CLIMAT. Quel temps fait-on demain? ou Les nouvelles projections du climat, et le rôle des Villes dans les négociations internationales
|
|
- Josephine Rancourt
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 ou Les nouvelles projections du climat, et le rôle des Villes dans les négociations internationales 14h30 Présentation détaillée des nouveaux scénarios CLIMAT par Serge Planton responsable de l unité de recherche climatique au centre de recherche de Météo-France Membre du groupe 1 du GIEC
2 Les nouveaux scénarios climatiques du GIEC Serge Planton Météo-France, CNRM-GAME Paris, 17 octobre 2013
3 Les scénarios climatiques Des scénarios du climat futur mais pas des prévisions: pour anticiper les risques et s adapter aux changements climatiques d origine humaine et à leurs effets socio-économiques ; pour évaluer les conséquences des politiques climatiques de réduction des émissions de gaz à effet de serre Les bases de la confiance des scientifiques dans ces scénarios (variant selon les échelles de temps et d espace, les régions concernées, les variables climatiques, ) : la connaissance des facteurs d évolution du climat et de la réponse du climat à ces facteurs ; la capacité à simuler les climats du passé, à partir de l évolution connue des facteurs naturels et anthropiques d évolution du climat.
4 4 Les nouveaux scénarios du GIEC Modification du bilan d énergie de la planète: Forçage radiatif en W/m 2
5 Les 4 scénarios RCP (Representative Concentration Pathways) Nom Forçage radiatif Concentration (ppm) en 2100 Trajectoire RCP2.6 RCP4.5 RCP6.0 Pic à ~3Wm -2 avant 2100 puis déclin ~4,5Wm -2 au niveau de stabilisation après 2100 ~6Wm -2 au niveau de stabilisation après 2100 ~ 420 CO 2 ~ 480 eq-co 2 Pic puis déclin ~ 540 CO Stabilisation 2 sans ~ 630 eq-co 2 dépassement ~ 670 CO Stabilisation 2 sans ~ 800 eq-co 2 dépassement RCP8.5 >8,5Wm -2 en 2100 ~ 940 CO 2 ~ 1300 eq-co 2 Croissante
6 Émissions globales de CO2 dues aux combustibles fossiles et à la production de ciment (Peters et al., 2013)
7 Moyennes multimodèles du réchauffement global en surface par rapport à (GIEC, 2013)
8 Changements moyens en par rapport à (GIEC, 2013) Température en surface RCP2.6 RCP8.5 Précipitations
9 Quelles sont les projections du changement climatique? Le changement de la température moyenne à la surface du globe pour la période par rapport à sera probablement compris entre 0,3 C et 0,7 C (degré de confiance moyen). Pour la période , l augmentation sera probablement comprise entre 0,3 C à 4,8 C. Par rapport à , le changement de la température moyenne à la surface du globe pour la fin du XXI e siècle dépassera probablement 2 C pour RCP6.0 et RCP8.5 (degré de confiance moyen), c est plus probable qu improbable pour RCP4.5 (degré de confiance élevé), mais improbable pour RCP2.6 (degré de confiance moyen). GIEC, 2013
10 Quelles sont les projections du changement climatique? Les changements concernant le cycle de l eau mondial en réponse au réchauffement sur le XXI e siècle ne seront pas uniformes. Le contraste de précipitations entre régions humides et régions sèches, et entre saisons humides et saisons sèches augmentera, bien qu il puisse exister des exceptions régionales. GIEC, 2013
11 Changements d extension de la banquise de l hémisphère nord au cours du XXI e siècle (GIEC, 2013)
12 Changement du niveau moyen des mers au cours du XXI e siècle par rapport à (GIEC, 2013)
13 Quelles sont les projections du changement climatique? Il est très probable qu au cours du XXI e siècle, l étendue de la couverture de banquise arctique, et son épaisseur, continueront à diminuer, de même que l étendue du manteau neigeux de l hémisphère Nord au printemps, en lien avec le réchauffement des températures. Le volume des glaciers continuera à diminuer. L élévation moyenne du niveau des mers pour la période par rapport à sera probablement comprise entre 0,26 et 0,82 m (degré de confiance moyen). GIEC, 2013
14 Changements projetés pour le milieu et la fin du XXI e siècle par rapport à Scénario Température ( C) Niveau de la mer (cm) RCP2.6 1,0 +/- 0,6 1,0 +/- 0,7 24 +/ /- 14 RCP8.5 2,0 +/- 0,6 3,7 +/- 1,1 30 +/ /- 19
15 Réchauffement global en surface en fonction des émissions de CO2 cumulées (GIEC, 2013)
16 Quelles sont les projections du changement climatique? Le total des émissions de CO 2 cumulées détermine dans une large mesure la moyenne globale du réchauffement en surface vers la fin du XXI e siècle et au-delà. La plupart des caractéristiques du changement climatique persisteront pendant plusieurs siècles même si les émissions de CO 2 sont arrêtées. GIEC, 2013
