LES CONFLITS À TRAVERS LE MONDE

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1 LES CONFLITS À TRAVERS LE MONDE

2 LE DESSOUS DES CARTES Recherches et écriture: LEPAC/Jean-Christophe Victor Réalisation: Frédéric Lernoud Graphisme: Anne Criou Diffusion sur Arte le à 20:00 Diffusion sur TV5 le à 11:50 Le nombre de conflits dans le monde a-t-il augmenté ou diminué depuis la fin de la Guerre Froide? À quoi ressemblent les guerres aujourd hui? Le Dessous des Cartes dresse un panorama du paysage stratégique contemporain.

3 Le nombre de conflits dans le monde Contrairement à une idée répandue, il n y a pas plus de conflits depuis la fin de la guerre froide. On dénombre en effet 32 conflits majeurs en 1990, contre 14 en 2007.

4 Une perception qui diffère de la réalité Or, on a plutôt la perception d une augmentation des conflits, et ce pour plusieurs raisons : D abord le nombre d États souverains ayant un siège aux Nations Unies a augmenté : on est passé de 159 États en 1989, à 192 États en 2008, ce qui accroît d autant les facteurs de tensions. On l a vu avec la Yougoslavie, et on le voit aujourd'hui avec la Géorgie.

5 Le rôle de la médiatisation Ensuite, la circulation des images par Internet augmente l information sur les conflits. On croit donc qu ils sont plus nombreux, alors qu en fait ils sont plus visibles.

6 La diversification des conflits Enfin, il y a diversification des formes de conflits : il y a d abord ce qu il y a de plus récent, voire de plus ostentatoire, les ramifications de ce que les États-Unis appellent «guerre contre le terrorisme», engagée depuis fin Cette guerre a conduit à des opérations militaires majeures en Afghanistan, puis en Irak, mais aussi à des opérations ponctuelles en Somalie ou au Pakistan, entraînant des déstabilisations régionales..

7 De nombreux contentieux anciens Ensuite, des contentieux majeurs se maintiennent décennie après décennie, sans trouver de solution. Parmi ces conflits : le contentieux entre la Russie et le Japon sur la souveraineté des Kouriles ; entre la Chine et la République de Taiwan ; la péninsule coréenne, qui demeure divisée en deux États ; le contentieux entre l Inde et le Pakistan (notamment sur le Cachemire ; et le contentieux majeur entre l État hébreu et les palestiniens. Tous ces contentieux sont des héritages de la Seconde guerre mondiale, voire de la première. Et certains peuvent être aujourd hui être réalimentés par des enjeux identitaires ou religieux.

8 La montée des acteurs non-étatiques Enfin, on assiste à la montée en puissance d acteurs non étatiques, comme le Hezbollah au Liban (voir carte). Le Hezbollah est militairement et politiquement bien organisé, il est soutenu par l Iran et la Syrie et a su mettre en échec l armée israélienne pendant l'été 2006.

9 Les mouvements de guerilla en Irak Parmi les acteurs non-étatiques figurent aussi les divers mouvements de guérilla sunnite et chiite en Irak, qui font subir des pertes à la première armée du monde, celle des États-Unis. Mais les pertes touchent d abord les Irakiens eux-mêmes.

10 Les Talibans Il en est de même en Afghanistan, où la guérilla conduite par les Talibans met en échec les forces de l OTAN, première alliance militaire mondiale en forces et en budget, et de loin.

11 Des nouvelles formes de guerre Ces divers mouvements terroristes, plus ou moins liés aux trois théâtres d opérations évoqués (Liban, Irak, Afghanistan), plus ou moins liés à Al Qaida, illustrent ces nouvelles formes de guerre : non étatique, non territoriale, du faible au fort, et où Internet assure l information, le renseignement, l organisation, les transferts financiers. On pourrait même parler de pouvoir égalisateur d Internet appliqué à la conduite de la guerre.

