Premiers résultats de la phase I 5 janvier 2012
|
|
- Marie-Laure Lapierre
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 L application d algorithmes de décision et l utilisation de tests rapides permettent-elles d optimiser le dépistage et la prévention de l hépatite B? Premiers résultats de la phase I 5 janvier 2012
2 Plan de la présentation Synthèse du projet Optiscreen B Premiers résultats de la phase I Perspectives Phase II 2
3 Synthèse du projet «Optiscreen B»
4 L équipe Directeur scientifique: Karine Lacombe Investigateur principal: Julie Bottero Chef de projet: Hayette Rougier Attachés de recherche clinique : Farid Djoumad, Samia Hicham, Judith Leblanc, May Al Rawi, Manuela Sebire Responsable virologie: Joel Gozlan Responsable hépatologie: Maud Lemoine Centre de soutien Méthodologique et de gestion de données: Fabrice Carrat, Frédéric Chau et Frédéric, U707 Partenariat institutionnel : ANRS, Mairie de Paris, InVs, INPES et HAS Partenariat industriel : Producteurs de tests: Biomérieux, Lumiquick et Alere Laboratoires pharmaceutiques : Roche, Gilead 4
5 Contexte (I) L Hépatite B, une maladie fréquente et sévère porteurs chroniques = 0,65 % de la population (VIH cas/ VHC ) 2500 nouveaux cas et décès imputables /an Des actions de prévention et de prise en charge insuffisamment mises en œuvre Faible couverture vaccinale: 28% en 2003 / Nettement + faible / autres pays Sous - dépistage: 55% des porteurs chroniques du VHB ignorent ce statut = Réservoir + retard à la prise en charge 5
6 Contexte (II) Raisons : Ignorance des patients quant à la maladie, ses modes de transmission, le dépistage Maladie non identifiée comme prioritaire par les médecins Manque de coordination et d homogénéité des pratiques : Pas de recommandations officielles concernant le dépistage (payant) Des actions de prévention et de prise en charge pourtant possibles Connaissance des groupes à risque Bonne acceptabilité de la population pour dépistage/vaccination De nouvelles possibilités thérapeutiques 6
7 Objectifs Objectif principal Intérêt de l utilisation d algorithmes et de tests rapides pour la prise en charge et la prévention de l hépatite B Objectifs secondaires - Évaluation de l état clinique des patients dépistés porteurs chroniques de l hépatite B - Évaluation médico-économique - CAT vis-à-vis des AcHBc isolés 7
8 Hypothèses Hypothèses L application d algorithme de dépistage permet d optimiser l indication du dépistage Les tests rapides sont équivalents aux tests usuels L utilisation des tests rapides permet d améliorer la prise en charge L utilisation d algorithmes et de tests rapides est coûtefficace 8
9 Schéma d étude Etude multicentrique et prospective Phase I Dépistage de l ensemble des personnes incluses par test Elisa standard Objectifs : Décrire les pratiques habituelles Evaluer les algorithmes de dépistage Evaluer les performances des tests rapides Préciser l attitude vis-à-vis des personnes ayant des ac anti-hbc isolés Préciser l état d avancement de la maladie hépatique des porteurs chroniques Analyse Phase II Objectif : Evaluer l intérêt opérationnel des tests rapides * Dépistage guidé * Randomisation des sujets en 2 groupes, selon méthode de dépistage: Groupe I : Sérologie standard Groupe II : Tests rapides + sérologie 9
10 Matériel d étude Les algorithmes de décision (via questionnaire patient) * Permettent de poser l indication du dépistage * Pas de recommandation officielle nationale française * InVS : En cours de finalisation (jamais utilisé jusqu alors) * CDC 2008: Avis d experts dépister toute personne appartenant à un des groupes à risque identifié 10
11 Matériel d étude Les tests rapides * Jamais utilisés en France, pas d agrément européen * Validation par les producteurs, très peu de littérature grise * 3 tests rapides évalués (versus Gold standard Elisa): - 2 tests Ag HBs (Biomérieux et Alere ) - un test combiné détectant Ag HBs et Ac anti HBs (LumiQuick ) 11
12 Organisation de la phase I Etude de soins courant Recueil des données, 2 types de centres * des centres «inclueurs», sièges du recrutement et du dépistage, choisis - de manière à représenter un panel varié de différents lieux de dépistage et/ou de soins - tels que leur situation géographique permette d adresser les patients AgHBs (+) à St Antoine * un centre de référence (SMIT/Hépato St Antoine) où se font l évaluation médicale des patients AgHBs (+) le contrôle du statut vaccinal à 6 mois des patients non immunisés 12
13 Organisation de la phase I Nombre de sujets : 4000 personnes (Nécessaires pour attester de la non-infériorité des tests) Critères d inclusion/ de non-inclusion Critères d inclusion, toute personne : Consultant en centre «inclueur» Agée d au moins 18 ans Ayant donné son consentement pour participer à l étude Acceptant d être recontacté par téléphone pour le suivi Critères de non-inclusion: Non satisfaction des critères d'inclusion. NB: La non-affiliation à un régime de sécurité sociale, la privation de liberté et le fait de ne pas parler français n étaient pas des critères de non-inclusion 13
14 Premiers résultats
15 Inclusions Objectifs d inclusion et calendrier respectés - 11 mois d étude - 2 à 3 ARCs présents en permanence dans chacun des centres (ouverture séquentielle) Centre Inclueur Période d inclusion Nombre d'inclusions réalisées CDAG St Antoine Oct - Nov 237 CDAG Belleville Oct - Nov 633 Médecin du Monde Dec - Jan 285 UCSA Février-Avril 50 Policlinique St Antoine Février-Avril 553 Cs Voyage St Antoine Février-Avril 158 Croix-Rouge Moulin Joly Mars- Mai 27 Centre d'examens de santé, rue du Maroc Mai-Juin 955 Centre de santé rue au maire Juin (1sm) 100 CDAG Figuier Juil - Août 1002 Total
16 Non Inclus 5396 patients vus par les ARCs, 26% non inclus Centre Non Inclus N, (%) Total N CDAG St Antoine 40 (14.4) 277 CDAG Belleville 44 (6.5) 677 Médecin du Monde 333 (53.9) 618 UCSA 97 (66.0) 147 Policlinique St Antoine 568 (50.7) 1121 Cs Voyage St Antoine 89 (36.0) 247 Croix-Rouge Moulin Joly 0 (0) 27 Centre d'examens de santé de Paris -Antenne Maroc 110 (10.3) 1065 Centre de santé rue au maire 4 (3.8) 104 CDAG Figuier 111 (10.0) 1113 Total 1396 (25.9)
