CHAPITRE I. QUELLES SONT LES SOURCES DE LA CROISSANCE ECONOMIQUE?
|
|
- Adam Clermont
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 CHAPITRE I. QUELLES SONT LES SOURCES DE LA CROISSANCE ECONOMIQUE? Juliette Haye Académie de Créteil Les objectifs du chapitre Les indications du programme officiel orientent la réflexion vers trois problèmes : Comment mesurer la croissance? (Le PIB est un indicateur pratique mais critiqué et limité. D autres indicateurs se révèlent nécessaires.) Quelle est l origine de la croissance? (L accumulation des facteurs de production ne peut suffire à expliquer la croissance économique. Les gains de productivité jouent un rôle essentiel.) Quels sont tous les enjeux associes au progrès technique? (Lien entre progrès technique et croissance, origine du progrès technique, effets indésirables du progrès technique, etc.) A la fin du 18 ème siècle, lors de la Révolution Industrielle, la croissance économique est apparue subitement dans certains pays et a assuré l enrichissement et l amélioration des conditions de vie des populations concernées. Mais ce phénomène s est avéré instable et n a pas concerné tous les pays, de sorte que des inégalités se sont creusées. Pour espérer stabiliser et généraliser la croissance, il a fallu l étudier, la mesurer et l expliquer pour en comprendre les mécanismes et en maîtriser les évolutions. I. QU EST-CE QUE LA CROISSANCE ECONOMIQUE? A) DEFINITION, MESURE ET INTERET DE LA CROISSANCE ECONOMIQUE 1 Définition et mesure de la croissance économique Doc 2 p 17 Bordas Elle est un phénomène quantitatif de LT difficile à mesurer. Croissance économique : augmentation quantitative des richesses d un pays (de la production) pendant une période longue. La croissance économique se mesure grâce au PIB, agrégat utilisé pour évaluer la croissance, mesurer les niveaux de vie et faire des comparaisons internationales. PIB = somme des valeurs ajoutées réalisées par les unités résidentes au cours d une année + TVA + droits de douane. C est donc l ensemble des richesses produites sur le territoire au cours d une année. Rappel rapide: la production : activité socialement organisée visant à créer des biens et services marchands et non marchands. CA = PxQ VA = CA CI PIB = Somme des valeurs ajoutées comprenant la valeur de la P marchande (évaluée au prix du marché) et valeur de la production non-marchande des administrations (rappels 1 ère ) Taux de croissance du PIB = indicateur de la croissance économique La croissance est mesurée par le taux de variation du PIB réel 2 L intérêt de la croissance économique C est que sa hausse permet à la population de disposer de plus de B&S pour satisfaire ses besoins. La hausse de la production s accompagne en effet d une hausse des revenus qui élève le niveau de vie
2 moyen (quantité et qualité de B&S dont peut disposer un individu) si la croissance économique est supérieure à la croissance démographique. Cela s accompagne de généralement de l Indicateur de Développement Humain, l IDH., et donc du bien-être. Niveau de vie : quantité de biens et services qu on peut se procurer avec son revenu (ou à crédit), produire soi-même ou se procurer gratuitement (service non marchand). Notion quantitative Mode de vie : ensemble des manières de vie partagées par un groupe social. Il se caractérise par la structure de consommation, les conditions de travail, de vie (habitat, moyen de transport notion qualitative. Au fur et à mesure de l élévation du niveau de vie, les modes de vie se diversifient. B) IMPERFECTIONS DU PIB Mais le PIB, utilisé comme indicateur de richesses, présente des imperfections dénoncées par les économistes. (VOIR AUSSI CHAPITRE 6!) 1 le PIB mesure imparfaitement le niveau de vie Doc 3 p 18 Bordas : Une hausse de la P par habitant dans un pays, peut ne pas s accompagner d une progression équivalente du revenu par habitant quand une partie des richesses produites est captée par des agents non-résidents. En outre, la richesse supplémentaire produite ne bénéficie par forcément à toute la population si les inégalités de revenu s accroissent. La P peut par ailleurs entamer un patrimoine (gisement de matières premières par ex), ce qui empêche la richesse du pays de progresser autant que sa production. (?) Enfin, le bien-être d une population peut augmenter par d autres moyens que la croissance économique (le développement) 2 Le PIB mesure mal ou ne mesure pas certaines activités Doc 3 et 4 p21 du Bordas Une partie de l activité économique échappe à une mesure précise que ce soit dans les PED ou les PDEM. En effet, il ne prend pas en compte les activités domestiques et les activités illégales (marché noir, économie souterraine). Il inclut en revanche du capital naturel ou celles qui se contente de restaurer ce qui a été dégradé. En effet, l accroissement du PIB peut être la conséquence d une détérioration de la vie en société., une dégradation des conditions de vie (catastrophe aérienne, accident de la route, WTC ) peut paradoxalement augmenter le PIB car ces activités supplémentaires provoque une hausse des flux monétaires! Il ne tient pas compte des transferts de richesses liés aux FMN. Il ne dit rien sur la manière dont les richesses sont réparties. Enfin, il ne prend pas en considération l impact des actions de l Homme sur l environnement au détriment des générations futures. La prise en compte dès les 70 s d une dégradation des ressources naturelles provoquées par le développement économique, a conduit les économistes à utiliser un nouveau concept : le développement durable. C est pourquoi la notion de Développement Durable (DD) s est imposée dans le débat public. Elle met l accent sur le développement qui préserve l environnement naturel et se préoccupe des conséquences du développement économique. (voir chapitres 6 et 7) C) LA NECESSITE D AUTRES INDICATEURS
3 1 L IDH Doc 4p19 Hachette pour le schéma Mesurer le développement humain 1. Le PIB n exerce pas d influence directe sur l IDH. Par contre, le RNB influence la dimension du niveau de vie. 2. Le niveau de développement humain ne dépend pas que du revenu des habitants. Il dépend aussi du niveau d instruction de la population (mesure par la durée moyenne et la durée attendue de scolarisation) et de l état de sante de celle-ci (mesure par l espérance de vie). + Doc 4 p19 sur l IDH sur le Bordas Afin de faciliter les comparaisons entre pays, le PNUD a mis au point un indicateur : l IDH qui est une moyenne pondérée de 4 indicateurs : - L espérance de vie à la naissance 1 (dimension santé et longévité) - Le niveau d instruction avec le taux d alphabétisation des adultes 2 et le taux de scolarisation 3 = moyenne d années d étude (dimension instruction) - Le PIB/habitant 4 en PPA (parité de Pouvoir d achat) (dimension niveau de vie décent) Chaque composante compte pour 1/3 de l indice Il se représente sous la forme d une valeur comprise entre 0 et 1. Plus la valeur est proche de 1 et plus l IDH est fort, donc plus le pays est développé. Donc IDH proche de 1 dans les PDEM et inférieure à 0,8 pour les PED (où la croissance démographique est > à la croissance du PIB/hab). 2 Les limites de l IDH Même si la croissance économique est forte, on constate que le classement selon l IDH ne se superpose pas parfaitement au classement selon le PIB/habitant. En effet, un faible PIB/hab peut être partiellement compensé par des politiques volontaristes en matière de santé et d éducation et d une politique réduisant les inégalités avec une meilleure redistribution. Le PIB/hab ne dit pas grand-chose sur les inégalités internes : il les masque. Or cet indicateur a une importance considérable dans le calcul de l IDH. Le choix des indicateurs est donc incomplet voire arbitraire, il ne parle pas de la condition des femmes dans certains pays, de l environnement et des problèmes de pollution, des libertés individuelles, de RNB II. COMMENT EXPLIQUER LE RYTHME TENDANCIEL DE LA CROISSANCE ECONOMIQUE? Malgré les réserves ci-dessus concernant le PIB et la croissance, les économistes restent convaincus que la croissance économique apporte de nombreux bienfaits qui justifient la volonté de la prolonger. Mais pour y parvenir, il faut d abord comprendre son origine et expliquer ses mécanismes. A) FACTEURS DE PRODUCTION ET CROISSANCE ECONOMIQUE 1 Facteurs et fonction de production Doc 1 p22 Bordas Doc. 1 L exemple d une exploitation agricole (correction hachette) 1. Un input est un «intrant», c est-a-dire un élément qu il faut introduire dans le processus de production pour obtenir un résultat. 2. Le produit marginal du travail, ou productivité marginale du travail, est l augmentation de la production permise par l ajout d une unité de travail et sans ajout d unité de capital. 3. La fonction de production permet de prévoir le résultat du choix de l entrepreneur en matière de quantité de facteurs utilises. Le travail et le capital sont 2 facteurs de croissance qui combinés contribuent à créer de la richesse.
