L essaimage : causes, prévention et utilisation rationnelle des essaims

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "L essaimage : causes, prévention et utilisation rationnelle des essaims"

Transcription

1 Slide 1 L essaimage : causes, prévention et utilisation rationnelle des essaims Ecole d apiculture du Sud Luxembourg Monique RICHARD 22 mai

2 Slide 2 Définition Une abeille ou une reine ne peuvent survivre de façon isolée L unité, c est la colonie, c est la grappe Afin de se reproduire, la colonie va se «dupliquer» pour pouvoir aller coloniser un nouveau lieu de vie = essaimage C est la vieille reine qui quitte la ruche avec +/- la moitié de la population d ouvrières et de mâles 1000 abeilles sortent par minute Premier temps: regroupement près du rucher Second temps : envol définitif vers le nouveau domicile Nuage composé de milliers d abeilles Diamètre de +/- 15 à 30 mètres Hauteur de 2 à 6 mètres Vitesse: 30 à 40 km/h 2 Le jour précédant le départ, la colonie paraît calme Le jour de l essaimage, l agitation se répand dans toute la colonie et parfois contamine le reste du rucher. La plupart des essaims s envolent entre 10 et 15H00, de préférence par beau temps, mais une courte éclaircie peut suffire! L essaim sort dans un bourdonnement audible à plusieurs dizaines de mètres. Après 10 à 30 m, la reine se pose. Le calme revient très rapidement, hormis les allers retours des éclaireuses en quête d un nouveau logement. Lorsque l endroit sera trouvé et que le consensus sera trouvé au sein de la colonie, l essaim s envolera une seconde fois et définitivement. Des essaims secondaires, tertiaires ou quaters peuvent suivent, mais pas nécessairement. L essaim secondaire quitte la ruche +/ 8 jours après le départ de l essaim primaire > la reine à la tête de l essaim secondaire est vierge (essaim de chant). Les essaims secondaires partent parfois avec plusieurs reines. Les nombre d abeilles de ces essaims secondaires est inférieur à celui de l essaim primaire. Ils peuvent parfois vider presque complètement la colonie dont la survie est alors compromise. Si pas d essaim secondaire > la première reine à naître devrait éliminer ses rivales: elle découpe les cellules de reines et tue les reines à naître. Faux essaim: la reine est restée dans la ruche ou elle y est retournée ou elle s est perdue.

3 Slide 3 Définition Critères de sélection du nouveau gîte 1. Le volume de la cavité : 15 à 80 L 2. La taille de l entrée : 75 cm2 3. Exposition de l entrée (sud) 4. Entrée à quelques mètres au-dessus du sol 5. Dans un rayon de 100 à 400 mètres autour de la colonie de départ 6. Présence de vieux rayons Piège à essaim 3 Les éclaireuses partent de la grappe suspendue à son support pour chercher le nouveau nid. Elles reviennent à l essaim et dansent pour indiquer la direction de l endroit choisi. Seule une petite partie d abeilles visite plusieurs sites. Les éclaireuses qui ont trouvé un endroit favorable recrutent de façon plus convaincante que les autres. Le nombre de recruteuses visitant un lieu intéressant croît donc dans le temps. Une majorité d entre elles retourneront à l essaim et donneront le signe du départ. Elles serviront de guide jusqu au nouveau gîte.

4 Slide 4 Définition Fléau? Désorganisation temporaire Perte de récolte «Problèmes» de voisinage Mauvaise gestion? / Echec technique? Railleries Aubaine? Spectacle impressionnant L essaimage résulte d une longue évolution de l abeille et est le garant de la pérenité de l espèce Synonyme de dynamisme, de bonne santé et de force «Vide sanitaire» + possibilité de traitement anti-varroa Départ sur de nouvelles bases Utilisation des essaims 4 Vide sanitaire: La nouvelle reine ne commencera à pondre une fois seulement que tout le couvain de la reine précédente sera né. L arrêt de ponte interrompt la multiplication de certains agents pathogènes (varroa). La nouvelle colonie d abeilles construit de nouveaux rayons libres d agents pathogènes.

5 Slide 5 Capture de l essaim Toujours une aventure! Ne pas prendre de risques! Matériel: 1. Cloche à essaim / caissette carton / seau miel / ruchette 1. Vaporisateur eau 2. Enfumoir 3. Un grand drap 4. Une grande étamine ou moustiquaire 5. Un sécateur, une scie, une échelle 6. Prévoir une couverture humide (si pas d ombre) 5 Il est préférable de récolter l essaim lorsqu il est calme sur son 1 er support. Secouer essaim sur drap ou dans ruchette. Pas toujours aussi facile. Placer ruchette le plus près possible de l essaim > elles recherchent l obscurité > les guider avec enfumoir

6 Slide 6 Capture de l essaim Règles: 1. Un essaim n est normalement pas agressif: abeilles gorgées de miel 2. Un essaim n abandonne pas le gîte dans lequel il est entré de lui-même 3. Une essaim reste avec la reine -> elles «battent le rappel» 4. «Mise en pénitence» éventuelle 5. Aération pour éviter asphyxie 6. Ne pas nourrir 7. Enrucher le soir après les heures de vol 8. Donner à construire abeilles pèsent environ 1 KG 6 En présence de la reine, «tout le monde monte dans l autobus» et cela assez rapidement! La mise en pénitence permet de faire tomber la fièvre d essaimage. Le ménage aura eu lieu si plusieurs reines étaient présentes.!!! Aération pour éviter asphyxie!!

7 Slide 7 Causes L élevage royal (construction de cellules royales) précède généralement le départ de l essaim 7 L élevage royal n indique pas nécessairement une envie d essaimage: il peut simplement y avoir décision de remplacer la reine.

8 Slide 8 Causes L importance pour les individus de la ruches d être en contact avec la reine a été démontrée. La reine produit en effet des phéromones qui, entre autre, inhibent la construction de cellules royales. phéromones mandibulaires phéromones des glandes tarsales Cellules royales souvent en bordure des cadres <> Cellule de supercédure ou de sauveté C est la mauvaise répartition des phéromones qui induit l essaimage. 8 Les causes de l essaimage ne sont donc pas à rechercher dans l élevage royal lui même: si on augmente les phéromones dans une ruche, la fièvre ne s atténue pas nécessairement. Les causes sont à chercher dans les facteurs qui réduisent la concentration de phéromones. Lorsque la colonie a beaucoup grandi, les mouvements de la reine sont restreints. Le couvain occupe une grande partie de tous les rayons et ne laisse plus beaucoup de place pour la ponte de la reine > la reine se tient principalement sur le haut des cadres et ne parvient quasiment plus en bas > prolifération cellules royales. Glandes tarsales particulièrement bien développées chez la reine qui pond des œufs.

