CONTRIBUTION DE LA CONSERVATION REELLE DU BETON A L EFFET DE LA CURE SUR SA RESISTANCE MECANIQUE
|
|
- Heloïse Latour
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 CONTRIBUTION DE LA CONSERVATION REELLE DU BETON A L EFFET DE LA CURE SUR SA RESISTANCE MECANIQUE RESUME K. BENDJILLALI*, et L. AZZOUZ* et S. KENAI** * Université de Laghouat, ** Université de Blida Le comportement du béton dans les différents milieux et sous les diverses conditions de conservation était le souci majeur de nombreux chercheurs depuis la naissance de ce matériau. La majorité des études élaborées pour ce but sont réalisées dans des laboratoires sous des conditions d essais bien contrôlées et qui ne reflètent pas les conditions réelles sous les quelles la structure du béton est mise en place. L effet de la cure sur la résistance mécanique du béton est très influencé par ces conditions et une petite variation de l une de ces dernières durant l application de la cure peut perturber son action et controverser son rôle. Pour illustrer cet effet, on essaye dans cette communication de faire une comparaison entre l effet de la cure sur des éprouvettes en béton préparées et maintenues sous un climat réel (climat de Laghouat) et des éprouvettes en béton préparées et maintenues dans l enceinte du laboratoire (laboratoire de l université de Blida). MOTS CLES : Béton, Résistance mécanique, Evaporation, Climat chaud, Cure, Hydratation, Conservation. / INTRODUCTION Le béton est un matériau hétérogène composé d une pâte de ciment hydratée renforcée par des granulats. Cette pâte est capable de changer sa structure et ses propriétés sous l effet des conditions de conservation. Dans les zones chaudes et sèches, le béton est soumis dès son jeune âge à des températures très élevées accompagnées d une évaporation intense. Le départ avancé de l eau de gâchage va ralentir ou stopper complètement la réaction d hydratation du ciment en influençant la qualité des hydrates formées. Le béton dans ces milieux aura alors une grande tendance à la fissuration, et la protection du béton contre ces effets devient d une importance pratique extrême. Les essais effectués pour l étude du l effet de la cure sur les propriétés et la qualité du béton en zones arides sont réalisés généralement sous des conditions de conservation similaires seulement. Ces conditions ne représentent guerre les vrais paramètres climatiques qui se caractérisent par des véritables variations journalières de la température et de l humidité relative. Afin de connaître le degré d influence de la conservation réelle du béton sur l effet du traitement de cure sur la résistance mécanique du béton, on a effectué une comparaison entre les résistances du béton coulé et conservé dans une ambiance chaude et sèche réelle (climat de Laghouat) et les résistances du béton coulé et conservé sous des conditions bien contrôlées et similaires à un climat aride (l enceinte du laboratoire de l université de Blida. Ce présent travail consiste alors à suivre l évolution de la résistance à la compression effectuée sur des éprouvettes cylindriques (6x) cm et la résistance à la flexion sur des
2 éprouvettes prismatiques (7x7x8) cm en fonction du type et de la durée de cure qui varie entre 7,4 et 8 jours. Les cures adoptées sont: la toile de jute mouillée, le film plastique, l arrosage, l immersion dans l eau et le produit de cure. /TRAITEMENT DE CURE Dans les régions arides, la différence du degré hygrométrique entre le béton et le milieu extérieur laisse ce dernier toujours hors d équilibre, pour éviter cette situation, le béton doit être curé immédiatement après le décoffrage. La cure assure au béton une température favorable et une humidité suffisante jusqu où l espace occupée par l eau dans la pâte de ciment soit remplis de produits d hydratation. De nombreux moyens peuvent être utilisés pour ce traitement comme l application d une cure humide qui offre au béton une surface saturée, ou comme la protection du béton par une membrane étanche qui empêche l évaporation de l eau de gâchage. La durée préconisée de ce traitement dépend de son type, des caractéristiques du béton et de l ambiance de conservation. Plusieurs documents normatifs [,] donnent les durées minimales en fonction des conditions de conservation et du type de ciment. Des nombreuses recherches [,4,5,6] insistent sur l application de la cure au moins durant les sept premiers jours. Neville [7] propose la même durée pour les ciments CPO et pour les ciments à durcissement lent, il recommande une longue cure. / ETUDE EXPERIMENTALE./ CHOIX DES MATERIAUX../ GRANULATS * Sable d oued M Zi: l espèce prépondérante dans sa composition chimique est la silice (SiO), Es = 98.8% et Mf =.. * Gravier calcaire provenant de la station de concassage Ouazane, constitué de deux classes 8/5 et 5/5. Les propriétés des granulats sont données sur le tableau ci-dessous. Tableau. Propriétés des granulats Granulats Masse volumique Masse volumique Porosité teneur en apparente (g/cm ) absolue (g/cm ) (%) eau (%) Sable Gravier 8/ Gravier 5/ / LIANT Le ciment CPA5 est le liant utilisé pour la fabrication du béton d essai, l analyse minéralogique de ce ciment indique qu il contient un pourcentage appréciable de la chaux et de la silice, et ses propriétés physico-mécaniques sont données dans le tableau.
3 Tableau. Propriétés physico-mécaniques du ciment Masse volumique apparente.8 g/cm Masse volumique absolue. g/cm Surface spécifique cm /g 994 cm /g Consistance normale % Durée de prise à chaud 5 min Durée de prise à froid h4 min Résistance de compression 46 MPa Résistance de flexion 7 MPa../ L EAU DE GACHAGE L eau utilisée pour le gâchage du béton est l eau de robinet qui est eau potable à sulfate élevé../ COMPOSITION DU BETON La méthode optée pour la détermination de la composition du béton est celle de Dreux Gorisse [8], avec un affaissement de 6cm, E/C =.5 et G/S =.64. Les dosages des matériaux obtenus pour m du béton sont regroupés sur le tableau ci-dessous: Tableau. Dosages en poids par m du béton Constituants Sable Gravier 8/5 Gravier 5/5 Ciment Eau Quantité 67 Kg 4 Kg 675 Kg 4 Kg l./ CONFECTION DES EPROUVETTES Deux types d éprouvettes sont adoptées dans ce travail: * Eprouvettes cylindriques (6x)cm pour l essai de compression. * Eprouvettes prismatiques (7x7x8)cm pour l essai de flexion. Les éprouvettes sont préparées au laboratoire sous une température comprise entre et C. Elles sont maintenues dans ce milieu pendant 4h jusqu à le démoulage. Elles sont conservées ensuite dans l environnement souhaité jusqu à 8 jours. La valeur retenue de la résistance est la moyenne de trois essais..4/ CONDITIONS DE CONSERVATION Deux environnements sont adoptés: Environnement. I: A l air libre sous les conditions climatiques réelles. T = 8 à 45 C et HR < %. Environnement. II: Au laboratoire à l abri des intempéries. T= à C et HR = à 4%.