17 Quelles sont les projections du changement climatique? La poursuite des émissions de gaz à effet de serre au-delà de 2100 suivant le scénario RCP8.5 étendu produirait un réchauffement de 3,0 à 12,6 pour par rapport à Le réchauffement serait de 0 à 1,2 suivant le scénario RCP2.6 étendu.[ts] Les quelques résultats de modèles disponibles au-delà de 2100 indiquent que par rapport au niveau préindustriel, l élévation du niveau moyen des mers en 2300 devrait être de moins d'1 m pour le scénario RCP2.6 étendu et de 1 à 3m pour le scénario RCP8.5 étendu. (degré de confiance moyen). GIEC, 2013
18 Évènements extrêmes: tendances passées et futures (GIEC, 2013) Phénomène Probabilité depuis 1950 Contribution humaine Probabilité au début / fin du XXI e siècle Périodes/vagues de chaleur plus fréquentes et/ou plus longues sur la plupart des terres émergées Augmentation de la fréquence, intensité et/ou du nombre des épisodes de précipitations abondantes Augmentation de l intensité et/ou de la durée des sécheresses Probable dans de grandes parties d Europe, d Asie et d Australie Probablement plus d augmentations que de diminutions sur les terres émergées Faible confiance à l échelle mondiale, probable dans certaines régions Faible confiance à Augmentation de l activité l échelle du siècle, cyclonique tropicale de forte pratiquement certain intensité pour Atlantique Nord Paris, 17 octobre 2013 Conseil d Administration du 30 juin 2006 Probable Degré de confiance moyen Faible confiance Faible confiance Non évalué / Très probable Probable sur de nombreuses régions / Très probable sur certaines régions Faible confiance / Probable à l échelle régionale ou mondiale Faible confiance / Plus probable qu improbable dans certains bassins
19 Le 5 e rapport du GIEC ( ) Rapport du groupe I (29 septembre 2013): Rapport complet disponible en anglais sur le site du GIEC: Résumé pour décideurs disponible en français sur le site de l ONERC (traduction provisoire): Prochaines étapes (sessions d acceptation/approbation): Rapport du groupe II : mars 2014 Rapport du groupe III : 7-11 avril 2014 Rapport de synthèse : octobre 2014
Évolution du climat et désertification
Évolution du climat et désertification FACTEURS HUMAINS ET NATURELS DE L ÉVOLUTION DU CLIMAT Les activités humaines essentiellement l exploitation de combustibles fossiles et la modification de la couverture
Plus en détailPROJET ACCLIMATE ETUDE SIM-CLIM THEME 3 Etude bilan des possibilités d une simulation climatique régionale
Commission de l Océan Indien Projet ACCLIMATE 1 PROJET ACCLIMATE ETUDE SIM-CLIM THEME 3 Etude bilan des possibilités d une simulation climatique régionale Résumé Commission de l Océan Indien Projet ACCLIMATE
Plus en détailCHANGEMENTS CLIMATIQUES 2013
CHANGEMENTS CLIMATIQUES 2013 Les éléments scientifiques Résumé à l intention des décideurs GT I CONTRIBUTION DU GROUPE DE TRAVAIL I AU CINQUIÈME RAPPORT D ÉVALUATION DU GROUPE D EXPERTS INTERGOUVERNEMENTAL
Plus en détailSynthèse SYNTHESE - 1 - DIRECTION GENERALE DE L ENERGIE ET DU CLIMAT. Service du climat et de l efficacité énergétique
DIRECTION GENERALE DE L ENERGIE ET DU CLIMAT Service du climat et de l efficacité énergétique Observatoire national sur les effets du réchauffement climatique Synthèse SYNTHESE Prise en compte de l'élévation
Plus en détailSynthèse des travaux réalisés par la DMN dans le cadre du projet ACCMA
Synthèse des travaux réalisés par la DMN dans le cadre du projet ACCMA Fatima Driouech et Atika Kasmi Le travail effectué par l équipe de la DMN, dans le cadre du projet et durant cette première période,
Plus en détailChangements Climatiques 2007
Changements Climatiques 2007 R apport de sy nthèse OMM Un rapport du Groupe d experts intergouvernemental sur l évolution du climat PNUE Bilan 2007 des changements climatiques : Rapport de synthèse Publié
Plus en détailCONCOURS EXTERNE DE RECRUTEMENT DE PROFESSEURS CERTIFIÉS ET CONCOURS D ACCÈS À DES LISTES D APTITUDE (CAFEP)
Repère à reporter sur la copie SESSION DE 28 CONCOURS EXTERNE DE RECRUTEMENT DE PROFESSEURS CERTIFIÉS ET CONCOURS D ACCÈS À DES LISTES D APTITUDE (CAFEP) Section : SCIENCES DE LA VIE ET DE LA TERRE COMPOSITION
Plus en détailLa modélisation, un outil pour reconstituer (et prédire) climat et végétation
La modélisation, un outil pour reconstituer (et prédire) climat et végétation Quels rôles jouent les surfaces continentales dans le système climatique? Nathalie de Noblet-Ducoudré nathalie.de-noblet@lsce.ipsl.fr
Plus en détailInfluence du changement. agronomiques de la vigne
Influence du changement climatique sur les résultatsr agronomiques de la vigne à l'aide du modèle STICS Iñaki García a de Cortázar Atauri Unité CSE - Avignon Réunion Protection du Vignoble Changement Climatique
Plus en détailClimat : vers le point de rupture?
