Les innombrables aspects des anticorps antinucléaires en IFI : quelle leçon en tirer au moment du dépistage Docteur Alain Chevailler
|
|
- Ange Bergeron
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Les innombrables aspects des anticorps antinucléaires en IFI : quelle leçon en tirer au moment du dépistage Docteur Alain Chevailler Laboratoire d immunologie et d allergologie CHU Angers -BIOFORMA "Les auto-anticorps anti-nucléaires: dépistage, identification et signification" -21 et 22 octobre Revue Francophone des Laboratoires 2006, 384 : U 892
2 Gammapathies monoclonales à activité auto-anticorps anticorps : de l immunofluorescence indirecte comme technique de dépistage Docteur Alain Chevailler Laboratoire d immunologie et d allergologie CHU Angers U 892
3 Structure du monomère d IgG1 VL VH F(ab) CH1 F(ab ) 2 CH1 VH VL Prix Nobel Médecine 1972 CL CL Rodney Porter CH2 CH2 Gérard Edelman Fc CH3 CH3
4 IMMUNOGLOBULINE MONOCLONALE production d'un clone de lymphocyte Soit H 2 L 2, soit L, soit H plus rarement caractérisation : homogénéité : charge : Électrophorèse (pic) isotypie : immunoélectrophorèse (sang et urines, IES et IEU) immunofixation (IFx)
5 Gammapathie monoclonale Une des anomalies biologiques les plus fréquentes > 50 ans : 3 % > 70 ans : 7 % RA Kyle, 2007
6 MGUS monoclonal gammopathy of undetermined significance 55 % Définition : Pic < 30 g/l Plasmocytose médullaire < 10 % Pas d atteinte osseuse, d organomégalie, d insuffisance rénale, d hypercalcémie
7 Signes cliniques Prolifération lymphocytaire Signes osseux (lyse, fracture, hypercalcémie) Envahissement médullaire (cytopénie) Compression médullaire Immunoglobuline monoclonale Syndrome d hyperviscosité Cryoglobulinémie Dépôt (amylose, MDCL) (Auto)-anticorps
8 AUTO-ANTICORPS ANTICORPS NATURELS Physiologiques : Avraméas, Dighiero lymphocytes B CD5+ antigènes : solubles : transferrine, thyroglobuline, etc... intra-cellulaires : actine, myosine, tubuline, ADN,... gènes germinaux non mutés Ac présents chez souris axéniques pas de maturation d'affinité (mutation, sélection par antigène) répertoire limité, conservé (sélection positive) rôle : épuration? (blocage par interaction Id-anti anti-id) immunité naturelle : opsonisation pathogènes
9 Gammapathie monoclonale à activité (auto)-anticorps anticorps Preuve : F(ab ) 2 Myélome IgG1k ASLO très élevés : - sérum - IgG purifiées - F(ab ) 2 IFD moelle : - γ rouge - SLO-FITC Photo : Daniel Hurez
10 Auto-anticorps monoclonaux les plus fréquents Maladie des agglutinines froides Antigène polysaccharidique Ii Cryoglobulinémie de type 2 (facteur rhumatoïde monoclonaux) Antigène : fragment Fc des immunoglobulines Neuropathie avec anticorps IgM anti-mag - Antigène : myéline associated glycoprotéine
11 Tableau I : activités autoanticorps les plus fréquemment associées avec les gammapathies monoclonales Globules rouges (I ou i) [9] Phospholipides [44] Anticoagulant [47] Protéines plasmatiques Actine [11] IgG (facteur rhumatoïde) [24] Tubuline [11] β lipoprotéines [15, 36, 49] Myosine [10] albumine [43] Vimentine [10] α2macroglobuline [20, 38] Muscle lisse [25, 34, 40] transferrine [43] facteur VIII [43] facteur von Willebrand [23] inhibiteur de la C1 estérase [8] thyroglobuline [48, 50] Myelin associated glycoprotein (MAG) [16] gangliosides [17] Sulfatides [6] Héparane sulfate [37] Antigènes nucléaires ADN [18, 46] SSA, SSB [4] Sm, RNP [1, 46] Histones [43]
12 Activités auto-anticorps anticorps monoclonales Stone et al al (Semin oncol 2003, 30, 318) Que MGUS IgM (172) 71 % activité auto-anticorps anticorps 43 % : glycoprotéines, glycolipides, oligosaccharides, glycosaminoglycans 12 % : glycoprotéines, gangliosides (neuropathies) 11 % : antigènes nucléaires al (An NY Acad Sci,, 2007,1107, 206) Carlizzi et al 1/3 des MGUS (tout isotype): activité auto- anticorps Un seul patient signes cliniques en rapport
13 Apport de l IFI pour la détection des gammapathies monoclonales Auto-anticorps monoclonal : Titre élevé historique, mais pas le plus fréquent Spécificité restreinte Aspect incomplet en comparaison à la réponse polyclonale
14 Réponse auto-immune Polyclonale : anti-a a + anti-b b + anti-c a b Auto-antigène Monoclonale : anti-a c
15 Réponse anti-muscles lisses polyclonale (estomac de rat) Conjugué : anti-gamkl FITC Photo : G Renier
16 Réponse anti-muscles lisses monoclonale, IgM kappa (estomac de rat) Conjugué : anti-gamkl FITC Photo : G Renier B
17 Suspicion d auto auto-anticorpsanticorps monoclonal IFI avec anti-sérums anti-chaînes lourdes et anti-chaînes légères Monotypie : même aspect avec une seule chaîne lourde et une seule chaîne légère IEP/IFx IFx : Seuil de sensibilité : 100 fois moindre qu IFI
