2013, compte 42 professionnels disponibles pour répondre à la demande de service. Neuf (9) de ces professionnels composent l équipe du Service d intervention et de référence policière (SIRP) 24/7 auxquels s ajoutent 13 personnes sur une liste de rappel. Quatre (4) intervenantes et un (1) intervenant occupent des postes d agents de liaison au sein des centres d enquêtes du SPVM, soit dans le centre opérationnel de chacune des quatre régions du Service de police de la Ville de Montréal et au Service des enquêtes spécialisées. Quinze (15) professionnels composent l équipe des services courants, ces derniers offerts sur une plage horaire de 8h à 17h, du lundi au vendredi. Au total, ces professionnelles et professionnels sont répartis dans 10 points de services distincts sur le territoire de l île de Montréal. Il faut mentionner ici qu au palais de justice de Montréal, au cours de l année, se sont ajoutées une (1) technicienne juridique et une intervenante des services courants qui œuvrent à la réalisation des programmes d information aux personnes victimes, soit respectivement l INFOVAC-PLUS et le CAVAC-Info. Enfin, comme à chaque année, le CAVAC a admis dans son équipe une stagiaire en criminologie du niveau baccalauréat de l Université de Montréal. L ensemble du personnel voué aux services à la population détient un diplôme d études universitaires dans une discipline tels le travail (ou le service) social (9), la criminologie (10), la psychologie (8) ou la sexologie (4) et autres disciplines connexes en sciences humaines (11). L adoption du projet de Loi modifiant le Code des professions et d autres dispositions législatives dans le domaine de la santé mentale et des relations humaines a entraîné l adhésion obligatoire de tous les intervenants du CAVAC de Montréal à leur ordre professionnel ou au registre des droits acquis de l ordre des travailleurs sociaux, des criminologues ou des sexologues. Les intervenants du CAVAC de Montréal, comme tous les CAVAC d ailleurs, sont donc dorénavant des professionnels aux termes de la loi. Finalement, nous avons dans un but de développement d expertise, créé différentes équipes associées à des problématiques particulières, par exemple : la traite de personnes et le proxénétisme, les personnes victimes aînées ainsi que les personnes victimes de crimes économiques. Les comités organisateurs de la journée d étude et des activités de la Semaine nationale de sensibilisation aux victimes d actes criminels (SNSVAC) 2013 ont été particulièrement actifs cette année. Un comité arrimage des services a été créé pour donner suite aux propositions d actions identifiées lors de la journée d étude de l équipe du CAVAC du 24 janvier
12 Services courants Palais de justice Jean-Thierry Popieul Isabelle Bigué**** Fanny Buttigieg* Karine Damphousse** Dominique Fortin*** Marilyne Cléroux-Desmarais** Shuang Xie (stagiaire) Myrian Chevalier (INFOVAC-PLUS) Frédérique Piché (CAVAC-INFO) Chambre de la jeunesse Natacha Rolland Marilyne Cléroux-Desmarais** Jennifer Boucher**** Point de service du Centre Alma Monzon Stéphanie Trudeau Karine Fournier*** Vanessa Merceron Karine Gagné Isabelle Bigué**** Andrea Rittenhouse*** Point de service de l Est Annick Duranceau Point de service de l Ouest Dominique Bourdages Christine Morin Tania Leal *a quitté ses fonctions en cours d année **en congé de maternité au cours de l année ***occupent un poste en CO ****a changé de point de services Service d intervention et de référence policière 24/7 Agente de soutien à l intervention et au développement Julie Fortin Intervenants Fin de semaine Semaine Semaine Omar Améris Sophie Ducharme* Maria Arias Santos Vanessa Boodoosingh Estelle Rodrigue Charlotte M. Debunne Renée Rony Geneviève Têtu Mélanie Jastremski (Liste de rappel) Anick Croëls Mélanie Bernard Daniel Carosella Anaïs Cervinka Maggie Desbois Ève-Marie Dion Karine Gagné (SC) Thalya Garnier** Célyne Lalande Ann-Gaël Whiteman Shyrlène Mescary Daniela Segura Centre d enquêtes du SPVM C.O. EST : Ève-Marie Dion remplacée par Karine Blanchet C.O. NORD : Simon Pérusse C.O. SUD : Dominique Fortin C.O. OUEST : Andrea Rittenhouse Enquêtes spécialisées : Karine Mac Donald remplacée par Karine Fournier Ont quitté leurs fonctions au cours de l année : Nadia Piedade, Mélanie Turcotte, Annie-Claude Demers *congé de maternité/parental **congé maladie 11
13 L équipe de soutien administratif et l agente de promotion Le soutien administratif en matière de gestion financière, de gestion des systèmes et programmes informatiques, des ressources et des biens matériels, des lieux de travail a été assuré par deux adjointes administratives. À la toute fin de l année, le poste d adjoint administratif en matière de gestion financière a été restructuré en celui d ajointe administrative en matière de gestion des ressources financières et des ressources humaines. Le CAVAC de Montréal a pu bénéficier de la contribution de son agente de promotion et de communication aidant à toujours mieux faire connaître le CAVAC dans la population, que ce soit par la production et la mise à jour de la documentation de promotion, de l animation d activités dans la communauté auprès de clientèles ciblées, de participation à des tables de concertation et des comités de travail ou, enfin, à l organisation d activités de visibilité toujours dans le but de mieux faire connaître les services du CAVAC aux personnes victimes, à leurs proches et aux témoins. Celle-ci a été particulièrement interpellée dans le processus d élaboration et de production de capsules vidéo au travers desquelles des intervenants, dont deux de l équipe du CAVAC de Montréal, y expriment la passion qui