Le changement climatique et ses conséquences économiques et sociales : la transition énergétique
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- Angèline Boisvert
- il y a 8 ans
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1 Synthèse de la conférence du 20 juin Le changement climatique et ses conséquences économiques et sociales : la transition énergétique Le Cercle du développement durable poursuit, avec sa 10 e édition, son cycle de réflexion consacré tout au long de l année 2013 aux enjeux du changement climatique. Après avoir dressé, avec Luc Ferry et Philippe Desfossés, un premier état des lieux du débat sur les responsabilités du changement climatique (avril 2013), une deuxième conférence débat explore les enjeux de la transition énergétique. En novembre 2013, les conséquences écologiques du réchauffement seront abordées. L énergie, moteur et condition du développement, entre dans une ère nouvelle. Non seulement l offre abondante et bon marché, fondée sur l exploitation sans réelle limite des ressources fossiles, est bel et bien terminée, mais cette nouvelle frontière de rareté s accompagne désormais d un impératif climatique. Car les modes actuels de production d énergie accentuent le réchauffement. Une transition - énergétique, sociétale ou même géopolitique - s impose à l Humanité. Mais elle se heurte à des obstacles, notamment avec la question cruciale des financements et des habitudes culturelles. Pourtant, 2013 pourrait bien marquer un virage. Initié par BNP Paribas Investment Partners, le Cercle du développement durable, animé par Erik Orsenna, confirme sa vocation de lieu d échange et de réflexion sur les enjeux de long terme. Ouvert à tous investisseurs, experts ou gestionnaires soucieux de l avenir de l Humanité, il leur offre un lieu unique de réflexion pour anticiper et cerner les bonnes décisions.
2 Le changement climatique et ses conséquences économiques et sociales I Juin 2013 I 2 La transition énergétique «L énergie constitue le «cœur du réacteur» de la croissance économique», affirme l académicien Erik Orsenna. Pourtant, cette clé de voute du développement, fondée sur l abondance et les prix bon marché des énergies fossiles, se heurte désormais à l épreuve du réchauffement climatique. Enrichie en ce début du 21 e siècle des inconnues du changement climatique, l équation de la croissance économique s est complexifiée. Et déséquilibrée. Au point de devenir, à bien des égards, insoluble. A moins de s y attaquer avec méthode et volontarisme politique. - Face aux enjeux du réchauffement climatique Les faits sont connus : progression de 0,8 c des températures depuis le début du 20 e siècle, hausse de 20 centimètres du niveau des mers, concentration de gaz carbonique dans l atmosphère à un niveau sans précédent depuis ans, c est-à-dire depuis le début de l Humanité. Même si le plateau observé dans la hausse des températures moyennes depuis le début des années 2000 a ouvert la porte à bien des débats entre climato-sceptiques et réchauffistes, le poids de l énergie dans les émissions de gaz à effet de serre n est contesté par personne. «L énergie représente deux tiers des émissions de gaz à effet de serre», explique Laura Cozzi, chef des études à l Agence internationale de l énergie (AIE). Avec une contribution croissante. Les émissions de CO 2 du secteur énergétique ont augmenté en 2012 pour atteindre un niveau record de 21,6 milliards de tonnes (GT). Des émissions tirées à la hausse par le Japon, le Moyen Orient, l Inde et l Union européenne! Cruel paradoxe pour une Union européenne qui s est pourtant dotée d une politique volontariste de maîtrise et de réduction des émissions. L explication est implacable. Sur les marchés mondiaux de l énergie, c est en effet une révolution qui se produit depuis cinq ans. «Aux Etats-Unis, le recours au gaz de schiste bouleverse la donne», explique la scientifique. «Le prix de revient du gaz aux Etats-Unis, à tout juste 2 dollars le MBTU est désormais cinq à six fois plus faible qu en Europe». En conséquence, les Etats-Unis ont fortement réduit leur consommation de charbon au profit du gaz. A la clé, une réduction spectaculaire de leurs émissions de gaz à effet de serre. Avec un effet de dominos. Ce charbon américain, dont les prix sont en chute libre, est massivement exporté vers l Europe pour y être brûlé dans les centrales à charbon, notamment en Allemagne. Car l effondrement des prix de la tonne de CO 2 a redonné à cette énergie pourtant sale un avantage compétitif. «Seul un prix de la tonne de CO 2 de 50, contre moins de 5 actuellement, rendrait le gaz de nouveau compétitif face au charbon», constate Laura Cozzi.