Climat : vers le point de rupture? Nouvelles données scientifiques sur la crise climatique BRIEFING Avril 2009 Climat : vers le point de rupture? Nouvelles données scientifiques sur la crise climatique
Plus en détailLe projet DRIAS : premières études et documents
Le projet DRIAS : premières études et documents Julien Lémond CNRM / GAME, Météo-France, CNRS Direction de la Climatologie Réunion Comité Utilisateurs, le 29 juin 2010 Plan de la présentation 1 ) Les services
Plus en détailChangement Climatique (1/2) : Qu est-ce que c est?
Dossier pédagogique 3 Langues, géographie, sciences, histoire Changement Climatique (1/2) : Qu est-ce que c est? plus de 100 ans de recherches scientifiques Changement climatique, Effet de serre, gaz à
Plus en détailQuestions fréquentes. Citations des présentes questions : Lors de la citation d un groupe de questions, donner la référence suivante :
Extraits du Rapport accepté par le Groupe de travail I du Groupe d experts intergouvernemental sur l évolution du climat mais non approuvé dans les détails Questions fréquentes Citations des présentes
Plus en détailLa diversité des climats
Les interactions entre l océan et l atmosphère Chaque jour, la météorologie occupe une place importante (voire le devant de la scène), lorsque surviennent tempêtes, vagues de chaleur ou de froid, ou inondations.
Plus en détailRoyaume du Maroc Secrétariat d État auprès du Ministère de l Énergie, des Mines, de l Eau et de l Environnement, Chargé de l Eau et de l Environnement Direction de la Météorologie Nationale Variabilité
Plus en détailRégionalisation des régimes de perturbations et implications pour l aménagement dans un contexte de changement climatique
Régionalisation des régimes de perturbations et implications pour l aménagement dans un contexte de changement climatique Sylvie Gauthier, Chercheuse scientifique, successions forestières RNCan-SCF-CFL
Plus en détailFAITS SAILLANTS : 1. CONDITIONS CLIMATIQUES ET ENVIRONNEMENTALES EN AFRIQUE
African Centre of Meteorological Application for Development Centre Africain pour les Applications de la Météorologie au Développement N 5, Mai 2015 FAITS SAILLANTS : Les zones favorables à une vigilance
Plus en détailPourquoi étudier l aérosol atmosphérique?
Pourquoi étudier l aérosol atmosphérique? Impact Climatique Impact sanitaire Les particules atmosphériques sont avant tout étudiées pour leurs impacts sur le climat et sur la santé humaine. 39 Réchauffement
Plus en détailChangements climatiques 2001: Rapport de synthèse
Changements climatiques 2001: Rapport de synthèse Rapport de synthèse Evaluation du Groupe d experts intergouvernemental sur l évolution du climat Ce résumé, intégralement approuvé à la XVIII e session
Plus en détailProjets en cours sur l archivage et la diffusion des simulations climatiques et de leurs produits, en liaison avec le projet DRIAS
Projets en cours sur l archivage et la diffusion des simulations climatiques et de leurs produits, en liaison avec le projet DRIAS Serge Planton (MF/CNRM-GAME), Robert Vautard (IPSL), Maryvonne Kerdoncuff,
Plus en détailLA STERN REVIEW : l économie du changement climatique
Précis Les preuves scientifiques sont désormais écrasantes : le changement climatique présente des risques très sérieux à l échelle de la planète et exige une réponse mondiale de toute urgence. Ce rapport
Plus en détailRôle des nuages dans l'anomalie de température de l'hiver 2007 en Europe
Rôle des nuages dans l'anomalie de température de l'hiver 2007 en Europe Meriem Chakroun Marjolaine Chiriaco (1) Sophie Bastin (1) Hélène Chepfer (2) Grégory Césana (2) Pascal Yiou (3) (1): LATMOS (2):
Plus en détailUNE REFLEXION PREALBLE
UNE REFLEXION PREALBLE NOUS N AVONS JAMAIS ETE AUSSI RICHES IL N Y A JAMAIS EU AUTANT DE PAUVRES QUI GERE LA REPARTITION? 1 ÉNERGIE ET TRANSITION Comprendre la situation est facile Ce qu il faut faire
Plus en détailLe réchauffement climatique, c'est quoi?
LE RECHAUFFEMENT CLIMATIQUE Le réchauffement climatique, c'est quoi? Le réchauffement climatique est l augmentation de la température moyenne à la surface de la planète. Il est dû aux g az à effet de serre
Plus en détailL équilibre offre-demande d électricité en France pour l été 2015
L équilibre offre-demande d électricité en France pour l été 2015 Synthèse Juin 2015 Sommaire Analyse globale 4 1. Prévision de consommation 5 2. Disponibilité du parc de production 7 3. Étude du risque
Plus en détailRelation entre le changement climatique et les ressources en eau: incidences et mesures d intervention
3 Relation entre le changement climatique et les ressources en eau: incidences et mesures d intervention Section 3 Relation entre le changement climatique et les ressources en eau: incidences et mesures
Plus en détailLa gestion du risque chez AXA
Séminaire International de la Presse Suduiraut 21 & 22 juin 2006 La gestion du risque chez AXA François Robinet Chief Risk officer Groupe AXA Sommaire I. La Gestion du Risque : Définition D II. III. La
Plus en détail1. L'été le plus chaud que la France ait connu ces cinquante dernières années.