les anime aujourd'hui, et ce, depuis 25 ans. Ceux-ci illustrent comment ils apportent leur contribution aux personnes victimes en les aidant à reprendre du pouvoir sur leur vie. Le lancement de ces capsules est prévu dans le cadre de la SNSVAC Adjointes administratives Lise Lasanté/Christiane Lupien* Adjointe aux affaires financières Adjointe aux affaires matérielles Catty Barrios Agente de promotion et de communication Noémie Crevier Karine Lasanté** *Entrée en fonction fin mars **Congé de maternité/parental Les services, la clientèle et le territoire desservi Les services du CAVAC sont offerts en français, en anglais et en espagnol, et ce, sur une base régulière. De plus, au sein de l équipe, nous pouvons compter sur des intervenants en mesure d offrir des services en arabe, en créole, en portugais ou en italien. Depuis près de 25 ans, le CAVAC de Montréal offre des services de première ligne professionnels, gratuits et confidentiels, à toute personne victime d'un acte criminel, quel que soit son âge, à ses proches, ainsi qu'aux témoins d'un crime. L'aide est disponible que l'auteur du crime soit ou non identifié, arrêté, poursuivi ou reconnu coupable. Cette aide adaptée est disponible qu il y ait ou non une plainte aux instances officielles reconnues et peu importe le délai où s est produit l acte criminel, que ce soit récemment ou même depuis 30 ans. 12
14 Le CAVAC de Montréal offre à la population de l île de Montréal, trois types de services distincts et complémentaires : le Service d intervention et de référence policière (SIRP) 24/7, la présence d Agents de liaison dans les centres d enquêtes du SPVM ainsi que les Services courants qui répondent aux besoins spécifiques des personnes victimes de différentes façons. Ainsi, les services complémentaires visent une réponse adaptée à la situation de la clientèle en fonction des besoins de la personne, dans le respect de son rythme et sans limite de temps et ce à chacune des étapes du processus judiciaire. Le service d intervention et de référence policière 24/7 Le CAVAC de Montréal est convaincu de la pertinence d une intervention précoce suivant la commission de l acte criminel pour réduire l ancrage de conséquences malheureuses dans la vie de la personne victime. Pour cette raison, il a mis en place en 2003 un service d intervention immédiate et brève en partenariat avec le SPVM. Ce service, restructuré en 2010, est devenu le Service d intervention et de référence policière (SIRP) 24/7. Les intervenants du service se déplacent sur les lieux de l événement en complémentarité de l intervention policière. Ils offrent à la personne victime un soutien psychosocial, l orientent vers les ressources appropriées à ses besoins et lui transmettent les informations requises pour l aider à mieux connaître ses droits et les recours qui lui sont possibles. Depuis janvier 2013, le CAVAC a pu réinstaurer les déplacements de nuit. Cette nouvelle a été très favorablement accueillie par les patrouilleurs du SPVM, qui a de nombreuses reprises avaient fait mention du besoin pour des personnes victimes de rencontrer les intervenants autant la nuit que le jour. Depuis l automne 2011, un projet commun uni le SPVM et le CAVAC : travailler de concert afin d augmenter le nombre de références policières au SIRP 24/7. Ce projet, développé en plusieurs axes, atteint un moment crucial en janvier En effet, suite au résultat encourageant du projet pilote, une formation des agents coordonnateurs dans chacune des unités du SPVM a été dispensée. Cette séance d information a été créée conjointement avec le SPVM afin de sensibiliser les policiers aux besoins et conséquences des victimes, tout en les guidant dans leur intervention et leur référence aux services d aide. La complémentarité des interventions des policiers et des intervenants du CAVAC est au cœur du succès de ce programme proactif qui permet de référer - rapidement et efficacement - la clientèle à la suite d un crime. Nombre de personnes rejointes : 1869 Nombre de services rendus :
Unis contre la violence conjugale et intrafamiliale. Plan d action stratégique en matière de violence conjugale et intrafamiliale 2013-2017
Unis contre la violence conjugale et intrafamiliale Plan d action stratégique en matière de violence conjugale et intrafamiliale 2013-2017 Mise en contexte Au SPVM Environ 18 000 appels de service au 911
Plus en détailOrientations. gouvernementales. en matière. d agression. sexuelle. Plan d action
Orientations gouvernementales en matière d agression sexuelle Plan d action Édition produite par : La Direction des communications du ministère de la Santé et des Services sociaux Pour obtenir d autres
Plus en détailUne grande équipe. Le conseil d administration. Un travail précieux et sérieux. Le personnel. Les 3 axes d intervention. Rapport annuel 2008-2009
Rapport annuel 2008-2009 2009 Une grande équipe Le personnel : www.servicesjuridiques.org Présenté le 2 juin 2009 Le Conseil d administration - 10 citoyen(ne)s - 2 groupes communautaires - 1 représentante
Plus en détailLe programme de maîtrise avec stage
Le programme de maîtrise avec stage Le programme de maîtrise avec stage comporte 45 crédits, répartis comme suit : - 15 crédits de cours - 12 crédits de stage - 18 crédits pour la rédaction d'un rapport
Plus en détailLa reddition de comptes dans le cadre du soutien à la mission globale
La reddition de comptes dans le cadre du soutien à la mission globale Programme de soutien aux organismes communautaires SERVICES SOCIAUX Édition : La Direction des communications du ministère de la Santé
Plus en détailAssurer, de concert avec nos partenaires, la sécurité publique au Québec.