17 Non Inclus Etude bien acceptée par les patients Motif de non inclusion N % Etude non proposée Statut VHB connu avec certitude (médecin) Urgence, dépistage à différer Autre Refus de participation Garder anonymat Refus d être recontacté Refus dépistage Refus étude Dépistage VIH seul souhaité Statut VHB déjà connu Non concerné Pb pour être contacté ou pour le suivi Autre Total
18 Statut VHB de la population incluse Statut VHB N % AgHBs Vacciné Non Immunisé Anticorps anti- HBc isolé Guéri Indéterminé Total (18.2%) des patients ont été en contact avec VHB (InVs: 7.3%) Prévalence VHB 3 fois + élevée que la prévalence nationale Couverture vaccinale proche de celles préalablement estimées (légèrement supérieure) 37% des personnes sont non immunisées 18
19 Description de la population Ensemble N= 4000 AgHBs + N=85 AcHBc + N= 744 Sexe masculin (%) Age médian (y) Prise en charge sociale (%) Sécurité sociale CMU AME Aucune Pays Naissance (%) France Afrique Nord Afrique Noire Asie Né en pays de forte endémie (%) Parent(s) né(s) en pays de forte endémie Soins en pays de forte endémie (%) Proche infecté par l hépatite B (%) Sexualité (%) Hétérosexuels Homo/ Bisexuels ATCD d usage de drogue (%) Voie nasale IV ATCD vaccination (%)
20 Description de la population Variable OR IC 95 Né en pays de forte ou moyenne endémie Parent(s) né en pays de forte ou moyenne endémie Soin en pays de forte endémie Proche infecté Pas de sécurité sociale Homo/ Bisexualité Usage de drogue IV
21 Patients AgHBs + 85 (2.1%) patients dépistés 8 perdus de vue 4 en cours d évaluation 73 évalués, 12 traités (14.1%) Comorbidités associées: 1 co-infecté VIH (1.4%) 3 co-infectés Delta (4.1%) 1 tumeur neuroendocrine du rectum avec métastases hépatiques. VHB non connu 1 Bilharziose Diagnostic retenu N % CHC Hépatite B chronique active >= F2 ou associée à comorbidité hépatique Hépatite B chronique active <F Hépatite B non réplicante >F Immunotolérance probable dont femme enceinte Probable portage chronique inactif Total
22 Patients AcHBc (18.6%) patients présentent des AcHBc + 7.3% enquête InVS 131 (3.3%) AcHBc isolés 100% ont une charge virale VHB négative Considérés comme guéris d une infection ancienne 22
23 Pratiques de dépistage Nombre et proportion de patients éligibles pour leur médecin à un dépistage (hors étude) AgHBs Guéris AcHBc isolés Non immunisés Vaccinés Total N, (%) 74 (87.1%) 368 (71.6) 91 (69.5) 1033 (69.8) 1054 (62.0) 2692 (67.3) 67% des personnes vues en consultation éligibles à un dépistage Données déclaratives surévaluant très probablement la proposition de dépistage Ex pour centres 1, 5 et 6: - Rapports d activité : respectivement 30, 35 et 41% de dépistage VHB - Déclaration à 63, 72 et 96%... 23
24 Algorithmes de dépistage 1) Algorithmes étudiés Pratiques déclarées Algorithme InVS: En cours de développement, non évalué Recommandations du CDC : Personnes nées ou dont les parents sont nés en zone de forte ou de moyenne endémie VHB (prévalence 2%) Usagers de drogue IV Homo- ou bisexuels masculins Patients nécessitant un traitement immunosuppresseur Patients présentant une cytolyse inexpliquée Donneurs de sang, organe, tissue ou sperme Hémodialysés Femmes enceinte Proches de personnes AgHBs positives (vivant sous le même toit, partenaires sexuels ou partageant des aiguilles) Personnes impliquées dans un accident d exposition au sang Séropositifs pour le VIH 24
25 Algorithmes de dépistage 2) Performances pour la détection de l AgHBs Personnes éligibles N, (%) Patients AgHBs+ dépistés N, (%) AUC, [IC] Se Sp VPP VPN LR+ LR- CDC 2820 (70.0) 85 (100) 0.65 [ ] Pratiques déclarées 2692 (67.0) 74 (87.1) 0.60 [ ] Excellentes sensibilités/ Spécificités médiocres Performances des pratiques déclarées moins bonnes que l algorithme CDC (p=0.007) 25
26 Algorithmes de dépistage 2) Performances pour la détection de l AgHBs Personnes éligibles N, (%) Patients AgHBs+ dépistés N, (%) AUC, [IC] Se Sp VPP VPN LR+ LR- CDC 2820 (70.0) 85 (100) 0.65 [ ] Pratiques déclarées 2692 (67.0) 74 (87.1) 0.60 [ ] Sur les 2692 personnes éligibles à un dépistage d après les médecins, 756 patients (28.1%) ne respectent pas les critères CDC : 36 (4.8%) ont eu des soins en pays de forte endémie, 113 (14.9%) ont consommé de la drogue par voie nasale, 246 (32.5%) déclaraient avoir été vaccinés Dépistage utile également pour dépister les non immunisés 26
27 Performances des tests rapides Patients AUC, [IC] Se Sp VPP VPN LR+ LR- Biomérieux [ ] Lumiquick Ag [ ] Determine [ ] Lumiquick Ac [ ] Taux de discordance entre 2 lecteurs très faibles, compris entre 0.15 et 0.36% : une seule lecture possible Tests AgHBs Excellente spécificité Très bonne sensibilité mais imparfaite LR très élevés Equivalence Biomérieux/ Determine. Infériorité Lumiquick en AUC Test AcHBs Faible sensibilité mais très bonne spécificité Bonne VPP Intérêt de santé publique en évitant une cs différée pour tests +? 27
28 Interprétation des tests rapides Test AgHBs Test AcHBs Statut VHB Orientation de la personne + - Infecté par le VHB Prise en charge du VHB - + Immunisé contre le VHB Fin de la prise en charge VHB Résultat discordant, nécessité de confirmation sérologique. Personne très vraisemblablement infectée par le VHB Résultat non significatif, résultat sérologique nécessaire Personne vraisemblablement non porteuse de l hépatite B Consultation différée nécessaire pour confirmation et prise en charge du VHB Consultation différée nécessaire pour rendu du résultat sérologique 28
29 Conclusion de la Phase I Déroulement de la phase I satisfaisant Respect des objectifs d inclusion et du calendrier de l étude Bonne acceptation de l étude Difficultés rencontrées: Rythme / Barrière linguistique/ Précarité des personnes 85 (2.1 %) personnes dépistés Ag HBs (+) La majorité de ces personnes étaient originaires de pays de forte endémie et étaient en outre en situation de précarité sociale. 8 (10%) perdus de vue malgré procédure active de rappels 73 évalués, 12 traités (14.1%) 29
30 Conclusion de la Phase I 100% des patients présentant des AcHBc isolés avaient une charge virale indétectable Evaluation des algorithmes de dépistage et rappel des personnes non immunisées en cours Concernant les tests rapides : Performances des tests AgHBs avérées: utilisation du test Biomérieux pour la phase II Faible sensibilité du test AcHBs Lumiquick mais bonne spécificité Intérêt à préciser 30