9 Slide 9 Causes Les causes sont encore méconnues ou mal connues. Les causes sont clairement liées au développement normal de la colonie et sont la conjonction de facteurs multiples + Conditions météorologiques défavorables qui interdisent la sortie des butineuses. Particulièrement néfaste après une forte miellée! 9 Taille de la colonie Une colonie essaime lorsque le départ de la moitié des individus ne va pas compromettre la survie de la partie restant dans la ruche Structure de la population Abeilles jeunes et à tout stade de maturité: il faudra 3 semaines avant d avoir nouvelles naissances. La tendance à l essaimage est plus forte lorsque le nombre de jeunes abeilles est élevé. Congestion nid couvain > blocage de ponte Couvain trop important ou encombré par pollen ou nectar Abondance de ressources La fréquence de l essaimage varie d une année à l autre Qualité de la reine Les jeunes reines essaiment peu Facteurs génétiques / hérédité Technique apicole Hausse placée trop tard Environnement Emplacement du rucher. Type de ruche. Cycle saisonnier Si on suit l évolution d une colonie, à partir du solstice d hiver, la vie reprend avec l augmentation de la luminosité et des températures. Le développement de la colonie va de paire avec la croissance des plantes qui fournissent pollen puis nectar. Ces rentrées vont pouvoir subvenir à la production de bouillie larvaire et de cire. La reine va augmenter sa ponte. Elle pondra bientôt des œufs qui donneront des mâles. Si les abeilles sont en bonnes santé, la colonie va arriver à un point culminant: bcp de réserves, bcp d abeilles, bcp de couvain et moins de place. Dès lors la fièvre d essaimage s installe. Nous sommes généralement entre avril et juin. Conditions météorologiques défavorables Elles interdisent la sortie des butineuses. Particulièrement néfaste après une forte miellée.

10 Slide 10 Causes Variation de la force de la colonie pendant la période d essaimage 10

11 Slide 11 Signes précurseurs 1/ Etapes de développement des cellules royales 3/ Le chant des reines 2/ Règle des 9 jours 11 Neuf jours après la ponte de l œuf, la cellule est operculée. Cette operculation donne généralement le signal du départ de l essaim primaire. Si l essaim est retardé, on entend le chant des reines dans les cellules royales. Si le mauvais temps persiste, les abeilles peuvent maintenir les jeunes reines en captivité dans leurs cellules: elles recollent continuellement le bord de l opercule de la cellule royale que la jeune reine veut ouvrir.

12 Slide 12 Signes précurseurs 1. Elevage de couvain de mâles plus tôt 2. Ebauches de cellules royales (amusettes) dont les bords sont normalement recourbés vers l intérieur. 3. Si larve + gelée royale + allongement en cellule royale -> fièvre d essaimage 4. Les abeilles réduisent l apport de nourriture à la reine 1. -> perte de poids 2. -> arrêt de ponte 3. -> capacité à mieux voler 5. La quantité de couvain ouvert diminue + déséquilibre entre couvain ouvert et couvain fermé 6. Activité de récolte diminue (abeilles font la barbe) 7. Activité de sécrétion de cire et de construction diminue également => le comportement d une colonie avant essaimage est vraiment perturbé et l essaimage permet de repartir sur une base nouvelle 12 Ne pas confondre abeilles qui font la barbe par fortes chaleurs (juillet/août)

13 Slide 13 Prévention Il y a autant de méthode de contrôle de l essaimage qu il y a d apiculteurs! Il n y a pas de solution miracle, ni de «maître-achat». 1. Détruire les cellules royales n arrête pas toujours l essaimage 2. Tuer la reine? 3. Clipper la reine: pour ou contre? 4. Ne pas multiplier les colonies essaimeuses en utilisant des cellules royales d essaimage pour élever des jeunes reines 5. Ne pas stimuler inconsidérément 6. Faire construire à temps (cires gaufrées: corps puis hausses) 7. Agrandir à temps (pose des hausses) 8. Aération et ombrage des ruches 9. Remplacer les reines tous les 2 ans Détruire les cellules royales si la reine est présente! Rythme hebdomadaire (tous les 6 ou 7 jours), même si la théorie nous donne 9 jours. La visite de tous les cadres n est pas nécessaire. Risque de ne pas voir toutes les cellules. Cette méthode ne supprime pas la fièvre d essaimage mais vise à forcer l abeille à abandonner de guerre lasse son comportement naturel. Fonctionne plus ou moins bien en fonction de la race d abeille. Elle peut être pratiquée 1 ou 2 fois mais pas plus car certaines colonies deviennent agressives ou tuent la mère si on répète l opération. 2. Tuer la reine: par le passé, de nombreux apiculteurs procédaient de la sorte. La ruche va alors élever en sauveté. Quand? Procéder en tout début de forte miellée. Avantage: cela dope la récolte à CT: les nourrices pourront partir à la récolte. Inconvénients: a) risque d essaimage secondaire si on oublie une cellule royale. b) la privation de reine peut rendre la colonie plus agressive 3. Clipper la reine: La reine ne pourra suivre l essaim et celui ci rentrera à la ruche. Présence de la reine sur le sol, avec une poignée d abeilles. Si apiculteur présent, il peut récupérer la reine et intervenir dans la colonie essaimeuse. Cela donne aussi un délai supplémentaire jusqu à la naissance d une reine vierge. Sans intervention de l apiculteur, un essaim finira quand même par s envoler avec cette fois une jeune reine vierge et non clippée à sa tête. 7. Il faut occuper chaque abeille 10. L écrémage va modifier la structure de population de la ruche.

14 Slide 14 Prévention par création d essaims artificiels 1. Essaim anticipé ~ césarienne Durant la fièvre d essaimage, avant l operculation de la 1 ère cellule royale naturelle Isoler la reine sur son cadre + cadres sans cellules royales + cires gaufrées + déplacer Prélever les cadres avec cellules royales et abeilles + compléter par cires gaufrées. Les butineuses déplacées viendront la renforcer. 2. Ecrémage: constitution d une ruchette Prélever 2 beaux cadres couverts de couvain operculé + jeunes abeilles à prendre sur couvain ouvert + 1 cadre de nourriture + 3 cadres à construire Introduire une cellule royale ou une reine en ponte On peut prélever le couvain sur plusieurs colonies. Préférer prendre peu de couvain mais beaucoup d abeilles. Surtout les jeunes abeilles. On remplace les cadres enlevés par des cires gaufrées. Cela donne de la place dans le nid à couvain.

15 Slide 15 Prévention par création d essaims artificiels 3. Essaim nu Durant la fièvre d essaimage, avant l operculation de la 1 ère cellule royale naturelle Isoler la reine Brosser +/- 3 kg d abeilles (privilégier abeilles jeunes) dans une ruchette vide Introduire la reine dans la grappe, lorsque les abeilles battent le rappel Introduire cires gaufrées Au frais pendant 24H Vérifier réserves 15

16 Slide 16 Utilisation d un essaim Permuter l essaim avec la souche L essaim prend la place de la ruche d origine, sur des cires gaufrées. La souche est écartée. Les butineuses retourneront avec l essaim à son emplacement premier. Toutes les cellules royales devront être supprimées sauf 1 ou 2, pour éviter l essaimage secondaire. Après quelques jours: mettre la hausse de la souche sur l essaim La souche se développera comme un simple nuclei, dès que sa jeune reine commencera à pondre. 16 Comment retrouver la souche Reine marquée et numérotée Notes personnelles sur suivi des ruches Enfariner une centaine d abeilles empêchées de rentrer dans la cloche. Elles retourneront à la souche. SOUCHE Cela signifie que vous n avez plus assez de butineuses pour que votre ruche ne participe activement à la miellée. De plus les prochaines pontes ne démarreront que dans 3 à 4 semaines au plus tôt (6 jours pour la naissance de la jeune reine, 10 jours pour le vol de fécondation et encore 5 à 10 jours avant qu elle ne commence à pondre). A cela il faut, d après la règle des 40 jours, 1 mois et demi pour que les premiers œufs pondus ne donnent des butineuses. Ceci signifie que votre ruche ne participera plus à une miellée de la saison.

