Structure électronique des atomes
|
|
- Isaac Delorme
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 I. Description énergétique de l'atome I.1. Niveaux d'énergie quantifiés Chimie chapitre 9 Structure électronique des atomes Nous avons décrit le spectre de raies de l'atome d'hydrogène et nous en avons déduit que seules certaines valeurs de l'énergie sont possibles pour cet atome. L'énergie d'un atome est égale à la somme des énergies de toutes les particules qui le constituent. Dans l'hypothèse d'un noyau immobile, c'est la somme des énergies de tous les électrons de l'atome. Pour l'hydrogène, un seul électron, les énergies possibles - ou valeurs propres de l'énergie - ou encore niveaux d'énergie - se déduisent les unes des autres par la relation E n = - E 0 n 2 l'électron et celle de l'atome. qui est à la fois l'énergie de E 0 = 13,6 ev est l'énergie nécessaire pour éloigner infiniment l'électron du noyau : donc c'est l'énergie d'ionisation de l'atome d'hydrogène, l'énergie du système {ion H + + e à l'infini} étant nulle par convention. n est un nombre entier positif appelé nombre quantique principal. On a pu ainsi construire le diagramme d'énergie de l'atome d'hydrogène. Le niveau n = 1 correspondant à l'énergie minimale possible pour l'hydrogène est appelé "niveau fondamental". Pour un atome autre que l'hydrogène, l'observation de spectres de raies permet d'affirmer que pour tout atome seuls quelques niveaux d'énergie sont permis, mais il n'est pas possible d'interpréter le diagramme d'énergie expérimental en utilisant le même modèle (de Bohr) à un seul nombre quantique. Chacun des électrons de l'atome possède une énergie qui ne peut prendre que certaines valeurs - donc quantifiée - ce qui donne un grand nombre de combinaisons possibles pour l'atome. Nous nous limiterons à la description du niveau de plus basse énergie - ou état fondamental - des l'atomes à plusieurs électrons. C'est à dire à la description des états d'énergie des électrons qui donnent à l'atome son énergie totale la plus faible possible. Pour l'énergie de chacun des électrons, il convient de faire intervenir plusieurs nombres quantiques. I.2. Nombres quantiques Le nombre quantique principal n est un entier strictement positif. Le nombre quantique azimutal (ou secondaire) noté l est un entier positif ou nul ; l (0,, n - 1) soit n valeurs possibles pour l. 6h E Le nombre quantique magnétique noté m 6g l 6f est un nombre entier relatif : - l m l l, soit 2 6d 6p 5g l + 1 valeurs possibles pour m l. 6s 5f 5d I.3. Diagramme d'énergie 5p 5s L'énergie d'un électron d'atome 4d 4f polyélectronique dépend des valeurs de n et de 4p 4s l. Chacun des niveaux permis est nommé en 3d tenant compte des valeurs de n et de l. 3p On note d'abord la valeur de n puis on 3s attribue à chaque valeur de l une lettre la 2p tradition ayant consacré les notations s (sharp) 2s pour l = 0, p (principal) pour l = 1, d (diffuse) pour l = 2 et f (fondamental) pour l = 3. On a ainsi la suite des niveaux : 1s 2s 2p 3s 3p 3d 4s 4p 4d 4f 5s etc 1s MacXIair:MPSI:Chimie:C 09 Atomes:Cours 9 Structure électronique ds - 23 mars 2012 page 1 / 6
2 On appelle orbitale atomique un triplet de valeurs de {n, l, m l }. On la nomme par le nom du niveau auquel elle appartient en ajoutant, si nécessaire, des indices pour caractériser l'orientation dans l'espace (liée à m l ). I.4. Dégénérescence des niveaux d'énergie La description qui précède peut s'appliquer à tout atome y compris à ceux qui n'ont qu'un seul électron. Les valeurs propres de l'énergie d'un hydrogénoïde dépendent uniquement du nombre quantique principal n. Dès que n > 1, il existe plusieurs valeurs de l donc plusieurs valeurs de m l. Pour une valeur de n donnée, il existe n 2 états différents, mais de même énergie E n. En mécanique quantique, on dit qu'un niveau d'énergie est dégénéré quand il existe plusieurs niveaux correspondant à cette même valeur de l'énergie. On dit qu'un hydrogénoïde dans un état d'énergie E n est n 2 fois dégénéré. L'énergie d'un électron d'atome polyélectronique dépend des valeurs de n et de l. La dégénérescence des niveaux est (en partie) levée. II. Configuration électronique des atomes Décrire un atome sera donc pour nous donner la répartition de ses électrons sur les différents niveaux d'énergie permis lorsque l'énergie de l'atome est minimale : autrement dit donner la structure ou configuration électronique de l'atome dans son état fondamental. Dans cet état, chaque électron a l'énergie la plus faible possible. La question est donc de savoir : - d'abord est-ce que tous les électrons d'un même atome peuvent occuper le même niveau d'énergie? - sinon, combien d'électrons peuvent être décrits par les mêmes valeurs des nombres quantiques et sontils pour autant dans le même état? La réponse est le spin. II.1. Le spin II.1.1. Bosons et fermions La preuve expérimentale est donnée par diverses expériences dont l'effet Zeeman, la double raie des alcalins (jaune pour le sodium) et l'expérience de Stern et Gerlach. On observe des dédoublements dans le comportement d'atomes que rien jusqu'ici ne permet d'expliquer. Par exemple, certains atomes qui devraient être insensibles aux effets de champ magnétiques sont déviés, et l'on observe deux déviations symétriques. Cela a conduit à admettre qu'une particule possède un spin noté s qui est déterminé par la nature de la particule, tout comme elle possède une charge ou une masse. Les valeurs de s sont données dans le tableau suivant. s 0 particule noyau 4 He 1 2 électron, proton, neutron noyau 3 He 1 photon, noyau 2 H, noyau 14 N 3 2 noyau 11 B, noyau 39 K On appelle bosons les particules dont le spin est entier et fermions celles dont le spin est demi entier. Le nombre quantique magnétique de spin m s varie par saut de 1 unité entre - s et + s comme m l varie par saut de 1 unité entre - l et + l. II.1.2. Spin de l'électron et fonction d'onde, L'électron est un fermion, son spin est égal à 1 2 et son nombre quantique de spin m s ne peut prendre que deux valeurs (on dit deux fonctions propres de spin) 1 2 (souvent notée α) et (souvent notée β). Il faut donc quatre nombres quantiques pour décrire complètement l'électron : n, l, m l et m s. II.2. Principe d'exclusion de Pauli Un système de fermions comportant deux particules dans un même état ne peut pas exister. MacXIair:MPSI:Chimie:C 09 Atomes:Cours 9 Structure électronique ds - 23 mars 2012 page 2 / 6
