Plan d aménagement de l offre de formation professionnelle et technique en langue anglaise

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1 Plan d aménagement de l offre de formation professionnelle et technique en langue anglaise Rapport préparé pour le comité provincial de rapprochement du secteur anglophone en matière de formation professionnelle et technique Gilles Deslauriers Consultant Automne 2009

2 TABLE DES MATIÈRES PRÉAMBULE 5 INTRODUCTION 6 CARTE DES RÉGIONS DU QUÉBEC 7 CARTE DES TERRITOIRES DES COMMISSIONS SCOLAIRES 8 1 MANDAT 9 2 LA COMMUNAUTÉ ANGLOPHONE ET LES TABLES INTERORDRES LES PLANS RÉGIONAUX LE PLAN POUR ANGLOPHONES CONSTATS, ENJEUX ET RECOMMANDATIONS 13 3 PROFIL DE LA COMMUNAUTÉ ANGLOPHONE ÉVOLUTION DE LA POPULATION Totale Langue parlée Structure d âge Migration Origine ethnique Scolarité RÉPARTITION DE LA POPULATION ANGLOPHONE Par régions Par commissions scolaires Les distances CONSTATS, ENJEUX ET RECOMMANDATIONS PROFIL ÉCONOMIQUE PROVINCIAL SITUATION GÉNÉRALE La croissance L emploi L emploi sectoriel Secteurs en émergence Niveaux de compétence BESOINS DE FORMATION Montréal et Laval BESOINS EN MAIN-D ŒUVRE ANGLOPHONE CONSTATS, ENJEUX ET RECOMMANDATIONS OFFRE DE FORMATION LES COMMISSIONS SCOLAIRES La fréquentation Les programmes Les inscriptions Capacité d accueil Les partenariats La formation continue Constats, enjeux et recommandations 53 Gilles Deslauriers, consultant 2

3 5.2 LES COLLÈGES La fréquentation Les programmes Les inscriptions La formation continue Capacité d accueil Les partenariats Le secteur de la santé Constats, enjeux et recommandations RECONNAISSANCE DES ACQUIS ET DES COMPÉTENCES Constats, enjeux et recommandations 68 6 LE PLAN D AMÉNAGEMENT LA DÉMARCHE LES CONSTATS Démographie Économie Formation professionnelle Formation technique La formation à distance Modèles pédagogiques Recrutement et promotion AMÉNAGEMENT DE L OFFRE SYNTHÈSE : OFFRE ET DEMANDES IMPACT BUDGÉTAIRE LES CONSULTATIONS REMERCIEMENTS 102 CONCLUSION 103 BIBLIOGRAPHIE 104 LISTE DES ACRONYMES 109 LISTE DES TABLEAUX 111 LISTE DES ANNEXES 113 ANNEXE I ANNEXE II GRAPHIQUES RÉGIONAUX DE LA STRUCTURE D ÂGE AU QUÉBEC, ANGLOPHONES ET FRANCOPHONES 114 IMMIGRANTS ADMIS AU QUÉBEC SELON LES 15 PRINCIPAUX PAYS DE NAISSANCE, ANNEXE III IMMIGRANTS ADMIS AU QUÉBEC SELON LE PAYS DE NAISSANCE, ANNEXE IV ANNEXE V PROFIL SOCIODÉMOGRAPHIQUE ET SITUATION DE LA FORMATION PROFESSIONNELLE DANS LES RÉGIONS ADMINISTRATIVES DU QUÉBEC 136 PROFIL SOCIODÉMOGRAPHIQUE ET SITUATION DE LA FORMATION TECHNIQUE DANS LES RÉGIONS ADMINISTRATIVES DU QUÉBEC 137 ANNEXE VI TABLEAU PAR RÉGION, PAR MRC ET POPULATION FRANCOPHONE ET ANGLOPHONE 138 ANNEXE VII GRAPHIQUES DE LA STRUCTURE D ÂGE SELON LE TERRITOIRE DES COMMISSIONS SCOLAIRES ANGLOPHONES DU QUÉBEC 140 ANNEXE VIII ENSEMBLE DU QUÉBEC PERSPECTIVES PROFESSIONNELLES ANNEXE IX LISTE DES PROGRAMMES DE FORMATION ASP-DEP-DEC OFFRANT LES MEILLEURES PERSPECTIVES D EMPLOI À L ENSEMBLE DU QUÉBEC ANNEXE X LISTE COMPLÈTE DES CRÉNEAUX D EXCELLENCE ACCORD 157 Gilles Deslauriers, consultant 3

4 ANNEXE XI MANDAT DE LA TABLE MÉTROPOLITAINE DE MONTRÉAL / MANDAT DE LA COMMUNAUTÉ MÉTROPOLITAINE DE MONTRÉAL 159 ANNEXE XII LAVAL / PERSPECTIVES PROFESSIONNELLES 162 ANNEXE XIII ANNEXE XIV ANNEXE XV ANNEXE XVI LA FORMATION PROFESSIONNELLE / AUTORISATION DES ORGANISMES ANGLOPHONES OFFRANT DES PROGRAMMES D ÉTUDES EN LANGUE ANGLAISE (CLASSEMENT PAR RÉGION, ORGANISME ET SECTEUR, BASÉE SUR LA DERNIÈRE VERSION PROGRAMME; MELS / DGFPT / DGSO 165 INSCRIPTIONS EN FORMATION PROFESSIONNELLE, ASP ET DEP, TEMPS PLEIN, LANGUE D ENSEIGNEMENT ANGLAISE, FORMATION TRADITIONNELLE SELON LE PROGRAMME ACTUALISÉ, LES COMMISSIONS SCOLAIRES ANGLOPHONES POUR LES ANNÉES SCOLAIRES DE À (DONNÉES PROVISOIRES POUR ) 169 INSCRIPTIONS EN FORMATION PROFESSIONNELLES, ASP ET DEP, TEMPS PLEIN, LANGUE D ENSEIGNEMENT FRANÇAIS, LANGUE MATERNELLE ANGLAISE, FORMATION TRADITIONNELLE SELON LE PROGRAMME ACTUALISÉ, LA COMMISSION SCOLAIRE ANNÉES À EFFECTIF SCOLAIRE TOTAL DES INSCRIPTIONS À TEMPS PLEIN EN FT SELON LA RÉGION ET LA LANGUE D ENSEIGNEMENT, TOUTES AUTORISATIONS CONFONDUES 175 ANNEXE XVII PRÉVISIONS DE LA CLIENTÈLE AU COLLÉGIAL ANNEXE XVIII ANNEXE XIX ANNEXE XX ANNEXE XXI ANNEXE XXII NOMBRE D INSCRIPTIONS À TEMPS PLEIN, FORMATION ORDINAIRE, ÉTABLISSEMENTS PUBLICS, FORMATION TECHNIQUE, PROGRAMME DE DEC LANGUE D ENSEIGNEMENT ET MATERNELLE ANGLAISE, PAR COLLÈGE, POUR LES ANNÉES (SESSION AUTOMNE) À NOMBRE D INSCRIPTIONS À TEMPS PLEIN, FORMATION ORDINAIRE, ÉTABLISSEMENTS PUBLICS, FORMATION TECHNIQUE, PROGRAMME DE DEC LANGUE D ENSEIGNEMENT ANGLAISE, PAR PROGRAMME, POUR LES ANNÉES (SESSION AUTOMNE) À NOMBRE D INSCRIPTIONS À TEMPS PLEIN, FORMATION ORDINAIRE, ÉTABLISSEMENTS PUBLICS, FORMATION TECHNIQUE, PROGRAMME DE DEC LANGUE MATERNELLE ANGLAISE, LANGUE D ENSEIGNEMENT FRANÇAISE PAR PROGRAMME POUR LES ANNÉES (SESSION AUTOMNE) À RECONNAISSANCE DES ACQUIS ET DES COMPÉTENCES 06 MONTRÉAL ( DEP ASP DEC AEC ) 190 SYNTHÈSE DES DEMANDES DES COMMISSIONS SCOLAIRES QUELQUES ÉLÉMENTS SOMMAIRES EN APPUI AUX DEMANDES 192 ANNEXE XXIII ÉVALUATION DES COÛTS POUR LES DEMANDES DES COMMISSIONS SCOLAIRES 197 Gilles Deslauriers, consultant 4

