AGENDA. i. Aperçu du Burkina Faso: Géographie et Economie. Présentation du secteur de l Agriculture
|
|
- Clotilde Lessard
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1
2 AGENDA i. Aperçu du Burkina Faso: Géographie et Economie ii. Présentation du secteur de l Agriculture iii. Opportunités d'investissement dans le secteur Agricole iv. Faire des affaires au Burkina v. Garanties offertes et mesures incitatives vi. Rôle de l API-BF, l Agence de Promotion des Investissements
3 POSITION GEOGRAPHIQUE UNIQUE LE SEUL PAYS QUI PARTAGE DES FRONTIÈRES AVEC LE PLUS DE PAYS OUEST- AFRICAINS Superficie de km² ( km² pour les Pays Bas) Le Burkina est au milieu du marché ouest-africain avec un accès à 101 millions de personnes à travers l'uemoa, 308 millions à travers la CEDEAO, les Etats Unis (318) et l Union Européenne (738). Burkina Faso (18) Le point de transit commercial entre les pays ouest-africains Membre de l UEMOA et de la CEDEAO
4 Coopération Burkina Faso-Pays Bas Une redynamisation en cours de la coopération entre les deux pays (2 ème bailleur de fonds en 2012) 2changes commerciaux: Produits exportés: l or, le coton, le sésame, la noix et le beurre de karité, les fruits et légumes, le bétail, la volailles, le cuir Produits importés: produits pétroliers, les produits pharmaceutiques, les produits alimentaires, l électroménagers, les biens d équipement et du matériel de télécommunication Acteurs Hollandais Implantés au Burkina: SNV, Unilever (Agro-alimentaire, cosmétique ), SHELL, Friesland West Africa (lait), NION et FRES (énergie solaire), FMO (Burkina Bail), BERA (Bureau d Etudes et de Recherches Appliquées), Burkina Fresh (pomme de terre), Vlisco African Company Burkina (textil), PHILIPS Tel :
5 INDICATEURS MACROECONOMIQUES INDICATEURS VALEUR ANNEE PIB (Banque Mondiale) 11,323 milliards 2015 US PIB par Habitant 631,372 USD 2015 Croissance du PIB 4 % 2014 Taux d inflation 0,5% 2013 Taux de croissance moyen 6% Les investissements étrangers directs, entrées nettes 490 millions US$ 2013 Monnaie (parité fixe avec euro) XOF 1 = 655,957 F CFA Déficit budgétaire 2,5% du PIB 2014 Notation Standard & Poor s B-/B stable Oct, 2015 Parmi les 10 économies africaines qui ont le plus progressé ces dernières années. Au cours des 15 dernières années, le Burkina a dominé la croissance au sein des pays de l'union économique et monétaire ouest africain (UEMOA) avec une croissance annuelle moyenne de 5,5%. (Rapport Banque Mondiale, )
6 QUELQUES REFERENCES 1er pays producteur de coton en Afrique (~ t en 2014/2015), 2ème producteur mondial de coton bio(867 T en 2015) Ier exportateur mondial de mangue séchées 2ème producteur de légumes en Afrique de l Ouest 2 ème exportateur d oignon en Afrique de l Ouest 4ème plus grand pays d'élevage de l'afrique occidentale et centrale 8 ème exportateur mondial de sésame 29 exportateur mondial de mangue avec seulement 2% de la production exportée (principalement vers les Pays-Bas, 43% des exportations) Des conditions météorologiques favorables pour la diversification des cultures (céréales, fruits et légumes, etc.) Le point de transit pour le commerce dans la sous-région Afrique
7 PROFILE ECONOMIQUE DU SECTEUR DE L AGRICULTURE Contribution sur le PIB en 2014: 31,7% (coton, césam, karité et niébé sont les principaux produits d exportation après l or) Les terres cultivables: 9 millions d'ha, seulement 1/3 est cultivé Les ressources en eau non exploitées: l'eau de surface (10 milliards de m3); eau souterraine (113 milliards de m3) Près de 45% de la récolte des fruits et des légumes sont perdus en raison de problèmes de stockage Prédominance de l'élevage traditionnel, l'exportation de bétail vivant Faible taux (<10%) de la transformation de la production locale, malgré une forte demande pour des produits transformés Un code des investissements Agricoles particulièrement avantageux pour encourager les dans le secteur de l agriculture en cours d élaboration ha de terres en cours d aménagement dans les Pôles de croissance destinés à Tel : l Agriculture
8 OPPORTUNITÉS D INVESTISSEMENT INEXPLOITÉES Agriculture et élevage Avec le libre accès à la terre et des milliers d hectares de terres arables, les possibilités abondent dans les chaînes de valeur : L élevage moderne et intensive (, les vaches laitières, les poulets de chaire, les œufs, etc.) La transformation des produits agricoles et d'élevage (fruits, légumes, oléagineux, céréales, viande et produits laitiers) L installation d industries textiles et de cuir La production et la distribution d'engrais et de semences Les équipements pour la mécanisation de l'agriculture et les systèmes d'irrigation économiques La santé animale et la production d aliment pour bétail et la volaille Les services de mise aux normes, de formation et certification BIO La construction et l exploitation d abattoirs frigorifiques Les solutions d'emballage La pissiculture
9 LA BANQUE DE PROJETS L API-BF dispose d une Banque de Projets comprenant vingt six (26) projets Agroindustriels : 11 projets privés : charcuteries modernes, unités de fabrication d emballage, fabrication d engrais, ferme avicoles, etc. 15 projets de partenariat Public Privé: Unité de montage de tracteur, transformation du coton, production d engrais bio, constructions d unités de stockage de produits agricoles Le pays dispose de nombreux pôles de croissance (Bagré, Samandéni, le Sourou, le BAM) offrant de nombreux avantages en plus de ceux du code des investissements. De plus l Agence travaille en partenariat avec des structures telle que 2IE dans le cadre de la promotion de projets innovent incubés et destinés aux fonds spécialisés dans les recherches et le capital risque Tel :
10 COMMENT PENETRER LE MARCHE? Les investisseurs peuvent entrer sur le marché burkinabé en: Etendant leur présence régionale du Ghana, du Niger, du Togo, ou de la Cote d Ivoire au Burkina Faso, du Mali ou du Niger; Mettant en place un projet en solo ou une joint-venture avec des entreprises locales; Postulant pour les appels d offres internationaux: les contrats de construction et d équipements (600 millions US $ / an); Prenant l'initiative de développer leur propre projet en PPP ou en postulant comme partenaire dans des projets du Gouvernement.
