ETAT DES LIEUX DE LA VACCINATION EN POITOU-CHARENTES (ROUGEOLE, COQUELUCHE) (REGIME GENERAL, REGIME SOCIAL DES INDEPENDANTS)

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1 ETAT DES LIEUX DE LA VACCINATION EN POITOU-CHARENTES (ROUGEOLE, COQUELUCHE) (REGIME GENERAL, REGIME SOCIAL DES INDEPENDANTS) Synthèse de l étude - Le taux de vaccination contre la rougeole est de 86,2% pour la première injection (autour de 12 mois), celui contre la coqueluche est de 82,0% pour la primo-vaccination (3 injections entre 1 et 6 mois). Les résultats du RG sont bien meilleurs que ceux du RSI, notamment pour la coqueluche où il y a un écart de 14 points au niveau des taux. - Les meilleurs taux de vaccination se retrouvent en Charente et en Deux-Sèvres. Dans les deux cas, la Charente- Maritime a les moins bons taux (rougeole : 82% ; coqueluche : 76,6%). La Vienne est toujours en 3 ème position. Ses résultats sont très proches de la Charente et des Deux-Sèvres pour la rougeole et proches de la Charente-Maritime pour la coqueluche. - Les foyers de plus faible vaccination pour la rougeole se trouvent dans le Nord Deux-Sèvres, dans le Nord-Vienne ainsi que dans une grande partie de la Charente-Maritime (principalement dans les agglomérations). Pour la coqueluche, le recours au vaccin est moins fréquent dans le centre et le nord de la Vienne et sur le littoral (La Rochelle, Royan). - En ce qui concerne la rougeole, les garçons sont beaucoup plus fréquemment vaccinés que les filles. Le vaccin contre la rougeole est en effet couplé avec celui des oreillons qui est une maladie pouvant provoquer la stérilité chez les hommes. Pour la coqueluche, il n y a pas de différence liée au sexe de l enfant. - La deuxième dose de rougeole, normalement entre le 13 ème et le 24 ème mois, n est pas suffisamment administrée pour éradiquer complètement la rougeole. De même, le rappel entre 11 et 13 ans pour la coqueluche, qui doit permettre notamment la non-contamination des nourrissons par leurs futurs parents, n est pas généralisé aujourd hui. - Ces résultats concernent les assurés du Régime Général (RG) et du Régime Social des Indépendants (RSI). I Contexte Selon le calendrier fixé par l Organisation Mondiale de la Santé (OMS), la semaine européenne de la vaccination (SEV) s est déroulée du 20 au 26 avril. Depuis trois ans, son but est d aider les français et les européens à mieux comprendre les bénéfices de la protection contre les maladies infectieuses par la vaccination. Les 3 principaux objectifs de la SEV sont de favoriser une meilleure compréhension des enjeux de la vaccination, d améliorer la protection vaccinale individuelle et collective et de porter une attention particulière à l état vaccinal des enfants et adultes pour leur proposer les éventuels rattrapages nécessaires. La population française a une bonne opinion de la vaccination : 90% des personnes interrogées ont conscience de ses enjeux de prévention individuelle et collective, la moitié déclare être favorable à l obligation vaccinale et 80% souhaitent le maintien de l obligation vaccinale. Pour la région Poitou-Charentes, le projet est piloté par la DRASS. Son site contient beaucoup d informations sur la semaine de la vaccination : Les deux priorités 2009 de la semaine européenne de la vaccination sont la rougeole tout d abord et la coqueluche. L OMS considère que l éradication de la rougeole est techniquement possible. L objectif fixé à la région Europe est qu elle soit éliminée en En 2008, près de 600 cas de rougeole ont été déclarés en France dans le cadre des maladies à déclaration obligatoire. En 2008, aucun décès n a été relevé mais, depuis janvier 2009, un décès lié à une encéphalite aiguë est survenu. Deux épidémies de rougeole touchent la région Poitou-Charentes, l une en Deux-Sèvres depuis fin septembre 2008, l autre en Charente-Maritime depuis fin décembre Depuis le début de ces épisodes épidémiques, 60 cas de rougeole ont été déclarés à la DDASS des Deux-Sèvres et 50 cas à celle de la Charente-Maritime. Parmi ces 110 cas, 12 ont été hospitalisés mais aucun n est décédé. Parmi les cas âgés de plus d un an, 80% n étaient pas vaccinés. Ces épidémies récentes touchent donc plus particulièrement les populations qui ne sont pas vaccinées.