1. L'été le plus chaud que la France ait connu ces cinquante dernières années. La figure ci-dessous présente la moyenne sur la France des températures minimales et maximales de l'été (période du 1 er juin
Plus en détailBilan électrique français ÉDITION 2014
Bilan électrique français ÉDITION 2014 Dossier de presse Sommaire 1. La baisse de la consommation 6 2. Le développement des ENR 8 3. Le recul de la production thermique fossile 9 4. La baisse des émissions
Plus en détailTraité de Copenhague nécessaire
Traité de Copenhague nécessaire version 1.0 Une proposition des ONG pour un protocole de Copenhague Résumé A4-TraiteResume.indd 1 6/07/09 17:58:38 Une proposition des ONG pour un protocole de Copenhague
Plus en détailImpacts potentiels du changement climatique sur les indices agroclimatiques dans les régions du sud de l Ontario et du Québec
Impacts potentiels du changement climatique sur les indices agroclimatiques dans les régions du sud de l Ontario et du Québec A. Bootsma, D. Anderson et S. Gameda Centre de recherches de l'est sur les
Plus en détailL opération étudiée : le SDEF
L opération étudiée : le SDEF Situation géographique 29 Landivisiau Finistére Zone H2a Altitude : 34 m Acteurs de l opération Maitrise d ouvrage Maître d œuvre / Architecte BET Thermique SDEF Atelier 3
Plus en détailREDRAWING MAP. World Energy Outlook Special Report RÉSUMÉ REDÉFINIR LES CONTOURS DU DÉBAT ENERGIE-CLIMAT. French translation
REDRAWING THE ENERGY-CLIMATE MAP World Energy Outlook Special Report French translation RÉSUMÉ REDÉFINIR LES CONTOURS DU DÉBAT ENERGIE-CLIMAT Édition spéciale du World Energy Outlook AGENCE INTERNATIONALE
Plus en détailComment aborder l Optimisation énergétique de salles anciennes et hétérogènes?
Comment aborder l Optimisation énergétique de salles anciennes et hétérogènes? Témoignage de Hervé MAGNIER Aéroports de Paris Membre du CRIP Groupe de travail Data center Un environnement technique peu
Plus en détailInstallations classées pour la protection de l'environnement Campagne de mesure de bruit SOMMAIRE I. OBJET DE L ETUDE... 3
SOMMAIRE I. OBJET DE L ETUDE... 3 II. MODE OPERATOIRE... 3 A. MATERIEL UTILISE... 3 1) Sonomètre... 3 2) Calibreur... 3 B. METHODE DE MESURE... 4 C. POSITIONNEMENT DU MATERIEL... 4 III. CAMPAGNE DE MESURE...
Plus en détailContrôle de la convection profonde par les processus sous-nuageux dans LMDZ5B
Contrôle de la convection profonde par les processus sous-nuageux dans LMDZ5B C. Rio, J.-Y. Grandpeix, F. Hourdin, F. Guichard, F. Couvreux, J.-P. Lafore, A. Fridlind, A. Mrowiec, S. Bony, N. Rochetin,
Plus en détailMETEOROLOGIE. Aéroclub Besançon La Vèze. Cours MTO - Ivan TORREADRADO 1. F-SO au FL65 over LFQM
METEOROLOGIE Aéroclub Besançon La Vèze F-SO au FL65 over LFQM Cours MTO - Ivan TORREADRADO 1 L air L atmosphère terrestre L humidité La stabilité, l instabilité La convection/l advection Les masses d air
Plus en détailThe Tropical Warm Pool-International Cloud Experiment TWP-ICE
The Tropical Warm Pool-International Cloud Experiment TWP-ICE Darwin, Australie Du 20 janvier au 13 fevrier 2006 radiosondages Flux radiatifs de surface Flux turbulents de surface Radar CPOL Forçages déduits
Plus en détailDans une année, il y a 12 mois. Dans une année, il y a 52 semaines. Dans une année, il y a 4 trimestres. Dans une année, il y a 365 jours.
Dans un siècle, il y a 100 ans. Dans une année, il y a 12 mois. Dans une année, il y a 52 semaines. Dans une année, il y a 4 trimestres. Dans une année, il y a 365 jours. Dans un trimestre, il y a 3 mois.
Plus en détailLES CHANGEMENTS FUTURS DE LA MOUSSON AFRICAINE
LES CHANGEMENTS FUTURS DE LA MOUSSON AFRICAINE MONERIE P.-A. 1,2, FONTAINE B. 1,3, ROUCOU P. 1,4 1 Centre de Recherches de Climatologie (CRC), Biogéosciences, 6 Boulevard Gabriel, 21000 Dijon 2 paul-arthur.monerie@u-bourgogne.fr
Plus en détailLa conférence de Copenhague sur le climat en 2009 avait soulevé
Éditions La Découverte, collection Repères, Paris, 2010 VII / Après Copenhague : le climat dans le nouvel équilibre du monde Patrick Criqui, Constantin Ilasca * La conférence de Copenhague sur le climat
Plus en détailRISQUES MAJEURS. www.vivre-a-niort.com. Notice d information sur la prévention des risques majeurs À NIORT. Toutes les informations sur
LES RISQUES MAJEURS Notice d information sur la prévention des risques majeurs À NIORT Toutes les informations sur Définition des Risques majeurs Quels risques à Niort? Le territoire de la commune se trouve
Plus en détailwww.hdgdev.com Eco matériaux Quelles performances, quelles assurances?
