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1 PREAMBULE Le Réseau de Métrologie Sanitaire (RMS) est un partenaire mondial qui s efforce d améliorer la qualité de l information sanitaire à l échelon national et international. Au mois de juin 2006, le RMS a lancé un deuxième appel de proposition de soumission aux pays pour financer l évaluation de leurs systèmes d informations sanitaires et l élaboration d un plan stratégique de développement du SIS. C est dans ce cadre que le Ministère de la Santé Publique et de la Lutte contre le Sida (MSPLS) a mis en place une équipe tripartite chargée d élaborer cette proposition de soumission. Cette équipe était constituée d un cadre de l Institut des Statistiques et d Etudes Economiques du Burundi (ISTEEBU), un médecin de la Cellule EPISTAT du MSPLS ainsi qu un médecin du Bureau de l OMS au Burundi. La proposition de soumission a ainsi été élaborée et soumise au secrétariat du RMS à Genève pour examen. Une suite favorable a été réservée à la proposition : à travers la lettre d agrément signée par le Ministre de la Santé publique et de la Lutte contre le Sida le 18 janvier 2008, le Burundi venait de s engager, à travers un financement octroyé par le RMS, à évaluer son système d information sanitaire à l aide d un outil développé par le RMS ainsi que l élaboration d un plan stratégique de développement du SIS. En dates du 6 au 9 novembre 2007, les trois personnes qui avaient élaboré la proposition de soumission ont été conviées à un atelier de renforcement du SIS qui s est déroulé à Cotonou en République Béninoise au même titre que les autres pays qui avaient bénéficié du financement du RMS dont deux lusophones. Les délégués qui avaient répondu présents à cet l atelier étaient des personnes en charge du SIS dans leurs pays respectifs. Etaient également présents à ce grand rendez-vous, et comme personnes ressources, les représentants du Bureau Régional de l OMS-AFRO à Brazzaville et du secrétariat du RMS de Genève. Cet atelier s est articulé sur quatre points essentiels à savoir : La présentation du cadre et des normes du RMS ; La présentation et l examen de l outil d évaluation du RMS ; L échange sur l expérience des pays qui ont déjà évalué leur SIS à l aide de l outil du RMS ; La définition des prochaines étapes. Les différents délégués des pays se sont appropriés des techniques d administration de l instrument d évaluation du RMS et se sont engagés à l utiliser dans leurs pays d origine. Ainsi, l évaluation du système d information sanitaire du Burundi à l aide de l outil HMN s est déroulée à l hôtel SAFARI GATE en dates du 23 au 25 juillet i-

2 RESUME EXECUTIF DES RESULTATS DE L EVALUATION DU SIS Composantes du SIS Sous-Composantes Score* (en %) Observation Points forts Points faibles I. Ressources 33 Présent mais pas satisfaisant 1. Politique et Planification 33 Présent mais pas satisfaisant Existence d'un plan national de développement sanitaire Absence d'un comité national de coordination du SIS Existence d'un Groupe Thématique du SIS (GTSIS) Absence d'un système de contrôle du rendement du SIS Tenue de réunions de travail au sein des BPS et des BDS 2. Institution, ressources humaines et financement Réunion annuelle au niveau central du MSPLS (Tous les services et programmes du MSPLS) Tenue des Etats Généraux de la santé 31 Présent mais pas satisfaisant Existence d'une cellule centrale chargée du SIS (EPISTAT) Existence des points focaux du SIS dans les BPS et les BDS Insuffisance de moyens matériels, financiers et humains au sein de l'epistat Absence de ligne budgétaire spécifique au SIS Insuffisance de personnel qualifié pour le SIS Faible performance des TIC Absence de plan de renforcement des capacités du personnel du SIS 3. Infrastructures 40 Présent mais pas satisfaisant Tous les BPS sont équipés d'ordinateurs Faible motivation du personnel du SIS Absence de système de maintenance permanent du parc informatique Existence de formulaires de collecte de données Insuffisance de locaux appropriés pour l'epistat Existence de téléphone au niveau national comme TIC Faible accès à l'internet II. Indicateurs 47 Présent mais pas satisfaisant Existence des définitions d'indicateurs de base Absence de données de base (déterminants de la santé, ) Intégration des OMD dans la définition d'indicateurs Absence de cadre institutionnel d'harmonisation des indicateurs Irrégularité dans la publication (*) : Moins de 25% : Pas du tout satisfaisant De 25 à moins de 50% : Présent mais pas satisfaisant De 50 à moins de 75% : Satisfaisant De 75 à 100% : Très satisfaisant -ii-