18 Suspicion d auto auto-anticorpsanticorps monoclonal : résultat IEP/IFx IFx : Ig monoclonale de même H et L qu en IFI : auto-anticorps anticorps monoclonal Pas d Ig monoclonale détectable : auto- anticorps monotypique Ig monoclonale d un autre isotype que celui de l IFI : 2 clones
19 Gammapathie monoclonale à activité (auto)-anticorps anticorps G Renier Congrès Eur Immunol demandes d auto-anticorpsanticorps / 1 an (2002) 68 suspicions (aspect inhabituel, fort titre) 32 (1%) mcl Ig (15 connues, 17 découvertes) 22 IgM 8 IgG 2 IgM + IgG Importance du conjugué : Anti-GAM GAMκλ
20 Poursuite de l étude : BACHY B, BURBAN M, FOUSSARD C, BEAUVILLAIN C, JEANNIN P, DELNESTE E Y, RENIER G, CHEVAILLER A. Gammapathies monoclonales à activité auto-anticorps anticorps : de l'immunofluorescence indirecte comme technique de dépistage. 5ème colloque GEAI2008. Revue Francophone des Laboratoires 2008, 404bis : Janvier 2002 décembre 2006 Environ demandes d auto auto-anticorpsanticorps 73 cas (0,61 %) Sex-ratio (homme/femme) : 33/40 (45%, 55%) Âge moyen : 62,2 ans Femme : 60 ans (21-97) Homme : 63,5 ans (9-94) 94)
21 Résultats 44 auto-anticorps anticorps monoclonaux 27 auto-anticorps anticorps monotypiques 2 (externes) : pas assez de sérum pour IEP
22 Tableau II : auto-anticorps monoclonaux 10 inconnues sur 44 Majorité IgM (30 / 44) isotype inconnue Connue sans Connue avec total renseignement renseignement IgM κ IgM λ IgG κ IgG λ IgM κ + IgM λ IgG κ + IgM λ IgG κ + IgM κ IgGκ κ + IgGλ λ + IgMλ total
23 10 ont un 2ème clone détectable par IEP, dont 1 connu Tableau III : auto-anticorps monotypiques isotype inconnue connue total IgM κ IgM λ IgG κ IgG λ IgM κ + IgM λ IgGκ κ + IgGλ total
24 Aspect : > 50% cytoplasme Tableau IV : aspect de fluorescence des gammapathies monoclonales à activité auto-anticorps aspect pourcentage Cytoplasme autre que cytosquelette 44,1 Cytosquelette Muscle lisse 19,1 Cytosquelette non muscle lisse 6 Nucléaire 13,2 autres 17,6
25 Tableau V : pathologies associées pathologies Nombre (pourcentage) hématologiques 32 (60,4%) infectieuses 4 (7,5%) Auto-immunes 5 (9,5%) rhumatologiques 2 (3,7%) autres 10 (18,9%) total 53 (100 %)
26 Tableau VI : diagnostic selon la connaissance préalablement à l'ifi ou non de l'immunoglobuline monoclonale pathologie Immunoglobuline monoclonale connue Immunoglobuline monoclonale inconnue waldenström 13 1 lymphome 4 0 MGUS 1 4 LAM 0 2 Simpson Golabi 0 1 PR 1 0 Hodgkin 0 1 infection 0 1 SAPL 0 1 total MGUS : gammapthie monoclonale de signification indéterminée LAM : leucémie aiguë PR : polyarthrite rhumatoïde SAPL : syndrome des anti-phospholipides
27 Etude prospective Etude sur 100 patients Janvier 2010, une semaine et demi IFI avec spécifiques : HEp-2 et 3 tissus 22 résultats positifs : 22 % - 1 Anticorps monoclonal - 21 Anticorps monotypiques
28 répartition substrat total MCl MTY Gλ Gκ Mλ Mκ Aκ HEp T total
29 Cas clinique n 1 Homme, né le 7 décembre 1937 Février 1997 : opération rétrécissement aortique, découverte MGUS IgM lambda Avril 2006 : paresthésies distales des membres sans anti-mag Janvier 2007 : diagnostic de Maladie de Waldenström (envahissement médullaire lymphoplasmocytaire 50 %); modification de l IEP
30 Immunoélectrophorèse de janvier 2007 IFx après immunoprécipitation par A B Janvier 2007 Avril 2006 Anti-kappa Anti-lambda
31 Sérologie auto-immune Absence d anticorps anti-mag Présence d anticorps anti-sulphatides (dot M + G) Anticorps anti-muscles lisses de spécificité anti-actine actine de titre élevé (1/40000) Spécificité µ lambda
32 Immunofluorescence indirecte sur cellules HEp-2 du sérum dilué au 100ème (40X) B A Substrat : cellules HEp-2, µ Substrat : cellules HEp-2, anti-lambda Parfaitement négatif avec anti-γ, anti-α et anti-k
33 Immunofluorescence indirecte sur cellules HEp-2 de la fraction IgM purifée 100ème (40X) A B C D A : Courbe obtenue par Gel filtration du sérum présentant les différentes fractions en fonction de la DO à 280 nm B : Analyse de la fraction 34 par immunofixation, permettant de confirmer qu'il s'agit de l'igmλ. C et D : IFI sur cellules HEp-2 en utilisant un conjugué anti-λ (C) et un conjugué anti-µ (D) retrouvant l'aspect anti-actine Avec les anti-sérums anti-γ, anti-α et anti-κ la fluorescence est négative
34 Inhibition Disparition de la fluorescence Du sérum De la fraction purifiée Avec actine F
35 Cas clinique n 2 : garçon, né le 21/02/1997 Syndrome de Simpson Golabi Xq 26 : Mutation gène glypican 3 (mutation faux sens dans l exon 3) : mutation maternelle Association devant doigts courts,hexadactylie, philtrum long, haute stature, viscéromégalie, macroglossie et hernie inguinale Déficit immunitaire non classé AHAI : 6 épisodes de 4 à 8 ans IgG 2 def Hyperplasie lymphoïde entre 3 et 9 ans Découverte d une IgM lambda anti-cytosquelette : en avril 2005 (IES et dosages normaux en juillet 2004)