31 Perspectives Préciser les caractéristiques des personnes dépistées Evaluer l algorithme de l InVS Evaluer l intérêt d un nouvel algorithme Evaluer l intérêt en pratique des tests rapides (phase II) Prise en charge des personnes AgHBs + Vaccination des sujets non immunisés ayant une indication persistante au dépistage Evaluer sur le plan médico-économique les différentes stratégies de dépistage (phase II)
32 Phase II
33 Objectifs Attester l utilité en pratique de l utilisation des tests rapides VHB pour améliorer la prise en charge thérapeutique ou préventive des personnes dépistées Evaluer sur le plan médico-économique les stratégies de dépistage de l hépatite B 33
34 Design Consultants Sélection Personnes à dépister Choix des critères de sélection : Combinaison des critères CDC + des recommandations nationales françaises de vaccination Critères de sélection: - Né en pays de moyenne ou forte endémie - Parents nés en pays de moyenne/ forte endémie - Voyageurs ou personnes amenées à résider dans les pays de moyenne ou de forte endémie - Donneurs ou candidats à don de sang ou organe - Personnes susceptibles d être en contact avec des patients et/ou produits biologiques - Proches de personnes AgHBs + - AES - Relations sexuelles avec des partenaires multiples - Homo- ou bisexuels masculins - Femmes enceintes - Hémodialysés - Personnes sous traitement immunosuppresseur - Elévation des transaminases - Séropositifs pour le VIH - Usagers de drogue par voie intraveineuse 34
35 Design Recherche Biomédicale Consultants Sélection Personnes à dépister Randomisation Groupe I: Dépistage standard N= 500 Groupe II: Tests rapides + Elisa N= 500 Suivi des AgHBs + et des personnes non immunisée Pas de procédure de relance 35
36 Inclusions Centres inclueurs Policlinique St Antoine/ Cs voyage CDAG Belleville Action délocalisée rue au Maire Centre d examen de santé CPAM Critères d inclusion Toute personne : 18 ans Affiliée à un régime de sécurité sociale Ayant une indication au dépistage de l hépatite B Acceptant d être suivie à St Antoine en cas résultat positif ou douteux Acceptant d être contactée par téléphone (si besoin) Ayant donné son consentement écrit pour participer à l étude Non-inclusion Toute personne : Mineure, privée de liberté par une décision judiciaire ou administrative, faisant l objet d une mesure de protection légale, hors d état d exprimer son consentement, sous sauvegarde de justice, sous curatelle ou tutelle Ayant participé à la phase I de l étude Optiscreen B Ayant en sa possession les résultats non équivoques d un test antérieur de dépistage de l hépatite B. 36
37 Echéancier Sept à déc 2011 : Analyse des performances intrinsèques des algorithmes et des tests rapides Janvier à Août 2012: Inclusion et suivi des patients de la 2ème phase Rédaction des résultats de l analyse de la 1ère phase Septembre à décembre 2012 Analyse des performances opérationnelles des tests rapides Etude médico-économique 37
38 Remerciements A l ensemble des patients ayant participé à l étude Aux équipes médicales et paramédicales nous ayant accueilli A nos partenaires institutionnels : ANRS, Mairie de Paris, InVs, INPES et HAS Aux Laboratoires pharmaceutiques : Roche, Gilead Aux Producteurs de tests: Biomérieux, Lumiquick et Alere
Diagnostic des Hépatites virales B et C. P. Trimoulet Laboratoire de Virologie, CHU de Bordeaux
Diagnostic des Hépatites virales B et C P. Trimoulet Laboratoire de Virologie, CHU de Bordeaux Diagnostic VHC Dépistage: pourquoi? Maladie fréquente (Ac anti VHC chez 0,84% de la population soit 367 055
Plus en détailDevenir des soignants non-répondeurs à la vaccination anti-vhb. Dominique Abiteboul - GERES Jean-François Gehanno Michel Branger
Devenir des soignants non-répondeurs à la vaccination anti-vhb Dominique Abiteboul - GERES Jean-François Gehanno Michel Branger Contexte Hépatite B = risque professionnel pour les soignants Passé futur
Plus en détailL hépatite C pas compliqué! Véronique Lussier, M.D., F.R.C.P.C. Gastroentérologue Hôpital Honoré-Mercier 16 avril 2015
L hépatite C pas compliqué! Véronique Lussier, M.D., F.R.C.P.C. Gastroentérologue Hôpital Honoré-Mercier 16 avril 2015 Objectifs de la présentation Décrire l évolution clinique et la prise en charge d
Plus en détailHEPATITES VIRALES 22/09/09. Infectieux. Mme Daumas
HEPATITES VIRALES 22/09/09 Mme Daumas Infectieux Introduction I. Hépatite aigu II. Hépatite chronique III. Les différents types d hépatites A. Hépatite A 1. Prévention de la transmission 2. Vaccination
Plus en détailLES ACCIDENTS D EXPOSITION AU RISQUE VIRAL Prise en charge & Prévention
LES ACCIDENTS D EXPOSITION AU RISQUE VIRAL Prise en charge & Prévention Evaluation du risque après AEV Selon le type d'accident Virus Percutanée Cutanéomuqueux Morsure VHB 2 à 40% >HCV>VIH Documentée VHC
Plus en détailNovembre 2006. Dépistage anonyme et gratuit du VIH Profil des consultants de CDAG en 2004 - Enquête épidémiologique transversale
Novembre 2006 Profil des consultants de CDAG en 2004 - Enquête épidémiologique transversale sommaire Introduction p. 2 Matériel et méthode p. 3 Résultats p. 5 1 Participation p. 5 1.1 Participation des
Plus en détailVIH et hépatites Profil des consultants 4 ème trimestre 2000
CENTRE DE DÉPISTAGE ANONYME ET GRATUIT DE MONTPELLIER VIH et hépatites Profil des consultants 4 ème trimestre 2000 Juin 2002 Observatoire régional de la santé du Languedoc-Roussillon Hôpital Saint-Eloi
Plus en détailLes hépatites virales chroniques B et C
Les hépatites virales chroniques B et C www.aqodad.ma Service d hépato-gastroentérologie CHU HASSAN II; Fès 6èmes journées médicales d Al Hoceima; Le 28 09 2013 1 Introduction Problème majeur de santé
Plus en détailChristian TREPO, MD, PhD
PEG INTERFERON MONOTHERAPI E Christian TREPO, MD, PhD Unmet medical needs in chronic HBV infection Inhibition of viral replication Normalisation of ALT Improvement in liver necroinflammation Improvement
Plus en détailRECOMMANDATION EN SANTE PUBLIQUE. Stratégies de dépistage biologique des hépatites virales B et C. Argumentaire
RECOMMANDATION EN SANTE PUBLIQUE Stratégies de biologique des hépatites virales B et C Argumentaire Mars 2011 L argumentaire scientifique de cette évaluation en santé publique est téléchargeable sur www.has-sante.fr
Plus en détailHépatite C une maladie silencieuse..