5 PRÉAMBULE Le présent rapport porte sur les services offerts en formation professionnelle et technique par les institutions publiques. Précisément, ce sont les commissions scolaires et les collèges qui dispensent la formation en langue anglaise aux personnes recherchant de la formation en langue anglaise. Les établissements d enseignement qui offrent de la formation en langue anglaise répondent non seulement aux besoins des anglophones (personnes qui utilisent l anglais comme première langue parlée), mais également aux besoins des autochtones, des immigrants ou des personnes de toutes origines et de toutes langues qui désirent, dans le respect des lois en vigueur, recevoir une formation en langue anglaise. Dans ce contexte, l expression «communauté anglophone» utilisée dans le présent rapport doit être comprise dans un sens large qui regroupe plusieurs réalités. Note : l utilisation, dans le présent rapport, de la seule forme masculine n a pour seul but que d alléger le texte et d en rendre la lecture plus facile. Gilles Deslauriers, consultant 5

6 Introduction Le plan d aménagement de l offre de formation professionnelle et technique pour la communauté anglophone s inscrit dans le cadre des démarches entreprises dans chacune des régions par les tables interordres. Le comité de rapprochement des commissions scolaires et des collèges anglophones s est donné comme mandat de réaliser un plan de l aménagement de l offre qui correspondrait le mieux possible aux besoins de la communauté anglophone. En partie calqué sur les modèles des plans régionaux de l aménagement de l offre de formation, le présent plan doit tenir compte d un certain nombre de spécificités. Le rapport porte uniquement sur la communauté anglophone inscrite dans des institutions publiques, commissions scolaires ou collèges, en dehors des commissions ou collèges à statuts spéciaux ou privés. De plus, comme il s agit de dresser un portrait provincial de la réalité et des besoins, la perspective devient globale contrairement à celle des plans régionaux. Il faudra tenir compte de la répartition de la communauté anglophone sur l ensemble du territoire québécois, avec des zones de concentration ou de large dispersement. La toile de fond sera l ensemble de la réalité économique du Québec avec ses particularités, audelà de la perspective régionale à laquelle chacun des plans régionaux s est collée. L ensemble de ce rapport pourrait, par certains éléments, se révéler plus grand que la somme de chacun des plans régionaux. Cette situation tient au fait que les régions n avaient pas à vérifier la pertinence de l offre globale de formation professionnelle et technique pour la communauté anglophone du Québec, mais uniquement, le cas échéant, l offre pour la communauté anglophone établie dans la région visée par le plan régional. Force est de constater que l offre de formation à la communauté anglophone est à la fois restreinte et très concentrée autour de la région de Montréal. Un des défis sera de travailler à développer cette offre tout en tenant compte des réalités économiques, politiques et démographiques du Québec. Le Québec compte neuf commissions scolaires et cinq collèges anglophones, dont le collège Champlain qui gère trois campus (Lennoxville, Saint-Lambert et Québec) pour répondre aux besoins de la communauté anglophone. Bien que la quasi-totalité du territoire soit couverte par les commissions scolaires anglophones, de façon bien inégale, la réalité fait que trois des cinq collèges sont situés à Montréal, un autre couvre la Rive Sud de Montréal, l Estrie et la région de Québec, l autre est établi dans la région de l Outaouais. Les commissions scolaires et les collèges ont leurs tables de travail respectives où la concertation a une place prépondérante. Le plan d aménagement de l offre de formation professionnelle et technique pour la communauté anglophone fait un large écho à ces travaux. La table est mise pour poursuivre le dialogue au comité de rapprochement provincial et mettre en place les conditions qui permettront de développer une offre de formation professionnelle et technique qui réponde le plus adéquatement possible aux besoins de la communauté anglophone du Québec. On trouvera, aux pages suivantes, deux cartes, la première est la carte des régions du Québec, la seconde porte sur les limites territoriales des Commissions scolaires anglophones superposées sur les régions du Québec. Gilles Deslauriers, consultant 6

7 Carte des régions du Québec 1 Bas-Saint-Laurent 2 Saguenay-Lac-St-Jean 3 Capîtale-Nationale 4 Mauricie 5 Estrie 6 Montréal 7 Outaouais 8 Abitibi-Témiscamingue 9 Côte-Nord 10 Nord-du-Québec 11 Gaspésie-Îles de-la-madeleine 12 Chaudière-Appalaches 13 Laval 14 Lanaudière 15 Laurentides 16 Montérégie 17 Centre-du-Québec Commissions Scolaires du Québec (régions) Gilles Deslauriers, consultant 7

8 Carte des territoires des commissions scolaires Source : J. W. COMM. Inc., Laura-Lee Bolger, géographe Gilles Deslauriers, consultant 8

