Mécanisme des réactions inflammatoires
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- Sandrine Caron
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1 01/04/2014 THOMASSIN Guillaume L2 Revêtement Cutané Dr. Sophie Deplat-Jégo Relecteur 4 8 pages Revêtement cutané Mécanisme des réactions inflammatoires cutanés Mécanisme des réactions inflammatoires Plan A. Organisation du tissu cutané B. Fonctions physiologiques du système immunitaire C. Activation des lymphocytes T D. Eczéma E. Psoriasis F. Dermatoses bulleuses auto-immunes A. Organisation du tissu cutané La population majoritaire des cellules de la peau sont les kératinocytes, il y a aussi d'autres cellules qui font partie intégrante du tissu cutané même si elles n'ont pas la même origine embryonnaire que les kératinocytes. Ce sont les cellules de Langerhans qui représentent une faible population mais qui sont importantes car ce sont des cellules du système immunitaire à l'interface du milieu extérieur et de l'organisme, mais ce sont aussi des cellules dendritiques capables de bouger et de présenter l'antigène aux lymphocyte T. 1/8
2 B. Fonctions physiologiques du système immunitaire Lutter contre les infections et les cancers Tolérer les molécules de notre environnement naturel et les constituants du soi (Auto-Ag) Toute autre réactivité du système immunitaire relève de l immunopathologie ou hypersensibilité tels que les réactions inflammatoires que l'on peut observer au niveau de la peau. Il y a 4 types de réactions d'hypersensibilité (Classification de Gel et Coombs 1968) associées à des manifestations cutanées. Type 1 : C'est l'allergie immédiate médiée par les IgE, c'est une réaction rapide (5 à 30 min). Le mécanisme est le pontage par l'antigène des IgE qui vont se fixer sur les mastocytes et les basophiles et il va y avoir une dégranulation de médiateurs à la base de la réaction allergique avec notamment un effet sur les vaisseaux car il y a une libération de médiateurs vasoactifs qui entrainent un érythème, oedème, prurit et dans les cas les plus sévères une anaphylaxie. Type II : Hypersensibilité par phénomène d'adcc (antibody dependant cellular cytotoxicity) médiée par des anticorps IgM et IgG. C'est une hypersensibilité semi retardée (5 à 8h) qui se caractérise par des anticorps dirigés contre des antigènes cellulaires ce qui aboutit à une lyse de la cellule avec activation du complément. On retrouve cette réaction de type II dans les accidents transfusionnels par erreur de sélection, dans l'anémie hémolytique auto-immune et dans l incompatibilité fœto-maternelle. Type III : Hypersensibilité à immuns complexes qui est une réaction semi retardée (2 à 8h) et fait intervenir des immuns complexes qui sont des formations de complexe Ag-Ac qui vont pouvoir circuler ou se déposer dans les tissus pour activer le complément et des cytokines et aboutir à des réactions inflammatoires. C'est typiquement ce qu'on retrouve dans des maladies auto-immunes comme le Lupus, la maladie sérique et la glomérulonéphrite qui ont des manifestations cutanées. Type IV : Hypersensibilité cellulaire qui est plus retardée (24 à 72h). Elle active les lymphocytes T sensibilisés par l'antigène qui aura été présenté par les CPA (cellule présentatrice d'antigène), cette interaction aboutit à la libération de cytokines qui vont activer les macrophages ou les cellules T cytotoxiques (Th1, Th2, Th17 ou Tcytotox). C'est un système plus lourd. On retrouve cette réaction dans l'induration, le nodule à hypersensibilité tuberculinique, les dermatites de contact (de type eczéma) et le rejet de greffe. 2/8