11 FAIRE DES AFFAIRES AU BURKINA FASO Seulement 5000 FCFA de capital requis (7,5 euros) 24 à 72 heures pour enregistrer votre entreprise (SA ou SARL) Bénéficier des avantages préférentiels du code agricole (en cours) et du Code des investissements dans les 30 jours (pour des investissements de plus de euros) Possibilité d employer du personnel étranger Etre propriétaire à 100% d une terre est possible pour les locaux et les étrangers Vos revenus peuvent être rapatriés sans contraintes Le Gouvernement est engagé via l'api-bf et le Conseil présidentiel pour
12 PERIODE INVESTISSEMENT Pour les 4 régimes Régime A : Investissements > 100 millions < 500 millions FCFA hors taxes et hors fonds de roulement, entrainant la création d au moins 20 emplois permanents. MESURES INCITATIVES AU BURKINA AVANTAGES FASO (CODE DES INVESTISSEMENTS) Droits de douane : Acquittement du droit de douane de la catégorie 1 du tarif des douanes au taux de 5% sur les équipem d exploitation et le premier lot de pièces de rechange les accompagnant ; TVA : Exonération pour les entreprises nouvelles, de la TVA exigible sur les équipements d exploitation et le premier pièces de rechange ; Exonération pour les entreprises nouvelles, de la TVA exigible sur les équipements d exploitation fabr localement ; En cas d extension, le remboursement du crédit de TVA dont dispose l entreprise à l issue d une périod déclaration dans la limite de la TVA acquittée sur les équipements d exploitation et le premier lot de pièce rechange les accompagnement ; Dans le cadre d un contrat de crédit bail assorti de transfert des avantages fiscaux, les loyers des biens mentionnés sont exonérés de TVA. Impôt sur les bénéfices : Report des reliquats de déficits successivement jusqu au 3ème exercice après le terme des reports déficitaires auto la législation en vigueur (soit 7 ans au total) ; Pour les entreprises nouvelles et les projets d extension agréés, déduction d une partie des investissements fixée pa représentant 50% du montant des investissements retenus sans excéder 50% du bénéfice imposable. Ces déduc peuvent s étaler que sur 6 exercices fiscaux successifs au terme desquels, le reliquat du crédit d impôt autorisé imputé n est ni imputable, ni remboursable. Patente : Exonération du droit proportionnel de la patente pendant 6 ans Taxe patronale et d apprentissage (TPA): Exonération totale pendant 6 ans de la TPA
13 PERIODE EXPLOITATION Régime B : Investissements > 500 millions < 2 milliards F CFA hors taxes et hors fonds de roulement, entrainant la création d au moins 30 emplois permanents. Régime C Investissements > 2 milliards FCFA hors taxes et hors fonds de roulement, entrainant la création d au moins 40 emplois permanents. AVANTAGES (CODE DES INVESTISSEMENTS) Impôt sur les bénéfices : Report des reliquats de déficits successivement jusqu au 3ème exercice après le terme des reports déficitaire par la législation en vigueur (soit 7 ans au total) ; Pour les entreprises nouvelles et les projets d extension agréés, déduction d une partie des investissement décrets représentant 50% du montant des investissements retenus sans excéder 50% du bénéfice impo déductions ne peuvent s étaler que sur 6 exercices fiscaux successifs au terme desquels, le reliquat du cré autorisé et non imputé n est ni imputable, ni remboursable. Patente : Exonération du droit proportionnel pendant 6 ans Taxe patronale et d apprentissage (TPA): Exonération totale pendant 6 ans de la TPA Impôt sur les bénéfices : Report des reliquats de déficits successivement jusqu au 4 ème exercice après le terme des reports déficitaires auto législation en vigueur (soit 8 ans au total); Pour les entreprises nouvelles et les projets d extension agréés, déduction d une partie des investissements fixés représentant 50% du montant des investissements retenus sans excéder 50% du bénéfice imposable. Ces déductions s étaler que sur 7 exercices fiscaux successifs au terme desquels, le reliquat du crédit d impôt autorisé et non imp imputable, ni remboursable. Patente : Exonération du droit proportionnel pendant 7 ans Taxe patronale et d apprentissage (TPA): Exonération totale pendant 7 ans de la TPA
14 PERIODE EXPLOITATION Régime D : Investissements > 1 milliards FCFA hors taxes et hors fonds de roulement, entrainant la création d au moins 30 emplois permanents et dont la production destinée à l exportation est > à 80%. ispositions spécifiques AVANTAGES (CODE DES INVESTISSEMENTS) Impôt sur les bénéfices : Report des reliquats de déficits successivement jusqu au 4ème exercice après le terme des reports déficitaires autorisés par la législation en vigueur (soit 8 ans au total); Pour les entreprises nouvelles et les projets d extension agréés, déduction d une partie des investissements fixés par décrets représentant 50% du montant des investissements retenus sans excéder 50% du bénéfice imposable. Ces déductions ne peuvent s étaler que sur 7 exercices fiscaux successifs au terme desquels, le reliquat du crédit d impôt autorisé et non imputé n est ni imputable, ni remboursable. Patente : Exonération du droit proportionnel pendant 6 ans Taxe patronale et d apprentissage (TPA): Exonération totale pendant 6 ans de la TPA Pour les entreprises réalisant des investissements dans une localité située à 50 kilomètres au moins de urbains de Ouagadougou et Bobo Dioulasso : une prorogation de 3 ans des avantages afférents à leur régime ; l exonération totale des droits de mutation à titre onéreux pour toutes les acquisitions immobilières effectuée cadre de l investissement ; Les mêmes avantages sont accordés aux entreprises des secteurs de l agriculture, de l élevag sylviculture et de la pisciculture. Pour ces entreprises, les critères de seuil d investissement et de création d emplois sont réduits au 1/4.