3 Les électrons sont des fermions, il ne peut donc pas se trouver, dans le même système (atome, molécule, cristal ), deux électrons décrits par le même quadruplet de valeurs de n, l, m l et m s. D'où se déduit l'idée même de saturation des niveaux d'énergie et de configuration électronique : Si deux électrons d'un même atome ont la même fonction de spin, on dit que leurs spins sont parallèles, ils sont décrits par deux orbitales {n, l, m l } différentes (donc n'ont pas la même énergie). S'ils sont décrits par la même orbitale, ils ont des fonctions de spin différentes. Comme il n'existe que deux fonctions de spin pour un électron, il ne peut pas y avoir plus de deux électrons décrits par la même orbitale. On dit qu'ils sont appariés et leurs spins sont opposés ou antiparallèles. Deux électrons appareillés dans une même OA ont des énergies très proches qui ne se distinguent que dans certaines expériences. Pour "placer" les différents électrons d'un même atome dans son état fondamental, on remplit les différents niveaux possibles dans l'ordre des énergies croissantes en tenant compte de la règle de Pauli. II.3. Règles II.3.1. Règle de Klechkowski L'ordre d'énergie croissante est le même que celui de la somme n + l et, à égalité de valeur, celui des n croissant. Le plus simple, et plus utile, est de retenir la forme globale de la classification périodique qui donne la même information. Ainsi : l n = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = 10 II.3.2. Règle de Hund Quand un niveau d'énergie est dégénéré, et que le nombre d'électrons n'est pas suffisant pour saturer ce niveau, l'état de plus basse énergie est obtenu en utilisant le maximum d'orbitales, les spins non appariés étant parallèles. Autrement dit quand plusieurs OA(n, l, m l ) ont même énergie E(n, l), on place un électron dans chacune d'entre elles et on ne complète à deux électrons que lorsqu'il n'y a plus d'oa vide sur ce niveau. Un atome peut donc avoir plusieurs électrons célibataires de même spin. La vérification expérimentale de la règle de Hund est celle qui a permis d'introduire le spin. Quand il y a un ou des d'électrons célibataires dans un atome, une molécule ou un cristal, la somme des nombres quantiques de spin n'est pas nulle. Ceci confère à ce système des propriétés magnétiques particulières : il est dit paramagnétique, ce qui concrètement se traduit par le fait que dans un champ magnétique intense et non uniforme, il est attiré vers la zone de champ fort. Au contraire pour un système qui ne possède pas d'électrons célibataires, la somme des nombres quantiques de spin est nulle. Il est dit diamagnétique et il est repoussé par les zones de champ fort. II.4. Structure électronique de l'atome De ces 3 règles, on déduit la structure (ou configuration) électronique de l'atome dans son état fondamental c'est à dire son état de plus basse énergie. Les états d'énergie supérieure sont dits excités. E 3s 3p Etablir la configuration (ou structure) électronique d'un atome ou d'un ion monoatomique dans un état donné, consiste à indiquer la répartition, dans cet état, des électrons dans les différentes orbitales monoélectroniques. 2s 2p Cette répartition doit respecter le principe d'exclusion de Pauli, la règle de Hund et l'ordre de remplissage des niveaux (Klechkowski). 1s MacXIair:MPSI:Chimie:C 09 Atomes:Cours 9 Structure électronique ds - 23 mars 2012 page 3 / 6
4 Elle peut être traduite par une écriture du type 1s 2 2s 2 2p 6 3s 2 3p 2 ou par un diagramme énergétique comme ci-contre celui de l'atome de silicium avec ses 14 électrons. On remplit les niveaux dans l'ordre de la règle de Klechkowski, mais on les note dans l'ordre des n croissants. II.5. Représentation de Lewis II.5.1. Electrons de cœur et électrons de valence On appelle électrons de cœur, les électrons appartenant aux OA les plus basses en énergie. Les électrons de valence sont ceux dont le nombre quantique principal est le plus grand (parmi les niveaux occupés) ou qui appartiennent à des sous couches en cours de remplissage. Les électrons de valence sont les plus sensibles aux perturbations, donc ce sont eux qui participent aux liaisons avec d'autres atomes. D'où leur importance. Ce qui justifie l'écriture souvent simplifiée des configurations électroniques qui débute par le symbole du gaz rare précédent. Exemple Si : [Ne] 3s 2 3p 2. II.5.2. Représentation de Lewis Le noyau et le cœur sont représentés par le symbole de l'élément. Toute OA est représentée par un point si elle ne contient qu'un électron célibataire, par un tiret pour un doublet, par un rectangle vide si elle est inoccupée. Si l'ensemble porte une charge électrique (ions) la charge est notée entourée d'un cercle. II.6. Exceptions Lorsqu'un niveau est complet l'énergie de l'atome est plus faible. Ainsi le cuivre 29 Cu a la configuration : [Ar] 3d 10 4s 1 au lieu de la configuration [Ar] 3d 9 4s 2 qui respecte la règle de Klechkowski. Lorsque les spins sont parallèles l'énergie est plus faible que quand les électrons sont appariés. Ainsi le Chrome 24 Cr a la configuration : [Ar] 3d 5 4s 1 au lieu de la configuration [Ar] 3d 4 4s 2 qui respecte la règle de Klechkowski. On trouve d'autres exceptions qui correspondent à une stabilité particulière des atomes à niveaux complets ou à demi remplis. III. La classification périodique La classification périodique a été construite en se basant sur les propriétés chimiques des éléments. Mais on peut la lire à la lumière des structures électroniques des atomes dans leur état fondamental. III.1. Structure électronique et propriétés chimiques Les éléments rangés par masses croissantes sont également rangés par numéros atomiques (Z) croissants, donc par nombre de protons ou d'électrons croissants. Quand Z augmente d'une unité cela revient à placer un électron de plus dans le niveau disponible le plus bas en énergie. La première période ne compte que deux éléments : c'est exactement le nombre d'électrons que l'on peut mettre au maximum au niveau n = 1. De même huit éléments sur la seconde période et huit électrons au maximum sur le niveau n = 2 Chaque ligne débute par le remplissage du niveau ns et se termine par celui du niveau np. Tous les éléments d'une même ligne ont donc même configuration de cœur. Toutes les colonnes rassemblent les éléments ayant le même nombre d'électrons de valence (même structure de Lewis). Ils appartiennent à la même famille et ont les mêmes propriétés chimiques Ce sont les électrons de valence qui sont responsables des propriétés chimiques d'un élément. Un élément situé dans la colonne k a donc k électrons de valence. S'il est situé dans la ligne n je n'ai pas besoin de connaître son numéro atomique pour établir sa structure électronique. Exemple : L'élément situé dans la 4 ème ligne 7 ème colonne : Mn : tout est plein jusqu'en 3p puis qu'il est sur la 4 ème ligne. Puis il y a 7 électrons à placer entre 4s qui ne peut en avoir que 2 et 3d MacXIair:MPSI:Chimie:C 09 Atomes:Cours 9 Structure électronique ds - 23 mars 2012 page 4 / 6