Assurer, de concert avec nos partenaires, la sécurité publique au Québec. Pour réaliser sa mission, le Ministère intervient dans les secteurs d activité suivants : les services de prévention et de lutte
Plus en détailAPRHQ Rapport annuel de la présidence Année 2010-2011 Montréal, Québec 19 octobre 2011
APRHQ Rapport annuel de la présidence Année 2010-2011 Montréal, Québec 19 octobre 2011 C est avec plaisir que je vous présente le rapport d activités de l APRHQ pour l année qui s est terminée le 31 août
Plus en détailLa mission et les résultats en chiffres pour 2006-2007 1
La mission et les résultats en chiffres 1 La mission du Protecteur du citoyen Le Protecteur du citoyen a pour mandat, en vertu de la Loi sur le Protecteur du citoyen et, depuis le 1 er avril 2006, en vertu
Plus en détailPlanification stratégique 2012-2015
DE CHAUDIÈRE-APPALACHES Planification stratégique 2012-2015 Reprendre du pouvoir sur sa vie. 23681_CRDCA_Planification 2012.indd 1 Description de la démarche La démarche de planification stratégique du
Plus en détailCAVAC DE PROFIL DE LA LANAUDIÈRE CLIENTÈLE. Partenaire du réseau des CAVAC
. CAVAC DE PROFIL DE LA LANAUDIÈRE CLIENTÈLE RAPPORT ANNUEL 2012-2013 Partenaire du réseau des CAVAC TABLE DES MATIÈRES MOT DE LA PRÉSIDENTE... 3 MOT DE LA DIRECTION... 4 HISTORIQUE... 5 PRÉSENTATION DES
Plus en détailLe genre féminin utilisé dans ce document désigne aussi bien les femmes que les hommes.
Programme d intéressement pour l implantation du rôle de l infirmière praticienne spécialisée Modalités d application 15-919-04W RÉDACTION Direction des soins infirmiers Direction générale des services
Plus en détailPLAN STRATÉGIQUE 2013-2018 DE L AFANB
PLAN STRATÉGIQUE 2013-2018 DE L AFANB En juin 2012, le conseil d administration de l AFANB a décidé d entreprendre une démarche de révision du plan stratégique qui mènera au dépôt d un plan stratégique
Plus en détailStandards d accès, de continuité, de qualité, d efficacité et d efficience
Standards d accès, de continuité, de qualité, d efficacité et d efficience Ligne provinciale d intervention téléphonique en prévention du suicide 1 866 APPELLE Octobre 2014 Table des matières Contexte...
Plus en détailLA CAISSE DESJARDINS DE QUÉBEC
GUIDE À L USAGE DE L EMPLOYEUR LA CAISSE DESJARDINS DE QUÉBEC un partenaire incontournable dans l intégration réussie de votre main-d œuvre immigrante Visitez-nous au desjardins.com/caissedequebec Être
Plus en détailLe contrôle de la qualité des services
Le contrôle de la qualité est essentiel à l amélioration continue des services aux usagers. En fonction des obligations du ministère de la Santé et des Services sociaux, le Protecteur du citoyen a analysé,
Plus en détailConsultation sur le référencement entre assureurs de dommages et carrossiers. Commentaires présentés à L Autorité des marchés financiers
entre assureurs de dommages et carrossiers Commentaires présentés à L Autorité des marchés financiers Novembre 2006 entre assureurs de dommages et carrossiers 2 PRÉAMBULE Le Groupement des assureurs automobiles
Plus en détailLes défis du mandat d une Équipe itinérante : prévenir les glissements
Résumé Les défis du mandat d une Équipe itinérante : prévenir les glissements Ce texte fait partie d une banque de 50 récits de pratiques d intervention en itinérance qui ont été réalisés avec quatre Équipes
Plus en détailComment s y retrouver. La personne victime. dans le. processus judiciaire
La personne victime dans le processus judiciaire Comment s y retrouver Définitions de différents actes criminels : Les crimes contre la personne : Voie de fait (articles 265 à 269 du Code criminel) : acte
Plus en détailPour l exclusion des offices d habitation des décrets sur le personnel d entretien des édifices publics
Pour l exclusion des offices d habitation des décrets sur le personnel d entretien des édifices publics Mémoire présenté au ministère du Travail dans le cadre de la consultation de la Loi sur les décrets
Plus en détailFiche d information à l intention des parents. Volet 2 Les options résidentielles
Centre de réadaptation en déficience intellectuelle de Québec (CRDI de Québec) 7843, rue des Santolines Québec (Québec) G1G 0G3 Téléphone : 418 683-2511 Télécopieur : 418 683-9735 www.crdiq.qc.ca Fiche
Plus en détailViolence au travail Un organisme national
Violence au travail Un organisme national Violence au travail : prévention, protocoles et sanctions Politique La Société s engage à offrir un milieu de travail sécuritaire. Elle reconnaît que la violence
Plus en détailL approche populationnelle : une nouvelle façon de voir et d agir en santé
Trousse d information L approche populationnelle : une nouvelle façon de voir et d agir en santé Novembre 2004 L approche populationnelle : une nouvelle façon de voir et d agir en santé L approche populationnelle
Plus en détailPour la prospérité : investissons dans le développement social du Québec