2 Le taux d incidence observé dans les Deux-Sèvres est un des cinq plus élevés en métropole. Il était de 8 cas contre 1 cas pour habitants en métropole en La vaccination contre la coqueluche représente la deuxième priorité régionale. Ont été diagnostiqués 244 cas en moyenne de 1996 à 2007 avec une létalité de 2% en moyenne. Parmi ces cas, 80% n étaient pas vaccinés, dont la moitié avait moins de deux mois. La source de contamination la plus observée est constituée par les parents. Ces résultats montrent entre autres l importance de la vaccination de l entourage des nouveau-nés. C est donc dans ce contexte, que cette étude a été proposée pour fournir un état des lieux avec une approche géographique par bassin de vie. Cette étude porte sur l année 2008 et tient compte uniquement de la population du Régime Général et du Régime Social des Indépendants. La MSA n a pas pu fournir ses données. Les taux de vaccination décrits ci-dessous ne tiennent compte que des doses administrées par les médecins libéraux et non des doses administrées par les services de vaccination et de protection maternelle et infantile (PMI) des départements. Les vaccinations faites dans ce cadre sont gratuites. Or, nous étudions ici les remboursements des bases de l Assurance Maladie. II Vaccination contre la rougeole La rougeole est l une des maladies infectieuses les plus contagieuses. La transmission se fait par l intermédiaire de gouttelettes salivaires ou respiratoires, par contact direct ou par voie aérienne. Les pays de la Région européenne de l OMS, dont la France, se sont fixé un objectif d élimination complète de la rougeole en La vaccination contre le ROR (rougeole oreillons rubéole) est dite totale si deux injections sont réalisées entre le neuvième et le trentième mois après la naissance. La seconde injection ne constitue pas un rappel, l'immunité acquise après une première vaccination étant de longue durée. Elle constitue un rattrapage pour les enfants n'ayant pas séroconverti lors de la 1ère vaccination. Dans le cadre du plan national d élimination de la rougeole et de la rubéole congénitale, l âge de la première dose a été avancé à l âge de 12 mois et l administration de la deuxième dose est recommandée au cours de la deuxième année, soit entre 13 et 24 mois, permettant ainsi à des enfants qui n auraient pas répondu à la première dose d être protégés plus tôt avec la seconde dose. Les données fournies par la Drees font état, pour l année 2003, d une couverture de 86,4 % pour la France métropolitaine, avec des écarts entre départements allant de 66 % à 97 %. En Poitou-Charentes, l étude sur la vaccination contre la rougeole a été réalisée à partir d un échantillon de enfants nés entre le 1 er juin 2006 et le 1 er décembre 2006, soit un intervalle de six mois. Les enfants avaient donc au 1 er mars 2009 (date de fin d analyse) entre 28 et 33 mois. Une vaccination plus tardive n est pas préconisée par le calendrier vaccinal. De même, une vaccination avant neuf mois est considérée comme inefficace. Ceci représente l échantillon optimal au vu de la durée de conservation des données dans les bases de l Assurance Maladie. II a Par département et par régime Dans cette partie de notre étude sur la rougeole, nous avons considéré le remboursement d une seule injection. Tableau 1 : Taux de vaccination départemental contre la rougeole en inter-régimes et par régime IR RG RSI Charente 88,7% 89,2% 81,6% Charente-Maritime 82,0% 82,9% 67,1% Deux-Sèvres 88,5% 88,6% 86,9% Vienne 87,7% 88,9% 63,2% Poitou-Charentes 86,2% 86,9% 72,7% enfants ont eu une ou plusieurs injections en Poitou-Charentes entre le 1 er mars 2007 et le 28 février 2009 sur un échantillon de enfants. Le taux de vaccination est donc de 86,2% en Poitou-Charentes pour les deux régimes concernés par l étude. Soulignons à nouveau que pour atteindre l exhaustivité, il nous manque les