3 RESUME EXECUTIF DES RESULTATS DE L EVALUATION DU SIS (Suite) Composantes du SIS Sous-Composantes Score* (en %) Observation Points forts Points faibles III. Sources de données 1. Recensement 2. Statistiques de l'étatcivil 3. Enquêtes auprès de la population 39 Présent mais pas satisfaisant 31 Présent mais pas satisfaisant Processus d'actualisation des données du recensement en cours Existence des capacités locales Données du recensement vieilles de plus de 10 ans (Edition 1990) Besoin d'assistance technique extérieure 36 Présent mais pas satisfaisant Existence d'un système d'enregistrement à l'état-civil Absence d'information sur les causes de décès Inexhaustivité des enregistrements Absence d'analyse des données Absence de SEE et de SSD 54 Satisfaisant Etudes souvent menées auprès de la population Confidentialité des données Irrégularité et chevauchement dans la réalisation des enquêtes 4. Dossiers de santé et des maladies 5. Banque de données des services de santé 6. Banque des resources sanitaires Production des microdonnées et métadonnées 43 Présent mais pas satisfaisant Existence d'une documentation sur la SIMR Existence de données sur les maladies à déclaration obligatoire 35 Présent mais pas satisfaisant 34 Présent mais pas satisfaisant Publication de données dans les annuaires statistiques sanitaires Existence de données sur les formations sanitaires et les dossiers du personel Processus d'élaboration des comptes nationaux de la santé en cours Absence de bulletins contenant les donnée sur les maladies sujettes à épidémie Absence de dossiers de patients dans les structures sanitaires Absence d'un plan détaillé de supervision des services de santé Faible taux de couverture du secteur privé Absence de base de données conviviale Absence de comptes nationaux de la santé IV. Gestion des données 13 Pas du tout satisfaisant Existence d'une base de données en excel aux niveaux intermédiaire et central Absence de dictionnaire de métadonnées (*) : Moins de 25% : Pas du tout satisfaisant De 25 à moins de 50% : Présent mais pas satisfaisant De 50 à moins de 75% : Satisfaisant De 75 à 100% : Très satisfaisant -iii-

4 RESUME EXECUTIF DES RESULTATS DE L EVALUATION DU SIS (Suite) Composantes du SIS Sous-Composantes Score* (en %) Observation Points forts Points faibles V. Produits de l'information 36 Présent mais pas satisfaisant Représentativité et désagrégation des données produites Incohérence des données publiées Réalisation de la collecte routinière de données par la Cellule EPISTAT Irrégularité dans la publication des données Production d'indicateurs par l'isteebu à travers des enquêtes auprès de la population Insuffisance de données sur les facteurs de risque VI. Diffusion et utilisation de l'information 1. Analyse et utilisation de l'information 23 Pas du tout satisfaisant 22 Pas du tout satisfaisant Annuaire statistique sanitaire produit par l'epistat Diffusion limitée de l'information Cartes sanitaires non-actualisées 2. Utilisation de l'information pour action et plaidoyer 0 Pas du tout satisfaisant Absence de rapports analytiques intégrés 3. Utilisation de l information pour la planification et la fixation des priorités 4. Utilisation de l'information pour l'allocation des ressources 5. Utilisation de l information pour sa mise en application et pour l action 33 Présent mais pas satisfaisant 33 Présent mais pas satisfaisant 22 Pas du tout satisfaisant Utilisation de l'information pour la planification et la fixation des priorités Utilisation de l'information pour l'implantation des infrastructures Utilisation de l'information pour plaider en faveur d'un comportement à moindre risque Utilisation limitée au niveau central Utilisation limitée au niveau central Utilisation limitée de l'information (*) : Moins de 25% : Pas du tout satisfaisant De 25 à moins de 50% : Présent mais pas satisfaisant De 50 à moins de 75% : Satisfaisant De 75 à 100% : Très satisfaisant -iv-