www.hdgdev.com Eco matériaux Quelles performances, quelles assurances? 1 Contexte L effet de serre un phénomène naturel Contexte Le changement climatique en chiffres 2 Contexte Contexte Le climat en 2100
Plus en détailCartes de l étendue des eaux libres liés aux inondations Guide des produits
Cartes de l étendue des eaux libres liés aux inondations Guide des produits Contexte Les crues ont parfois des effets dévastateurs sur la vie humaine, les infrastructures, l économie, les espèces sauvages
Plus en détailPARTENAIRE VERS UNE GESTION DURABLE ET PERFORMANTE DE VOTRE ÉNERGIE PRODUCTION DE CHALEUR
PARTENAIRE VERS UNE GESTION DURABLE ET PERFORMANTE DE VOTRE ÉNERGIE PRODUCTION DE CHALEUR 2014 ACTIVITE DE CORETEC Notre principal objectif est de réduire la facture énergétique de nos 450 clients au travers
Plus en détailRt 5. L isolant Thermo-réfléchissant. Isolation Maximum... Épaisseur Minimum! 6.1 10.2. www.thermosulit.be. Système de recouvrements plats
6. 0. L isolant Thermo-réfléchissant Rt 5 m²k/w (Rapport CIM 0/007) Système de recouvrements plats Isolation Maximum... Épaisseur Minimum! www.thermosulit.be Découvrez Thermosulit Thermosulit 6. et 0.
Plus en détailLa place du charbon dans le mix électrique
La place du charbon dans le mix électrique Présentation au colloque 7 février 2008 Gérard Mestrallet, PDG de SUEZ «Les nouveaux débouchés du charbon : quels risques pour le changement climatique?» Outline
Plus en détailLe petit guide illustré de l ISR*
Le petit guide illustré de l ISR* * Investissement Socialement Responsable document non contractuel L investisseur potentiel qui peut devenir acteur ESG* via l ISR Le professionnel de la démarche ISR L
Plus en détailLa gestion opérationnelle de la météosensibilité. La prévision météorologique et hydrologique au cœur de l Économie et de la Société
La gestion opérationnelle de la météosensibilité La prévision météorologique et hydrologique au cœur de l Économie et de la Société La société METNEXT METNEXT en bref Notre métier : L assistance aux entreprises
Plus en détailÉpreuve collaborative
Épreuve collaborative Épreuve collaborative 1. Faire une présentation de quelqu idé fort relativ au mix énergétique (ou bouquet énergétique). (Exposé de 5 minut maximum) 2. Faut-il encore brûler le charbon?
Plus en détailENJEUX ENERGETIQUES. Le Monde et la France. L énergie dans les territoires
ENJEUX ENERGETIQUES Le Monde et la France L énergie dans les territoires * Bernard LAPONCHE (Données statistiques : Enerdata) 1 Monde : Consommation d énergie primaire (2008 : 12,2 milliards de tep) Energies
Plus en détailModèle de Climat de Titan
Planétologie - GSMA - Université de Reims Champagne-Ardenne Modèle de Climat de Titan Le contexte général : Titan, le plus gros satellite de Saturne, possède une atmosphère dense de 1.4 bar essentiellement
Plus en détailIV.1 Descente d échelle dynamique... 11 IV.2 Descente d échelle statistique... 14
Table des matières Rapport de l étude «Evaluation des changements climatiques futurs au niveau des zones oasiennes marocaines»... 1 élaborée pour le projet... 1 «Adaptation aux changements climatiques
Plus en détailBiomasse forestière et bioénergie: Danger ou solution?