17 Slide 17 Utilisation d un essaim Réunir l essaim à la colonie souche En une seule opération Il convient 1. Supprimer les causes d essaimage 2. Soins à la souche: éliminer toutes les cellules royales, sauf 1 (si vous souhaitez remplacer la reine) faire de la place, donner à construire On place une grille à reine au-dessus de la souche contrôlée et on secoue l essaim (dans une hausse vide qui sert d entonnoir). On enfume les abeilles pour qu elles descendent. Reste la vieille reine et une poignée d abeilles sur la grille. Eliminer la vieille reine Remettre les hausses 17

18 Slide 18 Bibliographie 1. «Etre performant en apiculture» de Hubert Guerriat. 2. Notes des cours d apiculture des Ruchers du Sud Luxembourg ( ) 3. «Quand s envole l essaim. A chacun sa méthode», Janine Kieviets, Belgique apicole n «L apiculture, une fascination», collectifs d auteurs, éditions VDRB 5. «Conduite apicole et synergie avec l abeille», Jan Kuppens 18

19 Slide 19 Questions? 19

1 cadre. 3 c 5 c. 7c 9 c. Actu Api n 19

1 cadre. 3 c 5 c. 7c 9 c. Actu Api n 19 Lors de chaque visite, notre attention se porte sur l âme de la ruche, le couvain. Avec l expérience, on peut y trouver une série d informations qui nous aident dans la conduite des ruches. Pour un nouvel

Plus en détail

Journal du «Rucher de Félix», Jean. Sébastien. Gros (Mons 83) Rucher «Terre Sauvage» depuis novembre 2009. Le mot de L apiculteur : La météo Varoise

Journal du «Rucher de Félix», Jean. Sébastien. Gros (Mons 83) Rucher «Terre Sauvage» depuis novembre 2009. Le mot de L apiculteur : La météo Varoise Journal du «Rucher de Félix», Jean Sébastien Gros (Mons 83) Rucher «Terre Sauvage» depuis novembre 2009 1 er Semestre 2011 -----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------

Plus en détail

Applicable à partir de l année d assurance 2014 Assurance récolte Apiculture Section 13,2 - Admissibilité

Applicable à partir de l année d assurance 2014 Assurance récolte Apiculture Section 13,2 - Admissibilité Section 13,2 - Admissibilité Page 1 Les normes générales à toutes les protections d assurance concernant l application des normes d admissibilité se retrouvent à la procédure générale. Cependant, les normes

Plus en détail

EN QUÊTE DU MONDE. Les nids de fourmis rousses. Présentation de la vidéo... 2 Générique... 2 description... 2 Principaux thèmes abordés...

EN QUÊTE DU MONDE. Les nids de fourmis rousses. Présentation de la vidéo... 2 Générique... 2 description... 2 Principaux thèmes abordés... Présentation de la vidéo... 2 Générique... 2 description... 2 Principaux thèmes abordés... 2 Contenus... 3 niveaux, disciplines, compétences... 3 notions... 4 Vocabulaire... 4 découpage du film... 5 Suggestions

Plus en détail

Punaise des lits. À quoi ressemblent-elles? Cycle de vie. Alimentation

Punaise des lits. À quoi ressemblent-elles? Cycle de vie. Alimentation Punaise des lits À quoi ressemblent-elles? Lorsqu elle est à jeun, la punaise des lits présente une coloration allant du brun au brun jaunâtre. Une fois gorgée de sang, elle devient brune rougeâtre et

Plus en détail

DOSSIER DE PRESSE. Organisateur. Contact. Carolina Cardoso cardoso@bee- life.eu Chargée de communication + 32 (0)10 47 34 16 + 32 496 87 46 85

DOSSIER DE PRESSE. Organisateur. Contact. Carolina Cardoso cardoso@bee- life.eu Chargée de communication + 32 (0)10 47 34 16 + 32 496 87 46 85 DOSSIER DE PRESSE Organisateur CARI asbl Place Croix du Sud, 4 1348 Louvain la Neuve +32 (0)10 47 34 16 www.cari.be Contact Carolina Cardoso cardoso@bee- life.eu Chargée de communication + 32 (0)10 47

Plus en détail

Bilan d activité 2013 de la surveillance des pollens en Poitou-Charentes

Bilan d activité 2013 de la surveillance des pollens en Poitou-Charentes ATMO Poitou-Charentes, centre régional de surveillance de la qualité de l air Bilan d activité 2013 de la surveillance des pollens en Poitou-Charentes Crédit-photo : Gérard Sulmont (RNSA) Référence : POLN_EXT_12_193

Plus en détail

Le séchage en grange du foin à l énergie solaire PAR MICHEL CARRIER AGR. CLUB LAIT BIO VALACTA

Le séchage en grange du foin à l énergie solaire PAR MICHEL CARRIER AGR. CLUB LAIT BIO VALACTA Le séchage en grange du foin à l énergie solaire PAR MICHEL CARRIER AGR. CLUB LAIT BIO VALACTA Séchage du foin en grange Séchage en grange Technique originaire des zones de montagnes Suisse Autriche Jura

Plus en détail

Les abeilles à Bruxelles Défis et opportunités

Les abeilles à Bruxelles Défis et opportunités Les abeilles à Bruxelles Défis et opportunités Présentation en vidéo-conférence Mois de l abeille urbaine à Montréal Marc Wollast marc.wollast@apisbruocsella.be www.apisbruocsella.be Apis Bruoc Sella Bruxelles

Plus en détail

Municipalité de la paroisse de Saint-Lazare

Municipalité de la paroisse de Saint-Lazare Municipalité de la paroisse de Saint-Lazare PROVINCE DE QUÉBEC MUNICIPALITÉ DE LA PAROISSE DE SAINT-LAZARE M.R.C. DE VAUDREUIL-SOULANGES RÈGLEMENT NUMÉRO 627 RÈGLEMENT VISANT À INTERDIRE L UTILISATION

Plus en détail

Rucher Ecole Domaine de Blonay

Rucher Ecole Domaine de Blonay Rucher Ecole Domaine de Blonay Jean-Luc Rodriguez MEMENTO DES REGLEMENTATIONS EN APICULTURE Les réglementations quant aux droits et devoirs des apiculteurs amateurs ou professionnels ne sont pas toujours

Plus en détail

La fourmi. Biologie et protection

La fourmi. Biologie et protection Direction de l'aménagement, de l'environnement et des constructions DAEC Raumplanungs-, Umwelt- und Baudirektion RUBD Bureau de la protection de la nature et du paysage Büro für Natur- und Landschaftsschutz

Plus en détail

Quel sirop choisir pour le nourrissement d hiver.

Quel sirop choisir pour le nourrissement d hiver. Syndicat des apiculteurs de Thann et environs Quel sirop choisir pour le nourrissement d hiver. Auteurs : R.Hummel & M.Feltin Octobre 2014 Les sirops de nourrissement : La qualité des sirops utilisés pour

Plus en détail

TABLE DES MATIÈRES. 1.3 Généralité Le personnel des animaleries doit aviser l assistant-chef si cette procédure ne peut être respectée.

TABLE DES MATIÈRES. 1.3 Généralité Le personnel des animaleries doit aviser l assistant-chef si cette procédure ne peut être respectée. /01 TABLE DES MATIÈRES 1.0 Introduction 1.1 But 1.2 Portée 1.3 Généralité 1.4 Matériel 2.0 Méthodes/Processus 2.1 Général 2.2 Systèmes de détection 2.3 Principes généraux du contrôle de la vermine 2.4

Plus en détail

Pourquoi les guêpes, abeilles et bourdons piquent-ils? Arrgh! Une guêpe, là! Arrrrrgh! Va-t-en!!!