5 Mn : 1s 2 2s 2 2p 6 3s 2 3p 6 3d 5 4s 2. De même connaissant la structure d'un élément j'en déduis sa position dans la classification périodique. III.2. Analyse par blocs Les blocs correspondent au remplissage des "sous niveaux" caractérisés par les valeurs de l. Ainsi le bloc s ne comporte que deux colonnes puisqu'il ne peut y avoir que deux électrons dans un niveau caractérisé par l = 0 (m l = 0), alors qu'il y en a six dans le bloc p (l = 1 m l = -1, 0 ou 1). On trouve également la règle de Klechkowski écrite dans la classification puisque le bloc d vient s'insérer entre les blocs s et p (à partir de n = 4), puis le bloc f entre s et d (à partir de n = 5). Ainsi connaître la 1 bloc s : l = 0 bloc p : l = bloc d : l = bloc f : l = forme de la classification périodique permet d'éviter de mémoriser l'ordre de remplissage des niveaux. IV. Description spatiale de l'atome IV.1. Principe d'incertitude d'heisenberg (1926) La constante de Planck h = 6, J s, produit d'une énergie par une durée (grandeur appelée action), est caractéristique des ordres de grandeur nécessitant l'utilisation de la mécanique quantique. Principe d'incertitude de Heisenberg (1926) : les grandeurs dont le produit est une action sont dites incompatibles. Ceci veut dire que si le produit x y se mesure en J s alors x y h = h 2 π. Heisenberg énonce deux inégalités : IV.1.1. Inégalité temporelle L'énergie d'une particule de durée de vie t ne peut pas être parfaitement déterminée : elle est dispersée dans une bande d'énergie de largeur E telle que : E t h Donc une particule ne peut être dans un état d'énergie parfaitement déterminé que si sa durée de vie est infime. IV.1.2. Inégalité spatiale Le produit de la position par la quantité de mouvement est en J s donc c'est une action x p h. Ceci se traduit par le fait qu'il est impossible de connaître simultanément la position de la particule et sa quantité de mouvement avec précision. Nous avons, en exercice, traité le modèle de Bohr de l'atome d'hydrogène en mécanique classique. MacXIair:MPSI:Chimie:C 09 Atomes:Cours 9 Structure électronique ds - 23 mars 2012 page 5 / 6
6 Nous avons trouvé certains résultats cohérents avec l'expérience, comme le rayon de sa trajectoire r 0 = 53 pm et son énergie E = - 13,6 ev = m v2 v = 2, m s -1 p kg m s -1. Si on suppose p connue à 10 % près p kg m s-1 on obtient x 5,3 nm >> r 0 autrement dit on ne connaît pas la position de l'électron. On ne peut donc pas décrire l'électron comme un corpuscule par la mécanique classique et on ne peut pas parler de trajectoire de l'électron. IV.2. Probabilité de présence En mécanique quantique, on décrit l'électron se trouvant en M(x, y, z) à la date t, par une fonction Ψ(x, y, z, t) appelée fonction d'onde. Cette fonction décrit le comportement de l'électron. En nous limitant aux états stationnaires de l'électron, on peut ne conserver que Ψ(x, y, z). Ψ est une fonction mathématique qui peut être complexe. Par contre Ψ 2 ou Ψ 2 = Ψ Ψ a une signification physique : dp = Ψ(x, y, z) 2 dx dy dz est la probabilité de trouver l'électron dans un élément de volume dτ = dx dy dz centré en M(x, y, z). Donc Ψ 2 ou Ψ 2 est une densité de probabilité de présence. On ne peut pas parler de trajectoire de l'électron, mais on peut dire qu'il a une certaine probabilité dp de se trouver, à une date t, dans un volume dτ autour d'un point M. Et puisque l'électron est forcément quelque part, pour tout l'espace, la probabilité est égale à 1, donc l'intégrale Ψ 2 dτ = 1 : c'est la condition de normation. On peut également dire que la quantité d'électricité - e que transporte l'électron n'est pas localisée dans le tout petit domaine de l'espace qu'est son volume, mais se trouve répartie dans tout l'espace avec une densité volumique ρ q proportionnelle à Ψ 2 et telle que - e = ρ q dτ. C'est le volume dans lequel on a une probabilité de présence égale à 95 % qui définit la géométrie de l'atome et donne à chacun des états (ou orbitales atomiques) une forme particulière. MacXIair:MPSI:Chimie:C 09 Atomes:Cours 9 Structure électronique ds - 23 mars 2012 page 6 / 6
Molécules et Liaison chimique
Molécules et liaison chimique Molécules et Liaison chimique La liaison dans La liaison dans Le point de vue classique: l approche l de deux atomes d hydrogd hydrogènes R -0,9-1 0 0,5 1 1,5,5 3 3,5 4 R
Plus en détailBTS BAT 1 Notions élémentaires de chimie 1
BTS BAT 1 Notions élémentaires de chimie 1 I. L ATOME NOTIONS EÉLEÉMENTAIRES DE CIMIE Les atomes sont des «petits grains de matière» qui constituent la matière. L atome est un système complexe que l on
Plus en détailUnités, mesures et précision
Unités, mesures et précision Définition Une grandeur physique est un élément mesurable permettant de décrire sans ambiguïté une partie d un phénomène physique, chacune de ces grandeurs faisant l objet
Plus en détailCHAPITRE VI : HYBRIDATION GEOMETRIE DES MOLECULES
CAPITRE VI : YBRIDATION GEOMETRIE DES MOLECULES VI.1 : YBRIDATION DES ORBITALES ATOMIQUES. VI.1.1 : Introduction. La théorie d hybridation a été développée au cours des années 1930, notamment par le chimiste
Plus en détailEXERCICES SUPPLÉMENTAIRES
Questionnaire EXERCICES SUPPLÉMENTAIRES SCP 4010-2 LE NUCLÉAIRE, DE L'ÉNERGIE DANS LA MATIÈRE /263 FORME C Version corrigée: Équipe sciences LeMoyne d'iberville, septembre 2006. QUESTION 1 (5 pts) 1. La
Plus en détailFigure 1 : Diagramme énergétique de la photo émission. E B = hν - E C
ANALYSE XPS (ESCA) I - Principe La spectroscopie XPS (X-Ray Photoelectron Spectroscopy) ou ESCA (Electron Spectroscopy for Chemical Analysis) est basée sur la photo émission. Lors de l'irradiation par
Plus en détailEnseignement secondaire
Enseignement secondaire Classe de IIIe Chimie 3e classique F - Musique Nombre de leçons: 1.5 Nombre minimal de devoirs: 4 devoirs par an Langue véhiculaire: Français I. Objectifs généraux Le cours de chimie
Plus en détailChapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices :
Chapitre 02 La lumière des étoiles. I- Lumière monochromatique et lumière polychromatique. )- Expérience de Newton (642 727). 2)- Expérience avec la lumière émise par un Laser. 3)- Radiation et longueur
Plus en détailApplication à l astrophysique ACTIVITE
Application à l astrophysique Seconde ACTIVITE I ) But : Le but de l activité est de donner quelques exemples d'utilisations pratiques de l analyse spectrale permettant de connaître un peu mieux les étoiles.