15 MESURES INCITATIVES Les droits et garanties accordés aux investisseurs Le droit à une protection identique à celles des nationaux au profit des investisseurs étrangers La liberté de transférer des fonds et des revenus; La Liberté de faire des opérations de change; Libre accès aux devises au taux du marché; Liberté de convertir librement la monnaie locale et d'autres devises; La faculté d acquérir les droits de toute nature utiles à l exercice de vos activités; Liberté de développement des affaires pour tous les investisseurs; 15
16 ROLE DE l API-BF API-BF est la porte d entrée des investisseurs au Burkina Faso et leur point de contact principal. Son rôle est de: Accueillir et assister les investisseurs au Burkina Faso Organiser et animer des réunions avec les organismes gouvernementaux pertinents et les entrepreneurs locaux Négocier des mesures d'incitation spéciales pour les projets d'investissement Fournir une assistance rapide aux investisseurs, où ils rencontrent des problèmes (dans le cadre du Conseil présidentiel pour l'investissement)
17 MERCI D INVESTIR AU «BURKINA FASO, KM² d Opportunités»
L Assurance agricole au Sénégal
COLLOQUE FARM - Pluriagri : Assurer la production agricole Comment faire des systèmes assurantiels des outils de développement? 1 Paris, le 18 décembre 2012 Thème L Assurance agricole au Sénégal Un système
Plus en détailAVANT-PROPOS. Directeur de la Division de la statistique de la FAO
AVANT-PROPOS L Annuaire statistique de la FAO fournit une sélection d indicateurs par pays sur l alimentation et l agriculture. Les données proviennent de FAOSTAT, la base de données statistique de l Organisation
Plus en détailla solution AAFEX aux problèmes de financement des entreprises exportatrices du secteur agricole et agroalimentaire
la solution AAFEX aux problèmes de financement des entreprises exportatrices du secteur agricole et agroalimentaire HISTORIQUE Le Centre pour le Développement des Exportations Africaines CEDEXA S.A. CEDEXA
Plus en détailREPUBLIQUE TOGOLAISE. Travail Liberate Patria MINISTERE DE L AGRICULTURE, DE L ELEVAGE ET DE LA PECHE -PNIASA - PLAN D ACTION DU VOLET NUTRITION
REPUBLIQUE TOGOLAISE Travail Liberate Patria MINISTERE DE L AGRICULTURE, DE L ELEVAGE ET DE LA PECHE PROGRAMME NATIONAL D INVESTISSEMENT AGRICOLE ET DE SECURITE ALIMENTAIRE -PNIASA - PLAN D ACTION DU VOLET
Plus en détailPLAN R E V A RETOUR VERS L AGRICULTURE
REPUBLIQUE DU SENEGAL Un Peuple Un But Une Foi ------------ MINISTERE DE L AGRICULTURE, DE L HYDRAULIQUE RURALE ET DE LA SECURITE ALIMENTAIRE ------------ NOUVELLE ORIENTATION DE LA POLITIQUE AGRICOLE
Plus en détailR y o aume aume du du Maroc Mar Mai 2009
Royaume du Maroc PLAN MAROC VERT Mai 2009 ENJEUX Enjeux économiques Contribue pour 19 % du PIB national 15% production 4% Agro industrie Rôle capital dans la stabilité macro économique Enjeux sociaux Emploie
Plus en détailméthodologiquem Quelques précautions
Atelier régional r méthodologiquem «Les prix de parité à l importation du riz et du maïs s en Afrique de l Ouestl» Quelques précautions Calculer des prix de parité en se basant sur les prix et les coûts
Plus en détailETUDE SUR LA FISCALITÉ SUPPORTÉE PAR
BANQUE CENTRALE DES ETATS DE L AFRIQUE DE L OUEST (BCEAO) Avenue Abdoulaye FADIGA BP 3108 Dakar - Sénégal ETUDE SUR LA FISCALITÉ SUPPORTÉE PAR LES SYSTÈMES FINANCIERS DÉCENTRALISÉS DE L UEMOA RAPPORT DE
Plus en détailLes Tarifs Extérieurs Communs de la CEDEAO et leurs conséquences sur APE. Bio Goura SOULE LARES Cotonou
Les Tarifs Extérieurs Communs de la CEDEAO et leurs conséquences sur l intégration régionale r et la négociation n des APE Bio Goura SOULE LARES Cotonou Plan de la présentation Le contexte généralg La
Plus en détailQU'EST-CE QUE LA ZONE FRANC?
QU'EST-CE QUE LA ZONE FRANC? BURKINA FASO MALI NIGER TCHAD SENEGAL GUINEE-BISSAU RCA COTE-D'IVOIRE TOGO BENIN CAMEROUN GUINEE EQUAT. GABON CONGO Comores Les pays de la Zone Franc UEMOA CEMAC Comores France
Plus en détailCONGRES INTERNATIONAL SUR L ASSURANCE ET LA RÉASSURANCE DES RISQUES AGRICOLES. Partenariat Public Privé dans l Assurance Agricole
CONGRES INTERNATIONAL SUR L ASSURANCE ET LA RÉASSURANCE DES RISQUES AGRICOLES 1 Marrakech -29, 30 et 31janvier 2014 Session 2 Partenariat Public Privé dans l Assurance Agricole L expérience de la Compagnie
Plus en détailRencontres Gouvernement Secteur Privé 2013 Actualité Juridique 2012-2013
Présenté par : Pierre ABADIE Auteur d ouvrages juridiques Expert comptable Conseil juridique pierre@abadie.bf 1 Impôt sur les sociétés (IS) : suppression de la limite de déductibilité des rémunérations
Plus en détailFiscalité des médicaments, consommables et équipements médicaux dans les pays membres de l UEMOA
Fiscalité des médicaments, consommables et équipements médicaux dans les pays membres de l UEMOA Dr Amadou Moctar MBAYE & Gérard FOULON Direction santé - Département du Développement Social 2ème Colloque
Plus en détailL agriculture luxembourgeoise en chiffres 2013
L agriculture luxembourgeoise en chiffres 2013 (données disponibles au 1 ier avril 2013) MINISTERE DE L AGRICULTURE, DE LA VITICULTURE ET DU DEVELOPPEMENT RURAL SERVICE D ECONOMIE RURALE L agriculture
Plus en détailINCITATIONS FISCALES EN AFRIQUE DE L'OUEST
4 INCITATIONS FISCALES EN AFRIQUE DE L'OUEST Cette partie du rapport procède à une brève analyse d'une autre opportunité manquée d'accroître la base fiscale dans l'espace CEDEAO : les avantages fiscaux.