Pourquoi les guêpes, abeilles et bourdons piquent-ils? Arrgh! Une guêpe, là! Arrrrrgh! Va-t-en!!! 2 Arrgh! Une guêpe, là! Restons calmes! Après tout, les guêpes, les abeilles et les bourdons sont des insectes très utiles. En butinant de fleur en fleur pour se nourrir de nectar ou recueillir du pollen,

Plus en détail

BILAN DE LA CAMPAGNE 2014

BILAN DE LA CAMPAGNE 2014 BSV n 13 bilan saison 214 Epidémiosurveillance BRETAGNE-NORMANDIE-PAYS DE LA LOIRE : Bilan de la Saison 214 SOMMAIRE BILAN DE LA CAMPAGNE 214 Les observateurs Les observations Les Bulletins de Santé du

Plus en détail

Etat des lieux octobre 2006: 2006-2007 Classe à PAC : Etude de l écosystème «mare» avec les élèves de 6 ème Mauve.

Etat des lieux octobre 2006: 2006-2007 Classe à PAC : Etude de l écosystème «mare» avec les élèves de 6 ème Mauve. Etat des lieux octobre 2006: 2006-2007 Classe à PAC : Etude de l écosystème «mare» avec les élèves de 6 ème Mauve. Cette année 2006-2007 les élèves de 6 ème Mauve bénéficient de la classe à PAC sur le

Plus en détail

Les portes intérieures

Les portes intérieures Les portes intérieures TECHNOLOGIE 2è DEGRE Wilmotte Bernard Institut Saint-Joseph de Saint Hubert Généralités 2 Description 2 Relevé des dimensions 3 Les genres de portes 3 Systèmes de suspension ou de

Plus en détail

Classe verte à Hollenfels

Classe verte à Hollenfels Classe verte à Hollenfels Du lundi 10 mai au mercredi 12 mai 2010 C.E.1 de Madame Lanneluc SOMMAIRE 1. Personnel d encadrement 2. Transport 3. Hébergement 4. Projet pédagogique 5. Budget 6. Annexes : -

Plus en détail

Une espèce exotique envahissante: Le Roseau commun. ou Phragmites australis

Une espèce exotique envahissante: Le Roseau commun. ou Phragmites australis Une espèce exotique envahissante: Le Roseau commun ou Phragmites australis Indigène vs exotique Il y a deux sous-espèces de Phragmites australis, L indigène: n envahit pas le milieu, cohabite avec les

Plus en détail

BILAN DU TRANSFERT DES AMPHIBIENS

BILAN DU TRANSFERT DES AMPHIBIENS ZAC du quartier de l école Polytechnique BILAN DU TRANSFERT DES AMPHIBIENS ZAC DU QUARTIER DE L ECOLE POLYTECHNIQUE Commune de Palaiseau Juillet 2014 7C785 Table des matières Table des matières... 2 Liste

Plus en détail

vérifiez leur compatibilité avec nos auxiliaires sur notre site web Bulletin d information sur les cultures fraises Stratégie IPM pour les fraises

vérifiez leur compatibilité avec nos auxiliaires sur notre site web Bulletin d information sur les cultures fraises Stratégie IPM pour les fraises Avant d utiliser des produits chimiques, vérifiez leur compatibilité avec nos auxiliaires sur notre site web www.biobest.be Bulletin d information sur les cultures fraises Stratégie IPM pour les fraises

Plus en détail

Nicolas DEPRUGNEY Julien CARTON 1 SA TPE 1 S. Les Phéromones de la Fourmi

Nicolas DEPRUGNEY Julien CARTON 1 SA TPE 1 S. Les Phéromones de la Fourmi Nicolas DEPRUGNEY Julien CARTON 1 SA TPE 1 S Les Phéromones de la Fourmi 1 Introduction... p.3 Comment les fourmis communiquent-elles entre elles? I. Mise en évidence des phéromones p.4 Expérience avec

Plus en détail

LA NORME RABC EN BLANCHISSERIE NOYONS SEPTEMBRE 2012

LA NORME RABC EN BLANCHISSERIE NOYONS SEPTEMBRE 2012 LA NORME RABC EN BLANCHISSERIE NOYONS SEPTEMBRE 2012 SOMMAIRE La norme RABC, qu est-ce que c est? Les grandes lignes La blanchisserie et la Fonction linge - incidences sur l application de la méthode Les

Plus en détail

La petite poule qui voulait voir la mer

La petite poule qui voulait voir la mer La petite poule qui voulait voir la mer Ecris les mots suivants au bon endroit : le titre l auteur - l illustration - l illustrateur - l éditeur Exercices couverture Décris la première de couverture. Que

Plus en détail

Le bac à graisses PRETRAITEMENT. Schéma de principe. Volume du bac à graisses. Pose

Le bac à graisses PRETRAITEMENT. Schéma de principe. Volume du bac à graisses. Pose Le bac à graisses Schéma de principe Lorsqu on a une longueur de canalisation importante entre la sortie des eaux de cuisine et la fosse septique toutes eaux, il est fortement conseillé d intercaler un

Plus en détail

VITICULTURE 2012 V 12 / PACA 02 STRATEGIE D APPLICATION DU CUIVRE EN VITICULTURE

VITICULTURE 2012 V 12 / PACA 02 STRATEGIE D APPLICATION DU CUIVRE EN VITICULTURE VITICULTURE 212 V 12 / PACA 2 STRATEGIE D APPLICATION DU CUIVRE EN VITICULTURE Silvère DEVEZE Chambre d Agriculture de Vaucluse 1- Identification de l action a. Responsables techniques et partenaires :

Plus en détail

ÉVALUATION DU TYPE DE DOMMAGE CAUSÉ PAR LA PUNAISE PENTATOMIDE VERTE, ACROSTERNUM HILARE (SAY) SELON LE DÉVELOPPEMENT DES FRUITS

ÉVALUATION DU TYPE DE DOMMAGE CAUSÉ PAR LA PUNAISE PENTATOMIDE VERTE, ACROSTERNUM HILARE (SAY) SELON LE DÉVELOPPEMENT DES FRUITS ÉVALUATION DU TYPE DE DOMMAGE CAUSÉ PAR LA PUNAISE PENTATOMIDE VERTE, ACROSTERNUM HILARE (SAY) SELON LE DÉVELOPPEMENT DES FRUITS CAROLINE PROVOST, MANON LAROCHE, MAUD LEMAY LES OBJECTIFS Objectif principal:

Plus en détail

GUIDE. Guide pratique pour la lutte contre les fourmis sur le marché européen. PRATIQUE

GUIDE. Guide pratique pour la lutte contre les fourmis sur le marché européen. PRATIQUE Guide pratique pour la lutte contre les fourmis sur le marché européen. GUIDE PRATIQUE Les solutions les plus efficaces pour vos problèmes de nuisibles. 3317. PH18 - Ant Control French Guide.indd 1 10/11/2014

Plus en détail

Journées portes ouvertes ECOPHYTO 18-11-2013

Journées portes ouvertes ECOPHYTO 18-11-2013 Journées portes ouvertes ECOPHYTO 18-11-2013 Principe: Favoriser la biodiversité fonctionnelle sur l exploitation -Impact très souvent sous estimé de la faune auxiliaire naturellement présente -Importance

Plus en détail

Placettes vers de terre. Protocole Fiche «Description spécifique» Fiche «Observations» www.observatoire-agricole-biodiversite.fr