3 résultats de la MSA et les vaccinations dans les PMI d enfants de tout régime d Assurance maladie. Ces chiffres sont donc sous-estimés. Ce taux est important mais encore éloigné des 95% préconisé pour une éradication totale de la maladie (source OMS). Comme on le voit, il y a des différences inter-départementales. La Charente, les Deux-Sèvres et la Vienne ont de meilleurs taux que la Charente-Maritime. Au niveau des régimes, la couverture vaccinale des enfants du Régime Général est bien meilleure que celle du Régime Social des Indépendants (14 points d écart). La carte suivante présente le taux de vaccination contre la rougeole (tous régimes confondus) par bassin de vie. Il existe encore des poches de plus faible vaccination en Deux-Sèvres (dans le nord du département, bassins de vie de Bressuire et Thouars) et dans la Vienne (plutôt autour de Châtellerault et dans le sud du département Gençay Civray). De même, les bassins de vie au nord est et au nord ouest de la Charente (Aigre, Rouillac, Chabanais) ont des taux inférieurs à 83%. A contrario, les 2/3 sud des Deux-Sèvres, l ouest et le sud-est de la Vienne comme le centre et le sud de la Charente ont des taux de vaccination très importants. Mais comme le montrait le tableau sur la page précédente, il y a une différence significative entre le département de la Charente-Maritime et les trois autres départements. En effet, un grand nombre de bassins de vie ne dépassent pas les taux de 82% de vaccination (1/3 des bassins de vie pour le département contre 1/10 pour la Charente). Les taux sont plus bas autour des grandes agglomérations (La Rochelle, Rochefort, Saintes). L ensemble des cartes par régime figure en annexe 2 (RG : carte 3 et RSI : carte 4). II b Par type de vaccin Sur les injections pratiquées sur la période, seules 2 l ont été pour un vaccin monovalent, soit un vaccin ne luttant que contre la rougeole. Tous les autres vaccins sont dits ROR protégeant contre la rougeole, les oreillons et la rubéole. Le PRIORIX est utilisé sept fois sur 10.

4 II c Par âge et sexe de l enfant 1800 Graphique 2 : Répartion des prescriptions de vaccin selon l'âge du patient nombre de prescriptions âge de vaccination (en mois) Les vaccinations avant 9 mois sont considérées comme inefficaces car un grand nombre de nourrissons a encore des anticorps maternels antirougeoleux. Elles représentent dans notre étude 2% des injections. Comme recommandé, un grand nombre d enfants subissent une injection de vaccin aux alentours des 12 mois (pic de injections pour les 12 mois). Le nombre d injections est stable autour de 300 injections entre 14 et 22 mois. Il y a à nouveau une hausse du nombre d injections pour les enfants âgés de 23 à 27 mois. Cela semble être la deuxième injection recommandée pour le rattrapage recommandé pour éviter la non-séroconversion lors de la 1 ère vaccination. Comme on le voit, le pic autour de 24 mois est beaucoup moins important que celui pour les enfants de 12 mois. On peut donc légitimement penser que la deuxième injection n est pas suffisamment pratiquée. D ailleurs, le taux de vaccination passe de 86,2% pour une injection à 52,3% pour les deux injections sur l échantillon et dans la période considérée. Soulignons à nouveau que les bases de données de l Assurance Maladie ne prennent pas en compte les injections effectuées dans le cadre de la PMI. Au vu du graphique, les mois ne sont que très peu vaccinés contre la rougeole. 100% 95% 90% 85% 80% 75% 70% 65% 60% Graphique 2 : Taux de vaccination (sur une injection) selon le sexe de l'enfant 93,4% 91,1% 90,6% 84,1% 86,1% 85,9% 84,6% 77,7% Charente Charente- Maritime Féminin 82,5% 89,7% Deux-Sèvres Vienne Poitou- Charentes Masculin Les garçons présentent un taux de vaccination bien plus élevé avec un taux de 89,7% contre 82,5% pour les filles soit plus de 7 points. La différence garçons / filles est plus importante en Charente et en Charente-Maritime (autour de 9 points) qu en Deux-Sèvres et en Vienne (respectivement 5,2 et 6,0 points). Le vaccin contre la rubéole est destiné aux femmes et celui contre les oreillons plutôt destiné aux garçons pour éviter les malformations congénitales durant la grossesse pour l un et la stérilité une fois l âge adulte pour l autre. On peut s étonner de ces différences importantes selon le sexe. Il n y a, a priori, pas de probabilité que les filles soient plus vaccinées en PMI que les garçons.