5 TABLE DES MATIERES PREAMBULE -i- RESUME EXECUTIF DES RESULTATS DE L EVALUATION DU SIS -ii- ABREVIATIONS -v- Chapitre I : CONTEXTE ET JUSTIFICATION -1- Chapitre II : ORGANISATION ET FONCTIONNEMENT DU SYSTEME DE SANTE -3- II.1 : Circuit de l information -5- II.2 : EPISTAT, Cellule centrale du SIS -6- Chapitre III : OBJECTIFS ET METHODOLOGIE DE L EVALUATION RMS -7- III.1 : Objectifs -7- III.2 : Méthodologie de l évaluation -7- III.2.1 : Outil d évaluation -7- III.2.2 : Préparation de l évaluation -8- III.2.3 : Etapes de l évaluation -8- Chapitre IV : PRESENTATION DES RESULTATS DE L EVALUATION -9- IV.1 : Ressources -10- IV.2 : Indicateurs -14- IV.3 : Sources de données -14- IV.4 : Gestion des données -18- IV.5 : Produits de l information -19- IV.6 : Diffusion et utilisation -20- CONCLUSION -22- RECOMMANDATIONS -24- ANNEXES -25- Annexe 1 : Documentation Annexe 2 : Listes des membres du CTP et des Personnes ressources Annexe 3 : Liste des organisations représentées lors de l évaluation Annexe 4 : Questionnaire d évaluation de l organisation de l atelier Annexe 5 : Synthèse de l évaluation de l organisation de l atelier - 1 -

6 LISTE DES ABREVIATIONS SIS RMS HMN MSPLS ASC BPS BDS ISTEEBU PNSR PNDS EPISTAT TIC CTSIS SBDR CPSD CTP OMS SIMR CDS GTSIS CoSa OMDs CSLP : Système d Information Sanitaire : Réseau de Métrologie Sanitaire : Health Metrics Network : Ministère de la Santé Publique et de la Lutte contre le Sida : Agent de santé Communautaire : Bureau Provincial de la Santé : Bureau du District Sanitaire : Institut des Statistiques et d Etudes Economiques du Burundi : Programme National de Santé et de la Reproductive : Plan National de Développement Sanitaire : Epidémiologie et de la Statistique : Technologie de l Information et de la Communication : Cellule de Transformation du Système d Information Sanitaire : Système de gestion de Base de Données Relationnelle : Cadre de Concertation des Partenaires pour la Santé et le Développement : Comité Technique de Pilotage : Organisation Mondiale de la Santé : Surveillance Intégrée de la Maladie et de la Riposte : Centre de Santé : Groupe Thématique Système d Information Sanitaire : Comité de Santé : Objectifs du Millénaire pour le Développement : Cadre Stratégique de Lutte contre la Pauvreté SSD : Système de Surveillance de la Démographie -v- LISTE DES ABREVIATIONS (Suite et fin) - 2 -

7 PATSBU PRS SEE : Programme d Appui Transitoire au Secteur de Santé du Burundi : Projet de Réhabilitation Sanitaire : Système d Enregistrement par l Echantillon -vi

8 Chapitre I : CONTEXTE ET JUSTIFICATION Le Burundi est un pays de l Afrique Centrale. Il est entouré au Nord par le Rwanda, au Sud et à l Est par la Tanzanie et à l Ouest par la République Démocratique du Congo. Sa superficie est de km². Son climat est tropical avec deux grandes saisons, une saison pluvieuse s étendant plus ou moins sur une période de 9 mois et une saison sèche de trois mois allant de juin à fin août. Actuellement, la population du Burundi est estimée à plus de 8 millions d habitants dont plus de 90% vivent en milieu rural. La densité de la population est 287 habitants par km², ce qui classe le Burundi parmi les pays d Afrique les plus densément peuplés. Sa croissance démographique est estimée à 2,9%, l espérance de vie à la naissance est à 40,4 ans et l espérance de vie en bonne santé à 35,1 ans. Le rapport de masculinité est évalué à environ 94 hommes pour 100 femmes. Les moins de 15 ans représentent 46,1% de la population, tandis que les 60 ans et plus ne représentent que 5,4%. L indice de fécondité reste élevé (6,8). Concernant l économie burundaise, elle est largement basée sur ses ressources agricoles (56% du PIB sont issus du secteur primaire). La force de production est en majorité constituée par les femmes (52,2%) qui représentent l essentiel de la population active de ce secteur. Ainsi, la participation de la femme au processus de développement est considérée comme élément déterminant dans toutes les stratégies de réduction de la pauvreté et de développement. Dans le domaine de la santé, il s est tenu à Bujumbura, la capitale du Burundi, du 31 mai au 4 juin 2004, les Etats Généraux de la Santé qui réunissaient les délégués de tous les partenaires de développement autour des hauts cadres du Ministère de la Santé et d autres secteurs de la vie nationale impliqués de près ou de loin dans la protection de la santé des populations pour réfléchir ensemble et faire le point sur la situation sanitaire du pays. Ainsi, un Plan National de Développement Sanitaire (PNDS) a été élaboré après un long processus de planification qui a débuté avec les Etats Généraux de la Santé. Le document de Plan National de Développement Sanitaire du Burundi dégage les priorités du système national de santé suivantes : la réduction du taux de mortalité maternelle et néonatale, la réduction du taux de mortalité infanto-juvénile, le contrôle de la morbidité liée aux maladies transmissibles et non transmissibles, enfin le renforcement du système de santé. Toutes ces priorités sont en parfaite harmonie avec le Cadre Stratégique de Lutte contre la Pauvreté (CSLP) ainsi que les Objectifs du Millénaire pour le Développement (OMDs). Le système d information sanitaire (SIS) a connu un certain nombre de phases de développement : En Octobre 2002, le Ministère de la Santé, en collaboration avec «le Projet d assistance technique à la Réhabilitation Sanitaire dans cinq provinces (PRS)», a entamé une réflexion sur la modernisation de son SIS. Avec l appui financier du Fonds Européen de Développement à travers le «Programme d Appui Transitoire au Secteur de la Santé au Burundi (PATSBU)» qui a pris le relais du - 4 -