4 Les éprouvettes sont curées pendant 7, 4 et 8 jours par les cures suivantes: l immersion, l arrosage avec l eau, la toile de jute mouillée, le film plastique, l adjuvant et le Produit de cure Contact-Curing. 4/ DISCUSSION DES RESULTATS 4./ RESISTANCE A LA COMPRESSION La figure montre graphiquement l amélioration de la résistance à la compression du béton maintenu sous un climat chaud et sec par rapport à la résistance sans cure. 4 - Toile de jute F.Plastique Arrosage Immersion P.Cure Adjuvant - - : 7j de cure : 4j de cure : 8j de cure -4 Figure. Variation du taux d amélioration de la résistance à la compression à 8 jours en fonction des paramètres de cure Toutes les cures ont un effet bénéfique sur la résistance à la compression du béton conservé sous les conditions similaires à un climat chaud, or que dans le climat réel, certaines cures n ont apporté aucune amélioration. L effet du produit de cure est à peine observé sous les conditions similaires. La protection du béton soumis aux intempéries avec la toile de jute mouillée a donné les meilleurs résultats par rapport aux autres cures. Cela se concorde avec les conclusions trouvées par plusieurs travaux [9,,], tandis qu il se contredit avec d autres []. La toile de jute offre au béton conservé dans une ambiance chaude une humidité suffisante pour former le maximum d hydrates et la température élevée de l air favorise la formation de ces hydrates. Or que le béton préparé et conservé dans des conditions contrôlées, c est le film plastique qui a donné les meilleures résistances surtout en prolongeant la cure 4 jours. Une autre recherche [] a trouvé que l utilisation du film plastique conduit à des faibles résistances de compression à 8 jours sous les climats chauds et sec. Le taux d augmentation de la résistance à la compression du béton curé pendant 7 jours avec la toile de jute est presque du même ordre dans les deux conservations. Tandis que pour une durée plus longue, dans les conditions similaires, le taux est presque le double que le taux atteint dans le climat réel. La figure schématise l évolution de la résistance à la compression à 8 jours par rapport à la résistance à la compression atteinte après 8 d immersion dans l eau. On remarque qu à l air libre, la résistance n est améliorée qu avec la protection par la toile de jute mouillée durant 8 jours, l augmentation n est que.%. Tandis que dans une
5 ambiance contrôlée, aucun traitement de cure n a conduit à une résistance à la compression comparable à la résistance obtenue dans l eau Toile de jute F.Plastique Arrosage Immersion P.Cure Adjuvant : 7j de cure : 4j de cure : 8j de cure -5 Figure. Variation du taux d augmentation de la résistance à la compression par rapport à la résistance de référence Quant au produit de cure et l adjuvant, ils n ont marqué aucun effet positif par rapport à la résistance de référence ni par rapport à la résistance sans cure dans le climat aride. En ce qui concerne l arrosage, on a remarqué que cette opération est une procédure qui ne peut être maîtrisée que sous des conditions bien contrôlées. Car luter contre l évaporation de l eau de gâchage par un moyen aussi simple et traditionnel n est pas la solution fructueuse pour les bétons coulés sous des températures élevées et une évaporation intense. 4./ RESISTANCE A LA FLEXION La figure montre l évolution de la résistance à la flexion du béton maintenu sous un climat chaud et sec par rapport à la résistance sans cure. 6 4 Toile de jute : 7j de cure : 4j de cure : 8j de cure Arrosage Immersion F.Plastique P.Cure Figure. Variation du taux d amélioration de la résistance à la flexion en fonction des paramètres de cure
6 L application de la cure quelque soit sa nature et sa durée a un effet bénéfique sur le développement de la résistance à la flexion à 8 jours, comme il est montré sur la figure cidessus. Or que dans les conditions similaires, la toile de jute mouillée appliquée même avec une courte durée donne un effet positif, l application du film plastique plus de trois jours améliore aussi la résistance à la flexion. Mais plus d une journée d application du produit de cure conduit à une réduction de la résistance. Sous l ambiance chaude réelle, sept jour d application du film plastique conduit à une augmentation de la résistance de 8,5% par rapport à la résistance sans cure, or que dans un milieu chaud contrôlé, l augmentation dépasse 4,7%. Dans le climat réel, après 7 jours de cure sous la toile du jute mouillée, le taux d évolution de la résistance à la flexion atteint 97.57% par rapport à celle du béton non curé, tandis que dans une ambiance similaire, l évolution atteint 7%. La figure 4 schématise l évolution de la résistance à la flexion à 8 jours par rapport à la résistance à la flexion de référence (la résistance atteinte après 8 d immersion dans l eau) Toile de jute : 7j de cure : 4j de cure : 8j de cure F.Plastique Arrosage Immersion P.Cure Adjuvant Figure. 4 Variation du taux d augmentation de la résistance à la flexion par rapport à la résistance de référence Dans le climat chaud, seule la toile de jute et l arrosage durant plus de deux semaines qui ont pu améliorer efficacement la résistance à la flexion. Par contre dans les conditions contrôlées, aucune cure n a pas arrivé à améliorer la résistance à la flexion par rapport à la résistance atteinte dans l eau. Cela peut être expliqué que les conditions de température et d humidité relative maintenues constantes durant toute la période de conservation (T= 45 C et HR= 5%) empêchent la cure de jouer son rôle. On remarque aussi que l adjuvant et le produit de cure n ont amené aucune amélioration par rapport à la résistance de réfé rence sur la résistance du béton conservé à l air libre. Le taux de diminution de la résistance peut aller jusqu à 4.9% après sept jours de pulvérisation du produit de cure. 5/CONCLUSION D après cette étude, on constate que le comportement du béton est beaucoup influencée par la variation des paramètres climatiques durant la journée. En effet, comme les hydrates sont le résultat de la réaction d hydratation, ils dépendent alors du taux de cette variation. La différence du comportement mécanique entre le béton exposé à un climat aride