36 Conclusion Intérêt de pratiquer la recherche des auto-anticorps anticorps et des immunoglobulines monoclonales dans le même laboratoire Connaître possibilité auto-anticorps anticorps monoclonal/typique : aspect inhabituel d IFI Intérêt de l IFI : dépistage plus précoce des MGUS
37 Remerciements Benjamin Bachy Mélanie Burban Cécile Robineau Pascale Jeannin Céline Beauvillain Gilles Renier Yves Delneste U892 Rachel Boivinet Catherine Daniel Christine Deau Anne-Marie-Royer Et les cliniciens du CHU hématologistes adultes et enfant Et des CH extérieurs
ANTICORPS POLYCLONAUX ANTI IMMUNOGLOBULINES
L OUTIL IDEAL POUR TOUTES LES DETECTIONS IMMUNOCHIMIQUES pour toutes les techniques immunodosages (EIA/ELISA) dot/ westernblot immunohistochimie immunocytochimie cytométrie en flux quel que soit le système
Plus en détailAnnales du Contrôle National de Qualité des Analyses de Biologie Médicale
Annales du Contrôle National de Qualité des Analyses de Biologie Médicale Anticorps anti-tissus non spécifiques d organe (anticorps anti-mitochondries de type M2) Immuno-pathologie 04ATI2 Janvier 2005
Plus en détailIMMUNOLOGIE. La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T. Informations scientifiques
IMMUNOLOGIE La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T Informations scientifiques L infection par le VIH entraîne des réactions immunitaires de l organisme qui se traduisent par la production
Plus en détailCoombs direct positif (et tout ce qui se cache derrière) : Gestion et interprétation. Dr J.C. Osselaer, Luxembourg, 14.12.2006
Coombs direct positif (et tout ce qui se cache derrière) : Gestion et interprétation Dr J.C. Osselaer, Luxembourg, 14.12.2006 Etiologie d'un Coombs Direct positif 1. Autoanticorps immunisation contre GR
Plus en détailL immunoenzymologie. Technique puissante couramment utilisée e en recherche et en diagnostic cificité des anticorps pour leurs nes
L immunoenzymologie Technique puissante couramment utilisée e en recherche et en diagnostic Basée e sur la très s grande spécificit cificité des anticorps pour leurs antigènes nes Test qualitatif Détection
Plus en détailLA MALADIE DE WALDENSTRÖM expliquée au néophyte
LA MALADIE DE WALDENSTRÖM expliquée au néophyte Comment comprendre sa maladie de Waldenström lorsque l'on est ni médecin, ni biologiste? Bernard Cornillon, biochimiste à l'inserm, a rédigé ce document
Plus en détailTest direct à l Antiglobuline (TDA ou Coombs direct)
Test direct à l Antiglobuline (TDA ou Coombs direct) Mise en évidence par le réactif de Coombs polyspécifique d une fixation des anticorps (Igs) ou des fractions du complément (C3d) sur les hématies du
Plus en détailUn laboratoire d auto-immunité paperless : mythe ou réalité? L.Lutteri Laboratoire d auto-immunité Service de Chimie Clinique CHU Liège
Un laboratoire d auto-immunité paperless : mythe ou réalité? L.Lutteri Laboratoire d auto-immunité Service de Chimie Clinique CHU Liège Immunofluorescence Dépistage Aspect Titre Cellules Hep 2: Connectivites
Plus en détailPolyarthrite rhumatoïde et biologie
Polyarthrite rhumatoïde et biologie Le point de vue de l'immunologiste Sylvain Laboratoire d'immunologie, sdubucquoi@univ univ-lille2. -lille2.fr FR et PR Définition Auto-anticorps anti-fragment Fc des
Plus en détailMAB Solut. vos projets. MABLife Génopole Campus 1 5 rue Henri Desbruères 91030 Evry Cedex. www.mabsolut.com. intervient à chaque étape de
Mabsolut-DEF-HI:Mise en page 1 17/11/11 17:45 Page1 le département prestataire de services de MABLife de la conception à la validation MAB Solut intervient à chaque étape de vos projets Création d anticorps
Plus en détailActualisation de la prescription en biologie rhumatologie
Actualisation de la prescription en biologie rhumatologie Pathologies inflammatoires et connectivites Pathologies dégénératives Exclusion du métabolisme phosphocalcique et des marqueurs du remodelage osseux
Plus en détailDÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE
DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE Le présent livret a été rédigé à l attention des patients et de leurs familles. Il ne doit pas remplacer les conseils d un spécialiste en immunologie. 1 Egalement Disponible
Plus en détailSérodiagnostic de la polyarthrite rhumatoïde
1 ETSL Sérodiagnostic de la polyarthrite rhumatoïde TP 1 GABIN-GAUTHIER 13/11/2009 I. LA MALADIE... 2 II. TECHNIQUES QUALITATIVES... 2 1. PRINCIPE... 2 2. MODE OPERATOIRE... 3 2.1. WRST ou Waaler Rose
