Traumatismes cérébraux et Neuropsychologues. Noémie Girardin, Anne Pérot Neuropsychologues, Centre Rencontres, Jura

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1 Traumatismes cérébraux et Neuropsychologues Noémie Girardin, Anne Pérot Neuropsychologues, Centre Rencontres, Jura

2 Présentation de notre lieu de travail Courfaivre (JU)

3 Qui accueillons-nous? Les victimes de traumatisme cérébral D origine diverses : post-traumatiques, cérébrovasculaires, anoxiques, post-infectieuses Ne présentant pas de pathologie dégénérative En âge actif Venant de la Suisse entière N exigeant pas de prise en charge médicale et soin trop lourde

4 Capacité d accueil stationnaire 5 personnes en studio, pour lesquelles l établissement est leur lieu de vie 15 personnes en chambre pour des séjours de Courte durée De 3 mois à plusieurs années

5 Capacité d accueil en ambulatoire 10 personnes par jour en centre de jour, soit 20 à 25 personnes par semaine Plusieurs places en postes protégés pour des personnes traumatisées de la région ou s installant dans le Jura, intégrées comme collaborateurs du centre au sein de tous les services

6 Qui sont les professionnels? 5 secteurs Paramédical et animation comprenant une équipe de réadaptation et incluant des moniteurs Soins Administratif Technique Cuisine

7 Collaboration médicale Le centre «Rencontres» n est pas un établissement médicalisé mais nous collaborons étroitement avec Un médecin généraliste de référence Un neurologue consultant Un psychiatre consultant Travail en réseau avec les équipes connaissant le patient

8 Plan 1. Définitions 2. Le parcours d une personne traumatisée cérébrale 3. Séquelles et conséquences du TC 4. Le rôle du neuropsychologue dans le parcours de la personne TC 5. Neuropsychologue au centre Rencontres

9 Définitions

10 Qu est-ce que la neuropsychologie? Une discipline des neurosciences qui étudie les relations entre l encéphale et le fonctionnement cognitif, comportemental et affectif. C est une des nombreuses branches de la psychologie.

11 Que sont et font les neuropsychologues? Ce sont des psychologues Ils évaluent les troubles cognitifs, comportementaux et affectifs après une lésion cérébrale Ils proposent des mesures thérapeutiques afin de permettre ou d améliorer la réintégration sociale, scolaire et/ou professionnelle

12 Mais qu est est-ce qu un un traumatisme cérébral? c

13 Différents termes utilisés en neuro réhabilitation Traumatisé cérébral et cérébro-lésé Veulent dire dans les deux cas que la personne souffrent de lésions cérébrales acquises. Le terme de traumatisme cérébral fait référence à une atteinte cérébrale suite à un accident d origine vasculaire, traumatique, anoxique, post-infectieuse ou post-opératoire. Et non dégénératif

14 Deux origines possibles Maladies : AVC (ischémique ou hémorragique), anoxies cérébrales suite à une crise cardiaque, tumeurs cérébrales, abcès cérébraux Accidents traumatiques : accidents de la voie publique, accidents de sport, plaies par balle, anoxies cérébrales suite à une intoxication au monoxyde de carbone

15 Deux types de lésions Lésions relativement localisées: certains territoires particuliers sont touchés => schématiquement, les séquelles sont spécifiques. Ex: AVC, accidents traumatiques tels qu une plaie par balle Lésions diffuses : de nombreux territoires sont touchés => schématiquement, les séquelles sont hétérogènes Ex: accidents traumatiques tels qu un accident de voiture, anoxies cérébrales

16 Le parcours d une personne traumatisée cérébrale

17 Le parcours d une personne TC L accident Soudain : un avant et un après Perte de connaissance (mais pas toujours) Cas particuliers : les tumeurs ou autre pathologies qui s installent insidieusement

18 Le parcours d une personne TC Les urgences, Une question de rapidité la réanimation De quelques heures à Le coma

19 Le parcours d une personne TC Le centre de réadaptation De quelques semaines à quelques mois années Amnésie Post-Traumatique : quelques minutes à quelques mois Réapprentissage : rééducation intensive (physio, logo, ergo, neuropsy ) Un cadre protégé