7 réel et le béton conservé dans une ambiance similaire est due surtout à la qualité des hydrates formés. Donc toute variation même instantanée peut conduire à un changement de la structure de ces hydrates, cela est illustré à travers les résultats obtenus. En représentant le climat chaud par des conditions hygrométriques constantes, on ne peut guerre se rapprocher du comportement réel du béton. Cela parce que l effet de la température et de l humidité relative moyennes n ont pas le même effet que la température et l humidité maximales ni minimales. En général, le climat chaud est caractérisé par des véritables variations journalières de la température et de l humidité relative, et le béton fabriqué dans ce type de climat est soumis dès son jeune âge à l action de ces paramètres. Il va subir donc une énorme évaporation, qui conduit à une dessiccation prématurée. Cette dessiccation retarde ou stoppe complètement la réaction de l hydratation du ciment. En plus cette variation affecte la structure des hydrates construits, ce qui va influencer la résistance mécanique du béton. Le degré d influence des paramètres climatiques sur le comportement du béton dépend de la valeur de cette variation. 6/REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES [] Discussion of an ancien publication, ibid 88, pp 65 78, Feb. 99. [] Dreux.G. et Festa. J., Nouveau guide du béton et de ses constituants, 8 e ed, Eyrolles, 998 [] AFNOR P 5-, Liants hydrauliques- Définitions- Classification et Spécifications des ciments, juin 994. [4] AFNOR P 8-, Granulats- Vocabulaire- Définitions et classifications, déc. 99. [5] Arquie.G. et Tourenq.C., Granulat, Presse de l école nationale des ponts et chaussées, 99. [6] AFNOR P 8-54, Granulats naturels courants pour bétons hydrauliques- Critères de qualification des granulats vis-à-vis de l alcali réaction, mai 994. [7] Neville.A.M., Properties of concrete, rd ed, Pitman, London, 98. [8] Baron.J. et Ollivier.J.P., Les bétons, Bases de données pour leur formulation, Association technique de l industrie des liants hydrauliques, e tirage, Eyrolles, 997. [9] Alsayed.S.H. and Amjad.M.A., Effect of curing conditions on strength, Porosity, Absorptivity and Shrinkage of concrete in hot and dry climate,.cement and Concrete Research, Vol 4, n 7, pp 9-98, 994. [] Alsayed.S., Sensitivity of compressive strength of HSC to hot-dry climate, Curing regimes and additives, ACI Materials Journal, n 6, Vol 94, pp , nov.-dec.997. [] Lachemat.L. et Kenai.Said., Effets du type et de la durée de cure sur les propriétés du béton en climat chaud, Proceedings du séminaire International sur : La qualité du béton en climat chaud, Ghardaia, Algérie, pp -44, mars 994. [] Al Shaikh.A.H., Al-Neghaimesh.A.I., Effectiveness of different curing methods under very hot and dry conditions, Concrete : Economic and durable construction through excellence, Proc of the International Conference held at the university of Dundee, Scotland, U.K, n 79, pp 77, sept. 99.
2.7 Le bétonnage par temps chaud par temps froid
Chapitre Les bétons courants.7 Le bétonnage par temps chaud par temps froid.7.1 - Le bétonnage par temps chaud 3 Granulats Les conditions climatiques lors de la mise en œuvre ont une grande influence sur
Plus en détailFORMULATION DES BETONS AVEC AJOUT PAR L UTILISATION DES RESEAUX DE NEURONES
IV ème SNMPE, 15, 16 Mai 2012 Université M Hamed Bougara Boumerdès FORMULATION DES BETONS AVEC AJOUT PAR L UTILISATION DES RESEAUX DE NEURONES R. Rebouh 1, B. Boukhatem 2, M. Ghrici 3, S. Kenai 4 1 Laboratoire
Plus en détailN09 Viaduc de Chillon
Département fédéral de l'environnement, des transports, de l'énergie et de la communication DETEC Office fédéral des routes N09 Viaduc de Chillon Solution innovante en relation avec la RAG Conférence JERI
Plus en détailCompte rendu de LA37 B, TP numéro 1. Evolution de la température et du degrée d'hydratation
4 6 8 2 4 8 22 26 3 34 38 42 46 5 54 58 62 66 7 74 78 83 89 96 8 44 Bertin Morgan Compte rendu de LA37 B, TP numéro. Les essais effectués par le laboratoire des ponts et chaussés nous ont fournis la température
Plus en détailDocument Technique d Application. Agilia sols A
Document Technique d Application Référence Avis Technique 12/09-1553*V2 Annule et remplace le Document Technique d Application 12/09-1553*V1 Intègre le modificatif 12/09-1553*02 Mod Chape fluide à base
Plus en détailLes précautions indispensables pour bétonner par temps froid. Holcim Bétons
Les précautions indispensables pour bétonner par temps froid Holcim Bétons Action du gel sur le béton frais L'action du froid sur le béton frais agit de façon néfaste sur les caractéristiques des bétons
Plus en détailPrésentations GTF. Point de vue d un utilisateur final. Durée de vie des ouvrages : Approche Prédictive, PerformantielLE et probabiliste
Présentations GTF Présenté par : Georges NAHAS Organismes : Institut de Radioprotection et de Sûreté Nucléaire (IRSN) Paris 26 mai 2009 Introduction Le vieillissement des ouvrages de génie civil et plus
Plus en détailCOMMENT CONSTRUIRE UN CRIB A MAÏS?