C est correct. La scie mécanique fonctionne au biocarburant. Biomasse forestière et bioénergie: Danger ou solution? Evelyne Thiffault David Paré Jacques Morissette Sébastien Dagnault Ressources naturelles
Plus en détailLA SURVEILLANCE DES PHÉNOMÈNES MÉTÉOROLOGIQUES POUR PRODUIRE DE L ÉLECTRICITÉ EN TOUTE SÉCURITÉ
avril 2013 NOTE D INFORMATION LA SURVEILLANCE DES PHÉNOMÈNES MÉTÉOROLOGIQUES POUR PRODUIRE DE L ÉLECTRICITÉ EN TOUTE SÉCURITÉ En tant qu exploitant des centrales de production d électricité, EDF met en
Plus en détailGASMAN II MANUEL D UTILISATION
ANALYSE DETECTION SECURITE GASMAN II MANUEL D UTILISATION SOMMAIRE 1. INTRODUCTION ---------------------------------------------------------------------------------- P 2 2. CARACTERISTIQUES DE L APPAREIL----------------------------------------------------
Plus en détailLe contexte énergétique mondial et européen
Chapitre 2 Le contexte énergétique mondial et européen Synthèse Au niveau mondial, la demande énergétique est tendanciellement en forte croissance. Sous l effet de la croissance démographique et de la
Plus en détailGESTION DES RISQUES DE CATASTROPHES ET DE PHÉNOMÈNES EXTRÊMES POUR LES BESOINS DE L ADAPTATION AU CHANGEMENT CLIMATIQUE
GESTION DES RISQUES DE CATASTROPHES ET DE PHÉNOMÈNES EXTRÊMES POUR LES BESOINS DE L ADAPTATION AU CHANGEMENT CLIMATIQUE RÉSUMÉ À L INTENTION DES DÉCIDEURS RAPPORT SPÉCIAL DU GROUPE D EXPERTS INTERGOUVERNEMENTAL
Plus en détailEBI 25- Système à radiofréquence POUR LA SURVEILLANCE SANS FIL DE LA TEMPÉRATURE, DE L HUMIDITÉ ET D AUTRES GRANDEURS PHYSIQUES
EBI 25- Système à radiofréquence POUR LA SURVEILLANCE SANS FIL DE LA TEMPÉRATURE, DE L HUMIDITÉ ET D AUTRES GRANDEURS PHYSIQUES Surveillance en temps réel de la température, de l humidité et d autres grandeurs
Plus en détailRetours d expériences: le suivi de bureaux. Christophe Schmauch Pierrick Nussbaumer CETE de l Est
Retours d expériences: le suivi de bureaux Christophe Schmauch Pierrick Nussbaumer CETE de l Est Sommaire 2 L opération étudiée Visite de chantier Instrumentation Explication des consommations Analyse
Plus en détailLA SOCIÉTÉ CANADIAN TIRE VIABILITÉ DE L ENTREPRISE EMPREINTE ÉCOLOGIQUE DE L ENTREPRISE ET DE LA CHAÎNE D APPROVISIONNEMENT 2007 (1)
Incorporées aux produits (2) LA SOCIÉTÉ CANADIAN TIRE VIABILITÉ DE L ENTREPRISE EMPREINTE ÉCOLOGIQUE DE L ENTREPRISE ET DE LA CHAÎNE D APPROVISIONNEMENT 2007 (1) TABLEAU 1 TOTAUX Émissions de gaz à effet
Plus en détailGrille de planification Expédition météo. Spécialiste de la cartographie Graffiti de ce que l équipe sait de la météorologie (10 minutes).
Grille de planification Expédition météo Spécialiste de l atmosphère Spécialiste des vents Spécialiste des nuages Spécialiste de la cartographie Graffiti de ce que l équipe sait de la météorologie (10
Plus en détailCO 2 (GtC/yr) Résumé à l'intention des décideurs
CO 2 (GtC/yr) Résumé à l'intention des décideurs Résumé à l intention des décideurs Scénarios d émissions Rapport spécial du Groupe de travail III du GIEC Publié pour le Groupe d experts intergouvernemental
Plus en détailProjet SENTINELLE Appel àprojets «CO 2»Déc. 2007
Projet SENTINELLE Appel àprojets «CO 2»Déc. 2007 Philippe de DONATO Université de Lorraine/CNRS Co-auteurs: C. PRINET, B. GARCIA, H. LUCAS, Z. POKRYSZKA, S. LAFORTUNE, P. FLAMANT, F. GIBERT, D. EDOUART,
Plus en détailJOURNEE DES COMMISSIONS TABLE RONDE
Association pour le Management des Risques et des Assurances de l Entreprise JOURNEE DES COMMISSIONS TABLE RONDE «LES EVENEMENTS NATURELS» AMRAE JOURNEE DES COMMISSIONS- 20/05/2011 Partie 1 : Evénements
Plus en détailPrésentation. Intervenant EURISTIC. Jean-Louis BAUDRAND Directeur associé
Atelier ORAS Pilotage des rémunérations variables Groupe RH&M Le volet informatisation Jean-Louis BAUDRAND Directeur associé EURISTIC 4 février 2010 Présentation Intervenant EURISTIC Jean-Louis BAUDRAND
Plus en détailAQUACIAT2 HYBRID LA SOLUTION BI-ÉNERGIES COMPACTE PAC & CHAUDIÈRE GAZ. Puissances frigorifiques et calorifiques de 45 à 80 kw
COMMERCIALISATION 2 ÈME TRIMESTRE 2014 C O N F O R T Q U A L I T É D A I R O P T I M I S A T I O N É N E R G É T I Q U E PAC & CHAUDIÈRE GAZ AQUACIAT2 HYBRID Puissances frigorifiques et calorifiques de
Plus en détailDu changement climatique et des boules de cristal :
Du changement climatique et des boules de cristal : les futures conséquences du changement climatique en Afrique Joshua W. Busby, PhD* Jay Gulledge, PhD Todd G. Smith, JD Kaiba White Le changement climatique
Plus en détailComment le réchauffement de la planète va-t-il modifier notre milieu? Guide simplifié de Changements Climatiques 2001 : impacts, adaptation et
Comment le réchauffement de la planète va-t-il modifier notre milieu? Guide simplifié de Changements Climatiques 2001 : impacts, adaptation et vulnérabilité du GIEC Publié par le Programme des Nations
Plus en détailRessources minérales et Hydrocarbures. Hedi SELLAMI Centre de Géosciences MINES ParisTech
Ressources minérales et Hydrocarbures Hedi SELLAMI Centre de Géosciences MINES ParisTech Colloque IMT «Ressources naturelles & Environnement», 5 et 6 novembre 2014 Les minéraux d intérêt économique Minéraux
Plus en détailProfils verticaux de la couverture nuageuse, de ses propriétés et des aérosols: données du lidar CALIOP et du radar CLOUDSAT (DARDAR) de 2006 à 2012
T1.3 (Tropics) Diurnal cycle of cloud cover in the tropical regions: combined use of geostationary satellite, A-Train measurements and lidar/radar ground station measurements. Coordination : G. Sèze (LMD)
Plus en détailCartographie des Hotspots Démographiques et du Changement Climatique: Pérou
Pérou - Besoin de planification familiale non satisfait, 2011 Au Pérou, six pour cent des femmes mariées ont un besoin non satisfait de planification familiale. A l intérieur du pays ces taux varient suivant
Plus en détailREDD-plus. Champ d application et des options pour le rôle des forêts dans les stratégies d atténuation des changements climatiques.