20 Le parcours d une personne TC Le centre Rencontres ou équivalent - Avec le but de poursuivre la réadaptation à la vie quotidienne - De quelques mois à quelques années - Poursuivre la rééducation - Développer l autonomie - Retrouver des habitudes de vie - Préserver les acquis

21 Le parcours d une personne TC Le retour à la maison ou en EMS Confrontation de son handicap à la vie réelle Une prise de conscience des proches Une réorganisation de sa vie et de la vie des proches

22 Le parcours d une personne TC Parfois organisation d un séjour au centre Rencontres après être rentré chez soi et quelques fois longtemps après le TC Pour une «décharge de famille», des vacances, une suite de réadaptation après un échec à domicile ou une reprise de la réadaptation après un temps d arrêt

23 Le parcours d une personne Le retour au travail TC À son poste? À un poste moins exigent? En poste protégé? En occupationnel? Temps de travail équivalent à avant? Réduit? Rendement inchangé? Diminué? Observation AI? Rente AI? => Eventuellement un séjour au centre Rencontres

24 Séquelles et conséquences du TC

25 Les séquelles s d un d traumatisme cérébralc

26 Tout d abord La personne est unique et donc son encéphale aussi Chaque traumatisme cérébral est particulier Les séquelles sont donc, dans tous les cas, spécifiques à chaque blessé Attention! taille de la lésion séquelles importance des

27 Les séquelles motrices, sensitives Hémiplégies ou hémiparésies Tétraplégies ou Tétraparésies Spasticité Ataxie Equilibre Les troubles visuels Les troubles auditifs Les paresthésies L agueusie L anosmie

28 Aphasies, Agraphie, Alexie Troubles de la compréhension auditivoverbale Troubles de l expression orale (Paraphasies voire un jargon, Manque du mot, Agrammatisme ) Troubles de l écriture Troubles de la compréhension du langage écrit (lecture) Ce n est pas un trouble de la pensée

29 Acalculies Troubles du calcul, elle peut être en lien avec une aphasie, mais peut aussi en être totalement distinct Elle peut toucher le calcul à différents niveaux Modalité orale (par exemple le calcul mental) ou écrite (par exemple pertes des procédures) Trouble de l estimation

30 Apraxies, Agnosies Apraxie = Troubles du geste (Difficulté ou incapacité à se servir d objets, Incapacité à identifier ou à réaliser des gestes symboliques, Incapacité à imiter des gestes) Apraxies spécifiques Apraxie de l habillage Apraxie de la marche Agnosie=Troubles de la reconnaissance des objets dans un ou plusieurs sens (visuelle, tactile ) Agnosie spécifique Trouble de la reconnaissance des visages

31 Les troubles mnésiques La mémoire à court terme La mémoire de travail La mémoire à long terme (amnésie antérograde/rétrograde) La mémoire épisodique La mémoire sémantique La mémoire procédurale La mémoire prospective

32 Les troubles dysexécutifs (correspondent aux fonctions exécutives) Manque d initiative Trouble de la planification, de l organisation Persévérations, Manque d inhibition Manque d autocontrôle Manque d abstraction

33 Mais aussi Des troubles des capacités attentionnelles Des troubles visuo-constructifs Des hallucinations Des troubles du schéma corporel

34 Les difficultés particulières au traumatisme cérébral

35 L héminégligence Au-delà de l hémiplégie et/ou de l hémianopsie La moitié du corps et de l environnement «n existe» plus dans le vécu de la personne

36 L anosognosie Elle désigne la méconnaissance par la personne de son état, même grave de la perte de ses capacités fonctionnelles dont il est atteint Littéralement : la non conscience de ses troubles

37 Les troubles du comportement Euphorie Désinhibition Hyperactivité Apathie Distractibilité Irritabilité / Agressivité Impulsivité Propos inadéquats Comportements d utilisation