COMMENT CONSTRUIRE UN CRIB A MAÏS? Par Philippe et Marie-Noëlle LENOIR Un couple du Volontaires du Progrès qui travaille à GALIM Département des Bamboutos, Province de l Ouest, nous adresse cette fiche
Plus en détailDocument Technique d Application
Document Technique d Application Référence Avis Technique 13/15-1273 Annule et remplace le Document Technique d Application 13/12-1140*V1 Chape non destinée à l enrobage de planchers chauffants Chape fluide
Plus en détailProjet SETHER Appel à projets 2008. Adrien Patenôtre, POWEO Adrien.patenotre@poweo.com
Projet SETHER Appel à projets 2008 Adrien Patenôtre, POWEO Adrien.patenotre@poweo.com SETHER STOCKAGE D ELECTRICITÉ SOUS FORME THERMIQUE À HAUTE TEMPÉRATURE Partenaires : POWEO, SAIPEM, CEA, CNAM, GEMH,
Plus en détailweber.cel bordure (procomix)
Κ. ΚΑΛΦΙΔΗΣ ΕΠΕΞΕΡΓΑΣΜΕΝΑ ΔΟΜΙΚΑ ΥΛΙΚΑ ΤΕΧΝΙΚΑ ΚΟΝΙΑΜΑΤΑ ΚΑΘΗΓ. Δ. ΕΥΡΙΓΕΝΗ 15 (ΚΕΡΑΜ. ΑΛΛΑΤΙΝΗ) ΤΚ 542 49 ΘΕΣ/ΝΙΚΗ ΤΗΛ / FAX: 2310-330 003 e-mail: info@weberkalfidis.gr www.weberkalfidis.gr Το έντυπο
Plus en détailUTILISATION DES SÉDIMENTS VALORISÉS : exemple de la plate-forme expérimentale SOLINDUS pour le pré-traitement des produits de dragage
UTILISATION DES SÉDIMENTS VALORISÉS : exemple de la plate-forme expérimentale SOLINDUS pour le pré-traitement des produits de dragage Dr H. Bréquel, Responsable département Recherche 1 1 /20 CONTEXTE ET
Plus en détailColle époxydique multi usages, à 2 composants
Notice Produit Edition 20 01 2014 Numéro 9.11 Version n 2013-310 01 04 02 03 001 0 000144 Colle époxydique multi usages, à 2 composants Description est une colle structurale thixotrope à 2 composants,
Plus en détailBéton. Fig. 1- Essai d'étalement sur table
Béton TD 1- Essai d'étalement sur table ou Flow-table test (Norme ISO 9812) Cet essai est particulièrement adapté au béton très fluide, fortement dosé en superplastifiant. Le diamètre du plus gros granulat
Plus en détailContenu de la présentation Programme 28.10.2010
Fire Safety Day 2010 28 octobre 2010 - Leuven Note d information technique NIT 238 L application de systèmes de peinture intumescente sur structures en acier Source: Leighs Paints ir. Y. Martin CSTC/WTCB
Plus en détailLe chantier compte 4 étapes :
02 Bien mettre en place le 03 béton désactivé La technique du béton désactivé consiste à mettre en valeur les granulats en éliminant la couche superficielle du mortier en surface. Un chantier de béton
Plus en détailLa construction durable : quelle stratégie d innovation d. Pascal Casanova, Directeur R&D, Lafarge
La construction durable : quelle stratégie d innovation d? Pascal Casanova, Directeur R&D, Lafarge Le béton est le matériau le plus utilisé sur la planète après l eau et le plus largement disponible Materials
Plus en détailCahier des Prescriptions Techniques d exécution CPT Sols Grands formats - Travaux neufs
Revêtements de sols intérieurs en carreaux céramiques de grand format et de format oblong collés au moyen de mortiers-colles dans les locaux P3 au plus en travaux neufs Cahier des Prescriptions Techniques
Plus en détailFiche technique n 1 : le logement construction des boxes.
Bâtiments d élevage : Pourquoi? Aspects climatiques : Fiche technique n 1 : le logement construction des boxes. - le porc est sensible aux brusques changements du climat, - surexposition au soleil : déshydratation
Plus en détailPrimaire à 2 composants à base de résines acryliques réactives
Fiche technique Edition 1, 2012 Identification no. 02 08 01 05 001 0 000003 Version no. 23042012 Sikafloor -13 Pronto Sikafloor -13 Pronto Primaire à 2 composants à base de résines acryliques réactives
Plus en détailComprendre l efflorescence
Février 2006 Bulletin technique 4 BULLETIN TECHNIQUE Le Conseil Canadien des Systèmes d Isolation et de Finition Extérieure (SIFE) / (416) 499-4000 Comprendre l efflorescence Nous avons tous déjà observé
Plus en détailTraitement des sols fins compactés : contribution à la reconnaissance des conditions défavorables
Traitement des sols fins compactés : contribution à la reconnaissance des conditions défavorables d à la prise Thèse Tangi Le Borgne Directeur de thèse : F. Masrouri (LAEGO) Conseillers d étude : O. Cuisinier
Plus en détailLe séchage des ateliers :
Le séchage des ateliers : Quelles technologies et quels coûts énergétiques? Jacques GUILPART- MF Conseil j. guilpart@mfconseil.fr 06 43 44 66 28 www.mfconseil.fr Adam TCHAÏKOWSKI, Dessica a.tchaikowski@dessica.fr
Plus en détailLA MESURE DE PRESSION PRINCIPE DE BASE
Page 1 / 6 LA MESURE DE PRESSION PRINCIPE DE BASE 1) Qu est-ce qu un sensor de pression? Tout type de sensor est composé de 2 éléments distincts : Un corps d épreuve soumit au Paramètre Physique φ à mesurer
Plus en détailSOL FORTE ÉPAISSEUR INDUSTRIAL FLORIM
SOL FORTE ÉPAISSEUR INDUSTRIAL FLORIM Nouvelle solution en grès cérame grande épaisseur pour l aménagement extérieur. Dalles en grès cérame fin coloré pleine masse de 2 cm d épaisseur, obtenues par atomisation
Plus en détail1. L'été le plus chaud que la France ait connu ces cinquante dernières années.