5 III Vaccination contre la coqueluche La coqueluche est une maladie respiratoire très contagieuse due au bacille de Bordet-Gengou ou Bordetella pertussis. Le vaccin coquelucheux est efficace et il existe une étroite relation entre la couverture vaccinale et l incidence de la coqueluche dans un pays. En 1990, l âge du début de la primo-vaccination a été fixé à 2 mois en raison du risque de contamination des très jeunes nourrissons. Le calendrier vaccinal français 2006 recommande : une primo-vaccination à 2, 3 et 4 mois, un rappel à mois et un rappel à ans. Compte tenu de la recrudescence des cas de coqueluche observée chez de très jeunes nourrissons contaminés par des adolescents ou de jeunes adultes, un rappel est recommandé, depuis 1998, entre l âge de 11 et 13 ans et doit être pratiqué avec un vaccin coquelucheux acellulaire. Celui-ci devrait permettre de prolonger l immunité et d éviter ainsi la constitution d un réservoir d adultes susceptibles de contaminer les nourrissons. L étude sur la vaccination contre la coqueluche a été réalisée à partir d un échantillon de enfants nés entre le 1 er janvier 2007 et le 31 mai 2007, soit un intervalle de cinq mois. Les enfants avaient donc au 1er mars 2009 (date de fin d analyse) entre 22 et 26 mois. L intervalle d un mois entre les trois injections de la primo-vaccination ne doit être raccourci pour aucun des vaccins. En cas d omission ou d allongement de ce délai, la vaccination est valable et il ne faut pas donner d injection supplémentaire. Ceci représente l échantillon optimal au vu de la durée de conservation des données dans les bases de l Assurance Maladie. III a Par département et par régime Dans cette partie de notre étude sur la coqueluche, nous avons considéré le remboursement de trois injections par enfant quelque soit son âge. Tableau 2 : Taux de vaccination départemental contre la coqueluche en inter-régimes et par régime IR RG RSI Charente 88,0% 91,0% 48,6% Charente-Maritime 75,9% 76,6% 64,0% Deux-Sèvres 89,2% 90,1% 65,1% Vienne 78,9% 79,7% 55,3% Poitou-Charentes 82,0% 83,2% 58,4% enfants ont eu trois injections ou plus en Poitou-Charentes entre le 1 er mars 2007 et le 28 février 2009 sur un échantillon de enfants. Le taux de vaccination est donc de 82,0% en Poitou-Charentes pour les deux régimes concernés par l étude. Les résultats sont de toute façon sous-estimés puisqu il manque ; - les vaccinations faites par les PMI qui sont introuvables dans les systèmes d information de l Assurance Maladie et les résultats de la MSA. En inter-régimes, les taux de la Charente et des Deux-Sèvres sont élevés (plus de 88%) comparativement à la Charente-Maritime et la Vienne (respectivement 75,9% et 78,9%). Au niveau des régimes, la couverture vaccinale des enfants du Régime Général est bien meilleure que celle du Régime Social des Indépendants (15 points d écart). Les résultats du RSI en Charente sont très en-dessous des résultats du régime général.

6 La carte suivante présente le taux de vaccination contre la coqueluche (tous régimes confondus) par bassin de vie. Le nord de la Charente (Ruffec, La Rochefoucauld) ainsi que le nord et le sud des Deux-Sèvres (Bressuire, Thouars, Niort, Melle) sont des foyers de forte vaccination contre la coqueluche. Ces deux départements n ont qu un bassin de vie chacun avec un taux de pénétration inférieur à 76%. La Vienne a des résultats très hétérogènes au niveau des bassins de vie. Le nord et le centre du département (Loudun, Chauvigny) ont des taux de vaccination assez faibles. La Charente-Maritime a les moins bons résultats des quatre départements de la région. Seuls deux bassins de vie ont un taux supérieur à 88% (Marans, Gémozac). L ensemble des cartes par régime figure en annexe 3 (RG : carte 5 et RSI : carte 6). Les classes représentant le taux de vaccination sont différentes selon les régimes du fait de l écart important du taux. III b Par âge et sexe de l enfant Dans cette partie de notre étude sur la coqueluche, nous avons considéré l ensemble des injections réalisées sans tenir compte du nombre réalisé par enfant. Le nombre d injections sur la période et sur l échantillon est de nombre de prescriptions Graphique 3 : Répartition des prescriptions de vaccin selon l'âge de l'enfant âge de vaccination (en mois)