Pour la prospérité : investissons dans le développement social du Québec Présentation à la ministre des Finances du Québec, Mme Monique Jérôme-Forget lors des consultations prébudgétaires le 14 février
Plus en détailCarrières. Une carrière au Service correctionnel du Canada : Joignez-vous à nous! Descriptif. Objectifs d apprentissage
Service correctionnel Canada Correctional Service Canada Carrières Une carrière au Service correctionnel du Canada : Joignez-vous à nous! Descriptif Le Service correctionnel du Canada (SCC) offre une grande
Plus en détailAnnexe au document intitulé Communication relative à certaines questions de politique concernant le Bureau de Procureur : renvois et communications
Annexe au document intitulé Communication relative à certaines questions de politique concernant le Bureau de Procureur : renvois et communications La présente annexe au document de politique du Procureur
Plus en détailPRESENTATION DU RAPPORT DU GROUPE DE TRAVAIL DU CONSEIL NATIONAL DE L AIDE AUX VICTIMES SUR LA PRISE EN CHARGE DES VICTIMES EN URGENCE
PRESENTATION DU RAPPORT DU GROUPE DE TRAVAIL DU CONSEIL NATIONAL DE L AIDE AUX VICTIMES SUR LA PRISE EN CHARGE DES VICTIMES EN URGENCE SYNTHESE Le 15 septembre 2003, Madame Anne D HAUTEVILLE, professeur
Plus en détailComité conseil en matière de prévention et sécurité des personnes et des biens Octobre 2013
PROJET Encadrement du système de caméras de sécurité et Foire aux questions Comité conseil en matière de prévention et sécurité des personnes et des biens Octobre 2013 2 3 Table des matières 1. CADRE JURIDIQUE...4
Plus en détailPOLITIQUE D OCTROI DES DONS ET COMMANDITES
POLITIQUE D OCTROI DES DONS ET COMMANDITES Groupe Affaires corporatives et secrétariat général 19 avril 2013 TABLE DES MATIÈRES 1. CADRE GÉNÉRAL...3 1.1 Politique NOTRE RÔLE SOCIAL...3 1.2 Imputabilité...3
Plus en détailENTENTE ASSURANCE COLLECTIVE
ENTENTE ASSURANCE COLLECTIVE www.fc-csn.ca BV5087F (2014-09) La force du nombre Depuis 1988, la Fédération du commerce (CSN) et son partenaire, SSQ Groupe financier, allient leurs forces et leur expertise
Plus en détailRAPPORT FINAL. Avril 2009. École secondaire de la Rivière-des-Français. Muskies Supers Partenaires (MSP)
La corporation des services en éducation de l Ontario Projet de prévention de l intimidation et de la violence RAPPORT FINAL Avril 2009 École secondaire de la Rivière-des-Français Muskies Supers Partenaires
Plus en détailListe des recommandations
RECOMMANDATIONS À TOUS LES MINISTÈRES ET ORGANISMES L EXERCICE DES POUVOIRS DISCRÉTIONNAIRES DE L ADMINISTRATION: Que lorsque, dans l exercice de ses pouvoirs discrétionnaires, l Administration prend une
Plus en détailDemande de permis Candidats du cheminement CPA, CA
5, Place Ville Marie, bureau 800, Montréal (Québec) H3B 2G2 T. 514 288.3256 1 800 363.4688 www.cpaquebec.ca Demande de permis Candidats du cheminement CPA, CA N.B. Il est inutile de présenter une demande
Plus en détailProgramme Transit. Visant à soutenir les apprentissages à la vie autonome des personnes adultes présentant une déficience intellectuelle
Programme Transit Visant à soutenir les apprentissages à la vie autonome des personnes adultes présentant une déficience intellectuelle Développé par l Association des personnes handicapées de la rive-sud
Plus en détailPolitique de reconnaissance. et de soutien pour les organismes communautaires de Chelsea. Octobre
Politique de reconnaissance et de soutien pour les organismes communautaires de Chelsea Présenté par Le Service des loisirs, de la culture et de la vie communautaire de Chelsea Octobre 2013 Table des Matières
Plus en détailDEVIS D ÉVALUATION. Efficacité du système d assurance qualité du Collège Shawinigan. Automne 2013
DEVIS D ÉVALUATION Efficacité du système d assurance qualité du Collège Shawinigan Automne 2013 La mise en contexte de l évaluation Depuis sa création en 1993, la commission d évaluation de l enseignement
Plus en détailModèle de curriculum vitae thématique. Pierre Dupont 3700 rue Berri Montréal (Québec)
Modèle de curriculum vitae thématique Pierre Dupont 3700 rue Berri Montréal (Québec) Résidence : 514) 873-0000 Bureau : (514) 873-1111 Télécopieur : (514) 873-9304 Courriel : pdupont@pdup.com Cadre infirmier
Plus en détailPLAN D ACTION DE L AGENCE DE LA SANTÉ ET DES SERVICES SOCIAUX DE LANAUDIÈRE À L ÉGARD DE L INTÉGRATION DES PERSONNES HANDICAPÉES
PLAN D ACTION DE L AGENCE DE LA SANTÉ ET DES SERVICES SOCIAUX DE LANAUDIÈRE À L ÉGARD DE L INTÉGRATION DES PERSONNES HANDICAPÉES Mise à jour au 28 février 2013 Véronique Bibeau, Conseillère en gestion
Plus en détailConseil régional. Plan d action régional Outaouais 2014-2017
Conseil régional Plan d action régional Outaouais 2014-2017 Dans ce tableau, la numérotation est utilisée afin de faciliter le suivi de la présentation. Légende Palier N signifie national R signifie régional
Plus en détailLE TITRE FAIT LA DIFFÉRENCE L Ordre et le MICC : un partenariat profitable!