Plus en détailANEMIE ET THROMBOPENIE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS D UN CANCER
ANEMIE ET THROMBOPENIE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS D UN CANCER Dr Michael Hummelsberger, Pr Jean-Gabriel Fuzibet, Service de Médecine Interne, Hôpital l Archet, CHU Nice 1. ANEMIE L étiologie de l anémie
Plus en détailDossier «Maladies du sang» Mieux les connaître pour mieux comprendre les enjeux liés au don de sang
Dossier «Maladies du sang» Mieux les connaître pour mieux comprendre les enjeux liés au don de sang Maladies du sang Objectif de ce dossier Les demandes des médias portent régulièrement sur les usages
Plus en détailItem 116 : Maladies autoimmunes
Item 116 : Maladies autoimmunes COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Définition du concept d'auto-immunité...3
Plus en détailDON DE SANG. Label Don de Soi
DON DE SANG Label Don de Soi 2015 SOMMAIRE Les différents types de dons p.3 Le don de sang total Le don de plasma Le don de plaquettes Le don de moelle osseuse Que soigne-t-on avec un don de sang? p.7
Plus en détailSERVICE PUBLIC FEDERAL, SANTE PUBLIQUE, SECURITE DE LA CHAINE ALIMENTAIRE ET ENVIRONNEMENT COMMISSION DE BIOLOGIE CLINIQUE RAPPORT GLOBAL
SERVICE PUBLIC FEDERAL, SANTE PUBLIQUE, SECURITE DE LA CHAINE ALIMENTAIRE ET ENVIRONNEMENT COMMISSION DE BIOLOGIE CLINIQUE SERVICE DES LABORATOIRES DE BIOLOGIE CLINIQUE COMITE DES EXPERTS RAPPORT GLOBAL
Plus en détailEXERCICES : MECANISMES DE L IMMUNITE : pages 406 407 408 409 410
EXERCICES : MECANISMES DE L IMMUNITE : pages 406 407 408 409 410 EXERCICE 1 PAGE 406 : EXPERIENCES A INTERPRETER Question : rôles respectifs du thymus et de la moelle osseuse dans la production des lymphocytes.
Plus en détailL anémie hémolytique auto-immune
L anémie hémolytique auto-immune La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à
Plus en détailGuide destiné aux patients atteints d un myélome multiple
Guide destiné aux patients atteints d un myélome multiple ÉDUCATION CONNAISSANCE ACCÈS RECHERCHE Exclusivement au service de la communauté canadienne du myélome Introduction Ce document s adresse aux :
Plus en détailNous espérons que ce Cahier vous apportera les connaissances indispensables à la qualité et à l'efficacité de ce dialogue.
Cher Confrère, Le Cahier de Formation de Biologie Médicale numéro 13, que nous vous proposons ci-après, traite d'autoimmunité, des Facteurs Rhumatoïdes et des Anticorps anti-nucléaires, dans une perspective
Plus en détailSources bibliographiques :
AP-HM LBM 00PREP01D004 Date d application: 2014-06-16 Version : 3 Rédaction : ALBANESE Brigitte, AILLAUD Marie Françoise, ARNOUX Dominique Validation : MORANGE Pierre, DIGNAT-GEORGE Françoise Approbation
Plus en détailDiagnostic des Hépatites virales B et C. P. Trimoulet Laboratoire de Virologie, CHU de Bordeaux
Diagnostic des Hépatites virales B et C P. Trimoulet Laboratoire de Virologie, CHU de Bordeaux Diagnostic VHC Dépistage: pourquoi? Maladie fréquente (Ac anti VHC chez 0,84% de la population soit 367 055
Plus en détailMécanismes moléculaires à l origine des maladies autoimmunes
Mécanismes moléculaires à l origine des maladies autoimmunes Sébastien Lacroix-Desmazes INSERM UMRS 1138 Immunopathology and herapeutic Immunointervention CRC - Paris, France Ma connaissance d un patient
Plus en détailTest d immunofluorescence (IF)
Test d immunofluorescence (IF) 1.1 Prélèvement du cerveau et échantillonnage Avant toute manipulation, il est fondamental de s assurer que tout le personnel en contact avec un échantillon suspect soit
Plus en détailLe don de moelle osseuse :
DON DE MOELLE OSSEUSE Le don de moelle osseuse : se décider aujourd hui, s engager pour longtemps LA MOELLE OSSEUSE ET SA GREFFE La moelle osseuse C est le tissu mou dans le centre du corps des os qui
Plus en détailCytokines & Chimiokines
Cytokines & Chimiokines I. (D après Förster, R. et al. (1999) Cell 99:23) Dans le but d étudier la régulation de la circulation des leucocytes dans l organisme, des souris déficientes pour le récepteur
Plus en détailDevenir des soignants non-répondeurs à la vaccination anti-vhb. Dominique Abiteboul - GERES Jean-François Gehanno Michel Branger
Devenir des soignants non-répondeurs à la vaccination anti-vhb Dominique Abiteboul - GERES Jean-François Gehanno Michel Branger Contexte Hépatite B = risque professionnel pour les soignants Passé futur
Plus en détailLISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B
LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B Actualisation février 2009 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailPremière partie: Restitution + Compréhension (08 points)