4 La hausse du volume des facteurs de production dans un pays favorise la croissance économique comme le montre l utilisation d une fonction de production. doc 2p20 Hachette Doc. 2 La fonction de production 1. Le niveau de production se mesure sur l axe des ordonnées. La fonction de production atteint le niveau 3 pour 6 unités de facteurs. 2. Les rendements d échelle sont constants lorsque l augmentation de la production est proportionnelle a l augmentation des facteurs utilises. Ici, lorsque l on double la quantité de facteurs (de 2 a 4), on double la production (de 1 a 2). Lorsque la quantité de facteurs double encore (de 4 a 8), la production double aussi en passant de 2 a L embauche de nouveaux travailleurs ou l augmentation de la durée du travail. L accroissement de la production est expliquée par le facteur travail ( PA ou nombre total d heures travaillées) et par le facteur capital (stock de machines). 2 Productivité du travail et croissance Doc 2 p 22 Bordas (pour que les élèves comprennent que la croissance provient d une hausse de la productivité) Dans les faits, l essentiel de cette croissance provient d une élévation de la productivité du travail et assez peu de la quantité de travail : le nombre d emplois est en hausse mais on assiste à LT à une diminution du temps de travail La productivité horaire du travail a donc fortement augmenté, permettant sur longue période de rémunérer de mieux en mieux chaque heure travaillée. Doc 4 p23 Bordas effets de la hausse de la productivité du travail sur la croissance Et effets des Gains de Pté sur la croissance doc 5p23 Hachette 3 Gains de Productivité et croissance S il y a gain de productivité, cela signifie que la combinaison productive des facteurs de production est plus efficace : on produit plus avec autant de facteurs ou bien on produit autant avec moins de facteurs de production. Gains de productivité : augmentation de la productivité grâce à une innovation de la combinaison productive. Quand on cherche à augmenter la production, - soit on augmente la quantité de facteurs de production utilisés : c est la croissance extensive (en volume) gains de productivité faibles ou nuls - soit on augmente l efficacité de la combinaison productive donc la productivité en touchant à l organisation du travail, au progrès technique) croissance intensive (en valeur?) forts gains de productivité. Grâce aux GdP la population devient capable de produire plus de B&S et de libérer une partie de la main d œuvre pour satisfaire de nouveaux besoins. Ils permettent aussi de baisser les prix et de distribuer plus de revenus aux a.e. En agissant ainsi positivement sur l offre et sur la demande, les GdP ont permis d assurer une croissance équilibrée.
5 + Doc 5p23 Hachette : effets des gains de productivité sur la croissance Sources des gains de productivité Les GdP proviennent principalement : - Du progrès technique avec des machines + efficaces, des innovations organisationnelles, une moindre utilisation de CI ou nouvelles CI moins chères, effet du PT sur le capital humain. - D externalités positives : la proximité des sous-traitants et des clients est facteurs d économies. Le regroupement des activités permet un échange de savoirs et savoir-faire. L accès à un marché intérieur permet des économies d échelle Tous ces effets externes expliquent que la croissance peut s entretenir d elle-même. B) L INFLUENCE DE L ACCUMULATION DU CAPITAL DANS LA CROISSANCE ECONOMIQUE A LONG TERME 1 Accumulation du capital, externalités positives et hausse de la croissance Doc 3p21 Hachette Doc. 3 De l investissement à la croissance 1. L accumulation du capital est l ajout d équipements nouveaux 0 la masse des anciens équipements. 2. L investissement fait augmenter le stock de capital utilise par les entreprises pour produire. C est donc la logique de l offre, c est-a-dire des facteurs de production, qui est privilégiée.
6 En accumulant les facteurs de P, notamment grâce à l investissement, on crée les conditions de la croissance économique. L accumulation du capital permet sur le LT de stimuler le PT. En effet, l investissement permet de moderniser le capital, ce qui le rend plus efficace. Certains investissements peuvent même générer des externalités positives qui peuvent entretenir une dynamique de croissance endogène : c est le cas des investissements en R&D, en capital humain et de certaines infrastructures publiques. Capital humain : capacités productives d un individu ou d un groupe d individus (savoirs connaissances, qualifications, savoir-faire, qualités personnelles, état de santé). Il y a externalité lorsque la décision d agent économique a des répercussions sur d autres agents économiques sans contrepartie marchande. Ces externalités sont positives car on ouvre de nouvelles perspectives, technologies d innovation et nouvelles connaissances = grand rendement social de la R&D qui profite à une majorité de la société. Ces dépenses de R&D peuvent déboucher sur des innovations décisives pour stimuler la croissance. Quand une entreprise investit, le progrès technique qui en découle, représente une externalité. R&D Invention et nouvelle connaissance Innovation nouveaux produits, procédés et technologies diffusion externalité accroissement des stocks de connaissances stimulation de la croissance. Les externalités agissent de plusieurs façons : - Accroissement du stock de connaissances à la disposition des agents économiques, hausse du rendement de la recherche. - Transfert de surplus : l innovation permet d augmenter la productivité, les clients bénéficiant de prix + faibles. La diffusion permet des économies d échelle ou une baisse des prix. - Complémentarité des innovations (grappes d innovation cf. Schumpeter) 2 Capital humain et hausse de la croissance (VOIR AUSSI CHAPITRE 6!) Doc 3 page 27 du hachette Doc. 3 Croissance, capital humain et développement 1. Le capital humain se définit comme l ensemble des capacités productives qu un individu acquiert grâce à des investissements spécifiques. 2. L investissement dans la formation et la sante améliore la qualité de la main-d œuvre. La productivité augmente, favorisant ainsi la croissance. 3. La croissance économique est indispensable (même si elle n est pas suffisante) au développement humain : elle permet en effet d améliorer la situation des populations en matière de sante, d éducation, etc. Une population éduquée, en bonne sante, etc. est a son tour plus efficace et est donc facteur de croissance économique, entrainant le cercle vertueux croissance- développement humain. On peut ici souligner le rôle de l investissement en capital humain, en particulier via les politiques publiques. En outre, l accumulation du capital humain rend les travailleurs plus aptes à réaliser des travaux complexes, ce qui peut élever la valeur ajoutée crée par chacun et l existence de salariés très qualifiés facile le processus d innovation. L existence d un capital humain a permis une utilisation optimale du capital physique. Il existe un lien entre capital humain et productivité.