Placettes vers de terre. Protocole Fiche «Description spécifique» Fiche «Observations» www.observatoire-agricole-biodiversite.fr Protocole Fiche «Description spécifique» Fiche «Observations» 13 PROTOCOLE 1/2 Les vers de terre sont de bons indicateurs de la qualité du sol. Ils sont également des acteurs indispensables de sa fertilité

Plus en détail

COLLECTE DES DECHETS MENAGERS : Recommandations techniques applicables lors de la conception de voiries, lotissements et immeubles

COLLECTE DES DECHETS MENAGERS : Recommandations techniques applicables lors de la conception de voiries, lotissements et immeubles COLLECTE DES DECHETS MENAGERS : Recommandations techniques applicables lors de la conception de voiries, lotissements et immeubles Rappel : Organisation de la collecte des déchets sur le secteur de SAINT-BRIEUC

Plus en détail

Energie solaire www.euroclima.fr

Energie solaire www.euroclima.fr Chaudières françaises fabriquées en Alsace depuis 1973 Energie solaire www.euroclima.fr E U R O C L i M A Un système complet La clé de l efficience solaire réside dans l association et l optimisation des

Plus en détail

Exe Livret Animateur_Exe Livret Animateur 01/02/11 11:10 Page1

Exe Livret Animateur_Exe Livret Animateur 01/02/11 11:10 Page1 Exe Livret Animateur_Exe Livret Animateur 01/02/11 11:10 Page1 1 Exe Livret Animateur_Exe Livret Animateur 01/02/11 11:10 Page2 Estimez les produits, tournez la roue et tentez de remporter la vitrine!

Plus en détail

Local de retrait PASS

Local de retrait PASS Local de retrait PASS PRINCIPE : (Programme Alternatif à la Suspension Scolaire PASS) Suite à un retrait de classe, l élève est avisé qu à sa réintégration au cours, il doit reprendre, pendant son temps

Plus en détail

SIEEOM GRISOLLES & VERDUN Président : M. Denis ROGER. Règlement d attribution et d utilisation des contenants pour la collecte en porte-à-porte

SIEEOM GRISOLLES & VERDUN Président : M. Denis ROGER. Règlement d attribution et d utilisation des contenants pour la collecte en porte-à-porte SIEEOM GRISOLLES & VERDUN Président : M. Denis ROGER siège social : Mairie de Verdun-sur-Garonne services : Quai de Transfert Place de la Mairie 350, chemin de la Fraysse 82 600 Verdun-sur-Garonne 82 170

Plus en détail

La production de Semences potagères

La production de Semences potagères La production de Semences potagères Intérêts de l autoproduction de semences Les producteurs qui se lancent dans leur propre production de semences le font pour diverses raisons. Maintien d une biodiversité

Plus en détail

Commune d Yvorne LA MUNICIPALITÉ REGLEMENT DU CIMETIERE D YVORNE

Commune d Yvorne LA MUNICIPALITÉ REGLEMENT DU CIMETIERE D YVORNE Commune d Yvorne LA MUNICIPALITÉ REGLEMENT DU CIMETIERE D YVORNE Art. 1 Le Service des inhumations et des incinérations ainsi que la police du cimetière rentrent dans les attributions de la Municipalité,

Plus en détail

Principe de fonctionnement de la façade active Lucido. K:\15.Lucido \Dossier d'envoi\annexe\2011_12_explicatif du principe de la façade Lucido.

Principe de fonctionnement de la façade active Lucido. K:\15.Lucido \Dossier d'envoi\annexe\2011_12_explicatif du principe de la façade Lucido. Principe de fonctionnement de la façade active Lucido K:\15.Lucido \Dossier d'envoi\annexe\2011_12_explicatif du principe de la façade Lucido.doc 0. Préambule Le présent document est élaboré dans le but

Plus en détail

Q&A Novembre 2012. A. Le marché de la location meublée. B. Le marché de la location touristique. C. La location meublée, un marché lucratif?

Q&A Novembre 2012. A. Le marché de la location meublée. B. Le marché de la location touristique. C. La location meublée, un marché lucratif? Q&A Novembre 2012 A. Le marché de la location meublée. B. Le marché de la location touristique. C. La location meublée, un marché lucratif? D. La location meublée est elle légale? A. Le marché de la location

Plus en détail

La gestion à long terme des déchets de haute activité et/ou de longue durée de vie. Options

La gestion à long terme des déchets de haute activité et/ou de longue durée de vie. Options La gestion à des déchets de haute activité et/ou de longue durée de vie Options Options possibles pour la gestion à 2 Option zéro ou statu quo : maintien de la situation actuelle Mise en forages profonds

Plus en détail

Titre du projet : Contribution à la réhabilitation et à la sauvegarde de

Titre du projet : Contribution à la réhabilitation et à la sauvegarde de Termes de référence pour l évaluation et la capitalisation du projet PMF-FEM Titre du projet : Contribution à la réhabilitation et à la sauvegarde de l'abeille jaune par l'introduction de ruches peuplées

Plus en détail

La petite poule qui voulait voir la mer

La petite poule qui voulait voir la mer Découverte Complète la carte d identité du livre. Titre du livre Nom de l auteur Nom de l illustrateur Editeur Que voit- on sur la 1 ère page de couverture? C est l histoire q d un poisson q d une souris

Plus en détail

avec Lépido Les papillons sont des insectes. RENCONTRE Connais-tu le point commun de tous ces animaux? Ils ont tous.. pattes.

avec Lépido Les papillons sont des insectes. RENCONTRE Connais-tu le point commun de tous ces animaux? Ils ont tous.. pattes. T H E O R I E 1 RENCONTRE avec Lépido Les papillons sont des insectes. Connais-tu le point commun de tous ces animaux? Ils ont tous.. pattes. Recherche et place le nom de chacune des parties du papillon

Plus en détail

Tétranyques à deux points: stratégies de contrôle

Tétranyques à deux points: stratégies de contrôle Tétranyques à deux points: stratégies de contrôle Par Jean-Paul Soucy, agr. Les acariens nuisibles en serre Tétranyque à deux points Tétranyque de Lewis Acariens des bulbes Mite du cyclamen/tarsonème du

Plus en détail

RENTABILITÉ ÉCONOMIQUE MODÈLES DE CALCUL

RENTABILITÉ ÉCONOMIQUE MODÈLES DE CALCUL Faits et chiffres de l aviculture CH 2.6 RENTABILITÉ ÉCONOMIQUE MODÈLES DE CALCUL 1. Généralités sur les coûts de production et la rentabilité économique Les modèles de calcul en annexe sont à interpréter

Plus en détail

INFOS PRATIQUES. www.metropole-rouen-normandie.fr. duclair PROGRAMME DE REDUCTION DES DECHETS

INFOS PRATIQUES. www.metropole-rouen-normandie.fr. duclair PROGRAMME DE REDUCTION DES DECHETS INFOS PRATIQUES déchets PROGRAMME DE REDUCTION DES DECHETS 205 duclair www.metropole-rouen-normandie.fr édito Chère Madame, cher Monsieur, En matière de gestion des déchets, la Métropole Rouen Normandie

Plus en détail

La lutte intégrée contre les ravageurs de sol en grandes cultures. Geneviève Labrie

La lutte intégrée contre les ravageurs de sol en grandes cultures. Geneviève Labrie La lutte intégrée contre les ravageurs de sol en grandes cultures Geneviève Labrie La lutte intégrée Portrait des dommages au Québec Financière agricole du Québec 880 avis de dommages depuis 2008 224 avis

Plus en détail

Guide de l Accessibilité des ERP

Guide de l Accessibilité des ERP Guide de l Accessibilité des ERP Comment rendre votre établissement accessible aux handicapés et assurer la continuité de votre accueil du public pendant les travaux de mise aux normes. Sommaire 1. Introduction

Plus en détail

BILAN DE L EDUCATION PHYSIQUE A L ECOLE PRIMAIRE RAPPORT DE LA COMMISSION DES INSPECTEURS DU VALAIS ROMAND (CPI)

BILAN DE L EDUCATION PHYSIQUE A L ECOLE PRIMAIRE RAPPORT DE LA COMMISSION DES INSPECTEURS DU VALAIS ROMAND (CPI) Département de l'éducation, de la culture et du sport Service de l enseignement Inspectorat de la scolarité obligatoire BILAN DE L EDUCATION PHYSIQUE A L ECOLE PRIMAIRE RAPPORT DE LA COMMISSION DES INSPECTEURS

Plus en détail

La fourmi pharaon. Lorsque des fourmis pharaon s installent chez vous, vous les avez pour la vie.