Lycée M hamdia Année scolaire : 2011/2012 Prof : Saïd Mounir Date : 17/05/2012 Première partie: Restitution + Compréhension (08 points) EXERCIE N O 1: (4 points) : 1 : a-b 2 : b 3 : a-b 4 : d 5 : d 6 :
Plus en détailHépatites Auto-Immunes. Critères et Scores Diagnostiques
Hépatites Auto-Immunes Critères et Scores Diagnostiques Olivier CHAZOUILLERES Service d Hépatologie Centre de référence des maladies inflammatoires des voies biliaires Paris Saint Antoine HAI: Modes de
Plus en détailHEPATITES VIRALES 22/09/09. Infectieux. Mme Daumas
HEPATITES VIRALES 22/09/09 Mme Daumas Infectieux Introduction I. Hépatite aigu II. Hépatite chronique III. Les différents types d hépatites A. Hépatite A 1. Prévention de la transmission 2. Vaccination
Plus en détailMécanisme des réactions inflammatoires
01/04/2014 THOMASSIN Guillaume L2 Revêtement Cutané Dr. Sophie Deplat-Jégo Relecteur 4 8 pages Revêtement cutané Mécanisme des réactions inflammatoires cutanés Mécanisme des réactions inflammatoires Plan
Plus en détailApport de la biologie moléculaire au diagnostic des parasitoses
Apport de la biologie moléculaire au diagnostic des parasitoses M-H H BESSIERES,, S. CASSAING, A. BERRY, R. FABRE, J-F.. MAGNAVAL Service de Parasitologie-Mycologie Diagnostic biologique d une d parasitose
Plus en détailCibles et mécanismes d action des traitements par cytokines et anti-cytokines
Cibles et mécanismes d action des traitements par cytokines et anti-cytokines Jean Daniel Lelièvre, Yves Lévy, Pierre Miossec I-Introduction... 2 II-Les interférons... 2 II-1.L interféron... 3 II-1-a.
Plus en détailDiagnostic biologique de la toxoplasmose
COURS DE COLLEGE DE MALADIES INFECTIEUSES MICROBIOLOGIE PARASITOLOGIE Diagnostic biologique de la toxoplasmose 26 Janvier 2012 Faculté de Médecine de Sousse Principes des techniques utilisées dans le diagnostic
Plus en détailUniversité Pierre et Marie Curie. Hématologie. Niveau DCEM3. Polycopié National. Mise à jour : 22 juin 2006
Université Pierre et Marie Curie Hématologie Niveau DCEM3 2006 Polycopié National Mise à jour : 22 juin 2006 2/120 Hématologie - Polycopié National 2006 Sommaire Sommaire 3 Sommaire 11 Chapitre 1 : Agranulocytose
Plus en détailSang, plasma, plaquettes...
Sang, plasma, plaquettes... Le don de sang, un geste incontournable En donnant votre sang, vous aidez par exemple une femme qui a perdu beaucoup de sang lors de son accouchement à reprendre des forces,
Plus en détailInnovations thérapeutiques en transplantation
Innovations thérapeutiques en transplantation 3èmes Assises de transplantation pulmonaire de la région Est Le 16 octobre 2010 Dr Armelle Schuller CHU Strasbourg Etat des lieux en transplantation : 2010
Plus en détailSang, plasma, plaquettes...
Guide des dons Sang, plasma, plaquettes... et vous, que donnerez-vous? Le don de sang, un geste incontournable En donnant votre sang, vous aidez par exemple une femme qui a perdu beaucoup de sang lors
Plus en détailHémostase et Endocardite Surveillance des anticoagulants. Docteur Christine BOITEUX
Hémostase et Endocardite Surveillance des anticoagulants Docteur Christine BOITEUX Théorie Endocardites et anticoagulation POUR Thromboses Emboles septiques CONTRE Favorise emboles septiques et diffusion
Plus en détailDES de Pathologie AFIAP
DES de athologie AFIA 21 novembre 2009 J. Audouin,, S. ain IMMUNOHISTOCHIMIE Introduction I - Différentes méthodes AC conjugués Enzyme - anti-enzyme : A, AAA rotéine conjuguée : avidine, streptavidine
Plus en détailSecteur Protégé d Hématologie
INFORMATIONS PATIENTS Secteur Protégé d Hématologie Centre accrédité de greffe de moelle osseuse et de cellules souches d hématopoïétiques Le Secteur d Hématologie est destiné à des patients atteints de
Plus en détailLa maladie de Still de l adulte
La maladie de Still de l adulte Syndrome de Wissler-Fanconi La maladie Le diagnostic Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur Cette fiche est destinée
Plus en détailCONCOURS DE L INTERNAT EN PHARMACIE
Ministère de l enseignement supérieur et de la recherche Ministère de la santé et des sports CONCOURS DE L INTERNAT EN PHARMACIE Valeurs biologiques usuelles Edition de Novembre 2009 (6 pages) Conseil
Plus en détailTests rapides de dépistage
Tests rapides de dépistage Maladies infectieuses Marqueurs cardiaques Marqueurs de tumeurs Grossesse Rhumatologie Allergies Drogues > Pour un diagnostic rapide et économique > Résultats exacts et fiables
Plus en détail1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies :
1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies : a. Les troubles fonctionnels digestifs sont définis par les critères de Paris b. En France, le syndrome de l intestin irritable touche