1. L'été le plus chaud que la France ait connu ces cinquante dernières années. La figure ci-dessous présente la moyenne sur la France des températures minimales et maximales de l'été (période du 1 er juin
Plus en détailCARACTÉRISTIQUES COMMUNES À TOUS LES MODÈLES
CARACTÉRISTIQUES COMMUNES À TOUS LES MODÈLES Le cœur du produit de pointe que nous avons étudié et réalisé pour le secteur médical est représenté par le nouveau thermostat électronique HACCP, de série
Plus en détailDOUBLE PARK ECO «La solution» DESCRIPTION TECHNIQUE
DOUBLE PARK ECO «La solution» DESCRIPTION TECHNIQUE P2-F et P4-F 185 (Modèle standard) P2-F et P4-F 170 MODELE P2/4-F 170 P2/4-F 185 (Standard) P2/4-F 195 P2-F et P4-F 195 H 325 340 350 DH 156 171 181
Plus en détail«La solution» DESCRIPTION TECHNIQUE
«La solution» DESCRIPTION TECHNIQUE P2-f & P4-f - 185/180 - Standard P2-f & P4-f - 170/165 - Compact P2-f & P4-f - 200/195 - Confort MODELE H DH P2f-4f - 185/180 - Standard 340 171 P2f-4f - 170/165 - Compact
Plus en détailALFABLOC murs autoporteurs ALFABLOC LA SOLUTION POUR LE STOCKAGE EN VRAC ÉLÉMENTS MOBILES DE STOCKAGE EN BÉTON ARMÉ
ALFABLOC murs autoporteurs ALFABLOC LA SOLUTION POUR LE STOCKAGE EN VRAC ÉLÉMENTS MOBILES DE STOCKAGE EN BÉTON ARMÉ ALFABLOC Notre société est la seule à proposer ce type de mur autoporteur révolutionnaire.
Plus en détailSYSTEM O. Un système unique pour des réseaux distincts Eau froide sanitaire Eau chaude sanitaire
SYSTEM O Un système unique pour des réseaux distincts Eau froide sanitaire Eau chaude sanitaire CONCEPTION, CHOIX DES MATÉRIAUX ET MAINTENANCE : La sécurité des réseaux passe par une bonne conception,
Plus en détailGUIDE D'INSTALLATION. Lave-Vaisselle
GUIDE D'INSTALLATION Lave-Vaisselle SOMMAIRE 1/ CONSIGNES DE SECURITE Avertissements importants 03 2/ INSTALLATION DE VOTRE LAVE-VAISSELLE Appareil non encastré 04 Appareil encastré 04 Appareil encastré
Plus en détail<< easylife.dedietrich-thermique.fr >> Wingo EASYLIFE
Chaudière fioul à condensation Wingo EASYLIFE La condensation fi oul à prix gagnant! >> Un maximum d économies >> Le confort accessible >> Idéale pour la rénovation
Plus en détailPlate forme de modélisation en vue de la prédiction de la durée de vie des bétons vis-à-vis de la pénétration d agents agressifs
Plate forme de modélisation en vue de la prédiction de la durée de vie des bétons vis-à-vis de la pénétration d agents agressifs Phase d'initiation de la corrosion vis-à-vis de la - pénétration d'agents
Plus en détailIR Temp 210. Thermomètre infrarouge. Des techniques sur mesure
IR Temp 210 Thermomètre infrarouge Contenu 1. Spécifications...26 2. Touches et affichages...28 3. Utilisation...30 4. Entretien...31 5. Elimination des piles et de l appareil...31 6. Tableau de facteur
Plus en détailLE BÉTON À HAUTES PERFORMANCES
LE BÉTON À HAUTES PERFORMANCES Comment concilier l exigence de réduction de la quantité d eau synonyme de résistance et de durabilité accrues avec l exigence d un surcroît d eau synonyme d ouvrabilité
Plus en détailAIDE AU CHOIX DES GRANULATS POUR CHAUSSEES BASEE SUR LES NORMES EUROPEENNES
N 10 Janvier 2005 Cftr - info AIDE AU CHOIX DES GRANULATS POUR CHAUSSEES BASEE SUR LES NORMES EUROPEENNES La présente note d information a pour objet d'aider les maîtres d'ouvrage à choisir les granulats
Plus en détailPour l environnement. Strength. Performance. Passion.
Strength. Performance. Passion. Pour l environnement Réduire les émissions de CO 2 en optimisant les matériaux de construction et les méthodes de production Holcim (Suisse) SA Les fondements de notre avenir
Plus en détailLibre-Service de l agence ISOPAR Garges-lès-Gonesse
Libre-Service de l agence ISOPAR Garges-lès-Gonesse 60 Tarif Public H.T. (réservé aux professionnels) Verre cellulaire FOAMGLAS T4+ FOAMGLAS S3 FOAMGLAS F FOAMGLAS TAPERED FOAMGLAS BOARD PANNEAU READY
Plus en détailCalculs Computional fluide dynamiques (CFD) des serres à membrane de Van der Heide
Calculs Computional fluide dynamiques (CFD) des serres à membrane de Van der Heide J.B. Campen Wageningen UR Glastuinbouw, Wageningen xxx 2007 Rapport xxx 2007 Wageningen, Wageningen UR Glastuinbouw Tous
Plus en détailP. VALLON - Retraitement en place à froid - Juillet 2009
à é Ministère de l'écologie, de l'énergie, du Développement durable et de l'aménagement du territoire P. VALLON - Retraitement en place à froid - Juillet 2009 WWW.developpement-durable.gouv.fr Constitution
Plus en détailDes innovations avec des matériaux plastiques haute performance. La gamme complète en PTFE, une gamme leader.
Des innovations avec des matériaux plastiques haute performance. La gamme complète en PTFE, une gamme leader. Nos solutions d ingénierie en PTFE : elles montrent la voie. Vaste et complète : notre gamme
Plus en détailChapitre 11 Bilans thermiques
DERNIÈRE IMPRESSION LE 30 août 2013 à 15:40 Chapitre 11 Bilans thermiques Table des matières 1 L état macroscopique et microcospique de la matière 2 2 Énergie interne d un système 2 2.1 Définition.................................
Plus en détailSUIVI CINETIQUE PAR SPECTROPHOTOMETRIE (CORRECTION)
Terminale S CHIMIE TP n 2b (correction) 1 SUIVI CINETIQUE PAR SPECTROPHOTOMETRIE (CORRECTION) Objectifs : Déterminer l évolution de la vitesse de réaction par une méthode physique. Relier l absorbance
Plus en détailDrainage de maches anti-remontée à l humidité. Pour la pose de carreaux en céramique et de pierres naturelles/dalles sur des escaliers extérieurs.