La fourmi pharaon. Lorsque des fourmis pharaon s installent chez vous, vous les avez pour la vie. La fourmi pharaon Nom scientifique : Monomorium pharaonis (Linné) Le nom de la fourmi pharaon aurait pour origine une mauvaise connaissance des saintes écritures de la part de Linné, le naturaliste qui

Plus en détail

MICHEL ET AUGUSTIN DOSSIER 1 : Conquérir un nouveau secteur géographique

MICHEL ET AUGUSTIN DOSSIER 1 : Conquérir un nouveau secteur géographique Session 2013 BREVET DE TECHNICIEN SUPÉRIEUR NÉGOCIATION ET RELATION CLIENT Corrigé E5 : Management et gestion d activités commerciales VERSION 23 MAI 2013 MICHEL ET AUGUSTIN DOSSIER 1 : Conquérir un nouveau

Plus en détail

Jeux mathématiques en maternelle. Activités clés. Jeu des maisons et des jardins (Yvette Denny PEMF)

Jeux mathématiques en maternelle. Activités clés. Jeu des maisons et des jardins (Yvette Denny PEMF) Activités clés NIVEAU : PS/MS Jeu des maisons et des jardins (Yvette Denny PEMF) Compétences Construire les premiers nombres dans leur aspect cardinal Construire des collections équipotentes Situation

Plus en détail

L intelligence collective des fourmis

L intelligence collective des fourmis L intelligence collective des fourmis Guy Théraulaz* Les comportements collectifs des fourmis ont toujours fasciné et émerveillé les naturalistes. Tout semble se passer comme si chaque colonie se comportait

Plus en détail

LA MESURE DE PRESSION PRINCIPE DE BASE

LA MESURE DE PRESSION PRINCIPE DE BASE Page 1 / 6 LA MESURE DE PRESSION PRINCIPE DE BASE 1) Qu est-ce qu un sensor de pression? Tout type de sensor est composé de 2 éléments distincts : Un corps d épreuve soumit au Paramètre Physique φ à mesurer

Plus en détail

Module d apprentissage Jeux collectifs Cycle 1. Des objectifs d apprentissage

Module d apprentissage Jeux collectifs Cycle 1. Des objectifs d apprentissage Module d apprentissage Jeux collectifs Cycle 1 Des jeux pour entrer dans l activité 1 séance par thème Une situation de référence Pour évaluer les besoins Des objectifs d apprentissage Des situations d

Plus en détail

Arrêté royal du 27 mars 1998 relatif à la politique du bien-être des travailleurs lors de l exécution de leur travail (M.B. 31.3.

Arrêté royal du 27 mars 1998 relatif à la politique du bien-être des travailleurs lors de l exécution de leur travail (M.B. 31.3. Arrêté royal du 27 mars 1998 relatif à la politique du bien-être des travailleurs lors de l exécution de leur travail (M.B. 31.3.1998) Modifié par: (1) arrêté royal du 3 mai 1999 relatif aux missions et

Plus en détail

Conseils déco express Comment éclairer une pièce, décorer vos murs, habiller vos fenêtres?

Conseils déco express Comment éclairer une pièce, décorer vos murs, habiller vos fenêtres? Conseils déco express Comment éclairer une pièce, décorer vos murs, habiller vos fenêtres? Textes rédigés pour le site www.mmatravodeco.com Reportage : projet de décoration Bambù, Paris 14 e Photos : Béatrice

Plus en détail

ÉTUDE SUR L EFFICACITÉ DES PNEUS D HIVER EN ÉTÉ RÉALISÉE PAR CAA-QUÉBEC

ÉTUDE SUR L EFFICACITÉ DES PNEUS D HIVER EN ÉTÉ RÉALISÉE PAR CAA-QUÉBEC ÉTUDE SUR L EFFICACITÉ DES PNEUS D HIVER EN ÉTÉ RÉALISÉE PAR CAA-QUÉBEC SEPTEMBRE 2008 1. Introduction L étude avait pour but de comparer avec le plus de précision possible l efficacité des pneus d hiver

Plus en détail

LE TRAVAIL EN HAUTEUR

LE TRAVAIL EN HAUTEUR F I C H E P R E V E N T I O N N 0 2 «H Y G I E N E S E C U R I T E» LE TRAVAIL EN HAUTEUR STATISTIQUES Avec près d une centaine d agent victime de chutes de hauteur durant les 5 dernières années dans les

Plus en détail

L eau dans le corps. Fig. 6 L eau dans le corps. Cerveau 85 % Dents 10 % Cœur 77 % Poumons 80 % Foie 73 % Reins 80 % Peau 71 % Muscles 73 %

L eau dans le corps. Fig. 6 L eau dans le corps. Cerveau 85 % Dents 10 % Cœur 77 % Poumons 80 % Foie 73 % Reins 80 % Peau 71 % Muscles 73 % 24 L eau est le principal constituant du corps humain. La quantité moyenne d eau contenue dans un organisme adulte est de 65 %, ce qui correspond à environ 45 litres d eau pour une personne de 70 kilogrammes.

Plus en détail

Complexité et auto-organisation chez les insectes sociaux. Complexité et auto-organisation chez les insectes sociaux

Complexité et auto-organisation chez les insectes sociaux. Complexité et auto-organisation chez les insectes sociaux Complexité et auto-organisation chez les insectes sociaux Guy Theraulaz Centre de Recherches sur la Cognition Animale CNRS, UMR 5169, Toulouse, France Marathon des Sciences XXIII ème Festival d Astronomie,

Plus en détail

Rosemont- La Petite-Patrie. Îlots de chaleur urbains. Tout. savoir! ce qu il faut

Rosemont- La Petite-Patrie. Îlots de chaleur urbains. Tout. savoir! ce qu il faut Rosemont- La Petite-Patrie Îlots de chaleur urbains Tout savoir! ce qu il faut Qu est-ce qu un îlot de chaleur? Un îlot de chaleur désigne une élévation localisée des températures, particulièrement des

Plus en détail

C2i Niveau 1 Enoncé Activité 1 UPJV 2014-2015 1

C2i Niveau 1 Enoncé Activité 1 UPJV 2014-2015 1 Epreuves pratique du C2i Enoncé de l Activité 1 pour la validation des compétences du domaine D1 du C2i «Travailler dans un environnement numérique évolutif» CONTEXTE L objectif de cette activité est de