Plus en détailDéfinition des variables présentées dans le RICA
Les termes en gras italique sont définis par ailleurs dans le lexique. Les termes en italique désignent des variables explicitement recueillies dans le Rica. A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V
Plus en détailContribution à l introduction :
Atelier «Bridge Initiative international» L espace des politiques agricoles entre les logiques de la mondialisation et les objectifs de développement Dakar, les 9 et 10 Juin 2005 Contribution à l introduction
Plus en détailPour une meilleure adéquation emploi / formation dans le secteur agroalimentaire au Burkina Faso
MINISTERE DES ENSEIGNEMENTS SECONDAIRE ET SUPERIEUR BURKINA FASO -------------------------- Unité - Progrès - Justice Pour une meilleure adéquation emploi / formation dans le secteur agroalimentaire au
Plus en détail«L énergie la moins chère et la moins polluante est celle qu on ne consomme pas»
Énergie «L énergie la moins chère et la moins polluante est celle qu on ne consomme pas» La première fonction de l agriculture est la valorisation de l énergie solaire en énergie alimentaire par la photosynthèse.
Plus en détailSECRETARIAT GENERAL * COMMISSION EUROPEENNE PREPARATION D UN ACCORD DE PARTENARIAT ECONOMIQUE UNION EUROPEENNE AFRIQUE DE L OUEST
SECRETARIAT GENERAL * COMMISSION EUROPEENNE DES ETATS ACP UNITE DE GESTION DES APE PREPARATION D UN ACCORD DE PARTENARIAT ECONOMIQUE UNION EUROPEENNE AFRIQUE DE L OUEST Contrat n 8 ACP TPS 110 «Renforcement
Plus en détailPlan. I) Mise en contexte II) Diagnostic III) Les sources de financement IV) Orientation de la politique fiscale V)Conclusion
Plan I) Mise en contexte II) Diagnostic III) Les sources de financement IV) Orientation de la politique fiscale V)Conclusion 2 I)Mise en contexte Les politiques de développement axées sur la réduction
Plus en détailMINISTERE DE L'AGRICULTURE DE L AGROALIMENTAIRE ET DE LA FORÊT (articles L361-1à 21 et D361-1 à R361-37 du Code rural)
MINISTERE DE L'AGRICULTURE DE L AGROALIMENTAIRE ET DE LA FORÊT (articles L3611à 21 et D3611 à R36137 du Code rural) DEMANDE D INDEMNISATION DES PERTES PROCEDURE DES CALAMITES AGRICOLES PERTES DE RECOLTE
Plus en détailAgricultures paysannes, mondialisation et développement agricole durable
Agricultures paysannes, mondialisation et développement agricole durable Marcel MAZOYER professeur à La Paz juillet 2 007 Contenu 1. Une situation agricole et alimentaire mondiale inacceptable 2. Développement
Plus en détailPopulation : 20.3 millions Taux de croissance PIB: 9,4% (2013)
Disclaimer : Cette fiche pays ne constitue qu un outil de base destiné à présenter aux lecteurs une synthèse globale des régimes juridiques et fiscaux des entreprises d investissement à capital fixe. Elle
Plus en détailMauvaise informa.on agricole = Cycle de pauvreté Producteurs. Commerçants. Gouvernements. Transformateurs
Mauvaise informa.on agricole = Cycle de pauvreté Producteurs Ne savent pas : Que planter? Où bien vendre? Comment vendre? Transformateurs Ne peuvent pas bien : Prévoir leurs appro. (stocks?) Planifier
Plus en détailRéunion d experts Financement du développement en Afrique du Nord Rabat, Maroc, 19-21 octobre 2010
CEA-AN/AH/FD/10/3 Nations Unies Commission économique pour l Afrique Bureau pour l Afrique du Nord Réunion d experts Financement du développement en Afrique du Nord Rabat, Maroc, 19-21 octobre 2010 LE
Plus en détailCURRICULUM VITAE. 26 mai 1963 à Diourbel (Sénégal) Directeur Général de GMC www.gmcconseils.com
CURRICULUM VITAE NOM GAYE PRENOM Magaye NE LE 26 mai 1963 à Diourbel (Sénégal) NATIONALITE Sénégalaise SITUATION DE FAMILLE Marié ADRESSE Cices foire n 232 Dakar Sénégal TELEPHONE Bureau 221 77 245 07
Plus en détailOffre et demande potentielle ECOWAS STDF 13/ OIE/ FAO/ CIRAD
Offre et demande potentielle ECOWAS STDF 13/ OIE/ FAO/ CIRAD Plan 1. Offre et demande potentielle dans la zone ECOWAS 2. Offre potentielle au Mali 3. Marché au nord du Mali (Gao Algérie) 4. Estimation
Plus en détailZones franches et places financières offshore au Maroc
Zones franches et places financières offshore au Maroc Actualisation au 1 mai 2002 MINEFI DREE/TRÉSOR Soucieux de consolider sa politique d ouverture commerciale, d améliorer ses capacités d exportation
Plus en détailInstitut National de la Statistique - Annuaire Statistique du Cameroun 2010. Chapitre 26 : LE CAMEROUN DANS LA ZONE CEMAC
Institut National de la Statistique - Annuaire Statistique du Cameroun 2010 Chapitre 26 : LE CAMEROUN DANS LA ZONE CEMAC 1. Présentation... 328 2. Méthodologie... 328 3. Définitions... 328 4. Sources de
Plus en détailGECA GLOBAL CONSULTING suarl 76, Avenue Habib Bourghiba App. A1-1 2080 Ariana - TUNISIA MF: 1260762R/A/M/000
GECA GLOBAL CONSULTING suarl 76, Avenue Habib Bourghiba App. A1-1 2080 Ariana - TUNISIA MF: 1260762R/A/M/000 GECA Global Consulting est une société de consultation internationale, constituée à Tunis. Cette
Plus en détailPrésenté par OUEDRAOGO Adolphe Chef de Brigade de la CIMA. DAKAR, les 3-4 et 5 novembre 2009
EXPERIENCE SENEGALAISE DE LA MICROASSURANCE: DEFIS ET OPPORTUNITES Présenté par OUEDRAOGO Adolphe Chef de Brigade de la CIMA DAKAR, les 3-4 et 5 novembre 2009 2 INTRODUCTION Le thème sera abordé en cinq
Plus en détailSUBVENTIONS. Notifications conformément à l'article XVI: 1 TURQUIE
ACCORD GENERAL SUR LES TARIFS DOUANIERS ET LE COMMERCE RESTRICTED L/7162/Add.l8 6 mai 1994 Distribution limitée (94-0829) Original: anglais SUBVENTIONS Notifications conformément à l'article XVI: 1 TURQUIE
Plus en détailBALANCE COMMERCIALE ET COMMERCE EXTERIEUR DU
MINISTERE DE L INDUSTRIE, DU COMMERCE ET DE L ARTISANAT -------------------- SECRETARIAT GENERAL ------------- DIRECTION GENERALE DU COMMERCE EXTERIEUR --------- BURKINA FASO UNITE-PROGRES-JUSTICE BALANCE