7 En effet, un pays doté en capital humain voit son niveau de productivité augmenter. Un pays mieux éduqué améliore la capacité du travail (capacités d adaptation au PT supplémentaire ou supérieures, rationalité des comportements donc baisse des coûts, meilleure maîtrise des techniques). D où l importance de l instruction obligatoire et la poursuite d études longues. Capital humain hausse de la productivité hausse de la croissance. L Etat joue aussi un rôle important en prenant en charge les externalités liées au PT source de productivité et de croissance. C) LE ROLE DU PROGRES TECHNIQUE DANS LA CROISSANCE ECONOMIQUE A LONG TERME 1 La PGF Doc 4 et 5 p21hachette Doc. 4 La quantité de facteurs n explique pas tout 1. Le PIB a augmente de 74,2 % en France entre 1980 et 2007, alors que la masse de facteurs de production n a augmente que de 36,2 %. 2. Si la production avait suivi une fonction de production a rendements d échelles constants, le PIB n aurait du augmenter que de 36,2 %. Doc. 5 Ce qui reste inexpliqué 1. Le PIB de la France a augmente de 1,77 % par an, en moyenne, chaque année entre 2001 et L augmentation du stock de capital explique 0,83 point sur 1,77 % de croissance. Cela signifie que le PIB aurait augmente de 0,83 %, si l on n avait tenu compte que de l augmentation du stock de capital. 2. Si l on additionne la contribution du travail et celle du capital, on n obtient que 1,32 %, alors que la croissance du PIB a été de 1,77 %. Il manque donc 0,45 %. 3. Par soustraction entre la croissance du PIB et la contribution des facteurs [1,77 (0,83 + 0,49) = 0,45]. DONC l accroissement de la production est expliquée par le facteur travail ( PA ou nombre total d heures travaillées) et par le facteur capital (stock de machines). La productivité d un facteur ne s explique que parce qu il est combiné avec l autre facteur de production. Toutefois, les études statistiques sur les sources de la croissance montrent qu il subsiste un «résidu» inexplicable par l influence directe de ces 2 facteurs. Ce résidu c est la PFG appelée aussi l efficacité de la combinaison productive. La production d une entreprise peut s accroître alors que la quantité de facteurs n a pas augmenté, on dira qu elle a bénéficié d une augmentation de sa PGF, sorte de résidu qui explique ce que les facteurs de production n expliquent pas. La PGF mesure la part de la croissance qui ne s explique ni par l utilisation de la main d œuvre, ni par l utilisation du capital, d où le nom de résidu. Il s agit donc d une mesure du progrès technique et d externalités positives. Elle correspond à l efficacité des facteurs de production pris dans leur ensemble, se mesure par la quantité produite grâce à une unité de facteurs composée du travail et du capital. Il existe donc une partie de la production qui ne s explique ni par l utilisation de capital, ni par l utilisation de travail. Donc, le travail et le capital ne suffisent pas à expliquer l intégralité de la croissance. Il faut aussi prendre en compte la (PGF = PT + Externalités positives) Donc croissance du PIB = contribution du travail + contribution du capital + contribution de la productivité globale des facteurs de P C est SOLOW qui est à l origine de cette découverte
8 2 Progrès Technique et croissance exogène de Solow Résidu expliqué doc 1 p22 Hachette Doc. 1 Le résidu expliqué 1. La productivité globale des facteurs est la quantité d unités produites grâce à l utilisation d une unite de facteurs composée d une certaine quantité de travail et de capital. 2. Si la production augmente plus vite que la quantité de facteurs utilisés, cela signifie que ces facteurs de production deviennent de plus en plus efficaces, ce qui correspond à une hausse de leur productivité. Solow est un des économistes qui ont découvert le rôle essentiel des facteurs et de la PGF dans la croissance. L intérêt du modèle de Solow (libéral), Théorie de la croissance exogène, est de mettre en avant le rôle crucial du PT dans la croissance économique. Selon ce modèle, le développement économique s'explique par trois paramètres : les deux premiers sont l accroissement des deux principaux facteurs de production - à savoir le capital (au sens d investissement) et le travail (quantité de main d'œuvre), et le troisième le PT. Autrement dit, pour Solow, sur le long terme, la croissance provient du progrès technique. Toutefois, ce progrès technique est exogène au modèle, c'est-à-dire qu'il ne l'explique pas mais le considère comme donné (telle une «manne tombée du ciel»). Les GdP sont alimentés par une hausse du capital par travailleur et de la PGF, le plus souvent résultat du progrès technique Le Progrès Technique correspond à l ensemble des éléments qui permettent d améliorer les méthodes de production et d accroître la productivité. Il désigne le développement et le perfectionnement des moyens de production, les équipements et les machines + performants. Il touche tout aussi bien aux machines qu à l amélioration des formes d organisation du travail, qu au développement de nouveaux produits ouvrant de nouveaux débouchés Le PT regroupe donc toutes les formes d innovation. Le PT correspond aux innovations de procédés qui permettent d augmenter la productivité du travail et du capital. PT = résultat des innovations. Pour mesurer le PT en tenant compte de ce que l intensité capitalistique varie et agit sur la productivité du travail, on emploie la notion de PGF (part de la croissance qui ne résulte pas d une utilisation accrue de W ou de K). Le PT est donc un facteur de croissance grâce aux gains de productivité et à la hausse de la VA dans l économie hausse des revenus et hausse de la demande. Le PT est donc au cœur de la croissance car il engendre une meilleure efficacité des facteurs de production d où gains de productivité importants : la production peut augmenter en utilisant la même quantité (ou moins) de facteurs donc les prix baissent et le PA augmente. 3 Progrès technique et croissance endogène Doc 1 p26 hachette Doc. 1. La théorie de la croissance endogène 1. Productivité. 2. Solow a bien montre qu une partie importante de la croissance économique de long terme s explique par la hausse de la productivité, dont l origine est progrès technique. Cependant, il ne fait que constater a posteriori l impact du progrès technique. Dans sa réponse, le progrès technique apparait comme un miracle. On dit qu il est exogène. Solow n explique pas pourquoi le progrès technique est plus important a certaines époques et dans certains pays.