9 1 Mandat Le mandat pour la recherche et la rédaction du plan provincial d aménagement de l offre de la formation professionnelle et technique en langue anglaise a été établi de la façon suivante : Contexte du plan de rapprochement Dans le contexte du Plan de rapprochement en matière de formation professionnelle et technique rendu publique le 12 juin 2006, par le ministre de l Éducation, du Loisir et du Sport, M. Jean-Marc Fournier, en présence des partenaires du monde de l éducation, du travail et des syndicats, le Comité provincial de rapprochement du secteur anglophone en matière de formation professionnelle et technique s est vu confier le mandat d élaborer un plan provincial d aménagement de l offre de formation professionnelle et technique en langue anglaise. Ce plan provincial prend appui sur les balises proposées par le Comité national des programmes d études professionnelles et techniques et adoptées par le Ministère. Ce plan doit tenir compte : Des plans d aménagement régional disponibles lors de l analyse et de la rédaction; De l approche suprarégionale et nationale pour l aménagement de l offre de formation professionnelle et technique; De répondre aux besoins du marché du travail selon le profil socio-économique, les perspectives et les priorités de développement de l offre de formation; Du potentiel de recrutement d élèves et d étudiants, jeunes et adultes; La démonstration de la faisabilité économique. Défi d un plan d aménagement provincial La prise en compte des besoins de formation de la main-d œuvre au niveau provincial sera au cœur du plan d aménagement de l offre de formation. L analyse du portrait sociodémographique devra tenir compte des particularités géographiques et linguistiques de la communauté anglophone du Québec. Toute action concertée portant sur une possibilité de réaménagement de l offre de formation professionnelle et technique pour le secteur anglophone doit s appuyer sur une analyse provinciale du marché du travail qui intègre le mieux possible la situation actuelle de l emploi. Les priorités de formation identifiées, mises en perspective avec l offre de formation actuellement disponible, devraient contribuer à indiquer des pistes de décisions futures et cibler les priorités de formation qui seront prises pour réaménager l offre de formation. Ces priorités permettront au réseau des établissements d accroître leur rendement en optimisant l utilisation des ressources disponibles. Travaux à réaliser Analyser le portrait et établir un diagnostic : En identifiant des pistes de solution pour des besoins émergents; En identifiant, si possible, des secteurs d activités comme des créneaux porteurs de développement; En identifiant les programmes en difficulté; En identifiant le rapprochement possible de l offre de formation en formation professionnelle et technique anglophone. Élaborer un plan d aménagement : En proposant des actions qui tiennent compte des forces identifiées et des ressources disponibles; En identifiant des pistes de solution pour les programmes d études en difficulté, soit par manque d attraction, en raison des conditions d accessibilité ou par une faible demande du marché du travail; En identifiant des projets qui répondent aux besoins émergents; En proposant de nouveaux modèles d organisation permettant d élargir l accessibilité aux formations. Gilles Deslauriers, consultant 9

10 2 La communauté anglophone et les tables interordres 2.1 Les plans régionaux Le plan d aménagement de l offre de formation professionnelle et technique pour la communauté anglophone du Québec s inscrit dans une démarche qui vise à répondre le plus adéquatement possible aux besoins et aux attentes des anglophones du Québec face au secteur de la formation de la main-d œuvre. Ce plan d aménagement, sans nier l existence ni la pertinence des plans régionaux établis par les tables interordres des dix-sept régions du Québec, a comme perspective de répondre à certains aspects que les régions n auraient pas su mettre en relief en tenant compte des réalités particulières vécues par l ensemble de la communauté anglophone. À cet égard le plan d aménagement de l offre de formation professionnelle et technique pour la communauté anglophone répond à une recommandation du plan stratégique faite par les commissions scolaires anglophones et qui se lit comme suit : Recommandation no 2 Traiter la minorité anglophone comme une «région» séparée dont les besoins en formation professionnelle peuvent être le mieux comblés dans un contexte qui englobe toute la province. Cela supposerait de mettre en place des mécanismes financiers et autres mesures de soutien pouvant combler les besoins particuliers de la population minoritaire. 1 Les représentants de la communauté anglophone sont donc membres à part entière des diverses tables et organismes régionaux et nationaux du MELS, en plus des organismes de participation propres à la communauté anglophone, cette situation a pour effet de multiplier le nombre de rencontres pour ces représentants, les forçant à sélectionner et à cibler leur participation aux organismes régionaux et nationaux. Comme le nombre de hors cadres et de cadres dépend en large partie de la taille de la commission scolaire, les institutions anglophones disposent d un bassin restreint de personnes entre qui elles peuvent répartir les tâches. Si on ajoute à cela la grandeur du territoire à couvrir, incluant souvent plusieurs régions administratives du Québec, on comprendra aisément la grande difficulté que certaines institutions éprouvent à répondre adéquatement aux besoins de représentation qui sont souhaités, attendus ou exigés. De plus, contrairement à la grande majorité des commissions scolaires, les institutions anglophones englobent souvent deux ou trois régions du Québec, voire jusqu à six pour la Commission scolaire Central Quebec. Cette situation est semblable pour la commission scolaire Eastern Shores, même si elle compte moins de régions, elle doit, notamment, couvrir tant celle de la Gaspésie que celle de la Côte-Nord du Québec. En plus des distances énormes, le personnel doit aussi franchir la barrière naturelle constituée par le Golfe Saint- Laurent, rendant encore plus hasardeux les déplacements, particulièrement en hiver. On comprendra aisément le poids financier et humain que la commission Eastern Shores doit supporter pour assurer une supervision efficace des divers centres de formation. Les cadres, déjà très peu nombreux compte tenu de la taille de la commission, doivent occasionnellement se déplacer entre les points de service de la commission dont le siège social est à New-Carlisle, sur la baie des Chaleurs. C est coûteux pour la commission et énergivore en temps et épuisant pour les rares cadres qui ont à assurer le service. Cette situation rend quasi impossible la participation des cadres de la commission à la vie communautaire des populations desservies ou à une quelconque participation aux organismes régionaux, y compris les tables interordres. De plus, les commissions scolaires Eastern Shores, Central Quebec, New Frontiers et Western Quebec, doivent répondre à certains besoins des communautés autochtones. Communautés souvent isolées, distinctes les unes des autres avec leurs habitudes et coutumes propres, ajoutant d autant aux difficultés à répondre adéquatement aux besoins spécifiques de ces communautés. Les collèges n ont pas la même notion de territorialité, bien que leur localisation détermine en large partie les assises du bassin de leur clientèle. Non seulement le territoire à couvrir est immense, mais cela ajoute à la difficulté d assurer une représentation efficiente à tous les paliers et à toutes les tables décisionnelles, régionales ou nationale. Le tableau suivant fait état des demandes des institutions anglophones inscrites dans le plan d aménagement de l offre de formation professionnelle et technique de chacune des régions du Québec. Au moment de tracer le présent tableau, douze des dix-sept régions avaient fait connaître leur plan. Ce tableau est évolutif et ne reflète pas nécessairement la position que les institutions anglophones mettent de l avant dans le présent rapport suite aux travaux conduits pour répondre le plus adéquatement aux besoins spécifiques de la communauté anglophone du Québec. 1 Commissions scolaires anglophones du Québec, Plan stratégique pour la formation professionnelle en langue an glaise, octobre p. 31 Gilles Deslauriers, consultant 10