Drainage de maches anti-remontée à l humidité Pour la pose de carreaux en céramique et de pierres naturelles/dalles sur des escaliers extérieurs. Goutte par goutte, le désastre prend forme. Comme ils ne
Plus en détailI ntroduction. Coffrets pour la régulation de la température et de l hygrométrie. Caractéristiques et avantages
Catalogue Réfrigération Section Notice technique JC-TH230-1xM Edition 060212 Coffrets pour la régulation de la température et de l hygrométrie I ntroduction Conçu pour faciliter le travail de l installateur,
Plus en détailSuivi d une réaction lente par chromatographie
TS Activité Chapitre 8 Cinétique chimique Suivi d une réaction lente par chromatographie Objectifs : Analyser un protocole expérimental de synthèse chimique Analyser un chromatogramme pour mettre en évidence
Plus en détailSurveillance et Detection des Anomalies. Diagnostic d une digue: rappel méthodologique
Surveillance et Detection des Anomalies Diagnostic d une digue: rappel méthodologique issu de l expérience d EDF Jean-Paul BLAIS Service Géologie - Géotechnique EDF 1 La méthodologie utilisée par EDF,
Plus en détailConditions de prêt pour l exposition d objets archéologiques
>> Agathe MULOT Gaëlle HAROUARD Régisseurs des collections 03 90 58 55 76 agathe.mulot@pair-archeologie.fr gaelle.harouard@pair-archeologie.fr Conditions de prêt pour l exposition d objets archéologiques
Plus en détailQuel support d impression choisir?
Quel support d impression choisir? C est avant tout une question de goût. Le choix sera orienté en fonction des rendus souhaités et du budget bien sûr mais également des particularités de chaque support.
Plus en détailSystème d énergie solaire et de gain énergétique
Système d énergie solaire et de gain énergétique Pour satisfaire vos besoins en eau chaude sanitaire, chauffage et chauffage de piscine, Enerfrance vous présente Néo[E]nergy : un système utilisant une
Plus en détailC 248-02. Nias Dual. Chaudières murales à tirage forcé, foyer étanche et ballon eau chaude sanitaire. chaleur à vivre. Nord Africa
C 248-02 made in Italy Nias Dual Chaudières murales à tirage forcé, foyer étanche et ballon eau chaude sanitaire chaleur à vivre FR Nord Africa Chaudières murales à tirage forcé, foyer étanche et ballon
Plus en détail2.000 Kg DESCRIPTION TECHNIQUE
«La solution» 2.000 Kg DESCRIPTION TECHNIQUE SP2-F et SP4-F 295/310 SP2-F et SP4-F 295/310 MODELE H DH SP2/4-F 295 295 163 SP2/4-F 310* 310 163 *Standard Garage avec porte frontale devant parking mécanique
Plus en détailFiche de lecture du projet de fin d étude
GENIE CLIMATIQUE ET ENERGETIQUE Fiche de lecture du projet de fin d étude Analyse du phénomène de condensation sur l aluminium Par Marine SIRE Tuteurs : J.C. SICK Manager du Kawneer Innovation Center &
Plus en détailLE RÉFRIGÉRATEUR PRÊT À INSTALLER
LE RÉFRIGÉRATEUR PRÊT À INSTALLER sans aucune modification de la structure de votre paillasse! UNIMEDICAL LAB, est la solution professionnelle proposée par Unifrigor pour le laboratoire. Tables réfrigérées
Plus en détailPROJET DE CONSTRUCTION DOSSIER DE FAISABILITE B3
ECOLE SPECIALE DES TRAVAUX PUBLICS PROJET DE CONSTRUCTION DOSSIER DE FAISABILITE B3 AUTEUR : GABILLAT Arnaud PACAUD Fabien BUSSUTIL Clothilde TAN Vincent B3 1 IMPLANTATION DU PROJET Programme : Réalisation
Plus en détailL opération étudiée : le SDEF
L opération étudiée : le SDEF Situation géographique 29 Landivisiau Finistére Zone H2a Altitude : 34 m Acteurs de l opération Maitrise d ouvrage Maître d œuvre / Architecte BET Thermique SDEF Atelier 3
Plus en détailANNEXE J POTEAUX TESTÉS SELON UN CHARGEMENT STATIQUE ET TESTÉS SELON UN CHARGEMENT CYCLIQUE ET STATIQUE
562 ANNEXE J POTEAUX TESTÉS SELON UN CHARGEMENT STATIQUE ET TESTÉS SELON UN CHARGEMENT CYCLIQUE ET STATIQUE 563 TABLE DES MATIÈRES ANNEXE J... 562 POTEAUX TESTÉS SELON UN CHARGEMENT STATIQUE ET TESTÉS
Plus en détailEtude Expérimentale d un Echangeur Thermique en Polypropylène Application au Conditionnement des Aquariums
Rev. Energ. Ren. : Journées de Thermique (2001) 103-108 Etude Expérimentale d un Echangeur Thermique en Polypropylène Application au Conditionnement des Aquariums M. Hazami, C. Kerkeni, A. Farhat, S. Kooli,
Plus en détailBase. Centrales à béton. Vue d ensemble
Base Centrales à béton Vue d ensemble Votre spécialiste des installations de préparation de béton Le partenariat est une tradition de longue date chez Ammann. Le partenariat est un élément vivant de notre
Plus en détailLe partenaire de votre innovation technologique
w w w.. s y n e r r v v i a i a. f. r f r Quelques chiffres Création en 2002 Association loi 1901 20 salariés 17 Ingénieurs et techniciens experts dans leurs domaines et présents dans les centres de compétences
Plus en détailDu Thermostat à l ordinateur climatique. Vincent Aubret Hortimax
Du Thermostat à l ordinateur climatique Vincent Aubret Hortimax 1 Introduction 2 Régulateurs de type thermostat Applications : Idéal pour la régulation simplifiée de type Tunnels, Hall Alarme haute et
Plus en détailVERRE DECORATIF AGC POUR APPLICATIONS INTERIEURES GUIDE DE NETTOYAGE ET D ENTRETIEN
VERRE DECORATIF AGC POUR APPLICATIONS INTERIEURES GUIDE DE NETTOYAGE ET D ENTRETIEN VERSION 2.0 MAI 2015 Cette version du guide annule et remplace toutes les versions précédentes. Consultez régulièrement
Plus en détail2 e partie de la composante majeure (8 points) Les questions prennent appui sur six documents A, B, C, D, E, F (voir pages suivantes).
