Emergence de Poliovirus : l Institut Pasteur de Madagascar, activement impliqué dans la lutte

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1 COMMUNIQUE DE PRESSE COMM008/IPM/2015 Antananarivo, 10 Septembre 2015 Emergence de Poliovirus : l Institut Pasteur de Madagascar, activement impliqué dans la lutte L Institut Pasteur de Madagascar (IPM), a effectué depuis octobre 2014 trois investigations en appui au service de la vaccination du Ministère de la Santé Publique, suite aux émergences de poliovirus dans six régions du territoire national : Boeny, Menabe, Sofia, Vatovavy Fitovinany, Anosy et Androy. Ces investigations ont fait l objet de plus de 1000 prélèvements auprès d enfants âgés de 0 à 15 ans. La surveillance menée par l unité de Virologie de l IPM a permis d identifier depuis octobre 2014, 11 cas de Paralysies Flasques Aigües (PFA) causées par l émergence de poliovirus, confirmés par le Laboratoire National de Référence pour la surveillance de la poliomyélite de l IPM. Pour faire face à la recrudescence importante des échantillons à analyser, l unité de virologie de l IPM a reçu l appui technique d un expert de l Institut Pasteur à Paris. Afin d appuyer le pays ainsi que le Ministère de la Santé Publique dans sa lutte contre cette émergence de poliovirus, les chercheurs de l IPM travaillent activement sur l élaboration de programmes de recherche opérationelle en collaboration, en plus du Ministère de la Santé Publique, avec différents partenaires tels que l Organisation Mondiale de la Santé (OMS), le Centre américain de Contrôle des Maladies (CDC) et l Agence américaine de développement international (USAID). Les recherches opérationnelles prévues auront pour objectif non seulement de mieux comprendre la situation actuelle et identifier les facteurs pouvant expliquer ces émergences de poliovirus dans le pays, mais aussi d apporter des recommandations auprès des autorités sanitaires dans le cadre de la lutte contre cette maladie. Toujours soucieux de la santé de la population malagasy, l IPM met à disposition du Ministère de la Santé Publique son expertise technique et scientifique, ainsi que les résultats futurs de ses recherches.

2 Suite Page 2 / 5 Bref aperçu de la poliomyélite : La poliomyélite est une maladie virale, strictement humaine. Elle se transmet par voie orofécale, par l intermédiaire d eaux souillées ou plus rarement directement de personne à personne. Le caractère strictement humain de cette maladie et l existence de vaccins efficaces rendent la maladie théoriquement éradicable par un vaste programme de vaccination à l échelle mondiale (comme cela a été obtenu pour la variole). L Organisation Mondiale de la Santé (OMS) s est ainsi fixée en 1988 cet objectif dans le cadre de l initiative mondiale d éradication de la poliomyélite. Celle-ci avait été envisagée pour l année 2000 dans un premier temps, puis pour l année En raison de difficultés d application du programme de vaccination dans certaines régions du monde, l éradication complète reste un travail de longue haleine. A Madagascar, des épidémies de poliovirus ont déjà touchées à plusieurs reprises le sud du pays ( et 2005). A chaque fois, ces épidémies ont pu être interrompues grâce aux actions du Ministère de la Santé Publique et de ses partenaires techniques et financiers. a) L agent responsable La poliomyélite est une maladie infectieuse due à un virus, le poliovirus. Il existe 3 types de virus appelés sérotypes (sérotypes 1, 2 et 3). b) Le mode de contamination La transmission du virus est exclusivement interhumaine. Elle s effectue essentiellement : - par voie directe, via les sécrétions de salives d une personne au début de l infection (le virus persiste huit jours dans l oropharynx) ou par voie oro-fécale (le virus est excrété dans les selles pendant 3 à 6 semaines) ; - par voie indirecte, par ingestion d eau ou d aliments contaminés par les selles d une personne infectée (le virus, très stable dans le milieu extérieur, peut persister plusieurs semaines si les conditions environnementales sont favorables). c) Les caractéristiques de la maladie L incubation dure en moyenne de 7 à 14 jours (avec des extrêmes de 3 à 35 jours). Dans environ 90% des cas, l infection est asymptomatique. Dans 10% des cas, la maladie commence par des symptômes pseudo-grippaux (fièvre, céphalées, myalgies) pouvant s accompagner de troubles digestifs (vomissements, diarrhée-constipation) et, dans 1 à 2% des cas, d une méningite. La guérison survient au bout d une dizaine de jours. Dans moins de 1% des cas, des paralysies flasques aigues peuvent apparaître au 8 ème jour dans un contexte fébrile. La poliomyélite fait partie des maladies à déclaration obligatoire selon le règlement sanitaire international. Tout cas cliniquement suspect de poliomyélite aigüe doit faire l objet d un signalement sans délai au Ministère de la Santé Publique et un prélèvement doit alors être envoyé à l Institut Pasteur de Madagascar pour être testé.