11 01 Bas-Saint-Laurent 02 Saguenay-Lac-St-Jean 03 Capitale-Nationale 04 Mauricie 05 Estrie 06 Montréal* 07 Outaouais Tableau 1 - Demandes régionales via les tables interordres (août 2009) Région Organisme Demandes Central Quebec Champlain College (St-Lawrence) Gilles Deslauriers, consultant 11 Aucune demande Aucune demande Numerical Control Machine Tool Operation - demande ajoutée au plan en langue anglaise Eastern Towships Sales Representation - demande ajoutée au plan en langue anglaise Champlain College (Lennoxville) Nursing (autorisation accordée printemps 2009) English Montreal Lester-B-Pearson Dawson John Abbott Vanier Western Quebec Heritage College Professional Baking Contemporary Cuisine Pâtisserie de restaurant Pastry making Residential and Commercial Drafting Automotive Body Repair and Repainting Mécanique de véhicules légers, services conseil à la clientèle en équipement motorisé Sale of Mechanical Parts and Accessories Mécanique de moteurs diesels et de contrôles électroniques Reprographie et façonnage Professional Baking Plumbing and Heating General Builduing Maintenance Installation et entretien de systèmes de sécurité Biotechnology Techniques d aménagement et d urbanisme Techniques d animation 3D et de synthèse d images Technologies de la géomatique Électrophysiologie médicale Technologie de médecine nucléaire Physical Rehabilitation Medical Records Management International Business Conseil en assurances et services financiers Techniques de l environnement, hygiène et sécurité au travail Techniques de l estimaiton et de l évaluation en bâtiment Techniques d aménagement et d urbanisme Techniques juridiques Techniques de la logistique et transport Health, Assistance and Nursing Tourism Hotel Management 08 Abitibi-Témiscamingue Western Quebec Aucune demande 09 Côte-Nord 10 Nord-du-Québec 11 Gaspésie et des Iles 12 Chaudière-Appalaches Central Quebec Aucune offre collégiale en anglais Eastern Shores 1 Collège de la Gaspésie et des Iles (secteur anglais) Central Quebec Aucune offre collégiale en anglais Aucune demande Landscaping Computing Support Masonry-Bricklaying Plastering Aucune demande Aucune demande

12 13 Laval 14 Lanaudière 15 Laurentides 16 Montérégie 17 Centre-du-Québec Région Organisme Demandes Sir-Wilfrid-Laurier Aucune offre collégiale en anglais Sir-Wilfrid-Laurier Aucune offre collégiale en anglais Sir-Wilfrid-Laurier Aucune offre collégiale en anglais Eastern Townships Riverside New Frontiers Champlain College (St-Lambert) Professional Sales Gestion d une entreprise de construction (en anglais) Secretarial Studies- Legal Secretarial Studies Medical Surveying and Topography Health Assistance and Nursing Professional Sales (DEP intégré avec vente de la CS des Affluents) Professional Sales Secretarial Studies- Legal Secretarial Studies Medical Plumbing and Heating Carpentry Residential and Commercial Drafting Health Assistance and Nursing Care Hotel reception demande ajoutée au plan en langue anglaise Opération d équipement de production - demande ajoutée au plan en langue anglaise Home Care Assistance Plumbing and Heating demande retirée du plan en langue anglaise Pose de revêtement souple demande retirée du plan en langue anglaise Refrigeration - demande ajoutée au plan en langue anglaise General Building Management - demande ajoutée au plan en langue anglaise Réparation d appareils au gaz naturel (v. anglaise) - demande ajoutée au plan en langue anglaise Pharmacy Technical Assistance - demande ajoutée au plan en langue anglaise Assistance in Health Care Facilities Light Vehicle Mechanics - demande ajoutée au plan en langue anglaise Assembly of Steel Structure - demande ajoutée au plan en langue anglaise Steel Erection - demande ajoutée au plan en langue anglaise Soins infirmiers Techniques d éducation spécialisée Techniques d animation 3D (pas de consensus régional) 1 Une résolution a été acheminée à la table interodres de la Gaspésie demandant l ajout de quatre programmes à la carte des enseignements pour la commission scolaire Eastern Shores. * Les demandes seraient inscrites dans le plan régional à être déposé. Les demandes, pour une commission scolaire qui couvre plus d une région, peuvent se dédoubler Toutefois, comme les autorisations sont accordées à la commission scolaire et non à la région, on peut penser qu une commission pourrait, selon son gré, déplacer le point de service pour mieux répondre à un besoin ponctuel dans une des régions qu elle doit desservir. Un collège anglophone a vu deux de ses demandes questionnées par les tables interordres régionales, dans un cas l appui est venu tardivement, soit après le dépôt du plan d aménagement de l offre de formation professionnelle et technique, dans l autre cas il n y a toujours pas de consensus quant à la demande formulée. Il peut apparaître étonnant que des institutions francophones refusent d accorder leur appui à la demande d une institution anglophone qui ne vise pas la même clientèle et qui est seule à offrir le service en langue anglaise sur le territoire visé. Présentement, il n y a pas de cas connu de refus d appuyer la demande d une commission scolaire anglophone, selon les données inscrites dans les plans régionaux déposés. Cela confirme le besoin de rédiger un plan d aménagement de l offre de formation professionnelle et technique spécifiquement pour la communauté anglophone, basé sur une vision globale de l offre de formation et tournée vers les besoins des anglophones. Gilles Deslauriers, consultant 12