REDD-plus Champ d application et des options pour le rôle des forêts dans les stratégies d atténuation des changements climatiques novembre 2009 Programme de Conservation des Forêts Le mécanisme REDD-plus
Plus en détailLE FIRE SAFETY ENGINEERING VU PAR LES SRI
LE FIRE SAFETY ENGINEERING VU PAR LES SRI JOURNEE DU 21.10.2008 Partie 1 : Actions thermiques 1/ 51 REPARTITION DES SRI EN BELGIQUE. SERVICES X SERVICES Y SERVICES Z SERVICES C Bruxelles. Wavre. Braine-Le-
Plus en détailQuestions à se poser lors de la signature d un contrat d exploitation de chauffage
Questions à se poser lors de la signature d un contrat d exploitation de chauffage Le contrat d exploitation de chauffage en copropriété La lecture d un contrat d exploitation de chauffage reste un exercice
Plus en détailLes stations météo Vantage Pro2.
Les stations météo Vantage Pro2. La précision et la grande variété des mesures à un prix abordable par tous. Nos stations météo Vantage Pro sont de très bonne qualité, polyvalentes et évolutives. Elles
Plus en détailLa fonte des glaces fait-elle monter le niveau de la mer?
La fonte des glaces fait-elle monter le niveau de la mer? L effet de la fonte des glaces sur la variation du niveau de la mer est parfois source d erreur et de confusion. Certains prétendent qu elle est
Plus en détailIAQ-CALC INSTRUMENT DE MESURE DE LA QUALITÉ DE L AIR INTÉRIEUR MODÈLE 7545
IAQ-CALC INSTRUMENT DE MESURE DE LA QUALITÉ DE L AIR INTÉRIEUR MODÈLE 7545 MANUEL D UTILISATION ET DE FONCTIONNEMENT P/N 6001132, REV. E 2014 Copyright TSI Incorporated / 2007-2014 / Tous droits réservés.
Plus en détailProjet ClimSec. Impact du changement climatique en France sur la sécheresse et l eau du sol
Projet ClimSec Impact du changement climatique en France sur la sécheresse et l eau du sol Rapport final du projet Mai 2011 Réalisé par la Direction de la Climatologie de Météo-France (1) En partenariat
Plus en détailLivre Blanc Oracle Mars 2013. Le guide ultime de la réussite d un Bureau des Projets (PMO) orienté business
Livre Blanc Oracle Mars 2013 Le guide ultime de la réussite d un Bureau des Projets (PMO) orienté business Introduction 1 Qu est-ce qu un PMO orienté business? 2 Les six facteurs clés de succès de l alignement
Plus en détailVITICULTURE 2012 V 12 / PACA 02 STRATEGIE D APPLICATION DU CUIVRE EN VITICULTURE
VITICULTURE 212 V 12 / PACA 2 STRATEGIE D APPLICATION DU CUIVRE EN VITICULTURE Silvère DEVEZE Chambre d Agriculture de Vaucluse 1- Identification de l action a. Responsables techniques et partenaires :
Plus en détailI mmobili er Métr o p o l e Réu n ion & Int erna t ional
I mmobili er Métr o p o l e Réu n ion & Int erna t ional Ges tion de P atrim oine ı D é fi s c alis ation CARTE DE TRANSACTION NUMÉRO 395 DÉLIVRÉE PAR LA PRÉFECTURE DE LA RÉUNION ORIAS 07008373 SIRET 418
Plus en détailQuestionnaire Lycée SALLE DES EAUX DU MONDE
Questionnaire Lycée Ce musée vous offre une approche de l Eau dans toute sa grandeur. A vous de faire connaissance avec cet élément naturel. 1) Origine de l eau SALLE DES EAUX DU MONDE Vous vous aiderez
Plus en détailPISO Plan Intempéries Sud Ouest
PREFECTURE DE LA ZONE DE DEFENSE ET DE SECURITE SUD OUEST PISO Plan Intempéries Sud Ouest Bilan zonal de l'hiver 2014 2015 Juin 2015 Le présent document établit le bilan zonal de mise en œuvre du Plan
Plus en détailpar Maxime Lalonde-Filion
ANALYSE DES IMPACTS ÉNERGÉTIQUES ET ENVIRONNEMENTAUX ASSOCIÉS À L'IMPLANTATION MASSIVE DES VÉHICULES HYBRIDES ÉLECTRIQUES RECHARGÉS PAR LE RÉSEAU (PLUG-IN HYBRID ELECTRIC VEHICLE : PHEV) AUX ÉTATS-UNIS
Plus en détailM. F. PITA Departamento de Geografía Física. Universidad de Sevilla. C/ María de Padilla s.n. 41.002-SEVILLA (Espagne). mfpita@cica.