Volume 2, numéro 3 Mai 2012 LE TITRE FAIT LA DIFFÉRENCE L Ordre et le MICC : un partenariat profitable! Par Caroline Soulas, chef marketing, Ordre des conseillers en ressources humaines agréés. Le ministère
Plus en détailLe Complément. Le nouveau journal des complémentaires. Dossiers. Novembre 2011. Année scolaire 2011-2012. Pour un développement global des jeunes
Le Complément Pour un développement global des jeunes Novembre 2011 Dossiers La collaboration école famille- communauté La santé et le bien- être L éducation à la sexualité L approche orientante L interculturalisme,
Plus en détailRésumé de l étude. Citoyenneté et participation. Les motivations à participer TABLEAU - PRINCIPALES MOTIVATIONS À PARTICIPER AUX
Table des matières Recherche et rédaction Rock Beaudet Frédéric Lapointe de Asynchrolab Comité de suivi de l étude Steve Francoeur Nicolas Fournier Julie Richard Niki Messas Coordination Caroline Rioux
Plus en détailCadre de gestion du fonds régional d investissement (FRIJ) en Chaudière-Appalaches
Cadre de gestion du fonds régional d investissement (FRIJ) en Chaudière-Appalaches Document mis à jour en avril 2014 Table de matière 1. RENSEIGNEMENTS GÉNÉRAUX 3 1.1 PRÉSENTATION DU FONDS RÉGIONAL D INVESTISSEMENT
Plus en détailAdaptation de l organigramme à des clubs de diverses importances. Avantages de l organigramme modèle. Clubs à effectif limité
1 Organisation d un club Organigramme du club Description des fonctions des officiers et autres responsables désignés Activités des comités du club Méthode de travail des comités Rapports des comités Une
Plus en détaild hébergement pour pour femmes violentées et et en en difficulté
Alliance Alliance des des maisons d hébergement pour pour femmes violentées et et en en difficulté Une écoute et une aide à portée de main 24 heures par jour, 7 jours et ce, 365 jours par année. Historique
Plus en détailRecommandation CP(2014)17 sur la mise en œuvre de la Convention du Conseil de l Europe sur la lutte contre la traite des êtres humains par Saint-Marin
Comité des Parties de la Convention du Conseil de l'europe sur la lutte contre la traite des êtres humains Recommandation CP(2014)17 sur la mise en œuvre de la Convention du Conseil de l Europe sur la
Plus en détailSYNTHÈSE HISTORIQUE VÉCU DE L'AAR PARTIE 2
ALLIANCE DES ASSOCIATIONS DE RETRAITÉS SYNTHÈSE HISTORIQUE DU VÉCU DE L'AAR PARTIE 2 Par Jacques Guilmain (Membre de l'association des employés retraités de la ville de Montréal et membre du conseil d'administration
Plus en détailRapport du vice-président responsable de la prévention, de la réparation, du régime de retraite et des assurances pour l année 2014.
Rapport du vice-président responsable de la prévention, de la réparation, du régime de retraite et des assurances pour l année 2014. Présenté à l assemblée générale 2015-01. L année 2014 en a été une d
Plus en détailPortfolio des services du ROHSCO Mot de la direction C est avec un immense plaisir que nous vous remettons ce portfolio; fidèle portrait des services du ROHSCO. Au fil des années le Regroupement s est
Plus en détailPOLITIQUE FAMILIALE DU CANTON DE WESTBURY
POLITIQUE FAMILIALE DU CANTON DE WESTBURY «Penser et agir famille» LES OBJECTIFS 1. Accueillir les familles avec respect et ouverture d esprit dans toutes leurs formes et leurs différences. 2. Stimuler
Plus en détailDoit-on craindre les impacts du rapport Trudeau sur la fonction de technicienne ou technicien en éducation spécialisée?
Doit-on craindre les impacts du rapport Trudeau sur la fonction de technicienne ou technicien en éducation spécialisée? Hélène Le Brun, conseillère septembre 2007 D-11815 Centrale des syndicats du Québec
Plus en détailLES PROFESSIONNELS ONT BESOIN DE SYNDICATS
LES PROFESSIONNELS ONT BESOIN DE SYNDICATS Les professionnels ont besoin de syndicats Plus de 25 000 membres du SEFPO sont couverts par des organismes de réglementation des professions dans les soins
Plus en détailUne école adaptée à tous ses élèves
PRENDRE LE VIRAGE DU SUCCÈS Une école adaptée à tous ses élèves PLAN D'ACTION EN MATIÈRE D'ADAPTATION SCOLAIRE Québec Ministère de l'éducation Une école adaptée à tous ses élèves PRENDRE LE VIRAGE DU SUCCÈS
Plus en détailPlan Stratégique 2008-2013
Plan Stratégique 2008-2013 Version finale Adopté le 26 septembre par le Conseil d administration Septembre 2008 Mission La Société Santé en français est un chef de file national qui assure, en étroite
Plus en détailPOLITIQUE DE COMMUNICATION CDC MRC DE L ASSOMPTION
1 Politique de communication Corporation de développement communautaire MRC de L Assomption Introduction Mise en contexte Issue de la Table de concertation des organismes communautaires MRC de L Assomption,
Plus en détailGuide d intervention sur. l intimidation. destiné aux intervenants - 1 -
Guide d intervention sur l intimidation destiné aux intervenants - 1 - Rédaction Linda Laliberté : Mélanie Blais : Michèle Gariépy : Joanie Charrette : Espace Bois-Francs InterVal Pacte Bois-Francs organisme
Plus en détailUn de vos proches devient inapte
Un de vos proches devient inapte Comment le protéger? Le Curateur public du Québec À la rencontre de la personne Table des matières Qu est-ce que l inaptitude?... 4 Qu est-ce que le besoin de protection?....