Plus en détailRevenu agricole 2013 : une année délicate pour les productions céréalières
Agreste Champagne-Ardenne n 4 - Juillet 2015 Réseau d information comptable agricole En 2013, le Résultat Courant Avant Impôt (RCAI) moyen des exploitations agricoles champardennaises couvertes par le
Plus en détailDUXTON ASSET MANAGEMENT
DUXTON ASSET MANAGEMENT Afrique : Un élément clef dans un (ou environnement) agricole global et diversifié Point de vue des investisseurs sur les potentialités de l agriculture africaine et problèmes à
Plus en détailL industrie Agroalimentaire dans l UEMOA Panorama, Problématiques, Enjeux et Perspectives
Panorama, Problématiques, Enjeux et Perspectives Publication PMC Juillet 2008 Performances Management Consulting est une société de conseil en management stratégique, créée en 1995 par des consultants
Plus en détailUTILISATION CONTEMPORAINE DU CHEVAL DE TRAIT
Le cheval, UTILISATION CONTEMPORAINE DU CHEVAL DE TRAIT un moteur d insertion écologique, durable, économique, créatif... Une énergie renouvelable. Un brin d Histoire... Les années de Gloire et le déclin.
Plus en détailL Equilibre Macroéconomique en Economie Ouverte
L Equilibre Macroéconomique en Economie Ouverte Partie 3: L Equilibre Macroéconomique en Economie Ouverte On abandonne l hypothèse d économie fermée Les échanges économiques entre pays: importants, en
Plus en détailAdaptation Aux changements climatiques. Agriculture et sécurité alimentaire: Cas du Burkina Faso
Adaptation Aux changements climatiques Agriculture et sécurité alimentaire: Cas du Burkina Faso Sommaire Le Le contexte Notion Notion d adaptation Stratégies Stratégies et techniques d adaptation Les Les
Plus en détailAgricultural Policies in OECD Countries: Monitoring and Evaluation 2005. Les politiques agricoles des pays de l OCDE: Suivi et évaluation 2005.
Agricultural Policies in OECD Countries: Monitoring and Evaluation 2005 Summary in French Les politiques agricoles des pays de l OCDE: Suivi et évaluation 2005 Résumé Le soutien accordé aux producteurs
Plus en détailPACTE VERT. Une banque au cœur de Maroc Vert
PACTE VERT Une banque au cœur de Maroc Vert CULTIVONS VOTRE COMPÉTITIVITÉ UNE PRIORITÉ NATIONALE ACCOMPAGNÉE PAR LE GROUPE ATTIJARIWAFA BANK Le secteur agricole marocain s est vu assigner une place prioritaire
Plus en détailUNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE ------------ La Commission ------------
UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE ------------ La Commission ------------ Mars 2014 Table des matières Sigles et abréviations...3 Avant-propos...6 1. INTRODUCTION...9 2. METHODOLOGIE... 10
Plus en détailLes avantages de la charte de l investissement
Les avantages de la charte de l investissement La charte de l investissement a pour objectif de fixer l action de l Etat en matière de promotion des investissements pour les dix années à venir. Elle remplace
Plus en détailPrésenté par Jean Claude Ngbwa, Secrétaire Général de la CIMA. DAKAR, les 3-4 et 5 novembre 2009
PERSPECTIVES DES MARCHES D ASSURANCES AFRICAINS Présenté par Jean Claude Ngbwa, Secrétaire Général de la CIMA DAKAR, les 3-4 et 5 novembre 2009 2 INTRODUCTION Le thème qui nous a été confié porte sur les
Plus en détailRépublique de Côte d Ivoire NOTE D INFORMATION UN INSTRUMENT PROFESSIONNEL AU CŒUR DU DEVELOPPEMENT AGRICOLE ET DES FILIERES DE PRODUCTION
République de Côte d Ivoire NOTE D INFORMATION UN INSTRUMENT PROFESSIONNEL AU CŒUR DU DEVELOPPEMENT AGRICOLE ET DES FILIERES DE PRODUCTION Investir pour le futur Anticiper - Innover 01 BP 3726 ABIDJAN
Plus en détailFiche de renseignements accompagnant la demande de permis de construire en zone agricole dans le Haut-Rhin
Nom - Prénom (ou Nom de la société) : Adresse permanente : Téléphone : Email : Date de naissance: Statut juridique : s exploitation individuelle s GAEC s EARL s Autre (à préciser) Nom et Prénom du Chef
Plus en détailPour une meilleure santé
Pour une meilleure santé LA CONSOMMATION QUOTIDIENNE DE VIANDE APPORTE DES GRAISSES SATURÉES. => AUGMENTATION TAUX DE CHOLESTÉROL ET MALADIES CARDIO-VASCULAIRES. => RISQUE DE SURPOIDS ET D'OBÉSITÉ. LES
Plus en détailAgroalimentaire. invest in. Charte Graphique Nexa. Reunion
Agroalimentaire invest in Charte Graphique Nexa Reunion Edition 2013 Bonnes bonnes raisons de choisir la La Réunion 1 l EuroPE Au CoEur de l océan INdIEN # Unique région française et européenne de l hémisphère
Plus en détailPlateformes d Innovation (PI) de la Chaine de Valeur Agricole
Recherche Agricole Intégrée pour le Développement (IAR4D) Système d Innovation: Plateformes d Innovation (PI) de la Chaine de Valeur Agricole CORAF/WECARD Executive Secretariat 7, Avenue Bourguiba, BP
Plus en détailGUIDE PRATIQUE des opérateurs privés. Edition 2014 BANQUE OUEST AFRICAINE DE DÉVELOPPEMENT
GUIDE PRATIQUE des opérateurs privés Edition 2014 BANQUE OUEST AFRICAINE DE DÉVELOPPEMENT BOAD - Guide pratique GUIDE PRATIQUE DESTINE AUX OPERATEURS ECONOMIQUES PRIVES 1. PRESENTATION La Banque Ouest
Plus en détailDétail des cultures de l'exploitation en 2007
République et Canton de Genève Département des finances Administration fiscale cantonale Formulaire annexe à la déclaration 2007 servant à déterminer le revenu et la fortune professionnels de l'agriculture
Plus en détailAk k a Ai t El Mekki. E c o l e n a t i o n a l e d A g r i c u l t u r e d e M e k n e s
Les Monographies du CIHEAM Edition 2008 L agriculture, l agro-alimentaire, la pêche et le développement rural Ak k a Ai t El Mekki E c o l e n a t i o n a l e d A g r i c u l t u r e d e M e k n e s Cette
Plus en détailLe cadre juridique et fiscal des relations d affaires franco-africaines: un atout pour les entrepreneurs?