Plus en détailGuide du parcours de soins Titre ACTES ET PRESTATIONS AFFECTION DE LONGUE DURÉE. Hépatite chronique B
Guide du parcours de soins Titre ACTES ET PRESTATIONS AFFECTION DE LONGUE DURÉE Hépatite chronique B Février 2015 Ce document est téléchargeable sur : www.has-sante.fr Haute Autorité de Santé Service des
Plus en détailLymphome non hodgkinien
Lymphome non hodgkinien Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca LYMPHOME NON HODGKINIEN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du cancer presque
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 3 septembre 2008
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 3 septembre 2008 PRIVIGEN 100 mg/ml, solution pour perfusion Flacon en verre de 50 ml (CIP: 572 790-7 Flacon en verre de 100 ml (CIP: 572 791-3) Flacon en verre de 200
Plus en détailHépatite chronique B Moyens thérapeutiques
Hépatite chronique B Moyens thérapeutiques Dr Olfa BAHRI Laboratoire de Virologie Clinique Institut Pasteur de Tunis INTRODUCTION Plus de 300. 10 6 porteurs chroniques de VHB dans le monde Hépatite chronique
Plus en détailHépatite B. Le virus Structure et caractéristiques 07/02/2013
Hépatite B Le virus Structure et caractéristiques o o o Famille des Hepadnaviridae Genre orthohepadnavirus Enveloppé, capside icosaédrique, 42 nm 1 Le virus Structure et caractéristiques En microscopie
Plus en détailQuelle place pour le test de génération de thrombine au sein du laboratoire de biologie clinique?
Quelle place pour le test de génération de thrombine au sein du laboratoire de biologie clinique? À la recherche du test «idéal» pour diagnostiquer les troubles de l hémostase C. Lecut, P. Peters, A. Gothot
Plus en détailExplorations des réponses Immunitaires. L3 Médecine
2012 Explorations des réponses Immunitaires L3 Médecine Rappel sur les réponses Immunitaires DIFFERENTS TYPES DE REPONSES IMMUNITAIRES Naturelle = innée Adaptative Non spécifique Spécifique Immédiate Barrière
Plus en détailItem 127 : Transplantation d'organes
Item 127 : Transplantation d'organes Date de création du document 2008-2009 Table des matières * Introduction... 1 1 Allogreffe de moelle ou de cellules souches...1 2 Transplantation d'organes... 2 3 Diagnostic...3
Plus en détailAnémies hémolytiques auto-immunes
² GUIDE - AFFECTION DE LONGUE DUREE Anémies hémolytiques auto-immunes Protocole national de diagnostic et de soins Octobre 2009 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de Santé
Plus en détailELISA PeliClass human IgG subclass kit REF M1551
Sanquin Reagents Plesmanlaan 5 0 CX Amsterdam The Netherlands Phone: +.0.5.599 Fax: +.0.5.570 Email: reagents@sanquin.nl Website: www.sanquinreagents.com M55/ November 007 ELISA PeliClass human IgG subclass
Plus en détailLe Don de Moelle Ça fait pas d mal!
Le Don de Moelle Ça fait pas d mal! J ai de 18 à 50 ans Le Don de Moelle Osseuse Ça m intéresse -1 je demande des infos, je réfléchis. -2 je contacte le centre EFS le plus proche de chez moi. 3- je suis
Plus en détaildossier de presse nouvelle activité au CHU de Tours p a r t e n a r i a t T o u r s - P o i t i e r s - O r l é a n s
dossier de presse nouvelle activité au CHU de Tours lat ransplantation hépatique p a r t e n a r i a t T o u r s - P o i t i e r s - O r l é a n s Contact presse Anne-Karen Nancey - Direction de la communication
Plus en détailService d Hématologie clinique et Thérapie cellulaire Bâtiment Médico-Chirurgical - 3 ème et 4 ème étages
Centre Hospitalier Pontoise Service d Hématologie clinique et Thérapie cellulaire Bâtiment Médico-Chirurgical - 3 ème et 4 ème étages Chef de service : Dr Hugo GONZALEZ Accueil secrétariat 01 30 75 49
Plus en détailAnticorps, vaccins, immunothérapies allergéniques tout savoir sur les progrès de l immunothérapie en 20 questions
Anticorps, vaccins, immunothérapies allergéniques tout savoir sur les progrès de l immunothérapie en 20 questions De quoi se compose le système immunitaire? Chaque jour, des substances étrangères, appelées
Plus en détailCytokines ; Chimiokines
Cytokines ; Chimiokines I. Dans le but d étudier la régulation de la circulation des leucocytes dans l'organisme, des souris déficientes pour le récepteur CCR7 de chimiokine ont été générées par recombinaison
Plus en détailI - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE
I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE 1- Définition : Le diabète sucré se définit par une élévation anormale et chronique de la glycémie. Cette anomalie est commune à tous les types de diabète sucré, mais
Plus en détailMaladie hémolytique du nouveau né. Dr Emmanuel RIGAL Unité d hématologie transfusionelle GENEVE Présentation du 13 janvier 2012.