Un nouvel indice de sécheresse pour les domaines méditerranéens. Application au bassin du Guadalquivir (sudo-uest de l Espagne). En: Un nouvel indice de sécheresse pour les domaines méditerranéens. Application
Plus en détailQue nous enseigne la base de données PAE?
Que nous enseigne la base de données PAE? Séminaire auditeurs PAE 8 juin 2009 Nicolas Heijmans, ir Division Energie et Climat CSTC - Centre Scientifique et Technique de la Construction 00/00/2006 Contenu
Plus en détailLa relève de chaudière, une solution intermédiaire économique et fiable.
111 39 240 1812 906 La relève de chaudière, une solution intermédiaire économique et fiable. La relève de chaudière, qu est ce que c est? On parle de relève de chaudière lorsqu on installe une pompe à
Plus en détailPROPOSITION TECHNIQUE ET FINANCIERE
Avenue des Etangs Narbonne, F-11100, France Votre correspondant : Romain CRESSON INRA Transfert Environnement Avenue des Etangs Narbonne, F-11100, France Tel: +33 (0)4 68 46 64 32 Fax: +33 (0)4 68 42 51
Plus en détailDalle Activ Kerkstoel Activation du noyau de béton
Dalle Activ Kerkstoel Activation du noyau de béton Basé sur l expérience, piloté par l innovation L activation du noyau de béton : un système bien conçu, économe et durable. Construire selon ce principe,
Plus en détailLES CHAUFFERIES COLLECTIVES AU BOIS : QUELS POINTS DE VIGILANCE?
LES CHAUFFERIES COLLECTIVES AU BOIS : QUELS POINTS DE VIGILANCE? Jean-Pierre SAWERYSYN 1 Matthieu OGET 2 Corinne SCHADKOWSKI 3 Judith TRIQUET 3 1 Professeur honoraire de l Université de Lille I, vice-président
Plus en détail2. L offre et la demande d énergie: tendances et perspectives
5 2. L offre et la demande d énergie: tendances et perspectives La demande d énergie devrait s accroître considérablement dans les années à venir à cause de l augmentation de la population et du développement
Plus en détailL importance du suivi du dioxyde de carbone (CO 2. ) dans la production de dindes
FICHE D INFORMATION L importance du suivi du dioxyde de carbone (CO 2 ) dans la production de dindes info.hybrid@hendrix-genetics.com www.hybridturkeys.com Dans la production de dindes, la performance
Plus en détailRéseau de chaleur Cantagrelh. Commune d Onet-le-Château
Réseau de chaleur Cantagrelh Commune d Onet-le-Château Maître d ouvrage : Mairie d Onet-le-château 12, rue des Coquelicots BP 5-12850 Onet le Château Télécopie : 05 65 78 00 91 - www.onet-le-chateau.fr
Plus en détailMIVISU VIABILITÉ HIVERNALE
FICHE APPLICATION MIVISU VIABILITÉ HIVERNALE Fiche ref :zz_fa_viabilite_01a Publiée le :09/09/09 Domaine Routier 1 Table des Matières 1Objet du document...3 2Présentation générale de l'application Viabilité...4
Plus en détailObjectifs présentés. Discussion générale
Risque de feux et productivité forestière, de part et d autre de la limite nordique d attribution des forêts dans un contexte de changements climatiques Sylvie Gauthier Collaborateur : Yves Bergeron, Martin
Plus en détailNote de méthodologie des indicateurs sociaux
2014 MÉTHODOLOGIE NOTE DE MÉTHODOLOGIE DES INDICATEURS SOCIAUX MÉTHODOLOGIE Note de méthodologie des indicateurs sociaux Les données 2012 ont été recalculées sans la branche Environnement à des fins de
Plus en détailCondition Monitoring pour une gestion efficace du coût de possession.
Condition Monitoring pour une gestion efficace du coût de possession. HYDAC Allemagne HYDAC Chine HYDAC Danemark Le partenaire compétent pour le Condition Monitoring. Avec plus de 4.000 collaborateurs
Plus en détailDeuxième rapport national du Canada. climatiques
Deuxième rapport national du Canada sur les changements climatiques Mesures prises en vertu de la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques 1997 Mise à jour novembre 1997 DEUXIÈME
Plus en détailSERIE 1 Statistique descriptive - Graphiques
Exercices de math ECG J.P. 2 ème A & B SERIE Statistique descriptive - Graphiques Collecte de l'information, dépouillement de l'information et vocabulaire La collecte de l information peut être : directe:
Plus en détail