3 - l urgence d une transition énergétique Vigie attentive des tendances mondiales de l énergie, l Agence Internationale de l énergie (AIE) s alarme des conséquences du réchauffement climatique. Selon elle, le monde se sera pas en mesure d atteindre l objectif fixé de limiter à deux degrés celsius la hausse à long terme de la température mondiale. Pis, «si la tendance actuelle se poursuit, les températures devraient augmenter de 5 c d ici à 2100», s alarme Laura Cozzi. Une situation intenable. Ainsi, à partir de 2035, Paris connaitrait chaque été des températures dignes de la canicule de Un cauchemar pour les populations mais aussi un casse-tête pour les producteurs électriques tant les infrastructures françaises sont aujourd hui inadaptées face à une telle situation. Un constat dramatique déclinable partout dans le monde. Ainsi, la multiplication des tempêtes dans les zones productrices de pétrole viendrait bouleverser les circuits d approvisionnement. Ce scénario du pire a poussé l AIE à se placer au cœur du débat afin d inciter les autorités politiques à reprendre la main sur des enjeux occultés par la crise économique. Elle plaide pour une accélération de la transition énergétique. «La crise actuelle n est pas seulement une crise financière mais aussi une crise de la soutenabilité», acquiesce Philipe Desfossés, à la tête de l Erafp, selon lequel «la crise financière est aussi une manifestation de l exercice, trop longtemps répété et non soutenable, de droits de tirage sur l environnement et la planète». Face à ce constat, l AIE a décidé de se jeter dans la mêlée et d avancer des propositions. Dans un rapport sur les conséquences de la révolution climatique, intitulé «Redrawing the energy-climate map» 1 et dévoilé à la fin du printemps 2013, elle y dresse une feuille de route. Son objectif? Permettre au monde de gagner du temps afin de garder ouverte d ici 2020 la trajectoire d une hausse des températures limitée à +2 c jusqu à la fin du siècle. Réalistes, ces propositions permettraient de réduire de 3,1 gigatonnes équivalent CO 2 les émissions de gaz à effet de serre en 2020, soit 80 % de la baisse nécessaire. 1 Redessiner la carte énergie-climat weowebsite/2013/energyclimatemap/redrawingenergyclimatemap.pdf
4 Le changement climatique et ses conséquences économiques et sociales I Juin 2013 I 4 - Quatre propositions pour gagner du temps Dans sa feuille de route, l agence prend soin de s inscrire dans une logique de croissance, écartant toute tentation malthusienne de décroissance. Elle s appuie sur des technologies et politiques existantes. «Enfin, les propositions adoptées devront veiller à proposer un autre avantage que la seule réduction des gaz à effet de serre», complète Laura Cozzi, citant en exemple la réduction de la pollution en ville ou l accès à l énergie à de populations qui en sont privées. Quatre propositions de politiques énergétiques sont avancées. Une première piste suggère l adoption de mesures spécifiques en faveur de l efficacité énergétique. A elle seule, l efficacité énergétique représente 49 % des réductions d émissions visées. «Chine et Etats-Unis sont devenus les deux premiers investisseurs mondiaux en la matière», constate Laura Cozzi (AIE) qui y voit un signal de maturité. «Des sociétés françaises comme Schneider Electric ou Legrand offrent dès aujourd hui des solutions remarquables de maîtrise et d économie de l énergie», se félicite Jacky Prudhomme, co-responsable de la recherche ISR chez BNP Paribas AM. Lors des pics de consommation, Schneider est ainsi capable, grâce aux accords commerciaux conclus avec des industriels clients, «d effacer quasiment un réacteur nucléaire». Alstom et Siemens développent des offres équivalentes d effacement de consommation chez les gros industriels. Une deuxième politique vise à la limitation de la construction et de l utilisation des centrales à charbon les moins efficaces. A la clé, 640 millions de tonnes de CO 2 épargnées, soit 21 % des rejets. Le recours croissant aux énergies renouvelables, qui passeraient de 20 % à 27 % du mix énergétique mondial en 2020, est indispensable. Tout comme la plus grande prudence des financeurs, invités à davantage de responsabilité face au charbon. «BNP Paribas AM a adopté une politique sectorielle pour mieux encadrer ses investissements», explique Jacky Prudhomme. Les compagnies aux plus mauvaises performances énergétiques, notamment celles dont le parc de production de