13 2.2 Le plan pour anglophones Le comité porteur du plan d aménagement de l offre de formation professionnelle et technique en langue anglaise est le comité provincial de rapprochement de la formation professionnelle et technique. Des représentants des collèges et commissions scolaires siègent à ce comité de même que des représentants du MELS et un représentant d Emploi-Québec. Les travaux de ce comité s appuient sur les discussions faites à d autres tables. Pour les neuf commissions scolaires anglophones, le travail se fait autour de la table du English Language Vocational Education Council (ELVEC). Les collèges ont pour leur part deux organismes auxquels ils participent : le regroupement des collèges, qui comprend les douze institutions collégiales anglophones et francophones publiques de Montréal, et le comité de pilotage (Steering Committee) pour les collèges anglophones du Québec auxquels s ajoutent deux collèges privés, les collèges Marianopolis et Centennial. Ces tables traitent de divers sujets intéressant les membres, y compris, au besoin, l offre de formation professionnelle ou technique selon la table de discussion. Le comité de rapprochement fait le pont entre ces diverses tables et travaille à établir les liens nécessaires au développement de partenariats significatifs pour la communauté anglophone. 2.3 Constats, enjeux et recommandations Les constats Les enjeux Les représentants anglophones voient leur participation se dédoubler puisqu ils doivent prendre part aux comités locaux, régionaux, nationaux qui régissent le fonctionnement des diverses politiques de même qu aux comités spécifiques propres à la communauté anglophone. Souvent, les mêmes sujets reviennnent mais ils sont traités selon la spécificité propre à la communauté anglophone. Cela multiplie les rencontres pour des cadres déjà moins nombreux à se partager la tâche puisque les ratios des effectifs sont surtout fonction de la taille de la commission scolaire. Les plans régionaux ne répondent pas toujours adéquatement aux besoins spécifiques de la communauté anglophone. Les commissions scolaires ont souvent plusieurs régions administratives à couvrir pour desservir de petites concentrations de population rendant une offre de service quasi impossible dans les conditions actuelles. Répondre le plus adéquatement possible aux besoins de la communauté anglophone en matière de formation professionnelle et technique Développer une offre de formation professionnelle et technique qui tienne compte de la spécificité de la communauté anglophone Assurer une représentativité adéquate de la communauté anglophone aux diverses tables où l offre de formation est discutée, tant sur le plan local, régional que national Améliorer le maillage entre les institutions anglophones pour maximiser le service à offrir à la clientèle. Recommandation Que le MELS maintienne les lieux de consultation auprès de la communauté anglophone permettant de discuter des enjeux relatifs à la formation professionnelle et technique en langue anglaise Gilles Deslauriers, consultant 13

14 3 Profil de la communauté anglophone 3.1 Évolution de la population Totale Au cours de la décennie qui s étend de 1996 à 2006, la population du Québec a augmenté de 5,5 % et le pourcentage de la population anglophone a crû lui aussi. Les données statistiques sont basées sur la première langue officielle parlée (PLOP) 2. De ce fait, les personnes qui utilisent une autre langue que le français ou l anglais comme première langue officielle parlée ne sont pas nécessairement toutes considérées dans les statistiques fournies. Le tableau suivant donne l évolution de la population totale de même que de ceux qui utilisent l une ou l autre langue officielle comme première langue parlée (PLOP). L écart entre la somme de la population francophone et la population anglophone du total de la population québécoise vient du fait qu entre et personnes n utilisent ni le français ni l anglais comme première langue parlée au sens de ce qui est décrit à la note de bas de page. Tableau 2 - Pourcentage de la population anglophone Québec pop. totale Francophones (PLOP) Anglophones (PLOP) % pop anglophone (PLOP) 13,1 % 13,0 % 13,4 % Le tableau 2 nous indique que la population anglophone, après un léger recul en 2001, a augmenté de personnes, passant de 13,1 % à 13,4 % de la population totale entre 1996 et 2006 alors que la population du Québec augmentait de 5,5 % Langue parlée 3 La référence à la PLOP donne un portrait plus restreint de la réalité linguistique du Québec puisque basée sur un seul aspect. Si on ajoute la langue souvent ou régulièrement parlée à la maison, la communauté anglophone québécoise voit son poids relatif augmenté sensiblement. Le tableau suivant donne une représentation de ce que pourrait être la clientèle potentielle avec une connaissance suffisante de la langue anglaise pour s inscrire en formation professionnelle ou au DEC technique. On constatera aisément que le total des diverses lignes du tableau ne correspond pas à une addition mathématique des chiffres. En effet, monsieur Warnke, de J.W. COMM. Inc., selon ce qui est communément admis en statistiques, fait des répartitions entre usage du français et usage de l anglais à la maison selon des pourcentages préalablement établis en fonction de divers échantillonnages. Dans certains cas on retient 50 % des déclarants, dans d autres le pourcentage sera plus faible. 1 Sauf indication contraire les données du présent chapitre sont extraites de données traitées par J.W. COMM. inc., à partir de Statistiques Canada, recensements de 1996 et Première langue officielle parlée (PLOP) : «Cette variable a été dérivée dans le cadre de l application de la Loi sur les langues officielles. La méthode de dérivation est décrite dans le règlement concernant l emploi des langues officielles dans la prestation de services au public. Elle tient compte premièrement de la connaissance des deux langues officielles, deuxièmement de la langue maternelle et troisièmement de la langue parlée à la maison. Les personnes qui peuvent soutenir une conversation en français seulement ont le français comme première langue officielle parlée. Les personnes qui peuvent soutenir une conversation en anglais seulement ont l anglais comme première langue officielle parlée. Les réponses aux questions sur la langue maternelle et sur la langue parlée à la maison sont ensuite utilisées pour établir la première langue officielle parlée des personnes qui peuvent parler le français et l anglais ou qui ne parlent ni l une ni l autre des langues officielles. On inclut dans la catégorie «Français» les personnes qui ont le français seulement ou le français et au moins une langue non officielle comme langue maternelle. Les personnes qui ont l anglais seulement ou l anglais et au moins une langue non officielle comme langue maternelle sont incluses dans la catégorie «Anglais». Pour les cas non encore classés, on inclut dans la catégorie «Français» les personnes ayant le français seulement ou le français et au moins une langue non officielle comme langue parlée à la maison. On procède de la même manière pour la catégorie «Anglais». La population se trouve ainsi classée dans deux catégories principales : d une part le français et d autre part l anglais. Il faut ajouter deux catégories résiduelles pour les personnes qui n ont pu être classées à l aide des renseignements fournis : le français et l anglais et ni le français ni l anglais.» 3 PLOP est une variable déterminée à partir de trois questions sur la langue. Pour élargir le concept, il faut faire d autres calculs qui font intervenir, selon des variables différentes, des extrapolations sur la langue parlée souvent à la maison et la langue parlée régulièrement à la maison. Ces données, présentées sommairement dans le tableau 3, sont à titre indicatif et mériteraient des études plus approfondies et basées sur des données normatives du ministère. Gilles Deslauriers, consultant 14