9 projet PRS, un document d Appui au Système d Information Sanitaire a été élaboré. A l origine, la préoccupation majeure était d aboutir à un renforcement des capacités de la cellule EPISTAT et le développement du SIS. Dans un premier temps, une évaluation sur le fonctionnement du SIS a été réalisée au niveau de quelques structures de soins, d un bureau du secteur sanitaire, d un bureau provincial de santé et au niveau de l EPISTAT. Les résultats de cette évaluation ont révélé les lacunes suivantes : L inexistence d un outil informatique au niveau des provinces pour valoriser l exploitation des données collectées ; La non-adaptation des outils de collecte des données (registres) et l imprécision des instructions de remplissage ; Le non paramétrage d un logiciel de gestion de l information sanitaire permettant à la fois la saisie et l exploitation des données ; La non intégration du système d information sanitaire souffrait de, chaque programme ayant tendance à produire ses propres outils sans concertation avec les autres. Les redondances dans la collecte impliquent une surcharge de travail démotivante et conduisent à une mauvaise qualité des données ; La faible performance du système national d information sanitaire : Les différents niveaux ne disposent pas de capacités nécessaires pour analyser et traiter les données collectées et doivent attendre les décisions du niveau central pour agir même en cas d épidémie, ce qui entraîne un désintérêt et une perte de temps souvent considérable. D autre part, la rétro information est également assez tardive sauf en cas d épidémie. Par conséquent, des stratégies ont été proposées : Améliorer l organisation interne de l EPISTAT et son système informatique ; Renforcer les capacités du personnel de l EPISTAT dans les domaines de l informatique, de l analyse et de la diffusion des données ; Transformer le SIS vers un SIS informatisé, performant, intégré et décentralisé à travers la création au sein du MSPLS d une structure temporaire baptisée «Cellule de Transformation du SIS» (CTSIS). Dans l optique de concrétiser ces stratégies, un certain nombre d actions ont été entreprises : Des missions d assistance technique ont été organisées pour appuyer EPISTAT dans la définition des besoins et l élaboration des outils de collecte. Les Bureaux provinciaux de la santé ont été équipés en matériel informatique. Des formations ont été organisées à l endroit du personnel des BPS et des structures de soins au niveau de cinq provinces