Plus en détailDIFFRACTion des ondes
DIFFRACTion des ondes I DIFFRACTION DES ONDES PAR LA CUVE À ONDES Lorsqu'une onde plane traverse un trou, elle se transforme en onde circulaire. On dit que l'onde plane est diffractée par le trou. Ce phénomène
Plus en détailTHEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE
THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE 1. RAPPEL: L ATOME CONSTITUANT DE LA MATIERE Toute la matière de l univers, toute substance, vivante ou inerte, est constituée à partir de particules
Plus en détailInteractions des rayonnements avec la matière
UE3-1 : Biophysique Chapitre 2 : Interactions des rayonnements avec la matière Professeur Jean-Philippe VUILLEZ Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés.
Plus en détailCHAPITRE 2 : Structure électronique des molécules
CHAPITRE 2 : Structure électronique des molécules I. La liaison covalente 1) Formation d une liaison covalente Les molécules sont des assemblages d atomes liés par des liaisons chimiques résultant d interactions
Plus en détailRésonance Magnétique Nucléaire : RMN
21 Résonance Magnétique Nucléaire : RMN Salle de TP de Génie Analytique Ce document résume les principaux aspects de la RMN nécessaires à la réalisation des TP de Génie Analytique de 2ème année d IUT de
Plus en détail- I - Fonctionnement d'un détecteur γ de scintillation
U t i l i s a t i o n d u n s c i n t i l l a t e u r N a I M e s u r e d e c o e ffi c i e n t s d a t t é n u a t i o n Objectifs : Le but de ce TP est d étudier les performances d un scintillateur pour
Plus en détailLes rayons X. Olivier Ernst
Les rayons X Olivier Ernst Lille La physique pour les nuls 1 Une onde est caractérisée par : Sa fréquence F en Hertz (Hz) : nombre de cycle par seconde Sa longueur λ : distance entre 2 maximum Sa vitesse
Plus en détailComprendre l Univers grâce aux messages de la lumière
Seconde / P4 Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière 1/ EXPLORATION DE L UNIVERS Dans notre environnement quotidien, les dimensions, les distances sont à l échelle humaine : quelques mètres,
Plus en détailPartie Observer : Ondes et matière CHAP 04-ACT/DOC Analyse spectrale : Spectroscopies IR et RMN
Partie Observer : Ondes et matière CHAP 04-ACT/DOC Analyse spectrale : Spectroscopies IR et RMN Objectifs : Exploiter un spectre infrarouge pour déterminer des groupes caractéristiques Relier un spectre
Plus en détailQu est-ce qu un ordinateur quantique et à quoi pourrait-il servir?
exposé UE SCI, Valence Qu est-ce qu un ordinateur quantique et à quoi pourrait-il servir? Dominique Spehner Institut Fourier et Laboratoire de Physique et Modélisation des Milieux Condensés Université
Plus en détailLa vie des étoiles. La vie des étoiles. Mardi 7 août
La vie des étoiles La vie des étoiles Mardi 7 août A l échelle d une ou plusieurs vies humaines, les étoiles, que l on retrouve toujours à la même place dans le ciel, au fil des saisons ; nous paraissent
Plus en détailProfesseur Eva PEBAY-PEYROULA
3-1 : Physique Chapitre 8 : Le noyau et les réactions nucléaires Professeur Eva PEBAY-PEYROULA Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés. Finalité du chapitre
Plus en détailDYNAMIQUE DE FORMATION DES ÉTOILES
A 99 PHYS. II ÉCOLE NATIONALE DES PONTS ET CHAUSSÉES, ÉCOLES NATIONALES SUPÉRIEURES DE L'AÉRONAUTIQUE ET DE L'ESPACE, DE TECHNIQUES AVANCÉES, DES TÉLÉCOMMUNICATIONS, DES MINES DE PARIS, DES MINES DE SAINT-ÉTIENNE,
Plus en détailA retenir : A Z m n. m noyau MASSE ET ÉNERGIE RÉACTIONS NUCLÉAIRES I) EQUIVALENCE MASSE-ÉNERGIE
CP7 MASSE ET ÉNERGIE RÉACTIONS NUCLÉAIRES I) EQUIVALENCE MASSE-ÉNERGIE 1 ) Relation d'équivalence entre la masse et l'énergie -énergie de liaison 2 ) Une unité d énergie mieux adaptée 3 ) application 4
Plus en détailMécanique Quantique EL OUARDI EL MOKHTAR LABORATOIRE MÉCANIQUE & ÉNERGÉTIQUE SPÉCIALITÉ : PROCÈDES & ÉNERGÉTIQUE. E-MAIL : dataelouardi@yahoo.