Plus en détail

Conditions Générales pour l achat de biens et services

Conditions Générales pour l achat de biens et services Conditions Générales pour l achat de biens et services 1 Champ d application 1.1 Les conditions générales règlent la conclusion, le contenu et l exécution des accords d achat de biens et services. 1.2

Plus en détail

LIVRET JEUNE OFFICIEL. Ligue de Bretagne de Badminton

LIVRET JEUNE OFFICIEL. Ligue de Bretagne de Badminton LIVRET JEUNE OFFICIEL Ligue de Bretagne de Badminton Ligue de Bretagne de Badminton 19 Rue Le Brix 35200 RENNES Page 1 sur 6 FORMATION JEUNE ARBITRE Pour commencer un match : Tirer au sort avec une pièce

Plus en détail

Règles et prescriptions à respecter pour les permis de construire

Règles et prescriptions à respecter pour les permis de construire Collecte et valorisation des déchets dans le pays de Gex Permis de construire Édition 2013 Règles et prescriptions à respecter pour les permis de construire Prévoir la voirie, les équipements et les zones

Plus en détail

Produire avec de l'herbe Du sol à l'animal

Produire avec de l'herbe Du sol à l'animal GUIDE PRATIQUE DE L'ÉLEVEUR Produire avec de l'herbe Du sol à l'animal avril 2011 BRETAGNE PAYS DE LA LOIRE SOMMAIRE Paroles d éleveurs 4 Quelle place donner à l herbe Le choix d un système fourrager 8

Plus en détail

Conditions Générales. Télécharger. Site Internet : http://caping-arclusaz.fr. Mail : campingarclusuaz@orange.fr. Article 1 : Durée du séjour

Conditions Générales. Télécharger. Site Internet : http://caping-arclusaz.fr. Mail : campingarclusuaz@orange.fr. Article 1 : Durée du séjour Conditions Générales Télécharger Site Internet : http://caping-arclusaz.fr Mail : campingarclusuaz@orange.fr Article 1 : Durée du séjour Le locataire signataire du présent contrat conclu pour une durée

Plus en détail

La crise écologique. Perspectives anticapitalistes pour la préservation de la vie sur Terre

La crise écologique. Perspectives anticapitalistes pour la préservation de la vie sur Terre La crise écologique Perspectives anticapitalistes pour la préservation de la vie sur Terre Qu est-ce que la crise écologique? Le réchauffement climatique? La destruction des forêts? La fin du pétrole?

Plus en détail

TRAVAUX D AMENAGEMENT Trottoirs rue Jules Guesde Impasse rue Jean Jaurès

TRAVAUX D AMENAGEMENT Trottoirs rue Jules Guesde Impasse rue Jean Jaurès COMMUNE de LABEUVRIERE TRAVAUX D AMENAGEMENT Trottoirs rue Jules Guesde Impasse rue Jean Jaurès CAHIER des CLAUSES ADMINISTRATIVES et PARTICULIERES (CCAP et CCP) Date et heure limites de réception de l

Plus en détail

Prescriptions techniques et de construction pour les locaux à compteurs

Prescriptions techniques et de construction pour les locaux à compteurs Prescriptions techniques et de construction pour les locaux à compteurs Référence: SIB10 CCLB 110 Date : 22/10/2010 Page 1/9 Table des matières 1 PRELIMINAIRES... 3 2 ABREVIATIONS... 3 3 ACCESSIBILITE

Plus en détail

ÉCOLE : cycle 3 (CM2) Sciences de la vie et de la Terre S INFORMER : organiser l information Classer, trier, assembler, grouper, distinguer

ÉCOLE : cycle 3 (CM2) Sciences de la vie et de la Terre S INFORMER : organiser l information Classer, trier, assembler, grouper, distinguer NIVEAU DISCIPLINE CAPACITÉ COMPÉTENCE MOTS CLÉS ÉCOLE : cycle 3 (CM2) Sciences de la vie et de la Terre S INFORMER : organiser l information Classer, trier, assembler, grouper, distinguer 1. TITRE : TRIER

Plus en détail

Créer son institut de Beauté Esthétique à domicile

Créer son institut de Beauté Esthétique à domicile Créer son institut de Beauté Esthétique à domicile Vous souhaitez créer votre institut ou devenir indépendante en réalisant des soins à domicile? Vous ne savez pas quelles démarches entreprendre et quelles

Plus en détail

Appât insecticide anti-fourmis en gel OPTIGARD

Appât insecticide anti-fourmis en gel OPTIGARD Approved Pamphlet OPTIGARD Ant Gel Bait 30788 2013-03-06 Page 1 of 6 GROUPE 4 INSECTICIDE INSECTICIDE USAGE COMMERCIAL Appât insecticide anti-fourmis en gel OPTIGARD POUR UTILISATION DANS LES ZONES COMMERCIALES,

Plus en détail

Loin de mes yeux. Chaque personne apprivoise la mort à sa façon, ce qui apporte à cette dernière

Loin de mes yeux. Chaque personne apprivoise la mort à sa façon, ce qui apporte à cette dernière Loin de mes yeux Chaque personne apprivoise la mort à sa façon, ce qui apporte à cette dernière expérience une dimension unique. Voici un guide tout simple, une carte routière pour vous montrer les chemins

Plus en détail

Mettre la puce à l oreille mais pas de poux! français. Guide anti-poux

Mettre la puce à l oreille mais pas de poux! français. Guide anti-poux Mettre la puce à l oreille mais pas de poux! Zone libérée des poux français Guide anti-poux Double efficacité: Elimine les poux Endommage la membrane chitineuse des lentes empêchant ainsi l éclosion de

Plus en détail

Comment réussir le déménagement de vos locaux professionnels. Les 15 étapes d un déménagement en toute sérénité

Comment réussir le déménagement de vos locaux professionnels. Les 15 étapes d un déménagement en toute sérénité Comment réussir le déménagement de vos locaux professionnels Les 15 étapes d un déménagement en toute sérénité Introduction Déménager des locaux professionnels n est pas une mince affaire. En la matière,

Plus en détail

Exemples de réclamations Assurance pollution pour entrepreneurs

Exemples de réclamations Assurance pollution pour entrepreneurs Groupe ENCON inc. 500-1400, Blair Place Ottawa (Ontario) K1J 9B8 Téléphone 613-786-2000 Télécopieur 613-786-2001 Sans frais 800-267-6684 www.encon.ca Exemples de réclamations Assurance pollution pour entrepreneurs

Plus en détail

UNE MEILLEURE CONNAISSANCE

UNE MEILLEURE CONNAISSANCE CONCEVOIR ET GÉRER DES AMAS DE FUMIER SOLIDE AU CHAMP UNE MEILLEURE CONNAISSANCE pour un meilleur environnement En 2002, le Règlement sur les exploitations agricoles (REA) prévoyait l échéance des dispositions

Plus en détail

Parasites externes du chat et du chien

Parasites externes du chat et du chien Parasites externes du chat et du chien Identification, prévention et traitement Les tiques Les tiques transmettent des maladies parfois mortelles. La prévention est la meilleure arme. 1 - Où les trouve-t-on?