10 Depuis le mois de Février 2008, la Cellule de Transformation du SIS est actuellement fonctionnelle pour appuyer le MSPLS à moderniser EPISTAT et pour jeter les bases d un nouveau SIS national. Cette CTSIS est un des éléments de la stratégie mise en place par le MSPLS pour transformer son SIS. Cette stratégie est définie dans le document : «Appui au SIS» signé par le MSPLS en Août Au regard de toutes ces initiatives, l adhésion à la philosophie du RMS par le MSPLS traduit la volonté manifeste des Hauts Responsables de la Santé de mettre en place un Système d Information Sanitaire performant permettant une bonne planification et une gestion saine des services de santé et des ressources du pays. En outre, l utilisation de l outil HMN a permis de comparer les niveaux de performance du SIS au niveau national. Chapitre II : ORGANISATION ET FONCTIONNEMENT DU SYSTEME DE SANTE Le système national de santé est de type pyramidal et s articule autour de trois niveaux : Niveau central Le niveau central est responsable de la définition de la politique sanitaire et de l élaboration des stratégies d intervention, la planification, l administration et la coordination du secteur de la santé, la définition des normes de qualité, leur suivi et leur évaluation. Il est représenté par le cabinet du Ministre, les Directions Générales et leurs départements ainsi que les organes de directions des divers programmes de santé. Le niveau central dispose d un fonctionnement centré sur les responsabilités transversales, en appui du niveau intermédiaire et périphérique qui les mettent en œuvre : un système de formation continue, d approvisionnement régulier, de supervision technique intégrée, de statistiques sanitaires, de suivi et d évaluation. La priorité est donnée à la formulation de la politique sectorielle, à la définition des normes structurelles et sanitaires, à la coordination de l aide apportée au secteur, et au respect d une planification des ressources et d activités par niveau. Niveau intermédiaire Le niveau intermédiaire reste composé de 17 bureaux provinciaux de santé comme niveaux de déconcentration. Leur responsabilité principale est la coordination dans chaque province entre les différents niveaux et entre les partenaires, et l appui à la gestion du niveau périphérique (les bureaux des districts sanitaires et les hôpitaux). Pour accomplir ses taches, il compte avec l appui du niveau central (tant du niveau des programmes verticaux que des services transversaux). Niveau périphérique Il est structuré autour du concept de district sanitaire (qui remplace le secteur sanitaire). Dans chaque province on organise des «cluster» de communes et d unités de santé dans un district sanitaire, avec pour chaque district une population d environ habitants, entre 10 et 15 centres de santé et un hôpital de district pour la première référence

11 Un bureau du district sanitaire, avec un médecin chef de district à la tête d une équipe cadre, est responsable final pour le fonctionnement du système de santé dans le district. Les termes de référence de l équipe cadre et ses responsabilités décentralisées de gestion sont déterminées par le niveau central et sont sous la supervision du niveau intermédiaire avec l appui du niveau central. Le niveau de district sanitaire est le vrai niveau de décentralisation, où les décisions concernant la gestion des ressources prennent origine et sont appliquées après approbation par les niveaux supérieurs. L équipe cadre de district organise avec les centres de santé et en coordination avec l hôpital de district les soins de santé. Il organise la participation des bénéficiaires et de la communauté par le biais des comités de santé (CoSa), qui doivent respecter les normes pour leur fonctionnement comme suggérées par les niveaux supérieurs. En plus des structures de soins du secteur public, le secteur privé reste fortement représenté dans la capitale du pays, Bujumbura. Notons également que des tradipraticiens, regroupés au sein d une association agrée par l Etat, offrent des soins de santé à la population. Le Burundi compte: 617 centres de santé 43 hôpitaux de district (hôpitaux de 1 ère référence) 16 hôpitaux provinciaux (ou de 2 ème référence) 4 hôpitaux régionaux 5 hôpitaux nationaux (hôpitaux de 3 ème référence) - 7 -

12 II.1. LE CIRCUIT DE L INFORMATION SANITAIRE DE ROUTINE 2008 Programmes Projets Bailleurs ISTEEBU Directions et départements MSPLS EPISTAT- SIMR Hôpitaux Nationaux Bureaux Provinciaux de Santé Hôpitaux de 2 ème référence Bureaux de Districts Sanitaires Hôpitaux de 1 ère référence Centres de santé Le niveau le plus bas de la collecte des données sanitaires de routine est constitué par les centres de santé. Ces derniers disposent des formulaires de rapport hebdomadaire et d un canevas de rapport qui est rempli et transmis mensuellement au niveau du Bureau de District Sanitaire pour la compilation, le traitement et l analyse des données. Après cette compilation au niveau du BDS, ces données sont par la suite transmises au BPS pour alimenter la base de données provinciale. C est à partir de ce niveau que les données sont transmises à l Epistat pour constituer une base de données nationale. L Epistat se charge à son tour d élaborer le rapport mensuel ainsi que le bulletin épidémiologique à l aide de ces données. C est au niveau de l Epistat que les directions et départements du MSPLS, l ISTEEBU, les différents programmes et projets et les bailleurs de fonds du secteur de la santé reçoivent des données sous forme de rapport qui va leur permettre l évaluation de l atteinte de leurs objectifs, la planification et les prises de décisions. Les données des hôpitaux de Districts Sanitaires sont acheminées au niveau du BDS, celles des hôpitaux provinciaux au niveau du BPS et/ou à l Epistat alors que celles des hôpitaux nationaux sont envoyées directement au niveau d Epistat. Dès que les données arrivent à ces niveaux, elles suivent le même chemin que pour les données des CDS. Quelques fois, les programmes, projets et certains bailleurs de fonds vont eux-mêmes chercher directement les données au niveau des BPS, BDS, hôpitaux et CDS