3 C. Activation des lymphocytes T Les CPA vont engloutir la protéine antigénique et la modifier pour la présenter aux lymphocytes. A la surface des CPA il y a un complexe CMH-peptide qui va être présenté aux lymphocytes qui eux présentent un complexe TCR CD3. Cette présentation aboutit à une cascade de signaux qui vont activer le lymphocyte en fonction de différents facteurs et du micro-environnement le lymphocyte va pouvoir adopter plusieurs phénotypes qui vont le conduire dans plusieurs contextes pathologiques différents. En fonction du type de cytokines qui l'ont activé. Lymphocyte T à humeur 1 (Th1) Lymphocyte Th2 activé par IL2 et IL4 Lymphocyte Th17 activé par TGF-beta et IL6 et qui va sécréter lui-même de l'il17 et IL21 liées à des anomalies de l'auto-immunité et aux maladies auto-immunes. Lymphocytes T régulateurs qui viennent directement du thymus dont les LT reg induits qui vont apparaitre que dans certaines circonstances. Ils sécrètent par exemple le TGF-beta. Il faut une présentation de l'ag puis en fonction du contexte cytokiniens, en fonction de l'environnement, en fonction du signal de danger, le lymphocyte va pouvoir se différencier en différentes populations et avoir un rôle différent dans l'immuno-pathologie. Le schéma qui suit n'est pas à savoir il faut retenir le texte. 3/8
4 D. Eczéma C'est une réaction d'hypersensibilité retardée (24 à 72H) à médiation cellulaire (réaction qui fait intervenir des cellules), et dans le cas de l'eczéma qui est déclenchée par le contact avec la peau d'une substance exogène. Il faut qu'il y ait un premier contact d'une substance qui peut être chimique ou médicament et cette substance doit être en contact assez proche avec la peau. Il y a d'abord une phase de sensibilisation qui correspond à ce premier contact sachant que le contact peut être plus ou moins long (de quelques jours à plusieurs semaines). Après cette phase de sensibilisation asymptomatique, durant laquelle se met en place la réaction immunitaire, on a une phase de révélation qui est la phase d'apparition des symptômes qui va apparaître au moment d'un 2ème contact. C'est une réponse immunitaire de type Th1. 4/8
5 Il y a une phase aiguë au moment de l'apparition des lésions qui sont inflammatoires et grattent, la peau est rouge et des petites vésicules commencent à apparaître sur la peau à l'endroit du contact. C'est donc localisé. Les choses peuvent après devenir chronique s'il y a toujours contact avec la substance allergisante et donner des lésions chroniques liées aux lésions de grattages. Si on fait une biopsie cutanée aux patients qui font un eczéma chronique, on retrouve des éléments assez caractéristiques : spongiose épidermique infiltrats péri-vasculaires (tout autour du vaisseau sanguin on voit une couronne de cellules immunitaires qui ont migré du sang vers le tissu cutané) un épaississement épidermique (dans la phase chronique) Retenir que l'eczéma est une maladie de type Th1 à médiation cellulaire, à contact cutané et retardé. Le traitement de l'eczéma est avant tout d'enlever la substance allergisante. E. Psoriasis C'est une maladie fréquente qui touche 2% de la population, qui est chronique, à médiation cellulaire de type Th1 et Th17 avec intervention des PNN. C'est typiquement une dermatose érythémato-squameuse, c'est-à-dire qu'il y a un érythème (rougeur de la peau), et squameuse (plaque avec desquamation de la peau). 5/8
6 Physiopathologie du psoriasis Revêtement cutané Mécanisme des réactions inflammatoires cutanés Dans cette maladie il y a un trouble de l'homéostasie épidermique, c'est-à-dire qu'il y a un problème dans la régulation des cellules cutanées. L'anomalie principale concerne le kératinocyte qui va se mettre à proliférer de manière anarchique. Associés à cela, on a des phénomènes inflammatoires dermo-épidermiques. On sait qu'il y a un rôle des cellules dendritiques (qui présentent l'ag), un rôle des LT et des polynucléaires neutrophiles. Aspect histologique du psoriasis : Il y a une hyperplasie des kératinocytes qui ont proliféré avec de grosses papilles qui vont dans le derme. Les capillaires dans le derme qui sont dilatés. On a aussi des infiltrats lymphocytaires dermo-épidermiques. Présence de micro-abcès à PNN dans l'épiderme. Evolution d'une lésion de psoriasis Il y a 3 phases : Phase 1 : Il y a une première phase où le patient peut contracter la maladie mais il est prédisposé car il a un certain terrain génétique particulier. On a identifié des gènes de prédisposition. Il y a