9 3. Les théories de la croissance endogène constituent un progrès théorique parce qu elles permettent de progresser dans la connaissance des sources de la croissance. Elles permettent de mieux expliquer un phénomène qui pouvait autrefois relever du hasard ou de la magie. Or, la connaissance scientifique vise justement a s extraire de la pensée «magique». Ces théories constituent aussi un progrès pratique, car elles donnent aux gouvernants des pistes pour mener des politiques favorisant la croissance, qui est un objectif central pour la plupart d entre eux. Pour les théoriciens de la croissance endogène, le progrès technique est un processus autoentretenu par le système économique lui-même, à partir de l accumulation des connaissances et du savoir-faire (capital humain) que favorise l intervention publique. 4 Le rôle de l Etat dans la croissance Les nouvelles théories économiques, dites de la «croissance endogène», visent non seulement à montrer que le progrès technique est une source essentielle de la croissance, mais aussi qu il peut être stimulé par des investissements spécifiques. Le rôle de l Etat est donc de favoriser ces investissements, voire de les réaliser lui-même quand cela est nécessaire. Si la puissance publique fait confiance aux entreprises pour investir dans la R&D et pour favoriser l apparition du progrès technique, et donc de la croissance, il faut alors mettre en œuvre des politiques favorables aux investissements des entreprises dans ce domaine. On peut distinguer au moins deux formes d intervention publique propres à favoriser l investissement privé : les interventions dans le domaine de la protection de la propriété intellectuelle. En édictant des lois pour protéger l innovation, et en les faisant respecter, ce qui implique le bon fonctionnement des services de police et de justice, la puissance publique donne un signal favorable aux investissements des entreprises dans la R&D, car celles-ci sont certaines que leurs idées seront protégées (législation sur les brevets, les droits d auteur, etc.) et qu elles pourront en tirer profit. L Etat peut aussi inciter financièrement les entreprises à réaliser ce type d investissement par des subventions ou des réductions d impôts. On parle de politique de l offre. Le crédit impôt recherche (CIR) qui permet d accorder des réductions d impôts aux entreprises qui investissent dans la recherche et développement, ainsi que les aides accordées par Oseo sont deux exemples typiques du soutien que l Etat apporte aux entreprises innovantes. mais dans certains cas, la législation et les aides ne suffisent pas, et les administrations publiques doivent prendre elles-mêmes à leur charge les dépenses de recherche. La recherche fondamentale est un cas typique dans lequel l Etat est fondé à remplacer les entreprises pour stimuler le progrès technique et donc la croissance. En effet, les résultats issus de la recherche fondamentale sont rares et incertains. Mais surtout, les applications concrètes sont la plupart du temps reportées très loin dans le temps. Ces investissements n assurent donc aux entreprises aucune rentabilité, même à moyen terme. Pourtant, ils génèrent d énormes externalités positives, puisque leurs résultats se révèlent souvent essentiels, des décennies plus tard, pour l apparition d innovations majeures qui assureront la rentabilité des entreprises, l emploi des travailleurs et les revenus des ménages. L histoire montre comment la recherche fondamentale dans le domaine de la physique quantique a conduit à des applications qui sont aujourd hui omniprésentes dans notre quotidien (laser, ordinateurs, etc.). Puisqu il n est pas rentable pour les entreprises de prendre en charge cette recherche fondamentale, c est l Etat qui finance les travaux scientifiques et universitaires. Mais la R&D ne constitue pas le seul vecteur d intervention de l Etat. Les dépenses d éducation, de sante, et plus généralement tous les projets qui visent a créer un environnement propice à l épanouissement des individus, pour leur permettre de développer au mieux leurs qualités, sont considérées comme des investissements dans le capital humain. Ces investissements accroissent la probabilité de voir apparaitre des innovations qui soutiendront la croissance. D) LA CROISSANCE ECONOMIQUE : UNE DESTRUCTION CREATRICE 1 les formes d innovation
10 INVENTION : apparition d un objet ou d un procédé qui n existait pas auparavant. Elle traverse le plus souvent 2 phases : celle de la recherche fondamentale qui débouche sur les découvertes scientifiques ; et celle de la recherche appliquée qui est à l origine d une nouveau procédé technique ou d un nouveau produit capable de répondre à des besoins ou d en susciter de nouveaux. INNOVATION : concept plus large que l invention, c est l application de l invention au domaine économique ; l innovation désigne un changement, une nouveauté apportée Une invention peut devenir une innovation ssi - Produit ou procédé techniquement au point - Il existe un marché potentiel et industriel convaincu de son avenir - Un surcoût éventuel financièrement supportable par les entreprises et les consommateurs. Schumpeter ( ) économiste hétérodoxe (inspiration diverses donc inclassable) autrichien distingue les innovations de produit et de procédé : - Innovation de produit : nouveau bien fabriqué - Innovation de Production : nouvelle méthode de production - Innovation de matière première : découverte d une nouvelle source de matière première - Innovation d organisation : réalisation de nouvelles organisations (accords commerciaux) - Innovation de débouchés : ouverture de nouveaux débouchés pour un produit donné 2 la destruction créatrice Doc 3p25 Hachette ou 2p28 Bordas L activité économique correspond à une succession de périodes différentes (les fluctuations) : expansion, stagnation, ralentissement, récession ; l activité économique obéit donc à des phénomènes cycliques de longue période. (voir chapitre 2) Pour Schumpeter, ce qui déclenche ces périodes est l innovation et les grappes d innovations qui sont à l origine de l expansion car elles vont stimuler la demande et les entreprises vont devoir produire davantage. Les entreprises sont incitées à investir car elles anticipent des profits élevés. La production se développe, les revenus distribués augmentent avec un effet positif sur l emploi et la consommation, clés de la croissance. Diffusion de l innovation mais lorsque le marché est saturé, l innovation s épuise et met fin à l expansion : entrée dans une phase de récession jusqu à une innovation nouvelle qui détruit les anciennes : phénomène de destruction créatrice. Destruction créatrice : processus par lequel les innovations détruisent des structures productives devenues inadaptées : le PT rend obsolètes les anciennes gammes de produits (innovations de produits) et les anciennes façons de produire (innovations de procédés), et en crée de nouvelles. Le processus de DC peut être associé aux I mat et I immatériels car il est la conséquence des innovations. Schumpeter accorde au PT une place primordiale car il est le moteur de la croissance. Les innovations motivées par l investissement et le profit engagent un processus cumulatif de croissance.
11
Chapitre 1 Quelles sont les sources de la croissance?
CONCEPTION ET MISE EN PAGE : PAUL MILAN 18 mars 2015 à 13:38 Chapitre 1 Quelles sont les sources de la croissance? Notions : PIB, IDH, investissement, progrès technique, croissance endogène, productivité
Plus en détailCHAPITRE «CROISSANCE, CAPITAL ET PROGRES TECHNIQUE»
CHAPITRE «CROISSANCE, CAPITAL ET PROGRES TECHNIQUE» I ) SOURCES DE LA CROISSANCE ECONOMIQUE : La croissance économique est d abord une réalité quantitative. Généralement, on mesure cette croissance avec
Plus en détailDEVOIR N 1 économie générale
PROGRAMME : DEVOIR N 1 économie générale L économie et son domaine Le circuit économique comme méthode d'analyse La production marchande et non marchande Le travail Le capital et le progrès technique Le
Plus en détailPremière partie : Mobilisation des connaissances
Première partie : Mobilisation des connaissances 1. Présentez le lien entre productivité globale des facteurs et progrès technique. (3 points) Ci-dessous un corrigé : comparez-le à votre réponse, surlignez
Plus en détailCHAPITRE 2 : L'INVESTISSEMENT ET SES DETERMINANTS
CHAPITRE 2 : L'INVESTISSEMENT ET SES DETERMINANTS Notions à connaître: Taux de rentabilité, taux d'intérêt, demande anticipée, investissement matériel, investissement immatériel, investissement public,
Plus en détailPOUVOIR D ACHAT : la condition de vie des travailleurs
POUVOIR D ACHAT : la condition de vie des travailleurs Séminaire CGTM Mercredi 19 mars 2008 Danielle LAPORT Sociologue Ingénieur Social Equipe de Recherche REV Université Paris XII Val-de-Marne Il me revient
Plus en détailTD de Macroéconomie 2011-2012 Université d Aix-Marseille 2 Licence 2 EM Enseignant: Benjamin KEDDAD
TD de Macroéconomie 2011-2012 Université d Aix-Marseille 2 Licence 2 EM Enseignant: Benjamin KEDDAD 1. Balance des paiements 1.1. Bases comptable ˆ Transactions internationales entre résident et non-résident
Plus en détailL Equilibre Macroéconomique en Economie Ouverte
L Equilibre Macroéconomique en Economie Ouverte Partie 3: L Equilibre Macroéconomique en Economie Ouverte On abandonne l hypothèse d économie fermée Les échanges économiques entre pays: importants, en
Plus en détailUNIVERSITE DE SFAX Ecole Supérieure de Commerce
UNIVERSITE DE SFAX Ecole Supérieure de Commerce Année Universitaire 2003 / 2004 Auditoire : Troisième Année Etudes Supérieures Commerciales & Sciences Comptables DECISIONS FINANCIERES Note de cours N 2
Plus en détailPOINTS DE REPÈRE SUR LA FÉVRIER 2015 PRODUCTIVITÉ EN FRANCE
POINTS DE REPÈRE SUR LA FÉVRIER 2015 PRODUCTIVITÉ EN FRANCE MESURER LA PRODUCTIVITÉ Productivité du travail : valeur ajoutée / stock d heures travaillées. Elle est simple à calculer et facilement compréhensible.