13 II.2. EPISTAT : CELLULE CENTRALE DU SIS AU MSPLS Le Service d Epidémiologie et des Statistiques (EPISTAT) est la structure du Ministère de la Santé Publique et de la Lutte contre le Sida qui a en charge la gestion du SIS. Elle dispose de 8 bureaux et emploie deux médecins formés en santé publique/épidémiologie, onze techniciens en statistique, deux secrétaires, un planton et un chauffeur. Responsabilités d EPISTAT L EPISTAT s occupe de : La surveillance des maladies endémo-épidémiques, de celles en voie de contrôle ou d éradication et des maladies à potentiel épidémique ; La collecte des données et l élaboration des rapports de synthèse au niveau national ainsi que leur diffusion à tous les niveaux ; La conception, multiplication et la diffusion des outils de collecte ; La supervision-formation à l utilisation de ces outils tant au niveau intermédiaire que périphérique. L EPISTAT dispose de plusieurs ordinateurs sur lesquels sont encodées les données en provenance du niveau intermédiaire. Hélas, celles-ci ne sont pas stockées dans une réelle base de données relationnelles (SBDR) conviviale. Une bonne partie du personnel consacre tout son temps à l encodage. Les ressources humaines disponibles ne suffisent pas pour assurer le traitement et l analyse de toutes ces données collectées. A côté de cela, une Cellule de Transformation du SIS (CTSIS) a été créée, pour une durée limitée dans le temps (2ans), et est actuellement fonctionnelle en étroite collaboration avec l EPISTAT. La CTSIS a comme mission principale d assurer la mutation du SIS existant vers un SIS informatisé, performant, intégré et décentralisé. L EPISTAT doit être impliqué de façon minutieuse dans cette transformation du SIS avec une appropriation progressive par les agents de l EPISTAT du nouveau SIS dans un terme de deux ans. L équipe cadre de la CTSIS est composée par : Un expert international médecin de santé publique et Responsable de la CTSIS Un expert national médecin de santé publique, en même temps directeur adjoint de l EPISTAT Un expert national en informatique Un expert international spécialisé dans la mise en place des SIS qui effectue des missions ponctuelles au Burundi - 9 -

14 Chapitre III : OBJECTIFS ET METHODOLOGIE DE L EVALUATION III.1. Objectifs Objectif global : Accroître la disponibilité et l utilisation d informations sanitaires pertinentes et exactes en favorisant le financement conjoint et la mise au point d un système d information sanitaire de base dans le pays. Objectifs spécifiques : Faire comprendre aux parties prenantes ce qu est leur SIS; Faire un consensus sur les forces et les faiblesses majeures; Etablir des données de base pour le suivi des progrès dans le développement du SIS; Fournir une base pour le plan stratégique; Aider à construire un consensus pour appuyer la mise en œuvre du plan. Tous ces objectifs sont en parfaite harmonie avec les préoccupations actuelles du MSPLS qui rentrent dans le cadre de modernisation et de transformation du SIS vers un SIS performant, informatisé, intégré et décentralisé. III.2. Méthodologie III.2.1. Outil d évaluation Il s agit d un instrument standardisé qui a été développé par le RMS. L outil d évaluation du RMS est constitué de six composantes à savoir : Ressources Indicateurs Sources de données Gestion des données Produits de l information Dissémination et utilisation Au sein de chaque composante se trouve un ensemble d items auxquels les évaluateurs doivent attribuer des scores. Par items, il faut entendre les questions auxquelles les évaluateurs doivent répondre lors de l évaluation. En outre, l outil conçu par le RMS est doté d un utilitaire qui génère de façon automatique les résultats de l évaluation, sous forme de tableaux et graphiques. Pour chaque item, il est possible de retrouver les commentaires apportés