Mécanique Quantique EL OUARDI EL MOKHTAR LABORATOIRE MÉCANIQUE & ÉNERGÉTIQUE SPÉCIALITÉ : PROCÈDES & ÉNERGÉTIQUE E-MAIL : dataelouardi@yahoo.fr Site Web : dataelouardi.jimdo.com La physique en deux mots
Plus en détailEnergie nucléaire. Quelques éléments de physique
Energie nucléaire Quelques éléments de physique Comment produire 1 GW électrique Nucléaire (rendement 33%) Thermique (38%) Hydraulique (85%) Solaire (10%) Vent : 27t d uranium par an : 170 t de fuel par
Plus en détailLa physique quantique couvre plus de 60 ordres de grandeur!
La physique quantique couvre plus de 60 ordres de grandeur! 10-35 Mètre Super cordes (constituants élémentaires hypothétiques de l univers) 10 +26 Mètre Carte des fluctuations du rayonnement thermique
Plus en détailChapitre 6 : les groupements d'étoiles et l'espace interstellaire
Chapitre 6 : les groupements d'étoiles et l'espace interstellaire - Notre Galaxie - Amas stellaires - Milieu interstellaire - Où sommes-nous? - Types de galaxies - Interactions entre galaxies Notre Galaxie
Plus en détail8/10/10. Les réactions nucléaires
Les réactions nucléaires En 1900, à Montréal, Rutherford observa un effet curieux, lors de mesures de l'intensité du rayonnement d'une source de thorium [...]. L'intensité n'était pas la même selon que
Plus en détailLa physique nucléaire et ses applications
La physique nucléaire et ses applications I. Rappels et compléments sur les noyaux. Sa constitution La représentation symbolique d'un noyau est, dans laquelle : o X est le symbole du noyau et par extension
Plus en détailLycée français La Pérouse TS. L énergie nucléaire CH P6. Exos BAC
SVOIR Lycée français La Pérouse TS CH P6 L énergie nucléaire Exos BC - Définir et calculer un défaut de masse et une énergie de liaison. - Définir et calculer l'énergie de liaison par nucléon. - Savoir
Plus en détailBases de la mécanique quantique
Mécanique quantique 1 Bases de la mécanique quantique 0. Théorie quantique - pourquoi? La théorie quantique est étroitement liée avec la notion du "dualisme onde - corpuscule". En physique classique, on
Plus en détailChapitre 11: Réactions nucléaires, radioactivité et fission
1re B et C 11 Réactions nucléaires, radioactivité et fission 129 Chapitre 11: Réactions nucléaires, radioactivité et fission 1. Définitions a) Nucléides (= noyaux atomiques) Les nucléides renferment les
Plus en détailPHYSIQUE Discipline fondamentale
Examen suisse de maturité Directives 2003-2006 DS.11 Physique DF PHYSIQUE Discipline fondamentale Par l'étude de la physique en discipline fondamentale, le candidat comprend des phénomènes naturels et
Plus en détailTS1 TS2 02/02/2010 Enseignement obligatoire. DST N 4 - Durée 3h30 - Calculatrice autorisée
TS1 TS2 02/02/2010 Enseignement obligatoire DST N 4 - Durée 3h30 - Calculatrice autorisée EXERCICE I : PRINCIPE D UNE MINUTERIE (5,5 points) A. ÉTUDE THÉORIQUE D'UN DIPÔLE RC SOUMIS À UN ÉCHELON DE TENSION.
Plus en détailPhysique Chimie. Utiliser les langages scientifiques à l écrit et à l oral pour interpréter les formules chimiques
C est Niveau la représentation 4 ème 2. Document du professeur 1/6 Physique Chimie LES ATOMES POUR COMPRENDRE LA TRANSFORMATION CHIMIQUE Programme Cette séance expérimentale illustre la partie de programme
Plus en détailAtelier : L énergie nucléaire en Astrophysique
Atelier : L énergie nucléaire en Astrophysique Elisabeth Vangioni Institut d Astrophysique de Paris Fleurance, 8 Août 2005 Une calculatrice, une règle et du papier quadrillé sont nécessaires au bon fonctionnement
Plus en détailTP 2: LES SPECTRES, MESSAGES DE LA LUMIERE
TP 2: LES SPECTRES, MESSAGES DE LA LUMIERE OBJECTIFS : - Distinguer un spectre d émission d un spectre d absorption. - Reconnaître et interpréter un spectre d émission d origine thermique - Savoir qu un
Plus en détailTD 9 Problème à deux corps
PH1ME2-C Université Paris 7 - Denis Diderot 2012-2013 TD 9 Problème à deux corps 1. Systèmes de deux particules : centre de masse et particule relative. Application à l étude des étoiles doubles Une étoile
Plus en détailPOLY-PREPAS Centre de Préparation aux Concours Paramédicaux. - Section Orthoptiste / stage i-prépa intensif -
POLY-PREPAS Centre de Préparation aux Concours Paramédicaux - Section Orthoptiste / stage i-prépa intensif - 1 Suite énoncé des exos du Chapitre 14 : Noyaux-masse-énergie I. Fission nucléaire induite (provoquée)
Plus en détailCompléments - Chapitre 5 Spectroscopie
ompléments - hapitre 5 Spectroscopie Spectroscopie par résonance magnétique nucléaire (RMN 13 ) Tandis que la spectroscopie RMN 1 H fournit des données sur la disposition des atomes d'hydrogène dans une
Plus en détailTABLE DES MATIÈRES CHAPITRE I. Les quanta s invitent
TABLE DES MATIÈRES AVANT-PROPOS III CHAPITRE I Les quanta s invitent I-1. L Univers est en constante évolution 2 I-2. L âge de l Univers 4 I-2.1. Le rayonnement fossile témoigne 4 I-2.2. Les amas globulaires
Plus en détailNiveau 2 nde THEME : L UNIVERS. Programme : BO spécial n 4 du 29/04/10 L UNIVERS
Document du professeur 1/7 Niveau 2 nde THEME : L UNIVERS Physique Chimie SPECTRES D ÉMISSION ET D ABSORPTION Programme : BO spécial n 4 du 29/04/10 L UNIVERS Les étoiles : l analyse de la lumière provenant
Plus en détailChapitre 5 : Noyaux, masse et énergie
Chapitre 5 : Noyaux, masse et énergie Connaissances et savoir-faire exigibles : () () (3) () (5) (6) (7) (8) Définir et calculer un défaut de masse et une énergie de liaison. Définir et calculer l énergie
Plus en détailTransformations nucléaires
I Introduction Activité p286 du livre Transformations nucléaires II Les transformations nucléaires II.a Définition La désintégration radioactive d un noyau est une transformation nucléaire particulière
Plus en détailDM 10 : La fusion nucléaire, l énergie de l avenir? CORRECTION
Physique Chapitre 4 Masse, énergie, et transformations nucléaires DM 10 : La fusion nucléaire, l énergie de l avenir? CORRECTION Date :. Le 28 juin 2005, le site de Cadarache (dans les bouches du Rhône)
Plus en détailpar Alain Bonnier, D.Sc.