Plus en détailELEMENTS DE COMPTABILITE NATIONALE
ELEMENTS DE COMPTABILITE NATIONALE Cours de M. Di Roberto Université Victor Segalen Bordeaux 2 Bibliographie Ce cours s inspire largement des ouvrages essentiels suivants. Merci à leurs auteurs. BOSSERELLE
Plus en détailThème 2 : Le rôle du «secteur informel» dans l intégration régionale
Thème 2 : Le rôle du «secteur informel» dans l intégration régionale 1. Le secteur informel en Afrique : définition et caractéristiques générales Le secteur informel est défini comme l'ensemble des unités
Plus en détailI) L ouverture des économies à l international
L autarcie s oppose au système du libreéchange. I) L ouverture des économies à l international A) La mesure des échanges de biens et services. La balance des transactions courantes. Cette balance retrace
Plus en détailChapitre 6. Le calcul du PIB, de l inflation et de la croissance économique. Objectifs d apprentissage. Objectifs d apprentissage (suite)
Chapitre 6 Le calcul du PIB, de l inflation et de la croissance économique 1 Objectifs d apprentissage Faire la distinction entre le stock de capital et de la richesse et le flux de production, de revenu,
Plus en détailFocus sur les politiques publiques de l épargne en France
Focus sur les politiques publiques de l épargne en France T. Mosquera Yon Banque de France 1 En France, les pouvoirs publics ont, dès 1818, souhaité mettre en place des dispositifs visant à encourager
Plus en détailENSAE, 1A Maths. Roland Rathelot roland.rathelot@ensae.fr. Septembre 2010
Initiation à l économie ENSAE, 1A Maths Roland Rathelot roland.rathelot@ensae.fr Septembre 2010 Les ménages (1/2) Les ressources des ménages La consommation L épargne Les ménages comme agents économiques
Plus en détailEconomie Générale Initiation Ecole des Ponts - ParisTech
Economie Générale Initiation Ecole des Ponts - ParisTech Stéphane Gallon Caisse des Dépôts stephane.gallon@caissedesdepots.fr https://educnet.enpc.fr/course/view.php?id=2 1 Macroéconomie : croissance à
Plus en détailTHÈME 1. Ménages et consommation
THÈME 1 Ménages et consommation 1 Comment les revenus et les prix influencent-ils les choix des consommateurs? SENSIBILISATION Étape 1 D où provient l argent des ménages? Revenus «primaires» Du travail
Plus en détailVivre mieux au Québec? Mesurer et comparer le bien-être à l échelle internationale
Vivre mieux au Québec? Mesurer et comparer le bien-être à l échelle internationale (Le Québec économique 2011, chap. 1) Luc Godbout et Marcelin Joanis Université de Sherbrooke 31 mai 2012 Forum de l Association
Plus en détailLes exploitations de grandes cultures face à la variabilité de leurs revenus : quels outils de gestion des risques pour pérenniser les structures?
Les exploitations de grandes cultures face à la variabilité de leurs revenus : quels outils de gestion des risques pour pérenniser les structures? Benoît Pagès 1, Valérie Leveau 1 1 ARVALIS Institut du
Plus en détailANNEXE VII EFFETS MACROECONOMIQUES DE LA REFORME PIECE JOINTE N 2 SIMULATIONS REALISEES A PARTIR DU MODELE MACROECONOMETRIQUE MESANGE
ANNEXE VII, PJ n 2, page 1 ANNEXE VII EFFETS MACROECONOMIQUES DE LA REFORME PIECE JOINTE N 2 SIMULATIONS REALISEES A PARTIR DU MODELE MACROECONOMETRIQUE MESANGE ANNEXE VII, PJ n 2, page 2 Les simulations
Plus en détailRéduire la pauvreté : comment les collectivités territoriales peuvent-elles être des catalyseurs du développement économique pro-pauvre?
Réduire la pauvreté : comment les collectivités territoriales peuvent-elles être des catalyseurs du développement économique pro-pauvre? Les trois dernières décennies ont été marquées par des progrès impressionnants
Plus en détailDu marketing dans ma PME!
Du marketing dans ma PME! Manque d expérience marketing des managers de sociétés technologiques, difficulté de recruter des profils marketing formés ou expérimentés : pourquoi la mission marketing est-elle
Plus en détailTC12 : Protection sociale et solidarités collectives
TC12 : Protection sociale et solidarités collectives 1 Etat providence et protection sociale 11 L apparition de l Etat providence DOC 1 Q1 Qu est-ce que la société libérale? C est une société dans laquelle
Plus en détailPromulgue la loi dont la teneur suit : TITRE I
Loi n 98-11 du 29 Rabie Ethani 1419 correspondant au 22 août 1998 portant loi d Orientation et de Programme à Projection Quinquennale sur la Recherche Scientifique et le Développement Technologique 1998-2002
Plus en détailRemarques d Ouverture par M. Mohammed Laksaci, Gouverneur de la Banque d Algérie, Président de l Association des Banques Centrales Africaines
Remarques d Ouverture par M. Mohammed Laksaci, Gouverneur de la Banque d Algérie, Président de l Association des Banques Centrales Africaines Symposium des Gouverneurs sur le thème «Inclusion financière
Plus en détailMonia Amami Franck Brulhart Raymond Gambini Pierre-Xavier Meschi
Version 4.7 Simulation d Entreprise «Artemis» Monia Amami Franck Brulhart Raymond Gambini Pierre-Xavier Meschi p. 1 1. Objectifs et Contexte Général L objectif de la simulation d entreprise «Artemis» est
Plus en détailSolutions d assurance-vie pour les. propriétaires d entreprise
Solutions d assurance-vie pour les propriétaires d entreprise Solutions d assurance-vie pour les propriétaires d entreprise Quel type d assurance-vie convient le mieux aux propriétaires d entreprise? Tout
Plus en détailLe calcul du barème d impôt à Genève
Le calcul du barème d impôt à Genève Plan : 1. Historique Passage d un système en escalier à une formule mathématique 2. Principe de l imposition Progressivité, impôt marginal / moyen ; barème couple/marié
Plus en détailCorefris RAPPORT ANNUEL 2011. Annexe 3 : La hausse des prix de l immobilier est-elle associée à une «bulle» de crédit en France?