SUJET DE CONCOURS Sujet Exploitation d une documentation scientifique sur le thème de l énergie 2 e partie de la composante majeure (8 points) Les questions prennent appui sur six documents A, B, C, D,
Plus en détailStyrodur C, un XPS exempt de CFC, HCFC et HFC. De l air, tout simplement. Ecologique, tout simplement.
Styrodur C, un XPS exempt de CFC, HCFC et HFC. De l air, tout simplement. Ecologique, tout simplement. Isolation thermique plus qu une simple protection de l environnement Une isolation thermique optimale
Plus en détailExemple d application du EN 1993-1-2 : Poutre fléchie avec section tubulaire reconstituée
Exemple d application du EN 1993-1-2 : Poutre fléchie avec section tubulaire reconstituée P. Schaumann, T. Trautmann University of Hannover Institute for Steel Construction, Hannover, Germany 1 OBJECTIF
Plus en détailDISPOSITIF DE CONTROLE MULTIFONCTIONNEL POUR APPAREILS A GAZ
SIT Group SIT -3-5 SIGMA 9.955.53 1 Le contenu du présent document peut subir des modifications sans aucun préavis DISPOSITIF DE CONTROLE MULTIFONCTIONNEL POUR APPAREILS A GAZ Domaine d'application Appareils
Plus en détailSOCIETE NATIONALE DES CHEMINS DE FER BELGES SPECIFICATION TECHNIQUE
SOCIETE NATIONALE DES CHEMINS DE FER BELGES SPECIFICATION TECHNIQUE L - 72 FOURNITURE DE SEMELLES ELASTIQUES POUR LA FIXATION DE VOIE "TYPE BOTZELAER" EDITION: 04/2001 Index 1. INTRODUCTION... 3 1.1. DOMAINE
Plus en détailUne conférence-débat proposée par l Institut National de la Recherche Agronomique
Economies d'énergies dans les procédés agro-alimentaires : l'optimisation coût/qualité, un équilibre pas si facile à maîtriser Une conférence-débat proposée par l Institut National de la Recherche Agronomique
Plus en détailLAMPES FLUORESCENTES BASSE CONSOMMATION A CATHODE FROIDE CCFL
LAMPES FLUORESCENTES BASSE CONSOMMATION A CATHODE FROIDE CCFL Economisons notre énergie et sauvons la planète Présentation générale 2013 PRESENTATION I. Principes de fonctionnement d une ampoule basse
Plus en détailFICHE TECHNIQUE SikaLatex
FICHE TECHNIQUE SikaLatex RÉSINE À MÉLANGER À L'EAU DE GÂCHAGE DES MORTIERS DESCRIPTION DU PRODUIT Le SikaLatex est une dispersion aqueuse de résine synthétique qui se présente sous la forme d un liquide
Plus en détailMesure du volume d'un gaz, à pression atmosphérique, en fonction de la température. Détermination expérimentale du zéro absolu.
Mesure du volume d'un gaz, à pression atmosphérique, en fonction de la température. Détermination expérimentale du zéro absolu. Auteur : Dr. Wulfran FORTIN Professeur Agrégé de Sciences Physiques TZR -
Plus en détailÉtude d'un appareillage de compactage statique et de mesure de la perméabilité des sols fins argileux
Étude d'un appareillage de compactage statique et de mesure de la perméabilité des sols fins argileux Belkacem MOUSSAI Docteur Laboratoire de géotechnique Gérard DIDIER Docteur-Ingénieur Maître de conférences
Plus en détailPARTIE 1 CHAMP D'APPLICATION MARQUAGE NF
REGLES DE CERTIFICATION MARQUE NF Tubes en polyéthylène pour réseaux de distribution de gaz combustibles, réseaux de distribution d'eau potable, irrigation et applications industrie, eau non potable et
Plus en détail4. Conditionnement et conservation de l échantillon
1. Objet S-II-3V1 DOSAGE DU MERCURE DANS LES EXTRAITS D EAU RÉGALE Description du dosage du mercure par spectrométrie d absorption atomique de vapeur froide ou par spectrométrie de fluorescence atomique
Plus en détailMISE À LA TERRE POUR LA SÉCURITÉ ÉLECTRIQUE
Les informations techniques PROMOTELEC MISE À LA TERRE POUR LA SÉCURITÉ ÉLECTRIQUE La sécurité des personnes contre un défaut d isolement survenant dans un matériel doit être assurée. En effet, un défaut
Plus en détailSECURITE SANITAIRE ET RESTAURATION COLLECTIVE A CARACTERE SOCIAL
SECURITE SANITAIRE ET RESTAURATION COLLECTIVE A CARACTERE SOCIAL Références réglementaires : Règlement N 178/2002 établissant les principes généraux et les prescriptions générales de la législation alimentaire
Plus en détailContrôle thermographique Tarifs et prestations :
20 rue Emile ZOLA 41200 ROMORANTIN technimursdeveloppement@gmail.com Tél : 02.54.98.50.15 Mr et Mme DUPONT 20 Rue Emile ZOLA 41200 ROMORANTIN Contrôle thermographique Tarifs et prestations : Habitations
Plus en détailRessources minérales et Hydrocarbures. Hedi SELLAMI Centre de Géosciences MINES ParisTech
Ressources minérales et Hydrocarbures Hedi SELLAMI Centre de Géosciences MINES ParisTech Colloque IMT «Ressources naturelles & Environnement», 5 et 6 novembre 2014 Les minéraux d intérêt économique Minéraux
Plus en détailProduction électrique : la place de l énergie éolienne
Production électrique : la place de l énergie éolienne I Production électrique : principes de base L énergie électrique n est pas un fluide que l on pourrait «mettre en conserve», l énergie électrique
Plus en détailPRESCRIPTIONS TECHNIQUES POUR MORTIERS DE CALAGE, DE BOURRAGE ET DE SCELLEMENT A BASE DE LIANTS HYDRAULIQUES
BELGIAN CONSTRUCTION CERTIFICATION ASSOCIATION asbl BCCA Etabli par SECO et le CSTC PRESCRIPTIONS TECHNIQUES POUR MORTIERS DE CALAGE, DE BOURRAGE ET DE SCELLEMENT A BASE DE LIANTS HYDRAULIQUES Système
Plus en détail5. Matériaux en contact avec l eau
Monitoring de la qualité Microbiologique de l eau potable dans les réseaux de distributions Intérêt de l utilisation d un kit de mesure rapide de la flore totale UTLISATIONS 1. Surveillance de Réseau mixte
Plus en détailProjet de parc éolien en mer au large de Courseulles-sur-Mer
ÉOLIENNES OFFSHORE DU CALVADOS avril 2013 Projet de parc éolien en mer au large de Courseulles-sur-Mer Synthèse d étude relative à la protection des câbles Sommaire 1. CONTEXTE ET OBJECTIF DE L ETUDE...