par Alain Bonnier, D.Sc. 1. Avons-nous besoin d autres sources d énergie? 2. Qu est-ce que l énergie nucléaire? 3. La fusion nucléaire Des étoiles à la Terre... 4. Combien d énergie pourrait-on libérer
Plus en détailNUAGES INTERSTELLAIRES ET NEBULEUSES
NUAGES INTERSTELLAIRES ET NEBULEUSES P. Sogorb I. INTRODUCTION Les milliards d étoiles qui forment les galaxies, baignent dans un milieu interstellaire qui représente, dans le cas de notre Galaxie, 10
Plus en détailÉlectricité statique. Introduction. Quelques étapes historiques importantes
Électricité statique Introduction L'électricité statique peut apparaître comme peu importante de nos jours en regard de l'électrodynamique mais cette dernière a été précédée historiquement par l'observation
Plus en détailANALYSE SPECTRALE. monochromateur
ht ANALYSE SPECTRALE Une espèce chimique est susceptible d interagir avec un rayonnement électromagnétique. L étude de l intensité du rayonnement (absorbé ou réémis) en fonction des longueurs d ode s appelle
Plus en détailChap 2 : Noyaux, masse, énergie.
Physique. Partie 2 : Transformations nucléaires. Dans le chapitre précédent, nous avons étudié les réactions nucléaires spontanées (radioactivité). Dans ce nouveau chapitre, après avoir abordé le problème
Plus en détailRayonnements dans l univers
Terminale S Rayonnements dans l univers Notions et contenu Rayonnements dans l Univers Absorption de rayonnements par l atmosphère terrestre. Etude de documents Compétences exigibles Extraire et exploiter
Plus en détailLE PHYSICIEN FRANCAIS SERGE HAROCHE RECOIT CONJOINTEMENT LE PRIX NOBEL DE PHYSIQUE 2012 AVEC LE PHYSICIEN AMERCAIN DAVID WINELAND
LE PHYSICIEN FRANCAIS SERGE HAROCHE RECOIT CONJOINTEMENT LE PRIX NOBEL DE PHYSIQUE 0 AVEC LE PHYSICIEN AMERCAIN DAVID WINELAND SERGE HAROCHE DAVID WINELAND Le physicien français Serge Haroche, professeur
Plus en détailSujet. calculatrice: autorisée durée: 4 heures
DS SCIENCES PHYSIQUES MATHSPÉ calculatrice: autorisée durée: 4 heures Sujet Spectrophotomètre à réseau...2 I.Loi de Beer et Lambert... 2 II.Diffraction par une, puis par deux fentes rectangulaires... 3
Plus en détailEffets électroniques-acidité/basicité
Université du Maine Faculté des Sciences Retour Révisions de cours Effets électroniquesacidité/basicité Il est très important dans un cours de himie organique de connaitre ces notions qui vont intervenir
Plus en détailLES ELEMENTS CHIMIQUES
LES ELEMENTS CHIMIQUES.LA CLASSIFICATION PERIODIQUE DE MENDELEÏEV En 869, le chimisme russe Dimitri Ivanovitch Mendeleïev rangea les 63 éléments chimiques connus à son époque dans un tableau. Il les disposa
Plus en détailPlan du chapitre «Milieux diélectriques»
Plan du chapitre «Milieux diélectriques» 1. Sources microscopiques de la polarisation en régime statique 2. Etude macroscopique de la polarisation en régime statique 3. Susceptibilité diélectrique 4. Polarisation
Plus en détailLycée Galilée Gennevilliers. chap. 6. JALLU Laurent. I. Introduction... 2 La source d énergie nucléaire... 2
Lycée Galilée Gennevilliers L'énergie nucléaire : fusion et fission chap. 6 JALLU Laurent I. Introduction... 2 La source d énergie nucléaire... 2 II. Équivalence masse-énergie... 3 Bilan de masse de la
Plus en détailPROGRAMME DE PHYSIQUE - CHIMIE EN CLASSE DE SECONDE GÉNÉRALE ET TECHNOLOGIQUE
PROGRAMME DE PHYSIQUE - CHIMIE EN CLASSE DE SECONDE GÉNÉRALE ET TECHNOLOGIQUE Préambule Objectifs La culture scientifique et technique acquise au collège doit permettre à l élève d avoir une première représentation
Plus en détailP17- REACTIONS NUCLEAIRES
PC A DOMICILE - 779165576 P17- REACTIONS NUCLEAIRES TRAVAUX DIRIGES TERMINALE S 1 Questions de cours 1) Définir le phénomène de la radioactivité. 2) Quelles sont les différentes catégories de particules
Plus en détailChapitre 10 : Radioactivité et réactions nucléaires (chapitre 11 du livre)
Chapitre 10 : Radioactivité et réactions nucléaires (chapitre 11 du livre) 1. A la découverte de la radioactivité. Un noyau père radioactif est un noyau INSTABLE. Il se transforme en un noyau fils STABLE
Plus en détailFUSION PAR CONFINEMENT MAGNÉTIQUE
FUSION PAR CONFINEMENT MAGNÉTIQUE Séminaire de Xavier GARBET pour le FIP 06/01/2009 Anthony Perret Michel Woné «La production d'énergie par fusion thermonucléaire contrôlée est un des grands défis scientifiques
Plus en détailMaster Photovoltaïque
1- Semestre 1 : Master Photovoltaïque Unité d Enseignement UE fondamentales UEF11(O/P) VHS 15 Semaines V.H hebdomadaire Mode d'évaluation Coeff Crédits C TD TP Autres Continu Examen Physique du Solide
Plus en détailPHYSIQUE-CHIMIE. Partie I - Spectrophotomètre à réseau
PHYSIQUE-CHIMIE L absorption des radiations lumineuses par la matière dans le domaine s étendant du proche ultraviolet au très proche infrarouge a beaucoup d applications en analyse chimique quantitative
Plus en détailLa Fusion Nucléaire (Tokamak) Nicolas Carrard Jonathan Carrier Guillomet 12 novembre 2009
La Fusion Nucléaire (Tokamak) Nicolas Carrard Jonathan Carrier Guillomet 12 novembre 2009 La matière L atome Les isotopes Le plasma Plan de l exposé Réactions nucléaires La fission La fusion Le Tokamak
Plus en détailTP N 3 La composition chimique du vivant
Thème 1 : La Terre dans l'univers, la vie et l'évolution du vivant : une planète habitée Chapitre II : La nature du vivant TP N 3 La composition chimique du vivant Les conditions qui règnent sur terre
Plus en détail1 ère partie : tous CAP sauf hôtellerie et alimentation CHIMIE ETRE CAPABLE DE. PROGRAMME - Atomes : structure, étude de quelques exemples.