38 Les troubles émotionnels A différents niveaux: L expression: verbale, faciale inadaptée Le ressenti: émoussement affectif, labilité émotionnelle et/ou hypermotivité «la compréhension»: une impossibilité à décoder les émotions chez autrui

39 La fatigabilité Chez une personne non traumatisée : On en parle comme d un besoin de repos, un manque de ressources, de motivation, d entrain.. Elle a un sens C est un moyen de récupération, de tenir en vie Elle fait partie de l horloge biologique Elle protège de l épuisement C est une sorte de régulateur, de frein

40 La fatigabilité (2) Après un TCC: Il peut y avoir d importants problèmes hormonaux Problèmes de répartition des ressources.

41 Le ralentissement Presque toutes les personnes traumatisées sont lentes Chaque acte moteur ou cognitif demande la mise en œuvre de réseaux de neurones endommagés attribuée à d autres fonctions à l origine Les troubles attentionnels ainsi que les incertitudes dues aux problèmes mnésiques augmentent cette lenteur Paradoxalement cette lenteur les rend extrêmement impatientes!

42 Le handicap invisible Invisible à première vue, n est pas perçu par autrui N est pas palpable Fait référence aux séquelles sensorielles, cognitives, comportementales et affectives Prise de conscience de ce handicap difficile (par la personne elle-même comme par l entourage)

43 Attention! Des difficultés cognitives, comportementales et/ou affectives peuvent paraître anodines et normales aux premiers abords Mais deviennent un réel handicap lorsqu elles se présentent à fréquence élevée et se répètent dans le temps

44 Conséquences possibles d un traumatisme cérébral

45 Conséquences en vie quotidienne

46 Dans les actes primaires de la VQ L ensemble des actes primaires de la VQ peut être touché: Lever-toilette-habillage Prise des repas Transferts-déplacements

47 Exemples Ce qui peut altérer le lever et/ou la toilette et/ou l habillage : Des troubles physiques (équilibre, tremblement, hémiplégie), une désorientation temporelle, une perte d initiative, une apraxie, une agnosie, des troubles de mémoire, une héminégligence Ce qui peut altérer les déplacements Un trouble moteur, un environnement peu adapté, un trouble visuel, une désorientation spatiale, une héminégligence, des troubles de mémoire, un défaut d initiative

48 Dans les actes «complexes» de la VQ L ensemble des actes «complexes» de la VQ peut être touché: Courses-cuisine Entretien du logement Gestion administrative et des finances Transports

49 Exemple Ce qui peut altérer les courses : Un trouble moteur, une désorientation spatiale, des troubles de mémoire, un défaut d initiative, un défaut d inhibition, une incapacité à faire des choix, une acalculie

50

51 Exemple Ce qui peut altérer les transports Un problème moteur, une désorientation temporelle et/ou spatiale, une aphasie, des troubles de mémoire, un manque d initiative, un défaut de planification/ d organisation, une grande fatigabilité, une hyperacousie

52 Le cas particulier de la conduite Soumis ou non à autorisation préalable La conduite fait appel à : La vision, la recherche visuelle, la mémoire, l attention/la concentration, la réactivité, les capacités d anticipation/planification c est une tâche extrêmement complexe Un de ces éléments défaillants est suffisant pour entraîner une conduite à risque pour soi et pour autrui

53 AVQ On constate que toutes les tâches de la vie quotidienne, même les plus simples, font appel à de nombreuses fonctions cognitives. => L altération d une seule de ces fonctions a une répercussion sur de nombreux actes de la vie quotidienne

54 Conséquences professionnelles et dans les loisirs

55 Au niveau professionnel Les difficultés motrices et tous les troubles neuropsychologiques et comportementaux peuvent entraîner une limitation dans le travail avec : Perte des compétences Difficulté à gérer un poste de travail (organisation, maîtrise de tous les paramètres, initiatives et initiatives appropriées) Relation collègue/hiérarchie Ce qui peut nécessiter : Retour à un emploi subalterne Diminution du temps de travail Réorientation Travail occupationnel