aussi des facteurs environnementaux comme le stress, certaines infections potentielles, certains médicaments, les traumatismes, le tabac. On ne connait pas très bien l'évènement déclenchant qui va faire passer le malade de la phase de prédisposition à la phase d'initiation. Phase 2 : initiation de la maladie qui va se mettre en place avec des cellules stressées (facteurs physiques ou chimiques) qui vont libérer un certain nombre de molécules qui vont pouvoir être présentées par les cellules dendritiques, on fait alors apparaître des complexes d'adn, d'agents infectieux ou autres. Sous l'influence de cette rencontre la cellule dendritique va s'activer et va migrer pour présenter l'ag aux LT dans les ganglions avec une forte intervention de l'il12 et IL23. Ici on a une réponse Th1 mais aussi Th17. Phase 3 : Tout ces nombreux messages d'activation vont activer et faire proliférer les kératinocytes de manière incontrôlée avec un tissu cutané hypertrophié. 6/8
7 On sait maintenant que le psoriasis est une maladie inflammatoire systémique avec d'autres symptômes associés que les symptômes cutanés notamment cardiovasculaire. Avec un syndrome métabolique. Associé à des dépressions qui peuvent être liées à la maladie ou à la difficulté des patients à vivre avec ces lésions cutanées. Cancer Arthropathie (rhumatisme psoriasique) Infarctus du myocarde C'est réellement une maladie inflammatoire systémique contrairement à l eczéma qui reste localisé. Options thérapeutiques du psoriasis basées sur la pathogénie Stratégie anti cellules dendritiques : PUVA thérapie traitement par UV après avoir ingéré une molécule appelée psoralène. Stratégie anti cellule T: On utilise l'alefacept qui est une protéine de fusion LFA3 humain-fc qui freine les lymphocyte T. Stratégie anti cytokine : Anti TNF (car le TNF intervient aussi dans le psoriasis) qui marche bien pour les patients atteints de psoriasis sévère ou de rhumatisme psoriasique. Ou un anti p40 qui est en fait une sous-unité commune à l'il23 et IL12. F. Les dermatoses bulleuses auto-immunes (DBAI) Les maladies auto-immunes font intervenir une auto-immunité avec des lésions tissulaires et peuvent être humorale ou cellulaire. Les dermatoses bulleuses vont être associées à des auto-anticorps dirigés contre les antigènes du soi. Les cibles antigéniques sont connues dans ces maladies et la mise en évidence des anticorps dans la peau ou le sérum des patients participe au diagnostic. Le diagnostic est clinique mais aussi biologique car les bulles sont directement liées à la présence des autoanticorps. Principes du diagnostic biologique des DBAI Visualiser les lésions élémentaires. Mettre en évidence les auto-ac fixées in vivo ou circulant dans le sérum. Dans ces DBAI il y a le pemphigus vulgaire (maladie rare) qui est associé à des auto-ac dirigés contre les protéines des desmosomes qui lient les kératinocytes entre eux notamment la desmogléine 1 et la desmogléine 3. Les auto-ac vont se fixer in vivo dans la peau du patient et gêner la cohésion par encombrement stérique et aussi vont être responsable de message à l'intérieur du kératinocyte qui vont accentuer la suppression de la cohésion. Il va y avoir un clivage supra-basal qui est un trou dans l épiderme c'est la cantolyse (perte de cohésion des kératinocytes) avec une bulle intra-épidermique associée à des dépôts d'anticorps IgG et de complément à la surface des kératinocytes. Ces bulles sont superficielles et quand elles se percent il va y avoir des ulcérations. 7/8
8 Arguments en faveur du caractère pathogène d'un auto-ac Transmission passive de la maladie à un animal par le sérum ou les Ig Transfert materno-fœtal de la maladie Parallélisme entre le taux d'anticorps circulant et l'activité de la maladie Efficacité des plasmaphérèses (épuration du plasma de protéine) Mécanismes potentiels de la pathogénie des auto-ac dans le pemphigus vulgaire On ne les connait pas tous Encombrement stérique Signalisation intra-cellulaire Libération des protéases 8/8
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