15 Tableau 3 - Langue parlée souvent et autre langue régulièrement parlée à la maison Langue parlée souvent et autre langue régulièrement parlée à la maison Autre langue parlée régulièrement à la maison Langue parlée souvent à la maison Anglais Anglais et Anglais et langue Anglais, français et français non officielle langue non officielle Total Anglais Français Langue non officielle Anglais et français Anglais et langue non officielle Français et langue non officielle Anglais, français et langue non officielle Anglais parlé à la maison Source : Statistique Canada, pop. de 2006, produit no XCB données traitées par J.W. COMM. Inc. * il s agit du total «considéré» à chacune des rubriques comme anglais parlé à la maison (note du consultant) La clientèle parlant uniquement, souvent ou régulièrement l anglais à la maison fait passer le bassin qui peut alimenter les institutions anglophones de personnes à personnes. Faisant ainsi grimper le poids relatif de la communauté anglophone du Québec de 13,4 %, en tenant compte de la PLOP seulement, à une proportion de 16,2 % en prenant en compte les données du tableau précédent. Il serait intéressant de poursuivre plus en profondeur l analyse sur la population ayant une connaissance usuelle de l anglais et suffisante pour suivre des études dans cette langue Structure d âge La structure d âge des deux communautés montre également quelques différences qui sont soulignées dans le tableau 4. Tableau 4 - Pourcentage de la population par strate d âge pour chacune des communautés anglophones et francophones Anglophones 17,8 13,4 34,3 21,7 12,8 16,1 13,5 31,5 25,6 13,3 Francophones 19,5 13,5 33,0 23,2 10,7 16,8 12,7 27,5 29,8 13,3 Le graphique suivant illustre la comparaison entre les communautés francophones et anglophones et l ensemble du Québec. Les pourcentages représentent la part occupée par la strate d âge dans la population totale de la communauté ciblée ou pour la population totale du Québec. Comme les données font état de la PLOP, il peut s avérer que le total des deux communautés soit inférieur à l ensemble de la population québécoise. Cela peut s expliquer par le fait que les données comparatives identiques pour 1996 n existent pas, donc le comparatif , selon la langue parlée le plus souvent et une autre langue parlée régulièrement à la maison ne pouvait être calculé précisément, mais faire l objet de projection. Gilles Deslauriers, consultant 15

16 Tableau 5 - Population du Québec par strate d âge et par première langue officielle parlée 75 ans et plus 70 à 74 ans 65 à 69 ans 60 à 64 ans 55 à 59 ans 50 à 54 ans 45 à 49 ans 40 à 44 ans 35 à 39 ans 30 à 34 ans 25 à 29 ans 20 à 24 ans 15 à 19 ans 10 à 14 ans 5 à 9 ans Moins de 5 ans P rovinc e de Québec 6,2% 5,6% 5,8% 3,3% 3,5% 3,5% 3,8% 4,2% 4,2% 4,7% 5,9% 5,7% 6,3% 7,1% 7,0% 6,8% 8,1% 7,9% 7,9% 8,8% 8,6% 8,7% 8,3% 8,3% 8,4% 6,5% 6,7% 7,5% 6,1% 6,2% 6,9% 6,6% 6,6% 7,0% 6,3% 6,3% 6,5% 6,4% 6,4% 6,2% 6,5% 6,4% 5,3% 5,4% 5,4% 4,5% 4,9% 5,0% % PL OP-A nglais % PL OP-Franç ais % Pop_QC 0,0% 1,0% 2,0% 3,0% 4,0% 5,0% 6,0% 7,0% 8,0% 9,0% 10,0% Sources: Statistiques Canada, Recensement 2006, échantillon20%. Données fournies par PatrimoineCanada. PLOP: Première langue officielle parlée proportionellement ajustée pour des réponses multiples. Produit par: J W COM M INC, Février 2009 La structure d âge apparaît comme étant plus régulière chez les anglophones. Les deux communautés montrent des signes de vieillissement de leur population, mais à des rythmes différents. Le vieillissement se fait plus rapidement chez les francophones. En 2006, le poids relatif des personnes de 65 ans et plus est de 13,3 %, toutes origines confondues. En 1966, le poids relatif des personnes de 65 ans et plus était de 10,7 % chez les francophones et de 12,8 % chez les anglophones. Toutefois, la strate des 75 ans et plus occupe un poids relatif plus grand chez les anglophones que chez les francophones. De la même façon, la strate d âge augmentait de plus de 6 points pour les francophones, elle progressait de moins de 4 points pour les anglophones. La strate des diminuait de plus de 5 points pour les francophones et d un peu plus de 3 points pour les anglophones. La part relative des étant encore la strate qui, en 2006, compte la plus grande part de la population anglophone, alors que celle des joue ce rôle chez les francophones. Pour les anglophones la strate des est quasi stable alors qu elle baisse de moins d un point chez les francophones. Finalement la strate des 0-14 ans a légèrement baissé chez les anglophones mais elle a perdu presque 3 points chez les francophones entre 1996 et On trouvera à l annexe I les graphiques pour chacune des régions du Québec précisant la structure d âge des deux communautés. Le pourcentage indiqué au bout de chacun des bâtonnets précise le poids relatif du groupe d âge sur sa communauté propre. Nous avons pris soin d ajouter la carte de la région subdivisée en MRC de même que le nombre de francophones et d anglophones par MRC. Nous avons précisé le nombre de personnes entre 15 et 24 ans pour la région. Les graphiques et les données sont de J.W. COMM inc. et les cartes régionales proviennent du site du MDEIE. Gilles Deslauriers, consultant 16