Plus en détailLe référentiel RIFVEH www.rifveh.org La sécurité des personnes ayant des incapacités : un enjeu de concertation. Septembre 2008
Le référentiel RIFVEH www.rifveh.org La sécurité des personnes ayant des incapacités : un enjeu de concertation Septembre 2008 Louis Plamondon Centre de recherche de l institut universitaire de gériatrie
Plus en détailLA DEFENSE DEVANT LES JURIDICTIONS PENALES INTERNATIONALES
LA DEFENSE DEVANT LES JURIDICTIONS PENALES INTERNATIONALES PAR François ROUX Depuis Nuremberg jusqu au Tribunal spécial pour le Liban, la défense devant les tribunaux pénaux internationaux a subi une évolution
Plus en détailConférence du RQCAA. Agression et violence contre les aînés. Présenté le 22 mars 2007 Au grand public À l observatoire Vieillissement et Société
Conférence du RQCAA Agression et violence contre les aînés Présenté le 22 mars 2007 Au grand public À l observatoire Vieillissement et Société Plan de présentation Histoire du RQCAA Quelques réalités sur
Plus en détailGuide d accompagnement à l intention des entreprises désirant obtenir ou renouveler une autorisation pour contracter/souscontracter avec un organisme
Guide d accompagnement à l intention des entreprises désirant obtenir ou renouveler une autorisation pour contracter/souscontracter avec un organisme public Juin 2015 1 INTRODUCTION... 4 À QUI S ADRESSE
Plus en détailSECTION VI OUTILS DE GESTION DU RENDEMENT POUR DES FAMILLES D EMPLOIS COMMUNES POUR LES COMPÉTENCES COMPORTEMENTALES
Compétences pour les intervenants canadiens en toxicomanie SECTION VI OUTILS DE GESTION DU RENDEMENT POUR DES FAMILLES D EMPLOIS COMMUNES POUR LES COMPÉTENCES COMPORTEMENTALES Cette documentation est publiée
Plus en détailINTERODAS 2014 HORS-SERIE BULLETIN D INFORMATION ET DE LIAISON ORGANISATION D AIDE AUX SANS-EMPLOI (ODAS-MONTRÉAL)
INTERODAS 2014 HORS-SERIE BULLETIN D INFORMATION ET DE LIAISON ORGANISATION D AIDE AUX SANS-EMPLOI (ODAS-MONTRÉAL) TESTEZ VOS CONNAISSANCES SUR L AIDE SOCIALE VRAI ou FAUX? 1. Le ministère de l Emploi
Plus en détailFuturs étudiants 1 er Cycle
Futurs étudiants 1 er Cycle A d m i s s i o n P r o g r a m m e, c h e m i n e m e n t e t s t r u c t u r e P e r s p e c t i v e s p r o f e s s i o n n e l l e s, b o u r s e s e t e m p l o i s F o
Plus en détailL expérience patient : lorsque le rationnel rencontre l émotion Le cas du CSSS Richelieu-Yamaska
Le cas du CSSS Richelieu-Yamaska Écrit par Jocelyn Théoret, directeur en gestion de l expérience client, Groupe-conseil en stratégie et performance de Raymond Chabot Grant Thornton, en collaboration avec
Plus en détailUn seul droit de la famille pour toutes les femmes.
2 Protection de l enfance et droit de la famille FR 002 LE DROIT DE LA FAMILLE ET LES FEMMES EN ONTARIO Un seul droit de la famille pour toutes les femmes. Renseignez-vous sur vos droits. Protection de
Plus en détailTitre : POLITIQUE AFIN DE CONTRER LE HARCÈLEMENT PSYCHOLOGIQUE OU TOUTE AUTRE FORME DE VIOLENCE EN MILIEU DE TRAVAIL
Titre : POLITIQUE AFIN DE CONTRER LE HARCÈLEMENT PSYCHOLOGIQUE OU TOUTE AUTRE FORME DE VIOLENCE EN MILIEU DE TRAVAIL Numéro : 1. Objet général La présente politique vise à établir les règles applicables
Plus en détailQuestionnaire. sur l évaluation interne Qualité dans les centres d accueil pour enfants, adolescents et jeunes adultes
Questionnaire Université du Luxembourg, Version novembre 2013 Ulla Peters, Julia A. Jäger, Danielle Lellinger sur l évaluation interne Qualité dans les centres d accueil pour enfants, adolescents et jeunes
Plus en détail) Découvrez les métiers de la Justice. Informez-vous sur www.justice.gouv.fr
) Découvrez les métiers de la Justice Informez-vous sur www.justice.gouv.fr PENITENTIAIRE Sommaire SOMMAIRE Magistrat............................................................. p. 4, 5 Greffier en chef......................................................