Annexe 3 : La hausse des prix de l immobilier est-elle associée à une «bulle» de crédit en France? (DGTrésor) 1. Indépendamment de facteurs d offre et de demande, qui jouent indéniablement sur les prix,
Plus en détailIV. Les nécessités d une grande réforme : propositions pour une assurance générale de revenu. Ruth Gurny, Denknetz Traduction : Sabine Dormond
IV. Les nécessités d une grande réforme : propositions pour une assurance générale de revenu Ruth Gurny, Denknetz Traduction : Sabine Dormond Pour une protection solidaire et équitable : l assurance générale
Plus en détailL autopartage en trace directe : quelle alternative à la voiture particulière?
L autopartage en trace directe : quelle alternative à la particulière? Résultats de la première enquête sur l impact d un service d autopartage en trace directe (le cas d Autolib ) Cette étude réalisée
Plus en détailCHAPITRE 6. LES FONCTIONS MACROÉCONOMIQUES
CHAPITRE 6. LES FONCTIONS MACROÉCONOMIQUES PLAN ET RÉFÉRENCES Plan du chapitre I. Circuit et équilibre macro-économique II. La consommation et l épargne III. L investissement Références Généreux (2) Mankiw
Plus en détailChapitre 3. La répartition
Chapitre 3. La répartition 1. La répartition de la valeur ajoutée La valeur ajoutée (1) Valeur ajoutée : solde du compte de production = > VA = P CI = > Richesse effectivement créée par les organisations
Plus en détailInvestissements et R & D
Investissements et R & D Faits marquants en 2008-2009 - L investissement de l industrie manufacturière marque le pas en 2008 et se contracte fortement en 2009 - Très fort recul de l utilisation des capacités
Plus en détailLa comptabilité de gestion : Fiche pourquoi?
La comptabilité de gestion : Fiche pourquoi? 1 Définition Selon le plan comptable général, la comptabilité de gestion fait apparaître deux aspects : Connaître les coûts et les résultats par produit. Agir
Plus en détailCHOIX OPTIMAL DU CONSOMMATEUR. A - Propriétés et détermination du choix optimal
III CHOIX OPTIMAL DU CONSOMMATEUR A - Propriétés et détermination du choix optimal La demande du consommateur sur la droite de budget Résolution graphique Règle (d or) pour déterminer la demande quand
Plus en détailChapitre 2/ La fonction de consommation et la fonction d épargne
hapitre 2/ La fonction de consommation et la fonction d épargne I : La fonction de consommation keynésienne II : Validations et limites de la fonction de consommation keynésienne III : Le choix de consommation
Plus en détailEco-Fiche BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1
Eco-Fiche Janvier 2013 BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1 Retour sur l année 2012 : l atonie En 2012, le Produit Intérieur Brut (PIB) s est élevé à 1 802,1 milliards d euros, soit
Plus en détailComment mieux évaluer les risques industriels par la mesure du capital immatériel???
Comment mieux évaluer les risques industriels par la mesure du capital immatériel??? GENERALI : Un acteur engagé et responsable FFSA 26/01/2010 " Le secteur de l assurance est concerné par tous les sujets
Plus en détail26.6.2013 FR Journal officiel de l Union européenne L 174/1
26.6.2013 FR Journal officiel de l Union européenne L 174/1 INTRODUCTION CHAPITRE 19 LES COMPTES EUROPÉENS 19.1 Le processus d'intégration européenne a dicté la nécessité d'établir une séquence complète
Plus en détailNOTE D INFORMATION. L Assemblée Nationale a adopté en décembre 2013 la loi de finances pour 2014 et la loi de finances rectificative pour 2013.
36 rue de Monceau 75008 Paris 62 rue de la République 69002 Lyon www.seine-saone.fr NOTE D INFORMATION Date : 20 janvier 2014 Objet : Loi de finances pour 2014 Loi de finances rectificative pour 2013 Madame,
Plus en détailI. Le partage du revenu entre l épargne et la consommation
LA CONSOMMATION ET L EPARGNE (10) 1 La consommation et l épargne sont les deux opérations économiques consistant à utiliser le revenu disponible. Les agents économiques affectent leur revenu à la consommation
Plus en détailLA FINANCE EST-ELLE DEVENUE TROP CHERE? ESTIMATION DU COUT UNITAIRE D INTERMEDIATION FINANCIERE EN EUROPE 1951-2007
LA FINANCE EST-ELLE DEVENUE TROP CHERE? ESTIMATION DU COUT UNITAIRE D INTERMEDIATION FINANCIERE EN EUROPE 1951-2007 Les notes de l IPP n 10 Juin 2014 Guillaume Bazot www.ipp.eu Résumé La finance a pris
Plus en détailPlacements sur longue période à fin 2011
Les analyses MARS 2012 Placements sur longue période à fin 2011 Une année 2011 particulièrement favorable aux «valeurs refuges», mais la suprématie des actifs risqués reste entière sur longue période.
Plus en détailFaut-il encourager les ménages à épargner?
Faut-il encourager les ménages à épargner? Analyse du sujet : Nature du sujet : Sujet de type «discussion». Problématique explicite. Mots-clés : Ménages ; épargner épargne des ménages Encourager Epargne
Plus en détailQu est-ce que l adaptation au changement climatique?
Note de position de CARE sur le changement climatique Qu est-ce que l adaptation au changement climatique? Le changement climatique représente une menace sans précédent pour les populations des pays en
Plus en détailENTREPRISE DE NETTOYAGE
ENTREPRISE DE NETTOYAGE SOMMAIRE LE MARCHÉ DE L'ENTREPRISE DE NETTOYAGE... 2 LA RÉGLEMENTATION DE L'ENTREPRISE DE NETTOYAGE... 5 L'ACTIVITÉ DE L'ENTREPRISE DE NETTOYAGE... 7 LES POINTS DE VIGILANCE DE
Plus en détailIncitants fiscaux à l épargne et piste d amélioration
Incitants fiscaux à l épargne et piste d amélioration Arnaud Marchand et Olivier Jérusalmy Réseau Financité L attirance des Belges pour le compte d épargne est loin d être fortuite. Deux facteurs principaux
Plus en détailEpargne : définitions, formes et finalités.