centrales à charbon est vieillissant, avec une efficacité énergétique catastrophique ont ainsi été exclues du champ d investissement. Une troisième piste porte sur la diminution des émissions de méthane, un puissant gaz à effet de serre, dans la production gazière et pétrolière. De quoi contribuer à 18 % des réductions d émissions. Dans le même ordre d idée, les discussions sino-américaines sur les hydrofluorocarbures (HFC), au pouvoir de réchauffement 2800 fois plus élevé que le CO 2, sont encourageantes. «Leurs limitations représenteraient à elles seules deux années d émission épargnées», calcule Philippe Desfossés, le directeur de l Erafp. De fait, certaines compagnies se sont déjà engagées vers des solutions et des approches plus responsables pour réduire leur empreinte carbone. L exemple du traitement torchage, qui représente jusqu à un quart des émissions de CO 2 d un pétrolier classique, est significatif. «Dans le cadre de la revalorisation de son gaz de torchère, le pétrolier italien ENI fournit désormais 60 % à 80 % de l électricité produite au Congo et 20 % de l énergie au Nigeria», raconte Jacky Prudhomme. Enfin, quatrième proposition, l AIE plaide pour une accélération de la réduction partielle des subventions à la consommation des combustibles fossiles. De quoi aboutir à 12 % des réductions visées, soit quelque 360 millions de tonnes. Sans surprise, les pays qui subventionnent les plus sont les pays producteurs du Moyen Orient et la Russie, mais aussi, plus curieusement, des pays importateurs comme la Chine ou l Inde. «En 2011, on a brulé 523 milliards de dollars sous forme de subventions accordées aux combustibles fossiles», calcule Laura Cozzi. Soit près de six fois les aides accordées aux énergies renouvelables. Une situation absurde qui entraine un immense gaspillage. 16 % des émissions mondiales de CO 2 bénéficient ainsi d une subvention de 110 dollars par tonne quand seules 8 % des émissions mondiales sont soumises à un prix du carbone Pour convaincre, l Agence mène un marathon diplomatique auprès des plus grands émetteurs de CO 2 pour les pousser à agir. Au-delà des cinq premiers pays ou zones émettrices Union européenne, USA, Chine, Inde et Russie contribuent à eux seuls à 60 % des émissions de CO 2 -, les experts de l AIE rencontrent les dirigeants d autres pays aux économies matures (Canada, Corée du sud, Japon et Australie) ou émergentes (Indonésie, Afrique du sud, Brésil, Mexique). En ligne de mire, la préparation de la conférence internationale sur le climat qui se tiendra à Paris en Huit ans après l échec de Copenhague, l Europe aura de nouveau l occasion d incarner le sursaut mondial face au péril climatique.
5 Le changement climatique et ses conséquences économiques et sociales I Juin 2013 I 5 - Le rôle des investisseurs face à la transition énergétique L AIE formule ainsi l espoir qu une fois la crise économique surmontée, d autres mesures ultérieures, plus ambitieuses, pourront être adoptées. Pour cela, toutes les parties prenantes, publiques ou privées, doivent se mobiliser. «L Etat doit être un pourvoyeur de stabilité et non facteur d instabilité», invite Erik Orsenna, tout en insistant sur le rôle des investisseurs à peser dans le débat et influencer l adoption de bonnes pratiques. Un constat partagé par Philippe Desfossés. «La mission de l investisseur de long terme face au défi climatique tient en trois mots : paradoxe, difficulté et exigence. Il existe un paradoxe dans la différence de traitement avec la place immense accordée à la question de la dette financière dans nos sociétés et, à l inverse, au peu d importance reconnue à la dette carbone de nos économies, cette créance que l on tire sur la planète». Au risque de provoquer, il souligne la différence entre «une dette financière qui peut-être réglée à coups d écritures comptables avec des gagnants et des perdants et une dette carbone qui, en l état, ne peut être réglée et ne connaitra que des perdants». Mais s attaquer à ce paradoxe se heurte à bien des difficultés, à commencer par la dépendance persistante au pétrole. «Malgré les progrès en matière d efficacité énergétique, les volumes de consommation continuent de progresser au gré du développement des économies émergentes et de l alignement des modes de vie et de consommation», reconnaît-il. «Au-delà du prix du carbone, il est important d offrir aux agents économiques un cap, en leur donnant la capacité d apprécier le prix réel de l énergie». Dès lors, l investissement de long terme exige du pragmatisme et de l humilité. Ce qui a conduit l Erafp à adopter une approche sélective de best-in-class. «Nous aurons besoin d énergie fossile pendant encore pas mal de temps». Donc pas question d exclusion a priori. Si sa démarche d investisseur responsable se veut pragmatique, elle s inscrit sous un impératif de lucidité. En effet, si les préconisations de l AIE sont mises en œuvre, l impact sera considérable sur le secteur de l énergie. 