3 Suite Page 3 / 5 d) Le traitement A ce jour, il n existe pas de traitement curatif de la maladie. La vaccination contre la poliomyélite est le seul moyen efficace de prévenir la maladie, associé aux mesures d hygiène (lutte contre le péril fécal) dans les zones de circulation de poliovirus. e) La prévention : Vaccination contre la poliomyélite Il existe deux types de vaccins contre la poliomyélite : - Le vaccin poliomyélitique injectable (VPI) inactivé. Il est utilisé dans la plupart des pays industrialisés ; - Le vaccin poliomyélitique oral (VPO) atténué. Le VPO est utilisé à Madagascar dans le cadre du programme élargi de vaccination du Ministère de la Santé Publique de Madagascar. C est un vaccin sûr et efficace mais qui exige une couverture nationale importante (>90%). Plus de renseignements sur le site de l OMS : f) Nos activités de Surveillance et de Recherche sur la poliomyélite à l IPM L Unité de virologie de l IPM héberge le Laboratoire National de Référence pour la poliomyélite certifié par l OMS. Ce laboratoire est chargé d effectuer le diagnostic virologique à partir des prélèvements de cas suspects de paralysies flasques aigues reçus au laboratoire et provenant de la région Océan Indien (Madagascar, Maurice, Seychelles et Union des Comores). Par ailleurs, l unité de virologie travaille sur des programmes de recherche pour comprendre les facteurs d apparition des poliovirus dans le pays, rechercher la présence de poliovirus dans l environnement (eaux usées), etc. Plus de renseignements sur le site de l IPM :

4 Suite Page 4 / 5 L Institut Pasteur de Madagascar en quelques mots: Créé en 1898 et régi par la convention de 1961 qui lie l Institut Pasteur à Paris et le Gouvernement de Madagascar, l Institut Pasteur de Madagascar (IPM) est un établissement scientifique privé malgache sans but lucratif et reconnu d utilité publique du Réseau International des Instituts Pasteur, placé sous le haut patronage du Ministère de la santé de Madagascar. «Pour la recherche, pour la santé et pour demain», cette devise de l Institut Pasteur résume sa mission universelle. L IPM remplit les missions suivantes : 1) la santé publique au travers de ses centres de référence OMS ou nationaux, d expertises, d investigations d épidémies et d interventions. En plus des laboratoires, la surveillance épidémiologique implique un vaste réseau de sites sentinelles, 34 centres de santé de base, 17 hôpitaux et près de 80 agents de santé communautaire qui tous les jours ou une fois par semaine, dans l ensemble du pays, envoient par SMS ou par internet des informations sur la santé des populations. 2) la recherche directement appliquée aux priorités de santé nationales, essentiellement en microbiologie et en épidémiologie des maladies infectieuses. Le travail de recherche de l IPM, parfois long et souvent difficile, permet de mieux comprendre comment les maladies qui frappent la population malgache s enracinent ou se transforment en épidémies, comment les microbes ou les insectes, les moustiques ou les puces, deviennent résistants aux antibiotiques ou aux insecticides, pourquoi les habitants de la Grande Ile ne suivent pas toujours les conseils qui leur sont donnés. Ce travail de fond permet à l IPM de mieux conseiller le Ministère de la santé sur les traitements et les stratégies de prévention à utiliser. 3) la formation et l enseignement : chaque année, plus de 200 étudiants, scientifiques, médecins, vétérinaires, pharmaciens et techniciens (nationaux et internationaux) passent en stage à l IPM, et plus d une quarantaine de bourses de thèse, de DEA ou de Master sont données à des étudiants par l IPM. Jour après jour, une excellence scientifique malgache se bâtit à l IPM, en partenariat avec les Universités où les étudiants reçoivent leur formation initiale. 4) le diagnostic et la lutte au bénéfice direct de la population (Centres de traitement antirabique gratuit pour l ensemble de la population de Madagascar, Centre International de Vaccination, Centre de Biologie Clinique, Laboratoire d Hygiène des Aliments et de l Environnement). Ses activités s étendent à Madagascar et aux pays de l Océan Indien. Ses experts et ses chercheurs sont aussi appelés à intervenir sur le continent Africain, en Europe ou en Amérique. L ensemble des activités de l IPM est soumise à une politique d assurance qualité et plusieurs laboratoires ou activités sont accrédités (COFRAC, OMS/WHO ). Pour obtenir ses moyens, l IPM reçoit des subventions, y compris du Gouvernement malgache, et a une activité économique de vaccination et d analyses biologiques. Ainsi, les personnes qui font leurs analyses à l IPM ont non seulement l assurance que leurs résultats soient au même niveau de qualité que ceux qui seraient délivrés en Europe, mais aussi que ce qu ils ont payé est entièrement réinvesti pour la Santé publique.

5 Suite Page 5 / 5 L Institut Pasteur : une présence mondiale Fondation privée reconnue d utilité publique, l Institut Pasteur à Paris exerce trois missions au service de l intérêt général depuis sa création, en 1887 : recherche, santé publique et formation. A la source de plusieurs disciplines microbiologie, immunologie, biologie moléculaire il est l un des centres de recherche biomédicale les plus reconnus au monde. Il est au cœur d un Réseau International d une trentaine d Instituts sur les cinq continents qui, pour la plupart, sont des entités indépendantes relevant chacune des autorités de leur pays. Ces instituts associés dans des partenariats et des collaborations en matière de recherche scientifique et de missions de santé publique partagent les mêmes valeurs et objectifs. Contact Presse : Elsa RASON relsa@pasteur.mg Institut Pasteur de Madagascar B.P Ambatofotsikely, Antananarivo 101 Madagascar Téléphone: / 74

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