Epargne : définitions, formes et finalités. 1) Définitions de l épargne. Le dictionnaire Larousse définit l épargne comme une «fraction du revenu individuel ou national qui n est pas affectée à la consommation»,
Plus en détailLe FMI conclut les consultations de 2008 au titre de l article IV avec le Maroc
Note d information au public (NIP) n 08/91 POUR DIFFUSION IMMÉDIATE Le 23 juillet 2008 Fonds monétaire international 700 19 e rue, NW Washington, D. C. 20431 USA Le FMI conclut les consultations de 2008
Plus en détailUNE MEILLEURE CROISSANCE, UN MEILLEUR CLIMAT
UNE MEILLEURE CROISSANCE, UN MEILLEUR CLIMAT The New Climate Economy Report EXECUTIVE SUMMARY La Commission Mondiale sur l Économie et le Climat a été établie pour déterminer s il est possible de parvenir
Plus en détailCollection Au Quotidien
Collection Au Quotidien 2 La dernière crise économique a mis en lumière les limites de notre modèle de croissance, insoutenable à long terme. On s est ainsi aperçu, entre autres, que le PIB, indicateur
Plus en détailLes investissements internationaux
Conclusion : Doit-on réguler les IDE? Les investissements internationaux Introduction : Qu est ce qu un investissement direct à l étranger (IDE)? I) L évolution des IDE 1 Les IDE : une affaire entre riches
Plus en détailLes opérations et autres flux
Les opérations et autres flux Les nomenclatures présentées ici sont celles du Système européen des comptes 2010 (SEC 2010). Nomenclature des opérations Opérations sur produits (biens et services) (P) P.1
Plus en détailRENTABILITE IMMOBILIERE ET PRESSION FISCALE
RENTABILITE IMMOBILIERE ET PRESSION FISCALE Conférence de presse 13 mars 2012 SOMMAIRE Introduction p. 3 CALCULS DE RENTABILITE IMMOBILIERE Cinq exemples avec des prélèvements sociaux portés à 15,5 %...p.
Plus en détailFONDS D INVESTISSEMENT CLIMATIQUES
FONDS D INVESTISSEMENT CLIMATIQUES CRITÈRES DE SÉLECTION DES PROGRAMMES PILOTES NATIONAUX ET RÉGIONAUX AU TITRE DU PROGRAMME D INVESTISSEMENT FORESTIER I. CADRE GÉNÉRAL 1. On s accorde de plus en plus
Plus en détailAUTO-ENTREPRENEUR ET PORTAGE SALARIAL L AUTO-ENTREPRENEUR
AUTO-ENTREPRENEUR ET PORTAGE SALARIAL L AUTO-ENTREPRENEUR 1 LE REGIME C est un nouveau régime plus simplifié pour exercer une activité indépendante Ce n est pas un nouveau statut juridique car un auto-entrepreneur
Plus en détailL IMPACT DE LA MUTUALISATION SUR LES RESSOURCES HUMAINES
ANNEXES L ISTE DES ANNEXES ANNEXE I : ANNEXE II : ANNEXE III : ANNEXE IV : ÉVOLUTION DES DEPENSES DES COMMUNES ET DES EPCI DE 2006 A 2013 OUTILS JURIDIQUES DE MUTUALISATION A DISPOSITION DES ACTEURS LOCAUX
Plus en détailStratégie d assurance retraite
Stratégie d assurance retraite Département de Formation INDUSTRIELLE ALLIANCE Page 1 Table des matières : Stratégie d assurance retraite Introduction et situation actuelle page 3 Fiscalité de la police
Plus en détailComparaison des enjeux énergétiques de la France et de l Allemagne
Comparaison des enjeux énergétiques de la France et de l Allemagne Dans la perspective de la première conférence franco-allemande sur l énergie qui se tiendra le 2 juillet prochain à Paris 1, il paraît
Plus en détailÉCONOMIE GÉNÉRALE FIIFO1
ÉCONOMIE GÉNÉRALE FIIFO1 2000-2001 MÉRÉ Aurélien AMC Economie - Page 1 INTRODUCTION GENERALE 3 NATURE DE L ACTIVITE ECONOMIQUE 3 L OBJET DE LA SCIENCE ECONOMIQUE 4 LES GRANDS COURANTS DE LA PENSEE ECONOMIQUE
Plus en détailHausse du crédit bancaire aux entreprises au Canada
Hausse du crédit bancaire aux entreprises au Canada Juillet 3 Aperçu Des données récemment publiées, recueillies par Prêts bancaires aux entreprises Autorisations et en-cours (Figure ), l Association des
Plus en détailMESURER LA PRODUCTIVITÉ
Revue économique de l OCDE n 33, 2001/II MESURER LA PRODUCTIVITÉ Paul Schreyer et Dirk Pilat TABLE DES MATIÈRES Introduction... 138 Mesurer la croissance de la productivité... 140 Mesures de la productivité
Plus en détailMotion pour «L interdiction des affiches publicitaires pour le petit crédit»
Motion pour «L interdiction des affiches publicitaires pour le petit crédit» De par mon métier d assistante sociale, je peux constater les ravages de l endettement sur la vie des familles et des jeunes
Plus en détaill assurance-vie avec participation de la London Life
Votre guide de l assurance-vie avec participation de la London Life Valeur, solidité et choix Ce que vous découvrirez dans ce guide En combinant les renseignements contenus dans ce guide aux conseils professionnels
Plus en détailMonnaie, chômage et capitalisme
Franck Van de Velde Monnaie, chômage et capitalisme Presses Universitaires du Septentrion internet : www.septentrion.com Sommaire Introduction Générale 7 1. Monnaie 7 2. Monnaie et capitalisme 10 3. Monnaie,
Plus en détailNOTE D INFORMATION n 01 Janvier 2014
DIRECTION DE L ÉVALUATION, DE LA PROSPECTIVE, ET DE LA PERFORMANCE DEPP NOTE D INFORMATION n 1 Janvier 214 La dépense par élève ou étudiant pour un parcours dans l enseignement scolaire ou supérieur en
Plus en détailLa demande Du consommateur. Contrainte budgétaire Préférences Choix optimal
La demande Du consommateur Contrainte budgétaire Préférences Choix optimal Plan du cours Préambule : Rationalité du consommateur I II III IV V La contrainte budgétaire Les préférences Le choix optimal
Plus en détail- 01 - GESTION DES INVESTISSEMENTS RENTABILITE ECONOMIQUE
- 01 - GESTION DES INVESTISSEMENTS RENTABILITE ECONOMIQUE Objectif(s) : o Choix des investissements et rentabilité économique : Capacité d'autofinancement prévisionnelle ; Flux nets de trésorerie ; Evaluations.
Plus en détail+ 34,7 % 1. Le budget. L Budget exécuté 2006 à 2009 de la CNSA et budget prévisionnel 2010. entre 2006 et 2009.
Chiffres clés 21 Créée en 24, la CNSA contribue au financement des politiques d aide à l autonomie des personnes âgées et des personnes handicapées. Elle consacre en particulier une grande part de son
Plus en détailPlan d action du PDC concernant le franc fort
Plan d action du PDC concernant le franc fort Vendredi 20 février 2015, à 16 h 45 Renseignements : Filippo Lombardi, président du groupe et conseiller aux Etats (TI), mobile : 079 620 64 65 Pirmin Bischof,
Plus en détailAvis légal. I 2 FISCALLIANCE 2011 L Incorporation des Courtiers Immobiliers du Québec
Avis légal L incorporation des courtiers est un sujet très complexe, lequel ne saurait évidemment être traité en profondeur dans le présent document. Ce fascicule vise à sensibiliser les courtiers quant
Plus en détailAnnexe - Balance des paiements et équilibre macro-économique
Annexe - Balance des paiements et équilibre macro-économique Les échanges de marchandises (biens et services), de titres et de monnaie d un pays avec l étranger sont enregistrés dans un document comptable
Plus en détailCroissance et emploi en France, le gouvernement place les PME au centre de son dispositif :
Croissance et emploi en France, le gouvernement place les PME au centre de son dispositif : Un dispositif d une telle ampleur et avec tant d innovations, de simplications et de sécurisation, du jamais
Plus en détailLes durées d emprunts s allongent pour les plus jeunes
Revenus Les durées d emprunts s allongent pour les plus jeunes Marie-Émilie Clerc, Pierre Lamarche* Entre 2005 et 2011, l endettement des ménages a fortement augmenté, essentiellement du fait de la hausse
Plus en détail1er thème: comment les revenus et les prix influencent-ils les choix des consommateurs?