Hépatite C une maladie silencieuse.. F. Bally Centre de Maladies Infectieuses et Epidémiologie Institut Central des Hôpitaux Valaisans Histoire Années 70 Hépatite non-a-non-b = hépatite post-transfusionelle
Plus en détailLe titrage de l AgHBs: un témoin du statut du patient et de la réponse au traitement. Denis Ouzan Institut Arnault Tzanck, Saint-Laurent-du-Var
Le titrage de l AgHBs: un témoin du statut du patient et de la réponse au traitement Denis Ouzan Institut Arnault Tzanck, Saint-Laurent-du-Var Objectifs pédagogiques Connaitre les problèmes pratiques posés
Plus en détaill hépatite b Une maladie qui peut être grave.
l hépatite b Une maladie qui peut être grave. Sommaire Qu est-ce que l hépatite B? L hépatite B est-elle fréquente? Comment attrape-t-on l hépatite B? Comment savoir si l on est atteint d une hépatite
Plus en détailDéfinition de l Infectiologie
Définition de l Infectiologie Discipline médicale clinique Spécialisée. Prise en charge des Maladies Infectieuses et Tropicales. Actuelles, émergentes ou ré-émergentes. Référents dans le cadre d un maillage
Plus en détailLISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B
LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B Actualisation février 2009 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication
Plus en détailBonne lecture!! et si vous souhaitez consulter le document de l AFEF dans son intégralité, c est ici
Un résumé des recommandations éditées par l AFEF le 1 er juin 2015 Les recommandations de l AFEF vont plus loin que celles de l EASL. Le Pr Victor De Lédinghen, du CHU de Bordeaux, et secrétaire général
Plus en détail+ Questions et réponses
HÉPATITE B L hépatite B c est quoi? L hépatite B est un type de maladie du foie causée par le virus de l hépatite B, une des formes les plus courantes de l hépatite virale (les autres sont le virus de
Plus en détailY a-t-il une place pour un vaccin thérapeutique contre l hépatite B? H. Fontaine, Unité d Hépatologie Médicale, Hôpital Cochin
Y a-t-il une place pour un vaccin thérapeutique contre l hépatite B? H. Fontaine, Unité d Hépatologie Médicale, Hôpital Cochin Objectifs thérapeutiques Inhibition de la réplication virale Négativation
Plus en détailHépatite B. Le virus Structure et caractéristiques 07/02/2013
Hépatite B Le virus Structure et caractéristiques o o o Famille des Hepadnaviridae Genre orthohepadnavirus Enveloppé, capside icosaédrique, 42 nm 1 Le virus Structure et caractéristiques En microscopie
Plus en détailHépatite = inflammation du foie. Pr Bronowicki CHU Nancy - 17.11.2011 Conférence mensuelle - section de Forbach
Hépatite = inflammation du foie Pr Bronowicki CHU Nancy - 17.11.2011 Conférence mensuelle - section de Forbach 1 Hépatites virales chroniques 2 Histoire naturelle Hépatite aiguë Guérison Hépatite chronique
Plus en détailACCIDENTS D EXPOSITION AU RISQUE VIRAL. Dr David Bruley Service de Maladies Infectieuses CHU Grenoble
ACCIDENTS D EXPOSITION AU RISQUE VIRAL Dr David Bruley Service de Maladies Infectieuses CHU Grenoble Définition d un AES Sang ou liquide biologique potentiellement contaminant Sécrétions vaginales / sperme
Plus en détailQue faire devant un résultat positif, négatif ou indéterminé? Elisabeth Bouvet Atelier IGRA VIH JNI Tours 13 Juin 2012
Que faire devant un résultat positif, négatif ou indéterminé? Elisabeth Bouvet Atelier IGRA VIH JNI Tours 13 Juin 2012 Conclusions provisoires rapport du HCSP juillet 2011 Valeur prédictive positive des
Plus en détailVIH : Parlons-en franchement!
VihCouv_vert(2011_02) 08/02/11 13:27 Page1 DESSINS PHILIPPE DELESTRE VIH : Parlons-en franchement! VIH : Parlons-en franchement! LE VIH C EST QUOI? Le VIH est un virus. C est le virus du Sida. VIH ÇA VEUT
Plus en détail47 000 consultants testés entre 2004 et 2008 S U R V E I L L A N C E V H C N 8. Encart méthodologique
L A L E T T R E D ' I N F O R M A T I O N D U S Y S T E M E D E S U R V E I L L A N C E D U V H C E N P R O V E N C E - A L P E S - C Ô T E D ' A Z U R S U R V E I L L A N C E V H C N 8 Surveillance continue
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailSida : «Avant d arrêter le préservatif, faites le test»
Sida : «Avant d arrêter le préservatif, faites le test» Dossier de presse Juin 2008 Sida : le test du dépistage encore trop peu souvent associé à l arrêt du préservatif dans le couple Situation de l infection
Plus en détailLA CAISSE PRIMAIRE D ASSURANCE MALADIE (CPAM) COMMENT ÇA MARCHE?