Plus en détailManuel d entretien. Présentation de votre chauffe-eau. Poignées de préhension (haut et bas) Protection intérieure par émaillage. Isolation thermique
Présentation de votre chauffe-eau Poignées de préhension (haut et bas) Isolation thermique Protection intérieure par émaillage Canne de prise d eau chaude Doigt de gant du thermostat Anode magnésium Résistance
Plus en détailRECOMMANDATIONS OFFICIELLES - DEFIBRILLATEURS AUTOMATISES EXTERNES
RECOMMANDATIONS OFFICIELLES - DEFIBRILLATEURS AUTOMATISES EXTERNES SOMMAIRE : Définitions DAE / DSA / DEA. Les accessoires recommandés. Notion de système d information pour les secours spécialisés. Les
Plus en détailB1 Cahiers des charges
B1 Cahiers des charges B1 cahiers des charges 35 B.1 Cahiers des charges Ce chapitre contient les cahiers des charges. Pour plus d informations, nous réfèrons au paragraphe B.3. Mise en oeuvre et B.4 Détails
Plus en détailPROPOSITION TECHNIQUE ET FINANCIERE
Avenue des Etangs Narbonne, F-11100, France Votre correspondant : Romain CRESSON INRA Transfert Environnement Avenue des Etangs Narbonne, F-11100, France Tel: +33 (0)4 68 46 64 32 Fax: +33 (0)4 68 42 51
Plus en détailDTUs & Documents d'aide à la maintenance et à la conception des installations intérieur de distribution d eau
DTUs & Documents d'aide à la maintenance et à la conception des installations intérieur de distribution d eau olivier.correc@cstb.fr Nouveaux Documents Techniques Unifiés DTU 60.1 Plomberie sanitaire pour
Plus en détailSTRATEGIES DE CONDUITE DE L IRRIGATION DU MAÏS ET DU SORGHO DANS LES SITUATIONS DE RESSOURCE EN EAU RESTRICTIVE
STRATEGIES DE CONDUITE DE L IRRIGATION DU MAÏS ET DU SORGHO DANS LES SITUATIONS DE RESSOURCE EN EAU RESTRICTIVE JM.DEUMIER, B.LACROIX, A.BOUTHIER, JL.VERDIER, M.MANGIN Les cultures irriguées bénéficient
Plus en détailParois industrielles préfabriquées. Willy Naessens 61
Parois industrielles préfabriquées Willy Naessens 61 Dans le domaine de la préfabrication, les parois préfabriquées en béton offrent une solution efficace pour toutes façades extérieures et cloisonnements
Plus en détailL offre DualSun pour l eau chaude et le chauffage (SSC)
L offre DualSun pour l eau chaude et le chauffage (SSC) SSC signifie : Système Solaire Combiné. Une installation SSC, est une installation solaire qui est raccordée au circuit de chauffage de la maison,
Plus en détailUltrasons diffus pour la caractérisation d une fissure dans le béton
Thèse de Doctorat UNIVERSITÉ AIX-MARSEILLE École Doctorale : Sciences pour l Ingénieur : Mécanique, Physique, Micro et Nanoélectronique Spécialité : Mécanique des solides Audrey QUIVIGER Ultrasons diffus
Plus en détailMesures et incertitudes
En physique et en chimie, toute grandeur, mesurée ou calculée, est entachée d erreur, ce qui ne l empêche pas d être exploitée pour prendre des décisions. Aujourd hui, la notion d erreur a son vocabulaire
Plus en détailManuel d application pour S&P C-Sheet 240
Manuel d application pour Exigences de qualité générale: Adhérence minimale du support > 1.0 N/mm 2 Température du support au minimum 3 C au-dessus de la température du point de rosée Humidité maximale
Plus en détailTACOTHERM DUAL PIKO MODULE THERMIQUE D APPARTEMENT MULTI CONFIGURABLE
TACOTHERM DUAL PIKO MODULE THERMIQUE D APPARTEMENT MULTI CONFIGURABLE COMBINEZ VOTRE STATION INDIVIDUELLE Le module thermique d appartement TacoTherm Dual Piko s adapte parfaitement à toutes les configurations
Plus en détailComment aborder l Optimisation énergétique de salles anciennes et hétérogènes?
Comment aborder l Optimisation énergétique de salles anciennes et hétérogènes? Témoignage de Hervé MAGNIER Aéroports de Paris Membre du CRIP Groupe de travail Data center Un environnement technique peu
Plus en détailLes besoins en eau de refroidissement des centrales thermiques de production d électricité. Alain VICAUD - EDF Division Production Nucléaire
Les besoins en eau de refroidissement des centrales thermiques de production d électricité 1 Les circuits d eau d une centrale thermique Circuit secondaire Appoint Circuit primaire Circuit tertiaire Purge
Plus en détailPour améliorer la qualité Objectif esthétique pour l eau potable 1 mg/l
Dans une goutte d eau Cuivre Le cuivre (Cu) est présent à l état naturel dans la roche, le sol, les plantes, les animaux, l eau, les sédiments et l air. Le cuivre est souvent présent sous forme de minéraux,
Plus en détailCours de Structures en béton
Cours de Structures en béton Chapitre 12 DETAILS DE CONSTRUCTION Section 12.3 Les murs 12.3.1 Le mur extérieur en béton armé 12.3.2 Le mur extérieur en maçonnerie traditionnelle 12.3.3 Le mur extérieur
Plus en détail