Maladie hémolytique du nouveau né. Dr Emmanuel RIGAL Unité d hématologie transfusionelle GENEVE Présentation du 13 janvier 2012. HISTORIQUE Période de DESCRIPTION : -Ictère, Anasarque 1609 Louyse BOURGEOIS
Plus en détailINFORMATIONS pour le médecin qui contrôle et complète le formulaire
Vaccination des étudiants du Baccalauréat en Médecine de Lausanne INFORMATIONS pour le médecin qui contrôle et complète le formulaire La vaccination du personnel de santé est recommandée par l Office fédéral
Plus en détailInfection à CMV et allogreffe de cellules souches hématopoïétiques : Expérience du Centre National de Greffe de Moelle Osseuse, Tunis.
Infection à CMV et allogreffe de cellules souches hématopoïétiques : Expérience du Centre National de Greffe de Moelle Osseuse, Tunis. Tarek Ben Othman Congrès de la STPI, 24 avril 2009 Plan Introduction
Plus en détailDr Pascale Vergne-Salle Service de Rhumatologie, CHU de Limoges. Membre enseignant chercheur EA 4021
Dr Pascale Vergne-Salle Service de Rhumatologie, CHU de Limoges Membre enseignant chercheur EA 4021 Rhumatisme inflammatoire chronique Prévalence des SA ies en Europe = 1 à 2% Age moy : 26 ans, ratio homme/femme:
Plus en détailL incompatibilité immunologique érythrocytaire
Fiches techniques des Effets Indésirables Receveurs L incompatibilité immunologique érythrocytaire Qu est ce que l incompatibilité immunologique erythrocytaire et quels en sont les mécanismes physiopathologiques?
Plus en détailTransfusions sanguines, greffes et transplantations
Transfusions sanguines, greffes et transplantations Chiffres clés en 2008 La greffe d organes est pratiquée depuis plus de 50 ans. 4 620 malades ont été greffés. 1 563 personnes ont été prélevées. 222
Plus en détailL investigation chez la personne infectée par le VIH
P O U R Q U O I P A R L E R D U V I H E N 2 0 0 4? 2 L investigation chez la personne infectée par le VIH quand et comment utiliser les différents tests de laboratoire? par Harold Dion Paul, un homme de
Plus en détailBiologie Appliquée. Dosages Immunologiques TD9 Mai 2015. Stéphanie Sigaut INSERM U1141 stephanie.sigaut@inserm.fr
Biologie Appliquée Dosages Immunologiques TD9 Mai 2015 Stéphanie Sigaut INSERM U1141 stephanie.sigaut@inserm.fr 1 ELISA 2 3 4 [Ac] 5 6 7 8 9 Correction : Faire la moyenne D0-1 et D0-2 pour toute les valeurs
Plus en détailProfil médico-économique de plerixafor en remobilisation dans le myélome multiple
Profil médico-économique de plerixafor en remobilisation dans le myélome multiple Aline Voidey Soirée de la Société de Médecine de Franche-Comté Jeudi 27 novembre 2014 L hématopoièse Une seule et unique
Plus en détailLes tests thyroïdiens
Les tests thyroïdiens Mise à jour de juin 2007 par S. Fatio Réf: les images et les graphiques sont tirés de www.endotext.org (textbook d endocrinologie online et libre d accès) QuickTime et un décompresseur
Plus en détailProphylaxie infectieuse après exposition professionnelle
1 Prophylaxie infectieuse après exposition professionnelle Introduction Le personnel soignant est régulièrement confronté au risque de contamination par le virus de l immunodéficience humaine (VIH) mais
Plus en détailL EMEA accepte d évaluer la demande d autorisation de mise sur le marché de la LENALIDOMIDE
L EMEA accepte d évaluer la demande d autorisation de mise sur le marché de la LENALIDOMIDE NEUCHATEL, Suisse, 7 avril/prnewswire/ -- - LA LENALIDOMIDE est évaluée par l EMEA comme thérapie orale pour
Plus en détailSpondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste. Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil
Spondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil Le Diagnostic Objectif de la démarche diagnostique Diagnostic de SPONDYLARTHROPATHIE
Plus en détailLES DÉFICITS IMMUNITAIRES COMBINÉS SÉVÈRES
LES DÉFICITS IMMUNITAIRES COMBINÉS SÉVÈRES Le présent livret a été rédigé à l attention des patients et de leurs familles. Il ne doit pas remplacer les conseils d un spécialiste en immunologie. 1 Egalement
Plus en détail- 2 - faire industriel dans la mise au point des produits biologiques. L Institut Roche de Recherche et Médecine Translationnelle (IRRMT, basé à
Information presse Roche, l Agence Nationale de Recherches sur le Sida et les hépatites virales (ANRS), le Baylor Research Institute (BRI) et Inserm Transfert mettent en place une coopération stratégique
Plus en détailAssociation lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose
Association lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose Auteurs Cendrine Godet (*) Jean-Pierre Frat (**) Cédric Landron (*) Lydia Roy (***) Paul Ardilouze (****) Jean-Pierre Tasu (****) (*)
Plus en détailà Mulhouse un centre pionnier de recherche médicale
à Mulhouse un centre pionnier de recherche médicale 25 ans de lutte contre les leucémies et l infarctus du myocarde Fondé en 1987 par le Professeur Philippe Hénon et localisé au sein de l Hôpital du Hasenrain
Plus en détailTD de Biochimie 4 : Coloration.