Référentiel CAP Sciences Physiques Page 1/9 SCIENCES PHYSIQUES CERTIFICATS D APTITUDES PROFESSIONNELLES Le référentiel de sciences donne pour les différentes parties du programme de formation la liste
Plus en détailChapitre 6. Réactions nucléaires. 6.1 Généralités. 6.1.1 Définitions. 6.1.2 Lois de conservation
Chapitre 6 Réactions nucléaires 6.1 Généralités 6.1.1 Définitions Un atome est constitué d électrons et d un noyau, lui-même constitué de nucléons (protons et neutrons). Le nombre de masse, noté, est le
Plus en détailErratum de MÉCANIQUE, 6ème édition. Introduction Page xxi (milieu de page) G = 6, 672 59 10 11 m 3 kg 1 s 2
Introduction Page xxi (milieu de page) G = 6, 672 59 1 11 m 3 kg 1 s 2 Erratum de MÉCANIQUE, 6ème édition Page xxv (dernier tiers de page) le terme de Coriolis est supérieur à 1% du poids) Chapitre 1 Page
Plus en détailDe la physico-chimie à la radiobiologie: nouveaux acquis (I)
De la physico-chimie à la radiobiologie: nouveaux acquis (I) Collaboration: - Laboratoire de Radiotoxicologie et Oncologie (L. Sabatier) CEA, DSV - Laboratoire de Génotoxicité et Modulation de l Expression
Plus en détailPHYSIQUE QUANTIQUE ET STATISTIQUE PHYS-H-200
UNIVERSITÉ LIBRE DE BRUXELLES Faculté des sciences appliquées Bachelier en sciences de l ingénieur, orientation ingénieur civil Deuxième année PHYSIQUE QUANTIQUE ET STATISTIQUE PHYS-H-200 Daniel Baye revu
Plus en détailLES SUBSTITUTIONS NUCLÉOPHILES EN SÉRIE ALIPHATIQUE S N 1 ET S N 2
Pr atem BEN ROMDANE LES SUBSTITUTIONS NUCLÉOPILES EN SÉRIE ALIPATIQUE S N 1 ET S N 2 3 - LE MÉCANISME S N 2 a - Constatations expérimentales Cinétique : l'étude des réactions de substitution nucléophile
Plus en détailStructure quantique cohérente et incohérente de l eau liquide
Structure quantique cohérente et incohérente de l eau liquide Prof. Marc HENRY Chimie Moléculaire du Solide Institut Le Bel, 4, Rue Blaise Pascal 67070 Strasbourg Cedex, France Tél: 03.68.85.15.00 e-mail:
Plus en détailUne réponse (très) partielle à la deuxième question : Calcul des exposants critiques en champ moyen
Une réponse (très) partielle à la deuxième question : Calcul des exposants critiques en champ moyen Manière heuristique d'introduire l'approximation de champ moyen : on néglige les termes de fluctuations
Plus en détailOPÉRATIONS SUR LES FRACTIONS
OPÉRATIONS SUR LES FRACTIONS Sommaire 1. Composantes d'une fraction... 1. Fractions équivalentes... 1. Simplification d'une fraction... 4. Règle d'addition et soustraction de fractions... 5. Règle de multiplication
Plus en détailCours d électricité. Introduction. Mathieu Bardoux. 1 re année. IUT Saint-Omer / Dunkerque Département Génie Thermique et Énergie
Cours d électricité Introduction Mathieu Bardoux mathieu.bardoux@univ-littoral.fr IUT Saint-Omer / Dunkerque Département Génie Thermique et Énergie 1 re année Le terme électricité provient du grec ἤλεκτρον
Plus en détailContenu pédagogique des unités d enseignement Semestre 1(1 ère année) Domaine : Sciences et techniques et Sciences de la matière
Contenu pédagogique des unités d enseignement Semestre 1(1 ère année) Domaine : Sciences et techniques et Sciences de la matière Algèbre 1 : (Volume horaire total : 63 heures) UE1 : Analyse et algèbre
Plus en détailLes effets de température
Les effets de température 1. Introduction La chaleur issue du combustible est transférée au caloporteur (eau) grâce au gradient de température qui existe entre ces deux milieux. Combustible Gaine Eau Profil
Plus en détailPhotons, expériences de pensée et chat de Schrödinger: une promenade quantique
Photons, expériences de pensée et chat de Schrödinger: une promenade quantique J.M. Raimond Université Pierre et Marie Curie Institut Universitaire de France Laboratoire Kastler Brossel Département de
Plus en détailTEMPÉRATURE DE SURFACE D'UNE ÉTOILE
TEMPÉRATURE DE SURFACE D'UNE ÉTOILE Compétences mises en jeu durant l'activité : Compétences générales : Etre autonome S'impliquer Elaborer et réaliser un protocole expérimental en toute sécurité Compétence(s)
Plus en détailSéquence 9. Étudiez le chapitre 11 de physique des «Notions fondamentales» : Physique : Dispersion de la lumière
Séquence 9 Consignes de travail Étudiez le chapitre 11 de physique des «Notions fondamentales» : Physique : Dispersion de la lumière Travaillez les cours d application de physique. Travaillez les exercices
Plus en détailFICHE 1 Fiche à destination des enseignants 1S 16 Y a-t-il quelqu un pour sauver le principe de conservation de l énergie?
