LA BIENTRAITANCE. C.DEON et L. BRYGO 2016

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1 LA BIENTRAITANCE C.DEON et L. BRYGO 2016

2 Rappels Une discipline scientifique : est crée par la communauté scientifique concernée, à partir de ses origines, de son histoire, des savoirs empiriques, de ses buts, de son utilité sociale. Elle est toujours en évolution. Elle crée ses paradigmes qui peuvent se définir comme «un ensemble de concepts, de théories dominants dans une communauté scientifique à une époque donnée. C est la matrice de la discipline. C est ce qui cimente et donne une cohérence à la profession, les concepts en soins en sont la base. La science infirmière véhicule des valeurs humanistes telles que : prendre soins, respecter le patient, être à l écoute, soulager, aider.

3 Le concept Sa définition varie en fonction de l approche et du courant de pensée (linguistique, philosophique..) Déf Dictionnaire Larousse : objet abstrait, conçu par l esprit ou acquis par lui et permettant d organiser les perceptions et les connaissances Déf Dictionnaire Psychologie : forme la plus élémentaire de pensée. C est toujours une idée mais générale qui le différencie de l image mentale (représentation) qui reste individuelle. Il sert à organiser les connaissances et permet un raisonnement logique. Il se caractérise par des déterminants qui lui donnent son propre contenu et par son universalité qui lui donne de pouvoir s appliquer à toutes les réalités concrètes.

4 Le concept est - Un objet abstrait - Un objet construit - Un objet universel - Composé d attributs Il comporte des éléments objectivables et rend compte du réel

5 La notion C est une vague idée et des connaissances superficielles et limitées sur le sujet. C est une idée générale et moins précise d un sujet alors que le concept en expose la connaissance scientifique. Exemple : la notion de soins qui englobe des concepts comme : les soins curatifs, préventifs, de nursing, palliatifs Elle est souvent utilisée comme synonyme de concept car très liée.

6 L idée C est une représentation mentale elle est le contenu primitif de l esprit. C est la représentation que nous avons sur un sujet forgée par notre culture, notre instruction, notre personnalité. L idée est subjective elle n est pas stable, elle est personnelle. Pourquoi? Il existe plusieurs type d idées : - idées de l expérience - imaginaires - innées

7 Les Valeurs Au singulier, la valeur est en lien avec l argent traduisant l importance accordée objectivement ou subjectivement à un objet mais aussi ce en quoi une personne est digne d estime. Au pluriel les valeurs sont en lien avec des règles de conduite d une personne ou d une société. Elles influencent la façon de vivre d une personne au travers de ses comportements. Elles sont en lien avec l identité de la personne, elles permettent de décider. Elles évoluent en fonction des époques et des individus.

8 Un étudiant qui fait le choix de devenir infirmier a des valeurs personnelles. Pendant la formation il va identifier ses valeurs à celles de la profession (respect, tolérance, altruisme, équité..). Ces valeurs sont des représentations mentales qui vont guider la définition de la fonction et la nature des soins infirmiers. L IDE doit être positif et croire aux capacités des personnes afin de les aider à maintenir ou retrouver une certaine autonomie. La notion d unicité, de démarche individualisée sont très importantes.

9 Le code de déontologie infirmier - Règles professionnelles Enonce certains principes et obligations(ex: soins sans discrimination sociale, de race, de sexe.) - L IDE doit en plus tenir compte des valeurs personnelles du patient en trouvant avec lui un compromis entre celles-ci et une pratique professionnelle adaptée.

10 PREAMBULE Le 14 mars 2007, Philippe Bas, ministre de l Action Sociale et de la Solidarité présente le «plan de développement de la Bientraitance et de renforcement de la lutte contre la maltraitance.» L Agence Nationale de l Evaluation et de la Qualité des établissements et Services sociaux et Médicaux Sociaux (ANESMS) mise en place en mars 2007 est l agence de la Bientraitance. Elle incite les établissements à mettre en œuvre une démarche qualité à l égard des personnes soignées en instaurant un comité de vigilance. Ce comité ( constitué par des professionnels représentatifs des corps de métier de l établissement) assure la gestion du risque de maltraitance par la mise en place de propositions, de réflexion.

11 LE CONCEPT DE BIENTRAITANCE Le terme de Bientraitance est apparu dans les années 90 Ce mot n existait pas dans le dictionnaire, il se définissait par l association de «bien» et de «traiter» La définition du Petit Larousse : traiter du latin «tractare» qui signifie agir envers quelqu un mais aussi soigner, par une médication appropriée, partie qui entre dans notre champ d actions. C est également appliquer, donner un qualificatif péjoratif à., exposer verbalement par écrit, régler les conditions d un marché, prendre pour objet d étude, négocier conclure un marché. Bientraiter serait donc bien soigner, bien prendre l autre en soin

12 Le mot «Bientraitance» apparaîtra pour la première fois dans le Petit Larousse illustré en 2013, accompagné de la définition : «nom féminin. Fait de bientraiter un enfant, une personne âgée ou dépendante, un malade, etc ; ensemble des bons traitements euxmêmes»

13 C est un concept positif, ce n est pas seulement le contraire de maltraitance C est un état d esprit, une exigence éthique de la relation soignant soigné. Il s agit de donner au soigné la possibilité d exister avec tout ce qu il est. Une démarche

14 Attributs du concept de Bientraitance - Il s inscrit dans les notions de bienfaisance et de bienveillance. - La bienfaisance relève de l absence de tort fait à l autre et d un équilibre au sein de pratiques entre les bénéfices et les torts engendrés par cette pratique. - La bienveillance se situe au niveau de l intention professionnelle. L intention que l on retrouve dans le projet individuel ou d établissement et de service.