TD de Biochimie 4 : Coloration. Synthèse de l expérience 2 Les questions posées durant l expérience 2 Exposé sur les méthodes de coloration des molécules : Générique Spécifique Autres Questions Pourquoi
Plus en détailGuide de Mobilisation. de cellules souches pour mon. Autogreffe AVEC LE SOUTIEN DE. Carnet d informations et de suivi pour le patient et sa famille
Guide de Mobilisation de cellules souches pour mon Autogreffe Carnet d informations et de suivi Carnets pour d informations le patient et sa et famille de suivi pour le patient et sa famille AVEC LE SOUTIEN
Plus en détailACTUALITES THERAPEUTIQUES. Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012
ACTUALITES THERAPEUTIQUES Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012 Traitement de fond Objectifs: Réduire le nombre de poussées Arrêter ou freiner la progression du handicap Les traitements disponibles
Plus en détailIntérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée
Intérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée C. Rondé-Oustau, JY. Jenny,J.Sibilia, J. Gaudias, C. Boéri, M. Antoni Hôpitaux
Plus en détailINAUGURATION LABORATOIRE DE THERAPIE CELLULAIRE 16 FEVRIER 2012 DOSSIER DE PRESSE
INAUGURATION LABORATOIRE DE THERAPIE CELLULAIRE 16 FEVRIER 2012 DOSSIER DE PRESSE Contact presse : Cathy Josse 03 22 66 87 83 / 06 86 30 46 57 josse.cathy@chu-amiens.fr 1 COMMUNIQUE DE SYNTHESE Le 16 février
Plus en détailAtelier N 2. Consultation de patientes porteuses d une maladie générale
Atelier N 2 Consultation de patientes porteuses d une maladie générale Contre indica,ons à la grossesse Hypertension artérielle pulmonaire >30mmHg Maladie de Marfan (dilatation aortique>4 cm) Rétrécissement
Plus en détailVaccinologie et Stratégie de Développement des Vaccins
Vaccinologie et Stratégie de Développement des Vaccins Vaccinologie 1977 - Terme utilisé par Jonas Salk. 1983 - Rassemble tous les aspects des vaccinations : biologiques, immunologiques et cliniques ainsi
Plus en détailPROJET ERP LFB/QUALIAC,
PROJET ERP LFB/QUALIAC, UNE AVENTURE HUMAINE ET TECHNIQUE CONTACT PRESSE : Christophe Giraudon :christophe@infinites.fr Agnès Heudron : agnesh@infinites.fr Tél.: 01 30 80 09 09 Fax : 01 30 80 09 29 1 rue
Plus en détailRIVAROXABAN ET TESTS DE BIOLOGIE MEDICALE
RIVAROXABAN ET TESTS DE BIOLOGIE MEDICALE Ce texte est une mise au point d Octobre 2012, dont le contenu sera revu en fonction de l avancement des connaissances Rédacteurs : Isabelle Gouin-Thibault 1,
Plus en détailMYÉLOME MULTIPLE PRÉSENTATION DU TRAITEMENT. Multiple Myeloma Research Foundation 383 Main Avenue, 5th Floor Norwalk, CT 06851 États-Unis
MYÉLOME MULTIPLE PRÉSENTATION DU TRAITEMENT Multiple Myeloma Research Foundation 383 Main Avenue, 5th Floor Norwalk, CT 06851 États-Unis www.themmrf.org email : info@themmrf.org MM.TO.11.2010 Des idées
Plus en détailMaladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin
Maladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca MALADIE DE HODGKIN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du
Plus en détailSurveillance biologique d'un traitement par Héparine de Bas Poids Moléculaire (HBPM)
Hématologie biologique (Pr Marc Zandecki) Faculté de Médecine CHU 49000 Angers France Surveillance biologique d'un traitement par Héparine de Bas Poids Moléculaire (HBPM) 1. Structure et mode d'action
Plus en détailLa surveillance biologique des salariés Surveiller pour prévenir
Evaluer et prévenir le risque radiologique professionnel dans les opérations de radiographie industrielle La surveillance biologique des salariés Surveiller pour prévenir Dr Irène Sari-Minodier Service
Plus en détailLa lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002.
Le diagnostic de la tuberculose bovine La lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002. 1. Tuberculination Dans la première phase d une infection de tuberculose bovine (Mycobacterium
Plus en détailTITRE : On est tous séropositif!
PRÉPARER UNE «SITUATION COMPLEXE DISCIPLINAIRE», SITUATION D APPRENTISSAGE ET/OU D ÉVALUATION TITRE : On est tous séropositif! classe : 3 ème durée : 30 min I - Choisir des objectifs dans les textes officiels.
Plus en détailNotre système. Immunitaire
Notre système Immunitaire Notre système Immunitaire Edito L association I.R.I.S. salue l initiative de Sara Lebien, qui en écrivant cet ouvrage et en proposant une illustration gaie et coloré a rendu l
Plus en détailCharges virales basses sous traitement: définition impact virologique. Laurence Bocket Virologie CHRU de Lille
XVIIe Journée Régionale de Pathologie Infectieuse 12 octobre 2010 Charges virales basses sous traitement: définition impact virologique Laurence Bocket Virologie CHRU de Lille conflits d intérêts subventions,
Plus en détailFICHE D INFORMATION AVANT UNE TRANSFUSION
FICHE D INFORMATION AVANT UNE TRANSFUSION Madame, Monsieur, Si votre état de santé nécessite une transfusion sanguine, ce document est destiné à vous informer sur les avantages et les risques de la transfusion,
Plus en détail