Ménages et consommation 1er thème: comment les revenus et les prix influencent-ils les choix des consommateurs? question 1: comment le revenu des ménages est-il réparti? question 2: quelle est l influence
Plus en détailMigration: un plus pour la Suisse Relations entre État social et migration: la position de Caritas
Migration: un plus pour la Suisse Relations entre État social et migration: la position de Caritas Prise de position de Caritas_mars 2011 Migration: un plus pour la Suisse En bref: Quel est l effet de
Plus en détailPARTIE 2 : LES POLITIQUES ÉCONOMIQUES CONJONCTURELLES
SO00BM24 Introduction aux politiques économiques PARTIE 2 : LES POLITIQUES ÉCONOMIQUES CONJONCTURELLES CHAPITRE 2 : LA POLITIQUE MONETAIRE I. Préambules sur la Monnaie II. 1. La création monétaire A. Comment
Plus en détailCHAPITRE VI - LES SOLDES COMPTABLES ET LES INDICATEURS DE REVENU
CHAPITRE VI - LES SOLDES COMPTABLES ET LES INDICATEURS DE REVENU 1. Le compte de production... 129 2. Le compte d exploitation... 129 3. Le compte de revenu d entreprise... 130 4. Les indicateurs de revenu
Plus en détailFÉDÉRATION FRANÇAISE DES SOCIÉTÉS D'ASSURANCES
FÉDÉRATION FRANÇAISE DES SOCIÉTÉS D'ASSURANCES 26, boulevard Haussmann 75311 Paris Cedex 09 Téléphone : 01 42 47 90 00 - Télécopie : 01 42 47 93 11 - Internet : http://www.ffsa.fr 12 juillet 2007 Observations
Plus en détailCompétitivité internationale des industries françaises des filières animales
Compétitivité internationale des industries françaises des filières animales Carl Gaigné Directeur de Recherche INRA RMT Economie des filières animales Compétitivité des filières animales françaises 10/12/13
Plus en détailENSIIE. Macroéconomie - Chapitre I
ENSIIE Macroéconomie - Chapitre I Le 13 avril 2013 Table des matières 1 Introduction 2 2 La théorie Keynésienne 3 2.1 Keynes......................................... 3 2.2 Quelques ordres de grandeur.............................
Plus en détailOSGOODE HALL LAW SCHOOL Université York MÉMOIRE PRIVILÉGIÉ ET CONFIDENTIEL
OSGOODE HALL LAW SCHOOL Université York MÉMOIRE PRIVILÉGIÉ ET CONFIDENTIEL À : &' 1$,'6 M. Richard Drouin, O.C., c.r. Président, Commission d examen sur la rémunération des juges 2CVTKEM,/QPCJCP DATE :
Plus en détailLes critères d identification des pays les moins avancés
Les critères d identification des pays les moins avancés Vue d ensemble Ce document reprend les éléments présentés sur le site du Comité des politiques de développement http://www.un.org/en/development/desa/policy/cdp/ldc/ldc_criteria.shtml
Plus en détailChapitre 1 : La consommation et l épargne
Chapitre 1 : La consommation et l épargne - 7 - Dans ce chapitre vous allez : - Distinguer les différents types de consommation. - Découvrir de quels facteurs dépend la consommation. - Étudier ce qu est
Plus en détailLES BANQUES. I. Les différents services proposés par les banques :
LES BANQUES I. Les différents services proposés par les banques : Les services bancaires représentent l ensemble des produits proposés par une banque. Les services bancaires les plus connus sont : Epargne
Plus en détailLSM2 : un modèle avec secteur bancaire pour le Luxembourg
LSM2 : un modèle avec secteur bancaire pour le Luxembourg Szabolcs Deák 1 - Lionel Fontagné 2 - Marco Maffezzoli 3 - Massimiliano Marcellino 4 Introduction Les modèles dynamiques stochastiques d équilibre
Plus en détailJournée technique ARRA Gestion quantitative de la ressource en eau
Journée technique ARRA Gestion quantitative de la ressource en eau Etude Volumes Prélevables sur les Usses 2010-2012 5 avril 2013 SMECRU Syndicat Mixte d Etude du Contrat de Rivières des Usses Le bassin
Plus en détailL évaluation de la rentabilité d un investissement
L évaluation de la rentabilité d un investissement Formation des Responsables Énergie de la RBC Céline Martin ICEDD asbl 22 mars 2007 Situation de départ: le cas du remplacement d une chaudière On désire
Plus en détailLa gestion du compte de l État
FINANCES PUBLIQUES TRÉSORERIE Nouvelle convention MINÉFI/Banque de France La gestion du compte de l État Article d Olivier Cuny, administrateur civil à l Agence France Trésor, en collaboration avec Dominique
Plus en détailLes Notes de l Institut d émission
Les Notes de l Institut d émission Établissement public Dotation - SIRET 78 APE 65 A Siège social : 5 rue Roland Barthes 75598 Paris cedex Tél. : + 5 Fax : + 87 99 6 Croissance de la masse monétaire et
Plus en détailL accumulation de réserves de change est-elle un indicateur d enrichissement d une nation?
L accumulation de réserves de change est-elle un indicateur d enrichissement d une nation? Edouard VIDON Direction des Analyses macroéconomiques et de la Prévision Service des Études macroéconomiques et
Plus en détailLes indices à surplus constant
Les indices à surplus constant Une tentative de généralisation des indices à utilité constante On cherche ici en s inspirant des indices à utilité constante à définir un indice de prix de référence adapté
Plus en détailCet article s attache tout d abord
Méthodes internationales pour comparer l éducation et l équité Comparaison entre pays des coûts de l éducation : des sources de financement aux dépenses Luc Brière Marguerite Rudolf Bureau du compte de
Plus en détailCOMMISSION DES NORMES COMPTABLES
COMMISSION DES NORMES COMPTABLES Avis CNC 2010/16 - Traitement comptable des subsides, dons et legs, octroyés en espèces, dans le chef des grandes et très grandes associations et fondations bénéficiaires
Plus en détailContribuer de façon durable à l éducation et au succès de nos jeunes LE GUIDE DU DON PLANIFIÉ
Contribuer de façon durable à l éducation et au succès de nos jeunes LE GUIDE DU DON PLANIFIÉ Table des matières Le don planifié : Une contribution durable à l éducation de nos jeunes 3 Qu est-ce qu un
Plus en détailLa pratique des décisions dans les affaires
Association Française Edwards Deming Une philosophie de l action pour le XXIème siècle Conférence annuelle, Paris, 8 juin 1999 Jean-Marie Gogue, Président de l AFED La pratique des décisions dans les affaires
Plus en détailREVOIR LE FINANCEMENT DE L ASSURANCE MALADIE EN BASCULANT DES COTISATIONS SOCIALES VERS D AUTRES SOURCES DE FINANCEMENT
REVOIR LE FINANCEMENT DE L ASSURANCE MALADIE EN BASCULANT DES COTISATIONS SOCIALES VERS D AUTRES SOURCES DE FINANCEMENT Revoir le mode de financement de notre système d Assurance-maladie, institution à
Plus en détail