7 Le graphique montre un pic d injections de coqueluche entre la naissance et le septième mois de l enfant. Cela correspond à la phase de primo-vaccination injections ont été faites pour les enfants de 0 à 7 mois. Si l on considère que chaque enfant a eu trois injections et que l on rapporte ce chiffre divisé par trois à la population globale, on arrive à un taux de vaccination de 81,3%, très proches des chiffres du tableau 2. Sur la période de 7 à mois, il y a peu de vaccinations contre la coqueluche. La période de rappel (16-21 mois) est bien visible sur le graphique enfants âgés de 14 à 22 mois ont eu une injection de vaccin contre la coqueluche. On peut considérer que 71,5% des enfants ont eu la piqûre de rappel. Après 22 mois, le nombre d injections revient à un faible niveau. 95% 90% Graphique 4 : Taux de vaccination (sur trois injections) selon le sexe de l'enfant 88,2% 87,9% 89,2% 89,2% 85% 80% 75% 76,0% 75,8% 78,5% 79,3% 82,0% 82,0% 70% 65% 60% Charente Charente- Maritime Féminin Deux-Sèvres Vienne Poitou- Charentes Masculin Il ne semble pas y avoir de différences de vaccinations entre les garçons et les filles quelque soit le département contrairement au cas de la vaccination contre la rougeole. III c Rappel des ans En l état actuel, les bases de l Assurance Maladie ne nous permettent pas de suivre un échantillon d enfants pour savoir s ils ont eu leur rappel de coqueluche à 11 ans, 12 ans ou bien à 13 ans. Afin d être exhaustif, il a été choisi de suivre l ensemble des enfants de 9 à 18 ans vivant en Poitou- Charentes en 2008 et de voir combien parmi ces enfants ont eu la piqure de rappel. La population totale définie dans le tableau ci-dessous tient compte de la population des 11, 12, 13 ans. Cette partie reprend les données uniquement du Régime Général (hors Sections Locales Mutualistes). Les enfants vaccinés dans les PMI ne sont bien sûr pas comptabilisés dans cette partie comme dans tout le reste du document. Tableau 3 : Piqure de rappel des ans en fonction du département population vaccinée population totale Taux de vaccination Charente ,2% Charente-Maritime ,7% Deux-Sèvres ,4% Vienne ,6% Poitou-Charentes ,9% Source : RG Ce tableau montre que les résultats de la piqure de rappel sont plutôt bas. En 2008, seulement 23,9% des enfants de 9 à 18 ans ont été vaccinés contre la coqueluche comme le préconise le calendrier vaccinal. La Charente a de moins bons résultats que les trois autres départements.

8 ANNEXE 1 Liste des vaccins luttant contre la rougeole et la coqueluche Rougeole code CIP Désignation type ROUVAX monovalent IMMU ORR polyvalent - ROR RORVAX polyvalent - ROR RVAXPRO polyvalent - ROR RVAXPRO polyvalent - ROR PRIORIX polyvalent - ROR RUDI-ROUVAX poly - rubéole Coqueluche code CIP Désignation type IPAD "D.T.C.P." PASTEUR polyvalent - DCPT PENTACOQ polyvalent - DCPT PENT HIBEST-VACCIN HAEMOPHILUS polyvalent - DCPT PENTACOQ-VACCIN HAEMOPHILUS polyvalent - DCPT PENT HIBEST-VACCIN HAEMOPHILUS polyvalent - DCPT PENTAVAC polyvalent - DCPT TETRAVAC-ACELLULAIRE polyvalent - DCPT INFANRIX HEXA polyvalent - DCPT INFANRIX HEXA polyvalent - DCPT INFANRIXTETRA polyvalent - DCPT INFANRIXQUINTA polyvalent - DCPT REPEVAX polyvalent - DCPT REPEVAX polyvalent - DCPT PENTAVAC polyvalent - DCPT TETRAVAC-ACELLULAIRE polyvalent - DCPT INFANRIXQUINTA polyvalent - DCPT BOOSTRIXTETRA polyvalent - DCPT BOOSTRIXTETRA polyvalent - DCPT REPEVAX polyvalent - DCPT PENTAVAC polyvalent - DCPT TETRAVAC-ACELLULAIRE polyvalent - DCPT

9 ANNEXE 2

10 ANNEXE 3

11 Vaccination, où en êtes-vous? CALENDRIER VACCINAL 2009 SIMPLIFIÉ

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