Le cadre juridique et fiscal des relations d affaires franco-africaines: un atout pour les entrepreneurs? Me Pierre MARLY Avocat CMS Bureau Francis Lefebvre E-mail : pierre.marly@cms-bfl.com 1 - Le cadre
Plus en détailFRAMEWORK CONVENTION ON CLIMATE CHANGE - Secretariat CONVENTION - CADRE SUR LES CHANGEMENTS CLIMATIQUES - Secrétariat
UNITED NATIONS NATIONS UNIES FRAMEWORK CONVENTION ON CLIMATE CHANGE - Secretariat CONVENTION - CADRE SUR LES CHANGEMENTS CLIMATIQUES - Secrétariat Atelier de formation à la mise en oeuvre des programmes
Plus en détailLe FMI et son rôle en Afrique
Le FMI et son rôle en Afrique M a r k P l a n t, V a l e r i a F i c h e r a, N o r b e r t F u n k e D a k a r, l e 3 n o v e m b r e 2 0 1 0 Sommaire Comment fonctionne le FMI? Comment l Afrique a-t-elle
Plus en détailL AGROALIMENTAIRE DANS BROME-MISSISQUOI C EST: 124 ENTREPRISES PLUS DE 1000 EMPLOIS
FOCUS AGROALIMENTAIRE BROME-MISSISQUOI 2011 L AGROALIMENTAIRE DANS BROME-MISSISQUOI C EST: 124 ENTREPRISES UN CHIFFRE D AFFAIRE ANNUEL DE PRÈS DE 67MILLIONS PLUS DE 1000 EMPLOIS La transformation agroalimentaire
Plus en détailNOTE TRIMESTRIELLE SUR LES STATISTIQUES DU COMMERCE EXTÉRIEUR
Institut National de la Statistique et de la Démographie NOTE TRIMESTRIELLE SUR LES STATISTIQUES DU COMMERCE EXTÉRIEUR Deuxième trimestre 2014 Août 2014 INSD, Avenue Pascal ZAGRE, Ouaga 2000, 01 BP 374
Plus en détailPLAN D'ACTION POUR UNE GESTION APAISEE DE LA TRANSHUMANCE TRANSFRONTALIERE ENTRE LE SAHEL ET LA COTE
1 PLAN D'ACTION POUR UNE GESTION APAISEE DE LA TRANSHUMANCE TRANSFRONTALIERE ENTRE LE SAHEL ET LA COTE 1. LE RENFORCEMENT DE LA COMPLEMENTARITE DES ACTIVITES AGRICOLES ET D'ELEVAGE, UN LEVIER VITAL POUR
Plus en détailBachelors Technologiques
Bachelors Technologiques Mines et Carrières - Gestion et Maintenance de Parc de Matériels de Travaux Publics - QHSE Qualité Hygiène Sécurité Environnement www.2ie-edu.org Institut International d Ingénierie
Plus en détail23 ème Edition de la Commission des Statistiques Agricoles pour l Afrique (AFCAS)
23 ème Edition de la Commission des Statistiques Agricoles pour l Afrique (AFCAS) Rabat (Maroc) du 04 au 07 décembre 2013 PLAN DE PRÉSENTATION (1/2) La description du 4 ème RNA; La méthodologie utilisée;
Plus en détailINVESTIR AU TCHAD. Le Tchad est un pays d agriculture et d élevage, un pays dont le peuple est laborieux, un pays dont le sous sol est promoteur.