56 Au niveau des loisirs On retrouve les mêmes problèmes que dans le travail Mais aussi: Perte des intérêts Désinvestissement des activités Loisirs familiaux ou individuels ne sont plus aussi simplement réalisables ex : Les vacances doivent être aménagées et encadrées Engagement associatif: difficultés similaires à la vie professionnelle

57 Conséquences sociales et relationnelles

58 Les troubles impliquant des difficultés sociales et relationnelles Troubles de la compréhension Troubles mnésiques Comportements inadaptés Manque d empathie

59 Avec les amis et les connaissances Incompréhension du handicap Mal-être des interlocuteurs Manque d échanges => Éloignement des amis, des collègues

60 Avec les inconnus Difficultés similaires qu avec les connaissances mais en plus, l interlocuteur ne sait pas que la personne est traumatisée =>difficultés à créer de nouveaux liens => retrait, isolement

61 En conséquence, Il reste souvent : Liens avec la famille Liens avec d autres personnes traumatisées

62 Conséquences familiales

63 Les difficultés impliquant des difficultés familiales Les mêmes que dans les relations sociales Troubles de la compréhension Troubles mnésiques Comportements inadaptés Manque d empathie Mais aussi Manque d initiative Prise de risque Mauvaise gestion des priorités et donc du quotidien

64 Les liens parents/enfant, quand l enfant (adulte) est touché Les liens intergénérationnels Les tutelles et curatelles

65 Dans le couple Les rôles La sexualité => les séparations, la culpabilité

66 Dans la vie de famille La famille et les enfants Redistribution des rôles dans la famille Relation affective avec les enfants Relation éducative

67 Les difficultés annexes, mais essentielles Quand la personne touchée a eu une conduite à risque Quand la personne touchée n était pas seule dans l accident Quand les conséquences économiques sont importantes et que le niveau de vie est très largement revu à la baisse

68 Conséquences psychiatriques et psychologiques

69 Les bouleversements internes Les bouleversements externes comment survivre à ça? Adaptation psychique

70 Conséquences psychiatriques et psychologiques Ce qu on peut observer: Des stress post-traumatiques plus souvent présents lors de traumatismes légers que dans les traumatismes graves, l amnésie «protège» le blessé Des états ressemblant à des symptômes psychotiques Délires de persécution, confabulations Des troubles caractériels irritabilité, agressivité Des états anxieux stress, angoisse, phobies sociales, TOC

71 Conséquences psychiatriques et psychologiques Estime de soi Regard des autres: le pouvoir de la volonté le handicap invisible Confiance en soi Culpabilité

72 Conséquences psychiatriques et psychologiques Le syndrome dépressif Symptômes : abattement, tristesse, fatigue, sentiment d impuissance Fréquent suite à un traumatisme cérébral Arrive tardivement Peut être positif

73 Conséquences psychiatriques et psychologiques Acceptation du handicap Déni Deuil Acceptation du handicap?

74 Conséquences pour les proches Sur les adultes Charge émotionnelle Charge de travail Charge éducative =>épuisement physique et psychologique Sur les enfants et les adolescents

75 Les conséquences, en conclusion La vie entière est bouleversée =>Pouvant aller d une perte d autonomie dans les actes de base de la vie quotidienne à une altération du fonctionnement social le plus complexe Beaucoup ont l impression que le monde va trop vite

76 Attention! Les séquelles peuvent ne pas être compréhensibles pour des personnes non averties Elles peuvent mêmes être difficilement visibles sans investigation spécifique =>et pourtant avoir d importantes conséquences dans la vie quotidienne, professionnelle et sociale de la personne Ex: - une apraxie compensée => ralentissement et fatigue=> épuisement => retrait social - un léger manque de flexibilité => une impossibilité à prendre en compte les remarques des autres => conflit => rejet social

77 Attention! Les personnes sont traumatisées à vie, 5, 10, 20 ans plus tard elles ont les mêmes séquelles: Beaucoup voit un entourage (amical, relationnel) compatissant dans les 1ers temps, puis petit à petit celui-ci oublie et demande de plus en plus à la personne en ce comportant comme si tout allait bien

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