15 III.2.2. Préparation de l évaluation Avec comme mission de piloter les travaux d évaluation du système d Information Sanitaire, le Ministre ayant en charge la santé publique et la lutte contre le sida a d abord nommé un Comité Technique multisectoriel. Ce dernier était chargé de suivre tout le processus d évaluation du SIS depuis la phase de préparation en passant par la collecte des informations jusqu à la production du rapport. Le comité technique de pilotage devait travailler en collaboration étroite avec deux personnes ressources qui avaient bénéficié d une formation sur les différentes techniques d administration de l outil HMN. Ainsi, les membres du comité de pilotage se sont réunis à plusieurs reprises pour discuter avec les experts des questions notamment en rapport avec l adaptation de l outil HMN au contexte du Burundi, le calendrier des activités, les courriers officiels ; bref de l organisation de l évaluation. III.2.3. Etapes d évaluation du SIS Le travail d évaluation du SIS s est articulé sur cinq étapes essentielles à savoir : 1. Premièrement, le comité de pilotage s est réuni pour inventorier la liste de toutes les parties prenantes impliquées dans le SIS. Il s est tenu ensuite une réunion d information et de sensibilisation regroupant ces dernières autour d une mission conjointe MSPLS-OMS sur le bien-fondé de l évaluation, tout en les incitant à participer activement dans les prochaines étapes pour mener à bon port l étude d évaluation. Les représentants des différentes institutions qui avaient répondu présents au rendez-vous ont suivi avec intérêt la présentation de l outil HMN faite par les experts nationaux. 2. Dans un second temps, des invitations ont été lancées à toutes les personnes ressources devant fournir des informations fiables et indispensables au remplissage de l outil HMN. Aux invitations, des exemplaires de l outil du RMS ainsi qu une note explicative de la méthodologie adoptée ont été annexés dans le but d inciter les futurs répondants à prendre connaissance, ne fût-ce que de façon sommaire, du contenu des diverses composantes et partant des items. 3. En troisième lieu, il a été organisé un atelier avec les personnes invitées pour procéder ensemble à l examen du contenu de l outil ainsi qu à son remplissage. 4. Une synthèse des résultats de l évaluation du SIS a été présentée au cours d une réunion du Cadre de Concertation des Partenaires de la Santé et du Développement (CPSD). 5. Enfin, du 6 au 7 novembre 2008, un atelier de validation du rapport provisoire de l évaluation s est déroulé à Gitega, deuxième ville du pays, dans les enceintes du Centre Multifonctionnel

16 Lors du remplissage de l outil, la démarche participative a été adoptée : Après avoir reçu les consignes sur les techniques de remplissage des scores, deux grands groupes ont été formés. Le critère de base dans la composition des deux groupes a été la capacité d attribuer un score à chaque item et/ou d en discuter afin d arriver à un consensus. Les scores qui ont été enregistrés étaient donc le résultat d un consensus entre les évaluateurs, avec des arguments à l appui. Le premier groupe a travaillé sur les ressources et les produits de l information. Quant au deuxième, il a évalué les sources de données, la gestion des données et la diffusion et l utilisation des données. Les indicateurs avaient fait objet d évaluation en plénière. Chapitre IV : PRESENTATION DES RESULTATS DE L EVALUATION. Dans le tableau ci-dessous sont repris les scores, exprimés en pourcentage, qui ont été attribués à chacune des six composantes du SIS évaluée. Les scores sont interprétés en terme de quartiles : - Premier quartile : Moins de 25% - Deuxième quartile : De 25% à moins de 50% - Troisième quartile : De 50% à moins de 75% - Quatrième quartile : De 75% à 100% Ainsi, les scores qui se rangent dans le premier quartile sont classés dans la catégorie Pas du tout satisfaisant, ceux du deuxième quartile dans la catégorie Présent, mais pas satisfaisant, suivis de Satisfaisant et Très satisfaisant respectivement pour le troisième et quatrième quartile. Tableau 1 : Résultats de l évaluation des composantes du SIS Composante Total Observation Ressources 33% Présent, mais pas satisfaisant Indicateurs 47% Présent, mais pas satisfaisant Sources des données 39% Présent, mais pas satisfaisant Gestion des données 13% Pas du tout satisfaisant Produits de l'information 36% Présent, mais pas satisfaisant Diffusion & utilisation 23% Pas du tout satisfaisant

17 Graphique 1 : Résultats de l évaluation générale du SIS Ressources Indicateurs Sources des données Gestion des données Produits de l'information Diffusion et utilisation 0% 25% 50% 75% 100% Composantes de l'évaluation du SIS 50% 45% 40% 35% 30% 25% 20% 15% 10% 5% 0% Ressources Indicateurs Sources des données Gestion des données Produits de l'information Diffussion & utilisation IV.1. RESSOURCES DU SIS Les résultats de l évaluation révèlent que la situation actuelle des ressources du système d information sanitaire (SIS) n est pas satisfaisante avec un score de 33 %. Ce dernier n est qu une résultante des niveaux atteints actuellement par les différentes souscomposantes des ressources du SIS qui sont consignés dans le tableau suivant :