LA CAISSE PRIMAIRE D ASSURANCE MALADIE (CPAM) COMMENT ÇA MARCHE? La CPAM (sécurité sociale) permet d être remboursé entre 15 et 100% en fonction des soins donnés. Une mutuelle peut prendre en charge le
Plus en détailGuide du parcours de soins Titre ACTES ET PRESTATIONS AFFECTION DE LONGUE DURÉE. Hépatite chronique B
Guide du parcours de soins Titre ACTES ET PRESTATIONS AFFECTION DE LONGUE DURÉE Hépatite chronique B Février 2015 Ce document est téléchargeable sur : www.has-sante.fr Haute Autorité de Santé Service des
Plus en détailTransfusions sanguines, greffes et transplantations
Transfusions sanguines, greffes et transplantations Chiffres clés en 2008 La greffe d organes est pratiquée depuis plus de 50 ans. 4 620 malades ont été greffés. 1 563 personnes ont été prélevées. 222
Plus en détailTRAITEMENT DE L HÉPATITE B
TRAITEMENT DE L HÉPATITE B P Mathurin Service d Hépatogastroentérologie Pr Paris Hôpital Claude Hurriez CHRU Lille CRITERES VIROLOGIQUES ET HISTOIRE NATURELLE 1 OBJECTIF THERAPEUTIQUE: Séroconversion HBe
Plus en détailREFERENTIEL D AUTO-EVALUATION DES PRATIQUES EN ODONTOLOGIE
REFERENTIEL D AUTO-EVALUATION DES PRATIQUES EN ODONTOLOGIE Janvier 2006 I. PROMOTEURS Association dentaire française (ADF). Haute Autorité de santé (HAS). II. SOURCE Agence nationale d accréditation et
Plus en détailStratégie de dépistage des Hépatites virales B et C Apport des tests rapides. Dr. LAGATHU Gisèle Laboratoire de Virologie CHU Pontchaillou
Stratégie de dépistage des Hépatites virales B et C Apport des tests rapides Dr. LAGATHU Gisèle Laboratoire de Virologie CHU Pontchaillou Journée du 13 décembre 2012 Virus de l Hépatite B Historique Blumberg
Plus en détailHépatite. du dépistage au traitement. Questions et réponses. L hépatite C Dépistage, clinique, prise en charge et conseils aux patients
DOCUMENT À L USAGE DES PATIENTS Également disponible : L hépatite C Dépistage, clinique, prise en charge et conseils aux patients (document à l usage des professionnels de santé) Document édité et diffusé
Plus en détailRestitution de l 'atelier 1 Protocoles thérapeutiques et aspects médicaux de la PTME
Restitution de l 'atelier 1 Protocoles thérapeutiques et aspects médicaux de la PTME Modérateur : Dr Didier Koumavi Ekouevi INSERM U-897, Université Bordeaux Segalen, PACCI, Abidjan et Université de Lomé
Plus en détailTests de détection de l interféron γ et dépistage des infections tuberculeuses chez les personnels de santé
Tests de détection de l interféron γ et dépistage des infections tuberculeuses chez les personnels de santé Réunion GERES du 6 juillet 2007 : D Abiteboul,, E Bouvet, A Buonaccorsi,, G Carcelain,, M Domart-Rançon,
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION. 10 octobre 2001
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION 10 octobre 2001 VIRAFERONPEG 50 µg 80 µg 100 µg 120 µg 150 µg, poudre et solvant pour solution injectable B/1 B/4 Laboratoires SCHERING PLOUGH Peginterféron
Plus en détailL évolution des modes de communication, comment adapter les enquêtes en population générale? L expérience de l enquête KABP VIH/sida 2010
L évolution des modes de communication, comment adapter les enquêtes en population générale? L expérience de l enquête KABP VIH/sida 2010 Session 2 : Méthodes Nathalie Beltzer, ORS Île-de-France Et le
Plus en détailFICHE D INFORMATION AVANT UNE TRANSFUSION
FICHE D INFORMATION AVANT UNE TRANSFUSION Madame, Monsieur, Si votre état de santé nécessite une transfusion sanguine, ce document est destiné à vous informer sur les avantages et les risques de la transfusion,
Plus en détailTests rapides d orientation diagnostique Expérience du CASO de Cayenne
1 1 Tests rapides d orientation diagnostique Expérience du CASO de Cayenne Dr Christian Hubert Médecins du Monde - Mission France Guyane CASO de Cayenne Réunion COREVIH Guadeloupe 26/11/2010 MDM : Soigner
Plus en détailTraitements de l hépatite B
Traitements de l hépatite B S Matheron Service des maladies infectieuses et tropicales A Hôpital Bichat-Claude Bernard Virus de l hépatite B: histoire naturelle Contage Hépatite aigüe 70% asymptomatique
Plus en détailGUIDE AFFECTION DE LONGUE DURÉE. Hépatite chronique B
GUIDE AFFECTION DE LONGUE DURÉE Hépatite chronique B Octobre 2006 Ce guide médecin est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication 2 avenue du Stade de France F 93218
Plus en détailDroits des patients et indemnisation des accidents médicaux
Droits des patients et indemnisation des accidents médicaux Etablissement public sous la tutelle du Ministère chargé de la santé Les recours possibles pour les patients OBTENIR DES EXPLICATIONS Si un patient
Plus en détailDroits des patients et indemnisation des accidents médicaux
Droits des patients et indemnisation des accidents médicaux Etablissement public sous la tutelle du Ministère chargé de la santé Lorsqu il estime avoir été victime, de la part d un établissement ou d un
Plus en détailAvis d'emploi vacant. Poste(s) supervisé(s) : Date d'affichage : 18 mars 2015. À propos de CATIE
Titre du poste : Service : Relève de : Poste(s) supervisé(s) : Statut : Endroit : Courtier en connaissances, Programmes de santé sexuelle des hommes gais Échange des connaissances Directrice associée,
Plus en détailDépistage de l infection par le VIH en France
RECOMMANDATIONS EN SANTÉ PUBLIQUE Dépistage de l infection par le VIH en France Stratégies et dispositif de dépistage ARGUMENTAIRE Octobre 2009 Document non soumis à relecture typographique Avec la participation
Plus en détail1 ère manche Questions fermées
Quiz VIH 2011 1 ère manche Questions fermées Crips Ile-de-France / Mise à jour : août 2015 Thème : Dépistage Un test VIH négatif indique toujours que la personne qui a fait le test n est pas contaminée
Plus en détailL accès au suivi et au traitement pour les personnes atteintes de l hépatite C au Québec 1
L accès au suivi et au traitement pour les personnes atteintes de l hépatite C au Québec 1 DOCUMENT SYNTHÈSE Lina Noël, Julie Laforest, Pier-Raymond Allard, Marc Dionne, INTRODUCTION Au Québec, près de
Plus en détailQuantification de l AgHBs Pouquoi? Quand?