17 Cinq régions ont moins de 500 jeunes anglophones entre 15 et 24 ans. Il s agit du Bas-Saint-Laurent, du Saguenay-Lac-Saint-Jean, de la Mauricie, de Chaudière-Appalaches et du Centre-du-Québec. Au total de ces cinq régions on dénombre jeunes sur un territoire qui couvre 13 % du Québec. Cinq autres régions comptent entre 500 et jeunes anglophones, soit la Capitale-Nationale, l Abitibi-Témiscamingue, la Côte-Nord, la et des Îles et la région de Lanaudière. Au total, jeunes vivent dans ces cinq régions qui couvrent 26,3 % du territoire québécois. On a donc 10 régions administratives du Québec avec un total de 6066 jeunes anglophones répartis sur 39 % du territoire, soit sur km². On mesure facilement la très grande difficulté que représente le défi de soutenir une offre de formation professionnelle et technique adéquate pour cette clientèle, de même que pour les autres usagers de la communauté anglophone, répartis sur un territoire aussi vaste. On aura compris que parmi les jeunes plusieurs sont encore aux études ou sur le marché du travail. Ils ne constituent pas nécessairement un bassin potentiel où tous sont intéressés par la formation professionnelle ou technique. En appliquant le taux provincial de sorties sans qualification ni diplôme, pour , de 25,3 % 1, on pourrait formulé l hypothèse qu environ des jeunes seraient susceptibles de profiter d une offre de formation professionnelle ou technique. Des données plus complètes pourraient aider à cibler plus précisément la clientèle susceptible de répondre à une offre de formation professionnelle et technique Migration Certaines différences apparaissent également quant au mouvement migratoire propre à chacune des communautés anglophones et francophones. De façon générale les francophones ont une proportion légèrement plus forte de gens qui sont stables. Toutefois, quand ils se déplacent ils le font surtout à l intérieur de la province, de faibles pourcentages de gens immigrent ou émigrent du reste du Canada ou de l étranger. Au total, en 2006, un plus fort pourcentage d anglophones se déplace de ou vers les autres provinces et l étranger qu à l intérieur de la province de Québec. Le tableau 6 fait état de cette situation. Tableau 6 - Bilan migratoire des plus de 5 ans, Stable Intra Inter Étranger Stable Intra Inter Étranger provincial provincial provincial provincial Anglophones 59,3 % 10,5 % 3,7 % 5,7 % 60,8 % 8,7 % 3,6 % 7,0 % Francophones 60,4 % 16,2 % 0,6 % 1,3 % 62,1 % 14,6 % 0,6 % 2,0 % Pour les mêmes années de référence, le tableau suivant nous présente la provenance de la population selon le lieu de naissance. On s aperçoit rapidement que la population francophone est beaucoup plus homogène que la population anglophone. Le poids de l immigration est déterminant dans la composition de la communauté anglophone. Près du tiers des gens, dont la première langue officielle parlée est l anglais, provient de l extérieur du Canada, on passe à plus de 44 % qui sont originaires de l extérieur du Québec ou du Canada. La communauté francophone vit une toute autre réalité. Si la large majorité est née au Québec, la population venant du reste du Canada est quasi stable et celle de l étranger augmente légèrement. Tableau 7 - Lieu de naissance, Québec Ailleurs au Canada Immigrants Non permanents Québec Ailleurs au Canada Immigrants Non permanents Anglophones 56,1 % 12,2 % 29,9 % 1,8 % 53,6 % 11,7 % 32,5 % 2,2 % Francophones 91,5 % 2,5 % 5,7 % 0,3 % 89,2 % 2,7 % 7,6 % 0,4 % La provenance de la population immigrée résidant au Québec se différencie de celle qui est établie dans l ensemble du Canada. La population immigrée au Québec compte proportionnellement plus de personnes en provenance des Amériques et d Afrique et moins de personnes venant d Asie. 1 Banque de données des statistiques officielles, Taux de décrochage (sorties sans qualification ni diplôme) du secondaire, en formation générale des jeunes, selon le sexe, par territoire de conférence régionale des élus (CRÉ) et ensemble du Québec (9 mars 2009), in Gilles Deslauriers, consultant 17

18 Malgré une part de 13 % de l ensemble de la population immigrée recensée dans l ensemble du Canada venant d Afrique, cette population fait 29 % au Québec dont, entre autres, 60 % des personnes nées en Afrique du Nord et 56 % nées en Afrique centrale. Le Québec rassemble également plus du cinquième de la population immigrée née dans les Caraïbes et en Amérique centrale et 30 % de celle qui vient du Moyen-Orient Origine ethnique Cette situation a une incidence directe sur la composition de la population et la présence de minorités visibles de même que sur l origine ethnique des résidents du Québec. La communauté anglophone étant plus largement composée d immigrants verra son profil proportionnellement plus diversifié que celui de la communauté francophone. Le tableau 9 donne un aperçu de cette réalité qui montre une évolution vers une société de plus en plus multiethnique. Cette réalité fait en sorte que la communauté anglophone est beaucoup moins monolithique que la communauté francophone. La part occupée par la population d origine multiethnique a augmenté de 34,1 % à 36,8 %. Plus du tiers de la population anglophone est d origine, de langue et de culture très diversifiées faisant de la communauté anglophone une communauté à plus forte proportion hétérogène que la communauté francophone. On note également que la communauté francophone voit son profil se modifier sensiblement avec un pourcentage passé de 14,5 % à 24,3 % de ses membres qui est d origine multiethnique. L écart entre les deux communautés s est largement rétréci entre 1996 et Tableau 8 - Bilan migratoire des plus de 5 ans, Minorité visible Origine Origine Minorité Origine ethnique multiethnique visible ethnique unique unique Origine multiethnique Anglophones 18,5 % 65,9 % 34,1 % 24,2 % 63,2 % 36,8 % Francophones 3,8 % 85,5 % 14,5 % 5,9 % 75,7 % 24,3 % Selon les données du ministère des relations avec les citoyens et de l immigration (MRCI), on note que : De 1996 à 2001, la croissance de la population immigrée du Québec s est établie à 6 %; la variation de la population née à l étranger diffère toutefois selon la région de résidence. La progression a été très importante pour la région du Saguenay Lac- Saint-Jean (23 %), de l Outaouais (20 %), des Laurentides (18 %), de la Capitale-Nationale (13 %) et de Laval (10 %). Le nombre de personnes nées à l étranger a cependant diminué dans les régions de la Gaspésie Îles-de-la-Madeleine (-30 %), de la Côte-Nord (-13 %), de l Abitibi-Témiscamingue (-6 %) et de la Montérégie (-1 %). Par ailleurs, on observe que le dénombrement de la population immigrée est demeuré inchangé dans les régions du Bas-Saint-Laurent, de la Mauricie et du Nord-du-Québec. Deux régions administratives comptent une proportion plus élevée de la population immigrée que leur poids démographique dans l ensemble de la population québécoise. La région de Montréal, avec le quart de la population québécoise, rassemble 70 % de la population immigrée tandis que la région de Laval regroupe 5 % de la population du Québec mais 7 % du total de la population née à l étranger. La proportion des personnes nées à l étranger dépasse 5 % de la population régionale dans quatre régions administratives; le poids relatif de la population immigrée équivaut à 28 % de la population de la région de Montréal, il représente 16 % de la population de Laval et 6 % de la population de la Montérégie et de celle de l Outaouais. 2 On trouvera à l annexe II les immigrants admis, entre 2003 et 2007, selon les 15 principaux pays d origine. On remarque que près de 36 % des immigrants viennent d un pays arabe, soit le Maroc, l Algérie, le Liban ou l Iran. Les quinze principaux pays fournissent 60,4 % des immigrants qui résident au Québec. L annexe III présente, pays par pays, le nombre d immigrants admis selon le pays de naissance. L Afrique reste le continent qui donne le plus grand nombre d immigrants au Québec, suivit de l Asie, des Amériques et de l Europe. 1 Ministère des Relations avec le citoyen et de l immigration, population immigrée recensée au Québec et dans les régions en 2001 : caractéristiques générales, à partir du Recensement 2001 : données ethnoculturelles, mars 2004, p MRCI, Ibid. p. 14. Gilles Deslauriers, consultant 18