12 Les conflits en Afrique En Afrique, les zones d instabilité sont très nombreuses, mais selon des logiques différentes. Depuis la fin de la guerre froide se sont succédés en Afrique : les guerres au Libéria et en Sierra Leone (qui ont fait quelque morts, entre 1990 et Le génocide au Rwanda en 1994, qui a causé quelque morts (selon les Nations Unies), et qui a entraîné la déstabilisation de la République Démocratique du Congo, l implication de l Ouganda et plus largement la région des Grands Lacs. La guerre pour le pouvoir en Côte d Ivoire, à partir de 2002, qui a entraîné l intervention de la France sous mandat des Nations Unies La guerre pour le pouvoir en Somalie, elle, a éclaté au début des années 90 avec la sécession du nord du pays. Les instabilités internes en Somalie n ont pas cessé depuis, avec des répercussions pour l ensemble de la région. Ainsi, début 2007, des combats opposaient les tribunaux islamiques à l armée éthiopienne, soutenue par les États-Unis. Et puis il y a les conflits internes au Soudan, d abord entre le nord et le sud du pays, puis, à partir de 2003, entre le gouvernement de Khartoum et la province du Darfour.

13 Des conflits souvent liés au refus de partager le pouvoir A partir de ces exemples, on peut dresser certains constats : d abord, en Afrique, les victimes sont souvent moins les militaires que les civils. Ensuite, ces conflits ne sont pas nécessairement liés aux séquelles des décolonisations. Troisièmement, tous ces chaos sont dus à plusieurs facteurs : contrôles insuffisants de l État sur son propre territoire, mauvaise gouvernance, corruption, et refus des élites de céder le pouvoir, comme au Congo, au Gabon, au Nigeria, au Tchad, au Zimbabwe, en Algérie, d où des tensions internes très fortes.

14 Les armes nucléaires Enfin, parmi les facteurs de déstabilisation du paysage international actuel, figure la prolifération nucléaire. Près de vingt ans après la fin de la guerre froide, quelque armes nucléaires sont déployées dans le monde. Elles sont majoritairement possédées par la Russie et les Etats-Unis (voir carte du nombre d armes), suivis par les trois autres membres permanents du Conseil de Sécurité des Nations Unies : la France, le Royaume-Uni et la Chine. Ce type d armes confère à ceux qui les détiennent la capacité à sanctuariser leur territoire, et de fait depuis 50 ans, la dissuasion a plutôt bien fonctionné. Mais pourquoi ces cinq états, et aucun autre, puisque la dissuasion fonctionne si bien? C est là, la question centrale qu'un État est amené à se poser, quand il réfléchit à sa sécurité nationale. Pourquoi en effet ne pas se doter d une capacité nucléaire minimale, visant à interdire toute agression venant de l extérieur?

15 Le Traité de non-prolifération nucléaire Un traité de non-prolifération nucléaire, le TNP, a été signé en 1968, pour éviter justement que d autres États que les cinq Etats précédemment cités (en bleu sur cette carte) ne se dotent de l arme atomique. La plupart des États dans le monde ont signé ce traité, et s y tiennent. Mais d autres comme l Inde, le Pakistan, Israël ne l ont jamais signé et ont rejoint progressivement le club nucléaire.

16 Les Etats ayant renoncé à l arme atomique D autres encore ont abandonné leur programme nucléaire (en orange sur la carte), comme l Afrique du sud en 1993, le Brésil en 1997, et tout récemment la Libye en 2003, chacun de ces États y renonçant pour des mobiles tout à fait spécifiques.

17 Le cas de la Corée du nord et de l Iran Mais en sens inverse, on note ces dernières années la volonté probable de l Iran de se doter d une capacité nucléaire militaire. La Corée du Nord, elle, s est retirée du TNP en 2003, et a procédé à un essai nucléaire en Et on sait que ces pays ont profité de transferts de technologie nucléaire venant notamment du Pakistan et de la Chine. Pour les États détenteurs, le nucléaire militaire est vu comme une garantie pour la sécurité nationale, et un puissant outil d influence. Mais pour l immense majorité des États dans le monde, la prolifération nucléaire est perçue comme une menace à la stabilité internationale, surtout lorsqu'elle est le fait d États soupçonnés de vouloir étendre leur influence, ou d États conduits par des dictatures (ce qui est parfois la même chose)..