FICHE 1 Fiche à destination des enseignants 1S 16 Y a-t-il quelqu un pour sauver le principe de conservation de l énergie? Type d'activité Activité avec démarche d investigation, étude documentaire (synthèse
Plus en détailStatistiques Descriptives à une dimension
I. Introduction et Définitions 1. Introduction La statistique est une science qui a pour objectif de recueillir et de traiter les informations, souvent en très grand nombre. Elle regroupe l ensemble des
Plus en détailChapitre II PHÉNOMÈNES RADIATIFS: PROPRIÉTÉS D EMISSION. f AB = mc 2 e 2. β 1 k(υ)dυ N
1 Chapitre II PHÉNOMÈNES RADIATIFS: PROPRIÉTÉS D EMISSION Compte tenu des règles de sélection une émission peut être observée si un gap d énergie important existe entre l état fondamental et un des états
Plus en détailC4: Réactions nucléaires, radioactivité et fission
1re B et C C4 Réactions nucléaires, radioactivité et fission 30 C4: Réactions nucléaires, radioactivité et fission 1. Définitions a) Nucléides (= noyaux atomiques) Les nucléides renferment les nucléons:
Plus en détailExercices de dénombrement
Exercices de dénombrement Exercice En turbo Pascal, un entier relatif (type integer) est codé sur 6 bits. Cela signifie que l'on réserve 6 cases mémoires contenant des "0" ou des "" pour écrire un entier.
Plus en détailThéorie des multiplets! appliquée à! la spectroscopie d ʼabsorption X!
Théorie des multiplets! appliquée à! la spectroscopie d ʼabsorption X! Marie-Anne Arrio, Amélie Juhin! Institut de Minéralogie et Physique des Milieux Condensés, Paris! 1! Rappel : défini-on des seuils
Plus en détailSYSTEME DE PARTICULES. DYNAMIQUE DU SOLIDE (suite) Table des matières
Physique Générale SYSTEME DE PARTICULES DYNAMIQUE DU SOLIDE (suite) TRAN Minh Tâm Table des matières Applications de la loi de Newton pour la rotation 93 Le gyroscope........................ 93 L orbite
Plus en détailFiche professeur. L analyse spectrale : spectroscopies IR et RMN
Fiche professeur L analyse spectrale : spectroscopies IR et RMN Thème : Observer, ondes et matières Analyse spectrale Type de ressource : Documents de formation en spectroscopies IR et RMN, pistes d activités
Plus en détailPrincipe de fonctionnement des batteries au lithium
Principe de fonctionnement des batteries au lithium Université de Pau et des pays de l Adour Institut des Sciences Analytiques et de Physicochimie pour l Environnement et les Matériaux 22 juin 2011 1 /
Plus en détailREPRESENTER LA TERRE Cartographie et navigation
REPRESENTER LA TERRE Seconde Page 1 TRAVAUX DIRIGES REPRESENTER LA TERRE Cartographie et navigation Casterman TINTIN "Le trésor de Rackham Le Rouge" 1 TRIGONOMETRIE : Calcul du chemin le plus court. 1)
Plus en détailProduction d énergie électrique : ENERGIE SOLAIRE PHOTOVOLTAIQUE
ELECTROTECHNIQUE SOMMAIRE 1- L ENERGIE SOLAIRE... 2 ÉCLAIREMENT OU IRRADIANCE... 2 RAYONNEMENT, IRRADIATION OU ENERGIE INCIDENTE... 2 2- LA CELLULE PHOTOVOLTAIQUE... 5 2.1 HISTORIQUE... 5 2.2 LES DIFFERENTES
Plus en détail1. Introduction...2. 2. Création d'une requête...2
1. Introduction...2 2. Création d'une requête...2 3. Définition des critères de sélection...5 3.1 Opérateurs...5 3.2 Les Fonctions...6 3.3 Plusieurs critères portant sur des champs différents...7 3.4 Requête
Plus en détailChapitre I- Le champ électrostatique. I.1.1- Phénomènes électrostatiques : notion de charge électrique
Chapitre I- Le champ électrostatique I.- Notions générales I..- Phénomènes électrostatiques : notion de charge électrique Quiconque a déjà vécu l expérience désagréable d une «décharge électrique» lors
Plus en détailProgrammation linéaire
Programmation linéaire DIDIER MAQUIN Ecole Nationale Supérieure d Electricité et de Mécanique Institut National Polytechnique de Lorraine Mathématiques discrètes cours de 2ème année Programmation linéaire
Plus en détailChapitre 6 La lumière des étoiles Physique
Chapitre 6 La lumière des étoiles Physique Introduction : On ne peut ni aller sur les étoiles, ni envoyer directement des sondes pour les analyser, en revanche on les voit, ce qui signifie qu'on reçoit
Plus en détailChapitre 4 - Spectroscopie rotationnelle
Chapitre 4 - Spectroscopie rotationnelle 5.1 Classification Déterminer à quelle catégorie (sphérique, symétrique, asymétrique) appartiennent ces molécules : a) CH 4, b) CH 3 F, c) CH 3 D, d) SF 6, e) HCN,
Plus en détailCapacité Métal-Isolant-Semiconducteur (MIS)
apacité Métal-solant-Semiconducteur (MS) 1-onstitution Une structure Métal-solant-Semiconducteur (MS) est constituée d'un empilement de trois couches : un substrat semiconducteur sur lequel on a déposé
Plus en détailSTÉRÉOISOMÉRIE CONFIGURATIONNELLE STÉRÉOISOMÉRIE OPTIQUE COMPOSÉS OPTIQUEMENT ACTIFS À UN SEUL CARBONE ASYMÉTRIQUE
Pr atem BEN ROMDANE Structures des Molécules Organiques Stéréoisomérie optique Faculté des Sciences de Tunis et Stéréochimie composés à * STÉRÉOISOMÉRIE ONFIGURATIONNELLE STÉRÉOISOMÉRIE OPTIQUE OMPOSÉS
Plus en détailAnimations. Liste des 114 animations et 145 vidéos présentes dans la Banque de Ressources Physique Chimie Lycée. Physique Chimie Seconde
Animations Physique Chimie Seconde Extraction de l'eugénol La nature inspire les hommes Identification de principes actifs Identification d'une espèce chimique Support de l'exercice - Colorants alimentaires
Plus en détailINTRODUCTION À LA SPECTROSCOPIE
INTRODUCTION À LA SPECTROSCOPIE Table des matières 1 Introduction : 2 2 Comment obtenir un spectre? : 2 2.1 Étaller la lumière :...................................... 2 2.2 Quelques montages possibles
Plus en détail