Plus en détailRECUEIL DE POLITIQUES
700, rue de Monseigneur-Panet Nicolet (Québec) J3T 1C6 Téléphone : 819-293-2068 Télécopieur : 819 293-2078 Z25.la.riveraine@csq.qc.net RECUEIL DE POLITIQUES Adopté lors de la séance du conseil d administration
Plus en détailTravailleurs étrangers temporaires. Vos droits sont protégés
Travailleurs étrangers temporaires Vos droits sont protégés Bienvenue au Canada! Le Canada est un ardent défenseur des droits de la personne, au pays comme à l étranger. Cette brochure a été préparée pour
Plus en détailPour le maintien de la cohésion et de la cohérence régionale
Les regroupements d organismes communautaires de Montréal Mémoire Pour le maintien de la cohésion et de la cohérence régionale Présenté à la commission de la santé et des services sociaux de l Assemblée
Plus en détailLES HABITATIONS NOUVEAU DÉPART 251-2 pointe-gatineau Gatineau,Qc J8t2c8. Code de vie du «137»
LES HABITATIONS NOUVEAU DÉPART 251-2 pointe-gatineau Gatineau,Qc J8t2c8 Code de vie du «137» Bienvenue parmi nous! Ce code de vie est conçu pour expliquer le fonctionnement du «137». Étant donné que cet
Plus en détailEn tout temps, vous pouvez accéder à votre dossier à la Régie grâce au service en ligne Mon dossier. Profitez aussi de nos autres services en ligne :
Vous vous séparez Pour connaître les effets de la rupture sur : le Régime de rentes du Québec; les régimes complémentaires de retraite; le Soutien aux enfants. Tout sur le Web Les renseignements contenus
Plus en détailFICHE D INFORMATION À L INTENTION DES PARENTS. Volet 2 - Les options résidentielles
FICHE D INFORMATION À L INTENTION DES PARENTS Volet 2 - Les options résidentielles LES OPTIONS RÉSIDENTIELLE La Fiche d information à l intention des parents porte sur différents sujets susceptibles d
Plus en détailINFIRMIÈRE PRATICIENNE EN LE 6 MAI 2015 PRÉSENTÉ AU COLLOQUE EN SCIENCES SOINS DE PREMIÈRE LIGNE QU EN EST-IL? INFIRMIÈRES DE L UQAC
INFIRMIÈRE PRATICIENNE EN SOINS DE PREMIÈRE LIGNE QU EN EST-IL? PRÉSENTÉ AU COLLOQUE EN SCIENCES INFIRMIÈRES DE L UQAC LE 6 MAI 2015 PLAN DE LA PRÉSENTATION Quel type de formation une IPSPL doit-elle suivre?
Plus en détailMesures de rendement des cliniques juridiques (comprend des exemples de tableaux et de rapports
Mesures de rendement des cliniques juridiques (comprend des exemples de tableaux et de rapports Table des matières 1 Mesures de rendement générées par le SGIC... 3 1.1 Première mesure Causes et projets
Plus en détailÉvaluation périodique du programme MBA coop Résumé Faculté d administration
Évaluation périodique du programme MBA coop Résumé Faculté d admini istration Mai 2012 1 Le programme de maîtrise en administration des affaires, cheminement coopératif (MBA Coop) de la Faculté d administration
Plus en détailContact Personnel. Personal Contact. Chers partenaires,
Édition du printemps 2012 Bulletin d information pour les partenaires de La Personnelle Chers partenaires, Comme annoncé en novembre dernier, notre équipe de la commercialisation a travaillé, au cours
Plus en détailsolidarité www.aulnay-sous-bois.fr
bureau d aide aux solidarité www.aulnay-sous-bois.fr Violences conjugales Vol avec violence Accidents de circulation Harcèlement Viol Agression Agression, Viol, Vol avec violence, Discriminations, Violences
Plus en détailLigne directrice. Demande de soutien financier - Projet. Demande de bourse d excellence. Juin 2014
Ligne directrice Demande de soutien financier - Projet Demande de bourse d excellence Juin 2014 Table des matières 1) Le Fonds pour l éducation et la saine gouvernance... 3 2) La demande de soutien financier
Plus en détailPolitique d investissement À L INTENTION DES ORGANISATIONS DÉSIRANT DÉPOSER UN PROJET
Politique d investissement À L INTENTION DES ORGANISATIONS DÉSIRANT DÉPOSER UN PROJET ADOPTÉE LE 9 SEPTEMBRE 2009 MODIFIÉE EN MAI 2012 Le Forum jeunesse Estrie est soutenu financièrement par le gouvernement
Plus en détailFiche entreprise : E10
Fiche entreprise : E10 FONCTION ET CARACTÉRISTIQUES / PERSONNE INTERVIEWÉE La personne interviewée est le directeur de la mutuelle de formation 1 dans le secteur des entreprises adaptées dont 95 % gèrent
Plus en détailTable des matières. 1. Mesures législatives Loi sur la protection des personnes recevant des soins Généralités 3 Principaux éléments 3
OFFICE DE PROTECTION DES PERSONNES RECEVANT DES SOINS RAPPORT STATISTIQUE 2007-2008 1 Table des matières 1. Mesures législatives Loi sur la protection des personnes recevant des soins Généralités 3 Principaux
Plus en détailMonsieur le président, mesdames et messieurs les commissaires, bonjour.