18 LE DESSOUS DES CARTES Recherches et écriture: LEPAC/Mathias Strobel Réalisation: Alain Jomier Graphisme: Pierre-Jean Canac Diffusion sur Arte le à 20:00 Depuis 5 ans, la vente des armes dites conventionnelles (fusils, mitraillettes, missiles, blindés, avions ) est en augmentation. Comment fonctionne ce marché des armes? Selon quelles logiques?

19 Le commerce des armes conventionnelles dans le monde Cette courbe est établie par le SIPRI, un institut de recherche basé à Stockholm. Elle représente les ventes déclarées d armes conventionnelles dans le monde depuis 1987 (en milliards de dollars constants de 1990). On constate d abord une baisse des ventes d armes jusqu au milieu des années 90 : c est la conséquence de la fin de la Guerre Froide. Pendant la Guerre Froide en effet, la logique était d abord stratégique et chaque superpuissance livrait des armes à ses alliés: - les Etats-Unis fournissaient en armes le Japon, la Corée du sud, Israël, le Pakistan, entre autres. - et l URSS fournissait la RDA, la Pologne, l Inde, ou encore le Vietnam.

20 Une hausse des ventes d armes depuis le début des années 2000 Deuxième constat sur la courbe : les ventes d armes repartent à la hausse depuis le début des années Les clients se déterminent davantage maintenant en fonction de leur solvabilité, et beaucoup moins en fonction de logiques stratégiques.

21 Les principaux vendeurs d armes conventionnelle Selon le SIPRI, les principaux pays fournisseurs d armes conventionnelles sur la période sont : - les Etats-Unis, avec 32% des ventes d armes dans le monde, - la Russie, avec 27% du total mondial. - Suivis par l Allemagne et la France, qui sont au coude à coude pour les ventes. - Viennent ensuite le Royaume-Uni, les Pays-Bas, la Suède et la Chine. On constate que très peu de pays concentrent cette offre. Et parmi les plus gros fournisseurs figurent les 5 membres permanents du Conseil de sécurité des Nations Unies : Etats-Unis, Russie, Royaume-Uni, France, et Chine.

22 Les principaux acheteurs d armes conventionnelles Toujours sur la période , les plus grands acheteurs d armes conventionnelles sont la Chine (14% du total mondial) et l Inde (8%). Ces deux Etats achètent surtout des armes russes ; et ils contribuent pour une bonne part au bond de 56 % des achats d armes dans le monde observé depuis Les autres grands acheteurs d équipements militaires conventionnels sont situés dans des zones géopolitiquement sensibles : - la Corée du sud (qui est voisine de la Corée du nord et de la Chine), - la Grèce et la Turquie, qui entretiennent un contentieux sur Chypre, et qui se trouvent aussi près de la région des Balkans et de la région du Moyen-Orient.

23 Le Moyen-Orient, zone de tensions Cette région du Moyen-Orient concentre de nombreux conflits : - guerre Iran-Irak entre 1980 et 88, - guerre du Golfe en 1991, - intervention américaine contre l Irak en 2003, - conflit israélo-palestinien, - guerre entre Israël et le Liban ou plutôt le Hezbollah en 2006, - interventions au Kurdistan. Il y a donc plusieurs guerres ouvertes dans cette région, qui en plus abrite les 2/3 de ressources en pétrole au monde, ce qui offre aux états concernés une capacité financière considérable.

24 Localisation du pétrole et du gaz naturel en Afrique du Nord et en Asie du Sud-Ouest 29/11/

25 De grands pays acheteurs d armes au Moyen-Orient Les Emirats Arabes Unis sont le 3e acheteur mondial d armes conventionnelles depuis L Arabie Saoudite est le 2e pays au monde en dépense d armement par habitant. Ce qui, d ailleurs, ne lui confère pas pour autant un statut de puissance, car elle a dû faire appel aux Etats-Unis en 1991, pour contrer les armées de Saddam Hussein entrant au Koweït et menaçant le Royaume.