Plus en détail

Lecteur éditeur de chèques. i2200. Manuel utilisateur. Solutions de transactions et de paiement sécurisées

Lecteur éditeur de chèques. i2200. Manuel utilisateur. Solutions de transactions et de paiement sécurisées Manuel utilisateur Lecteur éditeur de chèques i2200 Solutions de transactions et de paiement sécurisées Ingenico 2200 Avant Propos Merci d avoir choisi le Lecteur Editeur de chèque nouvelle génération

Plus en détail

ESTIMATION DE LA TAILLE DES POPULATIONS D ANOURES DE LA FORET DE FONTAINEBLEAU (SEINE ET MARNE)

ESTIMATION DE LA TAILLE DES POPULATIONS D ANOURES DE LA FORET DE FONTAINEBLEAU (SEINE ET MARNE) ESTIMATION DE LA TAILLE DES POPULATIONS D ANOURES DE LA FORET DE FONTAINEBLEAU (SEINE ET MARNE) Philippe LUSTRAT 33 rue de la garenne 77760 VILLIERS SOUS GREZ Lustrat P. (1999) - Estimation de la taille

Plus en détail

CCI DE GRENOBLE ECOBIZ E-REPUTATION. Alain Bouveret 15.05.2014

CCI DE GRENOBLE ECOBIZ E-REPUTATION. Alain Bouveret 15.05.2014 CCI DE GRENOBLE ECOBIZ E-REPUTATION Alain Bouveret 15.05.2014 LE MENU Intro 3 Le multicanal 5 Les vertus de l insatisfaction & le bad buzz 8 Points de réflexion 14 Exemple : Mon avis 20 Compléments et

Plus en détail

Accessibilité ERP Guide des obligations liées à l accessibilité des personnes handicapées dans les bâtiments ERP existants.*

Accessibilité ERP Guide des obligations liées à l accessibilité des personnes handicapées dans les bâtiments ERP existants.* Accessibilité ERP Guide des obligations liées à l accessibilité des personnes handicapées dans les bâtiments ERP existants.* *Application de l arrêté du 21 mars 2007, de l arrêté du 1er août 2006 et de

Plus en détail

METEOROLOGIE CAEA 1990

METEOROLOGIE CAEA 1990 METEOROLOGIE CAEA 1990 1) Les météorologistes mesurent et prévoient le vent en attitude à des niveaux exprimés en pressions atmosphériques. Entre le niveau de la mer et 6000 m d'altitude, quels sont les

Plus en détail

LES CONTRATS EN AVICULTURE. Comité Volailles FranceAgriMer, 31 janvier 2013 1

LES CONTRATS EN AVICULTURE. Comité Volailles FranceAgriMer, 31 janvier 2013 1 LES CONTRATS EN AVICULTURE Comité Volailles FranceAgriMer, 31 janvier 2013 1 CONTEXTE, OBJECTIFS ET MÉTHODE Comité Volailles FranceAgriMer, 31 janvier 2013 2 CONTEXTE Déficit de compétitivité français

Plus en détail

Liste de contrôle d auto-évaluation pour le niveau de confinement 1 pour les phytoravageurs

Liste de contrôle d auto-évaluation pour le niveau de confinement 1 pour les phytoravageurs Bureau du confinement des biorisques et de la sécurité Office of Biohazard, Containment and Safety Direction générale des sciences Science Branch 59, promenade Camelot 59 Camelot Drive Ottawa ON K1A 0Y9

Plus en détail

CONSTRUCTION DE LA CIBLE

CONSTRUCTION DE LA CIBLE CONSTRUCTION DE LA CIBLE TACHES Jeux sur cibles fixes N 1 Remplir sa maison Posséder les plus de ballon que l adversaire. Au signal de l éducateur, chaque joueur part en course chercher un ballon dans

Plus en détail

ASSURANCE AUTO : POINT IMPORTANTS

ASSURANCE AUTO : POINT IMPORTANTS La convention RDR et d expertise ASSURANCE AUTO : POINT IMPORTANTS Le but de la convention est d accélérer les règlements de sinistre. Ainsi les frais de gestion sont diminués et les assurés sont contents.

Plus en détail

GESTION DE STOCK. July 2009. Hilde De Boeck

GESTION DE STOCK. July 2009. Hilde De Boeck GESTION DE STOCK July 2009 Hilde De Boeck Table des matières Introduction Organisation du stock centrale 1. Gestionnaire de stock 2. Stockage: - Les Conditions - Rangement des produits 3. Les outils de

Plus en détail

NIMEGUE V3. Fiche technique 3.07 : Sauvegarde / Restauration manuelle

NIMEGUE V3. Fiche technique 3.07 : Sauvegarde / Restauration manuelle NIMEGUE V3 Fiche technique 3.07 : Sauvegarde / Restauration manuelle Version au 2 mai 2011 Toute donnée mémorisée sur un ordinateur, quelque soit le support, peut-être supprimée/effacée suite à un dysfonctionnement

Plus en détail

PROTEGER SON DOS ex. Cliniques St Luc

PROTEGER SON DOS ex. Cliniques St Luc CONGRES UCL DE MEDECINE GENERALE 1 juin 2013 PROTEGER SON DOS ex. Cliniques St Luc Philippe Mahaudens, PhD Faculté des sciences de la motricité UCL Service de Médecine Physique et Réadaptation, Saint-Luc

Plus en détail

Déchets professionnels

Déchets professionnels 2015 info service+ Des questions? Des informations complémentaires? Des problèmes d équipements? Un changement de situation? Le professionnel est invité à contacter directement le Syndicat du Val de Loir

Plus en détail

CHAPITRE 4 MÉNAGE ET COMMANDO SECTION 1 INTRODUCTION

CHAPITRE 4 MÉNAGE ET COMMANDO SECTION 1 INTRODUCTION CHAPITRE 4 MÉNAGE ET COMMANDO SECTION 1 INTRODUCTION 401. BUT 1. La procédure de ménage a pour but de limiter le nombre de personnel requis et de diminuer le temps d exécution de cette tâche qui est une

Plus en détail

«Laissez-moi jouer en sécurité»

«Laissez-moi jouer en sécurité» 12 MISE EN PLACE DU CODE DU FAIR-PLAY Publicité pour le Code Tous les parents, les joueurs, les éducateurs et les arbitres doivent se familiariser avec les Règles du jeu et le Code du Fair-play avant le

Plus en détail

Recommandations pour la surveillance de la température de l eau chaude sanitaire

Recommandations pour la surveillance de la température de l eau chaude sanitaire Délégation territoriale du Val-d Oise Recommandations pour la surveillance de la température de l eau chaude sanitaire Maîtriser la température de l eau chaude sanitaire L exploitant d un réseau d eau

Plus en détail

Références : Loi n 79-1150 du 29 décembre 1979 modifiée par la loi n 95-101 du 2 février 1996 (article 53).

Références : Loi n 79-1150 du 29 décembre 1979 modifiée par la loi n 95-101 du 2 février 1996 (article 53). Objet : Publicité, enseignes et pré-enseignes. Références : Loi n 79-1150 du 29 décembre 1979 modifiée par la loi n 95-101 du 2 février 1996 (article 53). Le décret n 96-946 du 24 octobre 1996 pris en

Plus en détail

Brochure technique. Garde-corps. bpa Bureau de prévention des accidents

Brochure technique. Garde-corps. bpa Bureau de prévention des accidents Brochure technique Garde-corps bpa Bureau de prévention des accidents Eviter les chutes dans les bâtiments Les garde-corps remplissent une fonction importante dans les bâtiments: ils protègent des chutes

Plus en détail

PowerControl VI Getting Started 09/06/2008 1

PowerControl VI Getting Started 09/06/2008 1 PowerControl VI Getting Started 09/06/2008 1 Sleep Modus Par Sleep Mode s entend «l état de repos» du PowerControl VI (PC VI). Appuyez 10 sec. sur, pour activer le mode Sleep. Cela n est que possible,

Plus en détail