Louise Pelletier Directrice, Projets de développement et production nucléaire Allocution prononcée dans le cadre de la rencontre publique de la CCSN du 17 décembre 2014 La version prononcée fait foi. Monsieur
Plus en détailPERSONNEL PROFESSIONNEL DES COMMISSIONS SCOLAIRES FRANCOPHONES. Comité patronal de négociation pour les commissions scolaires francophones
PERSONNEL PROFESSIONNEL DES COMMISSIONS SCOLAIRES FRANCOPHONES Comité patronal de négociation pour les commissions scolaires francophones Édition de février 2011 Réalisé par le Comité patronal de négociation
Plus en détailL expression. de la diversité. municipale au Québec. www.umq.qc.ca
L expression de la diversité municipale au Québec 1 2 3 4 5 6 7 8 3 4 1 2 3 4 5 8 9 1 2 3 4 5 1 2 3 0 0 2 1 2 1 2 1 6 1 9 2 8 3 7 4 6 5 www.umq.qc.ca Depuis sa fondation en 1919, l Union des municipalités
Plus en détailQUESTIONNAIRE SUR L ADMISSIBILITÉ AU SARPA
QUESTIONNAIRE SUR L ADMISSIBILITÉ AU SARPA Ce questionnaire vous permet d explorer si, dans votre situation, vous pouvez obtenir les services du SARPA. Pour plus d information, nous vous invitons à visiter
Plus en détailGUIDE À L INTENTION DES PARENTS DONT L ENFANT A ÉTÉ VICTIME D UN ACTE CRIMINEL
GUIDE À L INTENTION DES PARENTS DONT L ENFANT A ÉTÉ VICTIME D UN ACTE CRIMINEL TABLE DES MATIÈRES 1. Votre enfant a été victime d un acte criminel?... 3 2. Qu est-ce qu un acte criminel?... 4 A - Les crimes
Plus en détailCOMMISSARIAT À LA PROTECTION DE LA VIE PRIVÉE DU CANADA. Vérification de la gestion des ressources humaines
COMMISSARIAT À LA PROTECTION DE LA VIE PRIVÉE DU CANADA Vérification de la gestion des ressources humaines 13 mai 2010 Préparée par le Centre de gestion publique Inc. TABLE DES MATIÈRES 1.0 Sommaire...
Plus en détailRÈGLEMENT SUR L ASSURANCE RESPONSABILITÉ PROFESSIONNELLE
RÈGLEMENT SUR L ASSURANCE RESPONSABILITÉ PROFESSIONNELLE QUESTIONS ET RÉPONSES NOUVEAU RÈGLEMENT 1. POURQUOI AVOIR ADOPTÉ UN NOUVEAU RÈGLEMENT? Les principaux problèmes auxquels s adresse le Règlement
Plus en détailNos clients une réussite!
BULLETIN SARCA Commission scolaire des Premières-Seigneuries Volume 4, n o 3 Juin 2014 CONTENU Au babillard... 1 Nos clients une réussite!... 1 Retourner en classe Moi?.. 2 Démystifier la formation professionnelle...
Plus en détailMme Françoise Charbonneau, commissaire, est absente.
Page 106 PROVINCE DE QUÉBEC Ville de Laval À UNE SÉANCE ORDINAIRE du comité exécutif de la Commission scolaire de Laval, tenue le 17 juin 2009, à 17 h 30, au 955, boulevard Saint-Martin Ouest, Laval, à
Plus en détailGROUPE DE SPECIALISTES SUR UNE JUSTICE ADAPTEE AUX ENFANTS (CJ-S-CH) QUESTIONNAIRE POUR LES ENFANTS ET LES JEUNES SUR UNE JUSTICE ADAPTEE AUX ENFANTS
Strasbourg, 17 février 2010 [cdcj/cdcj et comités subordonnés/ documents de travail/cj-s-ch (2010) 4F final] CJ-S-CH (2010) 4F FINAL GROUPE DE SPECIALISTES SUR UNE JUSTICE ADAPTEE AUX ENFANTS (CJ-S-CH)
Plus en détailENJEUX, PRATIQUES ET RÉGLEMENTATION EN ASSURANCE AUTOMOBILE : UNE COLLABORATION RÉUSSIE ENTRE L AUTORITÉ ET LE GAA
ENJEUX, PRATIQUES ET RÉGLEMENTATION EN ASSURANCE AUTOMOBILE : UNE COLLABORATION RÉUSSIE ENTRE L AUTORITÉ ET LE GAA Notes pour une allocution prononcée par M. Patrick Déry Surintendant de l encadrement
Plus en détailAllocution de M. Hassan B. Jallow Procureur du TPIR et du MTPI, devant le Conseil de sécurité de l ONU 10 décembre 2014
United Nations Mechanism for International Criminal Tribunals Nations Unies Mécanisme pour les Tribunaux pénaux internationaux ALLOCUTION (Destiné exclusivement à l usage des médias. Document non officiel.)
Plus en détailGuichets d'accès clientèle orpheline (GACO) : Recension de pratiques sur les facteurs. favorisant la collaboration
Guichets d'accès clientèle orpheline (GACO) : Recension de pratiques sur les facteurs favorisant la collaboration Pascale Navert Courtière de connaissances Direction de la planification, de la performance
Plus en détailPlan d Action de Ouagadougou contre la traite des êtres humains, en particulier des femmes et des enfants, tel qu adopté par la Conférence
Plan d Action de Ouagadougou contre la traite des êtres humains, en particulier des femmes et des enfants, tel qu adopté par la Conférence ministérielle sur la migration et le développement. Plan d Action
Plus en détailProgramme d accès à l égalité en emploi de l Université Laval, conformément à la Loi sur l accès à l égalité dans des organismes publics
Programme d accès à l égalité en emploi de l Université Laval, conformément à la Loi sur l accès à l égalité dans des organismes publics Présenté à la Commission des droits de la personne et des droits
Plus en détailASSEMBLÉE GÉNÉRALE ANNUELLE DU 27 AVRIL 2015
ASSEMBLÉE GÉNÉRALE ANNUELLE DU 27 AVRIL 2015 RAPPORT ANNUEL 2014 TABLE DES MATIÈRES PAGE MOT DE LA PRÉSIDENTE 3 STRUCTURE ADMINISTRATIVE : - ORGANIGRAMME.. 4 - LISTE DES MEMBRES 5 - LISTE DES MEMBRES DU
Plus en détail