26 Le commerce illicite des armes Reste que tous ces chiffres évoqués jusqu ici ne reflètent qu une part de la réalité, car ils ne prennent en compte que le commerce déclaré par les Etats. Or il existe toute une partie du commerce qui est illégal, c est-à-dire les trafics d armes, et qui concerne surtout les armes légères : kalachnikovs, fusils, missiles portables, soit toutes les armes qu un individu seul peut porter Il y aurait aujourd hui quelque 900 millions d'armes légères circulant dans le monde. Ces armes proviennent surtout de stocks existants : - en Russie, Biélorussie, Ukraine, Bulgarie. Ces pays étaient dotés de grosses quantités d armement, devenus inutiles au sortir de la Guerre Froide, et qui donnent lieu depuis à d importants trafics. - d autres armes viennent des Balkans, qui ont connu plusieurs guerres dans la décennie enfin, certains pays comme la Chine, l Egypte,ou encore l Allemagne et la Belgique ont été identifiés comme des sources pour les trafiquants d armes.

27 L importance des armes légères dans les conflits Toutes ces armes sont ensuite vendues dans des régions en crise. L ONU a identifié quelque 49 conflits majeurs au cours des années 90. Or, à l exception de la Guerre du Golfe en 1991, presque tous ces conflits ont été menés avec des armes légères comme principal moyen de combattre, c'est à dire de tuer.

28 L exemple des trafics d armes en Afrique En Afrique notamment, les trafics d armes se sont multipliés depuis les années 90, et ce pour plusieurs raisons : - d abord, certains pays ont, du temps de la Guerre Froide, stocké d importantes quantités d armes, livrées par l URSS ou par les Etats-Unis. - C est le cas par exemple de la Somalie, où après la chute du dictateur Siad Barre en 1991, toutes ces armes sont passées dans les mains de clans somaliens qui s affrontent aujourd'hui.

29 Les conflits entretiennent le trafic d armes Ensuite, de nombreux conflits intra-étatiques ont éclaté depuis vingt ans, et ont renforcé les trafics : - guerre au Rwanda en 1994 ; - guerre civile au long des années 90 au Liberia et en Sierra Leone (financée par le trafic de diamants).

30 La guerre en République Démocratique du Congo Il y a aussi la guerre en République Démocratique du Congo, qui a fait 4 millions de morts entre 1998 et Dans ce pays, les forces gouvernementales ont reçu des armes du Zimbabwe, de Namibie, d Angola tandis que les mouvements d opposition étaient alimentés par l Ouganda et le Rwanda.

31 La guerre du Darfour Aujourd hui, les trafiquants d armes s intéressent au Soudan, à cause de la guerre dans la province du Darfour. En résumé, les armes légères présentent de multiples avantages : - elles sont faciles à transporter et à dissimuler. - Elles ont une longue durée de vie. - Elles ne coûtent que quelques centaines de dollars, - et la demande est très forte. D où l importance des trafics.

32 La convention d Ottawa Quelles sont les solutions pour réguler le commerce des armes conventionnelles? Les mesures prises jusqu ici semblent limitées. Une seule catégorie d armes a fait l objet d une interdiction : ce sont les mines antipersonnelles. La convention d Ottawa, entrée en vigueur en 1999, interdit la production et la vente de mines antipersonnelles, et impose leur destruction. Or, fin 2007, 40 pays n'avaient pas encore ratifié cette convention, dont les Etats-Unis, la Russie, la Chine et l'inde. De plus, cette convention n inclut pas ce qu on appelle les "bombes à sous munition", larguées notamment par les avions de l OTAN au Kosovo, par les Etats-Unis en Irak, ou par Israël au sud Liban en 2006

33 Les autres mesures - L Assemblée générale de l ONU a aussi adopté fin décembre 2005 une déclaration incitant les États à instaurer un traçage des armes de petit calibre, pour limiter le commerce illicite de ces armes. - Ensuite, l ONU, l Union européenne, les Etats-Unis imposent des embargos sur les armes à l encontre de certains Etats. Par exemple la Chine est sous embargo des Etats-Unis et de l Union européenne depuis les massacres de Tien an men en juin 89. Pourtant, de nombreux pays, dont la France, ou Israël (qui est pourtant un proche allié des Etats-Unis), ont procédé à des transferts d armes ou de technologie vers la Chine. Et la Chine elle-même vend des armes à d autres pays frappés d embargo, comme la Birmanie ou le Soudan.

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