18 Tableau 2 : Résultats de l évaluation des Ressources du SIS Catégories Maximum Score % A Politique et planification 21 7,0 33% B Institutions, ressources humaines et financement du SIS 39 12,0 31% C Infrastructures du SIS 15 6,0 40% Total 75 25,0 33% Graphique 2 : Résultats de l évaluation des Ressources du SIS Total Général Politique et planification Institutions, Ressources humaines et financement Infrastructures 0% 25% 50% 75% 100%

19 45% 40% 35% 30% 25% 20% 15% 10% 5% 0% Politique et planification Institutions, ressources humaines et financement du SIS Infrastructures du SIS Total a) Politique et planification La situation relative à la politique et la planification du SIS n est pas actuellement satisfaisante, vu le score enregistré (33%). Comme points forts, les résultats de l évaluation révèlent : L existence d une législation en matière d information sanitaire mais dont l application est très limitée ; L instauration d un plan national de développement sanitaire intégrant le processus de modernisation du SIS ; La mise en place au cours du mois de mars 2008 d un groupe thématique multisectoriel du SIS (GTSIS), regroupant les principaux acteurs en matière d information sanitaire afin de débattre de façon régulière des différentes questions visant à améliorer la qualité de l information sanitaire ; La tenue des réunions au niveau des BPS et des BDS, mais de façon irrégulière. Au niveau national, chaque année, tous les services et programmes du MSPLS se rencontrent en vue d échanger sur toutes les questions en rapport avec la santé. Comme points faibles, il a été constaté : L absence d un comité national légal et représentatif permettant de coordonner le système d information sanitaire ; L absence d un plan stratégique détaillé permettant d assurer l intégration et la coordination entre les principaux producteurs de données ainsi que les utilisateurs d information sanitaire à l échelle nationale (centrale) et infranationale (intermédiaire et périphérique); L absence d un système permanent de contrôle du rendement du SIS et de ses divers sous-systèmes

20 b) Institutions, ressources humaines et financement Du point de vue institutionnel, il existe au niveau central du Ministère de la Santé Publique et de la Lutte contre le Sida une cellule centrale chargée de l information sanitaire appelée Cellule d «Epidémiologie et des Statistiques» (EPISTAT). Cette dernière est chargée de contrôler la promptitude ainsi que la complétude des rapports transmis par les BPS et les BDS avant de les compiler. Au niveau intermédiaire, des points focaux du SIS ont été recrutés et sont fonctionnels dans tous les BPS ainsi que dans certains BDS déjà fonctionnels. Cette sous-composante de l évaluation enregistre un bon nombre de défis devant être surmontés dans l optique d améliorer le SIS, à savoir : L insuffisance, au niveau de la cellule d EPISTAT, de moyens matériels, financiers et humains (surtout en terme de compétence) pour assurer la collecte, le traitement, l analyse et la diffusion de l information sanitaire ; L absence de ligne budgétaire spécifique allouée au SIS, ni pour la cellule centrale EPISTAT ni pour la grande majorité des sources de données importantes du MSPLS ; L insuffisance et parfois l absence, à tous les niveaux du SIS d un personnel qualifié (épidémiologistes, démographes, informaticiens/maintenanciers etc ). La faible performance des TIC au niveau du SIS ; L absence d un plan de renforcement des capacités du personnel affecté au SIS ; La faible motivation du personnel oeuvrant dans le SIS, plus particulièrement celui de l EPISTAT, qui ne permet pas de maintenir le personnel et d améliorer la qualité du travail. c) Infrastructures du SIS La rubrique des infrastructures du SIS occupe la première position par rapport aux deux autres sous composantes constituant la composante des ressources. Toutefois, elle n a pas encore atteint une étape satisfaisante. Tous les BPS, mais non la totalité des BDS, disposent d ordinateurs permettant la compilation des données récoltées. Des formulaires nécessaires pour la collecte routinière des données ainsi que la transmission des rapports sont multipliés et disponibilisés à tous les niveaux (Centres de santé, BDS, BPS). Comme TIC, le téléphone est couramment utilisé au niveau national. Les trois grands obstacles qui constituent actuellement un handicap majeur au développement des infrastructures du SIS sont les suivants : L absence d un système de maintenance permanent pour tout le parc informatique du SIS ; Le faible accès à l internet qui constitue un handicap à l échange d informations ; L insuffisance des locaux appropriés pour la cellule EPISTAT

REPUBLIQUE DU BURUNDI MINISTERE DE LA SANTE PUBLIQUE ET DE LA LUTTE CONTRE LE SIDA

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