Quantification de l AgHBs Pouquoi? Quand? Michelle Martinot-Peignoux Service d Hépatologie Hôpital Beaujon Université Paris-Diderot INSERM U-773/CRB3 Clichy-France Plan Introduction Applications Cliniques
Plus en détailEtablissement Français du Sang
Etablissement Français du Sang LE LIEN ENTRE LA GÉNÉROSITÉ DES DONNEURS DE SANG ET LES BESOINS DES MALADES Document de préparation à l entretien médical préalable au don de sang Partie médicale La sécurité
Plus en détailCo-infection HVB HVC CO-infection VIH HVB et HVC
Co-infection HVB HVC CO-infection VIH HVB et HVC Abdelfattah CHAKIB Faculté de médecine et de pharmacie de Casablanca Service des maladies infectieuses, CHU Ibn Rochd 06 61 42 91 64 afchakib@gmail.com
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE. 10 décembre 2008
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 10 décembre 2008 VIRAFERONPEG 50 µg/ 0.5 ml, poudre et solvant pour solution injectable B/1 : code CIP 355 189.3 B/4 : code CIP 355 191.8 VIRAFERONPEG, stylo pré-rempli
Plus en détailDiagnostic et suivi virologique des hépatites virales B et C. Marie-Laure Chaix Virologie Necker
Diagnostic et suivi virologique des hépatites virales B et C Marie-Laure Chaix Virologie Necker OUTILS DIAGNOSTIQUES VHC Transaminases Recherche des Anticorps! Tests indirects - Anticorps! ELISA! RIBA
Plus en détailLES HEPATITES VIRALES
LES HEPATITES VIRALES Infect virales atteignant préférentiellement le foie avec lés inflammatoires, altérat hépatocytaire (cytolsye hépatique) et élévat des transaminases. Etiolo gie Transm ission Contam
Plus en détailHépatite C, les nouveaux traitements
Hépatite C, les nouveaux traitements Dr Ghassan Riachi CHU de Rouen QDN 2014 Revue de presse p L hépatite C est une maladie curable Peginterferon + DAAs 2011 Standard Interferon 1991 + Ribavirin 1998 2001
Plus en détailBilan d Activité du Don de Plaquettes par cytaphérèse Sur une Période d une année au Service Hématologie EHS ELCC Blida.
Bilan d Activité du Don de Plaquettes par cytaphérèse Sur une Période d une année au Service Hématologie EHS ELCC Blida. L.Aribi, F.Kaouane, S.Oukid, C.Boucherit, M.K.Benlabiod, Y.M.Bouchakor, M.T.Abad
Plus en détailImplication des Corevih dans l arrivée des ADVIH: Expérience du Corevih LCA
Implication des Corevih dans l arrivée des ADVIH: Expérience du Corevih LCA Réunion Icône 2015 STRASBOURG Laurence Boyer - PH -SMIT- CHU Nancy Contexte Plan VIH/Sida/IST- 2010/14: Augmenter le dépistage:
Plus en détailTRAIT FALCIFORME. Clinique spécialisée d hématologie pédiatrique
TRAIT FALCIFORME Clinique spécialisée d hématologie pédiatrique Une analyse sanguine a été effectuée chez votre enfant, soit à la naissance, soit à la demande de votre médecin. Cette analyse a démontré
Plus en détailEtat des lieux du prélèvement et de la greffe d organes, de tissus et de cellules MAROC
1 Etat des lieux du prélèvement et de la greffe d organes, de tissus et de cellules MAROC Dr A. BOUDAK / Dr M.H Trabelssi Dir Hôpitaux et dessoins Ambulatoires/M. Santé 6ème colloque France Maghreb sur
Plus en détailPerspectives en sciences sociales et santé publique. Bernard Taverne (CRCF/IRD)
Perspectives en sciences sociales et santé publique Bernard Taverne (CRCF/IRD) Journée scientifique ANRS, Dakar 25 juin 2010 Le devenir des patients au delà d un processus de recherche clinique, Organisation
Plus en détailEvalua&on tests diagnos&ques. Arnaud Fontanet
Evalua&on tests diagnos&ques Arnaud Fontanet Résultats d un test diagnos&que Maladie «Gold standard» Test expérimental + a b a+b - c d c+d a+c b+d Evaluation tests diagnostiques. Arnaud Fontanet 2 Résultats
Plus en détailCAHIER DES CHARGES Bourse «Avenir Recherche & Soins»
CAHIER DES CHARGES Bourse «Avenir Recherche & Soins» La Bourse Mutualiste pour la Recherche Infirmière et Paramédicale LE CONTEXTE GÉNÉRAL La recherche infirmière et paramédicale - c est-à-dire l étude
Plus en détailDépistage de l infection par le VIH en France
RECOMMANDATIONS EN SANTÉ PUBLIQUE Dépistage de l infection par le VIH en France Modalités de réalisation des tests de dépistage CONCLUSIONS Octobre 2008 1 Les recommandations et synthèse de cette évaluation
Plus en détailPOLITIQUE DE SECURITE DE L EFS ou la nécessité de construire un système sûr, durable, évolutif et raisonné
POLITIQUE DE SECURITE DE L EFS ou la nécessité de construire un système sûr, durable, évolutif et raisonné Congrès SFSP, Jeudi 3 novembre 2011 Contexte et objectifs Sécurité transfusionnelle = Préoccupation
Plus en détailCONTROVERSE : IDR OU QUANTIFERON LORS D'UN CONTAGE EN EHPAD?