50 % à 65 % des réserves prouvées de gaz, pétrole et charbon ne seront pas commercialisées d ici à Une véritable déflagration boursière pour les majors et des conséquences en cascade pour la filière. En effet, les 700 milliards de dollars d investissement attendus dans les nouvelles infrastructures sont appelés à être réduits. Et les groupes qui passeraient outre s exposeraient à des sévères risques de dépréciations d actifs. «Plus de la moitié de la production et des réserves de Shell sont aujourd hui gazières, contre seulement 37 % à 38 % des réserves pour BP. Or, le gaz a souvent été privilégié par les investisseurs ISR car il est moins intensif en CO 2 que le pétrole», poursuit Jacky Prudhomme. Lucides mais optimistes, les participants au débat estiment que la transition énergétique s inscrit bien au-delà de Ils dressent d ores et déjà quelques pistes pour aller plus loin comme le développement des «smart grids», la mise en œuvre d un véritable marché mondial d échange des quotas de CO 2 ou davantage d efforts de recherche pour la capture et la séquestration de CO 2. Avec un constant souci de prudence. En matière d investissement, «le risque n est pas ce que vous ignorez, mais ce dont vous êtes sûrs», plaide Philippe Desfossés : «l investisseur doit reste humble car les filières gagnantes restent incertaines. Le cimetière des technologies mortes est bien rempli». Souvent présentées comme une solution, la capture et la séquestration du CO 2 n a pas encore démontré sa propre durabilité. Les avis sont partagés. «Techniquement, on sait le faire», confirme Jacky Prudhomme. «Le pétrolier norvégien Statoil le pratique depuis 20 ans». Mais les obstacles sont nombreux à commencer par l acceptabilité sociale ou le coût de la méthode. «Or, le prix de revient d un tonne stockée revient entre 60 et 100 la tonne pour les projet en France», calcule Jacky Prudhomme. Dès lors, les financements restent difficiles et complexes. «Sur 8 grands projets européens envisagés, aucun n est à ce jour financé». Un constat mitigé partagé par Laura Cozzi : «Tous les projets existants en la matière dans le monde ne permettent de capturer et de stocker que 0,01 % des émissions des GES du secteur électrique mondial».
6 Le changement climatique et ses conséquences économiques et sociales I Juin 2013 I 6 Erik Orsenna Après des études de philosophie, de sciences politiques et d économie (Paris & London School of Economics), il devient chercheur et enseignant en finance internationale et en économie du développement. Il rejoint le cabinet du ministre de la coopération (1981) avant de devenir le conseiller culturel du Président François Mitterrand en Il est nommé au Conseil d état parallèlement à cette carrière administrative. Erik Orsenna a écrit de nombreux romans dont «L exposition coloniale» (Prix Goncourt 1988) et des essais sur la mondialisation, dont «L avenir de l eau» (2009). élu à l académie française en 1998, au fauteuil de Jacques-Yves Cousteau. BIOGRAPHIES Jacky Prudhomme Jacky Prudhomme a rejoint BNP Paribas Asset Management en En tant que Co-responsable de la Recherche ISR, il est en charge des méthodologies d évaluation extra-financière «Best in Class» et de la coordination de l équipe d analystes. Il couvre aussi les secteurs des techno, médias et télécoms. Auparavant, il a travaillé au Luxembourg pour Arcelor (leader mondial de l acier) en tant que responsable du développement durable et responsable des relations avec les investisseurs socialement responsables de 2002 à De 1997 à 2002, Jacky a participé à la création de la première agence de notation extra financière française, ARESE (devenue depuis Vigeo), où il a occupé les fonctions de responsable du pôle d analyse Valeurs Industrielles ainsi que des relations internationales. Jacky est titulaire d une maîtrise de sciences économiques- finance (1995) et d un DESS d économie & politique de l énergie de l Université de Paris X (1996).