INVESTIR AU TCHAD POURQUOI INVESTIR AU TCHAD Des Potentialités Economiques Enormes Un Environnement Politique et Economique Favorable Une Activité Economique Réglementée Un Cadre Indicatif Favorable. DES
Plus en détailLE RENFORCEMENT DES CAPACITÉS DES ACTEURS DES FILIÈRES AGRICOLES: L EXPERIENCE DU PROJET MISTOWA. Plan
LE RENFORCEMENT DES CAPACITÉS DES ACTEURS DES FILIÈRES AGRICOLES: L EXPERIENCE DU PROJET MISTOWA Plan Le Projet MISTOWA Activités et Outils Quelques résultats Leçons et recommandations MISTOWA En Bref
Plus en détailCARACTERISTIQUES DU SYSTEME FISCAL NIGERIEN :
Niamey, le Affaire suivie par : Kamayé Amadou CARACTERISTIQUES DU SYSTEME FISCAL NIGERIEN : Le système fiscal nigérien est fondamentalement déclaratif. Il est constitué d impôts de diverses natures que
Plus en détailDocteur Bendeddouche Badis Ministère de l Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique Directeur EP SNV
Docteur Bendeddouche Badis Ministère de l Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique Directeur EP SNV 1 CONTEXTE EN ALGERIE Recrudescence des TIA HACCP obligatoire depuis 2010 Mise à niveau
Plus en détailFoire aux Savoirs CONSOLIDER LA RESILIENCE A L INSECURITE ALIMENTAIRE ET NUTRITIONNELLE AU SAHEL ET EN AFRIQUE DE L OUEST
Foire aux Savoirs CONSOLIDER LA RESILIENCE A L INSECURITE ALIMENTAIRE ET NUTRITIONNELLE AU SAHEL ET EN AFRIQUE DE L OUEST Ouagadougou/Burkina Faso, du 05 au 07 novembre 2013 1. Introduction Au Sahel, environ
Plus en détailRESUME ENTREPRISE FRANCHE D EXPORTATION ET DISPOSITIFS INCITATIFS DU CGI
RESUME ENTREPRISE FRANCHE D EXPORTATION ET DISPOSITIFS INCITATIFS DU CGI Révision : 26/02/13 Impression : 23/04/13 RESUME ENTREPRISE FRANCHE D EXPORTATON ET DISPOSITIFS INCITATIFS DU CGI Révision : 26/02/13
Plus en détailPRESENTATION DES PROGRAMMES
REPUBLIQUE DE CÔTE D IVOIRE UNION DISCIPLINE - TRAVAIL PROGRAMME NATIONAL D INVESTISSEMENT AGRICOLE (PNIA 2010 2015) PRESENTATION DES PROGRAMMES ((Documentt proviissoiire)) Mai 2010 Table des matières
Plus en détailComment développer les métiers agroalimentaires en Afrique subsaharienne? Extraits d étude
Note d information / Politiques agricoles n 13 Comment développer les métiers agroalimentaires en Afrique subsaharienne? Extraits d étude 27 mai 2013 / Sélection par l équipe technique RECA RECA Réseau
Plus en détailL intérêt technico-économique. avec simulations à l'appui
L intérêt technico-économique Titre de du l'engraissement diaporama des mâles avec simulations à l'appui Christèle PINEAU Institut de l'elevage Christele.Pineau@idele.fr Matthieu COUFFIGNAL ARVALIS, Institut
Plus en détailStratégie du Développement du Gouvernorat de Béja
et de la Planification Stratégie du Développement du Gouvernorat de Béja Entrer 1 Sommaire I - Ressources II - Opportunités III - Filières Economiques 2 I - Ressources oressources naturelles: Des terres
Plus en détailCOMMUNIQUE DU DEPARTEMENT DU COMMERCE EXTERIEUR *** AVIS AUX IMPORTATEURS N 04/13
Royaume du Maroc Ministère de l Industrie, du Commerce et des Nouvelles Technologies Département du Commerce Extérieur Direction de la Politique des Echanges Commerciaux COMMUNIQUE DU DEPARTEMENT DU COMMERCE
Plus en détailExemples de projets financés par l Union européenne et les Etats membres dans le cadre du Partenariat UE-Afrique sur le coton
Exemples de projets financés par l Union européenne et les Etats membres dans le cadre du Partenariat UE-Afrique sur le coton Michaela Dodini, Délégation UE Plan de la Présentation I. Brefs rappels sur
Plus en détailwww.droit-afrique.com concessionnaire, le permissionnaire ou l amodiataire déclare avoir produites au cours du mois précédent.
concessionnaire, le permissionnaire ou l amodiataire déclare avoir produites au cours du mois précédent. Pour permettre l établissement des états de liquidation, une déclaration signée, affirmée sincère
Plus en détailI - CHAMP D'APPLICATION DU CODE DES INVESTISSEMENTS
Les différents régimes proposés par ce Code seront ensuite analysés séparément, avec leurs spécificités respectives (IV). En dernier lieu, le statut des Zones Franches Industrielles fera l'objet d'une
Plus en détailAgence de publicité BOOK 2015. www.lordibra.net
Agence de publicité BOOK 2015 P O R T F O L I O www.lordibra.net Qui sommes-nous? Spécialiste en création graphique et multimédia, Lordibra est une agence de publicité constituée de jeunes talents spécialisés
Plus en détailLes effets d une contrainte de crédit sur la convergence économique : Le cas des pays de l UEMOA
Les effets d une contrainte de crédit sur la convergence économique : Le cas des pays de l UEMOA Auteurs : Abdoulaye DIAGNE et Abdou-Aziz NIANG Introduction Ceci devrait contribuer à réduire l écart entre
Plus en détailPROCEDURE DES CALAMITES AGRICOLES ANNEE 2012
MINISTÈRE DE L'AGRICULTURE, DE L'AGRO-ALIMENTAIRE ET DE LA FORET (articles L361 1 à 21 et D361 1 à R361 37 du Code rural) DEMANDE D INDEMNISATION DES PERTES DE RECOLTE SUR LES POMMES A COUTEAU ET LES POMMES
Plus en détailTHEME 5: CONDITIONS DE VIABILITE FINANCIERE DE LA MICROFINANCE AGRICOLE
RESEAU DES CAISSES POPULAIRES DU BURKINA ********************************* Fédération des Caisses Populaires du Burkina (F.C.P.B.) Tél.: 50.30.48.41, Fax : 50.30.49.10 ; E-mail : fcpb@fasonet.bf ; Adresse
Plus en détailLE RÉSEAU INTERNATIONAL D IMPLANTATION D ENTREPRISES. Philippe CHAMPEMOND Directeur Adjoint Erai Chine S IMPLANTER EN CHINE STRATEGIES & SOLUTIONS
LE RÉSEAU INTERNATIONAL D IMPLANTATION D ENTREPRISES Philippe CHAMPEMOND Directeur Adjoint Erai Chine S IMPLANTER EN CHINE STRATEGIES & SOLUTIONS PEKIN TOKYO SHANGHAI NEW DELHI AHMEDABAD BANGALORE SHENZHEN
Plus en détailBULLETIN OFFICIEL DES DOUANES ET DES IMPOTS NOTE COMMUNE N 24/2007 R E S U M E. Aménagement des taux de la taxe sur la valeur ajoutée
BULLETIN OFFICIEL DES DOUANES ET DES IMPOTS DIFFUSION GENERALE Documents Administratifs N 2007/05/18 0.1.0.0.1.2. (IMPOTS) Texte n DGI 2007/35 NOTE COMMUNE N 24/2007 O B J E T : Commentaire des dispositions
Plus en détailPJ 28/12. 7 février 2012 Original : anglais. Comité des projets/ Conseil international du Café 5 8 mars 2012 Londres, Royaume Uni
PJ 28/12 7 février 2012 Original : anglais F Comité des projets/ Conseil international du Café 5 8 mars 2012 Londres, Royaume Uni Encourager l intensification de la production caféière et vivrière au moyen
Plus en détailRepublique du Burkina Faso Rapport de pré diagnostic des filières Bétail Viande et sésame. Consultante : Félicité TRAORE
Republique du Burkina Faso Rapport de pré diagnostic des filières Bétail Viande et sésame Consultante : Félicité TRAORE Mai 2012 1 Tables des matières SIGLES ET ABREVIATIONS 4 INTRODUCTION 6 I- Généralités
Plus en détailPROTECTION DE PRODUITS EN IG
PROTECTION DE PRODUITS EN IG Ousman ABDOU Ingénieur Agrométéorologue Expert de l Agriculture en IG Point focal IG/OAPI Direction Générale de l Agriculture Tel: (00227) 90 34 09 28 Email: ous_ab@yahoo.fr
Plus en détailLa situation générale des opérations de transport sur les corridors de la Communauté Economique Des Etats de l Afrique de l Ouest (CEDEAO).