CONTROVERSE : IDR OU QUANTIFERON LORS D'UN CONTAGE EN EHPAD? Hélène MANGEARD François MALADRY Tuberculose : infection mycobactérienne Infection mycobactérienne chronique (M. Tuberculosis ++ ou bacille
Plus en détailTEST DE DÉPISTAGE DE L IMMUNITÉ CONTRE LE
TEST DE DÉPISTAGE DE L IMMUNITÉ CONTRE LE 14 TÉTANOS ET LA ROUGEOLE 14.1 INTRODUCTION Soumaïla MARIKO Comme on l a déjà précisé au chapitre 1, des tests de dépistage de l immunité contre le tétanos et
Plus en détailCaisse Primaire d Assurance Maladie de La Charente
Caisse Primaire d Assurance Maladie de La Charente Examens périodiques de santé pour tout assuré social (sauf RSI) Les examens périodiques de santé Pour qui? En règle générale Pour tous les assurés sociaux
Plus en détailCERTIFICATION MÉDICALE RAPPORT MÉDICAL POUR LE DROIT DE SÉJOUR
Prévu à l article L313-11 11 du Code de l entrée et du séjour des étrangers et du droit d asile (Ceseda), le droit au séjour pour raison médicale concerne les étrangers atteints de maladie grave qui ne
Plus en détailL appel d offres «Equipes labellisées FRM 2016 présélection 2015» sera diffusé en avril 2015. Critères généraux concernant les aides individuelles
PROGRAMME 2015 ESPOIRS DE LA RECHERCHE Le programme Espoirs de la recherche de la Fondation pour la Recherche Médicale soutient des projets de recherche dans tous les domaines de la biologie et de la santé.
Plus en détailAIDE MÉMOIRE DE PROMOTION DU DON DE SANG
CENTRE NATIONAL DE TRANSFUSION SANGUINE ---------------------------------- DIRECTION DE LA COMMUNICATION ET DE LA PROMOTION DU DON DE SANG AIDE MÉMOIRE DE PROMOTION DU DON DE SANG Pour vos dons et activités
Plus en détailJean-Christophe Richard Véronique Merle CHU de Rouen
Gestion d un cas de portage d entérocoque résistant aux glycopeptides (ERG- ERV) Jean-Christophe Richard Véronique Merle CHU de Rouen IXème Journée régionale de Prévention des infections associées aux
Plus en détailPlace de l interféron dans le traitement de l hépatite B chez le patient co-infecté VIH
Place de l interféron dans le traitement de l hépatite B chez le patient co-infecté VIH Lionel PIROTH CHU Dijon, Université de Bourgogne Tours juin 2012 Un problème? VIH-VHB Piroth L et al, J Hepatol,
Plus en détailOUVERTURE ET MISE EN PLACE
OUVERTURE ET MISE EN PLACE Estelle Marcault 20/01/2012 URC PARIS NORD 1 Ouverture et mise en place Trois types de visites/ réunions peuvent avoir lieu : Visite de sélection Réunion investigateur Visite
Plus en détailLe Livre des Infections Sexuellement Transmissibles
Le Livre des Infections Sexuellement Transmissibles sommaire Qu est-ce qu une IST? p. 5 La blennorragie gonococcique p. 7 La chlamydiose p. 8 L hépatite B p. 9 L herpès génital p. 10 Les mycoplasmes et
Plus en détailListe des principales abréviations
2014-2019 2 Liste des principales abréviations ART CRS DMG DPG FSF HSH IST LGBTQI MAS NONOPEP OPEP PMTCT PrEP PVVIH SIDA TasP TPE VIH Thérapie antirétrovirale Centres de référence Sida Dossier médical
Plus en détail- 2 - faire industriel dans la mise au point des produits biologiques. L Institut Roche de Recherche et Médecine Translationnelle (IRRMT, basé à
Information presse Roche, l Agence Nationale de Recherches sur le Sida et les hépatites virales (ANRS), le Baylor Research Institute (BRI) et Inserm Transfert mettent en place une coopération stratégique
Plus en détailLe VIH-sida, qu est-ce que c est?
LES DROITS DE l ENFANT FICHE THÉMATIQUE Le VIH-sida, qu est-ce que c est? UNICEF/ NYHQ2010-2622 / Roger LeMoyne Chaque jour dans le monde, plus de 7 000 nouvelles personnes sont infectées par le VIH, 80
Plus en détailDélivrance de l information à la personne sur son état de santé
Délivrance de l information à la personne sur son état de santé Mai 2012 Préambule Le contenu et les qualités de l information Les modalités de la délivrance de l information L information du mineur, du
Plus en détailLES CO-INFECTIONS VIH-VHC. EPIDEMIOLOGIE, INTERFERENCES. Patrice CACOUB La Pitié Salpêtrière, Paris
LES CO-INFECTIONS VIH-VHC. EPIDEMIOLOGIE, INTERFERENCES Patrice CACOUB La Pitié Salpêtrière, Paris 8 Avant l introduction des traitements antirétroviraux hautement actifs (HAART), la majorité des patients
Plus en détailLE MALI L HÔPITAL GABRIEL TOURE L HÔPITAL DU POINT G INTRODUCTION 2 INTRODUCTION 1 DISPENSATION DES ARV DANS LES HÔPITAUX DU POINT G ET GABRIEL TOURE
DISPENSATION DES ARV DANS LES HÔPITAUX DU POINT G ET GABRIEL TOURE KALLE A.D A (1), BENGALY L (2)., KONE D ( 1), COULIBALY S.M (2). DIAKITE A.S. (2) DIAMOUTENE A (2) (1) Service de Pharmacie Hôpital Gabriel
Plus en détailLa Mutuelle Des Etudiants, 10 ans de lutte contre le VIH
La Mutuelle Des Etudiants, 10 ans de lutte contre le VIH www.lmde.com La Mutuelle des Étudiants - LMDE : mutuelle soumise aux dispositions du livre II du code de la Mutualité. SIREN 431 791 672. Siège
Plus en détailProjet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer
DOCUMENT D INFORMATION POUR LES PROFESSIONNELS Projet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer Septembre 2009 DÉFINITION ET OBJECTIF Dès lors qu ils expriment un projet de
Plus en détailPierre-Yves Comtois, Marc Leclerc, Bruno Lemay, Karina Ortega Révision scientifique : Benoît Lemire, pharmacien
P RTAIL VIH / sida du Québec Hépatite C Retour sur les symposiums hépatite C 2012 Pierre-Yves Comtois, Marc Leclerc, Bruno Lemay, Karina Ortega Révision scientifique : Benoît Lemire, pharmacien Le 3 et