7 Le changement climatique et ses conséquences économiques et sociales I Juin 2013 I 7 Laura Cozzi Laura Cozzi est responsable du travail analytique au sein de la Direction d Economie de l Energie Globale à l Agence Internationale de l Energie (AIE). Elle est l un des auteurs principaux de l ouvrage de référence pour le secteur énergétique, le World Energy Outlook, dont elle coordonne l élaboration. Elle est notamment en charge des projections énergétiques à long terme, des travaux liés à l efficacité énergétique et de l analyse des politiques de lutte contre le changement climatique. Avant de rejoindre l AIE en 1999, Laura Cozzi a travaillé en tant qu analyste dans la compagnie pétrolière italienne Eni. Philippe Desfossés Par arrêté paru au Journal officiel du 11 juin 2008, Philippe Desfossés est nommé directeur de l Etablissement de retraite additionnelle de la fonction publique (ERAFP). Diplômé de l IEP de Paris et licencié en droit, Philippe Desfossés est ancien élève de l ENA (promotion Léonard de Vinci). En juin 1985, il rejoint la direction du Trésor où il est Adjoint au chef du bureau financement des entreprises puis du bureau Afrique sub-saharienne, Océan- Indien, Caraïbes. En 1989, il est nommé expert pour les questions de dette et les transferts financiers auprès du conseiller financier de la mission française auprès de l ONU. Les deux années suivantes, il est attaché financier à New York en charge du suivi des marchés financiers nord américains. En janvier 1992, il prend la direction du bureau assurances de la direction du Trésor. De 1995 à 1997, en qualité de conseiller au cabinet de M. Jacques Barrot, ministre du Travail et des Affaires sociales, il est responsable des dossiers retraite, dépendance, famille, et des relations avec les mutuelles, les institutions de prévoyance et les assurances. Parallèlement, il est conseiller technique au cabinet de M. Hervé Gaymard, secrétaire d État à la Santé et à la Sécurité sociale. En janvier 1998, il rejoint le Groupe AXA. Après trois ans passés à l Audit Central du Groupe comme directeur, il dirige International Finance Futures ( ) puis la Compagnie Financière de Paris ( ). De 2006 à 2008, il est responsable au sein du Comité exécutif de Lilly France du secteur Corporate Affairs et Business Development. Depuis 2011, Philippe Desfossés est administrateur, représentant de l ERAFP, de l Association française des investisseurs institutionnels (AF2I).
8 14, rue Bergère Paris - France Le présent document a été rédigé et est publié par BNP Paribas Asset Management S.A.S. (BNPP AM)*, un membre de BNP Paribas Investment Partners (BNPP IP)**. Ce contenu vous est communiqué à titre purement informatif et ne constitue: 1. ni une offre de vente, ni une sollicitation d achat, et ne doit en aucun cas servir de base ou être pris en compte pour quelque contrat ou engagement que ce soit ; 2. ni un conseil d investissement. Les opinions exprimées dans le présent document constituent le jugement de BNPP AM au moment indiqué et sont susceptibles d être modifiées sans préavis. BNPP AM n est nullement obligé de les tenir à jour ou de les modifier. Il est recommandé aux investisseurs de consulter leurs propres conseillers juridiques et fiscaux en fonction des considérations légales, fiscales, domiciliaires et comptables qui leur sont applicables avant d investir dans les Instruments financiers afin de déterminer eux-mêmes l adéquation et les conséquences de leur investissement, pour autant que ceux-ci soient autorisés. À noter que différents types d investissements, mentionnés le cas échéant dans le présent document, impliquent des degrés de risque variables et qu aucune garantie ne peut être donnée quant à l adéquation, la pertinence ou la rentabilité d un investissement spécifique pour le portefeuille d un client ou futur client. Compte tenu des risques économiques et de marché, aucune garantie ne peut être donnée quant à la réalisation par les Instruments financiers de leurs objectifs d investissement. Les performances peuvent varier notamment en fonction des objectifs ou des stratégies d investissement des Instruments financiers et des conditions économiques et de marché importantes, notamment les taux d intérêt. Les différentes stratégies appliquées aux Instruments financiers peuvent avoir un impact significatif sur les résultats présentés dans ce document. Les performances passées ne préjugent pas des performances à venir et la valeur des investissements dans les Instruments financiers est susceptible par nature de varier à la hausse comme à la baisse. Il se peut que les investisseurs ne récupèrent pas leur investissement initial. Les données de performance, éventuellement présentées dans ce document, ne prennent en compte ni les commissions et frais contractés à l émission ou au rachat de parts ni les taxes. * BNPP AM est une société de gestion de portefeuille agréée par l Autorité des Marchés Financiers en France (numéro d enregistrement 96-02), constituée sous forme de société par actions simplifiées, au capital de euros, ayant son siège social au 1, boulevard Haussmann Paris, France, RCS Paris ** «BNP Paribas Investment Partners» est la marque globale des services de gestion d actifs du groupe BNP Paribas. Les entités de gestion d actifs faisant partie de BNP Paribas Investment Partners et éventuellement citées dans le présent document le sont uniquement à titre d information et n exercent pas nécessairement d activités dans votre pays. Pour tout complément d information, veuillez contacter votre Partenaire local agréé. Juillet Graphisme : Studio BNPP IP - P
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