La situation générale des opérations de transport sur les corridors de la Communauté Economique Des Etats de l Afrique de l Ouest (CEDEAO). La CEDEAO La CEDEAO est un sous groupement qui avait en son sein
Plus en détailRapport de revue technique indépendante. Programme national d investissement prioritaire dans le secteur agricole (PNIP-SA) MALI
Rapport de revue technique indépendante Programme national d investissement prioritaire dans le secteur agricole (PNIP-SA) MALI Mali Version date: 27 Septembre 2010 1 Résumé Analytique : Principales conclusions
Plus en détailUNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE ------------ La Commission ------------ RAPPORT SEMESTRIEL D'EXECUTION DE LA SURVEILLANCE MULTILATERALE
UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE ------------ La Commission ------------ RAPPORT SEMESTRIEL D'EXECUTION DE LA SURVEILLANCE MULTILATERALE Juin 2014 1 TABLE DES MATIERES Résumé... 5 INTRODUCTION...
Plus en détailBOAD en Bref. Edition 2014 BANQUE OUEST AFRICAINE DE DÉVELOPPEMENT
BOAD en Bref Edition 2014 BANQUE OUEST AFRICAINE DE DÉVELOPPEMENT LA BANQUE OUEST AFRICAINE DE DEVELOPPEMENT EN BREF 1. CRÉATION ET OBJET La Banque Ouest Africaine de Développement (BOAD) est l institution
Plus en détailLes économies de l Afrique de l Ouest : un portrait statistique
Les économies de l Afrique de l Ouest : un portrait statistique Ce bref portrait statistique porte sur l Afrique de l Ouest, région qui regroupe ici les quinze pays membres de la CEDEAO (Communauté Economique
Plus en détailAnnexe - Balance des paiements et équilibre macro-économique
Annexe - Balance des paiements et équilibre macro-économique Les échanges de marchandises (biens et services), de titres et de monnaie d un pays avec l étranger sont enregistrés dans un document comptable
Plus en détailPlan d Investissement Agricole 2010 2015
REPUBLIQUE DU BENIN Fraternité- Justice- Travail ********** MINISTERE DE L AGRICULTURE, DE L ELEVAGE ET DE LA PECHE ********** MINISTERE DE L ECONOMIE ET DES FINANCES Plan d Investissement Agricole 2010
Plus en détail«Version Final» Document d Orientation Stratégique pour la chaine de valeur mangue dans la Communauté Économique Des États de
«Version Final» Document d Orientation Stratégique pour la chaine de valeur mangue dans la Communauté Économique Des États de l'afrique de l'ouest (CEDEAO) 1 PRÉFACE Ce rapport présente les conclusions
Plus en détailD où viennent nos semences. Visite virtuelle d un site de production de semences de maïs Monsanto
D où viennent nos semences Visite virtuelle d un site de production de semences de maïs Monsanto Monsanto a pour objectif de permettre aux agriculteurs de petites et grandes exploitations de produire davantage
Plus en détailConventions de calcul pour la réalisation des cas types en agriculture biologique
Conventions de calcul pour la réalisation des cas types en agriculture biologique Conjoncture retenue pour la construction des cas-types Prix de la viande bovine Conjoncture 1 er trimestre 2012 Prix des
Plus en détailLes émissions de GES au quotidien et les gains possibles
Les émissions de GES au quotidien et les gains possibles Un Français émet environ 2,2 tonnes équivalent carbone par an tous gaz à effet de serre confondus (et en tenant compte des puits de carbone que
Plus en détailInter-réseaux - Bulletin de veille n 166 10 septe mbre 2010
Inter-réseaux - Bulletin de veille n 166 10 septe mbre 2010 Veuillez trouver ci-dessous un nouveau bulletin de veille sur le développement rural. Ce mois-ci, des références autour du foncier, des politiques
Plus en détailComment utiliser les graines de soja à la cuisine
Comment utiliser les graines de soja à la cuisine Auteur : Renate Schemp Box 90612 Luanshya Zambie Traduction : SECAAR Service Chrétien d Appui à l Animation Rurale 06 BP 2037 Abidjan 06 Côte d Ivoire
Plus en détailNOTE D INFORMATION N 127 À substituer à la note d information n 106 LA ZONE FRANC
NOTE D INFORMATION N 127 À substituer à la note d information n 106 LA ZONE FRANC La Zone franc constitue un espace monétaire, économique et culturel sans équivalent dans le monde. Cet ensemble, formé
Plus en détailImpact économique du secteur des coopératives. George Karaphillis CED Institute, Cape Breton University
Impact économique du secteur des coopératives George Karaphillis CED Institute, Cape Breton University Tendances Les coopératives au Canada 350 300 250 200 150 100 50 0 Les coopératives en Nouvelle- Écosse
Plus en détailLes 5 à 7 du SYRPA. Photographie et évolution de la population agricole professionnelle française
Les 5 à 7 du SYRPA Photographie et évolution de la population Quels enseignements en tirer pour vos actions de communication? Christophe SEMONT 1. Hyltel en quelques mots 2. Les concepts du recensement
Plus en détail