Plus en détailAspects réglementaires du don et de la transplantation des organes. Mohamed Arrayhani - Tarik Sqalli Service de Néphrologie CHU Hassan II - Fès
Aspects réglementaires du don et de la transplantation des organes Mohamed Arrayhani - Tarik Sqalli Service de Néphrologie CHU Hassan II - Fès Cadre législatif au Maroc Loi 16/98 relative au don, au prélèvement
Plus en détailVanina Bousquet 24 mars 2015
Traitement des données manquantes par une méthode d imputation multiple : Application à des données d enquête et de surveillance des maladies infectieuses Vanina Bousquet 24 mars 2015 Plan 1. Contexte
Plus en détailProphylaxie infectieuse après exposition professionnelle
1 Prophylaxie infectieuse après exposition professionnelle Introduction Le personnel soignant est régulièrement confronté au risque de contamination par le virus de l immunodéficience humaine (VIH) mais
Plus en détailEssais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009
17 èmes Journées des Statisticiens des Centres de Lutte contre le Cancer 4 ème Conférence Francophone d Epidémiologie Clinique Essais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009 Q Picat, N
Plus en détailHépatites virales. Anomalies biologiques chez un sujet asymptomatique (83) A. Gerolami Janvier 2006
Hépatites virales. Anomalies biologiques chez un sujet asymptomatique (83) A. Gerolami Janvier 2006 1. Hépatites virales : étude clinique 1.1. Hépatite aiguë 1.1.1. Forme typique C est la forme clinique
Plus en détailZ I G U I N C H O R SITUATION ECONOMIQUE ET SOCIALE REGIONALE 2013. Service Régional de la Statistique et de la Démographie de Ziguinchor
Z I G U I N C H O R REPUBLIQUE DU SENEGAL Un Peuple Un But Une Foi ------------------ MINISTERE DE L ECONOMIE, DES FINANCES ET DU PLAN ------------------ AGENCE NATIONALE DE LA STATISTIQUE ET DE LA DEMOGRAPHIE
Plus en détailAnnales du Contrôle National de Qualité des Analyses de Biologie Médicale
Annales du Contrôle National de Qualité des Analyses de Biologie Médicale ARN du virus de l hépatite C : ARN-VHC ARN-VHC 03VHC1 Novembre 2003 Edité : mars 2006 Annales ARN-VHC 03VHC1 1 / 8 ARN-VHC 03VHC1
Plus en détailAccès aux antiviraux contre les hépatites dans les pays à bas et moyens revenus : produire localement des génériques. Maurice Cassier CNRS CERMES3
Accès aux antiviraux contre les hépatites dans les pays à bas et moyens revenus : produire localement des génériques Maurice Cassier CNRS CERMES3 Production de génériques dans les PVD et accessibilité
Plus en détailD A N S L E S PAY S F R A N C O P H O N E S
REGARD SUR L EPIDEMIE DU VIH D A N S L E S PAY S F R A N C O P H O N E S Photo: ONUSIDA Levier de la riposte au sida, l ONUSIDA s emploie à bâtir l action politique et à promouvoir les droits de tous les
Plus en détailArthralgies persistantes après une infection à chikungunya: évolution après plus d un an chez 88 patients adultes
Arthralgies persistantes après une infection à chikungunya: évolution après plus d un an chez 88 patients adultes G Borgherini 1, A Gouix 1, F Paganin 1, A Jossaume 1, L Cotte 2, C Arvin-Berod 1, A Michault
Plus en détailProtocole. [anonyme et gratuit] Avec la Région, on en parle, on agit.
Protocole [anonyme et gratuit] Avec la Région, on en parle, on agit. 1. 2. Descriptif du dispositif Le contexte... p. 4 Les objectifs... p. 5 Les bénéficiaires... p. 5 Le chéquier et les coupons... p.
Plus en détailSurveillance des toxi infections alimentaires collectives
Nombre de foyers Surveillance des toxi infections alimentaires collectives Données de la déclaration obligatoire, 2011 En 2011, 1 153 foyers de toxi infections alimentaires collectives (Tiac) ont été déclarés
Plus en détailLe don de moelle osseuse :
DON DE MOELLE OSSEUSE Le don de moelle osseuse : se décider aujourd hui, s engager pour longtemps LA MOELLE OSSEUSE ET SA GREFFE La moelle osseuse C est le tissu mou dans le centre du corps des os qui
Plus en détailBILAN projet DIABSAT 2010-2011. Diabétologie par Satellite
BILAN projet DIABSAT 2010-2011 Diabétologie par Satellite 1 OBJECTIFS Développer et évaluer 3 services de télémédecine assistés par satellite Volet 1 : Education à la nutrition et promotion de l activité
Plus en détailMIEUX COMPRENDRE LE SYSTÈME DE SANTÉ POUR SE SOIGNER
Pour en savoir plus, rendez-vous sur : MIEUX COMPRENDRE LE SYSTÈME DE SANTÉ POUR SE SOIGNER www.cmu.fr www.ameli.fr www.securite-sociale.fr + 3646 ACS CMU Caisse Primaire d Assurance Maladie 657 boulevard
Plus en détailLe VIH et votre foie
Le VIH et votre foie Le VIH et votre foie Que dois-je savoir au sujet de mon foie? Votre foie joue un rôle incroyablement important. Il filtre votre sang en éliminant les substances nocives (toxiques)
Plus en détailComment Elaborer un Plan d Action
Comment Elaborer un Plan d Action Tenant compte du temps et des ressources limités des responsables de mise en œuvre de programmes, les outils de la série Straight to the Point (Droit au But) de Pathfinder
Plus en détailAtelier Santé Ville Paris 18 ACCES AUX SOINS
LES CONSULTATIONS GRATUITES LES CENTRES MEDICO-SOCIAUX. Il faut s assurer auprès de l assistante sociale qui suit l usager ou s adresser au COMEDE pour connaître sa situation. Si la personne ne peut se
Plus en détail