19 3.1.6 Scolarité Le niveau de scolarité a fait des progrès dans les deux communautés. Toutefois, c est du côté anglophone que l on remarque la progression la plus forte. Le tableau suivant en donne un bref aperçu. Les francophones comptent plus du quart de la population de 15 ans et plus qui n a pas de diplôme d études secondaires alors que la communauté anglophone a moins du cinquième de sa population dans cette situation. Tableau 9 - Niveau de scolarité pour les plus de 15 ans, Plus de 15 ans Sans diplôme secondaire Bachelier ou plus Anglophones ,0 % 19,8 % 19,0 % 24,6 % Francophones ,1 % 25,5 % 11,2 % 15,3 % La progression est un peu plus rapide chez les anglophones vers l atteinte du diplôme secondaire et universitaire. Le tableau nous montre que près de 20 % de la population anglophone, de 15 ans et plus, n a pas de diplôme secondaire. Le tableau nous indique également l attrait plus grand pour la formation universitaire chez les anglophones dont le pourcentage dépasse les francophones de près de 10 points. L annexe IV nous donne le profil sociodémographique et la situation de la formation professionnelle dans les régions administratives du Québec. Pour l ensemble du Québec on compte inscriptions en formation professionnelle dont pour la communauté anglophone, en Les inscriptions sont en hausse de 15,1 % pour le secteur francophone et de 26,7 % pour le secteur anglophone. Toutefois, si on compare le ratio des inscriptions en formation professionnelle sur la formation générale jeune au secondaire, toujours pour , on constate que le ratio québécois est de 20,6 % contre 13,6 % pour la communauté anglophone. La proportion d inscrits en formation professionnelle reste plus faible que du côté francophone et est indicateur de la moins grande pénétration de la formation professionnelle comme choix de carrière. Les commissions scolaires estiment qu une partie de l explication de la hausse des inscriptions en formation professionnelle est due aux investissements réalisés à plusieurs endroits et permettant de dispenser la formation dans des bâtiments adéquats et attrayants dotés d installations modernes. 1 Du côté des collèges, l annexe V, nous porte à faire le constat suivant : le taux d inscription en formation technique est en baisse tant chez les francophones que chez les anglophones pour la période de 2000 à La baisse est même plus prononcée pour les anglophones avec -12,7 % contre -10,3 %. Toutefois, depuis , la tendance semble s inverser chez les anglophones où les inscriptions techniques sont en forte hausse, particulièrement dans le secteur de la santé. Le ratio des inscriptions en formation technique sur la formation générale jeune, , est de 16,8 % pour le Québec et de 12,5 % pour les collèges publics anglophones. Quant au taux de passage de la 5 ième secondaire à la formation technique il est de 14,4 % pour le Québec et de 7,0 % pour la communauté anglophone. L écart est du simple au double entre les deux communautés. Il semble que les anglophones n accordent pas la même importance à la formation technique que les francophones et ils privilégient la formation universitaire à la formation technique. Le nombre de personnes qui n ont pas de qualification ou qui sont sans diplôme reste élevé, particulièrement chez les garçons. Le tableau suivant fait état de cette situation pour chacune des commissions scolaires. De façon générale, le tableau nous montre un écart favorable en faveur de la communauté anglophone avec de meilleurs résultats que ceux affichés par la communauté francophone. Les résultats sont même comparables à l ensemble du Québec. En fait cinq commissions scolaires obtiennent un meilleur résultat que l ensemble du Québec et une s en approche. On notera également que toutes les commissions scolaires ont un écart souvent important entre la situation observée chez les garçons par rapport aux filles. Une exception à cette situation, la Commission scolaire New Frontiers a quasiment le point d équilibre parfait, avec un taux de sorties sans diplôme ou sans qualification plus faible chez les garçons que chez les filles. La Commission scolaire New Frontiers est la seule au Québec qui affiche un taux de sorties sans qualification ni diplôme plus grand pour les filles que pour les garçons. Il serait intéressant de documenter les raisons qui ont pu conduire à cet état de fait. 1 Commissions scolaires anglophones du Québec, Plan stratégique pour la formation professionnelle en langue an glaise, octobre p. 24. Gilles Deslauriers, consultant 19

20 Tableau 10 - Sorties sans qualification ni diplôme*, pour les commissions scolaires anglophones, Commission scolaire Total Garçons filles Central Quebec SB 27,2 28,1 26,5 Eastern Shores SB 43,8 55,9 32,9 Eastern Towships SB 35,5 42,1 28,3 English Montreal SB 23,3 25,6 20,8 Lester-B.-Pearson SB 20,7 23,2 18,0 New Frontiers SB 25,2 24,9 25,5 Riverside SB 24,0 27,3 20,9 Sir-Wilfrid-Laurier SB 21,9 28,1 15,0 Western Quebec SB 43,6 49,4 38,1 Commissions anglophones 25,9 29,3 22,3 Commissions francophones 29,0 36,3 21,6 Ensemble du Québec 25,3 31,3 19,5 * Sorties sans : DES, DEP, ASP, AEC 1 SOURCE: Ministère de l'éducation, du Loisir et du Sport, Portraits régionaux, tableau 5.2. L'indicateur de ce tableau, qui présente les sorties, sans diplôme ni qualification, comme étant un événement, est calculé à partir des élèves inscrits en formation générale des jeunes. Par conséquent, il est différent de l'indicateur du décrochage scolaire, calculé par âge. Ce dernier indicateur (fiche 2.6 des Indicateurs de l'éducation), qui représente l'état du décrochage à un âge donné est calculé sur l'ensemble de la population (proportion des jeunes d'un âge donné qui n'ont pas de diplôme et qui ne sont pas à l'école). Gilles Deslauriers, consultant 20

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