15 C est une posture d ajustement au patient qui est transposable au professionnel. En psychanalyse vous entendrez aussi parler de : «la mère suffisamment bonne» développé par le pédopsychiatre Donald Winnicott. L idée n est pas que la posture de soignante s apparente à celle d une maman mais au fait que pour le prendre soin chaque maman s adapte à ses différents enfants.

16 - Ce concept est associé à la notion de sollicitude (philosophe Paul Ricoeur) où comment adopter avec l autre, dans une relation dissymétrique une attitude permettant de rétablir l équilibre - La posture professionnelle de Bientraitance est une manière d être, d agir et de dire, soucieuse de l autre, réactive à ses demandes, respectueuse de ses choix et de ses refus

17 - Il repose sur les bonnes pratiques, des qualifications, des compétences et une conscience professionnelle - Il s exerce dans le respect de la déontologie et de la dignité - Il s insuffle grâce à un projet commun véritable culture de Bientraitance

18 L ANESMS définit la Bientraitance comme : «Une culture inspirant les actions individuelles et les relations collectives au sein d un établissement ou d un service. Elle vise à promouvoir le bien être de l usager en gardant présent à l esprit le risque de maltraitance. Elle trouve ses fondements dans le respect de la personne, de sa dignité et de sa singularité. Il s agit d une culture partagée au sein de laquelle les sensibilités individuelles, les spécificités de parcours et de besoins, doivent pouvoir s exprimer et trouver une réponse. Elle se doit de répondre aux besoins fondamentaux des usagers de la manière la plus individualisée possible.»

19 L HAS définit la bientraitance comme : «une démarche globale dans la prise en charge du patient, de l usager et de l accueil de l entourage visant à promouvoir le respect des droits et libertés du patient, de l usager, son écoute et ses besoins, tout en prévenant la maltraitance. Cette démarche globale met en exergue le rôle et les interactions entre différents acteurs que sont le professionnel, l institution, l entourage et le patient, l usager. Elle nécessite un questionnement tant individuel que collectif de la part des acteurs.»

20 C est une démarche qui contribue à l amélioration des pratiques et rentre directement dans une démarche qualité Elle nécessite une démarche réflexive. Penser le soin avant d agir.

21 Ce concept va de pair avec la législation : - Textes relatifs aux droits de l homme - Charte des personnes âgées dépendantes (1987) - Charte du patient hospitalisé (6 mai 1995) - Loi du 2 janvier Loi du 4 mars 2002 relative aux droits des malades et à la qualité du système de soins - Charte de l enfant hospitalisé (1988) Ne pas oublier les règles professionnelles (code de déontologie), le guide des bonnes pratiques comme le recommande la Haute Autorité en Santé.

22 Les concepts voisins - Prendre soin - Relation - Empathie - Bienfaisance - Humanitude - Compétence - Éthique - dignité

23 Le contexte de soins concerne le patient, le soignant et l environnement: Le patient respecte aussi le soignant. Il établit un lien de confiance avec le soignant. La famille est partenaire de soins. Le soignant doit être : empathique, à l écoute, compétent, responsable, disponible. Il tient compte des compétences et capacités du patient. Il respecte la personne soignée. Il est soucieux de son intimité, de sa dignité. Recherche son consentement éclairé. Il anticipe la survenue de risques et de complications. Il établit un lien de confiance avec la famille. Il connait ses limites, a une bonne santé psychologique et est bien traité par ses pairs. L environnement : la relation d équipe est importante dans la mise en place d un projet commun. L organisation est adaptée aux besoins du patient avec des outils de soin, des moyens locaux et matériel mis à disposition.

24 La difficulté o Les frontières entre bientraitance et la maltraitance sont très minces. o o o La maltraitance peut être physique, verbale, psychologique, financière, médicale. Elle peut être ponctuelle ou répétitive, délibérée ou inconsciente. Elle se caractérise par tout acte ou omission commis par une personne qu il porte atteinte à la vie, à l intégrité corporelle ou psychique d une personne ou compromet gravement le développement de la personnalité ou encore nuit à sa sécurité financière. La maltraitance traduit à la fois un acte et une omission o HAS identifie la maltraitance ordinaire dont l origine est un manque d information un manque d écoute qui donnent un sentiment d abandon. Elle est présente au quotidien, banalisée invisible,

25 video ginest : D4 bientraitance en EHPAD dgu&feature=related Gineste Marescotti W7U vers des pratiques bientraitantes 10 mn Video hhttps:// QBUbg ttp:// au pays de la bientraitance

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